Lecture du Haïku Calligramme: bas, centre, gauche.
Squelette vivant
colonne vertébrale
mon labyrinthe
◊ Photos prises au musée Guimet à Paris.
◊ Aujourd’hui, je vous offre les quatre approches d’Yves, Patricio, Feu Roméo et Catherine. Dans ce labyrinthe entrelacé, elles sont toutes sous-tendues par le mouvement inspiré par la hauteur vertigineuse et le vide.
plongeoir bastingage
qui chutera dans l’oeil noir
glisse la souris
Tarte à la crème
Entrelacs obsessionnels
Hardiesse de la manière
Un lampion à chaque tournant de l’intestin
chasse tactique
épeire immobile
le saut de l’ange
chasse tactique
Danseur de l’extrême,
dans le défi de l’inaccessible,
les rochers sont ta piste de danse;
tu grimpes à vue,
tu saute et tu voles,
tu te plies et te déplies
de graton en graton.
tu te balances,
tu dynamises ton corps
et les prises infimes, sous tes chaussons,
deviennent les marches invisibles
de l’accès vers ta liberté :
la maîtrise de ton corps
dans la légèreté,
la sensation extraordinaire
d’une danse verticale
pour l’étreinte des hauteurs
dans le bleu du haut.
Tu danses aérien
solitaire et silencieux.
Tu joues d’astuce
vainqueur du vide
et des vertiges,
tout ton corps concentré
sur la pointe d’un pied,
sur le bout d’un doigt,
mais ton mental emplit
d’une force vive
à vouloir grimper toujours plus haut
vers la rencontre
de ton être
ton toi sur un toit du monde.
Ton secret ?
Faire de ce qui semble un mur infranchissable
un escalier d’aisance pour franchir les frontières du vide.
mon cerveau faiblit
c’est fini pour ce soir
faites de doux rêves
bizZz
c’est encore haut, hein? bises à chacun!
demain est un autre jour
Structure nette
Escalade dans le temps
Une spirale
Grimper, encore et encore
Indécis…
Atteindre l’infini indéfini ?
J’ai un coup de coeur pour la première photo Ossiane.
————-
Danseur de l’extrême,
dans le défi de l’inaccessible,
les rochers sont ta piste de danse ;
tu grimpes à vue,
tu sautes et tu voles,
tu te plies et te déplies
de graton en graton.
tu te balances,
tu dynamises ton corps
et les prises infimes, sous tes chaussons,
deviennent les marches invisibles
de l’accès vers ta liberté :
la maîtrise de ton corps
dans la légèreté,
la sensation extraordinaire
d’une danse verticale
pour l’étreinte des hauteurs
dans le bleu du haut.
Tu danses aérien
solitaire et silencieux.
Tu joues d’astuce
vainqueur du vide
et des vertiges,
tout ton corps concentré
sur la pointe d’un pied,
sur le bout d’un doigt,
mais ton mental empli
d’une force vive
à vouloir grimper toujours plus haut
vers la rencontre
de ton être
ton toi sur un toit du monde.
Ton secret ?
Faire de ce qui semble un mur infranchissable
un escalier d’aisance pour franchir les frontières du vide.
Catherine
gloups… Une faute au 5ieme vers
tu sautes (avec un S c’est mieux !) et tu voles,
Si tu peux corriger, merci Ossiane.
gloups encore !
et le 9ieme vers en partant de la fin :
empli (sans T c’est mieux aussi !)
merci Ossiane
sans escalade
un mot plus haut que l’autre
quelle escapade
Bel hommage à Escher…
Dans les arcanes de mes pensées
Qui renouera le fil
Quelle Ariane aux doigts subtils
Me conduira à l’empyrée ?
SOUS VIDE
Mots hachés bout filtre avant papier
compressés
invertébrés
pliés
corps contre artères
en combustion sous camion
jusqu’à la ligne de chemin de fer…
corps rouges sous tension électrifiés
avant le jour qui s’ouvre
boîte de conserve
rouillée
chien en laisse
au bout d’un billet
composté
billet moisi poisse
au fond d’un poche
dans le labyrinthe
d’un cerveau sous vide
l’angoisse terrée
sous couverture
cartonnée…
souvenirs rattrapés braqués traqués
d’anciennes pliures
sang séché
encagoulés
perfusion
sous la langue rasée
trace bleue violacée…
yeux fixes cernés cendre évidés
au commissures des fenêtres
bistrots crasse crack
carreaux cassés étroits
murs éclatés griffés
ongles fissurés
qui s’accrochent
regards aux abois…
Trial jusqu’au bout de la rade forcé
snipper embusqué
grenade fragmentée
s’échapper fuir
no future no limite
escalier hall de gare
dormir…fumer…
jusqu’au bout
de la nuit
bout filtre écrasé
au fond de la poche
labyrinthe
contrôleur
laisse chien
dans la main poisse
billet clandestin
sous vide.
Lignes secrètes lettres
Se déplacent en l’espace pleines
D’un sens chuchoté
………………………………….
coeur de la musique
cuivre du trombonne à coulisses
long gémissement
…………………………………..
andrée/bouldegom
plongeoir bastingage
qui chutera dans l’oeil noir
glisse la souris
dans mon squelette,
ce trou, le larynx, par où
se ruent souffle, cris
Tarte à la crème
*******************************************************
Entrelacs obsessionnels
Hardiesse de la manière
Un lampion à chaque tournant de l’intestin
………………………
visite régulière
tuyauterie entartrée
et la lumière fut
………………………
andrée/bouldegom
chasse tactique
épeire immobile
le saut de l’ange
Sur les deux premières photos, j ai un peu le tournis à regarder la lumière vers le haut, c’est si haut.
Tes mots sont fort beaux Catherine. Et déjà tant de mots déposés.
ton calligramme est fort beau, Ossaine, et ton haiku d’une puissance.. pour le moment mes mots se sont envolés et reste l arête du poisson, ils prennent l’air et viendront peut être se poser plus tard. J’ai préféré vous lire, chacun, tranquillement.
Et puis peut être je suis encore sur l’escalator, l’escalade, youps, il faut tant d’énergie, je me laisse mener…
Bon courage pour ta journée,Ossiane.
sans oublier…..bises Ossiane.
Et que de plongeons, brasses, planches, sauts dans le vide, sucreries partagées, échanges, sans filet, hier soir, un grand moment d’arriver à ce minuit d’aujourd’hui.
Ascension labyrinthique
Kundalini alambiquée…
Sous le sourire d’un bouddha
nougat
meringue en polystirène
plein feu sur la matière
fonte de l’ice-cream
grains de sucre en surface
Au bout de la longue nuit,
par-delà
Tout horizon
Nous cueillerons
au pied d’une falaise
au milieu des buissons
La fleur blanche.
Couleur de l’aube
au jet de sang.
Pur et esthetique. La beauté simple des constructions modernes. belles photos.
Bonjour, Ossiane
Boa enlaçant
Les rampes de l’idéal
Tobbogan infernal
Se muant en un rêve minéral
Envolée vers la beauté astrale
Tu me fais dévaler
A une vitesse grand v
Les marches
Du labyrinthe
Atterrissage assuré
Le paradis m’a comblée
Bises et bonjour à tous
Claudie
Les flaques d’eau claires légères et stables
l’eau est un peu le ciel
l’air en supension
comme ce paquebot imaginé
posé dans l’espace comme un gros rocher blanc
j’ai découvert ce blog par hasard très jolies photos!
Escalade vertigineuse
Un escalier en collimaçon
Un véritable tourbillon
De quoi vous donner des frissons
Je l’arpente à bout de souffle
Je hâlète, je m’empresse
Mes pensées s’emballent
Vais-je atteindre le sommet
Cet univers étoilé
Enfin!
L’immensité dans sa majesté
Le ciel m’ouvre ses portes
La clé de sol est magique
Un orchestre fantastique
Joue pour moi avec aura
Je suis dans les allelouia
Mon coeur exulte de joie
J’avais pris l’ascenseur du bonheur
Bises. Tout à l’heure, je crois que j’ai fait « une descente »fantastique. L’empressement à te lire, seul le haîku m’a fait sourire. j’ai occulté le mot « escalade »
La confusion est de taille!
Quand on travaille, l’esprit vagabonde…….et la précipitation n’est pas bonne.
On tombe de haut!
……………………………….
percée dans l’espace
aller à contre-sens
l’eau dans la lumière
……………………………….
Escaliers…
S’il nous faut quelques mois
pour apprendre à marcher
à monter puis descendre
ces infatiguables escaliers
Il faut bien plus longtemps
pour apprendre à nous aimer
comprendre que les jours et
les nuits se trouvent emmêlés
Avant que nos doigts recourbés
nos lèvres se remettent à parler
avant de retrouver nos chemins
en rebroussant nos pas, étonnés,
Il nous faut bien des chagrins
pour comprendre et être sages
puis ranger nos premiers dessins
avec nos premiers livres d’images…
devant cette paroi qui s’ouvre
comme un mur sans fenêtres
c’est comme une porte ouverte
là où l’air s’efface
et la blancheur du jour gagne
je grimpe sur mes pas
sur le long escalier
j’ai peur de l’immobilité.
……………………………………………
tout est mouvement
l’air nous masse et nous change
pâte à modeler
……………………………………………
>Maria-D :
On n’en finit plus de monter, Maria 😉 Jusqu’où va-t-on aller ? Bel après-midi.
>Bourrache :
J’espère que tu as fini par trouver le sommeil après la folle soirée d’hier soir 😉 Merci pour tes mots imprécis dans l’infini 😉
>Catherine, Patricio, Feu Roméo , Yves :
Merci pour vos superbes textes inspirés et graphiques ; j’y vois le mouvement et les circonvolutions. Bien à vous, je vous embrasse.
>amichel :
Merci pour ton bel haïku. Dommage que tu ne sois pas venu avec nous hier soir 😉 Tu aurais été redoutable 😉 Bises à toi.
>François :
Oui, François, beau travail que celui d’Escher tant sur le plan graphique qu’imaginaire. Bises estivales.
>Pierre (2) :
Hé oui, Pierre, le fil d’Ariane, toujours ces fils qui nous relient avec les cieux. Merci pour ton beau poème. Un petit rayon de soleil timide vers ta Loire.
>Sven :
Tu t’es complement laissé happer par ce squelette, Sven. Il en ressort un poème douloureux d’une grande force. Tes mots et tes images sont crus, secs, saccadés. Tu joues avec les sonorités notamment les « r » pour exprimer la souffrance. Un beau poème jusqu’au bout de la nuit. Je t’embrasse.
>Fugitive :
Ton poème chuchotant est à demi-mot prononcé dans les plis de cet escalier. Belle intimité de tes mots, bise vers toi.
>bouldegom :
Je vois que tu es toujours en forme ; tu as un sacré entraînement 😉 Merci pour ces quatre visions audacieuses mais justes 😉 J’aime bien ton nougat 😉
>brigetoun :
Superbement décrit, Brigitte ! J’entends ces cris. Merci, je t’embrasse.
>Annick :
Merci pour tes encouragements, Annick. Soirée mémorable et déjantée qu’on peut de refaire de temps en temps pour s’amuser et s’entraîner;-) Heureusement, il n’y a pas eu de jamabes cassées dans l’escalator 😉 Bises.
>Daniel :
Pratiquerais-tu le yoga ? Tu as raison, il y avait un bouddha souriant en dessous 😉 Merci pour tes mots, je t’embrasse.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Kundalin%C3%AE
>MioModus :
Bonjour MioModus, contente de te revoir par là 😉 Ton poème est superbe avec ce rouge opposé au blanc! Je me demande comment tu fais pour t’envoler si haut et si loin de la réalité 😉 Bien à toi.
>nina de zio peppino :
Bonjour, je te souhaite la bienvenue. Merci beaucoup pour la gentillesse de tes mots. Au plaisir de te revoir.
>Claudie :
Quelle énergie et joie de vivre tu fais passer dans ces deux poèmes écrits d’un seul jet. La descente vertigineuse puis l’ascension périlleuse. C’est un peu à l’image de ce qu’on a vécu hier soir sur Escalator 😉 Quant à l’escalade, j’ai voulu jouer sur le double sens de ce mot. Merci Claudie, je t’embrasse.
>Marline :
Bonjour Marline, bienvenue sur le blog 😉 Merci pour ces deux jolis textes tout en sensations aériennes bien ressenties. Tu fais bien de déposer tes bagages sur le pont de ce paquebot. Sensible à ta poésie, je t’invite à revenir et à nous rejoindre au travers des mots. Bien à toi et à bientôt.
>Sven :
Beau poème lucide qui invite à la réflexion sur ce que nous sommes. J’aime beaucoup ta denière strophe avec cette rupture entre le monde de l’enfance et le passage à l’âge adulte. Merci beaucoup.
Rampe dorée
Eternité
Tant désirée
Dans le labyrinthe
De mon corps
En plaintes
Mélodies d’accords
Palpitent mon coeur
Qui pur désir
Mon âme soeur
Pour le plaisir
Ainsi va le coeur des hommes
d’ascensions en escales
de chutes en rappels
il s’efforce toujours
d’aller voir plus haut
Est-ce qu’à l’adverbe
Inextricablement
La contorsion de tes oeillades
Trace l’esprit de miroirs déformants?
Clélie
De multiples foyers
En illuminations
Tu courbes mes regards
Et peignes l’harmonie
De claires griseries
De douceurs vanillées.
Nos voyages épousent
Des spirales coniques
Et quand tu te découvres
Excentrique
Nue parmi les festons
Des lignes d’équilibre
Je suis tes entrelacs
Jusqu’à chanter des mots
Que je ne comprends pas!
Entré par réfraction
Extirpé de la gangue des lourdeurs opulentes
J’ai pris la faim du jour
En cherchant l’immédiat
Et de Ying et de Yang
Tout en anamorphose
Je vois dans ta mémoire
L’eau pure des ruisseaux
Les mille trajectoires
Des rêveries subtiles
Elles n’enferment qu’amours
De bontés pacifiques
Et m’expliquent d’un geste
Le flou de ton image
Anallagmatique…
schlagdescthoungdeclagboumzip… je comprends pas tout Bernard mais peu m importe, j aime bien!
et je te relis pkusieurs fois Bernard, et j aime plus encore car je comprends plus fort…
Boroschnigevz bourraz
Degrromisberavitz
Barroquistraï pevotz
Gabroshtin TitAnnick
Aïtokoboceric
Atchoum ! (en français dans le texte…)
Et bonne nuit à tous.
Annick
Je t’explick
qz = a cos w (1 – cos qt)
Si (t)
= ZERO
[quand on a plus le temps]
[je ne sais pas si c’est vrai pour le mauvais temps]
Supposons qu’il fasse beau
Cos qt est infini
1 – cos = 1 – l’infini
Il ne doit pas rester grand chose
Sauf si 1 c’est Elle ou Lui
Qu’est-ce que l’infini, à côté d’Elle ou Lui!
Annick
C’est magick!
Regarde >>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>
http://www.mathcurve.com/courbes3d/cycloidspheric/anime-esculier3.gif
C’est fou ce que l’on peut faire dans un cercle … d’amis !
Le pire, c’est d’en vouloir sortir…
J’en ai les sinus qui se bouchent
Atchoum !
>Annick:
Bise à toi, Annick réceptive et vibratile. Tu es pleine de vie et ça fait plaisir à voir. Bonne nuit.
>oufti/ feu roméo:
Démasqué une nouvelle fois;-) Je veux bien te croire Roméo;-) Et qu’en est-il du coeur des femmes?
>Bernard:
Ta grande culture littéraire et ton imagination féconde m’impressionnent;-)) Je suis un peu comme Annick, je n’ai pas tout saisi mais j’aime;-) Tu as l’art de mettre en mots des ressentis abstraits; c’est beau: bravo! Anallagmatique??? je n’ai pas trouvé;-) La grande richesse de ton vocabulaire m’intrigue. D’où tiens-tu tout ça?
>Bourrache:
Il va falloir mettre ta petite laine, Bourrache;-) Tu as attrapé le virus du blog et ça ne se soigne pas;-)
Ossiane :
même pas avec un Daffalgan ???
‘tchoum.
Un labyrinthe
S’ escalade
A droite
A gauche
Dans tous les sens
Pour vibrer
A l’infini
Le coeur de soi
En étoffe d’âme
Au corps si beau
LA folie du désir qui entre et se propage et s’ancre si profond
..BY step by step joue ses drames et ses bonheurs si intenses
……RINceau si complexe et si délicat il traverse l’infini temps
……….THE more and more géant parcours du corps tellement
Est
ce
cas
las
deux
Bonne nuit. Merci de vos présences!
Ce thème de l’escalier fait penser à la double hélice de l’ADN, l’échelle de la vie mais aussi immanquablement au point de chute, à l’entrainement vers la fin, « j’ai peur de l’immobilité » écrit Martine, « je grimpe sur mes pas »… moi, ces mots m’ont vraiment profondément touché, ils appellent aussi au Samsara… à la fatalité, au cycle de la vie et de la mort
une certaine angoissse se dégage dans ce paradoxe : l’escalier c’est le mouvement et l’enfermement… la fuite vers et…le point de chute…
même révolution
Je me suis effectivement beaucoup « attachée » à la seconde
photo qui évoque une sorte de suspension , d’état « intermédiaire »
celui où l’on ne sait plus si on doit avancer/ reculer/ ou ne plus bouger… Un je ne sais quoi d’angoissant absolument!
Je trouve cette idée d’associer un texte à une photo et de créer ainsi un fil conducteur excellente! seul bémol, en ce qui me concerne, je ne sais pas écrire de la poésie; si c’est possible de participer en y apportant juste quelques mots , je serais ravie de faire un petit bout de chemin avec vous!
Merci Sven pour vos remarques .
Ossiane, ton talent provoque une escalade de vers, d’échanges, d’amitié, de jeux, bravo !
260 commentaires, hallucinant !
Quel bonheur de revoir Catherine, je t’embrasse très très fort !
Et mes amies, Annick, Andrée/B2G, Neyde, Brigetoun des perles ! et ce aMichel, un virtuose ! et tous les autres comme Christina M et Pascal que je remercie infiniment de leur passage chez moi !
J’escalade ma vie aujourd’hui,
Je tente de remonter au sommet,
Mon sac est lourd de 10 ans,
Mon coeur aura besoin de temps…
Je vous embrasse,
Ossiane, je suis en vacances de « vie » chez moi, gros bisous,
A bientôt,
OLIVIER
Ce que dit Sven sur l’ escalier je l’ ai vécu physiquement et j’ affirme que
cela est l’ Horreur ,il faut des années pour revenir a soi.Je ne souhaite une expéience aussi extréme a personne .La Sven et les autres vous devriez être rembouser par la Sécurité Sociale.
Vraiment cette fois ci je ne me pose plus de problémes Je RESTE a L’ OEIL.
Un merci pour tous.Noisette
Atchoummmmmmmmmmmm Bourrache!
Merci pour les explications, mais peut être qu’en ajoutant m= ax sans oublier le 2 de y et en remettant + au lieu du moins et encore sans oublier.. sourire.. merci Bernard pour la formule!
Bonjour à chacun, youpslala, qué mots déjà.
Belle image pour l’esthétique, qui me donne un peu le tournis. Bises Ossiane.
Circonvolutions
Emotions
Sensations
>Bourrache :
Tu es vraiment accro au Daffalgan 😉 ‘tchoum.
>Annick :
Belle acrostiche ! Bonne journée la tête à l’endroit !
>Sven :
Je comprends ce que tu peux éprouver par rapport à cet escalier et sa forte symbolique. Cette phrase de Marline m’avait frappée aussi. Il est vrai que les thèmes que tu soulèves n’ont pas été beaucoup traités dans les poèmes. Bises.
>copernic/feu roméo :
😉
>Marline :
Bonjour Marline, contente de te voir ici 😉 Pour revenir sur la sensation d’immobilité que tu éprouves par rapport à la deuxième photo, je pense que c’est dû aussi à la rampe qui bloque l’accès et qui amplifie cet effet d’enfermement.
Je trouve, je te l’ai dit précédemment que tu ressens bien les choses. Il me semble pourtant que tes deux interventions étaient des poèmes 😉 Tranquilise-toi, il n’y a aucune règle pour venir écrire sur L’Oeil Ouvert. Qu’on soit poète ou non, tout le monde peut venir s’exprimer. Ton ressenti sur les photos sera reçu ici avec intérêt. Je t’invite donc à rester avec nous 😉 Bien à toi et à bientôt.
>Olivier :
Bonjour Olivier, on a fait un peu les fous l’autre soir 😉
Je vois à quoi tu fais allusion avec ces dix ans. L’escalier est long et difficile à gravir mais tu l’empruntes avec beaucoup de ténacité et de beauté. Tes amis de blog peuvent en témoigner.
Je te souhaite de bonnes vacances de vie alors, moi qui croyais que tu étais parti 😉 De petites pauses sont salutaires pour se ressourcer. Je t’embrasse chaleureusement.
>Noisette :
Un petit bonjour à vous, Noisette. Vous êtes arrivée sur la bonne planète 😉 L’Oeil veille sur vous 😉 Je vous embrasse.
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Nouveau commentaire sur:
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https://blog.ossiane.photo/2006/01/14/2006_01_legende/#comments
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pour le calligramme
dans le labyrinthe du temps
ivoire et doré
goutte à goutte
la colonne vertébrale pilier
et zutttttt
atchummmmmmm
goutte à goutTe, je t ennuie encore, Ossiane! bises pour toi si patiente avec mes fautes d’étourderie!
Une petite escale.
Je me fais la séance photo en escapade.
En attendant sur l’estacade, l’estocade ossianique.
Et déferlent les images.
Dans le blanc de loin de l’oeil ouvert sur ces pages…
Salade en escapade.
Merci Ossiane.
« Il y en a qui ne relèvent jamais la tête
qui oublient de regarder le ciel
Pourtant il y a un coeur
qui bat dans nos mains mélangées
depuis des milliers d’années »
Albane Gellé
Je m’éveille maintenant d’un rêve turbulent, plein d’escaliers, d’escalators, d’escalades, d’échelles,de marches sans fin… tout en calimaçon!
Ossiane, pas de jambes casées mais le tournis …
Aprés la folie de la nuit d’avant hier j’ai senti le tournis avancer.
Vous m’avez fait dévaler la rampe à grande vitesse,
je heurtait contre les vers qui tombaient sans cesse sur ton Blog.
Bien, tout ça dans le virtuel …
Je suis restée, l’autre nuit, comme spectatrice de votre combat, de votre jeu.
Après, j’ai lu avec attention, bien calmemente avant de me coucher.
(Nous avons une différence de cinq heures!)
J’aime beaucoup.
Bravo à vous!
Yves, Patricio,
Feu Roméo et Catherine
Bravo à vous quatre.
Je vous embrasse.
Je voulais tant monter
jusqu’à là-haut
M’ont dit qui est si beau!
Mais, où commencer?
C’est fini!
Je n’ai pas réussi
ni même à diviser
le début de l’escalier!
Ossiane,
au secours!
c’est :
…………………
Je n’ai pas réussi
ni même à trouver
Merci
>Annick:
Effet du rhume contagieux que Bourrache t’a donné;-)
>Salade:
Bonosir, ça faisait longtemps;-) Serait-ce cette syllabe commune à ton pseudo et à mon titre qui te fait sortir de ton trou;-) Tu as raison; l’estocade ossianique m’inquiète bigrement aussi;-) Y a-t-il un médecin dans la salle… Merci pour ton petit clin d’oeil vu de Belgique, bon week-end!
>Marline:
Sympa que tu sois revenue;-) J ene connaissais pas cette citation mais je me sens très en phase avec elle. Merci à toi.
>Neyde:
Pardonne-moi de vous faire tourner en bourrique avec cet escalier;-) Ces notes ne sont pas de tout repos car l’escalade demande sans cesse de nouveaux efforts;-) Pour cette folle nuit, c’est la première fois que je participais à un exercice de ce genre; exercice qui d’ailleurs a démarré spontanément. Ces joutes poétiques ne sont pas faiciles à relever surtout quand les adversaires ont de l’entraînement. Tu es une bonne spectatrice et lectrice.
Je ne sais pas si je vais être d’une grande aide dans ton problème;-) Sinon, il y a un ascenseur pas très loin;-)
Bonne soirée à toi, je t’embrasse, belle poétesse du brésil.
l’escargot ne saurait tarder.
bon W.E.
>Salade:
Bon week-end aussi, pas trop arrosé si possible;-)
> Ossiane
A défaut de l’arroseur arrosé, c’est donc la photographe qui est iimpressionnée?
Ana comme dans Ananas, llagma comme en espagnol et tique comme pour le décor: anallagmatique = livreur de morceaux d’ananas
>>>>
http://www.mathcurve.com/courbes2d/anallagmatic/anallagmatic.shtml
>Bernard:
;-)) Vu les réponses que tu fais à mes questions, je me dis que tu es un grand scientifique non départi d’humour et de poésie, non?
> Ossiane,
grand scientifique, grand humoriste et grand poète!
>Bernard:
Alors j’ai bien visé;-) Ca fait un beau bagage pour la vie.
> non Ossiane!
Un grand bagage!
>bernard:
Disons grand et beau à la fois;-)
> ouais, un beau petit…
Escalade comme escale en salade, ou plutôt plongée en contre plongée. Absorbé par des courbes ascendantes j’en oublie les courants
qui prennnt la même direction et focalisent le regard vers ces ouvertures étranges. Lignes qui se recoupent, perspectives qui se découpent et quelques emporte pièces qui dégagent des volumes de respiration. Pourtant l’aspiration nous entraîne et l’inspiration nous soutient, laissons nous porter, transe porter dans ces lignes obturées
mais pas obtuses. La lumière domine qui tombe et éléve, accroche des
pans de mur et décoche des jets acérés. A ses rets nous ne pouvons échapper. A ces raies nous devons diffracter pour transférer l’espace en pensée et l’espèce en passant.