Lecture du Haïku Calligramme: gauche, bas, droite.
Chevaux d’argile
voyage dans l’au-delà
correspondances
◊ Photos prises au musée Guimet à Paris. Pour en savoir plus …
Une pensée toute particulière à Pam et à son amour pour les chevaux. Ne manquez pas d’aller découvrir son univers artistique sur son blog de sculpture.
◊ Le bruit du galop, les crinières au vent, des chevauchées effrénées dans les airs, les rêves et dans les steppes. Je me suis laissée emporter par les belles évocations de Pierre (2), Maria-D et amichel.
Un cheval pour un paradis
Six je sors
Deux je te prends
Retour à la case départ
Deux chevaux en ligne
Chance double pour le ciel
CABALLOS
Dans mes rêves los caballos
Sont des êtres de silence
Ils approchent de ma main
Dans une attente sans intention
Dans mes rêves le cheval bleu
A les yeux de l’humanité
Il est symbole de liberté
A tout jamais illimitée
Dans mes rêves j’oublie
Que l’homme et le cheval
Ont tous deux souffert
De servilité
Les chevaux du « loup bleu »
Galopent galopent
Avec la horde d’or
Les chevaux conquérants
Galopent galopent
Sous le talon de Tamerlan
Les chevaux aux sabots de fer
Galopent galopent
Avec les guerriers d’Attila
Les chevaux au mors rouge
Galopent galopent
Et l’herbe ne repousse pas
Les chevaux du Levant
Galopent galopent
Dans les steppes du temps
Les chevaux de vent
Galopent galopent
Dans les rêves d’orient
Les chevaux d’argile
Galopent galopent
Dans la nuit des tombeaux
Les chevaux d’or et de lumière
Galopent galopent
Dans l’éternité du silence
La vie et la Mort
Conscient et inconscient
Peuple Hourrites
—
Par l’eau et le feu
Entrailles de la terre
Abysses de la mer
—
L’aube du monde
Caresse les chevaux d’or
Cendre de soleil
—
Splendide Ossiane, quel beau retour !!!
Belle nuit à toi lumineuse comme la poudre de soleil de ton calligramme
Ossiane, cette note est superbe, elle me plait beaucoup.
Le musée Guimet est magnifique et les chevaux chinois qui ont traversé le temps et l’espace me touchent particulièrement.
J’aime beaucoup tes photos et ton calligramme d’ocre, quant à ton haiku, il est grave…et profond.
Merci pour ta pensée et le lien.
Je t’embrasse fort.
Sourire.
Chevaux d’argile
vers l’au delà
attention fragile
Les chevaux du « loup bleu »
Galopent galopent
Avec la horde d’or
Les chevaux conquérants
Galopent galopent
Sous le talon de Tamerlan
Les chevaux aux sabots de fer
Galopent galopent
Avec les guerriers d’Attila
Les chevaux au mors rouge
Galopent galopent
Et l’herbe ne repousse pas
Les chevaux du Levant
Galopent galopent
Dans les steppes du temps
Les chevaux de vent
Galopent galopent
Dans les rêves d’orient
Les chevaux d’argile
Galopent galopent
Dans la nuit des tombeaux
Les chevaux d’or et de lumière
Galopent galopent
Dans l’éternité du silence
Un cheval, deux chevaux
d’argile en voyage
Ils vient d’arriver
Quel est leur âge?
Un cheval, deux chevaux
Déposés au salon
D’oú sont ils venus
De la Chine ou du Japon?
Un cheval, deux chevaux
Galopez sans cesse
Emportez les rêves
Les poètes en liesse
Du monde du visible
Au monde de l’invisible
Un trait d’union
Cheval d’argile
Ame en péril
au triple galop
où vont-ils se nicher
les chevaux de mes rêves
au fond des sables doux
dessinés par l’enfant
dans la cambrure princière
du fragile hyppocampe
à la courbure du cou
à la nuque gracile
en haut des piédestals
pour questionner le monde
au pic des montagnes
imitant les chamois
dans l’empreinte du sceau
venu des millénaires
au fond d’une passion
du collectionneur patient
sous la main du potier
animant la fontaine
au beau milieu des plumes
des indiens iroquois
au coeur d’un éventail
qui frôle le mystère
au jabot de l’oiseau
au cou de la girafe
dans les rires étonnés
des nouveaux-nés du jour
au fil des écritures
scandant le chant du souffle
dans la ponctuation
marquée par les sabots
dans les crêtes de coq
des punks de nos rues
dans les moteurs des villes
qui ruent dans les brancards
dans le train qui m’emporte
à l’orient comme à l’ouest
bouldegom
11.07.07
Un cheval pour un paradis
Six je sors
Deux je te prends
Retour à la case départ
Deux chevaux en ligne
Chance double pour le ciel
Emouvantes ces beautés
Qui ont traversé les âges
Sans faner
Transmission
Elle s’arrêta devant le cheval à la fière allure,
campé sur des jambes solides
puis elle pensa à Crumble,
à son effort balbutiant pour se mettre debout.
Avec ce départ c’était difficile pour elle en ce moment.
Quelques mots de Pam lui revinrent en tête:
« C’est comme s’il y avait deux moi, celle qui sait exactement où elle va et celle qui n’en a aucune idée… »
Oh la la!
des « moi » il y en avait bien plus de deux en elle!
Et elle sourit, à Crumble et sa naissance,
à ce fier cheval qui relevait la tête…
à l’inconnu de ce qui allait se passer
Coucou Ossiane,
Merci pour Pam, elle est tout simplement magnifique !
Mon rêve,
L’Inde, le Japon,
Ombrelle, sari, kimono,
Regards bridés au sourire beau,
Incarnation, hindouisme, zen, philosophons,
Eternels Samüraïs, Brahmanes et fakirs,
Nature, cultures, traditions,
Tout pour être une âme saine en devenir.
Mes pensées à mes amis qui sont présents chez toi.
Je t’embrasse Ossianne,
Olivier
La photo de la note précédente est d’une immense beauté !
Il l’avait dorée à l’or fin
En accompagnant son chemin
Et grâcieuse elle baissait la tête
Il la saluait ainsi faite
Tendrement grandement émus
Par leurs délices mis à nu
Et tant de belle délicatesse
Que leur âmes toute allégresse
je trouve fort émouvant ces deux statues d’argile,
et fort beau ton haiku fort délicat, Ossiane, je te souhaite une bonne journée. Bises.
Bonjour Ossiane,
Merci de nous faire partager tes grains de beauté du monde. Superbe !
Courbes aériennes,
Le voyage est sur votre peau,
Temps et espace, en mélange.
L’œil devient centaure et se fond
Aux soleils que vos croupes dessinent ;
Le levant est aux portes des âmes…
Il suffit de vous toucher du regard
Pour que l’Art s’éveille
Et nous abreuve de ses lumières
D’Orient.
Bonne journée à tous 🙂
Au petit matin , en bordure d’une allée accrochée au Domaine de Terrefort , il n’est pas rare de rencontrer un écuyer , occupé au travail du seul cheval lusitanien de la cavalerie de prestige du Cadre Noir..Ce jour là il travaille au dressage « des longues rênes »: une technique qui consiste à marcher sur le côté du cheval, en passant les rênes d’une main à l’autre , tandis que le cheval reste aux trois allures!
La règle consiste à maintenir le cheval en permanence vers l’avant,et obtenir ainsi le rassembler et la légèreté…
Ce travail très technique est un excellent moyen de préparation , puissant, utilisé par de nombreux cavaliers, notamment dans la préparation au saut d »obstacles, à l’attelage ..
Le cheval est aussi mon sacerdoce ..alors quel ne fut pas mon plaisir de découvrir ces photos…ce matin !
Résultat des courses sur l’oeil ouvert:
premier l’as: tête cassé
second le 2: Gros cul
Qui rapporte dans l’ordre et pour 5 euros, 3 euros 50…
Ossiane, si le PMU te prend à faire des paris clandestins… Gare à toi !!
CABALLOS
Dans mes rêves los caballos
Sont des êtres de silence
Ils approchent de ma main
Dans une attente sans intention
Dans mes rêves le cheval bleu
A les yeux de l’humanité
Il est symbole de liberté
A tout jamais illimitée
Dans mes rêves j’oublie
Que l’homme et le cheval
Ont tous deux souffert
De servilité
—
Belle journée à vous tous
C’ est bien le matin un tel tableau un plaisir a conserver pour la journée.
Ce qui est bien avec les chevaux c’ est la proximité, en plus ils sont beaux
Les gros boulonnais et le fier alesan. La beauté, la grâce et le sens de la musique. Un gros chagrin se consolle dans sa criniére comme s’ il te comprenait.
Encore un souvenir le charme » de dame » évocation de J.R. Caussimon
« un brave cheval en liberté dans un pré,
en liberté Enfin c’ est l’histoire d’un cheval et de sa relative liberté, et de l’inquiétude de son maitre face au changement ou il n’ y aura plus de place pour les chevaux Etc………..Noisette.
De la terre jusqu’au ciel
l’eau, l’air
la vie éternelle
En mythologie d’ Orient, sculpte chevaux d’or et d’argent dans un concept d’une aurore où l’imaginaire en tempête des tourments soulève en culte des chimères et des symboles la créativité de notre for intérieur.
je n’ai jamais été à ce musée, j’en prends bonne note pour mon prochain voyage à Paris
je t’embrasse Ossiane ,
ps: un petit coucou à PAM au passage.
Sculpteurs de beauté,
Jardiniers d’Arcadie,
Par la grâce visités
Tel un don de vie.
Au-delà du temps,
Au-delà des âges,
De l’argile créant
L’amour en partage.
Des milliers de coeurs
Un seul souffle.
07.07.11
ClinDOeil
à l’ouest comme à l’orient
que m’importe l’écrin
dans les villes aux moteurs
se muent les citadins
comme un coq à la crête
émue par du punk-funk
hors des ponctuations
zébrées par les rabots
l’écriture sur un fil
essoufflant l’échafaud
dans l’étonnement des pleurs
nouvelle lune mort-née
haut-le-coeur de girafe
haut-de-forme d’oiseau
les doigts en éventail
que caressent les vents chauds
et déplument les crânes
enfoncés jusqu’aux manches
aux paumés de la piété
s’épanchant le dimanche
la passion du tréfonds
d’un passant dézingué
resté à peine hier
au saut laissé sans trace
raillant l’émoi du chat
du fond de ses crevasses
dans un silence immonde
haussant froid et risée
aux coups courbes glacés
qu’oscillent les eunuques
sans révérence frigide
l’hypothalamus encore vif
à la rugueuse surface
d’un vieux tout vérolé
ils vont entre mes cils
mes rêves sans cheveux
garrot de mes tripes
Deux chevaux pour un tiercé
C’est un peu court
Trois gagnants
Pour un doublé
Partie gagnée
Coucou Ossiane. Et heureux de partager le Grand prix avec Maria et amichel. J’ai connu l’ancien et le nouveau Musée Guimet. Le jour et la nuit. C’était une caverne d’Ali Baba et, les jours de pluie, on avait un peu peur dans certaines salles aux parquets grinçants. Aujourd’hui, c’est la lumière sur un grand pan d’Orient. Et le restaurant permet de poursuivreagréablement le dépaysement…
Prométhées figées
Crinières secrètes et femmes
Caballes indomptées
Bonsoir Ossiane,
Beau retour,
Je suis venue tard,,
Mais, je ne peut
M’endormir
Sans me promener
Dans ce beau jardin,
Où déjà de belles
Poèsies ont été déposées
Une pensée pour Pam,
Pour Pierre (2), Maira-D, Amichel,
Et pour chacun de vous,
Qui laissez ici
Tant de paix.
Généralités dans ma tête sur le cheval:
La jeune fille attend le prince enchanté qui vient sur … un cheval blanc.
Le joueur à la course attend que … son cheval arrive au prèmier.
La morte nous vient chercher sur … un cheval noir.
Nous attendons les quatre chevaliers de l’Apocalypse que viendront sur … des chevaux.
Nous demandons aux enfants pour nous amuser :
De quelle couleur est le cheval blanc de Napoléon?
Et Maria-D n’oublie jamais … son beau cheval bleu.
Et … un cheval, prisionnier dans le ciel, nous regarde presque tous les jours avec son carré lumineux d’étoiles lapidées en diamants
Ah! la belle Sirrah entre Pegasus et Andromeda , entre les deux son coeur balance!
Sirrah m’a dit cela pendant la nuit, tu sais Ossiane je parle avec les étoiles et je les entend aussi.
Pierre (2), Maria-D et amichel.
Bravo à vous pour les belles évocations
qui nous emportent aux rêves.
J’embrasse les trois.
Un magnifique musée … tiens, je vais y retourner l’un de ces jours car je ne me souviens pas de la statuette que tu as mis en ligne … refaire le coup de la Tarantine …
Tagada tagada
Ma croupe dorée
brille de mille feux
Haîku digne de Confucius …
Merci Ossiane je t’embrasse pour cette attention, tu me gâtes vraiment de me mettre entre ces deux belles personnes que j’embrasse…
Merci amie Neyde je te bise vers le Brésil, ton texte je l’aime beaucoup surtout :
« Galopez sans cesse
Emportez les rêves
Les poètes en liesse »
Bises à toi Cristina vers l’Australie
Belle soirée à vous tous
ils sont beaux
ils sont prêts
ils sont un
ils sont deux
ils sont son
ils sont mots
ils sont doux
ils sont eux
ils sont d’or
ils sont là
ils sont
Le jour ils sont posés
Sur leur tapis volant
Aux mille lumières
Et dès le soir
Quand la lune se fait belle
Lorsque le dernier visiteur
Quitte le lieu
Il leur pousse des ailes
Et leurs crinères galopent
Et leurs sabots s’envolent
Il la suit, elle le suit
Sur leur chemin en herbes
Et ils gagnent joyeux
Le pré des interdits
Car le fourrage rare, bon, généreux
Plein d’amour de paille si folle
Que le roulis en foin les mène loin
Tu as gardé
artiste au limon d’ambre
l’or de la terre
à la forme brûlée
pétrie d’argile en flammes
volutes
en mains de glaise
La mort se cambre
la mort est née d’un rêve fauve
Tu as dressé
crinières de Tarpan
farouche hennissement
au poitrail
chung wan
ou « le canal médian »
Et tu portes
chi tung
« le maître de l’esprit »
En nos nuits constellées
caracolent
Pégase et le petit cheval
Le poète l’enfourche
à la source Hippocrène
s’abreuve de soleil
Je suis si contente de vous applaudir encore avec mes tites mains, Ossiane, Pam, Pierre, Maria et Amichel,
et chacun qui me ravit encore…………
ahhhhhhhhh, quelle beauté ce blog!
Quelle beauté
En vos vous
Chevauchant
Les contrées
Des replis
De mon coeur
Qui palpite
Et s’arrête
Pour redémarrer
Plus vivant encore
Cheveaux au vent
La croupe estivale
De belle allure
D’amazone novice
Ah ce coquin de coeur
est ce à dire de cheveaux? chevaux? cheveux?
Je souhaitais écrire dire cheveux, mais souvent très souvent, mes doigts partent au galop des touches et leurs sabots claquent les lettres et parfois dérapent et se tombent et parfois se chevauchent s emmèlent, ahhhhhh mes doigts mènent parfois un petit combat de sabots sur l’écran des touches de vie. BISES!
orient
Chevaux d’Or – argent
douce lumière d’orient
poudre de soie
Il lui a fait perdre la tête
Qu’elle a tant retrouvée
Aux couleurs d’orient
Terre ocre et friable
Chevaux du levant
—
Art funéraire
Mort entre terre et ciel
Vie éternelle
Juste un regard… et mon esprit galope, le coeur dans le vent
Murmures dans un musée
Médusés par des muses emmurées
Les passants s’amusent
Des pièces énumérés
Catalogue de catafalques
Caquetage de guide catégorique
Coqueluche de touriste asiatique
Cliquetis photographiques
Silence, silence
En cette tombe
Délocalisée
Silence, silence
En cette tombe
muséifiée
en douceur beige,
poitrail gonflé, dents sorties,
fiers et amicaux
De si jolis chevaux
Que ceux d’ Andalousie
D’une danse harmonieuse
La légèreté d’un pas de deux
Je vous salue Maria et amichel, mes amis, compagnons d’ un jour ou deux de chevauchée. Avant de partir, un petit geste de la main, à Cristina, Neyde et Annick qui nous font signe.
Sur nos chevaux sautons
Et galopons
Sur ces dextriers d’éternité.
tu me fais sourire Pierre. Belle journée pour chacun sur son cheval ptit soi qui galope dans l’air, et monte dans les arbres, cabriole de vie, passe à travers les gouttes, chauffe sa douce crinière, galope petit cheval.
Fougueux passeurs de vent…
Au-delà des tombes et des prières,
Vos dos ont traversé les étoiles légères
Portant, comme trésors, les âmes de l’Orient.
Salut amical à tous et chacun 🙂
flocflocfloc
le bruit des sabots de la pluie
plocplocploc
le bruit des sabots de son cheval
croccroccroc
le bruit des bisous
des bisous de qui,
de où, pour qui,
pour quoi, vers qui,
de là de vers…
mocmocmoc
le bruit des bisous de lui pour moi
des bisous de lui
pour moi, à moi de lui,
de nous à eux,
pour lui et moi,
schlocschlocschloc
le bruit des doux vertiges émois
oOOcoOOcoOOOc
le bruit des palpitations des sabots des ailes
chtocchtocchtoc
le bruit des délices sabots de eux en un
Sur Elle
Toute fragile
Et fort menue
Il veille
Et sans se retourner
Elle sent son souffle chaud
Son crin apaisant et si tendre
Sa tête se baisse
Rassurée
Il est là
Celui qu’elle admire
Tellement
Au fond d’elle
Délicate elle détourne la tête
Elegant il se tient à distance
Unis d’un même souffle de vie
Que le fil d’or lie tendrement
Elle lui parle il répond à sa voix
Il l’appelle elle arrive galopant
>>>>>A tous :
Retour un peu chaotique d’ou mes commentaires à retardement mais je ne vous oublie pas ; je vous ai lus avec grand plaisir.
>Maria-D :
Tes haïkus sont splendides ; nimbés de lumière et de couleurs chaudes. Tu nous fais rêver en beauté. Merci.
>Maria, Pierre et amichel :
Vous nous avez offert de superbes voyages à cheval, des évasions en liberté. Merci beaucoup, je vous embrasse.
>Pam :
Difficile de ne pas te faire de clin d’œil quand j’évoque les chevaux. Tu les connais tellement bien. Etonnantes sculptures très stylisées et expressives pour l’époque qu’on mettait dans les tombeaux pour exprimer le passage de la vie à la mort. J’ai beaucoup aimé visiter ce musée très aéré qui nous emporte dans tes terres lointaines chargées d’histoire. Bises à toi et merci pour tes jolis poèmes.
>Neyde :
Je sais bien que tu es très proche des étoiles. Te souviens-tu de la maison bleue 😉 Merci beaucoup pour tes belles évocations qui invitent eu rêve. Je t’embrasse bien fort.
>Pierre (2) :
Coucou Pierre, je ne connais que la version récente du musée Guimet qui est vraiment très réussie. L’ancienne devait avoir ses charmes aussi;-) Tu as raison, le restaurant asiatique à l’intérieur du musée est une pause très agréable. Conclusion, la visite vaut le détour. Bises du week-end.
>bouldegom :
Magnifique poème, bouldegom ! J’aime beaucoup la première partie ponctuée d’images très belles et étonnantes. Toujours les mots justes, merci à toi.
>Bourrache :
Tu as raison, ces sculptures sont lumineuses de vie et de beauté. C’est émouvant de penser à cette longévité. Bises et merci.
>Candide :
Je crois comprendre que tu as découvert la nouvelle création de Pam 😉 Merci Candide, Pam sera touchée. Bises.
>Olivier :
Bonjour Olivier, ce musée t’aurait certainement plu vu les thèmes que tu évoques. Merci pour ton compliment. Bonne soirée, je t’embrasse.
>Annick :
Merci Annick pour tous ces poèmes pleins de gaieté et ton enthousiasme débordant 😉 Ca me touche vraiment. Je vois que la pluie fait son apparition dans tes derniers écrits 😉 Ploc ploc ! Bises du soir.
>Johal :
Bonjour Johal, merci d’apprécier ces sculptures. Ton premier poème a fait partie de mes hésitations. Je trouve ton écriture calligraphique. On dirait que tu dessines les formes du cheval avec les mots. Merci pour ces deux beaux partages. Je t’embrasse.
>Alix :
Ravie de lire ton texte sur le dressage des chevaux. Je vois que j’ai affaire à une connaisseuse 😉 Pourquoi le cheval est-il ton sacerdoce ? Merci également pour ton poème plein d’harmonie, je t’embrasse.
>bonbonze :
Bonbonze, j’adore les chevaux et me contente de les regarder évoluer dans un espace car j’en ai peur. Ce sont pour moi les plus beaux animaux. Ils me fascinent complètement. J’aimerais savoir mieux les photographier, les vivants bien sûr 😉 Bon week-end !
>Noisette :
Contente que cette note vous ait plu et qu’elle vous évoque de bons souvenirs. Bonne soirée à vous, je vous embrasse.
>Bruno :
Cette note inspire ta plume en beauté mythologique, Bruno. Tu ne regretteras pas cette halte orientale si tu viens à Paris. C’est un musée assez intimiste qui n’est pas envahi par la foule, tout au moins au printemps. Je t’embrasse, passe un bon week-end.
>Daniel :
Beau poème plein de générosité, Daniel ! J’aime beaucoup tes deux dernier vers. Merci pour ton passage, je t’embrasse.
>Fugitive :
Je suis sans voix en lisant ton poème, Fugitive 😉 Merci beaucoup pour ta belle imagination. Bises.
>Cristina M :
La maison est toujours ouverte, Cristina 😉 Merci de bien vouloir te promener si souvent ici. Bises vers l’Australie.
>Guess Who :
Le frère suit sa sœur 😉 Tu vas sans doute refaire le coup de la Tarantine 😉 Préviens-moi si c’est le cas 😉 C’est l’intérêt de ces échanges et de ces partages de regards différents. Tagada tagada, tagada ;-))
>Bernard :
Quel belle évocation de ces chevaux ponctuée de références ! Toujours de belles images dans tes poèmes. Je suis admirative, merci beaucoup ! Bonne soirée.
>jane :
Ton poème poudroie de paillettes dorées. L’Orient fait vraiment rêver. Merci jane, bises vers ta belle Corse.
>Pascal :
Voilà une autre approche originale de ce musée qui joue sur les sonorités de mots et les associations d’images 😉 Je te rassure tout de même, pas de caquetage ni de guide dans le musée 😉 Du vrai silence et des visiteurs respectueux de cette beauté. Bon week-end et merci !
>brigetoun :
Fiers sans aucun doute, Brigitte. Des sculptures très expressives. Merci à toi, je t’embrasse.
Ossiane
Ce blog pétille d’enthousiasme : que de bulles foisannantes dans tous ces bains de mots
Ton haîku ouvre des horizons vers des lointains d’où on ne revient point…. l’au-delà
Au-delà, ôtes-toi de là
Deci, delà
Galopent les chevaux d’argile
Ils sillonnent les empires
Fiers et altiers
Dans leur courbe élancée
Des princesses au pied serré
Geishas aux éventails chamarrés
Ils transportent au Pays du Levant
Mille correspondances les attendent
Le jaune safran, le rouge baiser
Le papyrus se froisse
Des océans tumutueux
Des gondoles de dentelle
De mélodieuse ritournelles
L’au-delà,
Deci, de là
S’évapore à petits pas
L’Orient et l’Occident
Fusionnent, quels élans
Nos chevaux ailés, fatigués
Par leur fougueuse traversée
Regagnent leur musée
Pour l’éternité
Ils l’ont bien méritée
>Claudie:
Tu nous offres une superbe plongée foisonnante dans l’histoire avec ces princesses et geishas. Merci de t’être immergée si pleinement dans mon haïku et de me faire percevir ta vision de l’au-delà.
Dans mon haïku, l’au-delà était une références à ces stauettes qu’on dépose dans les tombeaux funéraires pour symboliser le passage de la vie à la mort. Bel après-midi à toi et merci.
La mandarine
Je possède un gros ventre comme tous les mandarins
(C’est que je suis savante et quelque peu lettrée)
comme lui j’arrive de chine la patrie du panda
Et comme un sage assis je ressemble à bouddha
Alain
Merci pour tes textes, Alain,
qui gorgés de la craquote goutte de mandarine,
me font sourire.
belle journée.
Merci à vous Annick Monique Ossiane
Bizzzzzzzz
Alain
–
Alain : au gré de tes écrits, tu me balades joliment sur d’anciennes pages que je relis avec beaucoup d’émotion.
Que de belles écritures !!!
Est-ce cela que l’on nomme « nostalgie » ? …
Sourire aux anciens.
Aux nouveaux aussi.
–
je pensais dans ma tête, en seule, les mêmes mots que toi Bourrache,
car j ai beaucoup de plaisir à lire ou relire d’anciennes pages,
merci Alain de me guider vers elles!