Orient

Orient

Orient

Chevaux d'argile, voyage dans l'au-delà, correspondances

Lecture du Haïku Calligramme: gauche, bas, droite.

Chevaux d’argile
voyage dans l’au-delà
correspondances

Photos prises au musée Guimet à Paris. Pour en savoir plus

Une pensée toute particulière à Pam et à son amour pour les chevaux. Ne manquez pas d’aller découvrir son univers artistique sur son blog de sculpture.

Le bruit du galop, les crinières au vent, des chevauchées effrénées dans les airs, les rêves et dans les steppes. Je me suis laissée emporter par les belles évocations de Pierre (2), Maria-D et amichel.

Un cheval pour un paradis
Six je sors
Deux je te prends
Retour à la case départ
Deux chevaux en ligne
Chance double pour le ciel

Pierre (2) (son blog)

CABALLOS

Dans mes rêves los caballos
Sont des êtres de silence
Ils approchent de ma main
Dans une attente sans intention

Dans mes rêves le cheval bleu
A les yeux de l’humanité
Il est symbole de liberté
A tout jamais illimitée

Dans mes rêves j’oublie
Que l’homme et le cheval
Ont tous deux souffert
De servilité

Maria-D

Les chevaux du « loup bleu »
Galopent galopent
Avec la horde d’or
Les chevaux conquérants
Galopent galopent
Sous le talon de Tamerlan

Les chevaux aux sabots de fer
Galopent galopent
Avec les guerriers d’Attila
Les chevaux au mors rouge
Galopent galopent
Et l’herbe ne repousse pas

Les chevaux du Levant
Galopent galopent
Dans les steppes du temps
Les chevaux de vent
Galopent galopent
Dans les rêves d’orient

Les chevaux d’argile
Galopent galopent
Dans la nuit des tombeaux
Les chevaux d’or et de lumière
Galopent galopent
Dans l’éternité du silence

amichel

cheval

54 réflexions sur « Orient »

  1. La vie et la Mort
    Conscient et inconscient
    Peuple Hourrites

    Par l’eau et le feu
    Entrailles de la terre
    Abysses de la mer

    L’aube du monde
    Caresse les chevaux d’or
    Cendre de soleil

    Splendide Ossiane, quel beau retour !!!
    Belle nuit à toi lumineuse comme la poudre de soleil de ton calligramme

  2. Ossiane, cette note est superbe, elle me plait beaucoup.

    Le musée Guimet est magnifique et les chevaux chinois qui ont traversé le temps et l’espace me touchent particulièrement.

    J’aime beaucoup tes photos et ton calligramme d’ocre, quant à ton haiku, il est grave…et profond.

    Merci pour ta pensée et le lien.

    Je t’embrasse fort.

    Sourire.

  3. Les chevaux du « loup bleu »
    Galopent galopent
    Avec la horde d’or
    Les chevaux conquérants
    Galopent galopent
    Sous le talon de Tamerlan

    Les chevaux aux sabots de fer
    Galopent galopent
    Avec les guerriers d’Attila
    Les chevaux au mors rouge
    Galopent galopent
    Et l’herbe ne repousse pas

    Les chevaux du Levant
    Galopent galopent
    Dans les steppes du temps
    Les chevaux de vent
    Galopent galopent
    Dans les rêves d’orient

    Les chevaux d’argile
    Galopent galopent
    Dans la nuit des tombeaux
    Les chevaux d’or et de lumière
    Galopent galopent
    Dans l’éternité du silence

  4. Un cheval, deux chevaux
    d’argile en voyage
    Ils vient d’arriver
    Quel est leur âge?

    Un cheval, deux chevaux
    Déposés au salon
    D’oú sont ils venus
    De la Chine ou du Japon?

    Un cheval, deux chevaux
    Galopez sans cesse
    Emportez les rêves
    Les poètes en liesse

  5. au triple galop

    où vont-ils se nicher
    les chevaux de mes rêves

    au fond des sables doux
    dessinés par l’enfant

    dans la cambrure princière
    du fragile hyppocampe

    à la courbure du cou
    à la nuque gracile

    en haut des piédestals
    pour questionner le monde

    au pic des montagnes
    imitant les chamois

    dans l’empreinte du sceau
    venu des millénaires

    au fond d’une passion
    du collectionneur patient

    sous la main du potier
    animant la fontaine

    au beau milieu des plumes
    des indiens iroquois

    au coeur d’un éventail
    qui frôle le mystère

    au jabot de l’oiseau
    au cou de la girafe

    dans les rires étonnés
    des nouveaux-nés du jour

    au fil des écritures
    scandant le chant du souffle

    dans la ponctuation
    marquée par les sabots

    dans les crêtes de coq
    des punks de nos rues

    dans les moteurs des villes
    qui ruent dans les brancards

    dans le train qui m’emporte
    à l’orient comme à l’ouest

    bouldegom
    11.07.07

  6. Transmission

    Elle s’arrêta devant le cheval à la fière allure,
    campé sur des jambes solides
    puis elle pensa à Crumble,
    à son effort balbutiant pour se mettre debout.

    Avec ce départ c’était difficile pour elle en ce moment.

    Quelques mots de Pam lui revinrent en tête:
    « C’est comme s’il y avait deux moi, celle qui sait exactement où elle va et celle qui n’en a aucune idée… »
    Oh la la!
    des « moi » il y en avait bien plus de deux en elle!

    Et elle sourit, à Crumble et sa naissance,
    à ce fier cheval qui relevait la tête…
    à l’inconnu de ce qui allait se passer

  7. Coucou Ossiane,
    Merci pour Pam, elle est tout simplement magnifique !

    Mon rêve,

    L’Inde, le Japon,
    Ombrelle, sari, kimono,
    Regards bridés au sourire beau,
    Incarnation, hindouisme, zen, philosophons,
    Eternels Samüraïs, Brahmanes et fakirs,
    Nature, cultures, traditions,
    Tout pour être une âme saine en devenir.

    Mes pensées à mes amis qui sont présents chez toi.
    Je t’embrasse Ossianne,
    Olivier
    La photo de la note précédente est d’une immense beauté !

  8. Il l’avait dorée à l’or fin
    En accompagnant son chemin
    Et grâcieuse elle baissait la tête
    Il la saluait ainsi faite
    Tendrement grandement émus
    Par leurs délices mis à nu
    Et tant de belle délicatesse
    Que leur âmes toute allégresse

    je trouve fort émouvant ces deux statues d’argile,
    et fort beau ton haiku fort délicat, Ossiane, je te souhaite une bonne journée. Bises.

  9. Bonjour Ossiane,
    Merci de nous faire partager tes grains de beauté du monde. Superbe !

    Courbes aériennes,
    Le voyage est sur votre peau,
    Temps et espace, en mélange.
    L’œil devient centaure et se fond
    Aux soleils que vos croupes dessinent ;
    Le levant est aux portes des âmes…
    Il suffit de vous toucher du regard
    Pour que l’Art s’éveille
    Et nous abreuve de ses lumières
    D’Orient.

    Bonne journée à tous 🙂

  10. Au petit matin , en bordure d’une allée accrochée au Domaine de Terrefort , il n’est pas rare de rencontrer un écuyer , occupé au travail du seul cheval lusitanien de la cavalerie de prestige du Cadre Noir..Ce jour là il travaille au dressage « des longues rênes »: une technique qui consiste à marcher sur le côté du cheval, en passant les rênes d’une main à l’autre , tandis que le cheval reste aux trois allures!
    La règle consiste à maintenir le cheval en permanence vers l’avant,et obtenir ainsi le rassembler et la légèreté…
    Ce travail très technique est un excellent moyen de préparation , puissant, utilisé par de nombreux cavaliers, notamment dans la préparation au saut d »obstacles, à l’attelage ..

    Le cheval est aussi mon sacerdoce ..alors quel ne fut pas mon plaisir de découvrir ces photos…ce matin !

  11. Résultat des courses sur l’oeil ouvert:
    premier l’as: tête cassé
    second le 2: Gros cul
    Qui rapporte dans l’ordre et pour 5 euros, 3 euros 50…
    Ossiane, si le PMU te prend à faire des paris clandestins… Gare à toi !!

  12. CABALLOS

    Dans mes rêves los caballos
    Sont des êtres de silence
    Ils approchent de ma main
    Dans une attente sans intention

    Dans mes rêves le cheval bleu
    A les yeux de l’humanité
    Il est symbole de liberté
    A tout jamais illimitée

    Dans mes rêves j’oublie
    Que l’homme et le cheval
    Ont tous deux souffert
    De servilité


    Belle journée à vous tous

  13. C’ est bien le matin un tel tableau un plaisir a conserver pour la journée.
    Ce qui est bien avec les chevaux c’ est la proximité, en plus ils sont beaux
    Les gros boulonnais et le fier alesan. La beauté, la grâce et le sens de la musique. Un gros chagrin se consolle dans sa criniére comme s’ il te comprenait.
    Encore un souvenir le charme  » de dame  » évocation de J.R. Caussimon
    « un brave cheval en liberté dans un pré,
    en liberté Enfin c’ est l’histoire d’un cheval et de sa relative liberté, et de l’inquiétude de son maitre face au changement ou il n’ y aura plus de place pour les chevaux Etc………..Noisette.

  14. En mythologie d’ Orient, sculpte chevaux d’or et d’argent dans un concept d’une aurore où l’imaginaire en tempête des tourments soulève en culte des chimères et des symboles la créativité de notre for intérieur.

    je n’ai jamais été à ce musée, j’en prends bonne note pour mon prochain voyage à Paris

    je t’embrasse Ossiane ,

    ps: un petit coucou à PAM au passage.

  15. Sculpteurs de beauté,
    Jardiniers d’Arcadie,
    Par la grâce visités
    Tel un don de vie.
    Au-delà du temps,
    Au-delà des âges,
    De l’argile créant
    L’amour en partage.

    Des milliers de coeurs
    Un seul souffle.

  16. 07.07.11
    ClinDOeil

    à l’ouest comme à l’orient
    que m’importe l’écrin

    dans les villes aux moteurs
    se muent les citadins

    comme un coq à la crête
    émue par du punk-funk

    hors des ponctuations
    zébrées par les rabots

    l’écriture sur un fil
    essoufflant l’échafaud

    dans l’étonnement des pleurs
    nouvelle lune mort-née

    haut-le-coeur de girafe
    haut-de-forme d’oiseau

    les doigts en éventail
    que caressent les vents chauds

    et déplument les crânes
    enfoncés jusqu’aux manches

    aux paumés de la piété
    s’épanchant le dimanche

    la passion du tréfonds
    d’un passant dézingué

    resté à peine hier
    au saut laissé sans trace

    raillant l’émoi du chat
    du fond de ses crevasses

    dans un silence immonde
    haussant froid et risée

    aux coups courbes glacés
    qu’oscillent les eunuques

    sans révérence frigide
    l’hypothalamus encore vif

    à la rugueuse surface
    d’un vieux tout vérolé

    ils vont entre mes cils
    mes rêves sans cheveux

    garrot de mes tripes

  17. Deux chevaux pour un tiercé
    C’est un peu court
    Trois gagnants
    Pour un doublé
    Partie gagnée

    Coucou Ossiane. Et heureux de partager le Grand prix avec Maria et amichel. J’ai connu l’ancien et le nouveau Musée Guimet. Le jour et la nuit. C’était une caverne d’Ali Baba et, les jours de pluie, on avait un peu peur dans certaines salles aux parquets grinçants. Aujourd’hui, c’est la lumière sur un grand pan d’Orient. Et le restaurant permet de poursuivreagréablement le dépaysement…

  18. Bonsoir Ossiane,
    Beau retour,
    Je suis venue tard,,
    Mais, je ne peut
    M’endormir
    Sans me promener
    Dans ce beau jardin,
    Où déjà de belles
    Poèsies ont été déposées
    Une pensée pour Pam,
    Pour Pierre (2), Maira-D, Amichel,
    Et pour chacun de vous,
    Qui laissez ici
    Tant de paix.

  19. Généralités dans ma tête sur le cheval:
    La jeune fille attend le prince enchanté qui vient sur … un cheval blanc.
    Le joueur à la course attend que … son cheval arrive au prèmier.
    La morte nous vient chercher sur … un cheval noir.
    Nous attendons les quatre chevaliers de l’Apocalypse que viendront sur … des chevaux.
    Nous demandons aux enfants pour nous amuser :
    De quelle couleur est le cheval blanc de Napoléon?
    Et Maria-D n’oublie jamais … son beau cheval bleu.
    Et … un cheval, prisionnier dans le ciel, nous regarde presque tous les jours avec son carré lumineux d’étoiles lapidées en diamants
    Ah! la belle Sirrah entre Pegasus et Andromeda , entre les deux son coeur balance!
    Sirrah m’a dit cela pendant la nuit, tu sais Ossiane je parle avec les étoiles et je les entend aussi.

  20. Pierre (2), Maria-D et amichel.
    Bravo à vous pour les belles évocations
    qui nous emportent aux rêves.
    J’embrasse les trois.

  21. Un magnifique musée … tiens, je vais y retourner l’un de ces jours car je ne me souviens pas de la statuette que tu as mis en ligne … refaire le coup de la Tarantine …

    Tagada tagada
    Ma croupe dorée
    brille de mille feux

    Haîku digne de Confucius …

  22. Merci Ossiane je t’embrasse pour cette attention, tu me gâtes vraiment de me mettre entre ces deux belles personnes que j’embrasse…

    Merci amie Neyde je te bise vers le Brésil, ton texte je l’aime beaucoup surtout :
    « Galopez sans cesse
    Emportez les rêves
    Les poètes en liesse »

    Bises à toi Cristina vers l’Australie

    Belle soirée à vous tous

  23. ils sont beaux
    ils sont prêts
    ils sont un
    ils sont deux
    ils sont son
    ils sont mots
    ils sont doux
    ils sont eux
    ils sont d’or
    ils sont là
    ils sont

  24. Le jour ils sont posés
    Sur leur tapis volant
    Aux mille lumières
    Et dès le soir
    Quand la lune se fait belle
    Lorsque le dernier visiteur
    Quitte le lieu
    Il leur pousse des ailes
    Et leurs crinères galopent
    Et leurs sabots s’envolent
    Il la suit, elle le suit
    Sur leur chemin en herbes
    Et ils gagnent joyeux
    Le pré des interdits
    Car le fourrage rare, bon, généreux
    Plein d’amour de paille si folle
    Que le roulis en foin les mène loin

  25. Tu as gardé
    artiste au limon d’ambre
    l’or de la terre
    à la forme brûlée
    pétrie d’argile en flammes
    volutes
    en mains de glaise

    La mort se cambre
    la mort est née d’un rêve fauve

    Tu as dressé
    crinières de Tarpan
    farouche hennissement
    au poitrail
    chung wan
    ou « le canal médian »
    Et tu portes
    chi tung
    « le maître de l’esprit »

    En nos nuits constellées
    caracolent
    Pégase et le petit cheval
    Le poète l’enfourche
    à la source Hippocrène
    s’abreuve de soleil

  26. Je suis si contente de vous applaudir encore avec mes tites mains, Ossiane, Pam, Pierre, Maria et Amichel,
    et chacun qui me ravit encore…………
    ahhhhhhhhh, quelle beauté ce blog!

    Quelle beauté
    En vos vous
    Chevauchant
    Les contrées
    Des replis
    De mon coeur
    Qui palpite
    Et s’arrête
    Pour redémarrer
    Plus vivant encore
    Cheveaux au vent
    La croupe estivale
    De belle allure
    D’amazone novice
    Ah ce coquin de coeur

  27. est ce à dire de cheveaux? chevaux? cheveux?
    Je souhaitais écrire dire cheveux, mais souvent très souvent, mes doigts partent au galop des touches et leurs sabots claquent les lettres et parfois dérapent et se tombent et parfois se chevauchent s emmèlent, ahhhhhh mes doigts mènent parfois un petit combat de sabots sur l’écran des touches de vie. BISES!

  28. Aux couleurs d’orient
    Terre ocre et friable
    Chevaux du levant

    Art funéraire
    Mort entre terre et ciel
    Vie éternelle

  29. Murmures dans un musée
    Médusés par des muses emmurées
    Les passants s’amusent
    Des pièces énumérés

    Catalogue de catafalques
    Caquetage de guide catégorique
    Coqueluche de touriste asiatique
    Cliquetis photographiques

    Silence, silence
    En cette tombe
    Délocalisée

    Silence, silence
    En cette tombe
    muséifiée

  30. De si jolis chevaux
    Que ceux d’ Andalousie
    D’une danse harmonieuse
    La légèreté d’un pas de deux

  31. Je vous salue Maria et amichel, mes amis, compagnons d’ un jour ou deux de chevauchée. Avant de partir, un petit geste de la main, à Cristina, Neyde et Annick qui nous font signe.

    Sur nos chevaux sautons
    Et galopons
    Sur ces dextriers d’éternité.

  32. tu me fais sourire Pierre. Belle journée pour chacun sur son cheval ptit soi qui galope dans l’air, et monte dans les arbres, cabriole de vie, passe à travers les gouttes, chauffe sa douce crinière, galope petit cheval.

  33. Fougueux passeurs de vent…
    Au-delà des tombes et des prières,
    Vos dos ont traversé les étoiles légères
    Portant, comme trésors, les âmes de l’Orient.

    Salut amical à tous et chacun 🙂

  34. flocflocfloc
    le bruit des sabots de la pluie

    plocplocploc
    le bruit des sabots de son cheval

    croccroccroc
    le bruit des bisous

    des bisous de qui,
    de où, pour qui,
    pour quoi, vers qui,
    de là de vers…

    mocmocmoc
    le bruit des bisous de lui pour moi

    des bisous de lui
    pour moi, à moi de lui,
    de nous à eux,
    pour lui et moi,

    schlocschlocschloc
    le bruit des doux vertiges émois

    oOOcoOOcoOOOc
    le bruit des palpitations des sabots des ailes

    chtocchtocchtoc
    le bruit des délices sabots de eux en un

  35. Sur Elle
    Toute fragile
    Et fort menue
    Il veille
    Et sans se retourner
    Elle sent son souffle chaud
    Son crin apaisant et si tendre
    Sa tête se baisse
    Rassurée
    Il est là
    Celui qu’elle admire
    Tellement
    Au fond d’elle

  36. Délicate elle détourne la tête
    Elegant il se tient à distance
    Unis d’un même souffle de vie
    Que le fil d’or lie tendrement
    Elle lui parle il répond à sa voix
    Il l’appelle elle arrive galopant

  37. >>>>>A tous :
    Retour un peu chaotique d’ou mes commentaires à retardement mais je ne vous oublie pas ; je vous ai lus avec grand plaisir.

    >Maria-D :
    Tes haïkus sont splendides ; nimbés de lumière et de couleurs chaudes. Tu nous fais rêver en beauté. Merci.

    >Maria, Pierre et amichel :
    Vous nous avez offert de superbes voyages à cheval, des évasions en liberté. Merci beaucoup, je vous embrasse.

    >Pam :
    Difficile de ne pas te faire de clin d’œil quand j’évoque les chevaux. Tu les connais tellement bien. Etonnantes sculptures très stylisées et expressives pour l’époque qu’on mettait dans les tombeaux pour exprimer le passage de la vie à la mort. J’ai beaucoup aimé visiter ce musée très aéré qui nous emporte dans tes terres lointaines chargées d’histoire. Bises à toi et merci pour tes jolis poèmes.

    >Neyde :
    Je sais bien que tu es très proche des étoiles. Te souviens-tu de la maison bleue 😉 Merci beaucoup pour tes belles évocations qui invitent eu rêve. Je t’embrasse bien fort.

    >Pierre (2) :
    Coucou Pierre, je ne connais que la version récente du musée Guimet qui est vraiment très réussie. L’ancienne devait avoir ses charmes aussi;-) Tu as raison, le restaurant asiatique à l’intérieur du musée est une pause très agréable. Conclusion, la visite vaut le détour. Bises du week-end.

    >bouldegom :
    Magnifique poème, bouldegom ! J’aime beaucoup la première partie ponctuée d’images très belles et étonnantes. Toujours les mots justes, merci à toi.

    >Bourrache :
    Tu as raison, ces sculptures sont lumineuses de vie et de beauté. C’est émouvant de penser à cette longévité. Bises et merci.

    >Candide :
    Je crois comprendre que tu as découvert la nouvelle création de Pam 😉 Merci Candide, Pam sera touchée. Bises.

    >Olivier :
    Bonjour Olivier, ce musée t’aurait certainement plu vu les thèmes que tu évoques. Merci pour ton compliment. Bonne soirée, je t’embrasse.

    >Annick :
    Merci Annick pour tous ces poèmes pleins de gaieté et ton enthousiasme débordant 😉 Ca me touche vraiment. Je vois que la pluie fait son apparition dans tes derniers écrits 😉 Ploc ploc ! Bises du soir.

    >Johal :
    Bonjour Johal, merci d’apprécier ces sculptures. Ton premier poème a fait partie de mes hésitations. Je trouve ton écriture calligraphique. On dirait que tu dessines les formes du cheval avec les mots. Merci pour ces deux beaux partages. Je t’embrasse.

    >Alix :
    Ravie de lire ton texte sur le dressage des chevaux. Je vois que j’ai affaire à une connaisseuse 😉 Pourquoi le cheval est-il ton sacerdoce ? Merci également pour ton poème plein d’harmonie, je t’embrasse.

    >bonbonze :
    Bonbonze, j’adore les chevaux et me contente de les regarder évoluer dans un espace car j’en ai peur. Ce sont pour moi les plus beaux animaux. Ils me fascinent complètement. J’aimerais savoir mieux les photographier, les vivants bien sûr 😉 Bon week-end !

    >Noisette :
    Contente que cette note vous ait plu et qu’elle vous évoque de bons souvenirs. Bonne soirée à vous, je vous embrasse.

    >Bruno :
    Cette note inspire ta plume en beauté mythologique, Bruno. Tu ne regretteras pas cette halte orientale si tu viens à Paris. C’est un musée assez intimiste qui n’est pas envahi par la foule, tout au moins au printemps. Je t’embrasse, passe un bon week-end.

    >Daniel :
    Beau poème plein de générosité, Daniel ! J’aime beaucoup tes deux dernier vers. Merci pour ton passage, je t’embrasse.

    >Fugitive :
    Je suis sans voix en lisant ton poème, Fugitive 😉 Merci beaucoup pour ta belle imagination. Bises.

    >Cristina M :
    La maison est toujours ouverte, Cristina 😉 Merci de bien vouloir te promener si souvent ici. Bises vers l’Australie.

    >Guess Who :
    Le frère suit sa sœur 😉 Tu vas sans doute refaire le coup de la Tarantine 😉 Préviens-moi si c’est le cas 😉 C’est l’intérêt de ces échanges et de ces partages de regards différents. Tagada tagada, tagada ;-))

    >Bernard :
    Quel belle évocation de ces chevaux ponctuée de références ! Toujours de belles images dans tes poèmes. Je suis admirative, merci beaucoup ! Bonne soirée.

    >jane :
    Ton poème poudroie de paillettes dorées. L’Orient fait vraiment rêver. Merci jane, bises vers ta belle Corse.

    >Pascal :
    Voilà une autre approche originale de ce musée qui joue sur les sonorités de mots et les associations d’images 😉 Je te rassure tout de même, pas de caquetage ni de guide dans le musée 😉 Du vrai silence et des visiteurs respectueux de cette beauté. Bon week-end et merci !

    >brigetoun :
    Fiers sans aucun doute, Brigitte. Des sculptures très expressives. Merci à toi, je t’embrasse.

  38. Ossiane

    Ce blog pétille d’enthousiasme : que de bulles foisannantes dans tous ces bains de mots

    Ton haîku ouvre des horizons vers des lointains d’où on ne revient point…. l’au-delà

    Au-delà, ôtes-toi de là
    Deci, delà
    Galopent les chevaux d’argile
    Ils sillonnent les empires
    Fiers et altiers
    Dans leur courbe élancée
    Des princesses au pied serré
    Geishas aux éventails chamarrés
    Ils transportent au Pays du Levant
    Mille correspondances les attendent
    Le jaune safran, le rouge baiser
    Le papyrus se froisse
    Des océans tumutueux
    Des gondoles de dentelle
    De mélodieuse ritournelles
    L’au-delà,
    Deci, de là
    S’évapore à petits pas
    L’Orient et l’Occident
    Fusionnent, quels élans
    Nos chevaux ailés, fatigués
    Par leur fougueuse traversée
    Regagnent leur musée
    Pour l’éternité
    Ils l’ont bien méritée

  39. >Claudie:
    Tu nous offres une superbe plongée foisonnante dans l’histoire avec ces princesses et geishas. Merci de t’être immergée si pleinement dans mon haïku et de me faire percevir ta vision de l’au-delà.
    Dans mon haïku, l’au-delà était une références à ces stauettes qu’on dépose dans les tombeaux funéraires pour symboliser le passage de la vie à la mort. Bel après-midi à toi et merci.

  40. La mandarine

    Je possède un gros ventre comme tous les mandarins
    (C’est que je suis savante et quelque peu lettrée)
    comme lui j’arrive de chine la patrie du panda
    Et comme un sage assis je ressemble à bouddha

    Alain


  41. Alain : au gré de tes écrits, tu me balades joliment sur d’anciennes pages que je relis avec beaucoup d’émotion.

    Que de belles écritures !!!

    Est-ce cela que l’on nomme « nostalgie » ? …

    Sourire aux anciens.
    Aux nouveaux aussi.

  42. je pensais dans ma tête, en seule, les mêmes mots que toi Bourrache,
    car j ai beaucoup de plaisir à lire ou relire d’anciennes pages,
    merci Alain de me guider vers elles!

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *