Cèdre

Cèdre du Liban

Colosse sacré, chevelure à bout de bras, ton cri de puissance

Lecture du Haïku Calligramme: de bas en haut.

Colosse sacré
Chevelure à bout de bras
Ton cri de puissance

Envie de mettre en lumière le beau poème de Yo-Cox, rempli à la fois de sagesse, d’espoir et d’ouverture aux autres.

Cèdre-ancêtre

Je suis le cèdre-ancêtre du jardin
Mes branches sont basses et fortes
Vos enfants d’homme j’y porte
Car mes racines se nourrissent de cette terre de demain

Je regarde le monde d’un regard sans âge
Malgré mes blessures j’aime la VIE !
Ma forme accueillante, mes branches sages
Favorisent la proximité, la simplicité d’ici

Je vous écoute, murmures amoureux, confidences
Chagrins, espoirs, paroles silencieuses,
De votre vie, humains, je partage les jeux d’enfance
Et les chemins d’adultes d’avancée sinueuse

Je vous aime et suis conscient de votre confiance !
De vos blessures je tente d’amoindrir les stigmates ici bas
Pour vos victoires je goûte un peu d’exubérance…
Et mon parfum antique vous enveloppe, paternel, comme des bras…

Yo-cox (son blog)

Photo prise dans les jardins de la Villa Olmo à Côme.

54 réflexions sur « Cèdre »

  1. Monsieur, le Cèdre
    Mon vieux
    Tu as l’air trop sérieux
    Pourtant je sais
    Je devinais
    Que ton coeur
    Sans peur
    Est valeureux
    Est généreux
    Puisque toi,
    Je vois
    Tu as
    Des grands bras
    Pour m’accueillir
    Pour m’endormir
    Monsieur le Cèdre

  2. Cèdre millénaire
    A la force tranquille
    Venu des temps anciens
    Et du pays des neiges
    Ou brûlé de soleil
    Arbre sacré
    Dont le roi d’Uruk
    Gilgamesh
    Au tout commencement de l’homme
    Voulu à jamais
    Détruire le symbole
    De fertilité et d’amour
    Et pour cela
    Fut par les dieux condamné
    A errer de par le vaste monde
    C’est la légende
    Que conte le vent
    les jours d’orage
    passant
    Dans ta chevelure odorante

  3. Toi, le sage des forêts
    Silencieux devant l’humain
    Force et beauté tu émanes.

    Tu camouffles ta ramure
    Orné d’une chevelure
    Aux senteurs apaisantes

    Confie nous tes secrets.

  4. pas trop le temps de papoter au salon,
    ( boulot, boulot) mais je suis là tous les soirs les amis, je ne suis jamais trés loin!!!! et vous êtes ma dernière page de lecture avant d’aller coucouche panier, papattes en ronds!!!!
    bonne journée

  5. Avant de se pencher sur la question (comme François m’y invite), ceci pour Ossiane:

    Bras de colosse
    Un torse à l’avenant
    Calme olympien

  6. Port déployé
    Tronc court
    Branches horizontales aussi massives que le tronc :
    Cèdre du Liban
    (Introduit dès 1623 en Angleterre: les plus vieux exemplaires ont entre 250 et 250 ans, plantés aux alentours de 1800 dans les parcs d’ornement)

    Un bois odorant
    Arche d’alliance
    Emblème du Liban

  7. mmhh..
    à l ombre de toi
    mon cèdre
    je me ressource
    et me fait caliner
    mon cèdre à moi
    tu me raffraichis
    et m’appaises
    il est bon
    mon ciel
    sous toi
    de moi
    mmhh..

  8. et je glisse vos poèmes et je savoure… de biens jolis écrits encore sur cette page..merci à vous.
    fanou, moi aussi, avant de faire coucouche panier le soir, je viens me ressourcer dans de si jolis textes, qui m’écarquillent les yeux, dorlottent mon petit coeur, envolent mon âme, me font du bien, beaucoup de bien.. merci à chacun, car j’aime chaque style si personnel et si intime et si précieux. MercI.

    je t’embrasse et te souhaite un bon après midi, Ossiane. Bises à chacun.

  9. D’humbles solitudes
    L’écorce des immobiles
    Réunit les rêves

    Merci, Ossiane, de ta présence attentive, de ta gentillesse et de ta curiosité partageuse ! Je t’embrasse…

  10. Au détour de ma curiosité, puis-je vous offrir ce poème de Nadia Tuéni :
    «
    Cèdres
    Je vous salue
    vous qui êtres,
    dans la simplicité d’une racine,
    avec la nuit pour chien de garde.
    Vos bruits ont la splendeur des mots,
    et la fierté des cataclysmes.
    Je vous connais,
    vous qui êtes,
    hospitaliers comme mémoire;
    vous portez le deuil des vivants,
    car l’envers du temps, c’est le temps.
    Je vous épelle.
    vous qui êtes,
    aussi uniques que le Cantique.
    Un grand froid vous habille,
    et le ciel à portée de branche.
    Je vous défie,
    vous qui hurlez sur la montagne
    usant les syllabes jusqu’au sang.
    Aujourd’hui c’est demain d’hier,
    sur vos corps un astre couchant.
    Je vous aime,
    vous qui partez avec pour bannière le vent.
    Je vous aime comme on respire,
    vous êtes le premier Poème. »

    et ce petit texte, petit par la longueur mais immense comme un cèdre! Pour la poésie que vous aimez toutes et tous:

    « Entrer en poésie, c’est évoquer. Le langage ne nomme plus. Les mots deviennent des signes qu’il s’agit d’utiliser, pour recréer un monde de sentiments, d’impressions et de visions réfractaires au parler usuel. Faire de la poésie c’est à chaque fois recréer le langage, revêtir constamment d’une éternelle jeunesse l’univers qui nous entoure et dont nous sommes partie. Faire de la poésie c’est se libérer de toute contrainte. Le bouillon poétique est liberté, dans la mesure où la grande poésie, celle qui atteint l’universel, est un continuel dépassement  »

    Et peut-être trouverai-je aussi plus tard mes mots pour dire une tapisserie magnifique…

  11. Si je voulais, dire tes couleurs

    Si je voulais, marcher le long de tes mots

    Si de l’arbre poème
    J’osai regarder la cime

    Mais si dans mon être j’écoute
    Le vent dérisoire qui t’assiège

    Si tu me fais de ton corps le plus grand des tourments

    Sens-tu qu’alors mon coeur explose

    Sous la voûte de ta nuit bleue
    Et du parfum des anges

    Je t’embrasse
    A la terre
    Humblement

  12. Chant d’amour
    A bras velours
    Chaque jour

    Beaucoup de bonheur à lire tous ces poèmes, Bernard..

  13. Cèdre-ancètre

    Je suis le cèdre-ancètre du jardin
    Mes branches sont basses et fortes
    Vos enfants d’homme j’y porte
    Car mes racines se nourrissent de cette terre de demain

    Je regarde le monde d’un regard sans âge
    Malgré mes blessures j’aime la VIE !
    Ma forme accueillante, mes branches sages
    Favorisent la proximité, la simplicité d’ici

    Je vous écoute, murmures amoureux, confidences
    Chagrins, espoirs, paroles silencieuses,
    De votre vie, humains, je partage les jeux d’enfance
    Et les chemins d’adultes d’avancée sinueuse

    Je vous aime et suis conscient de votre confiance !
    De vos blessures je tente d’amoindrir les stigmates ici bas
    Pour vos victoires je goûte un peu d’exubérance…
    Et mon parfum antique vous enveloppe, paternel, comme des bras…

    Bises du soir…
    Yo-cox
    http://photo-passion.blogspot.com/

  14. Bonsoir,

    C’est assez étonnant comme cette photo me rappelle aussi le tronc d’un arbre, qui m’avait marqué; avec toute cette puissance vers le haut, simulant un ‘V’ comme un cri de victoire, de vie…
    Dommage, à ce moment je n’avais pas d’appareil photo !
    Bises

  15. Cèdre immémorial à la force tranquille
    Tu te déploies et t’ouvres
    comme une large main grande ouverte
    Offrande de terre donnée au vent et au ciel

  16. quand j ai lu ton poème Yo Cox,
    j ai eu envie d’écrire
    yaouhhhhhhhhhhhhhhhhhh!
    je suis contente de le voir dessous la photo…bises à toi!
    bonne nuit, Ossiane.

  17. Yo-cox
    J’aime bien ton poème.
    C’est vraiement superbe.
    On sent l’esprit du cèdre.
    Bravo.
    Je t’embrasse fort.

  18. -> Ossiane
    Je suis heureuse de l’honneur que tu me fais!
    C’est assez étrange de trouver mes mots sous ton travail !
    Tes images racontent tant de choses!
    C’est sans doute toi qui m’a poussé le plus à écrire mes ressentis qui découlent des photos..alors je te dis MERCI pour cette aventure d’écriture …

    ->Merci à Neyde et Annick: je suis vraiment touchée! Ossiane sais faire venir une foule de sentiments et de mots avec ses images vivantes….Tout cela me parle!

    Bon week-end à toi, et à vous qui passez…
    Yo-cox

  19. coucou Yo Cox, j ‘apprécie ce que tu viens d’écrire…

    je souhaite unbon week pour chacun qui passe dans ce merveilleux lieu si paisible..

    Mon bon cèdre
    Je te serre
    Mes petits bras
    Je t’enlace
    Mes baisers
    Je t’embrasse

  20. Tout en disant
    comme j’aime
    me promener dans
    «ce merveilleux lieu si paisible»
    comme le dit si bien Annick
    et sous ce cédre
    je viens de lire toutes ces belles poésies.

    Em me joignant à Annick, je vous souhaite aussi à tous un bon-week-end

  21. mmmhhmmmh..
    tu es une grande aventure de vie, Ossiane, car tu es une Grande Photographe Poète en photos et en mots…
    et tu laisses tant de place pour nous reposer, nous désaltérer, composer vivre vivants…je t’embrasse en ce bel samedi de printemps.
    merci à tout cet échange Grand qui se vit chez Ossiane, et que j’apprécie infiniment, je me répète, mais tant pis.. c’est bon de saoûler dire qu’on aime!

  22. .
    >>>> Pardonnez mes réactions tardives; d’autres occupations m’appellent ailleurs en ce moment. Je ne vous oublie pas pour autant et je suis toujours ravie de vous lire.
    .

    >Neyde :
    Tu as même l’art d’amadouer les arbres 😉 Merci pour ton beau poème.

    >amichel :
    Heureusement qu tu es là pour retracer l’itinéraire symbolique de ce très bel arbre. Belle légende qui lui donne encore plus de force. Merci à toi.

    >fanou :
    Joli poème en hommage au cèdre qui nous offre déjà sa crinière et ses senteurs. Quoi d’autre peut-il nous apprendre…
    Touchée de ta précieuse fidélité. Ne sois pas si timide 😉 Bises et merci.

    >Pierre (2) :
    Merci pour tes deux beaux haïkus qui respirent la puissance mais aussi l’harmonie.
    Gagné, c’est un cèdre du Liban ! J’ai vérifié quand j’ai pris la photo. J’ai du mal à imaginer son âge. Beau week-end à toi.

    >bouldegom :
    Belle dérivation poétique. Le cèdre serait content de t’entendre.

    >Nath :
    Oui Nath, on retrouve parfois dans les écorces des arbres des formes qui nous ressemblent quelque part. On aime aussi trouver des signes de reconnaissance dans la nature . C’est peut-être notre manière de bien nous ancrer dans la vie qui nous est offerte. Merci pour ta réflexion. Bises.

    >Corinne :
    Bonjour Corinne, contente de ton retour. Magnifique image cette paume ouverte ! Merci pour ce beau poème.

    >brigetoun :
    Amusant ton haïku. Ce n’est pas interdit de lui soulever les cheveux 😉 Merci Brigitte.

    >feu roméo :
    Je n’ai pas pensé au cri de Munch mais à un cri de fierté. Bien vu ; c’est quasiment la même forme ovale. Bises.

    >Annick :
    Touchée par ta présence sans faille et la chaleur de tes mots. Pourquoi irais-je fermer et réglementer cet espace vivant ? Dis-moi… Il se régule tout seul grâce à vous et au respect que vous vous portez. Bon week-end au creux de ton cèdre et merci pour tes gentilles pensées.

    >Fugitive :
    Magnifique haïku plein de noblesse ! J’aime ta façon abstraite d’imager les choses. Tout le plaisir est pour moi pour ce que tu me dis. Merci de ta présence sur le blog. Bises du week-end.

    >Bernard :
    Une grande générosité de ta part de nous faire partager ce superbe poème et ces pensées profondes sur la poésie. Je ne connaissais pas ce poète. Est-ce toi qui as écrit le texte sur la poésie ? Tes commentaires sont précieux car ils nous interpellent à l’intérieur et je t’en remercie. Sans parler de ton poème qui une nouvelle fois nous transporte très haut. Merci pour ta belle plume et bon week-end.

    >Yo-cox :
    Très heureuse d’avoir enfin pu mettre ton poème en avant 😉 Je me souviens que j’avais émis l’hypothèse de faire ces petites mises en lumière l’été dernier et que tu avais été intéressée. Je trouve que tu prends ton envol car ça vient davantage de l’intérieur de toi. Quant à mes photos, je ne sais que dire. Je ne présente que celles qui me parlent ou m’évoquent une certaine idée de beauté dans le sens large. Je t’embrasse.

    >Catherine jadem :
    Belle pensée qui prend tout son sens ici. Merci à toi.

    >Teka :
    Bonjour et bienvenue, teka. Merci pour ta visite.

    >Cristina M :
    Un lieu très calme près de ce cèdre qui diffusait une certaine fraîcheur dans la torpeur 😉 Belle balade, je t’embrasse.

  23. Je m’aperçois avec ta question que je n’ai pas été suffisamment clair quant à l’auteur de ce texte que j’ai (cependant) placé entre guillemets: il est comme le poème précédent de Nadia Tuéni, remarquable poétesse libanaise.
    Puis-je te dire aussi que tu as près bien choisi en mettant en exergue le poème de Yo-Cox, que j’aime beaucoup par sa simplicité vraie et sa qualité d’écriture.
    Bon dimanche également!

  24. >Bernard:
    J’avais vu les guillements mais au début de ton commentaire, tu parles d’un poème. Cette poétesse libanaise est formidable en tout cas.
    Merci d’approuver mon choix. Yo-Cox a envie d’écrire et a des choses à faire passer d’où mes encouragements depuis longtemps.

    >Pierre (2):
    Superbe haïku! J’aime beaucoup cette idée d’orgue et de cantate. Je t’embrasse, bonne soirée d’été avant l’heure.

  25. Bonsoir Ossiane,
    C’est toujours avec le même plaisir que j’aime découvrir tes haikus… même si je ne laisse pas de trace de mon passage sur ton blog par un commentaire… le coeur y est.
    Je t’embrasse bien fort.

  26. >Marie-José:
    Touchée que tu aimes mes haïkus, Marie-José. Il n’y a pas de souci si tu ne laisses pas de trace régulière. L’essentil est que que tu aimes et que cela t’intéresse. C’est déjà très gentil de venir me dire tout cela. Je t’embrasse également. Bon week-end!

  27. toi et moi

    en toi
    montent les termitières
    les paresseux à l’envers
    les lions et leurs crinières
    les singes dans leurs clairières

    les trompes et barissements
    les élans et leurs bois
    les serpents qui se glissent
    les filaos des îles

    les cinq doigts de la main
    les mousses et les lichens
    les archipels verts
    des rivières de graines

    en moi
    monte la sève

  28. L’arbre sacré

    La vie dans tes branches
    Tes ramures, ton feuillage
    Ce va et vient de la sève
    Ce souffle dans ton corps
    Sont unis et complices
    Pour te donner la force
    De t’élever vers les cieux
    Et trouver la lumière
    La Beauté t’enveloppe
    Le Divin réside en toi
    Il te faut patienter
    Pour que le temps si fiable
    T’ouvres à l’Eternité
    ___
    Bonsoir Ossiane
    Quel Dieu végétal tu nous as offert là
    Je t’embrasse

  29. Choeur des cèdres du Liban

    Aigles qui passez sur nos têtes,
    Allez dire aux vents déchaînés
    Que nous défions leurs tempêtes
    Avec nos mâts enracinés.
    Qu’ils montent, ces tyrans de l’onde,
    Que leur aile s’ameute et gronde
    Pour assaillir nos bras nerveux !
    Allons ! leurs plus fougueux vertiges
    Ne feront que bercer nos tiges
    Et que siffler dans nos cheveux !

    Fils du rocher, nés de nous-même,
    Sa main divine nous planta ;
    Nous sommes le vert diadème
    Qu’aux sommets d’Éden il jeta.
    Quand ondoiera l’eau du déluge,
    Nos flancs creux seront le refuge
    De la race entière d’Adam,
    Et les enfants du patriarche
    Dans nos bois tailleront l’arche
    Du Dieu nomade d’Abraham !

    C’est nous quand les tribus captives
    Auront vu les hauteurs d’Hermon,
    Qui couvrirons de nos solives
    L’arche immense de Salomon ;
    Si, plus tard, un Verbe fait homme
    D’un nom plus saint adore et nomme
    Son père du haut d’une croix,
    Autels de ce grand sacrifice,
    De l’instrument de son supplice
    Nos rameaux fourniront le bois.

    En mémoire de ces prodiges,
    Des hommes inclinant leurs fronts
    Viendront adorer nos vestiges,
    Coller leurs lèvres à nos troncs.
    Les saints, les poètes, les sages
    Ecouteront dans nos feuillages
    Des bruits pareils aux grandes eaux,
    Et sous nos ombres prophétiques
    Formeront leurs plus beaux cantiques
    Des murmures de nos rameaux.

    (extrait)
    A. de Lamartine / La chute d’un ange

  30. bouldegom, Maria, comme c’est beau….

    je ne connaissais pas ce texte sur le cèdre de A. de Lamartine…ni l itinéraire symbolique retracé par amichel..MERCI.
    bonne fin de dimanche.

  31. >Bouldegom:
    Magnfique toutes les visions que tu nous exposes! Une véritable jungle végétale. On voit le mouvement ascendant et on entend le son des animaux. La fin est superbe. Bravo!

    >Maria-D:
    Coucou Maria, contente de ce beau retour en poésie autour du sacré. C’est en effet assez rare de se trouver face à de tels titants de bois. Merci également pour cet impressionnant choeur de cèdres. Quel souffle dans tout ça! Bonne soirée!

  32. Bonsoir,

    Un blog des plus agréable à parcourir, découvrir…

    Un joli voyage dans les mots et aux travers des photos… Uun invitation poétique à laquelle je réponds volontier dans l’esprit des amoureux des arts…

    Je reviendrais vous rendre visite…
    Pour quelques escales de paisibilité dans cette île poétique que vous nous proposez…

    Très cordialement,
    Jezaria

  33. >Jézaria:
    Bonsoir, merci d’avoir exprimé si gentiment ton ressenti; tu as bien comprist l’esprit de ce blog. Tu es bien sûr la bienvenue. Au plaisir de te lire à nouveau.

  34. Je vie sur Pau(64) Pau est une ville où les cèdres sont protégés
    je vais leur dédier une page sur mon blog

  35. tu est mon amie
    toujour je savait
    mais defois je croit
    que tu ne me connai
    tes yeux sontoujours brillante
    jesaille des fois de taimer mais
    c’est sa la vie il faut quon la connait je taime pour toujour
    sait l’amie que je voulait mille bisous et mille sourires
    meme si tu nais pas ici j’taime beaucoup meme ci
    on ne se connait pas trop je sais que le monde sera que
    sans toi je ne peut pas. une amis
    qui ne connait pas lexistance de moi est aussi toujour en moi je taime mon
    amie qui ne me connait pas

  36. t’est venu du canada au liban
    maman connait ta maman
    et elles sont des amis de longtemps
    la 1er fois ke je tais vu setait au rimal
    jtait emait beaucoup car tu etait connu
    je ne savait pas comment jtai connu
    jetait trop satisfaite pour ce moment
    apres vous etes vennu du canada d’ici
    t’a changeait lecole et ta connu des nouveau
    amie et mantenant tu moublit si tu ne croit pas que
    je taime plusue tes amie je ne mapelle pluus yasmine
    j’taime mon amie si tu ne me croit oublie moi mais
    ne vient plus me pardonner car pour que tu maime jai prieR
    et je e jure ke acune amie a fait sa du passae et du present je
    taimait mais maintenant ca a unpeu changer jai rrencontrai des nouveau
    amie ki maime et pas un jeux pour faire rire si tu ne me croie pas ke je taime
    mon amie c’est maintenant ke je vais mourire le temps passe et je te ne vois pas
    c’est le temps de dire orvoire je taime plus mon amie ki ne me connait plus

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