Lecture du Haïku Calligramme: de bas en haut.
Colosse sacré
Chevelure à bout de bras
Ton cri de puissance
◊ Envie de mettre en lumière le beau poème de Yo-Cox, rempli à la fois de sagesse, d’espoir et d’ouverture aux autres.
Cèdre-ancêtre
Je suis le cèdre-ancêtre du jardin
Mes branches sont basses et fortes
Vos enfants d’homme j’y porte
Car mes racines se nourrissent de cette terre de demain
Je regarde le monde d’un regard sans âge
Malgré mes blessures j’aime la VIE !
Ma forme accueillante, mes branches sages
Favorisent la proximité, la simplicité d’ici
Je vous écoute, murmures amoureux, confidences
Chagrins, espoirs, paroles silencieuses,
De votre vie, humains, je partage les jeux d’enfance
Et les chemins d’adultes d’avancée sinueuse
Je vous aime et suis conscient de votre confiance !
De vos blessures je tente d’amoindrir les stigmates ici bas
Pour vos victoires je goûte un peu d’exubérance…
Et mon parfum antique vous enveloppe, paternel, comme des bras…
◊ Photo prise dans les jardins de la Villa Olmo à Côme.
Monsieur, le Cèdre
Mon vieux
Tu as l’air trop sérieux
Pourtant je sais
Je devinais
Que ton coeur
Sans peur
Est valeureux
Est généreux
Puisque toi,
Je vois
Tu as
Des grands bras
Pour m’accueillir
Pour m’endormir
Monsieur le Cèdre
Cèdre millénaire
A la force tranquille
Venu des temps anciens
Et du pays des neiges
Ou brûlé de soleil
Arbre sacré
Dont le roi d’Uruk
Gilgamesh
Au tout commencement de l’homme
Voulu à jamais
Détruire le symbole
De fertilité et d’amour
Et pour cela
Fut par les dieux condamné
A errer de par le vaste monde
C’est la légende
Que conte le vent
les jours d’orage
passant
Dans ta chevelure odorante
Ossiane,
j’ai mangé deux lettres
…. je savais, (non je sais)
Feu vert, ma chérie.
Toi, le sage des forêts
Silencieux devant l’humain
Force et beauté tu émanes.
Tu camouffles ta ramure
Orné d’une chevelure
Aux senteurs apaisantes
Confie nous tes secrets.
dire la poésie
sans céder au poids du ciel
ton socle est ta force
pas trop le temps de papoter au salon,
( boulot, boulot) mais je suis là tous les soirs les amis, je ne suis jamais trés loin!!!! et vous êtes ma dernière page de lecture avant d’aller coucouche panier, papattes en ronds!!!!
bonne journée
Reste à savoir s’il s’agit d’un cèdre du Liban comme le laisse entendre amichel ou d’u cèdre de l’atlas ….
C’est Pierre qui tranchera.
Avant de se pencher sur la question (comme François m’y invite), ceci pour Ossiane:
Bras de colosse
Un torse à l’avenant
Calme olympien
Port déployé
Tronc court
Branches horizontales aussi massives que le tronc :
Cèdre du Liban
(Introduit dès 1623 en Angleterre: les plus vieux exemplaires ont entre 250 et 250 ans, plantés aux alentours de 1800 dans les parcs d’ornement)
Un bois odorant
Arche d’alliance
Emblème du Liban
ample et rugueux,
je cherche ta vie, tes yeux,
au coeur des franges.
mmhh..
à l ombre de toi
mon cèdre
je me ressource
et me fait caliner
mon cèdre à moi
tu me raffraichis
et m’appaises
il est bon
mon ciel
sous toi
de moi
mmhh..
Le cri de Munch
c’est beau bouldegom..
et je glisse vos poèmes et je savoure… de biens jolis écrits encore sur cette page..merci à vous.
fanou, moi aussi, avant de faire coucouche panier le soir, je viens me ressourcer dans de si jolis textes, qui m’écarquillent les yeux, dorlottent mon petit coeur, envolent mon âme, me font du bien, beaucoup de bien.. merci à chacun, car j’aime chaque style si personnel et si intime et si précieux. MercI.
je t’embrasse et te souhaite un bon après midi, Ossiane. Bises à chacun.
D’humbles solitudes
L’écorce des immobiles
Réunit les rêves
Merci, Ossiane, de ta présence attentive, de ta gentillesse et de ta curiosité partageuse ! Je t’embrasse…
Au détour de ma curiosité, puis-je vous offrir ce poème de Nadia Tuéni :
«
Cèdres
Je vous salue
vous qui êtres,
dans la simplicité d’une racine,
avec la nuit pour chien de garde.
Vos bruits ont la splendeur des mots,
et la fierté des cataclysmes.
Je vous connais,
vous qui êtes,
hospitaliers comme mémoire;
vous portez le deuil des vivants,
car l’envers du temps, c’est le temps.
Je vous épelle.
vous qui êtes,
aussi uniques que le Cantique.
Un grand froid vous habille,
et le ciel à portée de branche.
Je vous défie,
vous qui hurlez sur la montagne
usant les syllabes jusqu’au sang.
Aujourd’hui c’est demain d’hier,
sur vos corps un astre couchant.
Je vous aime,
vous qui partez avec pour bannière le vent.
Je vous aime comme on respire,
vous êtes le premier Poème. »
et ce petit texte, petit par la longueur mais immense comme un cèdre! Pour la poésie que vous aimez toutes et tous:
« Entrer en poésie, c’est évoquer. Le langage ne nomme plus. Les mots deviennent des signes qu’il s’agit d’utiliser, pour recréer un monde de sentiments, d’impressions et de visions réfractaires au parler usuel. Faire de la poésie c’est à chaque fois recréer le langage, revêtir constamment d’une éternelle jeunesse l’univers qui nous entoure et dont nous sommes partie. Faire de la poésie c’est se libérer de toute contrainte. Le bouillon poétique est liberté, dans la mesure où la grande poésie, celle qui atteint l’universel, est un continuel dépassement »
Et peut-être trouverai-je aussi plus tard mes mots pour dire une tapisserie magnifique…
Si je voulais, dire tes couleurs
Si je voulais, marcher le long de tes mots
Si de l’arbre poème
J’osai regarder la cime
Mais si dans mon être j’écoute
Le vent dérisoire qui t’assiège
Si tu me fais de ton corps le plus grand des tourments
Sens-tu qu’alors mon coeur explose
Sous la voûte de ta nuit bleue
Et du parfum des anges
Je t’embrasse
A la terre
Humblement
Chant d’amour
A bras velours
Chaque jour
Beaucoup de bonheur à lire tous ces poèmes, Bernard..
Cèdre-ancètre
Je suis le cèdre-ancètre du jardin
Mes branches sont basses et fortes
Vos enfants d’homme j’y porte
Car mes racines se nourrissent de cette terre de demain
Je regarde le monde d’un regard sans âge
Malgré mes blessures j’aime la VIE !
Ma forme accueillante, mes branches sages
Favorisent la proximité, la simplicité d’ici
Je vous écoute, murmures amoureux, confidences
Chagrins, espoirs, paroles silencieuses,
De votre vie, humains, je partage les jeux d’enfance
Et les chemins d’adultes d’avancée sinueuse
Je vous aime et suis conscient de votre confiance !
De vos blessures je tente d’amoindrir les stigmates ici bas
Pour vos victoires je goûte un peu d’exubérance…
Et mon parfum antique vous enveloppe, paternel, comme des bras…
Bises du soir…
Yo-cox
http://photo-passion.blogspot.com/
Bonsoir,
C’est assez étonnant comme cette photo me rappelle aussi le tronc d’un arbre, qui m’avait marqué; avec toute cette puissance vers le haut, simulant un ‘V’ comme un cri de victoire, de vie…
Dommage, à ce moment je n’avais pas d’appareil photo !
Bises
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Nouveaux commentaires sur:
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https://blog.ossiane.photo/2007/04/25/torpeur/#comments
https://blog.ossiane.photo/2005/08/09/2005_08_mineral/#comments
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Cèdre immémorial à la force tranquille
Tu te déploies et t’ouvres
comme une large main grande ouverte
Offrande de terre donnée au vent et au ciel
quand j ai lu ton poème Yo Cox,
j ai eu envie d’écrire
yaouhhhhhhhhhhhhhhhhhh!
je suis contente de le voir dessous la photo…bises à toi!
bonne nuit, Ossiane.
Yo-cox
J’aime bien ton poème.
C’est vraiement superbe.
On sent l’esprit du cèdre.
Bravo.
Je t’embrasse fort.
-> Ossiane
Je suis heureuse de l’honneur que tu me fais!
C’est assez étrange de trouver mes mots sous ton travail !
Tes images racontent tant de choses!
C’est sans doute toi qui m’a poussé le plus à écrire mes ressentis qui découlent des photos..alors je te dis MERCI pour cette aventure d’écriture …
->Merci à Neyde et Annick: je suis vraiment touchée! Ossiane sais faire venir une foule de sentiments et de mots avec ses images vivantes….Tout cela me parle!
Bon week-end à toi, et à vous qui passez…
Yo-cox
coucou Yo Cox, j ‘apprécie ce que tu viens d’écrire…
je souhaite unbon week pour chacun qui passe dans ce merveilleux lieu si paisible..
Mon bon cèdre
Je te serre
Mes petits bras
Je t’enlace
Mes baisers
Je t’embrasse
le partage est un chemin de racines biz cjm*
Tout en disant
comme j’aime
me promener dans
«ce merveilleux lieu si paisible»
comme le dit si bien Annick
et sous ce cédre
je viens de lire toutes ces belles poésies.
Em me joignant à Annick, je vous souhaite aussi à tous un bon-week-end
mmmhhmmmh..
tu es une grande aventure de vie, Ossiane, car tu es une Grande Photographe Poète en photos et en mots…
et tu laisses tant de place pour nous reposer, nous désaltérer, composer vivre vivants…je t’embrasse en ce bel samedi de printemps.
merci à tout cet échange Grand qui se vit chez Ossiane, et que j’apprécie infiniment, je me répète, mais tant pis.. c’est bon de saoûler dire qu’on aime!
.
>>>> Pardonnez mes réactions tardives; d’autres occupations m’appellent ailleurs en ce moment. Je ne vous oublie pas pour autant et je suis toujours ravie de vous lire.
.
>Neyde :
Tu as même l’art d’amadouer les arbres 😉 Merci pour ton beau poème.
>amichel :
Heureusement qu tu es là pour retracer l’itinéraire symbolique de ce très bel arbre. Belle légende qui lui donne encore plus de force. Merci à toi.
>fanou :
Joli poème en hommage au cèdre qui nous offre déjà sa crinière et ses senteurs. Quoi d’autre peut-il nous apprendre…
Touchée de ta précieuse fidélité. Ne sois pas si timide 😉 Bises et merci.
>Pierre (2) :
Merci pour tes deux beaux haïkus qui respirent la puissance mais aussi l’harmonie.
Gagné, c’est un cèdre du Liban ! J’ai vérifié quand j’ai pris la photo. J’ai du mal à imaginer son âge. Beau week-end à toi.
>bouldegom :
Belle dérivation poétique. Le cèdre serait content de t’entendre.
>Nath :
Oui Nath, on retrouve parfois dans les écorces des arbres des formes qui nous ressemblent quelque part. On aime aussi trouver des signes de reconnaissance dans la nature . C’est peut-être notre manière de bien nous ancrer dans la vie qui nous est offerte. Merci pour ta réflexion. Bises.
>Corinne :
Bonjour Corinne, contente de ton retour. Magnifique image cette paume ouverte ! Merci pour ce beau poème.
>brigetoun :
Amusant ton haïku. Ce n’est pas interdit de lui soulever les cheveux 😉 Merci Brigitte.
>feu roméo :
Je n’ai pas pensé au cri de Munch mais à un cri de fierté. Bien vu ; c’est quasiment la même forme ovale. Bises.
>Annick :
Touchée par ta présence sans faille et la chaleur de tes mots. Pourquoi irais-je fermer et réglementer cet espace vivant ? Dis-moi… Il se régule tout seul grâce à vous et au respect que vous vous portez. Bon week-end au creux de ton cèdre et merci pour tes gentilles pensées.
>Fugitive :
Magnifique haïku plein de noblesse ! J’aime ta façon abstraite d’imager les choses. Tout le plaisir est pour moi pour ce que tu me dis. Merci de ta présence sur le blog. Bises du week-end.
>Bernard :
Une grande générosité de ta part de nous faire partager ce superbe poème et ces pensées profondes sur la poésie. Je ne connaissais pas ce poète. Est-ce toi qui as écrit le texte sur la poésie ? Tes commentaires sont précieux car ils nous interpellent à l’intérieur et je t’en remercie. Sans parler de ton poème qui une nouvelle fois nous transporte très haut. Merci pour ta belle plume et bon week-end.
>Yo-cox :
Très heureuse d’avoir enfin pu mettre ton poème en avant 😉 Je me souviens que j’avais émis l’hypothèse de faire ces petites mises en lumière l’été dernier et que tu avais été intéressée. Je trouve que tu prends ton envol car ça vient davantage de l’intérieur de toi. Quant à mes photos, je ne sais que dire. Je ne présente que celles qui me parlent ou m’évoquent une certaine idée de beauté dans le sens large. Je t’embrasse.
>Catherine jadem :
Belle pensée qui prend tout son sens ici. Merci à toi.
>Teka :
Bonjour et bienvenue, teka. Merci pour ta visite.
>Cristina M :
Un lieu très calme près de ce cèdre qui diffusait une certaine fraîcheur dans la torpeur 😉 Belle balade, je t’embrasse.
Je m’aperçois avec ta question que je n’ai pas été suffisamment clair quant à l’auteur de ce texte que j’ai (cependant) placé entre guillemets: il est comme le poème précédent de Nadia Tuéni, remarquable poétesse libanaise.
Puis-je te dire aussi que tu as près bien choisi en mettant en exergue le poème de Yo-Cox, que j’aime beaucoup par sa simplicité vraie et sa qualité d’écriture.
Bon dimanche également!
De loin majestueux
Orgue où joue le vent
Cantate profuse
>Bernard:
J’avais vu les guillements mais au début de ton commentaire, tu parles d’un poème. Cette poétesse libanaise est formidable en tout cas.
Merci d’approuver mon choix. Yo-Cox a envie d’écrire et a des choses à faire passer d’où mes encouragements depuis longtemps.
>Pierre (2):
Superbe haïku! J’aime beaucoup cette idée d’orgue et de cantate. Je t’embrasse, bonne soirée d’été avant l’heure.
ce soir, je me serre tout contre mon cèdre…….
Bonsoir Ossiane,
C’est toujours avec le même plaisir que j’aime découvrir tes haikus… même si je ne laisse pas de trace de mon passage sur ton blog par un commentaire… le coeur y est.
Je t’embrasse bien fort.
>Marie-José:
Touchée que tu aimes mes haïkus, Marie-José. Il n’y a pas de souci si tu ne laisses pas de trace régulière. L’essentil est que que tu aimes et que cela t’intéresse. C’est déjà très gentil de venir me dire tout cela. Je t’embrasse également. Bon week-end!
toi et moi
en toi
montent les termitières
les paresseux à l’envers
les lions et leurs crinières
les singes dans leurs clairières
les trompes et barissements
les élans et leurs bois
les serpents qui se glissent
les filaos des îles
les cinq doigts de la main
les mousses et les lichens
les archipels verts
des rivières de graines
en moi
monte la sève
L’arbre sacré
La vie dans tes branches
Tes ramures, ton feuillage
Ce va et vient de la sève
Ce souffle dans ton corps
Sont unis et complices
Pour te donner la force
De t’élever vers les cieux
Et trouver la lumière
La Beauté t’enveloppe
Le Divin réside en toi
Il te faut patienter
Pour que le temps si fiable
T’ouvres à l’Eternité
___
Bonsoir Ossiane
Quel Dieu végétal tu nous as offert là
Je t’embrasse
Choeur des cèdres du Liban
Aigles qui passez sur nos têtes,
Allez dire aux vents déchaînés
Que nous défions leurs tempêtes
Avec nos mâts enracinés.
Qu’ils montent, ces tyrans de l’onde,
Que leur aile s’ameute et gronde
Pour assaillir nos bras nerveux !
Allons ! leurs plus fougueux vertiges
Ne feront que bercer nos tiges
Et que siffler dans nos cheveux !
Fils du rocher, nés de nous-même,
Sa main divine nous planta ;
Nous sommes le vert diadème
Qu’aux sommets d’Éden il jeta.
Quand ondoiera l’eau du déluge,
Nos flancs creux seront le refuge
De la race entière d’Adam,
Et les enfants du patriarche
Dans nos bois tailleront l’arche
Du Dieu nomade d’Abraham !
C’est nous quand les tribus captives
Auront vu les hauteurs d’Hermon,
Qui couvrirons de nos solives
L’arche immense de Salomon ;
Si, plus tard, un Verbe fait homme
D’un nom plus saint adore et nomme
Son père du haut d’une croix,
Autels de ce grand sacrifice,
De l’instrument de son supplice
Nos rameaux fourniront le bois.
En mémoire de ces prodiges,
Des hommes inclinant leurs fronts
Viendront adorer nos vestiges,
Coller leurs lèvres à nos troncs.
Les saints, les poètes, les sages
Ecouteront dans nos feuillages
Des bruits pareils aux grandes eaux,
Et sous nos ombres prophétiques
Formeront leurs plus beaux cantiques
Des murmures de nos rameaux.
(extrait)
A. de Lamartine / La chute d’un ange
bouldegom, Maria, comme c’est beau….
je ne connaissais pas ce texte sur le cèdre de A. de Lamartine…ni l itinéraire symbolique retracé par amichel..MERCI.
bonne fin de dimanche.
>Bouldegom:
Magnfique toutes les visions que tu nous exposes! Une véritable jungle végétale. On voit le mouvement ascendant et on entend le son des animaux. La fin est superbe. Bravo!
>Maria-D:
Coucou Maria, contente de ce beau retour en poésie autour du sacré. C’est en effet assez rare de se trouver face à de tels titants de bois. Merci également pour cet impressionnant choeur de cèdres. Quel souffle dans tout ça! Bonne soirée!
Bonsoir,
Un blog des plus agréable à parcourir, découvrir…
Un joli voyage dans les mots et aux travers des photos… Uun invitation poétique à laquelle je réponds volontier dans l’esprit des amoureux des arts…
Je reviendrais vous rendre visite…
Pour quelques escales de paisibilité dans cette île poétique que vous nous proposez…
Très cordialement,
Jezaria
>Jézaria:
Bonsoir, merci d’avoir exprimé si gentiment ton ressenti; tu as bien comprist l’esprit de ce blog. Tu es bien sûr la bienvenue. Au plaisir de te lire à nouveau.
Arbre – Eléphant
Longévité divine
Et bois de cèdre
Je vie sur Pau(64) Pau est une ville où les cèdres sont protégés
je vais leur dédier une page sur mon blog
Un lien pour un peu de légèreté pour les enfants …
http://cafe.rapidus.net/anddoyon/lechat1.html
>Nath:
6 jolis poèmes sur le cèdre, tu fais fort,-) Il ne meanque plus que le chat et les enfants… Bises et merci.
tu est mon amie
toujour je savait
mais defois je croit
que tu ne me connai
tes yeux sontoujours brillante
jesaille des fois de taimer mais
c’est sa la vie il faut quon la connait je taime pour toujour
sait l’amie que je voulait mille bisous et mille sourires
meme si tu nais pas ici j’taime beaucoup meme ci
on ne se connait pas trop je sais que le monde sera que
sans toi je ne peut pas. une amis
qui ne connait pas lexistance de moi est aussi toujour en moi je taime mon
amie qui ne me connait pas
–
… à lire à haute voix …
Moi, même en l’faisant exprès, j’y serais pas arrivée.
–
t’est venu du canada au liban
maman connait ta maman
et elles sont des amis de longtemps
la 1er fois ke je tais vu setait au rimal
jtait emait beaucoup car tu etait connu
je ne savait pas comment jtai connu
jetait trop satisfaite pour ce moment
apres vous etes vennu du canada d’ici
t’a changeait lecole et ta connu des nouveau
amie et mantenant tu moublit si tu ne croit pas que
je taime plusue tes amie je ne mapelle pluus yasmine
j’taime mon amie si tu ne me croit oublie moi mais
ne vient plus me pardonner car pour que tu maime jai prieR
et je e jure ke acune amie a fait sa du passae et du present je
taimait mais maintenant ca a unpeu changer jai rrencontrai des nouveau
amie ki maime et pas un jeux pour faire rire si tu ne me croie pas ke je taime
mon amie c’est maintenant ke je vais mourire le temps passe et je te ne vois pas
c’est le temps de dire orvoire je taime plus mon amie ki ne me connait plus
–
rebelote
–
steffy
ttrgjkihffreujujuggfdgiokojgf
demare konsa ok