Minéral

Noyaux Frangés de Blanc, Galets Façonnés par le Temps, Etreinte de Deux Amants, Source d'Apaisement, Rondeur des Pierres Polies, Douceur des Corps Assoupis, Fécondité de la Vie.

Noyaux Frangés de Blanc, Galets Façonnés par le Temps, Etreinte de Deux Amants, Source d'Apaisement, Rondeur des Pierres Polies, Douceur des Corps Assoupis, Fécondité de la Vie.

* Lecture du Calligramme: de haut en bas.

Noyaux Frangés de Blanc,
Galets Façonnés par le Temps,
Etreinte de Deux Amants,
Source d’Apaisement,
Rondeur des Pierres Polies,
Douceur des Corps Assoupis,
Fécondité de la Vie.

* Un hommage au grand sculpteur Dada Jean Arp qui a dédié son oeuvre à la nature. Il s’est beaucoup inspiré des liens entre minéral, végétal et animal. Les formes abstraites de ses oeuvres sont simples et douces; elles évoquent souvent la forme des galets.

56 réflexions sur « Minéral »

  1. un peu  » froid « , belles couleurs douces qui compensent cette première impression.

    P etite
    I nspiration
    R avi…aujourd’hui,
    R olling Stones
    E t n’amasse pas mousse.
    S orry ^_^

  2. P etite
    I nspiration aujourd’hui,
    E h ! oui
    R avi…
    R olling Stones
    E t n’amasse pas mousse.
    S orry ^_^

  3. Un ensemble galbé,
    Une douceur effleurée,
    Beauté de deux simples galets,
    Divinement illustrés,
    Par tes mots chauds comme l’été,

    Merci Ossiane pour ce bel aparté….

  4. >Ravi: Tu t’es couché tard ou levé bien tôt aujourd’hui. Merci pour ces vers qui font référence à la musique, troubadour. La froideur du gris est compensée par les veines jaunes du caillou. Amitiés stoniennes.

    >Philippe: Je te souhaite la bienvenue car je ne crois pas t’avoir vu ici.
    Effectivement, pourquoi pas un reflet du galet qui se mire dans l’eau. Merci pour ta visite et n’hésite pas à revenir nous faire partager tes sentiments.

    >Nina: Tu te lances? C’est bien réussi. Simple, c’est sûr; sereine de temps à autre et solide, j’essaie mais pas toujours. Merci.

    >Olivier: Toi aussi tu te lances! Bravo! Mais tu as un savoir faire en la matière d’après ce que j’ai pu voir sur ton site. Bises chaleureuses.

    >Yvan: Tu as raison, souvent. Ce sont des thèmes aussi qui tournent autour du végétal, minéral, de l’eau. Je me sens proche de la nature.

    >Jean-Louis: Merci pour ton enthousiasme et tous ces liens puisque tu sembles avoir choisi de mettre en avant les notes que tu aimes. Bien amicalement.

  5. Etrange comme chaque perception peut être différente, je vois une langue de profil représentée par la première pierre posée sur un nez que l’on perçoit également de profil (cf la deuxième pierre), Picasso…le retour !

  6. Sagesse Stabilisée..
    Par Deux galets représentée :
    Pur symbole d’éternité
    Les cailloux durs durent..
    Même une fois exlosés …
    :o)

  7. >Leslie: Bienvenue ici Leslie. Oui, il y a souvent des visions très différentes. C’est tout l’intérêt d’une image. On déconstruit le réel pour donner une nouvelle perception imaginaire qui nous correspond. Ce peut être loufoque, incongru, poétique, violent; peu importe du moment que l’on se l’approprie. Ta sculpture à la Picasso est bien entendue acceptée. Au plaisir d ete lire à nouveau.

    >Judith: Ah Ah, je ne le sais que trop que tu adores les galets. Tu as passé pas mal de temps à en ramasser 😉 Je crois que ceux-là viennent de l’île de Ré. Bises.

    >Pas de signature mais je crois deviner qui parle grâce au petit sourire 😉 Bonjour Emma! Tu as très bien perçu le symbolisme du galet. Ces cailloux sont apaisants grâce à la douceur de leurs formes et de leur texture. Bises éternelles.

  8. Bonjour madame Ossiane
    Pour les deux tourtereaux de pierre, tous les symptômes d’un pré embarquement pour Cythère..

  9. Bravo! je crois que cette photo va devenir ma préférée ( du moins pour le moment )
    Arp ? peut-être mais surtout Brancusi que j’adore . merci.

  10. >Bonsoir Monsieur François, tu as sans doute raison pour les deux amants. Je vois que cette pierre ne te laisse pas de marbre ;-)) Bien amicalement.

    >Gev: Bienvenue sur ce blog et merci pour ton commentaire qui me fait plaisir. J’ai choisi Arp à cause du thème du minéral développé dans ses sculptures. Il va sans dire que j’aime également beaucoup Brancusi et ses formes ovoides danvantage influencées par les origines de la vie. Au plaisir de te lire à nouveau.

  11. Bonjour Ossiane
    Je suis votre blog avec un plaisir toujours renouvelé. Le concept de calligramme poétique tiré d’une photo toujours sublime me plait énormément.
    J’ai parlé de votre site sur mon blog, ai indiqué le lien et… ai affiché une photo et son calligramme associé afin de faire partager mon émotion. Cependant on m’a dit que vos oeuvres n’étaient pas libres de droit…
    Dans la mesure où je n’ai mis en ligne qu’une seule de vos oeuvres et dans l’unique but de faire de la publicité et de renvoyer les gens vers votre blog, puis-je l’y laisser ?
    Dans le cas contraire je l’en enlèverai au plus vite.
    Merci
    M.

  12. >Bonjour M et bienvenue. Très gentil à toi de me faire ces compliments qui me vont droit au coeur. Avant que je te donne mon avis, il faudrait me laisser également me laisser l’adresse de ton blog pour que je me fasse une idée. Amicalement.

  13. Me voici encore… Avec le lien vers mon blog cette fois ! Bon c’est un blog sans prétention, rien d’artistique comme le tien… Mais j’espère pouvoir y conserver le calligramme « élan » !
    A bientôt…

  14. >M: Rien à dire, tu as fait ce qu’il fallait. C’est d’accord, tu peux laissaer le calligramme Elan qui semble te tenir à coeur. Au plaisir de te lire à nouveau. Bien amicalement.

  15. Bonjour Matthieu et bienvenue sur ce blog. Merci de nous faire partager ton sentiment un peu partagé sur ce calligramme. Je vois ce que tu veux dire. Je n’ai pas utilisé Word art 😉 et n’ai pas cherché un effet techno-spatial déformant non plus. J’avais juste tenté modestement de donner la forme des branches de l’étoile aux lettres. Pas facile à réaliser. Mais visiblement, ce n’est pas très réussi 😉 Sinon, cela me fait plaisir que tu aimes les autres calligrammes. Au plaisir de te lire à nouveau. Bien amicalement.

  16. vert de gris sous un éclairage de soleil, beaux comme ces anciens toits d’ardoises que l’on croisent parfois..

    des formes imbriquées et alambiquées qui s’assemblent.;

    presque l’accord parfait

  17. ton site est génial continue comme ça je suis fan de tes photos magnifique jaimerais bien faire ça comme métier!! encore une fois bravo

  18. >Bonjour et bienvenue Maylis. Je voulais te remercier pour ce gentil commentaire. Cela me fait très plaisir. Un beau métier celui de photographe. Le métier de blogueuse, je ne crois pas que ce soit possible ;-)) Reviens nous voir quand tu veux, tu seras bien reçue. Bien amiicalement.

  19. Bonsoir Ossiane,
    Que de plaisirs ! Je suis subjuguée …J’ai envoyé votre lien à pas mal de personnes …
    Ce qui me plait outre toute cette sensibilité artistique, c’est aussi que cela créé du lien et devient une oeuvre collective, qui grandit, se transforme, ouvre d’autres horizons…
    Moi, qui ne bloguait pas, mon regard change sur cet outil fabuleux … Ex-informaticienne, en rupture avec ce secteur, ce blug me réconcilie qulque-peu avec l’informatique…
    Ces galets m’ont encore évoqué un texte poétique autour de l ‘eau et des pierres .. J’en ramasse encore beaucoup au gré de mes ballades …
    LE TORRENT

    On entre dans un torrent
    Et sous vos pieds meurtris,
    La chaleur du sang vous surprend,
    Vous arrache du temps.

    Votre regard virevolte
    Et vos sens fleurissent;
    L’eau qui tourbillonne
    Vous emmène vers des espaces fleuris.

    Et, sur la rive,
    Vos yeux choisissent
    Un tissu de mousse,
    Aux couleurs chatoyantes.

    Là, posée, solitaire,
    Gît une amère pierre, assoiffée, désolée …
    Et sur son dos noué,
    Vous lisez des fragments de l’été.

    Et votre main se tend,
    Se détend
    Et puis cueille
    Cet ami endormi.

    Dans votre paume
    Rafraîchie par le vent,
    Vous sentez toute la raideur
    De la pierre, serre, soli-taire…
    Mais vos doigts se meuvent
    Et détournent le regard, la senteur.
    Vous découvrez un autre corps, la lisseur, la douceur,
    Pour vous en aller vers un ailleurs.

    Est-ce l’envers, est-ce l’endroit, des plaines de pourquoi ?
    Peu importe le sens, vos pensées tissent
    Des histoires, dans les rides de la pierre.

    Vos doigts bougent la pierre,
    La pierre vous déplace,
    Pierre, taire, soli-d’air..

    Doucement, vos pieds sortent de l’eau ;
    Et vos jambes vous portent vers des horizons nouveaux,
    Dans l’éloquence d’une danse dense, en tenant le joyau.

    Enfant, vous maniiez toutes les pierres
    Pour jouer à l’infini,
    Pour les jeter plus loin et y faire désordre,
    A écouter le son tomber de mille façons,
    Pierre erre chimère

    Peu importe quelle pierre, elle roule, elle coule, elle s’enfonce,
    Elle casse, se ramasse, cogne, se cogne sans vergogne.
    Elle devient cigogne qui s’envole…
    Elle s’oublie dans la nuit et vous sourit le jour.

    Et maintenant, vous choisissez de voyager un instant avec elle, Pierre serre,
    Ou seulement de la voir dans un instant fugitif, Pierre erre,
    Ou de ne pas la regarder, Pierre taire.

    ETE 2006

  20. >Nath:
    Quel enthousiasme débordant! Ca me fait très plaisir;-) Merci de faire le bouche à oreille. Le blog est en effet devenu un espace de création poétique au fil des mois et sur lequel tout le monde aime se retrouver pour échanger, partager et se lancer des défis aussi. Dans cet esprit là, c’est vraiment intéressant.
    Tu me fais un beau cadeau. Un magnifique poème à fleur de peau et d’eau, bourré de sensations subtiles et de jeux de mots. Tu as une très belle écriture et des tas de choses intérieures à faire passer. Un grand bravo et merci à toi. Bonne nuit.

  21. Et je rajoute ce poème de David Dumortier

    Le mot PIERRE : il contient un p,
    celui qu’il a emprunté aux planètes
    pour avoir leur pourtour, très bien,
    J’approuve. Mais il contient aussi
    Un i, c’est à dire une colonne verticale
    Surmontée d’un point ascétique
    Si sec et léger qu’il ne touche plus notre monde,
    Un éclat perdu…
    Deux r qui roulent entre les deux e
    En réalité seuls ces deux r sont solides, durs
    Et très difficiles à briser.
    Autour, c’est de la terre,
    Pour traîner dans les champs.

  22. >Nath:
    Merci d’amender cette note que j’aime bien avec le poème de cet auteur que je ne connais pas. Il est splendide et reflète bien la sympbolique de la pierre. C’est tout juste si on n’y voit pas apparaître autre chose. Une belle découverte pour moi. Je t’embrasse et te remercie.

  23. Deux galets fatigués par le temps
    De se frictionner si fort de tant
    S’émerveillèrent de prendre chair
    Et la grâce exauca leur voeu cher
    D’amant et amante froids en galets
    Ils vécurent les fruits de leurs palais

  24. Bonsoir,

    Puisque les mots ne viennent pas comme j’aimerais …, je dépose dans cet espace minéral, un morceau de texte raconté également pour la représentation théâtrale d’hier, histoire de partager autrement …

    «Quand je serai grande, je sèmerai des pierres pour guider les gens en désesp-ERRANCE pour les guider vers des chemins de liberté. J’y graverai un signe tout en couleurs ou une note de musique. Je serai ainsi passante et j’attendrai.
    D’autres passants viendraient et devant la dernière pierre, croiseraient le passant précédent devenu passeur, et y déposeraient aussi une pierre. Ils échangeraient ensemble. Puis le passeur continuerait sa route et devenant tour à tour passant puis passeur.
    Et toutes ces pierres deviendraient un berceau d’échanges de symphonies, un patchwork de multiples mélodies, une sorte de chemin du cœur ; où l’errance deviendrait source de co-ERRANCE ; où le multiple tirerait sa rêve-ERRANCE ; où s’apprivoiseraient et se rencontreraient les différences.
    Quand je serai grande, je serai …. ‘tisseuse de liens ….’ »

    Que cet espace perdure dans le rêve et le lien….
    Bises

  25. magnifique nath,
    et c’est bizare me venait une inspiration avec liens comme je regardais la page avec les dernières photos d Ossiane…fort bonne soirée.

  26. >Nath :
    C’est bien écrit et émouvant ! C’est donc toi qui as composé ce texte pour cette représentation ; je reconnais ton style. Un très beau terme que celui du passeur ainsi que cette évocation de l’errance qui s’habille d’autres sens sous ta plume. Ne serait-ce pas toi la tisseuse de liens ? Tu sembles vivre de belles émotions avec ces séances de théâtre. Que ta dernière phrase se réalise. Amitié chaleureuse, je t’embrasse.

  27. « La pierre n’a point d’espoir d’être autre chose qu’une pierre. Mais, de collaborer, elle s’assemble et devient temple. » Alexandre de Saint-Exupéry

  28. >Nath:
    Tu aimes décidément beaucoup revenir sur cette note. Bien vu cette citation. J’avais bien aimé réalisé cette petite mise en scène de sculpture. Il faudrait que j’en refasse d’autres. Merci petite semeuse de mots perlés.

  29. >Annick:
    J’aime aussi cette photo pour cette douceur toute minérale qu’on a envie de caresser. Tu as vu que je faisais beaucoup de vers à l’époque;-)

  30. oui, j ai vu tes vers,
    et au plus je vois, au moins je pense avoir vu,
    il est si gigantesque de géant de brillant ton album, Ossiane,
    c’est magnifique, je suis vraiment émue,
    tu mérites vraiment cet écrit dans le monde dernièrement, j’espère ton travail apprécié à sa haute valeur bien plus encore…
    j ai comme cette impression que c’est un coup de génie…je le pense vraiment!

    et puis il y a des splendeurs de poèmes, dans les commentaires..bonne nuit douce!

  31. >Annick:
    Tu es gentille, Annick mais tu sais je ne me prends pas du tout pour un génie et surtout je ne prends pas la grosse tête;-) Je suis pareille qu’au premier jour; je prends simplement plaisir à créer des choses et à les partager;-) Et puis cet Album, il est à vous aussi puisque vous participez avec un bel enthousiasme. Bises à toi, émotive Annick;-)

  32. Photo unique
    pierres par deux
    superposition pas périlleuse
    contraste et rappel
    stries et macles
    galet qui racle
    berceau porteur
    et dessus posé et déposé
    tête sur corps

    très beau calligramme
    et composition si originale

  33. >Thierry:
    Bonjour Thierry, merci pour cette belle description entre douceur et rudesse.
    N’hésite pas à revenir en surface, sur la dernière note car les poètes du blog ont écrit des poèmes pour toi. L’incident est vraiment clos maintenant;-) Bon dimanche!

    >Marc:
    Un bel haîku tout en rondeur et chaleur, en cette journée d’automne. Merci!

  34. très sensible aux mots de sven
    qui m’ont vraiment touchés

    promontoire sans histoire
    ou plutôt tant de fois balloté
    quand sans ôter plus d’éclat
    il irise doucement
    aplati base et sommet
    comme enclume
    pas martelée
    lieu acceuillant
    pour déposer un voeu
    et poser ses yeux
    lignes douces
    et sens orienté

    Nuit de pleine lune a limé mon
    imagination mais les copeaux
    du temps s’agluttinent tant

    bonne journée à tous, ensoleillée pour certains, c’est mon cas

  35. La nacre

    ce que par la mer obtient par la lente érosion
    de la pierre la douceur le poli le brillant
    gommant les traits tout en arrondissant les angles
    la nacre elle l’obtient du vivant par sécrétion

    Alain

  36. Comme j’avais écrit le poème ‘torrent’ et évoqué la présence d’une pierre, je rebondis sur cette citation et ce lien à un conte :
    Savez-vous que les pierres chantent parfois ? Derrière le silence, un autre monde s’ouvre. Là, dans cet autre monde, est la musique des pierres. Elle est lente, elle est douce, elle est pudique, simple. « (Henri Gougaud, Les sept plumes de l’aigle)

    http://objectif-cap-sizun-polynesie.over-blog.com/pages/Legende_Bretonne_Jean_des_pierres-496429.html

  37. « Du pied à la pierre
    il n’y a qu’un pas
    Mais que d’abîmes à franchir
    Nous sommes soumis au temps
    Elle, immuable
    au cœur du temps
    Nous sommes astreints aux dits
    Elle, immuable
    au cœur du dire
    Elle, informe
    capable de toutes les formes
    Impassible
    porteuse des douleurs du monde
    Bruissant de mousses, de grillons
    de brumes transmuées en nuages
    Elle est voie de transfiguration
    Du pied à la pierre
    il n’y a qu’un pas
    Vers la prescience
    Vers la présence  »

    François Cheng (À l’orient de tout, Œuvres poétiques)

    merci Nath pour ce lien aux sonorités étranges.

    « Que le monde minéral est étonnant ! Lui qu’on lie si souvent à la mort pousse vers la vie. Lui qu’on installe irrévocablement dans l’inertie bouscule et aiguillonne, incite au mouvement. Lui dont le silence est insondable, invite au murmure puis au chant.’
     » le langage des pierres est comme une onde, une vibration, un grand frisson »

    Marie Chastel dans le secret des pierres. Petite célébration du monde minéral

    Elle dit aussi que les pierres ne sont peut-être pas muettes mais que c’est nous qui sommes trop bruyants !… J’aime ce petit livre merveilleux.

  38. Merci Monique pour ton partage,
    juste un petit passage, tant le rythme est trop rapide,
    ou plutôt, sans lâcher prise, un petit enfant mérite beaucoup d’attention,

    et quand dans la salle d’attentes d un docteur, avant hier,
    je voyais un couple, chacun sur son portable, leur enfant seul aux jeux, sans regards vers lui,
    idem, dans des parcs de jeux extérieurs,

    les pierres elles, elles rassurent, sont là, de plein.

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