Lecture du Haïku Calligramme: centre, bas, haut.
Point en suspension
Vertige d’un silence
En bleu de Chine
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Lecture du Haïku Calligramme: centre, bas, haut.
Point en suspension
Vertige d’un silence
En bleu de Chine
Entre Ciel et Terre…
Tous deux tirés par le chariot de la Grande Ourse,
Sur un tandem, chacun son rythme, pour la même course ;
L’un pour l’autre dans une Eternité sans nulle trêve,
Nous parcourrons les Cieux réaliser nos rêves.
Rejoindre l’Idéal tout en partant réaliste,
Qu’il n’a point lieu d’être optimiste ou pessimiste,
Quand dans la vie, notre communion, pour unique guide,
L’Amour, pour toujours, devient le Tout de notre vide.
De la Terre au Ciel, nos âmes se sont envolées,
Pris de spasmes de bonheur, elles se sont enlacées,
Pour s’unir dans l’Espoir de leur Infinité.
Du Ciel à la Terre, rapportés par nos baisers,
Cette douce idée du Cœur de plus près se goûter,
Dans le dessein d’élever notre Humanité.
Souffle de Liberté…
Quand vient vibrer son charme à ma bouche sensible,
Comme un baiser d’abeille au délicieux trépas
Qui emporte mon âme au frisson pas à pas :
La vie écrit ses droits prenant mon coeur pour cible.
Dans sa bise d’Amour où les mots sont saveurs,
Elle encre sa tendresse en tableau de folie.
Et sa came m’isole au désir qui nous lie,
Butinant tels deux fous l’évasion du Bonheur.
Pour elle je me livre en romance absolue,
Au train de ses défis de femme résolue,
Où la nuit me conduit, soufflant sa liberté.
Ce cri à l’évidence est l’écho Vérité
Du Cygne qui renaît et fleurit l’empyrée
D’une danse qu’il peint de son aile azurée.
« on n’est pas sérieux quand on a ..* 17 ans »
Poème AD HOC
Un parachute dans le ciel
Un petit point d’exclamation
Qui signe notre admiration
Pour cet espace immatériel
Mille sabords
Dans l’air
Descend
Du firmament
Un signe chair
C’est un para tonnerre de Brest !
Est ce de sa chute verticale
Sous la brûlure du soleil
Après un douloureux réveil
Dont se sauve ce fol Dédale ?
Sacrebleu
C’est à ne pas croire
Mais je le vois de mes yeux
Flottant dans le grand bleu
Dieu quelle histoire
C’est un para tonnerre de Brest !
Un froissement léger
S’entend dans le silence
C’est une fleur qui se balance
De quel éden de quel verger ?
Palsambleu
Le voilà qui s’amène
Quel drôle d’énergumène
Et comme il gesticule
Cet espèce d’animalcule
C’est un para tonnerre de Brest !
Sous sa cloche de toile
Paraissant tout petit
Est ce bien celui dont on dit
Qu’il nous vient des étoiles
Et c’est la fin AD HOC
à faire le pitre on s’empêtre!
lire au lieu de : un petit point de suspension (quoique!!)
« un petit point d’exclamation »
as tu toujours ta gomme virtuelle chère ossiane ?
merci je t’embrasse
L’infini, c’est fini (point d’exclamation)
Et dire qu’ c’était l’envie de mon premier amour…
Si l’on se croise à l’infini?
Sont nos vies parallèles?
A angle droit,
Quand tu prends la tangente
Comme à zéro degré,
Je suis en cotangente…
Es-tu le vide? es-tu la plénitude?
Ce n’est pas sans limites,
Je plonge vers ce sable, cette éclaircie sublime,
Je quitte une interface, j’emporte l’air du ciel,
Je suis pris de vertige, l’ivresse des profondeurs.
Silence de la mer?
De cobalt en turquoise,
Mes oreilles bourdonnent.
Ainsi qu’en parapente
Je m’accroche aux suspentes.
Poupée de porcelaine,
Eh oui je suis fragile!
Merci Ossiane pour cette belle aventure
Merci amichel pour ce clin d’oeil à Rimbaud
______________
Dans le bleu du ciel
J’ai vu le V de la vie
Vol à l’infini
parrallèles ou ppaarraallèèlleess…
Es-tu perdu ?
Suspendu ?
Petit chapeau bleu :
La liberté est un leurre,
Redescends sur Terre !!!
Le vin est servi
Le ciel attendra.
Ossiane, je me suis juste amusée 5 minutes, que ça fait du bien ! aussi légère que ce parachute qui flotte dans les courants d’air.
Bises mouillés, mais pas fraiches du tout ! les ventilateurs tournent à plein régime, c’est dire.
Petit ludion bleu
Au gré des vents
Tu montes et tu descends.
Trouveras-tu le parfait équilibre
Que l’on nomme Paix
Des espaces infinis ?
Il est beau
Ce point d’exclamation
Là au milieu de ce bleu
Si j’aime bien le ciel,
Je suis incapable
De me mettre à la place
De ce joli point d’exlamation,
Mais…
Quoique l’expérience…
Ça doit être si beau
D’être tout là-haut…
Les anjes doivent être tout prés…
Alors je n’aurais plus le vertige!
akène de la nuit
oiseau guidé par tes yeux
seul face au destin
Fleur de pissenlit
Semée à tout vent,
Vole vers l’infini
La graine en suspend ;
Elle part ensemencer
Une vie si fragile,
Qu’on s’efforce d’oublier
Qu’elle ne tient qu’à un fil.
Un vent de synchronicité souffle sur les blogs ces jours-ci (voir la note du 22 sur le blog de Pam) à tel point qu’on pourrait y inter changer les poèmes en adaptant légèrement :
Clin d’œil à Amichel :
Haut dans le ciel pur monochrome bleu
Il semble moissonner la lumière
De son aile dans son vol silencieux.
Avec lui notre âme prisonnière
Se libère et s’élance avec ardeur
Dans l’infini laissant là toute peurs
Suivant les blancs oiseaux glissant sur l’air
Sa pesanteur dans l’espace se perd
Et s’évadant des mornes habitudes
Elle danse libre sans inquiétude.
je sais, tu tombes,
mais fétu bleu, au vent bleu
je te vois monter.
va-z-y balance
balance toi comme toujours
fais la balance de tes jours
pèse encore le pour et le pour
évalue le poids des plumes
fais joujou à la balançoire
les pieds bien loin devant
amuse-toi aux grands vertiges
tout au sommet de tes élans
étire-toi comme l’élastique
ris de ce que tu vois de haut
et prépare toutes tes frondes
au creux troublant de la courbe
regarde encore vers le ciel
sens la résistance des cordes
prends la poussée gigantesque
va-z-y balance toi toujours
a chacun de tes aller-retour
balance tes pierres taillées
des mots-gémissements
des mots de feulements
des mots-rugissements
des mots-barrissements
exerce toi aux cris sauvages
ouvre bien grand la bouche
montre nous toutes tes dents
envoie ce qui monte du ventre
balance toi comme toujours
fais la balance de tes jours
évalue le poids des plumes
fais joujou à la balançoire
t’arrête pas balance encore
J’ouvre……………………………… ICI
Le voile de neiges
En plein ciel
Et je m’émerveille
Derrière la gaze
Un bleu intense
Le V de vol
De vol de vie
Car c’est bien bon
De saisir sa vie
En ouverture………………………… Ailleurs
Du pont de la Seine
mi chien mi loup
habemus panam
de pierres et de cendres
un œil acéré
fuit l’infiniment petit
au-delà du bleu
entre deux sorties,
je pose ma nappe de pique nique,
étale la jolie photo
pose tes mots, Ossiane,
et goûte aux tendres mets déposés
par vous tous
Les larmes du Phoenix, amichel
et vous tous
et je vous remercie
pour tous ces délices
vos plats sans indigetion
les miens hier m ont donné le tournis
chûte du bleu au noir en soirée
voilà ce que c’est de trop se cuisiner
d’AIMER!
juste un peu de sel
simple un peu de poivre
mmhhh.. délicieux!
sourire!
Tel l’oiseau je vole
Libre dans le paradis
Cœur du silence
magnifique Maria D?
je replie la nappe pour aller chercher mon fils,
quoique je la laisse étaler dans mon ciel libre
et reviendrai en fin de journée de rassasier
encore encore de ces doux plats de paradis
qu’on déguste c’est vrai en beau silence!
mmmmmhhhhhhhhhhhhhhhhh!
juste du bleu point barre
encadrer le tout de noir
cacher mes poings serrés
mariaD avec virgule derrière..
ça va bouldegom? FORTS tes mots que je comprends fort!
>les larmes du phoenix :
Très inspiré une nouvelle fois. Beaucoup d’amour et de sensualité dans ces deux poèmes. Je ne m’attendais pas à ce que ce petit parapente donne lieu à de telles évocations. Merci beaucoup et bonne journée.
>amichel :
Est-ce tout ce bleu qui t’amène à écrire ce poème autour du capitaine Haddock dans cette chute AD HOC ;-)) Ton point de chair se déchaîne suspendu et déverse ses mille sabords de bleu à tout va grâce à ta plume malicieuse 😉 Es-tu sûr que c’est bien lui ? Ce pourrait être aussi un poète des étoiles qui a envie de se manifester pour nous transmettre sa vision céleste. Merci pour ton poème amusant qui gesticule, Michel. Attention à ne pas tomber trop fort; je t’embrasse depuis tout en bas.
>Bernard :
C’est presque un cours de géométrie pour parler d’amour;-) Une imagination fertile qui utilise le graphisme du calligramme afin de nous livrer cette notion d’infini. On en est pris de vertige nous aussi 😉 J’aime beaucoup tes deux derniers vers. Merci beaucoup, je t’embrasse.
>Maria-D :
Je te promets que je n’avais pas pensé au V de la vie. En tout cas, c’est un beau signe dans le ciel. Merci également pour ton autre haïku très aérien. Bises.
>Annie-Claude :
Tu as les ventilateurs pendant que de mon côté un grand manteau blanc recouvre mon univers 😉 Pas vraiment perdu selon moi, ce petit homme se laisse flotter un instant dans le bleu pour échapper aux dures réalités. Sois en sûre, il a entendu ton appel pour l’apéro 😉 C’est peut-être sven 😉 Bises givrées ; merci pour ta bonne humeur.
>Michel (2) :
C’est plutôt beaucoup de neige de mon côté 😉 Tu l’avais pressenti hier, n’est-ce pas. Bises.
>Pierre (2) :
J’aime bien ton petit ludion qui se balance au gré du vent pour trouver l’harmonie intérieure. Il en est presque attendrissant. Merci Pierre, je t’embrasse.
>Cristina M :
Vous pensez à un point d’exclamation, j’avais songé à un point d’orgue qui permet en musique de prolonger un son ou un silence. Moi aussi je suis incpable de me mettre à sa place car j’ai réellement le vertige. Vivre ces expériences imaginaires sans peur est un des avantages de la poésie. Merci Cristina, je t’embrasse.
>bouldegom :
Des signes dans le ciel. Un oiseau, un œil. Beaux tes haïkus. Le dernier m’a bien fait rire avec ton point barre. On change de registre 😉
Quant à tes deux longs poèmes, ils me soufflent tant ça vient de l’intérieur. Ils ont sonores ; cris, musique, murmures. De très belles images les accompagnent. Bref, c’est magnifique. On en apprend un peu plus sur ton approche de la poésie. Je dirai qu’elle te dévore et s’exprime sous mille facettes de toi. Merci pour tout cel, belle poétesse.
>Daniel :
Très belle idée cette fleur de pissenlit qui essaime la vie fragile. Tu as la poésie à fleur de peau également. Il y a parfois des correspondances étonnantes avec certains blogs. Je crois que de bonnes ondes passent avec celui de Pam 😉 Merci de t’impliquer si sincèrement dans ces beaux écrits. Je t’embrasse.
>brigetoun :
Joli le fétu ainsi que ce troisième vers qui change tout! Merci pour ton originalité ! Bises.
>Annick :
Merci pour cette ouverture poétique à la vie ainsi pour ce délicieux pique-nique de mots partagé avec nous tous. C’est juste cuisiné comme il faut 😉 Bises.
>feu roméo :
Etonnant poème, roméo 😉 Où es-tu allé chercher tout cela ? Merci à toi.
je secoue un peu la nappe à carreaux pleine de miettes,
je repasserai ce soir cette table d’hôtes si riche,
je digère tendrement cet infini instant,
je monte avec vous tous en ciel bleu infini!
Poooooollll !!
>Bonbonze:
Que veux-tu dire;-)
J’ai levé les yeux
Et là-haut dans le ciel
Il m’est apparu
Tout au fond du jour
De ce jour qui s’effile
Comme le fil de l’ange
Là-haut dans le ciel
Il vit suspendu
Dansant sous le V
Il file et refile
Tissant dans un souffle
L’écharpe du Silence
Là-haut dans le ciel
En route vers la nuit
La nuit qui défile
Dans un cri d’étoiles
Une toile qui se tisse
Araignée du soir
Croise fil à fil
Le fil du Temps
Le temps qui défile
Et tisse nos rides
Rideau dans le ciel
Où cet homme-volant
Ne se lasse plus
De danser sa Vie
Sa vie sur un fil
Porter par le vent
Le vent qui s’enfile
Sous la tenture bleue
De l’aube qui se brise
Dans le firmament
Là-haut dans le ciel
Comme un météore
Escale les cieux
Sur la carte du ciel
Il voyage sans fin
Porté par le vent
Le vent qui l’emporte
Souffle suspendu
Là-haut dans le ciel
J’ai levé les yeux
L’infini m’a dit :……
Seul il est parti
Sur les chemins de la vie
En solitaire
« Sur la maison du rire
Un oiseau rit dans ses ailes
Le monde est si léger
Qu’il n’est plus à sa place
Et si gai
Qu’il ne lui manque rien »
P. Eluard / extrait n°1 les petits justes / Capitale de la Douleur / Poésie – Gallimard
Eh ! Oui ! Encore lui !
A whisper of Hope
Is a flying refugee
In camp of Angels.
…DE BON MAT……….IN
…LA CHAÎNE HI………FI
…CIEL BLEU FI……….NI
le ciel ce doux complice qui permet les rêves en infini..
courbes évanescentes
j’ai chuté sur ton nombril
la nuit et je jour
>Bonbonze:
Que veux-tu dire;-)
C’est le cri que l’on pousse au balltrap lorsqu’on demande un nouveau pigeon d’argile… 🙂
Papillon volette
Dans l’océan de ciel pur
Jardin d’olympe
Bonjour Ossiane,
La liberté, source de toutes les convoitises,pouvant hélas parfois nous amener à des exces pour la garder au risque de la perdre.C’est parfois le paradoxe des êtres humains.
J’aime vraiment beaucoup ce que tu fais.
Passe une bonne journée Bisous a++
Eloignement
Envol
Quête de l’infini
Rêve de toujours
Voler prendre son essor
Par delà les mers de nuages
Se libérer
Désir de pureté d’apesanteur
Quitter sa bulle son cocon
Naître au monde
J’aime beaucoup tes deux derniers vers!
Ai-je réussi ma chute?
Il semble qu’elle me soit interminable…
Sur le sable du fond, une vie se repose.
De l’illumination, en vagues et courants,
S’allongent les sillons, caresses mordorées,
Evasion d’un moment.
Le regard s ‘épanouit, s’émerveille d’un monde:
Celui du grand silence?
Sous la voute immense,
Cathédrale mouvante, d’ombres bleues et de chants,
S’élèvent jusqu’au ciel
Des bulles de nos souffles;
Ces messages sans mots
Distillent nos mémoires,
Emportent des secrets
Que nul ne peut savoir.
Il y a des rencontres,
Des visions d’un autre âge,
Partout des êtres étranges
Des émotions latentes.
Je suis ici chez toi, attentif à tes voix,
Tu me berces, m’apprends
Tes couleurs et tes notes,
Tu es mer, océan,
Tu vis avec le ciel,
Tu embrasses la terre:
Est-ce en ton sein que l’ange,
Puise cette eau limpide,
Et cet amour gracile?
Il y a dans nos têtes un infini fragile,
Poupée de porcelaine
A peine si mes doigts
L’effleurent
S’hypnotisent.
Voler dans l’immensité de l’univers
partager le bleu
les pensées se croisent
la force de l’esprit
sourire
rire
>Maria-D :
Bonjour Maria, quel superbe poème ! Tu m’éblouis 😉 Tu as joué la carte de l’ange qui tisse la toile du silence et du temps dans l’infini. Sa vie fragile ne tient qu’à un fil. Ton évocation est pleine de souffle dans ce voyage imaginaire sans fin au confins de l’infini.
Enfin, merci pour ces morceaux surréalistes de la poésie d’Eluard que tu nous fais partager. Il semble être un de tes poètes préférés 😉 Je te souhaite une bonne journée et t’embrasse.
>Les larmes du phoenix :
English is your new language 😉 Thanks a lot.
>Annick:
Ta journée sera belle et gaie si tu la démarres dans cet état d’esprit 😉 Merci à toi.
>bouldegom :
Je suppose que tu veux dire « le jour » ?
Après l’œil que je voyais aussi, l’oiseau, voici le ventre du monde avec son nombril. Quelle belle chute, bouldegom ! Bises.
>bonbonze :
J’ai bien fait de te demander car je ne connaissais pas ce cri saisissant ;-))
>Maria-D :
Bel haïku en ton jardin, Maria. J’ai failli partir sur le papillon et la lavande mais je me suis retenue 😉 Bises.
>Dominique :
Bonjour Dominique, l’être humain n’est-il pas par nature plein de contradictions … Tu vois la liberté dans ces images mais elle est bien fragile et ne tient qu’à un fil. Sachons la préserver. Bonne journée à toi et merci pour tes interventions.
>Pierre (2) :
Quel envol, Pierre ! Ca plane beaucoup pour toi dès le matin et ça donne envie de te suivre dans cette éclosion de soi 😉 Un grand merci à toi, je t’embrasse.
>Bernard :
Oui Bernard, tu as réussi ta chute en petit bout d’homme fragile suspendu dans le vide 😉
A nouveau un poème à couper le souffle ! J’y retrouve mon calligramme dans lequel j’avais effectivement essayé de donner des allures de fonds marins sur banc de sable. Un monde du silence imaginaire à mi chemin entre océan et infini dans lequel on retrouve l’ange du premier janvier 😉 Merci Bernard, ton poème me plait beaucoup. Je t’embrasse.
>Pam :
La forme de ton poème me fait penser à une aile. Je t’accompagne donc en pensée dans ce voyage du bleu puisque qu’on s’est croisées hier dans le ciel 😉 Bonne journée, Pam, je t’embrasse.
Jusqu’à l’infini
Jusqu’à l’infini
Jusqu’à l’inconnu
Je te suivrai
Pour vivre l’amour
Prend ma main
Prend mon coeur
Allons ensemble
Pour les routes de la vie
Ni la tristesse
Ni le chagrin
Ni la mort
Nous separerons
Si vient le soleil
Si vient la pluie
Le jour, bleu de chine,
la nuit, bleu cobalt
Nous resterons ensemble
Je te suivrai
Jusqu’à l’infini
Jusqu’à l’inconnu
C’est beau Neyde
L’amour est aveugle n’est-ce pas ?
L’âme vagabonde en rêveries infinies en ces temps de solstice
Par ces longues nuits sombres
L’esprit en manque d’espace
Arpente le ciel scrute les océans.
Les jours s’allongent un peu:
Plus longue sera la marche
Plus intense l’ivresse de la fatigue
Et quand le soir venu
Je tomberai de sommeil
Je poursuivrai encore
Ma quête éperdue du bonheur.
Au-dessus des nuages
Le ciel est toujours bleu.
Et quand au soir de la vie il devient noir
Il sera encore bleu en mon coeur.
c’est toujours fort impressionnant un parapente qui vole son ciel comme unoiseau…..
rien à redire sinon que j’aime
Ossiane me laisserai bien glisser dans ce vol. Suspendue…
Sourires vers toi
De retour dans la langue de Molière… même si je dois avouer que s’essayer en Anglais pour écrire des haïkus est tout à fait différent et tout aussi stimulant… à recommander rayon vitamines C ! 😉
Oh ! Le Petit Prince
Apprivoise l’Eternel
Sur son arche en ciel.
De l’infiniment bleu
Du ciel et de la mer
L’Homme est venu
Porteur d’ infiniment d’amour
Pierre (Jeandler)
J’ai bien aimé tes vers.
« Et quand au soir de la vie il devient noir
Il sera encore bleu en mon coeur. »
C’est vrai le coeur ne vieillit pas.
Pendant on rêve, il est jeune
Je t’embrasse
Maria D
L’amour souffre d’un étrange aveuglement.
On ne voit que l’être aimé.
Vole
Vole petit homme
Envole toi vers toi
> Neyde, merci de ce message chaleureux.
Je t’embrasse également.
Le bleu d’Ossiane inspire qu’il soit océanique ou céleste.
Sans oublier le bleu de « L’oeil ouvert »
tout simplement vous dire
que vos écrits son superbes,
que la chûte de vos mots dévalent mon sang en cascades douces,
c’est si bon de pouvoir vous lire vous tous, je suis éblouie,
vraiment, vos jolies sonorités m’apportent tant de douceurs,
tout simplement merci
> Annick, le temps de répondre à Neyde que tes mots arrivent et que j’aime bien.
« Envole toi vers toi »!
Quelle plus belle formule peut-on trouver pour dire la découverte que chacun doit faire de lui-même! Tes mots me touchent et je les fait miens, notés en mon jardin secret.
c’est rigolo Pierre, on a eu la même idée,
et tu étais aussi de ceux dont le poême m’ a éblouie,
tout est si fort dans tes mots,
je viens de relire avec délice tout doucement ces cieux si bleus,
et je me sens si calme, si paisible. Merci bis! Annick
et voilà que tu me parles Pierre, ce jardin est magique,
je glisse tes mots aussi dans le fond de mon coeur,
« et quand au soir de la vie il devient noir
il sera encore bleu en mon coeur »
je te cite Pierre, c’est splendide,
et je pourrais aussi reprendre cetaines phrases si fortes chez d autres, qui me rentrent Là. Merci ter.
Accroché à ta voile
Tu pédales tes pas
Tes mains volent
Libres d’elles
Suspendu entre ciel et terre
Il n’entend rien que le silence
De son coeur qui apaisé
Cadence son chemin de ciel
Le bureau en bas est tout froid
J’apprécie hautement j’apprécie
D’être au chaud tout là haut
Je me le suis dit plusiseurs fois
J’apprécie grandement j’apprécie
Votre châle tout bleu de mots
Posé contre mon cou
J’apprécie tendrement j’apprécie
Réchauffant ma poitrine
Les petites fibres qui me cajolent
Je plonge mes yeux dans ton regard
Qui me navigue en tendresse infini
Dans ton regard mes yeux plongent
Et t’enserrent en caresse infinie
le parableu ne chute pas
il boit le vent
il suit le courant
il se berce apesanteur
le parableu glisse
Très bonne nuit
tendresses des mots !
>>>> Peu disponible et par conséquent pas très présente ces temps-ci sur vos blogs et sur le mien mais je ne vous oublie pas. Je vous remercie pour votre présence.
>Neyde :
Neyde, tu es une grande amoureuse de tout 😉 Ton poème est plein d’élan et d’optimisme. Tu mords la vie à pleines dents. C’est beau ! On te suivrait au bout du monde 😉 Je t’embrasse chaleureusement.
>Pierre (2) :
Toujours si fidèle à mon blog et si généreux de beaux poèmes. Ton attachement me touche vraiment. Le voyage de ton âme vagabonde est également plein d’espoir, de vitalité et de rêves;-) Le bleu y règne en maître malgré le noir. Tu nous exposes, j’en suis sûre ta belle philosophie de la vie 😉 Merci beaucoup Pierre, je t’embrasse et te souhaite de faire de beaux rêves bleus.
>objectif plume :
Merci pour ton passage. A bientôt.
>Claude :
Je t’emmène avec moi, douce Claude, pas de problème 😉 Bises du soir.
>Les larmes du phoenix :
Pas de problème pour l’anglais, tu peux essayer toutes les langues que tu veux 😉
Encore un bel haïku arc-en-ciel ! Bonne nuit.
>MTO :
Décidément, on se prélasse tous dans le bleu 😉
Un beau poème plein de profondeur. L’Homme aime par essence donner de l’amour et en recevoir mais malheureusement il se laisse aller à ses instincts guerriers parfois. Je t’embrasse en bleu ce soir.
>Annick :
La fin de soirée aura été propice pour écrire ces doux poèmes 😉 Sans doute grâce au silence de la nuit. Tu es hypnotisée par tout ce bleu, Annick. Qu’il t’emporta au paradis ! Je t’embrasse.
A l’infini,
M’envolant à l’infini dans cet azur
Savourant à l’infini ces bouffées d’air pur
Mon esprit, là-haut n’est que brisure
Et pourtant, je me sens bien, c’est sûr !
Mes traits que je laisserais tout en haut
Ne seront peut-être qu’une partition :
Nuages dansants sur ces accords
Appelant les oiseaux chanteurs
Accompagnant cette symphonie de bonheur
Puis, bercé par ces visions, je m’endors
Savourant à l’infini les excès de mes pulsions
M’envolant à l’infini sur ces paysages si beaux !
Chris
>Chris:
Superbe poème également. La musique est toujours là palpitante. Un grand merci pour cette pluie de poésie. Je te laisse explorer les abysses de mon blog en paix. Tu evrais y trouver d’autres sujets de rêverie. Bonne soirée!
L’infini
Dans tes ailes étendues
Tu réfléchis le ciel
Demoiselle des étangs
Où la bleue certitude
de tes ailes s’étend
Alain