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Lecture du Haïku Calligramme: de haut en bas.
Les idées noires
Dans le flot gris des embruns
Le bleu les chasse
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Mon chéri
J’ai un peu mal ce soir
Je respire un peu fort
Les secondes plus tristes
Mon chéri
Alors je chasse les vapeurs
Je combats les idées noires
Les moments que j’aime moins
Mon chéri
Je vise de franc le bleu
Je souhaite t’offrir
Ce ciel bleu merveilleux
Mon chéri
Ce ciel est une mer
Les vagues blanches
Sur le bord du rivage
Les tourbillons froufrou
De l’eau qui se retire
Des écumes blanches jolies
Un bleu vaporisé
Sur la toile posé
Sur le petit chevalet
Que je t’offre
Une mer
En plein
Bleuciel
Un ciel
De mer
UNE coquille de noix
ON s’y glisse
ON se serre
UNE mer à nous bleue
Je te souhaite une douce nuit, Ossiane, et comme ta photo est joli, respire des tendres, j en ai besoin ce soir alors je la gobe ta mer tout bleue.. slurppppp.. et je me nage les océans qui font la ronde autour du globe..et je me laisse flotter le corps en bleu, les yeux rivés vers le bleu…. Bises de nuit.
A la suit d’Annick rêveuse et amie fidèle
Chasses spirituelles
————————
Des nuages courent dans le vaste ciel bleu
Légers embruns d’un jour qui se lève et commence
Dans l’azur infini où seul le vent se meut
Chassant au loin l’orage et les peurs en errance
Les songes de la nuit s’effacent au matin
Et la lumière pleut sur des pensées sereines
Le firmament turquoise océan de satin
Calme nos angoisses et apaise nos peines
Seule la mer qui roule et la vague qui danse
Peuvent nous apporter l’exaltante vigueur
D’un beau ciel dégagé à la splendeur immense
Où le regard se perd dans un mouvant bonheur
Et notre âme enlevée vers ses hauteurs sublimes
Dans l’air pur s’élance telle la vive alouette
Eblouie de soleil ivre loin des abîmes
Libre autant qu’en plein vol paraît la blanche mouette
c’est fort et fort joli amichel, je te souhaite une tendre nuit. bises.
JOUR
Jour de surfer
dans les vagues du ciel
Écume, blanche dentelle,
sur le fond bleu.
Jour de sentir
les embruns caressants
tel qu’une pluie magique
sur mon visage
Jour d’éxorciser
le chagrin, la tristesse,
dire bonjour au soleil
essayant de sourire
Il est doux de rêver
De l’azur infini
Je m’étire…
Je respire…
Je danse…
Je m’élance…
Tel un oiseau léger
Pour sortir de la nuit.
Bonjour Ossiane et vous,
j’utilise l’ordi. de mon ami pour vous dire qu’à Tahiti malgré de fortes pluies à l’ arrivée, je découvre de magnifiques paysages, végétation luxuriante , fleurs de tiare à profusion, rafraichissantes cascades à l’intérieur de l’île…demain départ pour Moorea en bateau… attend quand même un rayon de soleil pour faire rayonner toutes ces flamboyantes couleurs !
amicales pensées de Papeete, pour moi, dimanche se termine, il est 20H … pour vous bon lundi
Est-ce le ciel
Est-ce la mer
Vents célestes en silence qui gonflez ces voiles
Et soufflez le beau temps ou la pluie
D’habitude
Pourquoi en elle cette ombre
Soudain qui noircit notre jour
Couvre-t-elle son regard?
Le ciel et la mer se confondant.
Magnifique photo que l’infographie vient enrichir, chapeau à tous les poètes de ce blog qui nous met de bonne humeur en ce début de semaine hivernale.
François, votre ballade en vos roses, est fort jolie. Je viens encore par deux fois de tenter de déposer un petit mot, impossible… déjà la semaine dernière. Je le glisse chez Ossiane.
Bonjour à tous
Que de monde
Que de monde
Prise par le temps
Je n’ai point le temps de lire
Mais que tout doit être beau
Ce soir je vais me régaler
___________
Légèreté bleue
M’emporte au firmament
Heureuse je suis
Le ciel est le plus immense des océans
des nuages comme vagues
des vents pour tempêtes
et un horizon qui se perd
toujours loin,
là-bas
dans l’infini.
Même nos rêves
y trouvent bon port
ou un triste naufrage.
Bonjour Ossiane,
J’espère que tu as passé un bon w-end.Pour moi le bleu représente la couleur de la réflexion et aussi la couleur du ciel de nos espoirs.
Passe une bonne semaine
Bisous a++
C’est très beau , il y a du mouvement , c’est cotonneux , à la limite du soyeux …
Danse, bateau,
Danse sur l’eau
Le ciel est azur ce matin.
Dans le mouvement des vagues,
Quelle mer te porte, te pousse, te hisse
et en même temps te plombe dans son ressac?
Quel vent domine?
Celui d’ Ouest apporte la pluie,
celui du Sud la chaleur…
De bric et de broc il a construit son bateau,
Rafistolé comme il pu.
Au milieu de tout ça Capitaine se sent bien petit.
Il a la main sur le gouvernail.
En idées noires blues mélancolie chasse en eau bleu sur l’azur …
J’espere que cela va Ossiane ?
Je t’embrasse !
Mer de nuages
Le souffle du vent
Rejoindre l’océan
Parfois le matin lorsqu’on se réveille dès l’aube, on voit le ciel aux nuages rosés. Un ciel rose dès l’aube c’est mon énergie et juste quand le soleil a fini de s’étirer et se lève en illuminant la planète mes idées et mon humeur se réveille. Parfois le matin le ciel est gris et reflète des fois mon humeur du matin. Cela arrive des jours les idées noires, des fois des idées roses. Il faut tempérer ces humeurs en regardant que le bon côté de la vie pour voir le bout du tunnel. Courage tes idées roses vont chasser tes idées noires!!! Des bisous roses et couleurs arc-en-ciel.
Vagues de peine
Le souffle du temps
Rejoindre le vent
des sourcils levés,
ponctuation devançant
la nappe blanche.
je dois être plus optimiste que je ne le pensais, je n’y vois pas la peine
des sourcils levés,
ponctuation devançant
la nappe blanche.
Je dois être plus optimiste que je ne le pensais, je ne vois pas la peine
vol fumeur
ou non fumeur ?
répression abusive ?
prise de conscience collective ?
et le bleu de tes yeux
s’évapore peu à peu
dans les volutes bleues…
ton calligramme est fort joli aussi,
vagues d’écumes
écumes en bleu
bleu en mer
mer en roulis
roulis de vie
Non, Brigetoun, je pense que tu vois juste, c’est sans doute moi qui suis un peu nostalgique en ce moment. J’ai tendance moi aussi à faire ce genre d’images, avec en tête des pensées du style :
Toutes les larmes versées
En diamants d’eau salée
Se consolent au soleil
Puis montent vers le ciel
Où le vent les pousse…
…eau douce
Nuage s’étire
Telle une femme alanguie
Dans le lit du ciel
Et ainsi,chaque jour
par verbes déposés
je parviens à cerner
du monde les atours
des êtres les penchants
de rage de beauté
les idéaux ancrés
dans leurs chaînes de sang
des portes du désert
des confins de l’Oural
je sens vibrer les airs
de leurs joies ancestrales
Une pensée amicale pour Sven,
Quoi de plus beau
Que le bleu du ciel!
Quoi de plus beau
Que ces fils blancs!
Que de mots si beaux
Ont déjà été déposés
Et sans doute d’autres suivront,
Pour balayer
Le reste des idées noires
Que Ossiane a chassé
Avec ce ciel majestic!
J’ai choisi mon coin de ciel
Là où le peigne du vent bleu
Esquisse sur la toile
Des voiles de vapeurs enivrantes,
Des nimbes cotonneuses
Effilochées de mèches,
Eparpillées de blanc:
Ce sont des vagues d’âme
Et d’amour fugitives,
Renouvellées sans cesse,
Aspirées dans l’azur;
Volutes étourdies
En voyage écriture.
Où s’étire le temps, le coeur est immobile.
Il n’y a plus qu’à être
L’air de rien, disparaître…
Je te laisse rêver,
Des yeux d’enfant s’arrêtent,
Là, au coin du ciel, le silence respire.
>Annick :
Merci pour ces poèmes pleins de tendresse ; j’aime tout particulièrement le deuxième qui traduit bien ce que je ressens face à ce ciel. Bises.
>amichel :
Une belle attention pour Annick. Un superbe poème qui part à la chasse de fantômes de la nuit. L’azur fait retrouver la sérénité. J’aime la façon dont tu mêles mer et ciel. Ta dernière strophe est très belle avec ce parallèle entre l’âme et la mouette. Merci beaucoup Michel, tu sais une nouvelle fois donner vie et poésie à ces photos. Je t’embrasse.
>Neyde :
Tu réagis très vite sur cette note 😉 L’envie de te laisser flotter sur ces vagues vaporeuses a été la plus forte et tu as eu raison. Ton poème est fort; je sais ce que tu ressens. Mes pensées affectueuses à tes côtés en ce moment. Je t’embrasse bien fort.
>Annie-Claude :
Quel élan de vie à 5h54 😉 Le soleil serait-il revenu sur ton lagon ? As-tu réussi à croiser sven ? Merci à toi, blanche colombe 😉 Je t’embrasse.
>sven :
Une simple coincidence sans doute mais tu suis Annie-Claude, la princesse du lagon dans les commentaires 😉 Un très grand plaisir de te lire Sven depuis ces îles lointaines 😉 C’est très sympa d’avoir pensé à nous. Je crois comprendre que tu ne t’ennuies pas et que tu découvres avec délice toute la beauté végétale de ces îles. Continue de nous envoyer tes petites cartes postales colorées qui réchauffent le cœur. Je t’embrasse bien fort. Profite au maximum !
>Pierre (2) :
Un beau poème Pierre dans lequel on est en perte de répères. C’est ce que je voulais montrer. Tes vents célestes donnent une belle envergure la voilure. Merci beaucoup, je t’embrasse.
>François :
Merci pour ton enthousiasme, maître jardinier 😉 Tu comptes également parmi ceux qui mettent cette bonne humeur. As-tu vu la petite dédicace que Neyde a apposé à la fin de son poème sur la note précédente ?
>Annick :
Envoie-moi le commentaire que tu veux écrire à François, je lui posterai. Décidément, tu as bien du mal à aller chez les autres blogueurs.
>Maria-D :
Je te remercie de trouver le temps de mettre un mot. Un bel haïku, ta journée sera lumineuse.
>Guess Who :
Quel poème plein d’élan de si bon matin, Tiago ! Tu as raison de souligner cette notion d’infini dans le ciel. Il est vrai qu’il n’y a pas d’horizon à l’intérieur mais notre regard s’y perd sans se poser de question, juste pour y poser son cœur. Bonne journée, je t’embrasse !
>Dominique :
Bonjour Dominique 😉 La couleur bleue fédère les regards et les opinions car elle apaise, ouvre l’espace de la réflexion et de la méditation parfois. Connais-tu le livre de Michel Pastoureau, Bleu. Histoire d’une couleur, aux éditions Le Seuil ? Il retrace toute la symbolique du bleu à travers les âges. C’est très intéressant. Bonne journée, je t’embrasse.
>Michel B :
Cette image de ciel est plus douce que la précédente. C’est un voile gazeux en mouvement comme tu le soulignes. Il y a des beaux spectacles là-haut. Merci à toi.
>Candide :
C’est peut-être toi le petit capitaine au gouvernail qui chante à tue-tête 😉 Malgré l’immensité, le ressac et le vent, il tient bon la barre et se laisse guider par son instinct. C’était ma note azur du lundi matin pour vous donner la forme 😉 Bises de l’ouest.
>Bruno :
Bruno, pas de problème pour moi à l’horizon 😉 Je poursuis juste mon idée des larmes de la précédente note. Mes haïkus ne sont pas forcément autobiographiques 😉 N’oublie que je suis en voyage perpétuel 😉 Bises chaleureuses; je compte passer te voir.
>Daniel :
Bien fait cette façon de se faire rejoindre les deux éléments. Un haïku fusionnel. Merci à toi.
>Les larmes du phoenix :
Au niveau des commentaires que je fais, j’essaie d’être la plus simple et sincère possible parfois au risque de me tromper ou de faire des maladresses. Je ne veux surtout pas théoriser car je n’en suis pas capable et ce n’est pas l’objet de mon blog. Je ne fais que vous livrer mes émotions personnelles. Pour ce qui est du dernier poème que tu as posté, j’ai préféré ne pas trop m’aventurer car je ne savais pas trop ce qu’il y avait de sous-jacent. Pas toujours facile de donner son avis sur des textes plus abstraits. Dans ton cas, j’ai ressenti mais n’ai pas réussi à mettre en mots cette émotion. Merci de nous donner ces éléments de compréhension. Belle journée, je t’embrasse.
>Brigetoun :
Tu as raison Brigitte, la peine est là à gauche mais en fuite devant le bleu.
Ton haïku est très différent des autres, presque surréaliste. Tu te démarques par l’originalité de ton regard.
>Fred de toulouse :
Superbe petit poème décapant sur la fumée (des nuages) qui t’a inspiré. J’aime beaucoup ta dernière strophe avec ces volutes bleues dans les yeux. Fumes-tu, Fred 😉
>Daniel :
C’est le lundi de toutes les rencontres, Daniel avec cette peine emportée par le vent 😉 Merci.
En tout cas, ta nostalgie du moment donne de belles choses en poésie. Superbe ton eau douce !
>Maria-D :
Quelle belle image, Maria ! Tu démarres très fort 😉
>feu roméo :
Merci beaucoup roméo pour ce poème émouvant qui part à la découverte du monde et des autres. Au risque de me tromper, ça me fait un peu penser à ce que tu fais sur le blog en lisant les poèmes de la tribu. Bien sûr, ce n’est pas ancestral. Bise du lundi !
>Cristina M :
Merci Cristina de reconnaître mes bonnes intentions 😉 Tu sens décidément toutes mes vibrations depuis ton Pacifique 😉 Bises chaleureuses.
>Bernard :
Magnifique poème, Bernard. Toujours à l’affût du moindre détail dans les images pour donner vie à tes mots. Belle image « le peigne du vent bleu ». Ton évocation est très sensible avec ces mots presque évanescents pour décrire la nuée vaporeuse, l’éphémérité et la fragilité des nuages. Un voyage écriture dans lequel on se laisse bercer infiniment. Merci beaucoup pour ce partage azuré. Je t’embrasse.
Que de beauté en ce lieu
Tant dans les textes que dans ce ciel-mer
C’est très beau Ossiane
Quelle photo magique !
Merci ! Merci !
Annick,
j’aime beaucoup ton histoire de coquille, m’y emmènes-tu dans ton bateau ?
J’ai pris dans mes yeux
Le ciel en son entier
Les nuages le bleu
La lumière la liberté
L’universel et l’infini
Mon œil s’est apprivoisé
Et la juste image du sensible
S’est posée en mon être
Avec un frémissement éthéré
Le sidéral et l’absolu
Bruissement de l’air
Fraîcheur de la bruine
Chaleur des étincelles
Fertilité des lœss
L’abyssal et l’idéal
Puis sans blesser les choses
Le tout s’est envolé
Avec légèreté dans l’apesanteur
Revenu à sa place initiale
Le ciel en son entier
J’ai pris dans mes yeux
C’est trop beau et le commentaires trop beaux aussi..merci à tous…
Donc devant tant de jolis écrits , je vais me contenter d’une petite comtine anglaise…
What is blue ?
The sky’s blue
Where the c louds
Float through.
Comme il est doux
De lire Sven de si loin
A Papé-été
bain d’eau vaporeuse
sur le coussin de saphir
passage d’une étoile
bain d’eau savonneuse
avec le canard Saphir
pas sage du tout
😉
YOUPSSSSSS
Monte
Maria
Accroche toi
Attache ta ceinture
On va secouer les vagues
On va défier les tempêtes
Regarde le ciel bleu
Reprends des étoiles de mer
Viens
Visite avec moi la mer
Maria
Monte
YOUPSSSSSS
et déjà
yaouhhhh
comme ce voyage fait du bien
comme la détente revient vite
le soleil brille
le beau est là
pose toi
profitons de ces instants là
le week fut hyper lourd
le temps bien trop chargé
alors
ahhh comme c’est bon
yaouhhhh
et déjà………………
et tendrement le ciel se ballade son étoffe vaporeuse de soie nouée autour du cou et qui flotte au vent sur ses épaules d’écumes que les cheveux frissonnants dégagent pour plus et encore plus de soie toute bleue, et le ciel il avance tout tendrement vers son avant vers sa vie qui lumière ses frousfrous dans ses vapeurs d’athmosphère que je serre que je serre………
mer démontée nuit agitée
je me perdais de labyrinthe en labyrinthe
le navire englouti plongeait dans les abysses
je tentais de retenir les cordages flottants
mon portable serinait le dernier message
je faisais en boucle l’inventaire du kit de survie
chacun devait se laisser emporter par les flots
notre devise était qui vivra verra mais qui mourra aussi
j’avais enregistré un éternel message d’amour
j’entendais aussi à chaque jour suffit sa peine
j’émergeais brusquement des cauchemars houleux
des vagues blanches d’écume chassaient le bleu de prusse
le jour clair me submergea comme une déferlante
sur mon écran mon vague à l’âme je t’aime infiniment
mon troublant vague à l’âme je t’aime infiniment
mon vague à l’âme bleue je t’aime infiniment
mon vague bleu à l’âme je t’aime infiniment
coucou j ai comme une envie de rebondir en lisant tes mots chère Bouldegom, car m’était venue un truc dans ce style, allez Annick lance toi à LÔ! Bon, youps…
Mon visage devant l’écran
Scrupte le tien
Et quand il est bleu
………………………………….Le mien devient bleubleu
Lorsque tu es triste
C’est bon que tu le sois
La tristesse faut aussi
La vivre sans la refouler
En larmes qui peuvent
Ensuite trop noyées
Alors j’avance mes yeux en cils
Et je ramasse perles
Tes chagrins
Et te revoir devenir bleu
…………………………………….Me rend bleubleu
Je t’aime.
Je t’aime…………………………………………………..mon bleudebleu!
Je
…Je t’aime
…………..Je t’aime infiniment
…………………………………Je t’aime infiniment mon bleudebleu
Grand merci Annick
Quelle pêche !
Je t’adore
Tu m’fais trop rire le coeur
Parfois aussi pleurer les yeux
Que d’émotions
Tu sais donner
Que d’émotions
Drapé de tes rêves,
Viens défier les vagues
Du Cirque céruléen.
Les signes du jour
Que tu as su apprécier
Subliment les Cieux.
Sur un long sentier d’éther,
Fiancé du Vent,
L’Artiste s’évade.
heu? je le fais pas exprès! bises Maria… ma vie est une émotion permanente, c’est juste ça!
>Maria-D :
Superbe poème, Maria ! J’en ai aussi pris plein les yeux. Une belle immersion dans les fils invisibles du bleu. Quelle plume tu as !
>MTO :
Voilà que tu te sens toute intimidée 😉 Tu es pourtant capable d’écrires de belles choses ; tu l’as prouvé par le passé 😉 Merci pour ta comptine. Je t’embrasse.
>bouldegom :
Joli bouldegom ! Quelles ressources poétiques hors du commun tu as en toi !
A mi chemin entre imaginaire et réalité pour parler de la vie, de l’amour, des cauchemars, de la mélancolie. Tes mots sont très forts. Merci beaucoup, je t’embrasse.
>Fred :
Tu ricochètes sur bouldegom 😉 Elle saura apprécier ton humour pas sage du tout 😉 Bises.
>Annick :
Tu fais ta fofolle avec Maria 😉 Le bleu a vraiment des vertus insoupçonnées 😉 Bises du soir.
>Les larmes du phoenix :
Des haïkus qui ont du souflle ! Merci !
c’est rigolo,
je venais dire à Maria, que je suis émerveillée devant ses mots que ce soit ici ou dans d’autres blogs.. merci de partager autant…
et voilà que Ossiane l’a dit avant moi. sourire! bises du soir!
si je faisais la fofolle avec Maria je faisais des ricochets fort tendres avec Bouldegom qui un jour m’ emmenée dans un ballade de papillon au dessus de l’eau, je m’en suis pas remise encore.. si bouleversée ce jour là.. sourire! signé annickfred ou fredannick comme cela vous fait plaisir. sourire!
sisi je m en suis remise. et fort bien! c’était pour rire!
As long as you’re here
I can hold the world
In the breath of my guitar.
« Le mal de vivre » (Barbara)
Ça ne prévient pas quand ça arrive
Ça vient de loin
Ça c’est promené de rive en rive
La gueule en coin
Et puis un matin, au réveil
C’est presque rien
Mais c’est là, ça vous ensommeille
Au creux des reins
Le mal de vivre
Le mal de vivre
Qu’il faut bien vivre
Vaille que vivre
On peut le mettre en bandoulière
Ou comme un bijou à la main
Comme une fleur en boutonnière
Ou juste à la pointe du sein
C’est pas forcément la misère
C’est pas Valmy, c’est pas Verdun
Mais c’est des larmes aux paupières
Au jour qui meurt, au jour qui vient
Le mal de vivre
Le mal de vivre
Qu’il faut bien vivre
Vaille que vivre
Qu’on soit de Rome ou d’Amérique
Qu’on soit de Londres ou de Pékin
Qu’on soit d’Egypte ou bien d’Afrique
Ou de la porte Saint-Martin
On fait tous la même prière
On fait tous le même chemin
Qu’il est long lorsqu’il faut le faire
Avec son mal au creux des reins
Ils ont beau vouloir nous comprendre
Ceux qui nous viennent les mains nues
Nous ne voulons plus les entendre
On ne peut pas, on n’en peut plus
Et tous seuls dans le silence
D’une nuit qui n’en finit plus
Voilà que soudain on y pense
A ceux qui n’en sont pas revenus
Du mal de vivre
Leur mal de vivre
Qu’ils devaient vivre
Vaille que vivre
Et sans prévenir, ça arrive
Ça vient de loin
Ça c’est promené de rive en rive
Le rire en coin
Et puis un matin, au réveil
C’est presque rien
Mais c’est là, ça vous émerveille
Au creux des reins
La joie de vivre
La joie de vivre
Oh, viens la vivre
Ta joie de vivre
C’EST MAGNIFIQUE, AnneMarie,
je suis fort gâtée avec vous tous! because Ossiane, car je reviens de si loin….et cette pente est si douce et fort belle..et j’y suis bien.Bonne soirée. Mais c’est difficile pr moi de ne pas réagir et d’exprimer devant tout cela!
Et flottent, légers,
Dans la douceur énamourée des cyrus,
Les cheveux de la fille du vent.
Anne Marie
Merci pour ce magnifique texte de la longue Dame Brune que j’aime tant.
Ossiane
Annick
Merci, je ne fais que dire ce que je sens
C’est pas grand chose
« Dans la douceur énamourée des cyrus » c’est très beau aussi et « la fille du vent » que de merveille.
Pour vous dans mes lectures de ce soir j’ai relevé ceci :
…/…
Un jour de plus je respirais naïvement
Une mer et des cieux volatils
J’éclipsais de ma silhouette
Le soleil qui m’avait suivi. »
…/…
Paul Eluard / La vie immédiate/ extrait de Front couvert/ Poésie Gallimard
>les larmes du phoenix:
Voilà que MTO t’a donné des idées;-) Good night.
>Anne-Marie:
Quel beau texte! Merci et bonne nuit.
>MTO:
Finalement, tu as osé revenir;-) Quel joli poème tu nous as écrit! Il se passe de bien belles choses là haut. Bises.
>Maria-D:Tu aimes beaucoup Eluard et tu sembles bien le connaître. Ce poème illustre parfaitement l’épéhémérité de ces nuages. Bises de nuit.
*sourire* Honnêtement je n’avais pas lu son commentaire plus haut mais le tien m’a encouragé à le faire… peut être qu’il y a là un vent commun qui ont laissé sur ce bleu un rien de brouillard londonien ! ;-))
Sweet dreams ***
qui a laissé*
I can hook the sky
With the silk of memory
To retrieve your smile.
mon chemin de nuit
tout repère noyé de neige
qui a vu le nord
promesse de sagesse
duvet de plumes sur le monde
la nébuleuse du jour
…/…
Un jour pourtant un jour viendra couleur d’orange
Un jour de palme un jour de feuillages au front
Un jour d’épaule nue où les gens s’aimeront
Un jour comme un oiseau sur la plus haute branche
…/…
Court extrait du long poème : « Un jour Un jour » de Louis Aragon mis en musique par J. Ferrat
Sur fond outremer
Des chimères s’affrontent
Le peuple du ciel
« Ici, le temps n’est plus le même. Il faut se dépouiller, se laver pour entrer dans le domaine de la mémoire. Nous faisons ce voyage ensemble….. » J.M.G Le Clézio / Gens des nuages/ Stock
Nuage
Dans l’océan du ciel
Il nage flotte navigue
Il transporte ses secrets
Il s’étire
Sans ennui Sans douleur
Sans crainte de trahison
Il sait
Il sait que seul l’élu recevra son message
Pour le rêveur gourmand d’imaginaire
Il s’arrête quelques instants
Il se métamorphose Devient autre
Puis s’effile S’éloigne
Poursuit son Chemin du Ciel
D’éternel voyageur
Bonjour Ossiane,
Je te remercies pour le titre du livre que tu m’as indiqué.Moi qui aime vraiment le bleu, j’en apprendrai certainement beaucoup.Merçi
Passe une bonne journée Bisous a++
… et l’on s’élance dans ce ciel ossianique, paré de tant et si beaux mots, dans cet espace de pureté et de vérité où tant de poètes, et non des moindres, sont convoqués et viennent dire leur émoi.
Qui vient ternir mon ciel?
A traits légers, une main d’ange
A griffé le paysage.
Quelques vagues ajoutées au dessin,
Plus loin, une plage de sable blanc étincelante.
Tout cela vogue et monte
En parallèles douces
Qu’un vent contraire mais léger
Parfois ébouriffe et frange
Comme d’un regret.
Mais tout cela vole et nous emporte
Comme un embrun ourlé d’un peu d’argent.
Lavande bleue
Vapeurss blanches
Odeur de feu
Me tire la manche
Mes yeux découpent
Un bout d’étoffe du ciel
D’aujourd’hui
Le mette entre deux verres
Sous un microscope
L’oeil cligne, cherche
Le plus petit bleu
Du ciel
*Aucun
Alors les mains
Vont chercher
Un morceau de la tête
Et le glisse devant l’oeil frais
Le bleu est partout
Magique et splendide
Il danse sous l’oeil du microscope
Qui rayonne dans l’orbite
*Dans tous les sens
Dans l’écran libre
*Que je *serre que je serre
J’enfonce mon petit filet
*Que je *ballade que je ballade
Je pêche des nuages blancs
*Que je *dépose sur une toile
Et plonge dans le ciel bleu tout bleu
*Que je *brasse que je brasse
je te souhaite une bonne après midi, Ossiane, ici, assez opaque le ciel, mais le soleil tente tente des efforts désespérés pour percer, la couche est solide, et le laisse passer en filets mignons orangés juste un peu…
Sous les plis bohèmes
Que sa robe papillonne,
Vertigent les sens.
//// /////,///// ;////….////// . ///// / J’aime ta couleur bleu de ton Haïku /////// ////…. /// // ./.
>les larmes du phoenix :
Tu es prête à faire beaucoup de choses 😉
>bouldegom :
Merci pour ces beaux haïkus de circonstance. Bises.
>Maria-D :
Tu es très foisonnante d’idées et de propositions littéraires 😉 On sent que cela fait partie de ton univers quotidien. Merci pour ces beaux écrits d’auteur que ce ciel suscite ainsi que pour tes poèmes en hommage au nuage. Ton dernier est majestueux avec ce nuage voyageur initiateur de rêves. Je t’embrasse bien fort.
>Pierre (2) :
Magnifique poème en esquisse pour illustrer ces flots ébouriffés avec douceur et légèreté. La main de cet ange est bienveillante et n’a pas terni ton ciel, au contraire. Merci pour ton beau coup de plume, je t’embrasse.
>Annick:
Bonne après-midi à toi aussi. Pas de soleil pour moi à l’horizon désespérément gris. Merci de faire tant honneur à ce bleu en écriture. Surréaliste ton deuxième poème;-) Bises du samedi.
Effet de style
**************************************************
Moutarde et sauce tomate
Pastèque et ratatouille
L’apparence a la vie dure
Dans l’océan des certitudes
Pour un sourire de celle que j’Aime… je ferais tout en effet !
Je suis prêt (sans e) 😉
Esquisse au couteau
Geste du poignet qui glisse
Sur la toile lisse
Cette image de ciel bleu
Ne doit pas nous laisser indifférents
Un homme nous a quittés mais
Son appel reste vivant
N’avoir vu le JOUR que pour naître et mourir.
Hommage à l’abbé Pierre.
c’est fort beau Maurice…
LA VIE
Fête
D’un
Jour
Aux
Multi
Instants
Beaux
Avant
Là
Mort
Depuis longtemps, les nuages captés par cette photo se sont ‘mourus’ ou se sont ‘tus’ ou se sont ‘perdus’ au bout du monde. Et cette photo immortalise leurs passages dans le ciel de la vie qui se traîne et se passe au travers des nuages, soleil, pluie, vent, terrre, sable, mer, montagne…..
Oui
Je suis de tout coeur avec vous, et ai une pensée pour l’abbé Pierre depuis hier.
Le comble c’est que depuis cette nuit c’est le grand froid et ce soir beaucoup de gens sont bloqués dans la neige.
Sacré bonhomme que cet abbé
J’ai traversé le noir
……………………J’ai traversé des noirs
……………………………………………Je vois un peu de ciel
……………………………………………………………………et il est bleu!
C’est
La nuit
Qui suit
Le jour
Ou
Le jour
Qui suit
La nuit
Sait?
…………………………..Le JOUR
……………………………..Où
………………………..je sUis née
me programme pour mouriR
……………J.O.U.R…………..
………………S.N.I……………
……………..E….R…………..
………………….E…………..
Ossiane, tu signes déjà bise de samedi, et nous sommes mardi….bon, c’est juste en passant, un jour est un jour, mais si tu oublies que c’est mercredi demain?? !! bises de J’Marre’ditttttttt qui dit que sait Mardi!
Jour***
Tout nouveau né
Tu nous offres ton jour
Tes bras douces promesses
Ta langueur du jour nous sommeille
Et ta tendresse passionnée de la journée
Nous rappelle et nous dit que tout jour est premier ***jour!
La vie
Cette folie
Qui dure des jours
Des jours et des jours
Alors autant la vivre au bleu
Dès que des temps possiblesss
Amènent ces lagons de ciel bleu
Cet escalier qui monte monte monte
Une petite perle s’est déposée
dans le creux de ma main douce
je la regarde respirer se reposer
elle bulle de bleu même si mouillée
je la conserve précieusement en moi
et l’emmène partout mon ciel de vie
dans une petite perle de rien du tout
qui bulle de bleu des perles de pluie
et pleut des perles écumes de bleu
Son âme s’envole, son corps se tend, son coeur bulle des petits mots crus frais d’enfants qui caresse la bonté de la beauté du jour qui s’offre généreux en retrouvailles si espérés dans le coin de quelquepart si secret si dans une petite malle magique où le temps s’est arrété et a attendu patiemment le passage du temps…qui de « jour en jour » nous mène sur le chemin du plus inattendu voyage qui est l’approche de soi sur son petit chemin….
« »c’est assez pour ce ‘jour’ , mets ta petite capeline, ma douce plume, et sors de ton encre, secoue toi, rince toi, viens, je vais te border dans ton petit duvet de plumes que ton bel étui de soie bleue te caline chaque jour….repose toi, prends soin de toi, demain sera un nouveau ‘jour’.. « ‘
oeil de crocodile
regard noir sous les assauts
résistance aux bleus
Merci aussi Annick pour tes beaux poémes.
Quelle inspiration et quel plaisir de te lire…
Bonsoir Annick sans oublier Ossiane qui nous permet
de nous emmener ….rêver
A demain. Bisous de BELGIQUE
La douceur bleue est trompeuse,
elle tansporte des nuages blancs
qui s’agittent et s’activent
pour déposer leur substance blanche
sur notre douce France.
>Patricio:
Ton poème est sûr de faire de l’effet;-)) Il m’a bien fait rire;-) Merci à toi.
>Guillaume:
Que j’aime ce genre de poème sur les gestes du peintre ! Bien vu!
>Maurice:
Oui, cette disparition affecte beaucoup de gens ici en France. Bien à toi et bonne nuit.
>Annick:
Tu as écrit tellement de poèmes de toutes formes et sur toutes sortes de thèmes que je ne sais plus quoi dire;-) Merci beaucoup pour ton imaginaire fertile;-) Je t’embrasse et te souhaite une bonne nuit.
>bouldegom:
Attention, tes poèmes prennent du mordant;-) Merci ! Bises.
>Michel (2):
Exact Michel, peut-être as-tu connu cette douceur blanche là où tu vis mais ce ne fut pas mon cas. J’ai dû me contenter de bon vieux gris;-) Merci, je t’embrasse.
Juste un peu de neige ce matin mais je sens que ça va retomber.
poezitouzazimuts
ma poésie chuchote
elle souffle sa musique
ma poésie murmure
elle se coule dans les flots
ma poésie chante
elle flotte dans les airs
ma poésie clame
elle chevauche les horizons
ma poésie croque
elle grignote les plaisirs
ma poésie mastique
elle rumine ses lubies
ma poésie mord
elle ne lâche pas le morceau
ma poésie lacère
elle coup d’épée dans l’eau
poézitouzazimut(avec un « s »)
Quand la montagne rejoint le ciel, s’ ouvre l’ espace de tous les possibles …
>Kaïkan:
Merci Kaïkan, j’aime cette fusion de l’air et du minéral qui fait marcher l’imaginaire. Bises à toi. J’espère que tes travaux avancent bien.
Bonjour Ossiane!!
J’aime beaucoup cette photo du ciel. C’est vraiment magique !!
Félicitations pour toutes tes photos et tes poésies qui sont magnifique !!
un petit retour en arrière
sa vie est celle d’un nuage
personne ne peux le retenir
quand se lève le vent du large
poussé vers ces lieux à parcourir
sombre , paré d’éclats de lueur
il s’en va libre et sauvage
chaque jour changeant d’humeur
arborant de nouveaux voilages
parfois discret, invisible
ou gigantesque et menaçant
il est souvent imprévisible
partout en même temps
léger, il effleure la terre
au matin il semble se poser
mais repart vers son univers
il laisse son ombre planer
pourtant il voulait être un chaine
enraciné profond dans la terre
la tête penché vers l’univers
cet impapable nomade sans chaine.
mmmmhhh, c’est joli, Marc…
quelle grâce ! dans la photo et dans le calligramme
les mots si bien battus par le vent
de l’image…
le hazard m’a fait découvrir cette page,
et ce blog qui m’apparaît d’une grande qualité.
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>Bonjour Gaspard, bienvenue sur le blog et merci pour votre visite chaleureuse et vos compliments;-) Bien amicalement.
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