Glycine

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Violette et Blanche, la Pluie de Fleurs S'épanche dans le Jardin d'Eau.

Violette et Blanche, la Pluie de Fleurs S'épanche dans le Jardin d'Eau.

Violette et Blanche, la Pluie de Fleurs S'épanche dans le Jardin d'Eau.

Violette et Blanche, la Pluie de Fleurs S'épanche dans le Jardin d'Eau.

* Lecture du Haïku Calligramme: gauche, centre, horizontale, droite.

Violette et Blanche
la Pluie de Fleurs S’épanche
dans le Jardin d’Eau.

* Photo de glycine dans les jardins aquatiques de la bambouseraie d’Anduze.
Pour en savoir plus sur cette plante grimpante

* Un petit clin d’Oeil amical à Brigetoun et à son blog journal de vie.

44 réflexions sur « Glycine »

  1. La glycine
    Fleurissait le ciel
    Au dessus du jardin d’eau.
    Et c’est là
    Que nous refaisions le monde à l’envers
    Quand le soleil brillait dans le bassin
    Et qu’il suffisait de baisser les yeux pour le voir,
    D’y tremper la main pour le caresser sans se brûler
    Malgré les flammes rouges
    Des petits poissons.
    Et c’est là
    Que les senteurs
    Nous enivraient
    A marcher sur la tête
    Jusqu’à rire aux larmes des pétales
    Où nos coeurs tissaient les lianes.

    Catherine

  2. La pluie de glycine est beaucoup plus romantique et parfumée que celle des nuages qui ont envahi le ciel parisien ce week-end. Avec les vent, les glycines sont devenues plurielles. Des pétales violets tapissent les trottoirs. En souffrant, les plantes fleurissent le macadam et le béton. Ironie du sort. Bisous

  3. Excellente idée de faire des séries. J’aime particulièrement celle-ci.
    Bonne continuation.
    Michel

  4. « on dirait……
    que j’amène un matelas pneumatique,
    que le duvet réchauffe la nuit un peu froide en ce mai,
    que nos coeurs se laissent emmener,
    que cette douce couverture qui borde nos yeux,
    que ce parfum qui nous serre dans la nuit noire,
    que cette pluie de pétales qui sable nos yeux pour dormir enfin,
    que juste apaisés d’avoir vécus un beau moment de vie,
    que les yeux pleins d’étoiles s’envolent encore plus haut et
    que pas pressés par le petit jour, on reste là, encore, encore et encore…. »

  5. tentative d’aller-retour

    la glycine tisse dans son silence
    ses coulées de sirop de violette
    les reflets de ses lianes de larmes
    essaient de se hisser jusqu’au ciel

  6. la glycine canaille
    se glisse
    lourde
    par les échancrures
    du bois orthonormé

    il suffit
    alors
    de lever la tête
    et de pulper du regard
    les bulbes fragiles
    aux langues enroulées

  7. La main de la dentellière contemporaine a soigneusement découpé le drap de glycine pour permettre à la lumière de s’y glisser…
    Et depuis lors, ce ne sont que vibrations d’éclats de rires d’enfants
    nouveaux…même la pluie se laisse prendre au jeu et s’essaie à quelque fresque harmonique…

  8. >Catherine :
    C’est le monde à l’envers avec le ciel et le soleil dans l’eau dont les feux sont des poissons rouges. Marcher la tête, boire les parfums, rire pendant que la relation se tisse sous la glycine. Un très joli morceau de poésie surréaliste, Catherine. Merci beaucoup pour l’ivresse de tes mots. J’aime beaucoup.

    >Zebu32 :
    Pauvres glycines désarticulées par le vent. Celle-cia été prise au début de la floraison. Toujours un peu triste de voir ces tapis de pétales piétinés. Comme un morceau de vie qui s’en va. Belle journée. Je t’embrasse.

    >Guess Who :
    Il faut un bout de temps pour qu’elles arrivent à ce stade et surtout il faut des armatures solides. La glycine a une force colossale. Bises.

    >michel59 :
    Tu penses sans doute à ces séries que tu proposes sur ton blog 😉 C’est une série dans la série. Je trouvais qu’elle donnait l’impression d’avancer dans l’allée. Bonne journée et merci.

    >Annick :
    Superbe cette comparaison avec cette couche moelleuse pour ces deux amoureux! Tout y est ! Le matelas, le duvet, la couverture. Et l’oreiller, où est-il 😉 Je plaisante un peu, Annick… Cette mise en sommeil parfumée est très sensible et douce avec cette pluie qui sable les yeux (belle image) puis elle monte en puissance pour se remplir d’étoiles. Un bel instant d’éternité. Merci beaucoup Annick pour ta belle poésie.

    >Bouldegom :
    Un subtil tissage gorgé de sucre et d’eau. Vouloir toujours aller plus haut, vers la lumière. Merci pour tes mots à images.

    >Pierre (2) :
    Je suppose que ce sont les montants noirs de cette treille qui t‘ont conduit à associer ces oiseaux à la glycine, non ? … Un joli morceau de poésie aérienne et musicale. Merci.

    >l’œil vagabond :
    Point de larmes chez toi mais de la gaieté avec des perles mauves qui s’agitent et se bousculent. Destin fragile malheureusement. Beauté d’une vie éphémère à savourer. Merci pour ta poésie en fantaisie ce matin. Je te sens toute joyeuse et je crois savoir pourquoi 😉

    >Véronique :
    En effet, c’est un nid de verdure et une fraîche tonnelle l’été.

    >regard :
    En haut, la glycine qui fait des folies, en bas, le promeneur qui admire. C’est bien vu d’avoir donné vie à cette glycine face à cette armature rigide et droite. Elle se charge de se l’approprier et de l’apprivoiser. Un beau moment de poésie à déguster avec le sourire. Merci et bonne journée.

    >Kaïka :
    Un voile de dentelle ajouré laisse passer la lumière et échapper sons et vibrations. Grande musicalité de ta poésie, Kaïkan. Rires enfantins, bruit de la vie et de la pluie … Ta glycine vibre d’intensité. Merci pour les émotions que tu sais capter avec les mots. Je t’embrasse.

    >eureka :
    Merci aussi 😉 Pas bavard ce matin 😉 La glycine t’intimide ou c’est parce que c’est lundi 😉 Belle journée.

  9. Un quadrillage bien français, mis en valeur à juste escient géographique par l’Haïku d’Ossiane. C’est que la belle nous vient de l’Orient extrême, de Chine et du Japon, introduite en France dans les jardins du Museum de Paris en 1818. Sous la pergola, sur la treille, qui s’en lasserait ? S’accroche à tout, faisant seulement semblant de tomber.

  10. La Glycine

    Des grappes blanches ou bleues
    De la glycine au troncs noueux
    J’ai mangé le fruit délicieux
    Ses fleurs au parfum capiteux

    Sous la tonnelle il pleut averse
    On dirait que le ciel déverse
    Des pétales aux teintes diverses
    Des violettes que le vent disperse

    Le soleil en jouant caresse
    Avec douceur avec tendresse
    La dentelle ajourée de ses tresses
    Aux frissons plein de délicatesse

    Sous ce dais coloré majestueux
    Abri rêvé vont les amoureux
    Qui s’y donnent heureux
    Des baisers fous et langoureux

    Guirlandes légères et sucrées
    La glycine éveille en secret
    L’âme à la splendeur sacrée
    Des beautés irréelles et vraies

  11. En grappes
    elles protègent le mystère d’un treillage
    que même effeuillées
    elles ne pourront dévoiler

    (j’aime beaucoup l’épaisseur de cette image, Ossiane, épaisseur dans le sens mystère, compacité, et pas du tout lourdeur bien sûr !)

  12. >JPB:
    Bonjour Jean-Pierre. Merci de nous donner l’origine asiatique de la glycine. Pas mal de plantes de nos jardins sont issues de ces pays. Le jardin de Giverny en témoigne. Une belle treille tirée à quatre épingles sous laquelle on peut s’abriter. Sous ses airs alanguis, la glycine est pleine d’énergie;-) Merci pour ta visite. Bien amicalement.

    >amichel:
    Glad you are back;-) As-tu dit bonjour au vent de ma part?
    Point de grand vent sous cette tonnelle mais une pluie de fleurs parfumées pour les amoureux. Chevelure tressée qui joue doucement avec le soleil et guirlandes de fête pour cet ode à la beauté secrète. Merci beaucoup Michel pour la lègèreté joyeuse et insouciante de ta poésie. Tu nous a fait rêver…

    >Léah:
    Merci pour ton joli poème. Des multitudes de grappes qui tombent du ciel. Impression irréelle d’être dans un autre univers lorsqu’on se trouve en dessous. Je comprends bien l’épaisseur dont tu parles. Merci pour ta visite. Amitié.

    >MTO:
    L’amoureuse des jardins, des roses et des tissus est de sortie;-) Toutes ces passions se sentent dans ce que tu as écrit! A chaque vers, il y a une référence au tissu. Quelle belle idée ce métier à tisser et cette trame qui en découle sur une note d’éternité. Formidable! Je t’embrasse.

  13. Grappes violettes
    ruisellent en cascades.
    Encres fleuries
    sur ma robe de soie.

    Tes pas nus déja
    foulent le vert tendre,
    trace parfumée.

    Je te reconnais les yeux fermés.

    Tu approches.
    Je t’attends.

  14. Bonjour ,
    Inflorescences légères qui se balancent au gré du vent, mais attention ,il ne faut pas se fier aux apparences . C’est une plante qui a beaucoup de force et qui peut tordre le support sur lequel elle s’enroule.Merci Ossiane pour ces jardins suspendus.
    Eric

  15. méli – mélo

    je ne me lie pas
    pour ne pas avoir
    à me délier

    je ne m’attache pas
    pour ne pas avoir
    à me détacher

    je ne regarde pas
    pour ne pas avoir
    à être regardé

    je ne touche pas
    pour ne pas avoir
    à être touché

    je ne m’épanche pas
    por ne pas avoir
    à me dévoiler

  16. Savent-ils que l’art a de multiples visages
    Petites flammes d’idéaux tressées sur les berceaux
    Oripeaux du silence ou sublime l’espérance…
    Qui veut poursuivre?
    j’ai perdu mes feuillets

  17. >Sylvie:
    Une très belle rencontre sous la cascade violette. Les yeux sont fermés pour mieux savourer l’attente où le désir est mêlé. Seulement des bruits de pas et des parfums. Merci beaucoup Sylvie pour ces mots sensibles et délicats. Je t’embrasse.

    >brigetown
    Tu n’avais jamais remarqué cet air anglo-saxon avant;-) Contente de t’avoir fait plaisir;-)
    Vert et violet, deux couleurs qui vivent en harmonie. La référence au tissu ou au voilage refait son apparition avec ces fronces. C’est sans doute pour symbolisier ce rideau de grappes. Bonne idée d’avoir mis en avant la présence de plus en plus grande de l’armature. Ton joli poème me fait penser à un haïku en quatre vers. Merci pour ta visite. Bonne fin de soirée.

    >Eric:
    Tu as raison de souligner ce contraste entre l’apparence fragile et le désir de puissance de la glycine. Il faut bien la contrôler et l’arrimer. J’aime beaucoup l’image de ces jardins suspendus. Merci Eric pour ton passage. Je t’embrasse.

    >bouldegom:
    Quel méli-mélo cette glycine inspire à ce spectateur attentif! Pas question de s’attacher à quelqu’un ni de s’exposer au regard des autres. Il préfère l’intimité et la discrétion. Qui est-il? J’espère que je n’ai pas déformé ce que tu as écrit. Merci beaucoup pour ce poème original et étonnant sur le comportement humain inspiré du végétal. je t’embrasse.

    >euréka:
    Plus la journée avance, plus tu t’exprimes en originalité;-) Amusant ton petit exercice de style autour de ces petites flammes gonflées d’espérance ou de silence. C’est au choix. Moi je choisis l’espérance dans le vert de ces feuillets;-) Merci beaucoup.

  18. sourdre
    du coeur de l’hiver
    du bois noir qui semble mort
    au printemps revient la vie

    nicher la vie au fond de soi quand vient l’hiver

    coule coule la vie
    dans l’élancement de la liane, dans le bourgeon, dans la fleur qui s’ouvre s’épanouit et meurt

    au soir de sa vie pouvoir poser la tête ayant donné son maximum

    coule coule la vie
    ruisselle la glycine
    torrent de vie!

  19.  » Sur le mur y avait des glycines,
    Sur le mur y avait des glycines;
    Toi, tu portais un tablier bleu,
    Toi, tu portais un tablier;
    Toujours le nez dans tes bassines,
    Toujours le nez dans tes bassines,
    En ce temps-là, on se parlait peu,
    En ce temps-là, on se taisait.
    C’est pas d’l’amour, pauvre Martha,
    C’est pas d’l’amour, mais ça viendra.
    Paraît que cousin et cousine,
    Paraît que cousin et cousine,
    Ça ne doit pas s’aimer d’amour, non,
    Ça ne doit pas parler d’amour.
    Alors on parlait du beau temps,
    De la pluie et des fleurs des champs,
    De la vendange et du labour, mais
    On ne parlait jamais d’amour.
    C’est pas d’l’amour, pauvre Martha,
    C’est pas d’l’amour, mais ça viendra.
    Puis je suis parti en usine,
    Puis je suis parti en usine,
    Je n’voulais pas être fermier, moi,
    Je voulais être le premier.
    Merci beaucoup, petit Jésus,
    J’ai bien mangé et j’ai bien bu,
    Je suis aimé et respecté, moi
    On me dis « vous » pour me parler.
    C’est pas d’l’amour, pauvre Martha,
    C’est pas d’l’amour, mais ça viendra.
    Pourtant quand je vois des glycines,
    Pourtant quand je vois des glycines,
    J’ai envie de les arracher, moi,
    J’ai envie de les arracher.
    Paraît que t’aurais eu deux filles,
    Qui font partie de ma famille,
    Mais comme l’amour ne me dit plus rien,
    Elles n’auront jamais de cousins.
    C’est pas d’l’amour, pauvre Martha,
    C’est pas d’la haine, mais ça viendra. »

    Serge Lama

    un coucou en passant sous les senteurs des glycines 🙂

  20. ce parfum entêtant
    évoque un temps heureux et doux lourd eux .
    J’aime et je n »aime pas la glycine .à plus Ossianah j évoque souvent de ta cathédrale

  21. quand auras tu envie d’une autre cathédrale , j’attends ,et retourne de temps en temps au 12/09/2005

  22. cette pluie de mots

    mots-doutes et labyrinthes
    origines lumières et ombres
    mots-paradoxes et émotions
    mesures liens intensité
    mots-chair sens et odeurs
    ardeurs fusion empreintes

    cette pluie de mots

  23. au passage du temps
    tu perds le rond et le lisse
    l’intact l’innocent
    au passage du temps
    tu apprends l’usage
    l’exténuement le don
    au passage du temps
    tu te figes ou tu acquiesces au mouvement
    au feu du temps
    tu te brises ou t’épures C.N.M.

  24. >Candide:
    Hiver et printemps, vie et mort, tu as choisi de partir en poésie sur ce bois apparemment mort mais qui dort. Réveil brutal de la vie qui coule dans l’élan de la liane pour finalement trouver tout au bout la mort de la fleur. Une belle réflexion poétique, Candide. Sachons profiter donc des plus beaux instants. Belle journée et merci pour ta visite.

    >franc6:
    Merci pour ces paroles. On ne peut pas dire que ce soit le grand amour avec Martha 😉 Les pauvres gylcines en sont témoin; c’est terrible de vouloir les arracher de dépit. Belle journée Francis. Je t’embrasse.

    >Alain de la communauté:
    Aïe! Désolée Alain de réveiller de mauvais souvenirs dans la beauté des choses. Mais ça peut arriver.
    Je vois que ce souvenir de cathédrale reste très fort dans ta mémoire. Que veux-tu dire par « quand j’aurai envie d’une autre cathédrale? » Que je refasse un panoramique dans une autre cathédrale? Pour les nouveaux venus qui ne peuvent comprendre à quoi Alain fait allusion, voici le lien: https://blog.ossiane.photo/2005/09/cathedrale.html

    >Bouldegom:
    Au fur et à mesure que les heures s’écoulent, tes poésies deviennent plus abstraites, un signe que tu t’es bien immergée dans les photos pour en sortir la substantifique moëlle;-) Une belle pluie de mots sur ce qui façonne l’être humain avec ses doutes, ses émotions et ses éclats de vie. Bravo! Bises sous la pluie.

    >euréka:
    Je dirai un peu la même chose que pour Bouldegom. La glycine a le mérite de nous faire réfléchir. J’aime bien ce que tu as écrit sur l’influence du temps qui passe sur l’être humain. De l’innocence on passe au don de soi. Une belle façon de se réaliser. On a le choix entre fixité ou action, se perdre ou aller à l’essentiel. Une petite question qui te paraîtra un peu naïve. Ca veut dire quoi C.N.M ? A part Cercle des Nageurs de Marseille ou Club Naturiste de la Meuse, je n’ai rien trouvé:-) Merci pour ces mots.

  25. Dommage que tu ne sois pas venue… Une prochaine fois ?

    Au fait, ils sont superbes tes glycines…

    [euh, j’crois bien que c’est Brigetoun – avec un u comme dans UU ;o)]

  26. belle Ossy

    cette Glycine m’a ravivé le souvenir
    de ce déjeuner de mon saut sur la route de Sambuc à La Chassagnette en pleine Camargue
    un filament de rayon de soleil sur cette terre printanière

    douce Ossy merci pour ce cliché délicieux !

  27. >UU:
    Dommage en effet! Ce devait être sympa. On finira bien par se rencontrer un de ces jours;-) Tandis que je fais une fixation sur le O, toi c’est le U;-) Tu as VUU que ces deux lettres se retrouvent dans le nom de BrigetOUn maintenant;-))
    Je passe te voir tout à l’heure. Bises.

    >Catalina:
    Bonjour, je te souhaite la bienvenue et te remercie pour tes compliments. Au plaisir de te revoir sur ce blog. Bien amicalement.

    >Douce Lilly rose:
    Le parfum de la glycine a cette fois ravivé des souvenirs heureux dans ce coin de Camargue que je n’ai pas visité. Petites perles violettes d’amitié en route vers Paris Assas. Merci pour ton rayon de soleil.

  28. Colette Nys-Mazure un
    tres grand poète qui écrit merveilleusement bien sur la condition féminine

  29. >eureka:
    Ok pour ce nom, il me semble que tu as déjà parlé avec admiration de cette femme. Peux-tu mettre les noms d’auteur de façon explicite? Ce serait plus clair pout tout le monde d’autant plus que j’ai des lacines à combler côté poésie. Merci et bonne soirée.

  30. La glycine a une force d’inspiration inimaginable…Merci à tous pour vos écrits remarquables.

  31. Je me permet d’apposer un texte écrit lors d’un diner dans un magnifique restaurant dont la spécialité est la cuisine avec des fleurs.
    L’originalité est à son comble jusqu’à l’addition même sur une feuille d’arbre.

    Aux « Saveurs des Jardins »

    Aux « Saveurs des Jardins »
    Toutes les fleurs ont leurs destins
    De l’entrée au dessert
    Découvrons les plaisirs de la Terre,
    Plaisirs certains, certains plaisirs
    Qui, grâce à vous, nous vont à ravir !

    Aux « Saveurs des Jardins »
    Les jolies fleurs ont remplacé le pain,
    L’originalité est une vérité
    Cherchons-la, ici, sous nos pieds !
    En mangeant ou à haute-voix
    Que c’est bon, ma foi !

    Aux « Saveurs des Jardins »
    L’imaginaire à l’aube du chemin
    Des roses du début à la fin !

    Aux « Saveurs des Jardins »
    L’addition, si austère, se transforme
    Une feuille qui volète se forme
    Poussé par le vent, on y règle la somme !

    C’est sûr !
    Aux « Saveurs des Jardins »
    J’y reviens dès demain !

    Chris

  32. sublime, magnifique, j’aime beaucoup, bravo et longue continuation, dans ce monde de folie nous avons besoin de beauté …………….. merci

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