suivre les étoiles
ces lumières qui scintillent
peu importe les nuages
• • • •
follow the stars
these twinkling lights
no matter the clouds
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
suivre les étoiles
ces lumières qui scintillent
peu importe les nuages
• • • •
follow the stars
these twinkling lights
no matter the clouds
Merci Ossiane pour ce bouquet scintillant et ton message toujours plein de gentillesse, espère que tu vas bien, je t’embrasse.
Il y a toujours
dans un coin de notre ciel
des étoiles qui brillent.
Voir tournoyer sans s’abattre ce qui n’est pas d’albâtre
mais arbore bien plus de couleurs et va s’ébattre
c’est la danse permanente autour d’un point fixe
qui n’indique pas qu’il y ait seulement une rixe
mais tant de déplacements suscitent des flottements
rien ne se soulève vraiment aux arpents entoilés
si ce n’est que cette voute divine nous laisse deviner
ce que plus tard en somme l’ensemble va devenir
et c’est bonheur complet et honneur absolu
de décrypter le ciel dans un effort du temps distendu
feuilles à feuilles on note les relevés de positions
en plus d’examiner de près les circonvolutions
une mécanique c’est leste qu’il faut être
pour ainsi pouvoir arriver à la remonter
tant d’amers nous guident
Au bord de ce ruisseau sous la feuillée
serait-ce le temps ou l’eau qui s’écoule
de feuille à feuille, de jour après jour
drainant sans cesse nos joies et nos peines
Les feuilles comme des étoiles filantes
s’en vont mourir comme meurent les humains
petits maillons en quête de bonheur
sur la terre qui tant bien que mal tourne
le ciel a ses étoiles et ses nuages
la terre ses sourires et ses larmes
Mais c’est beau un arbre aux feuilles d’or
beau comme le sourire d’un enfant.
Parfois les idées s’assombrissent comme des nuages dans le ciel , il faut attendre que le soleil revienne sans impatience, sans peur, tu as raison Ossiane, peu importent les nuages…derrière il y a le soleil une citation mille fois prononcée…
La viser la lumière
Pour se dorer le coeur
Dénicher les merveilles
Se perdre dans
les nervures du temps
Se noyer dans
le ciel flamboyant
Rire et vivre…
De l or en branches
Un bel Automne
Qui éclaire si fort
Ce jour de novembre
promenade au bord du lac
les mains dans les moufles
à la lumière dorée
du feuillage des arbres
…et sur le bord du chemin, en ce temps où nous ne savons plus comment nous vivons, un parterre tout blanc comme si c’était le printemps, des fleurs de Fausse roquette voisinant les tapis de feuilles mortes , c’était joli !
/Users/yvestissot/Desktop/IMG_1099.jpg/
Users/yvestissot/Desktop/IMG_1162.jpg
Poème de Thomas Vinau : un poète à suivre sur son blog
Bonsoir Yves
Desolee vos deux premiers echanges ne s ouvent pas. Bonne soirée
dans le bruit du vent
des étoiles au bout de branches
dansent en cadence
Ah si le mistral pouvait dans son souffle anéantir la pandémie ! Je souhaiterais qu’il souffle sur le monde entier !
Très joli Monique.
Un claquement de doigts
Le cauchemar s en va
Un rêve d humains libres gais
Devient réalité
Vole au vent
Sa chevelure rousse
Des frissons d’automne
Au fil de l’eau elles s’en vont
qui sait jusqu’où elles iront
dans le courant de ces eaux bleues
loin de la terre et loin des cieux
chercher en vain le firmament
briller encore un peu de temps
histoire de nous faire oublier
tout ce qui peut nous ennuyer
j’aime l’automne, j’aime le vent
les couleurs au soleil couchant
là-bas les étoiles qui courent
aux dernières lueurs du jour
jusqu’à s’éteindre et …..disparaître.
quand on sait que les feuilles nourrissent la terre pour les arbres qui les ont fait vivre, je n’ai pu finir ce texte par : jusqu’à s’éteindre » pour toujours » ce qui en premier chef m’étais venu, car la vie continue… disparaître n’est pas tout à fait synonyme de mourir….
Prenez soin de vous, merci pour vos passages si agréables dans ce temps de confinement et de silence.
Il y a ce deuil d Automne
Qu on peut faire au Printemps
Ou par un chaud Eté
Et aussi dans l Hiver
Et même si cet Automne
Connut son deuil de chair
Pour un père absent
C est un deuil en jeune âge
Dès la naissance vraiment
Puisque l enfant gênant
Un père qu à histoires
Mais pas pour faire rire
Rien que pour faire des histoires
Des Lumières d Automne
Inoubliables tellement
C’ était un bel Automne
La chaleur de ses feuilles
Rouges attendrissantes
Bonsoir Annick je viens de lire tes mots bouleversants et quelle force dans ce petit texte qui suit par des mots si apaisants pleins de douceur, qui nous parlent de beauté, de chaleur et de tendresse, j’y suis très sensible.
La chaleur de cet arbre
Elle fait du bien vraiment
Quand ce jour son non stop
De crises si fortes encore
Puis celle clastique enfin
Qui laisse anéantie
Quand la vie est ainsi
Ce virus on le hait
Il brise la vie sur terre
Merci Monique.
Beauté chaleur tendresse
Sont les sens de ma vie
Ceux que je me suis choisie
Pour Être sur cette terre
Qu une simple envie d aimer
Ce qui est beau son tendre
Et chaleure le coeur
Enrobés de brumes
dans le linceul de l’automne
l’arbre se dénude
Hier tout vêtu d’or et de feu
aujourd’hui son corps est à nu
Il n’y a pas de tristesse c’est le juste repos de la nature, un cycle nécessaire pour que continue la vie…. Bonne semaine à tous.
L’Automne voit tomber les feuilles
Qui en manuscrits composent les troncs
Si belles partitions de vie que nos forêts
Ah si un arbre à serrer pour chaque enfant
Quel bel partage vivant pour le monde
La nature des gens, la Nature éduquent
Le petit être qui éclot à la vie.
Tant que les arbres existent
L Humain peut vivre en vie