poussière du vent
nuage de légèreté
mon doux brouillard
• • • •
dust wind
cloud of lightness
my sweet fog
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
poussière du vent
nuage de légèreté
mon doux brouillard
• • • •
dust wind
cloud of lightness
my sweet fog
un évent de baleine
un événement blême
puissance saline
Et j écarquille les yeux
Et je bois une perle
Et le collier de vie
Il étrangle moins fort
Il serre beautés pépites
Il est doux bon d aimer
Dans le confusion
se mêlent et s’entremêlent
embruns et nuages
Dans l’univers de nos âmes
émersion d’un arc en ciel
S’élever jusqu’à
Caresser les nuages
Imagination
Jaillissent d un brouillard
Des pétilles mille éclats
De vraie de vie sa belle
Et comme c est joli
Quand la tête poélise
Quand le naturel revient
Du plus profond de l âme
Des espoirs pleins les yeux
La tête se légère
Le doux pas se sautille
Amour quand tu me gardes
Vivante dans ce monde tel
Si bon le tendre levivre
Quels bonheurs que demain
Avec nos petits enfants
On se retrouve enfants
Comme c est bon vraiment
De doux temps pleins d amour
La vie vaut d être vécue
Quand elle est vagues cristal
Et pendant tous ses jeux
Multiples et variés
Elle oublie son corset
Ma petite chérie
Bien avant l irm le douze d un tel mars
Son petit frère pousse si simplement
Quand maladies températures
Empechent ses joies de levivre pour elle
Alors on fait la sotte
On se rit aux éclats
Des que cela est possible
La vie c est un bel jeu
Dans les jupons d une vague
Qui donnent joli tournis
Le Printemps ses soleils
Quand l hiver à survivre
Citerne fendue en mille étoiles
Déverse sur moi l’étreinte des courants
Lascive la sirène se donne
Et fait naître en moi l’écaille de mes chavirements
Joue contre l’une
Fins des jours – Et si le ciel devenait notre miroir ?
C est joli miomodus
C est joli ce que vous écrivez.
C est tendre et délicat
Comme je l aime la vie
Et pourtant elle est aussi sa rude
Mais je l aime susnommé même
J espère que tu vas sur bien Ossiane et chacun
Désolée d avoir déserte l écriture mzison la vie réelle à exige de moi d être à fond les manettes. …
Cela devrait peut être plus tranquille mi Avril…
C est qui vivra verra…
Le ciel bleu admire
Les éclats de la vague
Qui se firent au soleil
Et réverbère les noirs
Qui manquent de lumieres
Je vous embrasse chacun.
Qui se dorent au soleil
Et réverbèrent les noirs
« Imaginer c’est s’absenter, c’est s’élancer vers une vie nouvelle. » Gaston Bachelard dans l’air et les songes
___
Saupoudrer le ciel
de constellations d’étoiles
mystification
c’est vouloir imaginer
un monde sans zones d’ombres
___
bonne et douce semaine à tous les passants de l’œil ouvert
un ciel de Turner
azur et onde mêlés
le regard chavire
***********************************************
Merci Monique, Annick, de vos mots toujours chaleureux.
Bonne semaine à vous si fidèles sur le pont.
Surprenant… je vois un visage dans la partie haute et centrale de l’écume. Un petit visage de 3/4 tourné vers la droite (vers sa gauche). L’esprit de l’écume ?
J’avais aussi perçu ces mirages, Nours.
Vous avez raison Nours et Jacline, il y a dans les nuages, le brouillard, la brume de l’aube et du crépuscule tous les mirages de notre imaginaire et peut-être davantage…
Un jour de tristesse en mon âme
j’ai vu surgir de cette brume épaisse
sur fond d’ azur un œil au regard tendre
j’ai cru voir un visage, j’en fus troublée
depuis je regarde intensément le ciel
Il n’est pas rare d’y voir jaillir le dit
qui se veut être, celui que l’on attend
Et je vous lis tendrement vos petits mots tels de petits nuages ou de douces vaguelettes chargées d humanitéen baisers doux
Qui manquent si souvent dans ce monde si rude
Pourtant les beautés méritent les obsessions de se laisser aller en lâcher prise ami en rentrant dans le coeur des fleurs
En surfant les bords de mer quand ils tempétant
En savourant la perle de thé sur la lèvre aimante
En posant son léger pour épargner le brin d herbe
La vie reste si jolie et si grande pourtant elle tue si souvent si durement
En les posant les mots on enfile ses ailes
Ou plutôt on les revois
Très souvent la vie peut faire oublier que il est si bon de voler son cervele petit
Pour s ouvrir de belles vues qu il est bon de gober
ni douceur ni légèreté
la violence retardée qui explose
la triste prescience qui expose
l’irréparable qui frappe au jugé
la perte d’une maman est insupportable !!!
Une pensee chaleureuse pour toi Thierry nous sommes confrontés à la douleur après ma fille je viens de perdre mon mari brutalement . André Conte Spointillé vient de publier l’inconsolable….une maman un papa un enfant un mari c’est oui difficilement supportable.
C’est quoi la vie ! un long chemin vers l’incontournable et inevitable fin aussi il faut savoir regarder de chaque côté du chemin et cueillir la beauté au passage …. après il est trop tard….c’est bientôt le printemps….les fleurs sont toujours au rendez vous et il y a forcement toujours un petit coin de ciel bleu au creux de notre mémoire, le bruit d’une vague pour étouffer nos sanglots.
Oh Monique ! je suis sans voix , bien sûr je suis à tes côtés, une série terrible …
Je me préparais depuis 16 ans et le décès de mon beau père, mais c’est différent
alors oui je profite du moindre des instants et le gout de la vie est appréciable dans la suspension éclairante de la finitude
Je vous lis avec émotion
Je t embrasse Monique et toi aussi Thierry
Le deuil d un être cher c est une déchirure inexprimable qu elle soit pour un amour pour un homme pour une mère. .
Pour une mère cela renvoie à sa propre mort à soi et
Quand on est mère d un fils autiste le goût acide dans la gorge est parfois bien trop fort
La solitude cet hiver fut hyper lourde dans une région avec quelques connaissances les amis chers sont la haut au nord
Mais combien de personnes coupées d êtres chers en plein désert réel dans l.incapacité financière de les revoir. ..
La vie? La sur vie?
Bien sûr corriger André Comte Sponville… merci Thierry, merci Annick
des amis m’ont envoyé ce poème de Charles Peguy je le partage avec toi Thierry
« La mort n’est rien, je suis seulement passé dans la pièce d’à côté,
Ce que j’étais pour vous, je le suis toujours.
Le fil n’est pas coupé,
Je ne suis pas loin, juste de l’autre côté du chemin. »
Je lis tes mots Monique
Et je les comprends fort
Il faut du temps pour accepter de ne plus voir en réel la personne aimée
Ce qui augmente la puissance de la douleur c est quand le conjoint le plus proche, un ami proche….peuvent manquer de respect en clamant qu une nouvelle vie commence leur vie enfin libérée. …
Comment peut on se réjouir d un décès. ..
Passer dans la pièce à côté en faisant le moins de vagues possibles
En ayant préparé sa sortie pour que les aimés n aient que leurs douleurs à chouchouter
Un deuil dans l amour avec tout que qu aimer comporte de joli
Monique Thierry je suis loin mais je pense à vous et vous envoie mes pensées affectives. J espère que vous serez soutenus le plus possible par vos proches.
Le sommeil doucement habite par les oiseaux
Un réveil tendre envahit les veines en chances
Le corps se tend il prend ses aises
Des vagues lucioles baignent la petite tête
Il pleut dehors mais peut importe
Bailler détend se laisse reposer encore un peu
A trente minutes la mer est là
Les yeux se ferment respirent sa côte
Comme la Bretagne est fort jolie
Marcher une digue regarder sa mousse
Quand le vent fort l agite tant
Et quand le retour de huile si paisible
Merci Metci la vie Dame si belle
Ta si aimante quand tu donnes tant
Dans la pépite d un grain de sable
Une jonquille un rayon d or
Le sourire bon d un être humain
Merci merci quand t’es divine
Dans tes bonheurs qui donnent VIE
Et que pour ceux en grandes peines
Que la vie offre des pleins de bonheurs
Sans pouvoir effacer votre peine
Juste un témoignage de soutien à vous deux
dans ces moments si difficiles…
ainés aimés aidés
vous n’avez pas idée …
il ne faut pas hésiter
et toujours sans compter
laisser résonner
la musique de l’amour
pas exclusif mais inclusif
Monique ce poème a été lu au cimetière juste avant la mise au caveau du cercueil
Annick, papa a 90 ans et ça fait plusieurs années que je le soutiens dans ce long chemin
peut être un jour vous donnerais je à lire l’éloge funèbre que j’ai lu à l’église
un adieu aux larmes et un témoignage de reconnaissance absolue
pour l’instant j’essaie de reprendre pied
merci amies du blog si chères et bienveillantes
Thierry, Monique encore tant éprouvée, vos messages me laissent également sans voix. Ce blog de poésie est aussi un espace de bienveillance à travers nos contributions personnelles où effleurent nos vies. Au-delà des mots, je vous assure tous les deux de ma profonde empathie et de tout mon soutien.
Passer des larmes aux rires et vice versa
Non je n’ai rien oublié et d’abord comment l’aurais je pu avec ces événements ,heureux le plus souvent, même si les deuils ont frappé, plus souvent a côté de nous et nous ont largement épargné.
Pourtant la solidarité ne nous a pas empêché d’accompagner ceux de nos proches qui en ont soufferts intensément dans leur chair ou ont même fini par oublier pour continuer de vivre tellement cela aurait été compliqué sinon.
Porteur de mémoire et trop souvent non pas attiré mais rappelé par la mort des êtres chers il a été compliqué de faire face à de nombreux deuils successifs qui se sont étagés dans le temps.
Le déluge de larmes en flot continu n’a jamais ravagé mes joues par plaisir mais bien par nécessité et il fallait laisser s’écouler tout cela sans retenue aucune ni mettre de barrage aux sentiments douloureux convoqués pour la circonstance.
Pas d’auto apitoiement mais des schémas classiques et répétitifs qui conduisent au bord du précipice, ni chutes du Niagara pour celui qui s’égare dans un chagrin vitrifiant ni une simple douche vivifiante qui annonce des arcs en ciel quand sécheront les rivières.
Laisser libre cours aux épanchements tant qu’ils ne durent pas plus de quarante jours et considérer avec fatalité qui n’est pas facilité l’inexorable cours du temps qui voit la pesée des âmes.
Seuls les autres peuvent porter un tel jugement dernier mais pas sans deniers pour clore les paupières avant la traversée, le cycle n’est pas désincarné et avec la mémoire le souvenir renait et s’entretient.
Aborder de façon saine l’absence, le départ et le manque, ne pas chercher de substitut ni être procureur, procurateur peut être et surtout accompagner le défunt dignement comme il aurait peut être aimé qu’on fit.
Non, tous les souvenirs ne sont pas soufflés par le vent
et la peine s’abat lourdement sur les épaules affaissées
quand au brouillard de la sidération il se dissipe à peine
les doutes ne sont pas comme des croutes purulentes
il n’y a pas de déroute comme tant parfois la redoutent
mais cet abattement qui avachie momentanément l’esprit
par bribes et par images s’insinuent non les remords qui causent du tort
mais les douces habitudes et les moments choisis dans les rebonds de la vie
les sourires et les voix qui ne dévoient et dévoilent à peine avec pudeur
l’ampleur des sentiments cachés derrière un visage navré et des yeux rougis
on voudrait pouvoir crier mais rien ne sort il n’y a plus rien à essorer non plus
il faut vivre comme cela avec des questions en suspens
Muqueuse marine délivre feuille à feuille
ces grains de sens qui réenchantent l’image
âprement pour à proprement parler tisser
en filigrane la trame de ces éclats au gout sûr
–
jardin émoustille
bouquet de gypsophiles
tendre courant d’air
–
Pensées aux coeurs en peine
merci Bourrache
ça fait si longtemps…
quel plaisir !
Ce reflet de nos vies
Comme un départ vers l’infini
Vers l’insomnie
Un cri au cœur de la nuit.
Un rêve comme une évidence
Sur l’enracinement de mes tourments.
Ce n’est pas un simple miroir
avec la pensée inversée
dans le fossé pas encore renversé
coule l’eau des souvenirs
Bonjour Bourrache cela me fait plaisir de te lire
Merci à vous Miomodus et Thierry
L âme de la vague se lève
Et sourit à l amour
S’aimer tendresse en présences
Elle sème dans baisers
Particules jolies
D une écume si douce
En amour éternel
Ses secrets bien niches
Dans sa pensée à ailes
Eleb sème dans ses baisers
Elle
Merci de m excuser
Mon téléphone portable écrit a sa mode…
Bonjour à tous
Pensées émues pour chacun
Merci MioModus
« Un rêve comme une évidence »
Un imperceptible mouvement de paupières
Dans une douce et légère insomnie…
Bonsoir et merci à tous les amis de l’œil ouvert et belle image de Bourrache dans son bouquet de Gypsophile, petites perles de la nature sur le ciel bleu d’azur, la beauté du monde reste une caresse pour les âmes en quête de tendresse.
N’être qu’un éclair
dans l’aurore de la vie
ou le crépuscule d’un soir
frissons d’écume
passagers de l’insondable
pions de l’échiquier
sur lesquels tout repose
Toutes les larmes montent au ciel
ce ne sont pas nos seules armes
pour lutter contre le chagrin
Les larmes, un débordement mais certainement pas une arme…
Il en est de plus secrètes,
de plus douces, de plus profondes,
elles émanent du cœur
à la vue d’une fleur,
à l’émergence d’un souvenir heureux,
à la consonance d’un mot,
à la force indestructible de l’amour
dans lequel il est doux de se lover
et ce dans le plus grand des silences….
Une défense alors …comme un voile de mariée
qui découle…pas de tout
et laisser perler au bord du trou
pour laver non la conscience
ni même la mémoire
mais rougir sans joie
et puis se souvenir
des nombreux instants de paix
Inciser dans le sens de l’existence
Voir jaillir l’ébène au noir des ciels
Se fondre dans ces couleurs intenses
S’écouler sur le sol en encre éternelle
Devenir le sel dans la fin du jour éclatant
Pour retenir l’essentiel la force de l’inconnu
S’échouer à la magie des vents exaltants
Devenir léger comme l’air le corps nu.
Ainsi l’incise haut monte vers le ciel
bravo miomodus c’est trop beau !
Très fort encore faut-il y parvenir peut-être par la puissance des mots.
Merci Miomodus
Nuages, jamais deux fois le même au monde Depuis que le monde est monde
Tel un versement d’éternité à la vie fugitive
Retour sur la dernière chance pour la journée du jour
Nuages, jamais deux fois le même au monde Depuis que le monde est monde
Tel un versement d’éternité à la vie fugitive
Retour sur la dernière chance pour la journée du jour
Nuages, jamais deux fois le même au monde Depuis que le monde est monde
Tel un versement d’éternité à la vie fugitive
Retour sur la dernière chance pour la journée du jour
Aspe, quel bonheur de vous retrouver en ces lieux pour savourer vos mots et justement ce soir dans un ciel d’orage chargé de nuages gris brodés de jaune sur fond orange du crépuscule dans les eaux du Rhône se sont engloutis, tableau éphémère de toute beauté à tout jamais évanoui.
Des fluctuations
en éternel mouvement
leur disparité
c’est le monde des nuages
où transitent nos rêves
Pour la vie – pour l’esprit essentiel
Dire que je vis pour toi mon amour
Carine Jacques à la parole de l’air
Dans le regard des nuages sur ta terre
Carine au delà des derniers mots sur les écoutes des écumes
Infiniment…Éternellement…
C est bon de vous lire
Si coupée de la lecture et de l écriture dans ce présent si chargé
Amour mon éternel
Nos amours de petits enfants ce jour
Le tonton autiste
Mon frère ses parrain marraine
Pour la première fois à l ouest depuis dix ans
Comme une tranche de vie nouvelle
En grand parents amoureux de la vie
Dans le transmettre le bon le beau
Tu n es pas de vent mon éternel
Ni un flou mais tatoué fort tu me vis
Ma légèreté si belle dans la gravité rude de la vie
Quels tsunamis 2017
Un gros chêne derrière la maison
D autres plus loin
La briere derrière pour nous tonner souffles ici
Et oxygéner ma plume dire fatiguée des mois
« Le temps n’est que ruisseau dans lequel je vais pêchant. J’y bois ; mais tout en buvant j’en vois le fond de sable et découvre le peu de profondeur. Son faible courant passe, mais l’éternité demeure. Je voudrais boire plus profond ; pêcher dans le ciel, dont le fond est caillouté d’étoiles. » Thoreau dans Walden
et si la vie n’était qu’un petit filet d’eau courant au milieu de l’immensité qui nous entoure au risque chaque jour de se tarir sans avoir eu le temps de comprendre toute la beauté et la richesse qui nous entoure ni notre rôle de petite goutte goutte d’eau dans ce monde où tout va, vient et passe
C est joli Monique
Un vecu avec des rudes épreuves
Donne à levivre une grandeur dans son petit être
La vie apparaît au grand jour
Dans le bonheur la beauté de se donner
Avec les pleins désirs
Ceux qui remuent l âme folle d amour de vie
Pour s eclater de vie en vie d envies
Ses petites mainsi sur le piano ce jour
Sa petite bouche ses purées son biberon
Mes deux petits
Comme je vous aime
Vous me donnez tellement vos innocences
Vis appétits de vie me comblent
Et j aime m éclater de rires
Comme avec toi mon éternel
On ne sépare pas les ames qui s aiment
Elles battent des ailes haut dans le ciel
Se posent un branche pour chantonner
Mais comme c est joli d aimer à la folie
Larmes de sel
Nuages d’espoir
Pensées éphémères
Tristesse éternelle
Beaucoup de mots me hantent
mais ne vous les propose
afin que n’explose
le volcan de la tourmente
………………………
j’avance presque aveuglé par le sel des larmes
jamais cela n’a constitué une vraie alarme
pour continuer le chemin avec bagages et armes
Chère Monique je pense beaucoup à toi
malgré les différences évidentes
il y a dans la vie une foi ardente
je cherche encore du sens
à tout ce qui surgit
opérant une mutation
dans le paysage
une vraie dévastation
alors que s’empilent
les mots en dedans
et d’autres désolations
la mémoire soutient
les souvenirs reviennent
non pas hanter les nuits
mais donner du relief
à nos vies
Toute la mélancolie
à peine se déverse
point d’oraison funeste
mais ne pas se dire
que seule la raison reste
ce serait de la folie
et comme dit la chanson
« elle était si jolie »
c’est du moins
ce que mon père dit
alors témoin muet
je note
Silence violent des vagues
dont la force reste contenue
pour palier au désarroi
Regarder la mer, les vagues et les nuages……
Vouloir retenir
tous ces instants de silence
de mots envolés
d’un échange qui n’est autre
qu’une aura de pensées fusionnelles
Le pouvoir des mots
ne saurait être plus fort
que la vague qui claque
pas plus qu’un oracle divin
devant une âme sans voix
Les yeux se ferment
Pour accueillir la beauté
Des mots murmurés
Le nuage passe
Ses écritures gardent vivant
Mes doux mes rêves
Comme c est bon
Votre ouate précieuse
Donne chaud au réel
Quand il pèse bien trop
« Il ne faut pas rêver »
Tellement le disent
Mais pourquoi pas?
C’est bon de rêver
Doux Bonjour Ossiane et chacun
Mes souhaits de belle journée.
Annick
L’écume quand on éructe n’est pas une enclume
Arthur ne sort pas d’un roman comme la mer se déchaine
mais dans cette aventure nous pûmes dire nous en fûmes
Que sèche le sel de larmes de l’amer
balayé par le temps des soucis marins
et que dans cette entre deux de fer
ne rouille pas notre ardeur à bien faire
de proche en proche tout n’est pas salin
quand on voudrait être entre soie et satin
pourtant l’ouverture c’est mieux que l’entre soi
cela ouvre certainement un chemin de foi
il est peut être des croyances en l’humain
qui ouvrent d’autres perspectives que l’errance
à qui s’adresser quand on coure le risque d’être drossé
un tableau qui n’est pas idyllique mérite d’être brossé
à l’huile surement pas car il n’y aurait pas de mouvement
l’humeur est à l’eau pour être connecté au monde vivant
Poussière du vent
Nuage de légèreté
Mon doux brouillard
Comme c est jolies tendresses
Que ce blog aux coeurs beaux
Et comme c est bon de bon
De le vivre poésies ce monde bien étrange
C’est se mettre à genoux
L âme remerciante
Quand les temps lourds si durs
S éloignent et laissent place
A de la vie réelle
Au concret plus léger
Avec des rêves nouveaux
Leurs poussières mille étoiles
Un brouillard vaporeux
Ses nuages de soies
Donnent à manger au coeur
Et boire à l âme en paix
Qui avides de beau de bon
Avec de bels partages
Retrouvent le goût de levivre
Ses tous petits miracles
Ses instants d étoffes précieuses
On se ressent garant du trousseau de son être
Qui ouvre vec des clés invisibles et visibles
Pour accueillir le vivre
En corps encore encore
C’est joli Thierry comme je vous lis après avoir pisé mes mots
Et je rebondis sur vis mots que je cite…
« Cela ouvre certainement un chemin de foi »
Et je ai envie de dire que lorsque ce chemin parfois sur lequel on pleure on colère on perd le goût de levivre car on est bien trop dur
Quand il devient simpossible bon délicatesses
On dit Merci mon Dieu de M à voir fait voir
Mon coeur était aveugle min âme dit petite
Les feuilles remuent mes yeux la Nature St si belle
Les oiseaux sur les branches
Des lézards sur le sol
Un coq son lever le latin
Un coucou matin soir
Les crois des grenouilles dans une maté plus loin
Les vaches au bout du bras au fond du jardin
Des moutons pas très loin
Merci merci mon Dieu de m avoir donné forces
Pour ce lieu idyllique
Mon coeur bat encore vite mais il se remettra
D épuisement aux long cours
D errances folles d amours
Le présent bel et bon
Contient tout l or du monde
Merci levivre mon Dieu
Mes yeux doux sont bien ouverts
Merci mes doux aimés aux éclairages charmants
Je vous aime levivre
Et comme j aime vous aimer
Les rives de l’écorce se substituent au temps et laissent la lumière conjuguer les instants…
Définir et devenir le ciel –
Cette recherche de l’ivre réel est le socle de ma trotteuse intérieure.
Marcher, chercher, contempler
La vie est toujours devant moi, reflet joyeux de l’éternité des moments.
Joli MioModus
Et comme je le relis je vois que mon tel portable bidouille le correcteur à sa mode
Et comme internet pas facile branche ce est pourtant délicat
La vie est toujours devant moi reflet joyeux de l éternité de moments. ..Je vous cite
Et si seulement ma poésie mon moi me tatouent jusque la nuit des temps. ..C’est magique
Je ne t abandonnerai plus le vivre
Je aime trop la vie et sans elle le noir trop lourd
C’est comme si planer fermer les yeux prendre distance de la hauteur est redevenu possible
Annick
Merci mio modus de poser vos mots ici
C est comme une offrande
Merci ossiane Monique thierry bourrache et vous tous…depuis toutes ces années. ..
J aime vos écritures de plumes humaines
Merci ossiane
Ton écrin M à si souvent fait beaucoup de bien dans des passages de vie difficiles.
Merci
Et désolée de ne vous offrir que de bafouilles que mon coeur me dicte pour partager
Encore si jolis vos mots mio modus l écrivain. ..
Annici dans son coeur d etre
Annick, vous me fait beaucoup de bien depuis toutes ces années et je vous lis toujours avec une attention particulière et un plaisir infini.
faites… Fichu correcteur qui pénètre notre liberté chérie…
Merci MioModus je suis émue que ma plume puisse faire du bien…parfois elle m en a tant fait voir des couleurs du tant…
Les lever à six heures
Permettent d ouvrir
L’ ombrelle ses arcs en ciel
Si délicieuse la toilette du soleil
Ses papotages avec la lune
Plus loin bien plus loin
Les vagues papotent aussi
Nouvelles du bout du monde
Une minuscule et simple goutte d’eau
Peut contenir le monde entier
Jolie week pour l équipage
Chacun son bel ensemble
le flot des pensées
se perdent et s’entremêlent
nébuleux vortex
Traversant mon ciel
Un couple de tourterelles
à tire d’ailes
Douceur du printemps
Un petit souffle de vent
Au soleil levant
Belle journée à tous les passants
des abords de la mer aux sabords éclairs
tension éclatante qui voltige sans coton
et des brumes aux quais les départs canon
Explosion du temps
bande à fragmentation
nous donnons dans l’inflation
Un ciel de coton
le soleil n’y pénètre pas
le nature s’impose
des gouttelettes d’espoir
ce joli mot d’émergence
Je voudrais que le vent
emporte loin de moi
ce tourbillon d’angoisse
que mon ciel s’illumine
d’une constellation
revenir un instant
dans la paix de l’avant
quand la joie m’habitait
sans ombre et sans douleur
retrouver le parfum
d’un plaisir naturel
et d’une voix tremblante
dire encore un « je t’aime »
Nature en douce métamorphose
fantaisie perpétuelle
Jaillissement de l’espoir.
Connexion, je répondais qu’ à ton premier texte,Monique je ne voyais que celui là.
Bonsoir à tous.
C’est est si joli Monique
J aime ce que tu écris.
C’est est fort poignant.
étoile des nerfs
quand à cru à vif
tu démontes
un monde qui passe
des souvenirs qui repassent
une peine qu’on surmonte
mais pas de château d’if
car il n’y a plus de serfs
Qu’est ce, sinon la poisse qui vous colle
il ne sera plus jamais question de vie frivole
et dans les embruns les souvenirs s’envolent
Les cycles nous passent à la moulinette
pas question d’avoir l’air d’une midinette
et dans les rafales c’est comme mitraillette
nous voici alors percés à vif et descendus
il reste difficile d’apparaitre comme détendu
éléments ligués pour intégrité mal défendue
passé le choc restent les contusions
qui amènent des abimes de confusion
retrouver ses esprits et surnager
Voyage éphémère qu’est la vie où tous les paysages se mêlent et s’entremêlent, se côtoient se fondent, plaines immenses et désertes, monts et collines verdoyantes, montagnes et neiges éternelles, mers et océans du bout du monde, sous des ciels lumineux ou sombres, l’essentiel n’est-il pas d’essayer de vivre en harmonie avec soi-même et d’y parvenir malgré TOUT, car comme l’écrit Hölderlin : « Nous cheminons vers le sens dans la mesure où nous habitons en poète sur la terre »
Belle journée à tous, je t’embrasse Ossiane, toi dont le silence laisse sans doute, comme moi quelque peu inquiets tes passagers de l’Oeil ouvert
Oui l essentiel est de vivre en harmonie avec soi même et d y parvenir malgré tout….
Dans un vécu en autisme c est impossible de vivre qu en harmonie avec soi même. ..
C’est un chemin de sacrifices sur on ne voit que le parcours fort entamé. ..
La poésie elle sauve quand on respire ainsi et pourtant parfois lair vient à manquer aussi quand la peur vient habiter l être. ..La vie ses poisses cumulées. ..
On rêve d une vie simple qu en amours. ..
la profondeur des mots est langueur et longueur
les tensions nous écartèlent et les émotions nous fissurent
pourtant il y a cette unicité entre crudité et douceur
les couleurs du présent peuvent habiller la douleur
et si on se raccroche à certaines certitudes qui rassurent
on sait aussi que le vide s’accroit et prend de l’ampleur
Continuer son chemin et lui donner un sens
tel sans doute est de la vie l’essence
sans abonder dans trop de prolixité
ni abandonner la recherche de proximité
Ciel gris d’orage
dans le silence du matin
aucun chant d’oiseau
sur le sol mouillé
les traces d’un escargot
son chemin de vie
des gouttes de pluie
résonnent sur la marquise
le tempo du jour
Poussières du vent
Nuages de liberté
Mon doux brouillard
Le vent va scintiller
Ses petites étoiles
Ma petite Imani
Sur ta peau tendre
Ton corset retiré
Ses étoiles roses et bleues
Que tu avais choisies
Te laissent en libertés
Mon rude brouillard
S éloigne enfin
Chaque jour un peu plus
Cancale depuis trois jours
Offre à l âme ses tendres
De belles nourriture
Ma poésie que j aime
Et me donne levivre
A l’aveuglette j’avance et je pousse la tirette
l’attirail est brinquebalant mis sans sonnette
et il n’y a pas non plus de sansonnets
qui jamais n’oseraient de leur chant fausser
notre écoute qui s’affine
ce ne sont point gouttes de paraffine
mais il y a chez nous une part affine
qui ne demande qu’à se fixer
le bruit d’une vague
même dans la nuit s’entend
elle broie du noir
le jaune de l’iris
des mots qui s’écrivent
le bruit d’un crapaud
des silences échangés
le chagrin de l’impossible
le bleu-gris du ciel
absence de toute voix
le vent de la pluie
il n’y aura pas d’étoiles
sur le rideau noir du soir
que viennent les rêves
de vie, de mots retrouvés
embellir nos nuits
de regards et de caresses
de possibles inespérés.
Eructation émoustillante
et vision croustillante
des grains d’eau en lobe
qui le ciel gentiment enrobent
vu
Eructation émoustillante
et vision croustillante
des grains d’eau en lobe
qui également le ciel enrobent
mes messages longs ne passent pas
tant pis
https://youtu.be/dg6Boku_bQc
en forme d’étoiles
tant de petites alarmes
qui entend leurs cris
dans l’ombre d’une chanson
dont on a perdu les mots
explosion dans le ciel
foudroiement lumineux
tout ceci est bien réel
de la poudre aux yeux
en étincelles d’utopie
tel un feu de paille
des stigmates indélébiles
au palimpseste de la vie
Un très beau rappel avec la magie de cette chanson si forte si profonde qui touche là où le vivant vibre…..
Comme cette amie…Des forts partages. …38 ans dans nos vies. …Internet est ce pouvoir de retrouver….
On se reverra dans trois semaines. ..Sa voix à change mais pas ses rires…Il y a 38 ans chat est comme si on s était vues hier. ..
L écume de nos chaque vie
Si singulière si différente
Elle si libre dans son travail
Chaque région habitée
Puis refixee au Nord
Depuis deux ans
Sa mère ses quatre vingt quatre ans
La vie levivre nosvivres
Quand l amour il nous guide
On n oublie pas ses amis
Chers si chers en nos coeurs
C’est heureux que les lettres les mots
C est si bon les nouvelles
De partager de son vivant
L écume des jours son chaque jour
Belle soirée pour chacun
Eolie songe
Elle y travaille
Dans l écume de ses jours
Et cela me transporte
De l avoir retrouvée
Le ciel est beau ce soir
Tamponné doux nuages
Le temps est revenu
Pour les tendres pour nous
Finalement mon cerveau ses écumes
je l’aime
jamais il ne sera un financier
l’amie pas vue quarante quatre ans
c’était hier
et sa mère ses quatre vint quatorze ans
que je n’en reviens pas
d’écumer un filtre de jeunesse si beau
Dans l’épais brouillard
quand l’absence devient troublante
l’esprit vagabonde
le ciel, pourtant encore bleu
entretient la confusion
le silence l’absence
au cœur même des nébuleuses
les intempéries
L’absence ses écumes
Pleine présence à soi
Hyperfragilités
Que ces temps devenus
Lente reconstruction
Une fois qu’elle eut vu
D’un peu plus près le monde
Dans ses absurdités
D’aveuglement qui ose
Prétendre qu’il a vu
Les ailes se déploient
Pour de la résistance
Jamais ô non jamais
Rendre les armes belles
D’une infinie beauté
Qui aime la vie levivre
Au delà bien au dessus
D’autres ports ternes et noirs
Avec la période des fruits vient celle des confitures et de l’écume
dans la vapeur au gout sucré on distingue à travers la pseudo brume
le bloblotement des effluves et les douces senteurs au parfum d’agrumes
Merci Annick et Thierry qui passez par ici et déposez vos embruns poétiques
Entre ombre et soleil
des mots au goût de saison
saveur de poésie
J’ose Ossiane espérer que tu vas bien, tes mots nous manquent. je t’embrasse
Bonjour Monique, ne t’inquiète pas, je vais bien. Je ne suis pas en mesure de publier quoi que ce soit pour le moment mais je reviendrai.
Très peinée de te voir avec Thierry durement éprouvés par les aléas de la vie qui peut être si belle et si cruelle à la fois. Que l’écriture, la poésie et la beauté du monde continuent d’être de doux compagnons pour vous aider à surpasser cette douloureuse épreuve. Je vous souhaite beaucoup de courage tout en gardant le coeur et les yeux grands ouverts. Je vous embrasse, à bientôt!
Bises et patience à toute la tribu!
Ossiane
Quel bonheur de vous lire, Ossiane !
Notre patience sera infinie et sereine. Le fil de la beauté, de la poésie et de l’harmonie est inaltérable entre nous tous.
Que tu ailles bien Ossiane est essentiel et cela fait chaud au cœur de te lire; Jacline a raison patience et sérénité nous habitent et ce lieu d’échanges est un tremplin de poésie et d’expression qui même si les commentaires gagnent du terrain en tous sens ils nous rassemblent au travers des mots de chacun grâce à cet espace que tu nous ouvres. Merci car nous te savons très présente. Je t’embrasse et puis tu sais la vie nous apprend à surmonter quoiqu’il arrive et la nature nous y aide pour beaucoup.
C’et une grande joie de te lire Ossiane et vous tous
nous suvons notre chemin et accompagnons vos proches, en l’occurrence un papa de 90 ans seul mais courageux et encore doué d’une énergie vitale considérable ce qui rassure
Evidemment le jour d ela fête des mères n’est pas facile à vivre, une mise entre parenthèses mais aussi des souvenirs heureux qui affluent.
alors prenez grand soin de vous et de vos proches, la poèsie est consolatrice et actrice de notre notre bonheur, liberté et création, libération aussi.
J’ai un excellent roman d’un ami « la vallée des térébinthes » de gilles touati aux éditions de la librairie du labyrinthe à vous conseiller.
Que serais je sans toi, pas sans foi ni loi
mais un toit ici pour un esprit dérangé oui
quand les moments douloureux se dissipent
qu’on se retourne on ne trouve rien de savoureux
mais pour la mise en bouche il n’y a pas de dégout
si ce n’est une famille du moins sont ce des prénoms connus
à force de les voir et de les avoir lus et relus
non rien de tout ce qui a été écrit ne doit aller au rebut
si tout n’est pas cadré ou encore a encadré
il y a dans cette diversité de sensibilités
plus qu’un partage, une communion
alors oui certains ont plus de munitions
que d’autres qui sont rares et patients
ainsi le blog subit les inflexions
et de rares cris qui fusent
et toujours sa lumière bienveillante diffuse
que serais je sans toi depuis octobre 2007
Orphelin sans doute ,même si je le suis vraiment
maintenant depuis quelques mois
Souffleur…de vers
Il en faut du souffle qui vient du plus profond
et depuis le ventre nous tend
et si on flageole trop sur les cannes
la canne est là qui porte des espoirs
et si le sommet du crane est bien illuminé
va dessiner les arabesques en volutes burinées
j’ai peur de manquer de longueur
et de laisser accroire que j’ai coincé la bulle
il ne s’agit pas de boule de verre pour noel
de celles qui dans l’arbre tintinabullent
quand à prendre de la hauteur
on n’ira pas jusqu’à atteindre la tour Eiffel
alors même si la phrase est en suspens
et que la mémoire joue de bien vilains tours
sachez capter au détour
le léger vibrato qui alimente presto
mais comment peut on faire
quand il s’agit de trouver du rythme
et puis de faire vivre allegro
en incarnant un monde à lui tout seul
inclus et occlus mais pas à l’estomac
c’est dans un oculus que parvient le rayon
rayon boutique sur la scène sans crayon
poser les mots un à un
mais bien articulés dans des moments charnières
si c’est huilé ça ne risque pas de grincer
pourtant on transpire à l’envie
et certains finissent souvent rincés
c’est que le verre aime la transparence
là où le vers peut sembler bien obscur
qu’à cela ne tienne on n’en a cure
Quel joli titre de poème Thierry, dans la même perfection et précision que le souffleur de verre.
nuages gorgés d’eau
dans le printemps éteint du jour
couleur gris cendre
« …Une main tendue une main ouverte
des yeux attentifs
une vie la vie à se partager » Paul Eluard
Merci Monique
c’est venu d’une drôle de manière hier
entre théâtre et cinéma
j’ai un ami qui est un grand souffleur de verre français
très connu dans le monde entier pour les appareils de chimie
du semi conducteur , il s’appelle Roland Trinquart et c’est tout un art
qu’il possède depuis ses 15 ans et qu’il magnifie , en plus il souffle des carafes
car il aime ce qu’on met de dans et lui y met des fruits
en verre bien sûr, il est en verve et parle avec amour de ce souffle
qui donne la vie à des objets divers, il souffle aussi le quartz et là on atteint
des sommets dans la technicité
c’est une façon de lui rendre l’hommage qu’il mérite
vague insoumise
la terre résiste
un jour viendra
—
mes pensées aux marins du blog confrontés à la perte d ‘un etre cher.
Merci Marc oui pour un enfant et un mari à si peu d’intervalle la douleur est grande mais la vie est là et j’essaie malgré cette injustice de puiser en elle ce qu’elle peut m’apporter de réconfort ; tes pensées me touchent.
Quel plaisir de te lire, comme beaucoup tu n’as pas quitté le navire et nombreux sont ceux qui comme nous laissent aller leur imagination et leur admiration sur les mots si joliment illustrés d’Ossiane. Tes mots me font penser aux mots d’Aragon si brillamment repris par Ferrat « Un jour pourtant un jour viendra » dans le fou d’Elsa mais l’espoir je ne le mets pas dans demain je m’en tiens à ce qu’il y a à faire aujourd’hui sans attendre… la vie n’attend pas….
La constellation
Demande un ciel sans nuage
Toujours un qui traîne
Bonjour marc , bienvenu moussaillon
que dire après les mots de Monique
juste vivre et prendre du plaisir
notamment en écrivant encore et toujours
sur ce blog d’exception
Je vous lis avec émotions chère Ossiane et ses moussaillons…Une amitié au long cours cela compte…Bien plus encore dans des temps si douloureux. ..
Personne ne rame ici car ça n’a jamais été une galère
mais on essaie de donner au pont une surface pas trop lisse mais brillante
et même s’il tombe des trombes sans briser les cordes mais en bissant les effets
l’étambot tient le choc et le pataras aussi donc pas de patatras car il n’y a pas de fracas
juste le coeur qui cogne, embruns obligent qui fouettent et revigorent
tandis qu’on que l’on s’approche du bord et bastingage
pour voir si le bout est dehors mais sans risquer de gages
et puis la ralingue n’est pas déglinguée
J’ai levé les yeux
un voyage dans les nuages
triste labyrinthe
derrière les nuages
se cache ce que l’on attend
un coin de ciel bleu
Le printemps s’et mis au goût du jour dans une danse macabre, je pense à tous ces sinistrés, victimes des folies du ciel.
Fureur des orages
pour réveiller nos angoisses
torrents ‘inquiétude
« le repos est un rêve, la vie est un orage » Georges Sand
* torrents d’inquiétude
Il y a ses chaos
A la vie pas merveilles
Et quand ils se succèdent
Le souffle peut être si court
Qu à se réanimer
Devient nécessité
Pour ne pas se sombrer
Étrange. …mes mots disparus entre tes mots à toi Monique des 6 et 7 Juin….
Pourtant ils sont étaient affichés. ..
Du blanc du bleu
Des éclats de vie
Parfois des bien trop noirs
Masquent la poésie
Pourtant elle est fidèle
Si remplie de la vie
Les petits enfants vont mieux
Eteints quittent tristesses
Et leurs vies redémarrent
Tourbillons rires fous
Grand parents éclats de vie
Et les voilà grandir
Le regard de leurs parents
Qui a eu peurs immenses
Est revenu plus doux
Est revenu à la vie
L’écume des performances
Abîme les enfants
Garder un regard simple
Juste animé de vie
C’est de l argent comptant
Que l innocence d un enfant
À remplir de vie vivante
Les malheurs pas cherchés
Sont bien assez déjà
Pour détruire la vie
Alors vive la vie
Vive la poésie
Qui donne forces vives
Pour se rester en vie
Et roucouler de vie
Pour ses petits enfants
A chaque pas marché
Sillon de lune
Envol de l’oisillon
Sa plume bouscule mon émotion
A la vie qui n’est qu’une…
Étendre les rives de l’âme
A la croisée des ciels
Suspendre son vol
A l’infinie lumière
Pantin ou funambule articulé
L’allure est saccadée
Tel un temps démodé
A la recherche du passé
Un soupir pour un empire
Au territoire des révoltés
Des matins pour souffrir
Aux rêves de liberté
L’éclat de la chair pour avancer
La beauté de la légèreté
L’équilibre des destinés
A chacun son pas cadencé
Pour retrouver l’éternité.
Quel bonheur de vous lire, MioModus.
Votre plume bouscule nos émotions.
Quel bonheur de rencontrer des amoureux de poésie comme vous tous qui savez par la force des mots, par l’harmonie des sons, mettre non seulement de la couleur dans nos vie mais du sens.
Je vais vous raconter quelque chose qui m’attriste encore, dans une bibliothèque que je visitais, je cherchais où était le rayonnage de la poésie, ne trouvant pas je demande à la bibliothécaire gardienne du temple qu’elle me guide… et oh ! Surprise ! : Quelques livres gisaient agonisants sur une étagère au niveau des plinthes du local. Devant mon étonnement, elle me demande si je cherche quelque chose, j’ai gentiment répondu, tout simplement pour ces oubliés de la vie juste un endroit plus décent afin qu’ils ne soient pas confinés comme de vulgaires feuilles mortes qu’on ramasse à la pelle…
La poésie qu’elle soit en prose, en vers libres ou non donnent aux mots leur noblesse et savent trouver en nous par le biais des métaphores cette résonance qui nous sensibilise et nous émeut
… et un peu d’humour pour conclure, cette petite phrase reçue ce soir :
« faire tomber un poème par terre et trouver des éclats de vers partout »
Continuons de faire tomber nos poèmes pour faire jaillir une constellation d’étoiles dans notre ciel.
Monique, bonjour et merci !
Vous avez raison la poésie est trop souvent et par beaucoup rangée au fond des vides mais luttons un jour peut-être deux, peut-être mille rejoindront l’infini plaisir de faire danser les mots aux feuilles de nos vies.
Permettez-moi de vous faire une bise.
Excellente journée à vous et vous tous.
Le vers est dans le fruit ou plus exactement il est le fruit de l’imaginaire dans une inspiration rythmée il n’y a ni envers ni endroit juste le droit se s’y fier (au vers) sans se tortiller comme l’annélide de mars et puis si le vers parfois se boursoufle avant de se ratatiner ce n’est pas qu’on ratiocine ses efforts et si c’est sans compter qu’on enfile le vers avec un coup de poignet plus sûr que celui du coude c’est pour prendre des virages surprenant avec des points sublimes sur des vues imprenables.
Se mettre au vers pas comme à couvert sans se couvrir plus de gloire ni que de honte, juste pour le plaisir qui n’est pas celui de la tonte des mots ou la ponte des larves mais bien un pont ou au moins un entrepont comme un passage entre plusieurs niveaux et tant pis si l’horizontalité nous épargne peu, faisons tenir les vers sans retenir ce frémissement de plume qui parfois parcourt l’échine.
un com est tombé en cours de route dans un dévers
le pauvre
Bravo à l’inégalable MioModus
sa sensibilité fait toujours merveille
Ces trois petits vers
dans le cœur d’un haïku
au soleil d’été
pour voir naître un tanka
des petits gratte-papiers*
*allusion aux insectes bibliophages
bise à vous également MioModus un grand merci pour vos échanges fort apprécies sur ce blog et sur votre blog où je vais très souvent en visiteuse silencieuse. Bravo Thierry mon jongleur de mots préféré -:)) et qui sait que les mots ont un pouvoir énorme sur chacun d’entre nous.
Je vous en suis reconnaissante.
J’habite en pays cathare Monique et sans mélange de genre avec le consolamentum
les mots sont une consolation… même quand la mère n’est plus là !
il n’ y a pas de reflux des sentiments pas plus que de colère rentrée
la belle dynamique de croisière sera t elle retrouvée quand dans ces temps reculés
l’équipage était si vaillant et nombreux et la proue taillant une vague d’étrave sans trêve
la poupe et ses remous agitant les consciences dans la joie du partage et la confiance du rang
égrenant nos perles comme en plein pacifique
Je vous lis avec ravissements et mes yeux se gloussent leurs intimes c est si joli ce que partagez…Ce que vous décrivez. ..ce comment vous aimez…De vos âmes que j aime…
Et la toto va vous dire un secret…
Sans la poésie au musée présente de l intime son diesel tous terrains si cabossee par la vie elle serait morte de chagrins la toto si sensible…..
Mais voilà qu en ce temps fin juin elle renaît et comme c est bien bon de refremir de vie qui parcourt son petit coeur la toto amoureuse frissonnante…Par la vie…
Je vous embrasse chacun…Vous aussi ossiane…Sans ici bas vos pages si jolies si aimantes….Où serait la Toto ….? enfouie sous ses pissenlits…
Poussière du vent
Nuage de légèreté
Mon doux brouillard…Ossiane
Quand ma plume se trempe
Dans l essence du temps
Éclats de mille parfuns
J aime cet encrier
Rempli de douceurs tendres
Qui frissonne ses mots
Et quand le buvard rose
Papille de senteurs
Pour adoucir les rudes
Poésie tu me vis
Je suis remplie de toi
Et quand des temps écroulent
Habitée d ondes douces
C’est fort heureux de vivre
Cette vie belle de grâces
Qui s invite en dedans
Et les paumes offertes
Distillent l or du ciel
Un bel été vraiment
Vient juste de commencer
Et il étonne détonne
Des précieux grands bonheurs
Dans le bruit d une mouche
Toutes les couleurs des fleurs
Toi debout Joachim
Tes petites mains tendues
Mais comme j ai de la chance
Et toi douce Imani
Hérisson malgré toi
Comme un joyau si bon
Tu t ouvres devant la vie
Alors je serre ta vie
En mon dedans si humble
C’est un immense cadeau
Tous les argents du monde
De te voir aujourd hui
Huit mois de tant de tant
Les épuisements sont là
Mais contents d être là
Doux recueillement vivant
Quand le présent accorde
Un joli clavier de vie
Et mêle si l autisme
Un peu plus essouflant
C’est juste que ce fut trop …Annick
Poussière du vent
Nuage de légèreté
Mon doux brouillard …Ossiane
Je t aime
Ma graine de vie à moi
Ce pourquoi je me vis
Sans rien avoir cherché
Tant est tombé comme çà
C’est bon le lâcher prise…Annick
Bien bel jour pour chacun j espère vos peines plus douces grignotees par le plaisir de vivre levivre…En vie.
Très beau Annick cet hymne à la Vie
la Vie, cette vie, notre vie
si remplie… parfois si vide
si généreuse… parfois si avare
si douce… parfois si cruelle
je n’en ferai pas le procès
il ne m’appartient pas d’en juger
retenons le meilleur
ignorons un instant le pire
puisque tu le dis puisque je le crois
c’est dans les petites choses
que se puise le bonheur
Nous devrions tous y avoir droit
et pourtant dans le monde……
l’injustice est flagrante
alors reconnaissons cette chance
de pouvoir quelque fois s’octroyer
ces petites pépites de joie
Je aime beaucoup tes mots Monique
La vie est tant injuste
Des enfants manquent si souvent débloquer essentiel quand de autres ont des tetin’es en platine….
Alors c’est est une chance un grand mystère de vie quand les bonheurs sont là….En tout là. ..laLa la. ..Là où tu sais Monique je n ai rien à t apprendre….
Pour moi c’est comme ci une prison s’ouvre en moi…Des immenses chagrins peuvent enfermer vivant. ..Qu on se croit mort dedans. ..
Le deuil effroyable pour ma mère, ma fille si mal, ma petite fille tant mal, mon entourage proche mal aussi…J ai sombre désespérée. ..Si seule…
Depuis hier c est tellement mieux en bonheurs vivants…Tout est une fête. .Même le plus dur. ..C’est est ainsi plus léger. ..
Alors quand enfin le pédiatre envoie ma petite fille chez une psychomotricienne…Je remercie le ciel…J avais proposé d y aller il y a un an…Et depuis ses 3 mois et demi j ai peur…
Quand on connaît un peu de l Autisme on peut frémir si vite….Je souffle rassurée par une main aidante. Je suis si épuisée.
Il était plus que temps…..
Mais voilà que je m égare….
Poussière du vent
Nuage de légèreté
Mon doux brouillard
Ce n’est pas s’égarer Annick c’est de temps en temps faire le bilan d’une vie et chercher ce qu’il faut retenir, le meilleur est à prendre qui souvent est largement mérité avoir confiance mais comme toi je m’égare et en écrivant « avoir confiance » j’ai un doute et n’ai pas su trouver en quoi… peut-être tout simplement en soi
poussière d’étoiles*****
plus précieuse que des pépites
l’âme s’en illumine
Le soleil, les vacances, les projets, les enfants, les découvertes, les rencontres je cherche l’horizon pour y poser mes bagages.
Lire les enfants manquent si souvent de l essentiel. ..A comprendre amour santé toit nourriture…
Désolée mon correcteur à encore fait des siennes
Et moi aussi. …Je dois me relire/
Monique
Encore une fois tu dis juste
Le meilleur est a prendre qui souvent est largement mérité avoir confiance mais comme toi je m égare…Je te cite car je ne comprends pas la phrase.
Avoir confiance…C’est un des caps les plus difficiles à ne pas perdre de vue dans une vie….
On peut tant être déçu. ..Par soi…Par la autre…Par la vie. ..
Bien plus incommensurablement encore quand on a perdu confiance en amours. ..
Jolies ta poussière d etoiles.
Dis fais moi rêver encore
Mes mille éclats précieux
Au plus près de mes rêves
Mes plus bels mes tous fous
Je vous aime en folies
Ma vie
Poussière du vent
Nuage de légèreté
Mon doux brouillard
Le ciel est bleu azur
Quelques petits nuages
Poumons d oiseaux legers
Tendres respirations
Le présent est son bon
Juste rares discutailler
L’été détonne joyeux
Et comme c est doux présent
Les noirs sont au passé
L’instant gigote ses charmes
Rares discutailler. …
Et les trois premières phrases d Ossiane…
Décidément. ..
Merci infiniment de lire …rares discutailleS
Le téléphone est moins simple que l ordinateur. ..
Le temps qui revient permettra de ressortir l ordinateur..
Serrez le lien
Qui vous relie au ciel !
Pour exploser au vent de son nid.
Semblables à des gouttes de pluie vous verrez alors l’ombre des vies…
jour d’été
quel tendre brouillard tremble
autour du fleuve temps
tant de soie déchirée
embue la soie du cœur
un sourire mort au bout des doigts
tu sens la perte avec les mains
grand jour
ce vide en toi comme un enfant
quel tendre brouillard tremble
autour du fleuve temps
ce monde est ce monde
Martine Broda, Grand Jour, Belin, 1994, p. 24.
– Sur le site Poezibao
Merci beaucoup, Mathilde, de nous faire partager cette poésie profonde et si fluide.
C’est cadeau !
Sentir ce frisson
comme une feuille qui tremble
la mélancolie
Coucou Ossiane, bonnes vacances s’il en est, les miennes cette année auront à nouveau ce goût amer de solitude
Pensées qui s’égarent
« dans la poussière du vent »*
rêves qui s’envolent
« nuage de légèreté »*
l’esprit en apesanteur
« mon doux brouillard »*
mêler tes mots aux miens
et sur fond d’écume bleutée
partager ce regard
d’une douce volupté.
j’ai emprunté tes mots Ossiane (*) ils sont douceur et tendresse
Je t embrasse Monique. …
Quand des temps difficiles
Dans la poussière du vent*
Fermer ouvrir les yeux
Nuage de légèreté*
La tête syncope un peu
Mon doux brouillard*
Il y a eu ces années
Alors ce tout de vrai
Reste à jamais gravé
Et avoir des chagrins
Permet de comprendre mieux
Celui qui est dans la peine
Je t embrasse fort Monique.
3 jours de vacances fin Août
Pour le moment les petits
Leur grand mère Bambo
Des amis de passage
Remplissent la maison
Mais il existe aussi
Des chagrins bien trop forts
Que personne ne peut
Remplir un trop grand vide
Les petits moments de joie
Des paix aident à revivre
Voyage dans l’errance
Pour ces mots qui se baladent
parfois hors du temps,
syllabes qui se posent
sur les feuilles d’un carnet
hésitent et tremblent
face au vide qu’on ne voudrait
combler de tristesse et de peur
aux heures chaudes de l’été.
Prendre le chant de l’oiseau
et le cri des cigales,
le murmure au loin de la vie
pour colorer le silence,
entendre le cri d’un enfant,
le frissonnement du vent,
faire naître sur la page
les notes du sourire et de la joie
Car je crois que « la vraie voie est ici »* comme nous y incite si joliment François Cheng dans La vraie gloire est ici.
Merci Annick, bise à toi, continue de nous émerveiller de ces mots si chargés de spontanéité et de vérité.
Mes petits amours
Mon al’ours
Mes amours
Quelle belle journée
Ses trois ans et 4 mois.
Et ses neuf mois déjà
Votre tonton Jean Sé
Ses trente et un ans et demi
Le jardin son gazon
Le tuyau d arrosage
La piscine hors sol
Cette maison pour vous
Little home fut la libre
Un edoacfvpetit
Pour le vivre sur pages
Mon vivre bel de libre
Je respire l air frais
Demain étang de campings
Ma petite chérie
Côme la campagne te donne
Des mille bonheurs des sens
Merci merci levivre
Quand les minois se rient
Mon amour
Un espace petit
Demain étang de Campbon
Comme la campagne te donne
Désolée ma brute de pomme oublie souvent de se relire.
Bonne soirée. Pour chacun et pour tous.
L’été est sans doute une saison propice au bonheur, le ciel bleu, les fleurs, la chaleur, les vacances… Un certain besoin de romantisme est en chacun de nous, la beauté dans la pâleur de l’aube ou le crépuscule du soir, les retrouvailles, les découvertes de nouveaux paysages tout s’y prête à merveille, mais il suffit tout autant d’une fenêtre qui s’ouvre sur le jardin en fleur, le chant d’une tourterelle, le chat qui se réveille, un mot qu’on attendait… pour que la journée fusse-t-elle ordinaire devienne belle.
_____
Ouvrir toutes les fenêtres
dans la fraîcheur du matin
regarder ce jour qui vient
décider qu’il sera beau
Écouter battre son cœur
aux premiers rayons du jour
s’immerger de la lumière
s’imprégner de sa splendeur
Éprouver des sensations
se sentir vivre en elles
accueillir ces émotions
vouloir les rendre sublimes
Ouvrir toutes les fenêtres
y compris celles du cœur
regarder toutes les pages
où fleurent des mots d’amour
Tel un parcours de santé
Au milieu des mots et rires
Car là où danse la beauté
Se trouve la joie de vivre
_____
Belle journée à tous
Merci Monique pour ce beau partage.
Ouvrir toutes les fenêtres, ouvrir ses yeux et son cœur .
Bonne soirée à tous …
C est très beau ce que tu écris Monique.
Ce n’est pas le tout d avoir un coeur
Encore faut il ouvrir sa clé de bonheurs
Accueillir laisser entrer la beauté
Se laisser inonder de bonheurs
Le coeur se muscle de bonheurs tendres
Et la frimousse chorégraphie les rires minois
Quel beau spectacle que l être qui aime
La vie encore quand elle est belle
Faire escale sur ton site Ossiane reste un port d’attache à la beauté des mots et des images, on s’y promène dans l’aura de la poésie et l’amitié qui nous rassemble. Encore merci, tu es une grande dame respectueuse et généreuse.
____
Aucun sujet ne saurait être épuisé, et chaque idée surgit comme une étoile filante dans le ciel d’été puis nous échappe. Sur le ciel noir de nos nuits blanches des millions d’étoiles habitent nos insomnies et sur chacune d’elles insaisissables se construisent nos rêves, poussières d’espoirs imperceptibles qui au petit matin s’éteignent dans les premières lueurs du jour. Quelques secondes de brumes à l’horizon pour fondre la lumière dans le gouffre de l’infini, une nouvelle page se tourne reconduisant nos poussières d’étoiles éphémères dans le domaine des souvenirs et des rêves, passage obscur entre le monde réel et irréel où l’on ne sait plus très bien quel est la part raisonnable de nos pensées. Une brèche dans le ciel ouvre la voie du rationnel, l’est-il vraiment ? Des jeux de miroirs dans les premiers rayons du soleil ne sont-ils pas d’épouvantables illusions d’optique ? On ne sait pas, on ne sait plus très bien et si la beauté semble être une réponse secrète à nos tourments c’est peut-être vouloir essayer de garder au creux de notre main, au creux de notre cœur une toute petite étoile rescapée de toute cruelle fatalité.
____
Le mois de Juillet se termine dans la chaleur, l’été passe lentement comme l’ombre de la terre sur la lune, vu de loin tout est paisible.
Bonjour chaque moussaillon chère capitaine
Quel bel équipage aux pages que j aime….
Un juillet chaud bien plus brûlant encore car sauver de la vie donne des sueurs si hautes en températures. ..
J espère reprendre des écritures bientôt. ..
Une semaine de libertés six jours exactement c est peu mais c’est grandiose. ..Sur ce chemin en autisme surajouté par les deux chers petits enfants. .
Alors….Quatre nuits à distance. ..Le Cotentin ses 17 degrés la pluie d hier le vent les vieilles pierres la mer cela repose et dynamise….On rentre demain. ..Pour encore trois jours son siècle de secondes vivantes. ..
Émus par le petit cimetière de Jacques Prevert le village natal de Millet la rencontre avec des authentiques c est tout bon..C’est si joli de partager de la vie….
Bel été pour chacun.
Bonsoir à tous dans cette chaleur étouffante où rien que le mot « nuit » laisse entrevoir un semblant de fraîcheur
Écrire quelques mots
dans le silence du soir
musique de l’âme
adagio pour nuit sereine
notes à portée du cœur
C’est joli Monique
Les cuicuis des oiseaux
Un battement d ailes
Des poules leurs caquettes
Un cocorico
Une bise douce à l ombre
Loin les agitations
J aime cette Brière
Ce jardin tout autour
Mais comme cela me vit
La lune pointe son deux tîles
Midi deux minutes le paradis
Un pigeon le coq
La frimousse sourit
Et accueille cette vie si belle
J aime cette maison
Follement
A recevoir beaucoup
Rire jusqu a plus de minuit hier soir
Sur la terrasse un cidre
Avant hier un rosé
Et comme c est gentil
Ce fluide dans les veines
De passions fortes à vivre
Un oiseau à ma droite
Le sillage d un avion là haut
Un souffle long
La caresse du vent
Un pied sur le relax
L autre gratouille le sol
Quelles chances ces quartiers
Miel une pêche son suc
J aime
Comme c est bon la vie à l écrire le vivre. ..
Tu décris bien Annick cet instant de vie que tu savoures, à l’heure où je viens sur ce pont d’écriture, l’atmosphère est toute autre et néanmoins tout aussi délicieuse :
_____
Un ciel lourd bas sans couleur
un ciel de canicule pesant
blanc laiteux parce que pollué
un silence de plomb alentours
où sont les cigales de l’été
les oiseaux, les oisillons ?
le chat s’est caché sous l’escalier
les volets clos, les enfants silencieux
la vie en mode inerte indolente
l’entre midi-deux, la pause générale
le nid de fourmi blotti à l’ombre
les feuilles flasques endormies
l’heure de la sieste peut-être !
moment de recueillement
de méditation de tout à soi
où les pensées vagabondent
dans les canyons de l’âme
les livres posés à portée d’envie
auxquels on ne résistera pas
nous mènent à la tentation
dans cette aura qui nous entoure
lâchons les mots sous le crayon
les pages nous invitent dans le luxe
d’une prose poétique savoureuse
le ciel peut bien être sans couleur
la campagne sans vie et sans odeurs
en ce moment précis de néant apparent
il y a là dans ce silence sublimé
un instant de bonheur à portée de main.
_____
Une pensée et des vœux de courage pour ceux qui travaillent dans cette inconfortable canicule, ainsi qu’à tous les êtres en souffrance.
Poussière du vent
Nuage de légèreté
Mon doux brouillard
Je venais relire tes mots Ossiane. ..
Et avant de lire les tiens Monique je pose me soufflés doux…
Poussière du soleil
Transparence en azur
Tendres moments
Une mouche plusieurs
Ce bleu du ciel
Un cui son seul
Puis un cuicui
Des feuilles remuent
Un jeune chêne
Un bouleau blanc
Le relax apprécie la vie
Son tissu orange porte mon poils
Tout doucement le souffle sort
De la air frais rentre
Il est si bonne cette ombre fraîche
Délicates ondes si belles
Qui me savourent les joues le nez
Comme c est bon ce creux d été
Après après demain un an de plus
Et voilà que je réfléchis
Quel âge ai je donc
Sur cette terre…
Juste le plaisir d aimer aimer
Le bon le beau le rire tout fou
Dans la grâce de minois tendres
C’est fort joli Monique.
Je venais d écrire quelques instants dans leurs précieux instants. ..Mais volatilisés. ..dommage…
Et impossible de me rappeler. ..Le présent si rempli…
Cela marche…étrange. .
Un vent tendre son léger
Un cheveu masse le front
Le air caresse sous la jupe
Le transat se laisse consommer
C’est est tellement bon de se faire du bien
Silence
Les oreilles se ferment un peu plus
Pour entendre
Une voiture très loin
Le air les jouent dansent
Des feuilles remuent
Le jeune chêne un bouleau blanc
Un gros hortensia fane devant moi
Mais comme il est bon ce jardin
Je le savouré des fois des fois
En restent la ou en le marchant
Silence
Un oiseau loin un autre
Le coq
Des bons vieux fils électriques devant
Une mouche
Le lourd d une vapeur chaude
Puis unen bise forte
Ce contraste éveille les sens
Quels bels yoyos que cet été
Parfois rempli parfois ses vides
Demain mon fils autiste il rentre
Changement de rythme
Moins de libertés
Et tant pourtant puisque la chance encore
D avoir eu cette passion forte
De savourer chaque progrès
Les yeux se ferment et remercient
Les tendres fous amours de ma vie
Lire la lune pointe son deux tiers…
Désolée. ..Mais les moussaillons savent que je n arrive pas ou si peu à me relire. ..L instant quand je l écris est déjà passé ou se passeeee.
Et quand le petit fils de neuf mois
A l hopital 42 de fièvre
Le rosé ce soir fait du bien
La vie sa vilaine quand elle frappe
Il arrive demain midi
Une amie du Nord pour onze nuitsunami
Heureux que la maison soit grande
Pour accueillir Imani
Son innocence de ses trois ans
Je t aime plus ce soir là vie
A demain
Si le ch les libere
Ils quittent la canicule demain
Ici en Bretagne on respire
Pensées pour ceux si souffrent
« On arrange et on compose
les mots de tant de façons,
mais comment arriverait-on
à égaler une rose ?
Si on supporte l’étrange
prétention de ce jeu,
c’est que, parfois, un ange
le dérange un peu »
Rainer Maria Rilke dans Veegers
Une vague de chaleur
inonde le monde
les arbres meurent
les drames s’amplifient
les glaciers fondent
c’est le temps des vacances
le temps de prendre son temps
ce temps pour réfléchir
tout a son importance
causes et conséquences
oser les mots qui accusent
car de notre façon d’être
reste l’écume des comportements
nous la sondons aujourd’hui
elle prend de jour en jour
un goût d’amertume
si parce que c’est l’été
elle devient palpable
il importe d’avoir conscience
des lendemains incertains
il appartient à nous tous
d’en prendre compte
aujourd’hui ce mot canicule
n’est pas d’un pur hasard……
Suffocante est l’atmosphère
j’appelle l’air de tous mes voeux
rendre plus respirable l’instant
au point de rupture sans anévrisme
nous sommes plombés et surplombés
de tout ceci rien n’est mystère
même si on sue comme des boeufs
attente d’un meilleur moment
enfin dépasser cet isthme
Viendra t il enfin l’orage béni
déverser enfin avec la fraicheur
un torrent de pur bonheur
avec un sens certain de la mesure
pour que ce ne devienne l’horreur
juste et sain nous asperger
Tenus à l’écart du mouvement
quand tout était bien trop pesant
un regain de vitalité se fait jour
laissant éclater notre besoin
sans pavoiser vouloir apprivoiser
une certaine clémence annoncée
après tous ces excès peu vertueux
qui nous ont laissé sur le flanc
bonsoir Thierry, tu as raison suffoquant et les nuits ne calment pas nos désespérances, les orages sont attendus mais…. toujours une appréhension, nous voulons juste un peu d’eau et de fraîcheur pour reprendre des activités un peu moins léthargiques que nous a imposé cette canicule.
Ton état d’esprit me semple quelque peu apaisé, la vie nous oblige et notre volonté est avant tout de nous ressaisir autant qu’il se peut en visant tout ce qui peut nous y aider. Je t’embrasse.
Je partage avec vous Thierry et Monique
Mon petit fils ses 3 nuits au chr de Cahors…Ils pensent gastro entérite…
Ses troubles commencés le soir de leur arrivée dans le Lot…
Ils sont rentrés sur Nantes plus respirable..
Un ami de Toulouse 38 degrés à l ombre
Mes pensées pour ceux qui dorment mal avec 28 30 de degrés et travaillent les malades les bébés les personnes âgées.
Ici on a la chance de respirer mieux aujourd’hui 24 degrés à La Gacilly de l air
Ce soir vent très frais limite froid
Pas une goutte de pluie
Un SMS d une fille à cavaillon la photo d un frelon asiatique
Où va le monde vers ce désert de sable sans fleurs sans eau sans air. …
On ne peut plus ignorer…
Il faut sauver l air l eau pour nos enfants.
Que la vie vive en vie…
Je vous embrasse et vous envoie de l
air frais.
La mer
La terre
Le ciel
Vos grâces si belles
Pour nos enfants encore
Ils sont innocents
Devant cette folie fut monde
Qui a pillé la planète bleue
La mer
La terre
Le ciel
Vos grâces si belles
Pour nos enfants encore
Ils sont innocents
Devant cette folie du monde
Qui a pillé la planète bleue
Bonjour Monique et merci de ces mots sympathiques
Alors oui et non , au delà de la transpiration il n’y a pas que le
manque d’inspiration mais des plaies silencieuses supplémentaires
et de nouveaux deuils, hélas, il y a peu ce qui fait de cette année
une vraie hécatombe et cela sans parler des effets de la canicule
on prend sur soi et on essaie de continuer d’avancer
mais rien n’est simple
bonne soirée à tous les matelots
Je vous entends si fort Thierry
Il y a des mois cuisants des mois de deuils puissants qui se suivent parfois
Et comme il est hyper dur de seulement envisager de ne pas se noyer complètement. ..
Rester positif aide
Serrer des amis chers
Tourner son regard vers le bon le beau aide à garder quelques forces…
Je vous embrasse
On serre entre matelots
Pour ma part je vous que ma plume reste sans encre jolie à partager
De telles rudesses encore avec le sevrage de mon fils autiste…
Alors quand le corps s’expose et souffle il n’y a plus de jus pour l écriture à écrire. .Le cerveau écrit dans la tête. ..
Annick
En regardant le ciel , ces photos , en lisant tous ces mots, en essayant d’imaginer chaque petite goutte d’eau dans laquelle se glisserait un mot, que pourrions-nous lire si ce n’est ce nous dicte la vie…..
Les mots parfois s’égarent
dans le dédale de nos pensées
peu à peu le ciel se couvre
d’un nuage d’idées confuses
larmes contenues venues de loin
pour effacer tous ces mots
qu’aucun ne saurait comprendre
mots d’orages et de rage
d’amour et de douleur
mots qui voudraient dire…
mais ne savent comment.
alors j’écoute le silence…..
Tes mots me ont touches le 13 Août. ..Monique.
Et quand le 14 Août j apprenais le souhait de divorcer pour mon gendre. …Le choc fut gigantesque.
Allongée en fin de journée
Mon fils autiste vu accompagné
Un peu beaucoup
Avec ce sevrage en cours
Et puis son week foyer
Et puis allongée les pensées vers le ciel
Leurs innocences lundi mardi à venir
Leurs parents mettent ke mot divorce
Mais je sais bien mon humilité
On ne détourne pas le cours une vie
Et quand elle se veut déchirante
Pour leurs 10 mois trois ans et demi
Cela hurle en soi
Et les beautés allument
Tendrement un feu intérieur
Sinon c est la mort assure
Comment ne pas comprendre ton désarroi Annick, la seule chose que l’on veut avant tout c’est le bonheur de nos enfants mais ce n’est pas nous qui décidons. je t’embrasse.
Il n’est parfois pas nécessaire de formuler quand au fond de soi malgré toutes les vicissitudes de la vie nous sentons malgré tout monter en nous ce sentiment étrange, instant de béatitude que l’on ressent devant la beauté d’un ciel, ce soir le crépuscule était pure merveille.
Regarder le ciel
bien plus haut que les nuages
là où les pensées
ne sauraient attendre les mots
pour savourer la quiétude
Bonne et belle semaine à tous en ces derniers jours du mois d’août, le temps passe dans un silence plus dense que les mots.
Que se disperse la figure du titan
que se dissipent les brumes du temps
alors apparaitra la vérité en blanc
derrière les nuages
le ciel est pur et sans tache
attendre qu’ils passent
à leur rythme au gré du temps
le rideau de bienséance
Poussières du vent
Nuage de liberté
Mon doux brouillard dixit Ossiane
Je te parle mon coeur
Je te parle ma vie
Je te ressens mon âme
Quand carrières de parents
Passent avant les enfants
Mais je te hais la vie
Dans tous mes sens de le vivre
Le ciel est gris ce soir
Et entend mes prières
L innocence des enfants
Mérite la vraie vie
Et quand je vois deux fleurs
Dans un verre de cuisine
Le ballon en terrasse
Les mûres celles qui restent
Des brindilles de foin
Leur linge propre sur cordes
Je serre vos libertés
L’ essentiel c’est de vivre
Je vous hais le pouvoir
L orgueil l argent le noir
Les sourires des enfants
C’est tout sauf estimable
Une richesse si vive
Eclats de rires
Nuages de tendresses
Le plaisir de manger dixit Annick
Dures réalités
Quand l angoisse d un enfant
Brise son envie de vivre dixit Annick
Les grand parents sont là
Mais pour combien de temps….
Et là comme ils peuvent être
Ils sont fort épuisés
Bonsoir Annick, dilemme bien souvent au regard des enfants et petits enfants, les aimer très fort , leur faire confiance, les protéger selon nos moyens à la mesure de nos possibles…
Il y a dans notre cœur
assez d’étincelles d’amour
pour pour garder espoir
et vivre le présent
du mieux que l’on peut
Je sais ton courage et ta force Annick je t’embrasse.
Merci pour tes mots Monique
Je ne ressens pas que je ai force et courage. ..
Pas du tout. …Je peux rester devant un rien fort joli sans rien faire….Et même vertiger de émotions. ..
Je pense plutôt que il se agit de sur vie
De je n ai pas d autres choix acceptables à mes yeux à aimer.
Je suis une amoureuse de vie juste cela
Et je peux aimer au bout du bout sans presque jamais de bout…Longtemps. ..
Je t’embrasse
Début mars… c’était hier
toujours autant de questions
qui restent sans réponses
je regarde le ciel et les étoiles
comme un affront du firmament
elle brillent avec éclat
la terre continue de tourner
j’existe et tourne avec elle
rien ne s’arrête ici-bas
dans ce désastre en équilibre
toute invocation serait inutile
pour remonter le cours du temps
la vie nous l’apprend sans ménagement
le silence étouffe les cris du malheur
broie la douleur dans ses retranchements
au fond de cette gorge nouée
je n’ose à peine parler d’hier
de peur d’éteindre les étoiles
************************
Je t embrasse Monique
merci Annick c’est gentil bise à toi
Errance en solitaire
Il n’y a plus de cigales
Sur les branches du pin
Le ciel est sans nuages
Plus rien à l’horizon
Un certain vague à l’âme
C’est la fin de l’été
Chacun reprend sa place
Retrouve son alvéole
Les lauriers perdent leurs fleurs
Les feuilles des fougères se rouillent
Il n’y a plus que le soleil
Pour colorer le crépuscule
et cette page où se hasardent les mots
sur les dunes du silence.
C’est joli Monique
Son maillot de bain jaune
Sur un panier d osier
Et déjà c est hier
Ses deux fleurs dans un verre
C était déjà il y a 8 jours
Les mûres sont mangées
Mes chers petits enfants
Je serre vos innocences
J avais rêve si fort longtemps
Et cet été 2011si lourd
Comme cet été 2018 si chargé
Déjà de vies à sauver
Le coeur se pense et se repose ce jour
En quasi libertés
Ce fut si lourd de se donner en mère
Alors quand en grand mère
C’est tellement plein encore
Leurs parents sans vue claire
C’est à se sauver d aimer
Et puis l âme se calme
Elle ne peut abandonner
L ouvrage de sa vie
Sur tant de points douloureux
La Nature fait du bien
Un café peu importe
Tant qu il y a de la vie
Quand on aime la vie
Ses limites dépassées
Mais prendre soin de soi
Écrit une page sa neuve
Annick
Poussières du vent
Nuage de liberté
Mon doux brouillard dixit Ossiane
Tu me fais bien de bien dixit Annick
Bonsoir, petite histoire vraie pour vous ce soir :
Sauvé un gecko
des pattes de ma minette
ce soir à la nuit
une fraction de seconde
la vie tient à peu de chose
Les animaux ont parfois des réactions étranges, ma minette vient me montrer sa capture et me l’offre, le petit gecko comprend de suite , hasard sans doute, que dans mes mains il ne lui arriver rien.
Ossiane reviens tu nous manques …. toi , tes photos, tes haïkus… nous t’embrassons
J’ai vu dans le ciel
comme dans le le Petit Prince
briller des étoiles
est-ce un sourire qui le sait
je voudrais tant y croire
Et comme c’est joli
Le sourire du ciel
Quand il chaloupe bon
L équipage au long cours
Pour les mettre en lieu sûr
Un port son abrité
La tendresse d être en vie
Douceurs de belle journée
On ne sait jamais
Quand un silence long
Faut dire juste un mot
Ou se taire encore
Car on ne sait jamais
Chaque être différent
Car on ne sait jamais
Le contenu d un silence
De graves ou de légers
Avant qu il ne sorte
Un jour de son silence
Monique tu m aides à oser :
J espère de tout coeur que tu vas bien, Ossiane.
Beaucoup de bien à toi, Ossiane.
Nous connaissons suffisamment Ossiane depuis tant d’années parcourus ensemble ici sur ce blog pour comprendre que son silence a ses raisons et c’est bien pour cela que nous essayons de tenir la barre de notre mieux pour ne pas chavirer il y a tant de matelots ici sur ce navire qui lui doivent le bonheur du partage et de l’amitié et qui lui sont reconnaissants et fidèles.
Tu dis fort juste Monique
Partage fidélité reconnaissance amitié je te cite Monique
Il y a tout cela dans cet album et plus encore. …
Je vous embrasse chacun’e
Silence n’est pas absence ni abandon. Bravo et respect aux matelots Monique et Annick fidèles parmi les fidèles sur le pont. La barre tiendra bon et le navire d’un partage aussi magnifique ne chavirera pas !
J’ai regardé le ciel
il était noir et sans étoiles
au matin la lune égarée
a frappé à la porte du jour
montrez moi le chemin
de l’orpailleur du ciel
ma nuit devient si noire
je crains de me perdre
Après le ciel noir, égarés sur notre route sans repères, une première étoile vacille, puis une seconde, puis… Puis la lumière revient pour nous remettre en chemin sans craindre de nous perdre.
la poudre de sel
sur les vagues du chagrin
des cristaux de larmes
car les eaux n’étaient plus roses
dans les salins de la mer
mais j’écrivais par ailleurs :
Il suffit alors de presque rien, quelques traits sur le sable, le bruit sourd des vagues et dans le ciel les couleurs du rêve…