lourd ici bas
au-dessus de l’obscurité
la douce clarté
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heavy down here
eabove darkness
soft light
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
lourd ici bas
au-dessus de l’obscurité
la douce clarté
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heavy down here
eabove darkness
soft light
Clarté dans le ciel
en un sillon de lumière
fait naître l’espoir
malgré l’hier qui accable
tout empreint de sa noirceur.
Un monde extra-terrestre par sa beauté…
traverser l’ombre
dans la clarté laiteuse
le sourire de l’ange
Les lèvres au ciel joli
Offre un sourire géant
Son amour si puissant
Qu’il sourire celui
Qui a froid qui a peur
Le ciel cette Providence
Qui donne de la vie
Quand levivre ici bas
A déçu tellement
Chacun sa route à faire
Aen trouver merveilles
Pour son coffret de vues
Au plus profond de l ame
Resplendissant de vie
.La distribuer pour ceux
Qui dans le manque
Ont froid ont faim de vie
Et se trompent de route
La vie dans ses si simples
Mais comme elle est jolie
Dans la force d aimer
Sans cesse renouvelée
It s me…sourire
Le ciel ouvre son cœur
Et l être en pleurs
L’embrasse d’être sauvé
Désolée.
Je vois des tas de fautes because mon texte précédent écrit sur mon téléphone…Qui se permet d inventer des mots…Sourire…
Les lèvres au ciel joli
Offrent un sourire géant
Au plus profond de l’âme
Et la distribuer
Pour ceux qui dans le manque
vlà, mon vieil ordi sur table a rectifié au calme les fautes d’ééééééééééééééétourderies,
car déjà il en fait,
mais mon business téléphone en fait des plus grosses encore…
Les nuages jamais immobiles
La preuve ils dansent
Et dans le fond ils ont raison
De se donner un peu d’air
Le soleil luit en majesté
la montagne en quiétude
les nuages en bavure
j’aime cette douce clarté……
La lumière joue le jeu
cache-cache dans les nuages
le ciel attend l’instant
de l’éclaircie souveraine
Que le ciel en cet hiver glacial
nous fasse la grâce d’une embellie
petit privilège de faveur
pour un paysage moins sombre
une lueur d’espoir, un éclair, un sourire
pour fendre le plafond lourd des nuages
et que passe sans détour un rayon de soleil
séchant les pleurs des sinistrés du bonheur.
Le ciel ma providence
Tu m’offres ton sourire
Et mon âme s’éclaire
Pro vide en ciel
et jamais n’attache les nuages
qui frottent aux reliefs
laissent ils des restes
des ces fugitives dérobades
que ce n’en sont pas des aubades
mouvements prestes
disent les agitateurs
alors des accroche nuages
en festons ordonnés
il n’en est pas question
c’est l’air froid et humide
qui vient aux cimes
pas de relents putrides
mais un lourd pas lent
ils rabotent et déposent
des offrandes à ceux qui osent
les cueillir au passage
En dehors de toute connotation théologique que prend le mot ‘Providence’, quand aucune explication ne peut être donnée à un malheur, c’est que la providence était absente et n’a pu jouer son rôle mais il est vrai que tout ce qui ne répond pas à la normalité est mal perçu, le mot destin devient cruel.
Là où le mot « providence » a sa place c’est lorsqu’un fait inattendu apporte un secours inespéré pour pallier aux conséquences dramatiques. Là où « providence » aurait un sens c’est lorsque les moyens qu’elle pourrait offrir pour aider à comprendre ou plutôt accepter l’inacceptable seraient suffisamment convaincants et rassurants. C’est ainsi que la beauté, la nature, l’amour, l’amitié, la force et le courage peuvent être autant d’outils providentiels comme une grâce à la douleur.
Il est vrai qu’en période de profonde tristesse justifiée, une main tendue peut s’avérer providentielle également face à la solitude, ce sentiment parfois trompeur qui voudrait vous faire croire que l’on est assez fort tout seul.
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Face aux ombres dévastatrices du ciel
L’entre-deux des nuages laisse filtrer la lumière
Ô vent providence à la lisière du soir
Qui des ténèbres, laisse entrevoir
Les couleurs chaudes du crépuscule
Instant de douce rémission
Avant que la nuit lentement
Efface toute lueur du jour et plonge la terre
Dans une obscurité normale et consentie.
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Quand la grâce du ciel
On l’appelle providence
Chacun mérite sa part
Bien plus quand le tragique
Cumulé bien de trop
bravo et merci pour cette superbe exégèse Monique
C est fort joli ta décortication, Monique…
La providence
Yaouh c’est quand on y croit plus
Et quand elle serre comme çà
De ses sels, de ses doux
Que le ciel sur le sol
Quand levivre éternel
Se réveille de lourds
Et touche l’immensité
La vie dans ses éclats
Mais comme c’est joli
Mais comme cela fait du bien
Yaouh, des mille mercis
Monsieur le provident
Madame la providence
Du bout des doigts ma plume
Je te touche mes étoiles
Si belles si généreuses
Et le filet de lumière
La traîne de chacune
Ecrit des mots si bons
Que mon coeur ce gourmand
Se régale et se rit
L’âme souffle respire
Comme c’est bon la vie
Ensemble notre chemin
Tu es belle Providence
Mon amie de mon âme
Dans les creux de ton cœur
Je me souffle mes doux
En beautés en bontés
La passion m est si chère
Au plus profond de moi
Tu es ma Providence
Mon tendre pêche goûteux
Qu’en aime mon éternel
Qui le veine des ciels
Je le ressens cette chance
D être ici parmi vous
Providence ossiane
La providence
c’est à la grâce de qui ?
une concomitance,
un heureux déroulement
pour un bon dénouement
des co-facteurs positifs,
un alignement des planètes
des déterminants mais pas de Kramer
la chance du hasard,
je crois bien que c’est la providence
qui m’a fait découvrir ce blog en 2007
à l’évidence presque dix de bonheur continu
quelques anicroches mais j’ai tant reçu
pas besoin de brassards
Je t’embrasse Thierry…Chacun…Chacune…
J ai tant reçu ici
Et ce n est qu un début
Dans les toiles de mon cœur
Le pinceau de mon âme
Aime au plus profond
Comme il est bon d aimer
Ma belle étoile
Tu es
Quand je te crois perdue
Je te retrouve encore
Et mon âme se meut
Dans des plaisirs immenses
Comme ça bien au-dessus
Du sol dessous nos pieds
Même si c est essentiel
Aussi de marcher le sol
Pour se sentir en forces
De la serrer la vie
En tendre humanité
Pour le beau pour le bon
Tout contre soi serrés
Pour conserver vivante
Son âme sa vie ses pas
Une romance en danses
Murmures invisibles
Dans le ciel sur la terre
Gris le quotidien,
Noirs les discours,
Blancs les coraux.
Mais optimisme
Pensées bienveillantes
Avenir plein d’Espoir…
ils sont bien tendres vos mots, Jo.s,
et pour reprendre un peu…
Rien de tel
Que l’optimisme
Serré contre soi à vie
Cette étoile merveilles
Donne du rouge aux joues
Des pépites aux yeux
Permet de gravir ses pics
En s’abîmant bien moins
Car y croire cela sauve
Des pires des douloureux
Et tout de contre à vie
Le sens d’aimer encore
Au delà par dessus
A travers malgré tout
Aimer bien au delà
Pas se mourir en route
Aimer sauve c’est si vrai
J’ai observé, un soir d’hiver, sur les bords du Rhône, cette même ligne blanche entre les reflets de la colline et les eaux sombres du fleuve, image furtive le temps d’un crépuscule, leurre d’une éclaircie de courte durée, faux espoirs d’une accalmie du ciel, ligne parfaite par excellence qu’aucun cordeau n’était venu tracer, qu’aucune péniche ni souffle de vent n’étaient venus briser. C’était joli.
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entre ciel et terre
sur un long et blanc ruban
s’étire la lumière
temps de rémission des nuages
simple miroir de l’éphémère
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A tous bonne semaine et plaisir de vous lire.
Au bord du fleuve dans la grisaille de l’hiver, la lumière peu à peu s’infiltre et vous pénètre jusqu’au plus profond de vous-même, un échange s’installe….
J’entends le message
à travers brumes et brouillard
comme un chant du ciel
simple beauté pour langage
dans le respect du silence
Pas d’évidence vide quand le ciel de Provence nous promet belle provende de lumière
nuages tamisant sans Tamise et break seat pour observer sans fatigue quelques turbulences
horizon surligné en blanc et noir comme une lame effilée sous la masse sombre qui encombre
Masses lourdes et imposantes d’un magma de nuages
Couches successives en mouvements transitoires
Entre lumière et ténèbres longue marche à travers ciel
Attendant quelque retour miraculeux donc impossible
de quelque amélioration selon les bons vouloirs d’Éole
Au loin le mont Ventoux coiffé d’une calotte grise
Émerge au loin tel un volcan dans une mer de brumes.
Un horizon sans transition où tout reste dans l’attente.
demain peut-être : en m’autorisant un futur *l’aube ouvrira…
« L’aube ouvrait* une ligne de clarté entre la terre et les nuages… »
Sylvain Tesson dans Sur les chemins noirs