vague blanche
bientôt la voile au vent
je marche sur l’eau
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white wave
soon the sail to the wind
I walk on water
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
vague blanche
bientôt la voile au vent
je marche sur l’eau
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white wave
soon the sail to the wind
I walk on water
Des vents bienveillants
Avant le grand voyage
pavillon blanc
« Devant la nature, c’est à méditer qu’il faut s’exercer. De grands ciels puissants, profonds, vaporeux, légers, et, là-dessous, un morceau de la terre ou des bateaux, mais que ce soit grand, idéalisé, comme je l’entrevois. »
–
Eugène Boudin .
A signaler ces expositions :http://www.latribunedelart.com/trois-expositions-impressionnistes-en-normandie
Attendre que vienne le vent
Prêt à hisser les voiles
partir
Sentir l’appel du large
sur les vagues trop blanches
voguer
Voir disparaître les bancs de sable
Et les écueils rocheux
S’éloigner
N’entendre que le bruit de l’eau
et le souffle du vent
écouter
Regarder le ciel sans nuages
Sentir l’air frais sur son visage
rêver
Un air de vacance sous un ciel d’été !!!
Pas encore en échec
il saura tenter sa chance
à la prochaine marée haute
sillage en attente
et cap dans les limbes,
l’ancre trace un point-virgule
Les pieds dans l’eau
Destination vague
Ciel et mât
Tiens la barre
Dresse le mât
Et mets les voiles
Emporte-moi
Là-bas sur l’Océan
Au gré du vent
Sur une île déserte
Paradis du silence
Et des oiseaux
Entre deux branches
Accrochons un hamac
Laissons passer le temps
Et si tu n’as pas de bateau
Qu’importe nous dresserons un mât
Sur une île sauvage
Au milieu des terres
Allongés sur un tapis de fleurs
En regardant le ciel
La tête dans les nuages
Nous mettrons les voiles.
Voilà un rêve à « sans » sous
Pas cher et qui fait du bien
il est bon ton rêve qui fait du bien, Monique…
Viens
Larguons les amarres
Dis
Vers le large
Une berge pour tous les deux
Ensemble
Complice du ciel
Du haut du mât
Tendre contemplation
Vers l’au delà
Entends tu
Encore un peu de temps
Ô temps
Et ce sera ce temps
verticalité
aux algues remontantes
frais comme un matin
Dans le courant qui va et vient
des eaux qui montent et qui descendent
sur le sable couvert et découvert
au fil des jours et des marées
le petit bateau prend un air penché
puis se redresse sous la main des vagues
jusqu’à ce que le mât
fil à plomb trouve sa verticalité.
Dans cet univers en perpétuel mouvement
des petites turbulences imperceptibles
changent la face du monde
font d’une plage un océan de vagues
et dans le vent enlèvent le petit bateau
sans qu’on ait eu le temps de voir
ses voiles se dresser,
sa coque glisser vers le large,
des bancs de sable disparaître.
Une nouvelle toile sous l’œuvre du temps,
Des couleurs qui se fondent…
Un paysage vient de naître.
Au loin, un petit bateau s’en est allé !
…les vacances…l’été…..le soleil….la mer….les montagnes…..les lacs….les forêts….les chemins….les îles….
ELLE FERMA LES YEUX
SENTI LE VENT SUR SA JOUE
LA JOIE DU DEPART
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Amas de goémon et vole de goéland, l’étrave d’une goélette
à monter au mat c’est de l’art sans timon
amateurs de sensations sur la balançoire
entre vergues et guindeaux
on n’oubliera pas de balancer le seau
c’est une image fort jolie,
Comme c’est bon sa voile d’être
De ci de là quitter la corde
Aller s’ ennivrer de bel air
Il y a des belles personnes
Qu’il est précieux de se partager
Le mât regarde du haut la voie
Et quitter le port sa cellule
L’ouverture fait tant de bien
bonne soirée,
overblog semble fermé ce soir,