à genoux ou debout
embrasse l’infini
de tes yeux
• • • •
kneeling or standing
embrace the infinite
with your eyes
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
à genoux ou debout
embrasse l’infini
de tes yeux
• • • •
kneeling or standing
embrace the infinite
with your eyes
Vision, évasion
La mer à perte de vue
Rêves à la nage
Enfances heureuses
langoureuse Nostalgie
…la mer et l’Automne
Superbes mots et douce photo 🙂
Bizz Lolo
http://ptitesphotosdelolo.blogspot.fr/
Et dans l’infini de l’océan
ou de tes yeux
La vie
à deux, silhouettes
dans ma paire de jumelles
j’arrime la causette
Je nous ai vu tous les deux
par la grâce du sable lié
l’un en chevalier preux
A je nous
Ou debouts
Mon amour
Dans le ciel
De nos yeux
Merveillés
De *levivre
Cet instant
Son miracle
Ensemble
L’un tout près
L’autre Là
désolée j’ai cisaillé le E, pour que de trois, jem’aime LIBRE d’écrire, ma simple d’être faite!
Viens
Relève toi ton humble
Et enlace moi
Ma simple
La vie c’est pour s’aimer
………………
Ici la mer est calme et bleue
La plage presque déserte
Prières et vœux sont inutiles
A quelques encablures d’ici
A la même heure sur le lagon noir
Voguent des petites étoiles
Sur la plage règne le silence
C’était hier sur une île lointaine
Un départ pour un long voyage….
Etre debout ou à genou
N’a plus d’importance
L’âme est en quête de repos
De recueillement, de musique….
……………………..
Mon âme en quête de repos, de recueillement, de musique…
te rejoint, Monique, ce soir…
DOUCE SOIREE.
en cas de burle
par la grâce du silence
une âme en automne
en cas de burle
par la grâce du silence
l’âme en automne
Toutes les positions sont favorables
il suffit de choisir celle qui convient le mieux
pas oratoire ni en battoir
l’amer en sautoir
les yeux écarquillés
retrouver les senteurs de l’espoir
Combien de vœux avons-nous faits
Combien d’espoirs avons-nous eus
Perdus dans le temps, tombés dans l’oubli,
Adressés à l’inexistant dans le leurre des croyances
Parce que la vie n’est pas programmable
La volonté et les hasards se côtoient dans l’indifférence
Et puis un jour sans même nous y attendre
Ce que l’on croyait impossible, inaccessible
Parvient indépendamment de nos attentes
Parce que réceptifs, confiants, accueillants
Parce que le yin et le yang vont de pair
Parce que notre âme comme un miroir
Capte la lumière, reflète ses rayons
Emmagasine et restitue dans notre cœur
Plus que l’on ne peut imaginer
Il suffit de puiser à la source intérieure
Alimentée sans cesse par la beauté, l’amour
Et la confiance inaltérable en nous-mêmes
Qui dit je peux parce que je le veux
Indépendamment de toutes les entraves.
Une petite correction pour le dernier vers pour éviter la redite d' »indépendamment » :
Qui dit je peux parce que je le veux
Malgré toutes les entraves et les défaites.
–
» A chaque jour, suffit sa peine »
–
S’il suffisait de … chacun serait heureux.
–
Devant l’immensité
Nos pensées au loin s’égarent
Un rêve d’oiseau
Au loin l’horizon
La grisaille de l’automne
Quelque vague à l’âme
l’infini s’échappe
sable blanc des rires
fugues
des rêves de l’enfance
un grain de sable dans les rouages
du neuf à l’horizon
Espace immense, la plage nue
La mer géante en toile de fond
Les châteaux de sable sont démolis
Sur l’esplanade déserte
Roulent les grains de sable
De la dune à l’horizon
Le tapis des romantiques est déroulé
Reflets d’argent et grains dorés
Venez petits enfants fouler
La plage encore humide
Mêler vos cris au chant des mouettes
Nostalgie de l’été, souvenirs d’hier
Un souffle d’air, une saison se meurt
L’automne réserve ses couleurs
Aux couchers du soleil
Le silence est divin, suprême
Tout est bien l’âme se repose
Perdue dans l’étendue des rêves
Noyée dans la démesure
D’une beauté enveloppante.
petit animal
en ces immenses contrées
l’homme seul se la joue
Embrasser l’horizon à bouche que veux tu
ne rien trouve de louche dans le jeu entretenu
trouver douce et moelleuse la couche retenue
Exprimer le souhait et imprimer la marque
dans le sable frais et loin de la barque
pas en retrait et des yeux écarque quillés
belle équidistance
d’entre les petits hommes
la mer en partage
sablon, mousseline écumeuse , rêvons
Petits pions sur l’échiquier du rêve
Rien ne m’empêche de faire un vœu
Rien ne m’empêche d’espérer
Mais faire « en sorte que »
Me semble plus réaliste
Composer selon les données
Pour construire du solide
Un rêve pour fondation
Est une bouteille à la mer
Un grain de sable sur la plage
Une goutte d’eau dans l’océan
Mais un rêve reste un rêve
Qui compose avec le cœur
C’est une graine qui va germer
Sur un sourire qu’on arrose de ses larmes
C’est un chemin ouvert
Entre les ronces et les orties
Un regard vers ‘infini
Sur la barque de nos rêves
du voeu à l’espoir, histoire d’y croire
former des voeux comme des vagues
et pas de simples châteaux de sable
étant donné l’immensité
l’imagination nous est prêtée
allons nous promener
et puis on peut se projeter
mais de déçu à déchu
il y a bien peu
les rivages nous confrontent
et parfois battent en brèche
nos idéaux
les éléments s’affrontent
nous n’en retirons pas toujours
la quintessence
pas seulement par manque
de patience
Où porte le regard
le voeu s’égare
il n’y a pas de barre
s’ont perdu leurs ailes
ces anges à genoux debout
si loin près de nous
Beau dimanche à tous
____
Immenses soupirs
Sur la mer de nos désirs
Des rêves à saisir
____
Ca se complique quand la mer est houleuse et que des vagues géantes engouffrent dans leurs eaux tous nos espoirs et transforment nos rêves en cauchemars….
Tous nos espoirs prendraient l’eau,
alors nous ferions eau de toutes parts,
pas assez de calfatage
et pas de calfeutrage possible
l’angoisse qui monte indicible
le réchauffement climatique attise les hantises
pas qu’histoire de niveau
mais aussi de confrontation
à pas précipités
quitter le bord
regagner l’intérieur
dresser des remparts solides
mais se sentir touché, couché, roulé
tout ceci est vague encore
mais ne va pas tarder à prendre forme
se masser sur le littoral
c’est faire le lit littéral du risque
et courir grand danger
il est loin le temps des digues
vient celui des ligues
pas pour faire front commun
contre un danger unique
mais éveiller les consciences
aux périls qui rodent
pas seulement les courants qui érodent
ligues contre digues
Un travail de grande ampleur
Pour réveiller les consciences endormies
Je pense à la Rochelle est au mall construit contre la flotte anglaise, le siège de la ville, dernière place forte de l’édit de tolérance, je pense aux ligues et aux ligueurs
à celles d’intempérance et aux chaînes humaines qui prennent du sens dans les combats
surtout les combats justes contre la barbarie, l’aveuglement et l’obscurantisme comme autant d’isthmes qui ne permettent pas d’adopter des comportements positifs , progressistes
la submersion des consciences par la déferlante du consumérisme et le nid douillet du confort
du moins pour ceux qui peuvent s’en prévaloir ne prédisposent pas au combat, aux luttes et aux affrontements et pourtant, il y a fort à faire …
La mer est partout la même
L’eau, les vagues, les couleurs
Quand le ciel est gris
La mer est grise
Quand le ciel est de feu
La mer est rouge
La mer en ce jour
Jouait avec le blanc et le noir
Rimbaud jouait avec les voyelles
Je joue avec les nuages
J’invente des rêves bleus
Des rêves jaunes, des rêves rouges
Mais les pensées sont noires
Noires comme la nuit
Blanches comme le jour
Demain il fera beau !
Ah si seulement je pouvais
Aller courir sur la plage dans le vent
Comme un enfant jouer dans l’innocence
Pieds nus dans le sable mouillé
Atteindre au-delà de la mer l’horizon
M’inventer un grand terrain de jeu
Où le bonheur serait au bout de la course
Où les vagues danseraient de joie
Où le ciel s’inonderait de lumière
Ah si seulement je pouvais
Chanter comme les moines en prière
Invoquer quelque dieu, quelque sage
Croire en cet instant de grâce
Comme le vivent les enfants
Sur leur château de sable
Mais le silence de la nuit est tombé
Les mots et les chants se sont tus
La plage est devenue noire et déserte
L’âme triste et solitaire pleure sa destinée
En écoutant la chouette de Minerve.
âgés nous ? pas au point de ne plus rêver
d’écrin en aigrette devine qui vient
quelque chose qui nous retient
nous n’avons pas perdu toute innocence
mais clairement ce n’est pas du non sens
deux bouts se rejoignent et se confrontent
mais le bruit du ressac reste dans notre havresac
Deux petites fourmis
Sur le sable déposées
A la conquête du monde
Biseeeeeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeeeeeeeeee