les arbres plume
doux échos de la rive
le temps figé
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pen trees
soft echoes from the bank
time still
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
les arbres plume
doux échos de la rive
le temps figé
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soft echoes from the bank
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A l’encre de Loire
un long rouleau de légendes
En pleins et déliés
Quelle belle image Ossiane, tout le charme des Bords de Loire où j’aime tant me ressourcer.
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Qu’ils soient ormes, frênes ou érables
Ils trempent leur plume dans la ligure,
Dessinent avec finesse les rives du fleuve,
Tressent de leurs branches des havres de vie.
L’eau tranquille entre leurs bras tisse nos rêves
Jusqu’à ce que parfois entre deux courants
S’inscrivent sur la surface limpide de l’eau,
Dessins de plumes sur fond d’aquarelles,
Reflets des nuages aux couleurs tendres.
Le poète sensible à tant de beauté
Comme le peintre, ne saurait passer son chemin
Sans venir grossir le livre d’or, s’asseoir
Et du nectar du fleuve composer un chant
Mêlant ses mots aux cris des oiseaux.
L’œuvre longe les rives du bord de Loire
Et laisse entendre l’écho de la voix d’une reine
Qui nous conte l’histoire d’une enfant
Descendant tout droit de la montagne
Et glisse parfois rebelle jusqu’à l’Océan
Cette histoire est si belle, si surprenante
Si étrange, si intéressante, si cruelle aussi
Si attachante, si fidèle à ma mémoire
Qu’elle reste à mon chevet bien souvent
La consolatrice de mes insomnies.
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«… J’eus donc beaucoup de chance de grandir ainsi au cœur d’un jardin habité de paroles florales et sur les bords d’un fleuve hanté de chuchotis… » Jacques Lacarrière (dans Un amour de Loire)
Parfois elle me semble…
Comme fils de Celtillos menant la guerre des Gaules
Sur destrier farouche chevalier insoumis
Parfois elle me semble
Pourprée comme fier César semant les terres brûlées
Moissonnant le hasard de multiples envolées
Parfois elle me semble, royaume de Mérovée
Butin de cathédrale, tintamarre de francisques
Exploit de Durendal
Parfois elle me semble
A ses noces couronnée
Au tombeau emmenée
Parée de ses plaisirs ses rêves et ses désirs
Ses châteaux en Espagne
Ses palais de Sarrasins
Ses batailles d’Aquitaine
Ses combats de fantassins
J’ai oublié son nom, mais parfois elle me semble
Un chemin, un royaume
Où les rois se succèdent souverains et sujets
Ménestrels ou héros
Sur le bûcher des cendres
Désormais mon Amour se résout à mourir
A quoi bon célébrer ce qui meurt toujours…
Mais parfois il me semble,oui parfois il me semble…
Parfois il me semble qu’on l’a nommée…la vie
J’ai bâclé la fin car j’ai sommeil! Bonne nuit.
Une citation:
« Parfois les nuages reposent les gens d’admirer la lune »
[Matsuo Bashô]
Parfois le silence est préférable à toute parole
Sur la ligne d’horizon
S’ouvre « la tache d’encre prolongée »*
Entre la Loire et le ciel
Lavis parfait aux formes symétriques
Entre dessin et peinture
Entre nuages et reflets
Sur la toile du fleuve
Où s’écrivent les mots
Un radeau de poème
Vogue au fil de l’eau.
* expression d’André Breton
Coule la vie, coule l’eau
Reflets changeants au fil du temps
Tête penchée sur le courant
Si tu es bien dans ce présent
Trempe ta plume
Ne retiens que l’instant
Tout passe, tout s’en va….
Parfois je me sens à l’étroit et me plais à rêver d’autres cadres
parfois je me rend compte de ma chance d’être né un vendredi treize
parfois je lève le nez de mes cahiers et regarde les gens dans les yeux
parfois tout me semble facile et couler de source
parfois j’aime prendre le contrepied des situations
parfois je me dit que s’estropier permet de mieux s’épier
parfois je voudrais être un épervier dans le ciel bien haut
Mais la Loire ! […] La voix qui est dans ce mot : Loire, l’ensemble d’échos qu’il réveille, c’est un bouquet, c’est une bouchée sonore presque sans fin dans le français. Une des plus riches en tout cas. Qu’est-ce qu’on entend, articulé par la diphtongue grande ouverte ? Tout un appel d’harmoniques au travail : on entend soir, plus ou moins nettement, on entend hoir, drôle d’héritage que cette eau, à propos d’eau courante on entend lavoir, on entend, de loin il est vrai, loir (la bête), de tout près on entend Loir (la rivière), on entend miroir, on entend terroir, on entend moire évidemment, on entend gloire. Bon, assez de preuves. Ou plutôt encore une. Je m’arrête à boire, car à rôder de ce côté devinez ce qu’on trouve : on nomme boires, en pays de Loire, les eaux dormantes formant pièges où les nageurs (s’il y en a) et les barques courent le risque de s’engloutir, attirés par le faux calme […]
Ludovic Janvier, Des rivières plein la voix .
Mathilde, jolie découverte que ce texte de ce poète rencontré dans Terre de Femmes d’Angèle Paoli où j’avais noté cette citation :
« Ramuz écrit que la pensée remonte les fleuves. Qui les descend, c’est la rêverie. »
Ludovic Janvier, Des rivières plein la voix, Gallimard, Collection L’arbalète, 2004, p. 14.
A « boires » j’ajouterai les « déversoirs » des bords de Loire qui sont des espaces pouvant recevoir les crues éventuelles, en ces lieux toute habitation a été supprimée, des souvenirs de maisons disparues….et des histoires parfois douloureuses lorsque expropriés il fallait partir…
« Les premières digues (appelées aussi levées) ont
été édifiées au XVème siècle. Le système de
protection fut complété et renforcé au cours des
siècles suivants. Il comporte des digues
destinées à canaliser les eaux vives
correspondant au lit mineur et un dispositif de
protection du quartier Blois-Vienne et Bas-Rivière.
Le DEVERSOIR de la Bouillie (cote de 4,87m audessus
de l’étiage) écrête les crues et détourne le
courant vers la BOIRE et autour de la zone à
protéger. Ces aménagements n’empêchent
évidemment pas une montée des eaux liée à
l’élévation du niveau de la nappe alluviale »
dans Planète Terre Geosciences au Sce de l’humanité
Comme les gouttes sur le carreau
tes larmes salent ma peau
dehors et dedans, l’eau
Double image en reflet
quand l’heure propice ne sait plus où aller
Lueur blanche , Dame blanche se mire et disparait
Je reste là en éternité
Bonsoir Ossiane et Amis
Arlette
Oui, Thierry,
parfois le courant de vie est tellement fort,
que le silence parle si bien ses émotions qu’aucun mot semble pouvoir écrire…
Parfois je me dis tais-toi
Non je hais les dictatures
Parfois je me dis c’est toi
Oui je t’aime ô mère
Par Amour,par amitié.
Un long ruban d’argent
Se faufilait entre les berges,
Le ciel se répandait sur l’onde.
La Loire en habit d’apparat
Se traînait langoureusement
Nous incitant à la rêverie ;
Nous embarquions et glissions avec elle
Dans ce monde magique et sauvage,
Voyage immobile, douce errance
Le long d’un fleuve merveilleux
Dans la musique cristalline de ses eaux.
Avec elle complices du jeu des nuages
Nous embrassions le ciel jusqu’à nous y fondre
Dans une douce et harmonieuse union.
Parfois le ciel capricieux inondait le fleuve
De ses teintes lugubres et sombres,
La Loire alors, sans colère, changeait de robe
Attendant patiemment le retour au calme
D’un nouveau tableau, d’une nouvelle toile
En camaïeu de bleu, de rose et de gris pâle
Pour continuer ensemble avec nous le grand voyage
Celui du rêve dans l’ivresse de la beauté
Reflets dans l’eau
l’arbre trempe sa plume
dans un nuage
comme j’ai fait un bel voyage avec tes mots,
un périple tendre son cours,
et comme c’est joli de lire:
*celui du rêve dans l’ivresse de la beauté.
MERCI Monique,
j’ai retrouvé les bels arbres en fleurs dans ma tête douce,
et ce petit périple achève de me lâcher prise ma tendre,
comme c’est bon vraiment de se laisser aller,
à son doux courant d’être amoureux…
Jolis, leila et may,
mmhh, tremper sa plume dans une goutte de lOire,
et se laisser aller, les petits doigts en l’air,
sans trop attendre que la douce bise sèche la perle,
ouvrir les yeux, se pencher la feuille de son bateau de vie,
et laisser naviguer cette eau de vie goûteuse,
belle gourmandise que se laisser cheminer pour le meilleur pour soi,
serrer le joli temps, celaui qui se pose son joli petit cahier invisible,
et embrasse tendrement des lèvres déposées…
L’ombre des nuages
si transparente parfois
au travers de l’eau
D’un feuillage à un autre
de chaque côté du fleuve
Les pies se disputent
je n’invite pas le silence
à débattre
A Ossiane, May, Leïla, Annick, Arletteart, Mathilde, Bourrache, Thierry. et vous tous amis de ce blog
Je voudrais longtemps encore laisser aller ma plume au fil de Loire car il n’est d’encre plus savoureuse que celle puisée aux sources de la mémoire. Si je puis vous emmener dans ma course saisir toute la beauté et l’infinie tendresse, trouver les mots qui attendent au fond de mon encrier pour venir vous offrir un peu de bonheur , un sourire sur vos lèvres, je crois pouvoir dire alors que je suis heureuse d’avoir réussi à partager les joies de mon voyage qui s’inscrivent au bout de ma plume. Aimer les autres à travers les mots dans le monde virtuel, c’est possible et cela procure un bien immense merci à vous tous.
Merci à toi, Monique,
tu viens encore de me faire vibrer d’émotions tendres leurs jolis roulis coulis de vie
et je te dis merci,
et merci à vous tous,
ici, c’est un hâvre de paix, et comme c’est bon de s’y poser, reposer, pauser,
laisser courir sa plume ou se palpiter de celles d’autres…
MERCI à vous tous!
A TOUS,
certains m’on donner de la vie jolie, tellement, à les lire, me vivre…
MERCI Ossiane, pour cet album SINGULIER de son unique délicat précieux, en tout de Là,
signé: tit’mateLOtE
Pouet pouet…
sourire, hein, Rachel, Bourrache, Thierry, Monique, et tous trop nombreux, à nommer…
Si bon de pas se prendre au sérieux, quand la vie sa si grave…
cela permet de survoler le rude le douloureux, et de se nager dans des eaux douces,
marcher une trouée d’arbres jolis, et de renifler des fleurs de vies,
et de partager en vrai de cru, ses bouts de vie, en poésie…
Parfois les paroles se bousculent , impuissantes et prisonnières derrière la vitre lisse du silence
merci Ossiane pour ce lieu de paroles et merci à tous pour le partage
au nuage en spray
les ombres dans la nasse
tirant d’eau lisse
Le rêve que l’on rencontre chez toi Ossiane à travers tes images, tes textes et les textes de chacun, cette part d’imaginaire qui nous attire tant, j’en ai rencontré une des raisons cet après-midi en lisant ce charmant petit roman de Eric-Emmanuel Schmitt – Les dix enfants que madame Ming n’a jamais eu – et qui peut se résumer dans cette petite phrase prélevée dans son livre et qui curieusement commence par « parfois »
« …parfois, j’estimais que nos destinées ne devaient pas se restreindre à la réalité mais s’enrichir de rêves, de fantasmes, lesquels, s’ils ne sont pas la teneur des choses témoignent de la vitalité de l’esprit. »
Alors continuons à rêver, à aller au-delà du réel à travers la poésie par exemple et comme nous y invite cet auteur laissons nous emporter par la sagesse de Confucius vers un idéal d’harmonie.
heu, lire,
*certains m’onT donné…
m’zi Monique, pour les derniers mots partagés…
et je te cite:
* alors continuons à rêver, à aller au delà du réel à travers la poésie par exemple…
Il est des fleuves vivants
comme l’eau des saisons
qui suivent la déraison
se laisser glisser
vivre la grande traversée
instant de vérité
la rive Hé
Sur le lit du fleuve
Emportée par le courant
La belle Ophélie
____
Et le plaisir de relire d’Arthur Rimbaud – Ophélie
« Sur l’onde calme et noire où dorment les étoiles
La blanche Ophélia flotte comme un grand lys,
Flotte très lentement, couchée en ses longs voiles…
– On entend dans les bois lointains des hallalis.
Voici plus de mille ans que la triste Ophélie
Passe, fantôme blanc, sur le long fleuve noir;
Voici plus de mille ans que sa douce folie
Murmure sa romance à la brise du soir.
Le vent baise ses seins et déploie en corolle
Ses grands voiles bercés mollement par les eaux;
Les saules frissonnants pleurent sur son épaule,
Sur son grand front rêveur s’inclinent les roseaux.
Les nénuphars froissés soupirent autour d’elle;
Elle éveille parfois, dans un aune qui dort,
Quelque nid, d’où s’échappe un petit frisson d’aile :
– Un chant mystérieux tombe des astres d’or.
II
Ô pâle Ophélia ! belle comme la neige !
Oui tu mourus, enfant, par un fleuve emporté!
– C’est que les vents tombant des grands monts de Norwège
T’avaient parlé tout bas de l’âpre liberté;
C’est qu’un souffle, tordant ta grande chevelure,
A ton esprit rêveur portait d’étranges bruits;
Que ton cœur écoutait le chant de la Nature
Dans les plaintes de l’arbre et les soupirs des nuits;
C’est que la voix des mers folles, immense râle,
Brisait ton sein d’enfant, trop humain et trop doux ;
C’est qu’un matin d’avril, un beau cavalier pâle,
Un pauvre fou, s’assit muet à tes genoux !
Ciel! Amour! Liberté! Quel rêve, ô pauvre folle !
Tu te fondais à lui comme une neige au feu :
Tes grandes visions étranglaient ta parole
– Et l’infini terrible effara ton oeil bleu !
III
– Et le poète dit qu’aux rayons des étoiles
Tu viens chercher, la nuit, les fleurs que tu cueillis,
Et qu’il a vu sur l’eau, couchée en ses longs voiles,
La blanche Ophélia flotter, comme un grand lys. »
Bonne fin de week-end à tous le soleil aidant
Parfois
Mon amour
On se vivra d’amour
Moi et toi
Nous ensemble
Parfois
Notre tellement
Chère Monique
Parfois, oui parfois, il me semble vous connaître
Poète au seuil de la fenêtre
Philosophe mystique
Jardinier de l’âme
Parfois il me semble vous parler
Au fil des silences et les clés
Dans le regard des autres
Parfois, oui parfois
Merci.Oui, merci pour toutes ces citations et vos écrits qui font grandir, s’évader rêver, patienter, relativiser et tout et tout lorsqu’on clique sur l’Oeil Ouvert et que l’on vous lit sans répliquer, vous lire, juste vous lire, jardinier des fleurs tendres avec ou sans rimes.Bon j’arrête, je divague sur mon fil tendre et je vais me sentir ridicule à m’étaler comme une pâte qui gonfle avant de cuire!A vous vouvoyer en me demandant si avant je vous tutoyais, je ne sais plus??
Bonne nuit Capitaine et matelots!
je ne sais plus non plus si je vous vouvoie ou vous tutoie, Leila,
*mqis peu importe,
l essentiel c’est dedans et pas dans la forme,
je pense vous tutoyer, me semble,
*tu n es pas ridicule, Leial, tu es c’est bien,
et l image de la pate qui gonfle avant de cuire, cela me fait sourire!
Je vous embrasse Capitaine et matelots.
posément calme
l’avers dévers des éléments
polarise la double vision
de l’amitié en sourdine
de mots échangés
hors carapace
divaguant
barques menues
sur le miroir
des attentions portées à l’autre
……………………………
je vous salue
dames en capeline
messieurs en canotier
Parfois je voudrais écrire un long poème, un long parchemin kilométrique qui ne rime à rien, qui né rime et meurt hymne à l’Amour humain.Parfois oui parfois, je dirais m^me Souvent si la note Ossianique le permettait.
J’ai tracé mon âme avec un brin de roseau
La parole se clame, le silence est beau
J’ai brûlé mon cœur qu’il ne l’aime plus
Cet homme cette chimère à interpréter
J’ai semé le vent j’ai labouré l’eau
Les vagues fracassées, écoute mon écume
Cette parole est cri et le cri écrit
Qui n’a pas faiblit dans son arrogance
Peuple encore le bruit hors de me silences
Qui n’a pas écrit a lu les poètes
De se trouver bête est devenu maître
Ô toi poésie des chemins diffus
Ta lettre parabole, tes épreuves écrit
Ô toi poésie île d’enseignements
Abbaye de larmes et de sentiments
ô toi poésie des pas qui s’écoutent
Lorsque le corps meurt et que l’esprit doute
Ô toi poésie née dans mon hasard
Plume que l’on écoute, poème du regard
Ô toi poésie, nuit qui ne commence
Ni ne se partage sans des cœurs épris
Pourquoi ton royaume ne dévoile ni lève
Les aurores si brèves qui peuplent la Nuit?
Ô toi poésie des méditations, du rêve qui s’annonce
Des mémoires passées
Ô toi poésie langage de mes doigts,
NON langage des voyagesdes rêves et des voix
Ô toi poésie de l’arrachement, de l’attachement du détachement
Ô toi poésie symbole de mes sources, toi évocation,toi invocation
Que prétends-tu dire au royaume des Maures? je ne suis pas corps
Mais esprit vivant
Que prétends -tu dire de tes illusions, l’érudit ne dit que parce qu’il sait
Qu’on apprend toujours sans jamais cesser
De refaire le monde dans un vers à voir, calice découvert au banquet des maux
Je voudrais crier comme un vent hurlant et PARFOIS, souvent
Regarder le monde au-delà de l’oooh, au delà de toi, au delà de quoi?
Ô rien ne me comble et rien ne m’importe qu’un mot doux, si doux qui ne sort de soi
Qu’une larme qui échoit, la lettre se déploie.
Ô rien ne me comble, Ô rien mais j’écris car le mot est tendre, car le mot est cri
Le mot est volcan, le mot est absence le mot est visage, le mot est image,
Le mot est orage, le mot est message entre deux interlignes, entre deux rivages,
Ô rien ne me comble, je marche pieds nus, impatience et pause dans l’antre de la Nuit;
Ô rien ne me comble et je t’aime d’Amour, toi ma tragédie, toi ma poésie, toi que je rejette, et toi que j’entoure, toi qui m’émeut, toi qui m’étouffe, toi qui m’oppresse, toi qui m’aime matrice d’entre les matrices,PARFOIS je me tais au jeu des patiences l’épreuve du silence qui défie le cri est un jeu de sage et m^me à mon âge je ne suis que page, oui, moi l’éveillée.
A ma mère.
merci Leïla vos mots me touchent, je m’absente quelques temps à bientôt de vous retrouver vous tous mes amis de l’Oeil Ouvert et du coeur Grand Ouvert.
Ossiane, quelle belle photo!
La paix s’installe au coeur.
La loire em miroir.