ô ciel
de tes pensées astrales
tu remplis mon miroir
• • • •
o heaven
with your astral thoughts
you fill my mirror
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
ô ciel
de tes pensées astrales
tu remplis mon miroir
• • • •
o heaven
with your astral thoughts
you fill my mirror
ciel d’eau
d’au-delà la berge
le halage des promesses
Les mots de Mai, je les dedié à toi Ossiane:
Notre POINT DE VUE sur Le Small Garden :
Beauté à la Galèrie de Milan
Vert à l’Orticola
Joie dans ton coeur, Ossiane!
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Mais dans nous, RIEN,
rien que quelques fils de vide,
comme si une BLESSURE,
douleur de feu,
aurait frappé nos âmes
à cause de ton absence.
——————————————
On cherche une CHANCE
dans ce CONTRASTE
de joie et de tristesse,
d’obscur et de clarté,
lisière entre deux souffles
du COSMOS,
qui réverbérent en ÉCHOS.
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Mais, l’IVRESSE,
la joie de vivre
ne nous laisse jamais!
L’image du ciel
sur le miroir des eaux.
Moi,
mon image
sur le miroir de tes yeux …
……..
et sur ton coeur?
Devant cette image
toute emplie de nuages
je pense à toi
Hi Shikamaru!
Merci Neyde toujours fidèle en poésie, tes mots de Mai coulent et font écho jusque nous et je suis certaine qu’Ossiane saura en apprécier la dédicace même si les circonstances la font parfois quelque peu absente mais jamais bien loin.
——–
La Loire actuellement haute et vivante, noie ses îles dans ses eaux, les bancs de sable sous le reflet des nuages dorment à l’abri de nos regards et nos pensées au loin se laissent emporter.
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Traînant sur son dos
Un lourd manteau de nuages
La Loire vagabonde
_____
Le fleuve qui m’accueille en ce printemps ne faillit pas à sa beauté et sur les bords de l’eau dans le courant voguent ça et là cannes, canards et canetons dans les algues fleuries parmi quelques petits pétales blancs qui se dandinent au fil de l’eau.
M’y voir en ce miroir non ce n’est pas déchoir même au risque de décevoir
dans ces flots tumultueux je puise mon énergie et le désir d’y croire
le ciel est venu se mêler à la terre, le feu à la cendre mais sans désespoir
Pourquoi se fait il que chaque fois que je me mire dans un espace liquide je ne peux avec toutes cette nature en arrière plan mais pas en trompe l’oeil ne m’empêcher de m’abimer dans des profondes pensées ?
l’homophonie serait elle subrepticement au delà de la polysémie vecteur de convergence dans un ordre de d’idée qui se rapporte à la relation du moi au cosmos , du petit rien au grand tout à la place qui est la notre, du moins celle qui nous a été assignée par le destin des mortels ?
Pour le moment je me soucie plus de flexion que de réflexion, hésitant à me projeter pleinement du fait des changements dont il faut appréhender la portée et les conséquences, et puis il n’est pas anodin de changer de repères, et tous ne sont pas glissants au ras des flots.
Merci Ossiane d’étendre en ondes concentriques les reflets bénéfiques d’une psyché en plein travail
bravo à tous les matelots de répondre et de répandre sur ce pont des ferments d’avancées
qui unifient parfois la manoeuvre et facilité la poussée vélique sans rien de machiavélique
seules les ridules ont pu perturber l’image et encore si peu
c’est une nouvelle page où s’inscrivent les vents qui passent
soulèvent un coin du voile et détassent les ouateux coussins
au cadre fixe succède l’arrière plan qui n’est fait que de mouvement
de ce contraste si animé on retire en observateur avisé
le sentiment de l’instantané et de la fugacité des impressions
comme une idée qui fuse l’image passe jamais confuse
mais sa clarté ne dure que l’espace d’un instant
Coucou Monique
toi toujours en amitié! Merci de tes mots.
Juste le ciel dans l’eau,
ton reflet dans mes yeux.
Melodie en Do……….
Le ciel à se nager
En tout bas délicat
Vers devant la lumière
Le ciel ouvre son tapis rouge
C’est d’un bel émouvant
Le regard pose et s’ose
A se vibrer de vie
Equilibre Parfait
Aux Points d’Or la Communion
Miroir de mon Ame
Après un long plongeon
Abyssal de souffrance
Revoilà enfin la surface
J’y ai mis toute mon énergie
Titanesque combat
J’y ai mis toute ma rage
Le ciel me revoie des images
Réflexion du sois
Réfraction du monde
Alors…
Là maintenant
La lumière me brûle
L’air m’enivre
Des maux qui font du bien
Liberté retrouvée
Avenir en devenir
J’ai grandi…
J’ai appris à nager…
Dans toutes les eaux…
Enfin, presque….
Mes feeling me trompent
Mes triples me brulent
Mes sens m’ébranlent
Juste ..
Une femme parmi les femmes
Une femme parmi les hommes
Une femme dans un monde étrange
Qui a compris que
Un et Un
Ne peuvent faire Deux
Et encore moins Un
Mais …
Un ensemble et
Un ensemble
Peuvent faire
Une intersection
Délicieuse
Tout simplement …
tjrs aussi beau ..
and deep
Ossiane !
:o)
Réflexion faite…j’ai raté mes amours et mes amitiés aussi.
Mais réflexion faite, sur l’eau, maintenant les nuages, ici.
Perspective cotonneuse,l’horizon argenté
La rive architecture, les eaux sans mouvement
C’est magnifique Nigra.Merci.
Tout simplement… ‘je te cite Nigra’
Vers la lumière devant
Dans la lueur de l’instant
En amour son vibrant
Si délicieusement…
j allais écrire deep, traduction ,
et oui…la mémoire elle oublie,
et puis elle me revient…
oui, c’est profond, la vie,
et comme c’est beau ainsi,
de son bas vers le haut
pour se sourire en ciel
s’unir de bel amour
dans la bonté des mots
des gestes si jolis
c’est bon de s’aimer la vie
Hé mon passager favori !
Tu rappliques ?
I am back …
i am back?! yaouh cela se corse,
$o cela s’english…
I am back, j suis de retour? j ai un doute…
SOURIRE!
je vais relire flitre, où tu as laissé des mots, Nigra,
la douceur d ici dans ce vécu d autisme, permet de me vivre *levivre, yaouh, libérée ma tête de son hiver…
j’ai vérifié,
i am back, je reviens…
comme c’est loin, l’anglais…
Mais …d’où viennent tous ces nuages?…réflexion faite, cela ne coule pas de source…
Welcome back Nigra 🙂
Belle nuit à tous !
Je me lance dans l’exercice périlleux des mots de mai:
J’aime les lieux élevés, admirer le panorama et de mon POINT DE VUE , RIEN n’est plus beau que cette petite route sillonnant la montagne et surplombant la mer. Soucis, BLESSURES d’amour-propre, tristesse, disparaissent comme dans un songe, quelle CHANCE! Le CONTRASTE saisissant des ocres rouges des falaises, l’azur du ciel et les bleus profonds de la Méditerranée m’enchante et me donne l’ impression d’être ailleurs. Je pense alors au COSMOS , aux autres planètes et j’aime crier pour entendre l’ECHO de ma voix rebondir de tous côtés, je ressens alors une IVRESSE , celle de me sentir en vie dans un monde magnifique.
May,
Je m’amuse beaucoup en faisant cet exercice!
Et je te dis que l’éxercice des mots de mai. à mon POINT DE VUE. c’est RIEN de périlleux, mais c’est délicieux! Il ne nous fait pas des BLESSURES, mais nous donne la CHANCE de découvrir les CONTRASTES du COSMOS que rebondent en ÉCHOS sur nous. Un bravo à l’IVRESSE de nos coeurs!
vous alors, de vos plumes de mots…BRAVO
Cela fait bien longtemps que je n’ai plus de POINT DE VUE, je laisse un silence de RIEN, quand l’interrogation, la BLESSURE vient fort souvent de trop savoir à l’avance, la vérité n’existe pas, et cela reste une CHANCE de vivre son jour chaque jour comme il se donne, dans ses CONTRASTES, ses IVRESSES en plein ciel, son COSMOS lune de miel, l’écho qui suit murmure des mots doux, et comme c’est bon de vie, délices chuchotis, roulis roulas tous bas,
mon amour…
J’ai regardé la Loire hier au soir
Il faisait froid au coucher du soleil
La bise glaciale à la tombée du jour
Ternissait le miroir de ses eaux
Fondait les nuages à sa surface
Un peu de rose, un peu de gris
Du blanc, du noir, du mauve aussi
Etrange lavis, étrange tableau
Sur le fleuve lacéré par les ombres sombres
Des flèches d’une église, d’une tour
Et les mots qui s’écrivent et s’effacent
Sans laisser de traces sous l’éponge des nuages
Dans le courant de l’eau où dorment nos secrets.
Bonsoir, je découvre vos poèmes du mois; je vais ouvrir une note à cet effet pour le mois de mai, tant pis pour le retard … ce serait gentil de reposter les poèmes que vous avez déposés ici sur cette nouvelle note … merci de vous prêter au jeu et bravo pour le résultat, Neyde a donné le virus 🙂
Bravo également pour les poèmes liés à cette note!
Bonne fin de soirée, amitiés à tous!
J’ai été ravie ce matin en trouvant vos commentaires :
@ Ossiane : Un grand bonjour , j’ espère que tout va bien pour toi, d’accord , je vais reposter le texte sur la nouvelle note.
@Neyde : merci pour ton messsage , tout en gentillesse et bravo pour tes mots de mai.
@Annick: j’ aime beaucoup ton poème , un véritable petit cosmos de toi- même
@Monique:merci pour ce joli texte sur la Loire, un fleuve que j’ai beaucoup contemplé , ayant passé environ une dizaine d’ années de ma vie près de lui , vivant et travaillant successivement dans les villes d’Orléans , Blois et Tours et j’ y reviens toujours.
merci May,
oui, la loire un fort bel fleuve, de l’eau son cours, sa stagne, sa vitesse, j’aime me poser me reposer, *levivre, aussi, quand ma Toto y va…je me recueils des books à cet endroit charmant que mon lieu de pélerinage, j’espère y aller de plsu en plus souvent, dès que possible,
Ossiane, ok, je recopierai, au mot àmot, car pas de copier coller possible, ici…je le ferai pour toi, c’est pas beau cela???!!
« O ciel
De tes pensées astrales
Tu remplis mon miroir » Ossiane
(C’est le joli temps du rêve)
On s’y laisserait prendre sans doute
Quand ces reflets sont si idylliques
Les pensées astrales
D’un grand courant idéologique
Nous entraîne au delà des doutes
Et des incertitudes de la vie
En nous faisant croire peut-être
Qu’un jour nous serons maîtres de nos pensées
Alors même que le sens du mot Vérité
Est probablement encore à inventer
Loin sans doute de ce que le cerveau humain
Peut savoir sur lui-même et sur sa capacité
A comprendre le monde avec certitude.
En ce miroir, qu’un simple petit vent peut troubler
Je ne saurais y voir que confusions et méprises.
May j’ai vécu à Blois certainement sans le savoir les plus belles années de ma vie, j’en reviens tout juste, quand on est natif de cette région tout vous y rappelle et la Loire garde en ses reflets les secrets de mon enfance et de ma jeunesse, ils sont couleur de tendresse, couleur de l’amour, reflet de mon âme aux couleurs si douces.
Monique, merci . C’est une bouffée de souvenirs qui revient grâce à toi.J’ai vécu à Blois pendant deux années, à côté des serres et tout près de la Loire . J’ai aimé cette ville , très belle , tranquille et fleurant bon le chocolat. Nous nous y sommes peut-être croisées… J’ allais plusieurs fois par semaine à Tours en train et j’aimais beaucoup faire le trajet qui longeait la Loire, toujours admirable quelle que soit la saison.
Et sous le bois
Une tente sa chaude
L’abri bien protégé
Aucun regard ne sait
Seuls deux
Viennent s’y nicher
Dans leurs palpites
A eux
Ecrin de toi
Tu m’éblouies
De ta présence
Si vive d’amour
Je t’aime mon jour
bon, erreur, ces textes devraient se trouver sous Ecrin,
et puis, ils sont bien ici,
doux jour.
le cadre est la verdure qui forme une belle bordure
le tain de la glace délace dans sa belle argenture
pas besoin de disposer couverts et verres
puisque le reflet ne sert que celui qui le regarde
oh certes ce n’est pas une grande bavarde
mais dans ces étendues d’eau pas buvarde
il y a dans ces terres d’élection comme pastorale
une image qui se monte mais pas en forme d’érection
une image qui se montre dans ces précieux terroirs
et qui comme un fait rare enchante les yeux
et puis le ciel est immense et si dense
qui danse sous nos yeux et s’agite au gré du vent
non il n’y a rien à regretter dans ce désir ardent
en tout cas bien moins que ce que l’on pense
oh !!
Où est la frontière ?
Images de l’âme
Qui se noient en flaques d’eau
Reflets de la vie