sillons de promesses
l’écriture incertaine
soc du hasard
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furrows of promise
writing uncertain
ploughshare of chance
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
sillons de promesses
l’écriture incertaine
soc du hasard
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furrows of promise
writing uncertain
ploughshare of chance
montée vers l’arbre pommelé
traces besogneuses
des socs et semoirs
à l’veugle
la herse ouvrière
des bouches à nourrir
butte
sur le chemin d’entre les champs
échos à trois temps
des portées aériennes
que l’alouette enfin arrivée
exalte de sa trille répétitive
crécelle mécanique
pointée en l’ultime
Le ciel incertain
l’arbre-phare
la plaine peignée
La Chance c’est le joyau caché
au fond de la paume de ta main
et que soudain
tu laisses briller.
Des traits en tous sens
La naissance du graphisme
Le surréalisme
L’art s’est inspiré
Sous les sabots des chevaux
La matière première
Utile et beauté
Par chance se sont rencontrés
Au creux des sillons
L’arbre seul et fier
Comme un symbole dressé
Le sceau d’un tableau
Bonjour Ossiane,
« Ecriture incertaine »! Ces deux mots collent si bien à l’image, ils résument tellement bien notre destinée à tous!
Pas envie cette fois ci de proposer un haïku alternatif. Juste savourer leur entente parfaite avec votre photographie, et souhaiter que les graines semées dans ces sillons nous préparent un bel avenir, qu’elles fassent naître des fleurs plus belles encore que celles que nous aurions pu imaginer.
Félicitations aussi pour votre exposition à Milan… et encore une fois, de parvenir à maintenir cet espace interactif, toujours aussi riche et vivant.
Amitiés
Scarabée des prés
ne prête à rire
qu’à celui qui a des dents
émancipation hésitante
un point d’orgue
sous les trois fils sacrés
le père
l’oblongue parousie
en son oeuvre inouïe
le fils
descendu en son corps
de grâce et d’amour
l’esprit saint
fluide sacrificiel
aux promesses intersticielles
palimpseste
d’ordre et de désordre tissé
prendre un enfant par la main
puis un autre
et encore un autre
en faire un faisceau
défiler grave
devant la statue de Jeanne
les semelles pleines de glaise
à mesure du petit d’adulte
montant aux front des remontrances
en ses émois
tendre prosopopée
tissée large et frissonnante
sur le crépon
de notre enfance
Un soc de fer dans une terre de velours passe et trace des lignes côtelées . Point d’ arabesque, dans ce tissu arable, c’est d’arrache-pied que la chance s’arrache comme une herbe
Il n’y a pas de hasard
Quand la semaille d’efforts
La récolte peut être belle
Une vie peut dévoiler
De la beauté tellement
Des richesses de vie
C’est bon de partager
De récolter de la vie
Avec son petit panier
C’est d’un tel émouvant
De le gigoter vivant
Son baluchon de terre
Précieuse qui se donne
En amour son chaque jour
Sans s’arrêter d’aimer
La vie est une chance
Quand on est amoureux d’être
Tout simplement son âme
Du bout de ses doigts de soi
A fleur de peau levivre
Si délicat murmure
Une luciole pour lumière
honnit soit qui Mallick filme
glèbe sans trêve
et glaise en entrave
les pas lourds collent
à semailles il faut rigoles
et cette terre tourmentée
ce tertre mouvementé
ne nous laissent
pas désarmés
le pot de terre
contre le pot de fer
nous retourne
tout entier
et dans la fouillée inerte
on touille les vers alertes
le sol est aéré
la direction redressée
ce n’est pas chanc(r)e qu’il faut lire
la terre n’est pas malade
d’être ainsi redressée
au contraire elle fière et fougueuse
qui patte aux sabots des gueux
noblesse et tradition des lieux
plus près de la terre est la vie
c’est du moins mon avis
elle s’épanche quand on s’y penche
plongé dans sa contemplation
vas tu mieux, Thierry?
Hölderlin propose : « Nous devons apprendre à habiter poétiquement la terre »
_____
Si nous y parvenons je crois alors que c’est peut-être la plus grande chance que nous puissions avoir, rien ne sera plus regardé comme avant, rien ne sera plus vécu comme avant, une chance indéfinissable de tourner le dos au malheur et de récolter le bonheur tout au long des saisons à venir dans les sillons de la vie, bonheur qui ne sera que le fruit de ce que nous aurons semé à condition bien sur d’éloigner de nous toute mauvaise pensée qui pourraient mettre en péril ce bonheur comme la haine, la jalousie, la paranoïa, la suspicion…..sans pour autant vouloir habiter un petit nuage au dessus des réalités de notre monde, mais être chanceux par volonté de vouloir l’être.
____
Je reprends des mots d’Annick
» En amour sur chaque jour
Sans s’arrêter d’aimer
La vie est une chance »
C’est là également une autre manière d’avoir de la chance Aimer
@annick oui seulement un peu plus désabusé ou déniaisé sur la marche du monde
nous sommes d’infimes grains de poussière
repris le travail mais en plein changements
donc ça réveille des blessures en plus des récentes
qui se rappellent quand même à vos bons souvenirs
merci de ta sollicitude , l’inspiration me délaisse aussi un peu
c’est inhabituel mais c’est comme ça
Retourne vers la terre comme elles s’est retournée
verse vers elle non pour converser mais pour convenir d’un pacte
soigne là amoureusement et elle te le rendra
chacun trace mais pas à sa guise
il y a des distractions et des distorsions
les repères alignés, la configuration du terrain
et si on est tremblant au moment d’écrire un nouveau chapitre
on met parfois à jour des trésors dans sa tâche
sous les pas du laboureur viennent sillonner les amourettes
celles de la pluie et du vent qui gomment certaines traces
les mottes se délitent et les vers se débitent
mais cet humus nous rend plus humain
et cette odeur de terre fraiche exhale mille saveurs
si ce n’est pas une chance, alors qu’est ce que c’est !
le soc n’est pas un choc mais une griffe qui lacère
sans chercher à délimiter un parfait quadrilatère
et puis le déversoir arrondit bien des angles
tandis que les chevaux tirent avec leurs sangles
merci pour tes news, Thierry,
quelquepart, être plus déniaisé, éclaire ce me semble…
et puis chaque lumière aide à ne pas être trop désabusé..c’est heureux!
mais bien sûr que les traverser ces états de *voir clair, être éclairé, yaouh, comme cela fait mal..quand on a un regard sans haine, sans jalousie, sans paranoia, sans suspicion,
j’aime bien tes mots de 22H17, Monique…
juste que pour mes mots repris, j’y remets mes vrais mots: « En amour SON chaque jour » sourire!
doux jour!
Qui peut tracer sillon
Serre une chance de vie
Mais il en faut du temps
Pour se voir tel qu’on est
Semer le bon pour soi
C’est dans son *aller bien
Qu’on peut aimer les autres
Se donner ses petites joies
Partager avancer
Alors les sujets graves
Peur être sont plus légers
Chance
L’ arbre dans la forêt
pousse vers le ciel
les pointes de ses hautes branches
Dans le petit bois
l’arbre près du chemin
entend rire et chanter des enfants
L’arbre de la haie
entre arbustes
nids d’oiseaux , épines et fleurs des champs
Seul au milieu des blés
l’arbre semble nu
sous les lignes électriques
Les tracteurs sillonnent
la terre définitivement livrée
au profit , à la modernité
Qu’on le veuille ou pas
La vie se charge bien
De tracer ses sillons
A elle
Quand on ne s’y attend pas
Le ciel nous tombe dessus
Dans des rayons si bons
A ailes
Ou un tremblement de terre
Qui cisaille les pas
Décapite en plein vol
La vie décide tellement
Alors quand de son libre
On peut semer de sa vie
C’est une chance de vie
Pour surmonter le pire
chute de dès, en cadence, les graines s’égrènent au petit bonheur la chance
va où le vent te porte et s’il conforte en toi des tendances
trace ton sillon sans méconnaître la petite musique intérieure
ainsi appelleras tu la paix en des confins supérieurs
et n’oublie pas de semer, pas pour semer des poursuivants
pour préparer l’avenir sans retard
et faire preuve de prévoyance à tous égards
ces graines dans leur gaine minérale seront confortées et portées
des fonds baptismaux remonteront au soleil pour aller vers le ciel
plus qu’un espoir, une suite, une continuité
et pas que la fuite du temps sur la cendre
s’amender avec le temps demandent des efforts
et d’abord de peser les pour et les contre
les tendances et les contraintes
pour déserrer doucement certaines étreintes
Personne ne veut abreuver ces sillons
il n’y a pas de sang impur
tout ça c’est de la littérature
certes l’armée du Rhin
avait besoin de stances
pour faire face à l’armé des Princes
Coblence n’était pas loin
de Kellerman à Valmy
on n’en finissait pas de compter les ennemis
pourtant les européens ont des destins communs
alors nous caucasiens d’occase
devenus par la force des choses et du temps
cosmopolitains
pourquoi songer encore avec ces chants guerriers
qui portaient la haine des germains
dans la la geste gauloise recrée de toutes pièces
La marseillaise est elle ce dont nous puissions être le plus fière
tradition de la troisième république
hors contexte et anachronique
révolutionnaire en état d’urgence
nous avons changé d’époque
pourtant qui s’en soucie
voulant communier
face à des soit disant hordes barbares
entretenant le feu de la vindicte
et l’exclusion en prime
notre fierté est ailleurs
et pas que dans des racines
falsifiées ou revisitées
dans notre capacité d’accueil
de révélation des talents
alors vive les sangs mêlés
ceux des partisans et résistants
par exemple ou encore
de cette richesse des partages et mélanges
qui a dit qu’avec la terre on s’abaisse
on s’élève bien au contraire et contre la famine
quand on peut aux pousses donner des racines
afin que prospère même sans rimer le sol
alors si c’est une lutte elle n’est pas inégale
puisqu’à la fin la faim elle régale
mais l’homme attaché à sa terre
en est il strictement esclave
pour autant
il suit certes le rythme des saisons
et va jusqu’à la fenaison
en gardant la raison
mais en suivant aussi
ce que les phases de la lune lui confient
et parfois aussi quelques rêve pas mauvais
alors souple du jarret et de l’échine
l’homme se penche et se baisse
mais jamais ne s’abaisse
seul le pape baise la terre
quand il débarque et s’agenouille
d’autres filent leur quenouille
allons ceci est sacré
c’est notre subsistance
au delà des croyances
réalité intangible
et source ou cible
permanente de savoirs
et d’efforts
L’inspiration semble bien être revenue Thierry , quelle chance pour nous tous ! 😉
Ca c’est rudement gentil May, c’est vrai qu’en ce moment c’est le vide et le nettoyage, il faut faire de la place pour du nouveau, c’est pénible, c’est douloureux cette reconstruction de fondations entre le physique encore chancelant et pas consolidé et le moral branlant de la remise en question, alors ça stérilise un peu, ça inhibe, mais j’ai fait le pari de me libérer et l’écrit encore un fois y jouera un grand rôle puisque je vous sais bienveillants et ouverts, malgré mes foucades et mes bizarreries, vous ne jugez pas ou si peu et accompagnez si bien
ça compte au delà de ce que vous pouvez imaginer, j’ai déjà eu l’occasion à maintes reprises de témoigner ma gratitude à Ossiane, ce bateau n’est pas ivre mais il livre de belles pages de ceux qui veulent bien donner et adonner dans le vent qui passe, adorner aussi ces petites phrases qui changent tout et révèlent.
when the luck strike
you jump overbike
and it looks like
the road is abroad
crée ta chance et crois en toi
ne pose pas tous tes espoirs sur la crédence
ouvre les yeux et discerne l’important
sois vrai et joyeux
saisis les occasions sans retard
ne remet pas à plus tard
bat le fer tant qu’il est chaud
forge toi des convictions
mais considères toi comme acteur
de tes pensées , passe aux actes
il ne s’agit pas de pacte secret
mais de travail dans la continuité
anticipe et balise quand tu le peux
retiens les leçons et avance
ne te perd pas en chemin
va à l’essentiel pour demain
crée ta chance car tu le veux
Désolée Annick mais c’est un tout petit mot qui a son importance, c’est bien que tu l’aies corrigé.
Des mots intenses chez Thierry très positifs et lucides, merci à lui et bonne continuation sur cette voie là, « chance pour nous tous » comme a raison de le souligner May.
au début ce devait être des prouesses que d’aligner tous ces traits
contigus de l’araire, une horreur sans pouvoir tirer le fil
mais à suivre et apprendre on a du maîtriser la tension subtile
et au fond c’est vrai que c’est une chance que tous ces efforts parallèles
qui se rejoignent comme dans une recherche de communion sacrée
alors oui le bois a bien été remplacé par le fer puis l’acier
et c’est unique de voir ce rostre si bien acéré pénétré de bonnes intentions
qui soulève et fend la vague donnant à la plèbe ses lettres de noblesse et pas de mollesse
les pieds dans ce terrain instable et fortement compassé, compressé
il ressort de cette mise à jour une revitalisation civilisationnelle
alors les roues crantées du temps avancent imperturbablement
au fait merci Monique ! je ne t’encourage pas assez souvent , je le devrai bien aussi, mais l’équipage est groupé et concentré sur les manoeuvres délicates
comme c’est joli, Thierry, de 12H37,
et puis j approuve les mots de May,
c’est joli quand un matelot a de belles inspirations,
et puis je lis que c’est le temps des embrassailles, des encouragailles, des partagailles…yaouh, comme c’est joli, ici, ce bel navire de chacun,
hein, Ossiane?!
j espère ton expo chouette! cela doit être palpitant, et plus encore,
ici, on est sur un radeau petit…quoique…combien viennent ici?! je n y pense jamais quand ma plume se secoue ses émotions ici, et c’est mieux heinsi, sinon glagla de glagla, écrire pour être lu…yaouh….
DOUCE SOIREE!
Chance, dis moi qui es-tu ?
Toi, que l’on réclame
Comme un présent des dieux
Chance souvent injuste
Qui ne donne pas à parts égales
Tu souris aux audacieux
Grande inconnue des malheureux
A-t-il de la chance celui qui nait
Dans un pays en guerre ?
A-t-il de la chance celui
Qui est frappé par la maladie ?
A-t-il de la chance celui
Qui subit la maltraitance ?
……………………….
………………………….
……………………………..
La liste serait longue
De ceux qui souffrent
Sans en être responsables
Qu’ils soient forts ou non
Chance, malchance
Sur la même scène
Au hasard des êtres
Au hasard des circonstances
N’es- tu pas celle que l’on accuse
Dans l’irrationalité du monde ?
Dans l’inégalité des hommes sur la terre
De ceux qui ont tout, de ceux qui n’ont rien
« Se donner la chance » il faut la saisir
Peux-ton toujours la saisir
Elle est si souvent imprévisible
Désir, quête et volonté un vrai parcours.
Cet arbre au milieu des sillons est le fruit d’une graine qui a eu cette chance de pouvoir s’épanouir là ou sans doute elle n’était pas attendue, chance de n’avoir pas été retournée sous le soc d’une charrue, chance d’avoir pu puiser assez de nourriture et d’eau dans ce sol nu, concours de circonstance, hasard , volonté d’un paysan de le voir grandir, chance d’avoir eu en lui assez de force et de résistance pour vaincre vents et tempêtes, chance…. L’arbre peut-être pourrait nous dire….
Il est fort touchant ton texte, Monique, je te suis dans tes mots…
Certains ont de la chance, d’autres moins, et d’autres encore pas du tout…
C’est la triste loi de la vie! et les sens de la vie qu’on cherche dans tout cela…
car l’empéché de vie, ne peut plus parler de vivre, mais de lutter, ou de se laisser aller à s’enfoncer dans ses malheurs.
La vie cette injustice dès la naissance.
Et je relis tes mots, Monique,
ils sont magnifiques!
Je suis fort touchée par ces mots vrais!
je t’embrasse te remerciant encore pour un si bel écrit.
Qu est ce qu on peut y mettre derrière le mot chance, c’est tellement singulier la perception de la vie, pour chacun, sur sa propre existence, sur celle de l’autre,
et puis ce qui peut paraître comme une chance, on peut la voir comme malchance au fil du temps…
C’est un mot à poser avec de multiples précautions, ou à ne jamais employer,
lui préférer le mot de bonheur, de joie simple qui passe,
tant dans la vie basculer,
et c’est juste bon envers soi de ne pas laisser passer ces petits moments précieux de bonheurs quand ils sont là, en soi, seul ou avec d’autres.
Et puis c’est tellement question de ressenti, un optimiste ne vera que ses positifs de vie, cet autre pessimiste ne verra que les péins de vie, ses malheurs.
La vie c’est souvent *comme cela, et on n’y peut pas garnd chose, souvent.
je vous souhaite une journée paisible.
Dans la vie il y a du déterminisme, géographique et social , certes ça ne fait pas tout et on n’est pas à l’abri d’un accident, économique, climatique, de la circulation ou encore domestique mais il y a des bien nés sur le berceau desquels, dès le départ, de bonnes fée se sont penchées et d’autres qui partent avec des handicaps certains et pas forcément légers.
Ensuite le cours des choses se complique avec les choix et les bifurcations, les opportunités aussi et cette magie des rencontres qui peut tout changer, on repère l’enfant d’exception, on valorise ses talents, on lui permet d’accéder à une plus haute destinée, il en est ainsi d’un Jaurès par exemple et de bien d’autres.
Mais d’autres n’ont pas cette chance pour pleins de raisons et ne s’extraient pas de leur milieu difficile, ne peuvent faire voler cet espoir au loin et déployer les ailes de leurs dons ou développer des qualités intrinsèques qui n’ont jamais été dépistées et encouragées.
la vie n’est pas un coup de dés, ni un coup de tête, mais souvent je me suis pris à penser que j’avais beaucoup de chance d’être né ici, même dans un milieu ouvrier, et d’avoir pu monter quelques échelons qui m’ont donné autonomie de pensée et matérielle.
Je lis tes mots, Thierry, et je les aimes beaucoup, je les partage.
Tu dis très juste.
Je revenais poser ceci aussi, en récations des mots de Monique,
le mot maltraitance me fais fort mal,
et je souhaite que celui en souffre, puise de la force, a des soutiens,
pour fuir l’enfer de la maltraitance qu elle soit physique ou psychique,
nul ne doit accepter d’être martyrisé, de devenir le pantin d’un être malade…
alors que oui, faut les aider ceux qui sont malheureux,
car si on peut leur donner force pour qu’ils quittent des états traumatisants, pour continuer leurs vies autrement, avec paix, des bonheurs,
c’est pas rien, c’est tellement d’une vie sauvée!
désolée pr mes nombreuses fautes de rapidité de 8H54,
merci de lire: tant dans la vie peut basculer
un optimiste ne verra que ses positifs
cet autre pessimiste ne verra que les pépins de vie
et on n’y peut souvent pas grand chose
bousculée ce matin, désolée, à 10H38, encore des erreurs de frappe…
et je les aimE beaucoup
en réACtions des mots de Monique
me faiT fort mal
que celui QUI en souffre
il y a tant de vent, ici, à l ouest, que les voyelles et consonnent se mélangent, font n’importe quoi…sourire!