Porte / Door

Porte/Door

l’arche des brumes

la grande obélisque

l’aiguille creuse

 

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ark of mists

the great obelisk

hollow needle

32 réflexions sur « Porte / Door »

  1. Hasta Lueguo
    Je suis là contre l’oubli, je te donne de mon temps
    Parle-moi de ton pays
    Des portes
    De passage
    Entre hier
    Et Aujourd’hui.

  2. … »et tout au fond de cette brume épaisse et transparente »….
    … »noyé dans cette vapeur laiteuse »…
    … »ces hautes falaises percées de trous singuliers qu’on nomme les portes »….

    Des mots prélevés ici et là dans les écrits de Maupassant.

  3. … »Et tout au fond de cette brume épaisse et transparente »…
    … »noyé dans cette vapeur laiteuse »…
    … »Ces hautes falaises percées de trous singuliers qu’on nomme les portes »…

    Paroles trouvées ici et là dans les écrits de Maupassant

  4. C’est une invitation
    La porte est grande ouverte
    Alors mon sourire rentre
    Asseois toi près de moi
    Et donne moi la main
    Mon baiser dans ton cou
    Mes yeux se ferment déjà
    Tout me brûle en tout Là
    Mon coeur bat
    Le voyage de nous

  5. … »Et tout au fond de cette brume épaisse et transparente »…
    … »noyé dans cette vapeur laiteuse »…
    … »Ces hautes falaises percées de trous singuliers qu’on nomme le Portes »…

    Mots recueillis ici et là dans les écrits de Maupassant

  6. et c’est heureux qu’il y ait ces portes, hein, G de Maupassant….sourire,
    merci Monique pour ses mots cités de Maupassant.

    DOUX JOUR!

  7. Merci Ossiane de ne garder que le premier commentaire de 22h38 -;)

    Annick c’est un lieu superbe, étrange aussi qui a fait couler beaucoup d’encre et attiré beaucoup de peintres , j’en ai un souvenir merveilleux pour l’avoir vu hors saison par jours de grand soleil. J’aurais peut-être aimé le voir sous la brume pour saisir cet aspect romantique et si différent de ce que j’ai pu voir.

  8. Dérobée par la brume
    La porte disparut
    Noyée dans le néant

    Sur une mer de fleurs
    Jaillissant de ses rêves
    Le peintre s’en alla

  9. Belle prise de vue pour un embarquement vers le rêve
    Il suffit d’entrouvrir la porte et d’écarter le voile qui l’obstruait
    Poussé par la brise se laisser emporter sur les eaux capricieuses de l’océan
    Regarder s’éloigner les petites herbes sauvages qui bordent la falaise
    Se sentir emmitouflé dans « l’atmosphère » apaisante des lieux
    Lentement s’abandonner aux plaisirs de l’évasion sereine
    Goûter sans vergogne aux raffinements extrêmes presque irréels
    D’une échappée en milieu marin dans les odeurs d’iode et de coquillages
    Faire du silence enveloppé de brume la mélodie de l’extase
    Trouver dans cette nouvelle liberté les pensées les plus douces
    Une jouissance réparatrice vers un horizon ouvert à l’infini
    Voir s’ouvrir la porte que l’on croyait fermée à tout jamais
    Petite porte dérobée sous les brouillards épais de l’amertume
    Pour une escapade salutaire à la recherche d’un rêve prodigieux.

  10. par le chas de l’aiguille
    le chameau passa
    vaste écriture hébraïque
    en résonance
    la corne de brume
    porta le souvenir des allers et venues
    de cette vie souveraine

  11. Pour un petit clin d’oeil par le chas de l’aiguille à Monet : la manneporte d’Etretat

    La côte d’Albâtre
    Ouvre la porte d’Aval
    La Manneporte

  12. et je vous lis, et je souris, merci,

    fort joli ton écrit de 23H27, Monique, on se laisse emporter avec ravissement tendre…

    BELLE JOURNEE!

  13. Oui Jo.S Monet et bien d’autres en effet se sont laissés séduire par la beauté de ces falaises, tout comme Honfleur, des lieux qui donnent envie de titiller pinceaux et photos. Merci Annick bonne fin de journée à toi et à tous
    ___

    Ombres dans la lueur du jour
    Où se contemple dans le silence
    L’à peine perceptible d’une beauté
    Cachée, somnolente dans la brume
    Franges d’herbes à son chevet
    Dans l’attente d’une levée de rideau
    Au matin d’un printemps timide
    Cheveux défaits, ébouriffés
    Au berceau de tous les rêves
    Sous le baldaquin de l’océan
    ____

  14. C’est joli, Monique,
    pour le moment, le réel m’empêche d’envoler mon pinceau en plume,
    mais je tente quand même….

    Cette percée
    L’aiguille
    Je suis restée figée
    A l’époque de mes yeux
    Si impressionnantes
    Ces falaises
    Que les jambes secouées
    D’émotions pures

  15. ça me fait un drôle d’effet de lire son nom
    Par l’huis de la porte, on ne voit qu’un visage
    Imprécis, à jamais le rêve un message
    Un écrit sans âge.

    ça me fait un drôle d’effet de lire son nom
    Des haillons qui serpentent
    Au vent, les eaux décantent
    Les débris sur le sable.

    La vie, la vie
    Étretat, mon enfance, écrit sur la falaise
    Des retours qui me plaisent
    Au pied des parenthèses
    Ces vers que sont mes rêves
    Ces rêves qui sont ma terre…d’enfant

    ça me fait un drôle d’effet de lire son nom
    Ce visage, ce regard, ce sourire qui se taisent
    Des retours qui me plaisent
    Des départs sans nom
    ça me fait un drôle d’effet de lire son nom.

  16. comme c’est joli, Leila, de jolis mots….

    *ça me fait drole de lire son nom,
    et je te cite,
    merci.

    DOUX JOUR DE PRINTEMPS A SAISIR!

    Le lobe d’une oreille par le coulis de la vague
    Une onde du soleil sur la nuque sa tendre
    Ses mains dansent les airs, légères
    Il fait beau, il fait tendre, la vie
    Allégé le corps s’envole ses ailes
    Il plane pense et lache prise
    C’est bon d’être dans son corps
    De le sentir ressentir vivant dans ses moments
    La vie passe par la porte d’essence sa jolie
    L’aiguille travaille l’étoffe un précieux tissu de vie

    Et si falaise il y a
    Ô hisse la saucisse
    Et revoilà en haut
    Le ciel à la portée
    Del’oeil ouvert ravi

  17. Port de l’angoisse
    porté par une folle espérance
    porte condamnée pour défaut d’errance
    quelque chose ne tourne pas rond
    il faudrait huiler ses gonds
    et voir au delà du seuil
    ce que nous réserve l’accueil
    la porte n’est jamais verrouillée
    il faut savoir pousser le penne
    la porte n’est pas faite pour rester fermée
    et quelque que soit l’ampleur de notre peine
    c’est dans les souvenirs enfouis
    ceux qu’on ne peut dépasser
    que jamais la porte ne se refermera
    à grands coups de battant
    les ouvrants réveillent les dormants
    la vie est une telle succession
    de ces faux obstacles
    qu’il faut se donner
    les moyens de pousser
    parfois il faut s’arc-bouter
    mais on s’empresse aussi
    d’en refermer derrière soi

  18. il faut ouvrir les portes
    bien plus encore celles non fermées
    le temps est si précieux
    sans pertes de temps
    à quand de où les retrouvailles?

  19. portes fermées
    horizons pas dégagés
    paysage pas étagé

    on est dans l’unidimensionnel
    dans l’uni gris de gris
    bien sur émotionnel
    et il y a la serrure
    presque sans ferrure
    qui ménage encore l’espoir
    avant de retomber dans le noir
    et les rais minces qui se rincent
    plus rien ne grince
    et puis ça coince
    le passage n’est pas fait

  20. le flou blasant comporte des risques
    il n’y a pas que les comportes de goémon
    mais aussi le chasse marée que l’égo aimons
    et tandis que rapetisse la plage à la marée montante
    et que se rapetasse dans les moindres crevasses
    l’oeuvre au noir qui broie sans histoire la couleur
    nous imaginons les anguilles venues des Sargasses
    ondoyer de leur dos argenté
    mais la mer est là déjà
    qui force à se retirer

  21. Porte à porte qui se pique d’originalité
    et de fil en aiguille un lien qui se noue
    en hébreu frère veut dire recoudre
    comme si les liens jamais
    ne se défaisaient complétement
    et dans les grands éclats fracassés
    qui viennent mordre les jambes
    et saper le moral et la cohésion
    il y a la logique des blocs et ces rocs
    agrégés qui n’en démordent pas
    ils voudraient rester ainsi
    mais on les force à reculer
    pourtant il y a toujours une ligne de côte
    savamment tricotée de fractales étirées
    mais dans ce tournoiement
    les chas ne sont pas insignifiants
    qui porte jusqu’au lointain
    et c’est sans mépris souverain
    que s’accomplit le travail souterrain

  22. à portée de main
    entre dès et aiguille
    apporté par la marée
    qui de cendre et de boue
    l’aporie qui emporte le tout
    pourtant dans ce tourbillon
    qui chasse les certitudes
    une ombre vient planer
    pesante et angoissante
    l’issue n’est pas donnée
    il y a plus que la lumière rasante
    il y a la vie qui veut continuer
    il y a les drames étiquetés
    et puis la trame qui s’effiloche
    le tissu urbain qui bouloche
    des brins trop libres
    qui rien n’y plus personne
    ne retient
    et cette image en boucle
    qui revient

    désolé, encore commotionné !

  23. Qu’on l’aborde au galo P
    Qu’on y aille crescend O
    Des coulisses, passage R
    Tiers État ou Cape T
    Porte d’ans très serré E
    L’est au terme des chose S

    Bon…c’est tiré par les cheveux mais je lui ai tordu le cou à cet acrostiche qui me donnait du fil à détordre.

    Coucou!!!Y a personne?Capitaine!Moussaillons!

  24. P orte mon ciel de vie
    O uvre ta bien belle âme
    R éallume la flamme

    T endrement tu sais faire
    E t douce porte serre moi

    pour le sourire Leila, des passagers du canot…

    coucou Leila, journée remplie de bas, de hauts, remplie de trop,
    ce soir je suis Là…

    TENDREMENT!

  25. Porte du caP
    Océan sans mélO
    Rhum de la meR
    Tasse mateloT
    Etre tas, s’affale aisE

  26. P O R T E
    O C E A N
    R E C I F
    T A I R E
    E N F E R

    Pas très bien aligné mais magique quand même, ce carré !

  27. dire que la terre
    dire la terre
    du haut des falaises
    face contre les temps
    effets de mer
    au grand mystère

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