40 réflexions sur « Chaleur »

  1. La fraîcheur belle invite
    Si douce tentation
    Légèreté des ondes
    Le chapeau se repose
    Assis sur une racine
    La robe de cet été
    Vaporeuse s’allonge

  2. comme cette image est raffraîchissante, elle offre ses tendresses sa pénombre si belle, le petit coeur se palpite des petites ondes douces…

  3. Les arbres ont quitté leur nudité et s’habillent avec grâce par petits coups de pinceau en touches légères.
    ___

    Parure estivale
    Au soleil du printemps
    Ombres diaprées

    La robe gracieuse
    De guipures en fil de soie
    Brodée de points d’ombre*

    * points d’ombre en broderie est un point arrière croisé où le fil sur le tissu très fin laisse une ombre en transparence.
    ____

    Belle et douce image sous les chaudes caresses du soleil.

  4. Les arbres abandonnent leur nudité pour se vêtir avec grâce de petits coups de pinceau en touches légères.
    ____

    Tenue estivale
    Sous le soleil du printemps
    L’ombre diaprée

    Robe gracieuse
    De guipures en fil de soie
    Brodée de points d’ombre*

    ___

    *point d’ombre en broderie est un point arrière qui laisse l’ombre du fil en transparence sur un tissus fin.
    Belle et douce image sous les caresses chaudes du soleil. Bel effet de transparence.

  5. Les arbres abandonnent leur nudité pour se vêtir de jeunes et tendres feuilles qui laissent passer la chaleur plus ou moins timide du printemps
    ____

    Tenue estivale
    Sous le soleil du printemps
    L’ombre diaprée

    Robe gracieuse
    De guipure en fil de soie
    Brodée de point d’ombre*
    ____

    *un point d’ombre en broderie est un point arrière qui laisse voir le fil au travers du tissus.
    Belle et douce image sous la caresse chaude du soleil. Superbe effet de transparence.

  6. L’ombre légère d’un feuillage à teinte douce
    ombre tissée de gris et de lumière pâle
    pour les heures qui s’enfuient
    la respiration du temps entre deux éclaircies

  7. Comment être accablé
    quand on est attablé
    sous ces longs ombrages
    un festin loin des outrages
    où rien ne peut dessécher
    nos délicats gosiers
    sans rotin ni osier
    vous osiez pourtant
    d’un regards gourmand
    jeter une oeillade
    éviter la bousculade

  8. sous l’aile d’un ange
    nuages
    et sfumato
    se pose l’oiseau de mes amours
    papillotes
    aux nervures plaquées soie
    le vent
    soulève ses jupes
    juste au dessus
    du poplité
    de la dérobade

  9. Hautes frondaisons qui entretiennent la fronde contre l »ardeur du soleil
    pas de jalousies pourtant pour nous faire cligner de l’oeil
    mais des branches qui balaient large et s’abaissent en mesure
    confèrent au lieu la fraicheur de rigueur
    et prolongent l’ombre propice

  10. Il fait soleil brûlants
    Et les feuilles leurs chaleurs
    Abreuvent de fraîcheur
    Le coeur se ralentit
    Si doux apaisement

  11. Il fait soleil brûlant
    Et les feuilles leurs chaleurs
    Abreuvent de fraîcheur
    Le coeur se ralentit
    Si doux apaisement

    merci d’avoir corrigé ce s de trop!
    belle journée.

  12. Voûte lézardée
    Couleurs d’été
    Viendra le temps où en longs soupirs
    Tu offriras au vent un squelette dépouillé
    Puis Dame nature à la nouvelle année
    Offrira une architecture
    Couleurs d’été
    Voûte lézardée.

  13. Nervures sur l’éventail
    Qu’un souffle délicat balance
    Dans les voiles du feuillage
    Fragile texture nature
    L’intime confinement
    Des vapeurs légères de l’air

  14. Trois versions sont apparues hier (qui me semblaient ne pas avoir été enregistrées) avec quelques nuances dues à une mémoire infidèle, pardon pour cette surcharge.
    ___

    Gouttelettes d’ombre
    Dans le frisson du feuillage
    L’aube de l’été
    ____

    Bon week-end à tous

  15. « La valeur d’une image se mesure à l’étendue de son auréole imaginaire.  »
    (Gaston Bachelard)

  16. La CHALEUR était de mise
    Et puis s’en est allée subitement
    Chassée par le mauvais temps
    Mais doucement,
    Elle tente de regagner du terrain
    Et bientôt, j’en suis sûre,
    Nous rechercherons
    L’ombre douce des ramures…

    Biseeeeeeeeeeees de Christineeeeeeeeeeee

  17. Abri
    auvent
    pare soleil
    moucharabieh végétal
    un voile feuillu
    qui vole à notre secours
    ombrage fraicheur
    qui filtre et tamise
    un vrai bonheur qui irise
    dans une douce pénombre

  18. Dentelles de soie en transparence
    l’ombre propice
    aux murmures argentés
    d’un toi et moi
    d’espérance
    Salut les Amies et Amis
    Arlette

  19. Il y a dans cette image des vibrations intimes, l’ombre d’abord, la lumière tamisée, la chaleur enfin, une aura bien particulière. Merci aspe de nous donner cette belle citation de Bachelard oh combien vraie, Ossiane ne dira pas le contraire qui voit naître à partir de ses images évocatrices l’imaginaire de chacun souvent pour des raisons profondes très éloignées les unes des autres, le mot image chez Bachelard revient très souvent qu’elle soit réelle ou simplement poétique mais de toute façon la traduction des émotions intérieures véritablement ressenties à partir d’images ou vers celles qu’elles suscitent est toujours instigatrice des plus jolis mots.
    ____

    Baldaquin du rêve
    Dans le secret des ramures
    Un coin de chaleur
    ____

    Eh bien j’aimerais aller m’asseoir sous la ramée, rêver dans la douceur de ce doux printemps, entrevoir un moment de répit et laisser vagabonder les idées, les voir s’épandre sur l’ombre et sur la feuille du carnet se métamorphoser en quelques jolis mots dans cette atmosphère sereine et reposante.

  20. Pas de termes
    pour les thermes
    éviter de brutaliser le derme
    évider les volumes
    et protéger la surface
    il n’y a pas de leurre
    mais pour éviter
    d’être percé à jour
    il faut ménager
    l’armée des ombres
    ne pas être bercé
    de trop d’illusions
    les claies hématites
    sont des pendentifs glorieux
    qui tombent le jour
    et l’abaissent assez
    laissez moi entrevoir

  21. Cette âme maintenant

    Laissez moi entrevoir
    Ce rêve en menant
    Le poème sur les rives
    De l’émerveillement

    Laissez-moi entrevoir
    Ce qui tombe des nuages
    Je serais l’enfant sage
    Par les chemins menant
    Au village

    Laissez-moi entrevoir
    L’enfant apprenant
    Ses mots sont mon langage
    Et son sourire mon nom

    Laissez-moi.

  22. lâche leur la grappe
    ce n’est pas le soleil qu’on attrape
    mais d’un coup il en met un rayon
    ce n’est pas le fourre tout
    mais le palefrois , sans être pâle ni froid
    qui nous emporte loin
    les longs cheveux en guise de crinière
    pour ne pas être cible ni criblé
    de tâches de son

  23. Châle qui n’en peut mais
    fleurs qui embaumaient
    ce n’était pas la pommeraie
    mais il ne s’en laissait compter
    on avait pu dauber et bader
    il restait à gambader

  24. La chaleur s’appesantit
    et fait baisser l’ombre
    les raies se conjuguent
    et les rais dansent la gigue
    les claustras atténuent
    tandis que les décors
    patiemment se dorent
    le dehors est irradié
    mais dans le donjon
    les don-juan s’effraient
    un rideau entrouvert
    met du jaune sur le vert
    il y a de l’aplomb
    dans cette verticale
    et tandis que vient le plomb
    qui coule en creuset
    on se roule en boule
    bien protégé

  25. Dans les bras de Morphée savoir s’ombrer
    sans morfler pour cause de rougeurs
    mais l’heure de la sieste est venue
    on va clore un instant le portail
    et partir en douce sans éventail
    pour d’autres oniriques contrées
    qu’aucune mégère ne vienne déranger
    ce qui n’est pas le repos du guerrier
    mais juste le bercement des alizés
    qui fera dans le branches tinter
    un souffle doux et si léger

  26. Installée à l’ombre
    Le souffle du vent
    Joue dans le feuillage
    Des pastilles de soleil
    Miroitent à loisir.
    Frémissement…

  27. La chaleur s’abat
    et je m’ébats
    ça ne fait pas débat
    la sueur perle à grosses gouttes
    et pourtant je n’écoute
    que ce qui va tambouriner
    bientôt sur les volets
    j’appelle du plus loin
    une source vitaliste
    qui clora le cloaque
    car c’est dit j’en ai ma claque
    trop lourd à porter

  28. Pubescence , déhiscence, obéissance

    Pudibond mais sous ce vocable on peut se mettre à poil

    Ouvert pour montrer vigueur et beauté

    Pas soumis mais comptable d’une discipline

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *