Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Au-delà
la passerelle
la promenade du lac
ligne à suivre
34 réflexions sur « Au-delà »
Pour les enseignants actuellement notés au-delà de la note plafond, la note est majorée de 0,25 pour une bonne inspection et de 0,50 pour une inspection jugée excellente.
Hi, hi, hi vraiment rien de poétique mais je suis tombé sur le mot « au-delà » dans ce document de travail.
C’est par où la sortie? ):
Il faut bien se le dire
Qu’au delà des mots
Le regard est un livre
Il faut bien se le dire
Que de maux font un livre
Au-delà des chemins
Au-delà des temps
Au-delà tout est là
Là et là
Promenade en secret
Derrière les palissades
Du tant et tant
Il faut bien se le dire
Qu’au delà il y a nous
Ces jardins clairs-obscurs
Qu’au delà il y a nous
Les écrits du Monde.
il faut bien se le dire…
TENDRESSE
Vos photos me laisseront une impression perenne. Ombres et lumières pour poursuivre le voyage, derrière elles. Vos haikus tracent aussi un joli sillon.
Je vous ai connue par « Olivier ».
Promenade lacustre à fleur d’eau suspendue
Passerelle éblouie sous la tonnelle nue
Equinoxe a posé ses lumières acérées
Ses ombres linéaires et refuse l’accès
Au-delà inconnu par mon souhait demeurez
Près du laurier ami ici je resterai
Passerelle de la vie
Un chemin sans détour
Un aller simple dis
Pas de billet retour
Quelques un de mes pas
Moi qui circule encore
T’auraient peut-être aidé
À tenir au décor
On se verra là-bas ou là haut
C’est selon
Tu m’enverras la clé
Mon coeur ne ferme plus
J’en ai perdu les signes
Le langage et la foi
Je nage et me renoie
Sous la tonnelle
Le pas doux amoureux s’allonge
Touche l’exotisme tendres parfums
Les ondes gouttelettes
Tout est paisible calme et serein
Passage étroit
Sur le chemin de la vie
L’incertitude
Au delà
haut dallage
et pergola
comme un promontoire
pas d’histoire
le clapot
sans le capot
pas à pas
doucement
oh la la
et ce vertige
qui me prend
s’engager
avancer
progresser
toute une vie résumée
dans une perspective floue
sans garde fou
dépassement impossible
une voie unique
un sens idem
aller au bout
et entrevoir
le futur
Promenade
Voyage
Parcours au delà
De soi
Au delà des maux
Au delà des mots
Les ombres d’autrui
Les ombres de toi
Au delà de tout
Je n’ai trouvé que toi
Toi…Moi-même
L’écriture n’a qu’un sens
Au delà des montagnes du silence
Les paroles enfouis
Les souvenirs, vagues, enfouis
Dans un livre de vie
Dans un livre de Maure.
eau de la montagne
descendue au ras
aura d’ici et de la bas
Il est presque minuit…
Au-delà des maux
J’ai tout pris à demain
Pour aimer aujourd’hui
Les bras m’en tombent!
Bonne nuit!
Pas le moindre mot, pas le moindre petit haïku. Impossible d’écrire quoi que ce soit, en regardant cette belle image. Plutôt une impression étrange : la sensation presque dérangeante d’y être, sur cette passerelle!.. Cette image me touche trop. mais je ne sais pas pourquoi. Alors je m’interroge…
Il y a longtemps, je suis allé à Bellagio, et j’y ai trouvé ce drôle de sentiment que le temps s’est arrêté, que les gens qu’on croise sont les acteurs d’une histoire qui repasse en boucle.
Ici, sur cette passerelle, il n’y a personne. Pourtant elle me semble tellement habitée!
charge de l’accaparement humain
point de vagues
point de galets
point de sable
point d’herbes folles
point d’aller vers
juste l’allée proprette
vers le sans surprise
d’un virage à droite
comme si l’écriture n’avait qu’un sens
Au delà des mots
l’indicible et le silence en prime
le temps des effacements
parce que les effarements
ça effraie drôlement
et qu’il y a des discontinuités
d’un bord à l’autre
transcender les limites
pas de passereaux sur la passerelle
pas les tortuosités d’une ruelle
une ligne claire et simple…toute droite
Ce n’était pas un chemin de ronde
qui flanquait la barbacane
pas plus que frousse
ni la mort aux trousses
il n’y avait que peu de risque d’agression
les hourds n’avaient pas ourdi de complot
les vantaux n’allaient pas s’éventer de sitôt
il y avait un point de vue sublime
une manière d’envisager l’après
mais pas l’après midi ni l’après rasage
tout au plus une rasade de grand air
et puis une attente longue
avant la traversée
eau de la vie qui sublime notre esprit
et nous dessale chaque fois un peu plus
et qui fait couler en nous des traces
des confluents et des embouchures
nous entraîne vivement comme alluvions
pour un ultime passage tarifé
pas le bac ni le ferry
une simple barque pas nihilesque
un début et une fin
qui relie deux mondes
en guise de destin
Et si après le virage il n’y avait rien?
Rien qu’un banc pour s’asseoir
Et contempler l’Ooooh
Et si après le virage il n’y avait rien?
Rien qu’un banc pour nous retrouver
Et si après le virage il n’y avait rien?
Et si après…au delà des mots…ne dis rien
Oublie hier et demain
Oublie ce qu’on devait se dire
Oublie ce qu’on devenait nous
Oublie nos saisons à genoux
Oublie nos promesses au tant
Oublie le temps et qui fut nous
Rien que deux compagnons harassés
Un couple de vieux amis somme toute
Après le virage, c’est nous
Tiens bien la barre, je tiens ta main
La passerelle sait qui nous sommes
Et sous la pierre les vaguelettes,
Se racontent nos destins
Rien qu’un banc pour contempler l’eau
Il n’y a que l’Ooooh, après le virage à droite
Émerveillement de nous.
En équilibre sur le ponton de la vie
Où passent les angoisses et la peur
L’instabilité des jours à venir
Chemin suspendu au-dessus du vide
Dont l’issue semble incertaine
Le pas avance avec prudence
Le regard cherche aux alentours
Le réconfort dans la beauté
Celle qui calme et qui rassure
Chemin faisant sur les falaises du destin
Face au vertiges qu’il faut combattre
Les doigts scellés dans l’espérance.
vertige sans « s » merci
Au-delà des mots
Sur la passerelle des jours
La peur du destin
Amie
N’aie crainte…il n’est point de gouffre sans lumière
Point de doutes sans horizon
Point d’eau dans un désert sans maisons…la lumière du cœur
La lumière du cœur
L’espérance et les mots…au delà des maux
Amie n’aie crainte
Entre hier et demain
L’Amour de l’humain
L’Amour entre humains
La passerelle des mains.
Qu’est ce que c’est joli, Leila,
comme tes mots me font du bien,
une soirée si rude en autisme hier soir,
c’est que cet état d’ado, il frappe de plein fouet aussi, lêtre autiste,
et c’est loin d’être digeste tout jour,
chaque jour il se passe un crack de ce rentre-dedans dans le parent, pour que l’envol se fasse,
mais l’envol vers où en autisme, cela reste fort compliqué,
et on tente le meilleur….
MES SOUHAITS DE DOUCE JOURNEE!
Merci Leïla pour ces mots en résonance, nous avons tous à un moment ou à un autre des passerelles à traverser, incertaines au-dessus de l’inconnu, c’est un cap à franchir pour aller au-delà, passage incontournable pour avancer vers un horizon plus ouvert.
Bonjour Annick et douce journée à toi aussi, pour qui chaque jour est une passerelle pour aller plus avant vers la recherche d’une quiétude à partager.
Bonjour Ossiane, mes mots ont du mal à franchir une barrière de nuages, j’espère les voir passer le plus vite possible en espérant qu’ils ne soient pas trop chargés d’orages dévastateurs. Je t’embrasse.
–
Une passerelle
de moi pour toi – d’où je viens –
– qui je suis – L’écoute
–
Pour les enseignants actuellement notés au-delà de la note plafond, la note est majorée de 0,25 pour une bonne inspection et de 0,50 pour une inspection jugée excellente.
Hi, hi, hi vraiment rien de poétique mais je suis tombé sur le mot « au-delà » dans ce document de travail.
C’est par où la sortie? ):
Il faut bien se le dire
Qu’au delà des mots
Le regard est un livre
Il faut bien se le dire
Que de maux font un livre
Au-delà des chemins
Au-delà des temps
Au-delà tout est là
Là et là
Promenade en secret
Derrière les palissades
Du tant et tant
Il faut bien se le dire
Qu’au delà il y a nous
Ces jardins clairs-obscurs
Qu’au delà il y a nous
Les écrits du Monde.
il faut bien se le dire…
TENDRESSE
Vos photos me laisseront une impression perenne. Ombres et lumières pour poursuivre le voyage, derrière elles. Vos haikus tracent aussi un joli sillon.
Je vous ai connue par « Olivier ».
Promenade lacustre à fleur d’eau suspendue
Passerelle éblouie sous la tonnelle nue
Equinoxe a posé ses lumières acérées
Ses ombres linéaires et refuse l’accès
Au-delà inconnu par mon souhait demeurez
Près du laurier ami ici je resterai
Passerelle de la vie
Un chemin sans détour
Un aller simple dis
Pas de billet retour
Quelques un de mes pas
Moi qui circule encore
T’auraient peut-être aidé
À tenir au décor
On se verra là-bas ou là haut
C’est selon
Tu m’enverras la clé
Mon coeur ne ferme plus
J’en ai perdu les signes
Le langage et la foi
Je nage et me renoie
Sous la tonnelle
Le pas doux amoureux s’allonge
Touche l’exotisme tendres parfums
Les ondes gouttelettes
Tout est paisible calme et serein
Passage étroit
Sur le chemin de la vie
L’incertitude
Au delà
haut dallage
et pergola
comme un promontoire
pas d’histoire
le clapot
sans le capot
pas à pas
doucement
oh la la
et ce vertige
qui me prend
s’engager
avancer
progresser
toute une vie résumée
dans une perspective floue
sans garde fou
dépassement impossible
une voie unique
un sens idem
aller au bout
et entrevoir
le futur
Promenade
Voyage
Parcours au delà
De soi
Au delà des maux
Au delà des mots
Les ombres d’autrui
Les ombres de toi
Au delà de tout
Je n’ai trouvé que toi
Toi…Moi-même
L’écriture n’a qu’un sens
Au delà des montagnes du silence
Les paroles enfouis
Les souvenirs, vagues, enfouis
Dans un livre de vie
Dans un livre de Maure.
eau de la montagne
descendue au ras
aura d’ici et de la bas
Il est presque minuit…
Au-delà des maux
J’ai tout pris à demain
Pour aimer aujourd’hui
Les bras m’en tombent!
Bonne nuit!
Pas le moindre mot, pas le moindre petit haïku. Impossible d’écrire quoi que ce soit, en regardant cette belle image. Plutôt une impression étrange : la sensation presque dérangeante d’y être, sur cette passerelle!.. Cette image me touche trop. mais je ne sais pas pourquoi. Alors je m’interroge…
Il y a longtemps, je suis allé à Bellagio, et j’y ai trouvé ce drôle de sentiment que le temps s’est arrêté, que les gens qu’on croise sont les acteurs d’une histoire qui repasse en boucle.
Ici, sur cette passerelle, il n’y a personne. Pourtant elle me semble tellement habitée!
charge de l’accaparement humain
point de vagues
point de galets
point de sable
point d’herbes folles
point d’aller vers
juste l’allée proprette
vers le sans surprise
d’un virage à droite
comme si l’écriture n’avait qu’un sens
Au delà des mots
l’indicible et le silence en prime
le temps des effacements
parce que les effarements
ça effraie drôlement
et qu’il y a des discontinuités
d’un bord à l’autre
transcender les limites
pas de passereaux sur la passerelle
pas les tortuosités d’une ruelle
une ligne claire et simple…toute droite
Ce n’était pas un chemin de ronde
qui flanquait la barbacane
pas plus que frousse
ni la mort aux trousses
il n’y avait que peu de risque d’agression
les hourds n’avaient pas ourdi de complot
les vantaux n’allaient pas s’éventer de sitôt
il y avait un point de vue sublime
une manière d’envisager l’après
mais pas l’après midi ni l’après rasage
tout au plus une rasade de grand air
et puis une attente longue
avant la traversée
eau de la vie qui sublime notre esprit
et nous dessale chaque fois un peu plus
et qui fait couler en nous des traces
des confluents et des embouchures
nous entraîne vivement comme alluvions
pour un ultime passage tarifé
pas le bac ni le ferry
une simple barque pas nihilesque
un début et une fin
qui relie deux mondes
en guise de destin
Et si après le virage il n’y avait rien?
Rien qu’un banc pour s’asseoir
Et contempler l’Ooooh
Et si après le virage il n’y avait rien?
Rien qu’un banc pour nous retrouver
Et si après le virage il n’y avait rien?
Et si après…au delà des mots…ne dis rien
Oublie hier et demain
Oublie ce qu’on devait se dire
Oublie ce qu’on devenait nous
Oublie nos saisons à genoux
Oublie nos promesses au tant
Oublie le temps et qui fut nous
Rien que deux compagnons harassés
Un couple de vieux amis somme toute
Après le virage, c’est nous
Tiens bien la barre, je tiens ta main
La passerelle sait qui nous sommes
Et sous la pierre les vaguelettes,
Se racontent nos destins
Rien qu’un banc pour contempler l’eau
Il n’y a que l’Ooooh, après le virage à droite
Émerveillement de nous.
En équilibre sur le ponton de la vie
Où passent les angoisses et la peur
L’instabilité des jours à venir
Chemin suspendu au-dessus du vide
Dont l’issue semble incertaine
Le pas avance avec prudence
Le regard cherche aux alentours
Le réconfort dans la beauté
Celle qui calme et qui rassure
Chemin faisant sur les falaises du destin
Face au vertiges qu’il faut combattre
Les doigts scellés dans l’espérance.
vertige sans « s » merci
Au-delà des mots
Sur la passerelle des jours
La peur du destin
Amie
N’aie crainte…il n’est point de gouffre sans lumière
Point de doutes sans horizon
Point d’eau dans un désert sans maisons…la lumière du cœur
La lumière du cœur
L’espérance et les mots…au delà des maux
Amie n’aie crainte
Entre hier et demain
L’Amour de l’humain
L’Amour entre humains
La passerelle des mains.
Qu’est ce que c’est joli, Leila,
comme tes mots me font du bien,
une soirée si rude en autisme hier soir,
c’est que cet état d’ado, il frappe de plein fouet aussi, lêtre autiste,
et c’est loin d’être digeste tout jour,
chaque jour il se passe un crack de ce rentre-dedans dans le parent, pour que l’envol se fasse,
mais l’envol vers où en autisme, cela reste fort compliqué,
et on tente le meilleur….
MES SOUHAITS DE DOUCE JOURNEE!
Merci Leïla pour ces mots en résonance, nous avons tous à un moment ou à un autre des passerelles à traverser, incertaines au-dessus de l’inconnu, c’est un cap à franchir pour aller au-delà, passage incontournable pour avancer vers un horizon plus ouvert.
Bonjour Annick et douce journée à toi aussi, pour qui chaque jour est une passerelle pour aller plus avant vers la recherche d’une quiétude à partager.
Bonjour Ossiane, mes mots ont du mal à franchir une barrière de nuages, j’espère les voir passer le plus vite possible en espérant qu’ils ne soient pas trop chargés d’orages dévastateurs. Je t’embrasse.
–
Une passerelle
de moi pour toi – d’où je viens –
– qui je suis – L’écoute
–
http://www.youtube.com/watch?v=AuXE4rAzMK4
–
Biz à tous.
Surtout à ceux qui en ont besoin.
–
Il y a quelque chose de nietzschéen (au sens esthétique) dans cette photo.
voir au travers
le vitrail de lumière perce
le mystère
heu?
ta vidéo partagée ne passe pas, Bourrache, je lis aujourd’hui, absente vendredi dernier..
L’eau de là est eau de vie
Passerelle guide mes pas vers l’au-delà