Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Insouciance
entre les mâchoires
l’écume ombrageuse
au loin la bohème
31 réflexions sur « Insouciance »
la mer joueuse,
écume de champagne,
bateau caressé,
la puissance si calme,
équilibre précaire
E= mc2
La lyre d’Apollon réveille la nature
Les abeilles quittent la ruche et partent à l’aventure
Insouciantes elles butinent les fleurs par millions
Des pétales s’envolent comme des papillons
L’amour qui unit tout fait que les voix s’accordent
Toujours ce bel émoi à fait chanter les cordes
Que bien des toi et moi chantent avec nostalgie
Et les tartines de miel donnent de l’énergie
Alain
Dans le tourbillon
Les gouttelettes des embruns
Portent au loin l’espoir
Bohémien
Ne lorgne pas vers le futur
si tu commences à amasser
tu deviendras dans l’âge mûr
esclave de ton passé
Vis ta vie de bohême garde toi de tous biens
Recherche dans tes poèmes à dire le quotidien
Ceux qui se trouvent utile bien souvent parle faux
L’art n’est jamais futile et le vrai c’est le beau
Alain
elle écrit la mer
pour dans la houle y lire
son récit d’écume
Astasie
Des berges aux rivages
Jusqu’à ce sentiment de mer
Balancé
A la balançoire du ciel
Puis ta danse et l’âme freinte déportée de l’atterrage
Jusqu’à l’écume forjetée aux fondrières des étraves…
Le camélia
La bêtise l’injustice et la mort ironisent
C’est égal au printemps des fleurs s’ouvrent délicates
Des chants d’oiseaux des cris joyeux intronisent
Ce printemps tumultueux plein de rouge écarlate
Alain
« Je suis en train de regarder , écoutant
avec la moitié de l’âme sur la mer et la moitié de l’âme
sur la terre
et avec les deux moitiés de l’âme , je regarde le monde . »
Pablo Neruda.
–
Le bâteau est prudent
Il évite l’écume
Le fracas contre le roc
Il garde sa distance
Protège sa coque de noix
C’est vivant qu’il navigue
Sur le cours de sa vie
A mesure qu’on grandit,
l’insouciance cède le pas,
et se naît connaissance,
sans aucune vérité,
c’est moins bien gai tellement.
La longue vue brouille les pistes
Tout semble d’un tel de calme
Pourtant
C’est l’ébullition tout de près
Au microscope à se vivre dedans
Les rochers battus
dans une plage de silence
vogue la barque
Une vie calme et paisible
Où les mots insouciants
S’assemblent et se posent
Ils parlent de beauté
De joie et de paix
Et tout semble tranquille
Le bonheur s’installe
Loin de tout remous
Comme la mer à l’horizon
Où les vagues vont et viennent
Au rythme des marais
Les jours s’écoulent
Le temps passe
Avec ses joies, avec ses peines
Puis il suffit d’un nuage
Chargé de pluie et d’orage
Pour que la mer si calme
S’agite et se transforme
En un monstre bouillonnant
Terrifiant, inattendu
Qu’il faut dompter
Avant qu’il ne vous anéantisse
Revers d’un monde surprenant
Dont on ne connaît les dangers
Que lorsque ceux-ci
S’imposent à vous
Dans toute leur violence.
Et l’on en vient à regretter
Ces années d’insouciance
Où nous vivions bohèmes
Heureux et sans contraintes
Sans connaître le prix de ce bonheur
Sans savoir qu’il était fragile
Comme l’est chaque instant
Qui ne sait si la vie demain
Nous sera douce ou méchante.
« Dis-moi, ton coeur parfois s’envole-t-il, Agathe,
Loin du noir océan de l’immonde cité,
Vers un autre océan où la splendeur éclate,
Bleu, clair, profond, ainsi que la virginité?
Dis-moi, ton coeur parfois s’envole-t-il, Agathe?
La mer, la vaste mer, console nos labeurs!
Quel démon a doté la mer, rauque chanteuse
Qu’accompagne l’immense orgue des vents grondeurs,
De cette fonction sublime de berceuse?
La mer, la vaste mer, console nos labeurs!
Emporte-moi, wagon! enlève-moi, frégate!
Loin! loin! ici la boue est faite de nos pleurs!
– Est-il vrai que parfois le triste coeur d’Agathe
Dise: Loin des remords, des crimes, des douleurs,
Emporte-moi, wagon, enlève-moi, frégate!
Comme vous êtes loin, paradis parfumé,
Où sous un clair azur tout n’est qu’amour et joie,
Où tout ce que l’on aime est digne d’être aimé,
Où dans la volupté pure le coeur se noie!
Comme vous êtes loin, paradis parfumé!
Mais le vert paradis des amours enfantines,
Les courses, les chansons, les baisers, les bouquets,
Les violons vibrant derrière les collines,
Avec les brocs de vin, le soir, dans les bosquets,
– Mais le vert paradis des amours enfantines,
L’innocent paradis, plein de plaisirs furtifs,
Est-il déjà plus loin que l’Inde et que la Chine?
Peut-on le rappeler avec des cris plaintifs,
Et l’animer encor d’une voix argentine,
L’innocent paradis plein de plaisirs furtifs? »
Baudelaire
L’insouciance
Si vous aimez les pays chauds
Les filles au sourire enjôleur
Justes vêtues d’un paréo
Qui vous font don de leur faveur
Les fruits à la douce saveur
Qui viennent fondre sur la langue
La chair douce de la mangue
Et l’ananas mûri à cœur
Le bruit des vagues le long des anses
Les eaux turquoises le sable chaud
L’or vert des jardins tropicaux
Le bruit des palmes qui balancent
le bruit des pales électrisées
L’ombre qui bouge avec lenteur
la douce caresse de l’alizé
Qui ramène les parfums de fleurs
Si vous aimez prendre au salon
Dans l’ombre tiède des volets
Le thé brûlant le café long
Que recouvre un nuage de lait
Et plus tard si il vous plaît
De faire fondre sous le palais
trempé dans un sirop de lait
Du râpé de noix de coco
enrobé de fin cacao
c’est que l’insouciance vous gagne
Alain
j’éspére m’étendre
sur ta langue de mer
que tu habites
Une erreur s’est glissée à la 11ème ligne de mon texte du mercredi 16 mars 23h47
au rythme des « marées », je m’enlise dans mes « marais », l’esprit ailleurs, difficilement concentrée sur les mots qui tintent à mon oreille, le son présent la lettre absente, le coeur battant chamaille.
Insouciance, un petit mot
Pour que l’esprit se repose
S’abandonnant un instant
Oubliant le présent
Le coeur en nocturne
Pour un repos salutaire
Sourd aux grondements
De la vie tempétueuse
Pour limiter la prise de risques
Il faut parfois savoir
Y’a pas d’autres chemins
Car d’avoir entendu
Peut rendre plus insouciant
Dès que c’est possible
Car c’est vivant qu’on vit
La mort c’est pour après
Vous fait part d’une petite réflexion tout à fait de circonstance.
Qui dit danger et fait appel à la prudence
_____
Quand l’insouciance
Frôle l’inconscience
Elle devient irresponsable
Et préjudiciable
_____
Bonsoir et bonne nuit à tous
Viser son insouciance
Malgré sa toute conscience
En son hypersensible
C’est cheminer en paix
Sans les peurs inutiles
Car tout n’est pas son noir
Comme il n’est pas son blanc
Et son petit sac à dos
Prend les couleurs du temps
Et le capter son beau
Légère l’état d’âme
Qui s’apaise bien être
La guerre
C’est folie que la guerre quelque soit le motif
Toujours les va t’en guerre usent de leitmotiv
La victoire est facile la cause est nécessaire
Ne rien faire serait lâche la même musique ressert
Il n’est pas compliqué ministre à Matignon
Derrière des buts louables d’agiter l’opinion
De crier « en avant ! » tout en restant derrière
Celle ci il faut la faire ce sera la dernière
Aidons le peuple honnis à chasser le tyran
La liberté chérie veut qu’on se batte pour elle
Nous vaincrons en chansons sur des airs entraînants
Pour ceux qui la financent la guerre est toujours belle
En aucune occasion la guerre n’est légitime
La guerre est une folie qui laisse des victimes
Alain
Un peu de soleil rose
S’est posé sur tes joues
Comme un message du jour
Qui invite à sourire
Tu emportes le rayon
Dans ta course du matin
Et dans l’instant qui passe
Tu offres le vif élan
au vent de l’insouciance
Un vent d’insouciance souffle sur le monde
Ignorant les dangers se moquant des après
Les petites fleurs au vent mauvais
Risquent de perdre leurs pétales
Et les papillons éperdus
De s’enfuir à tire d’ailes
Dans le creux du vallon
A l’abri des courants impétueux
Je protège mes rêves
Mes espoirs, mes projets, mes envies
Je regarde au loin où le vent nous entraîne.
C’est joli, Lou
et comme c’est bon de vivre cela!
pensées tendres!
Coquillage
le joli coquillage que la mer a laissé
il est tressé et creux ainsi qu’une corbeille
Son petit ventre rond tout doux a caressé
il est couvert de nacre et brille au soleil
Alain
Coquillage
le joli coquillage que la mer a laissé
il est tressé et creux ainsi qu’une corbeille
Son petit ventre rond tout doux à caresser
il est couvert de nacre et brille au soleil
Alain
le bel âge de l’insousiance
la certitude trompeuse des apparences
le simple souvenir d’enfance
au loin le tumulte gronde
les sirènes se déchainent
la légèreté du matin qui dance
le sillage du temps qui pense
la clarté du jour par transparence
Hello Annick
Je te souhaite ainsi qu’à tous un we plein de moments d’insouciance et de gaieté. Difficile par ces temps fous !!
Merci Lou,
la tête va se vider, c’est essentiel…
je te souhaite un doux week, et à chacun…
OUI ces temps sont fous, mais faut encore vivre ses moments d’insouciance et de gaieté, dès que c’est possible, cela fait tant de bien!
la mer joueuse,
écume de champagne,
bateau caressé,
la puissance si calme,
équilibre précaire
E= mc2
La lyre d’Apollon réveille la nature
Les abeilles quittent la ruche et partent à l’aventure
Insouciantes elles butinent les fleurs par millions
Des pétales s’envolent comme des papillons
L’amour qui unit tout fait que les voix s’accordent
Toujours ce bel émoi à fait chanter les cordes
Que bien des toi et moi chantent avec nostalgie
Et les tartines de miel donnent de l’énergie
Alain
Dans le tourbillon
Les gouttelettes des embruns
Portent au loin l’espoir
Bohémien
Ne lorgne pas vers le futur
si tu commences à amasser
tu deviendras dans l’âge mûr
esclave de ton passé
Vis ta vie de bohême garde toi de tous biens
Recherche dans tes poèmes à dire le quotidien
Ceux qui se trouvent utile bien souvent parle faux
L’art n’est jamais futile et le vrai c’est le beau
Alain
elle écrit la mer
pour dans la houle y lire
son récit d’écume
Astasie
Des berges aux rivages
Jusqu’à ce sentiment de mer
Balancé
A la balançoire du ciel
Puis ta danse et l’âme freinte déportée de l’atterrage
Jusqu’à l’écume forjetée aux fondrières des étraves…
Le camélia
La bêtise l’injustice et la mort ironisent
C’est égal au printemps des fleurs s’ouvrent délicates
Des chants d’oiseaux des cris joyeux intronisent
Ce printemps tumultueux plein de rouge écarlate
Alain
« Je suis en train de regarder , écoutant
avec la moitié de l’âme sur la mer et la moitié de l’âme
sur la terre
et avec les deux moitiés de l’âme , je regarde le monde . »
Pablo Neruda.
–
Le bâteau est prudent
Il évite l’écume
Le fracas contre le roc
Il garde sa distance
Protège sa coque de noix
C’est vivant qu’il navigue
Sur le cours de sa vie
A mesure qu’on grandit,
l’insouciance cède le pas,
et se naît connaissance,
sans aucune vérité,
c’est moins bien gai tellement.
La longue vue brouille les pistes
Tout semble d’un tel de calme
Pourtant
C’est l’ébullition tout de près
Au microscope à se vivre dedans
Les rochers battus
dans une plage de silence
vogue la barque
Une vie calme et paisible
Où les mots insouciants
S’assemblent et se posent
Ils parlent de beauté
De joie et de paix
Et tout semble tranquille
Le bonheur s’installe
Loin de tout remous
Comme la mer à l’horizon
Où les vagues vont et viennent
Au rythme des marais
Les jours s’écoulent
Le temps passe
Avec ses joies, avec ses peines
Puis il suffit d’un nuage
Chargé de pluie et d’orage
Pour que la mer si calme
S’agite et se transforme
En un monstre bouillonnant
Terrifiant, inattendu
Qu’il faut dompter
Avant qu’il ne vous anéantisse
Revers d’un monde surprenant
Dont on ne connaît les dangers
Que lorsque ceux-ci
S’imposent à vous
Dans toute leur violence.
Et l’on en vient à regretter
Ces années d’insouciance
Où nous vivions bohèmes
Heureux et sans contraintes
Sans connaître le prix de ce bonheur
Sans savoir qu’il était fragile
Comme l’est chaque instant
Qui ne sait si la vie demain
Nous sera douce ou méchante.
« Dis-moi, ton coeur parfois s’envole-t-il, Agathe,
Loin du noir océan de l’immonde cité,
Vers un autre océan où la splendeur éclate,
Bleu, clair, profond, ainsi que la virginité?
Dis-moi, ton coeur parfois s’envole-t-il, Agathe?
La mer, la vaste mer, console nos labeurs!
Quel démon a doté la mer, rauque chanteuse
Qu’accompagne l’immense orgue des vents grondeurs,
De cette fonction sublime de berceuse?
La mer, la vaste mer, console nos labeurs!
Emporte-moi, wagon! enlève-moi, frégate!
Loin! loin! ici la boue est faite de nos pleurs!
– Est-il vrai que parfois le triste coeur d’Agathe
Dise: Loin des remords, des crimes, des douleurs,
Emporte-moi, wagon, enlève-moi, frégate!
Comme vous êtes loin, paradis parfumé,
Où sous un clair azur tout n’est qu’amour et joie,
Où tout ce que l’on aime est digne d’être aimé,
Où dans la volupté pure le coeur se noie!
Comme vous êtes loin, paradis parfumé!
Mais le vert paradis des amours enfantines,
Les courses, les chansons, les baisers, les bouquets,
Les violons vibrant derrière les collines,
Avec les brocs de vin, le soir, dans les bosquets,
– Mais le vert paradis des amours enfantines,
L’innocent paradis, plein de plaisirs furtifs,
Est-il déjà plus loin que l’Inde et que la Chine?
Peut-on le rappeler avec des cris plaintifs,
Et l’animer encor d’une voix argentine,
L’innocent paradis plein de plaisirs furtifs? »
Baudelaire
L’insouciance
Si vous aimez les pays chauds
Les filles au sourire enjôleur
Justes vêtues d’un paréo
Qui vous font don de leur faveur
Les fruits à la douce saveur
Qui viennent fondre sur la langue
La chair douce de la mangue
Et l’ananas mûri à cœur
Le bruit des vagues le long des anses
Les eaux turquoises le sable chaud
L’or vert des jardins tropicaux
Le bruit des palmes qui balancent
le bruit des pales électrisées
L’ombre qui bouge avec lenteur
la douce caresse de l’alizé
Qui ramène les parfums de fleurs
Si vous aimez prendre au salon
Dans l’ombre tiède des volets
Le thé brûlant le café long
Que recouvre un nuage de lait
Et plus tard si il vous plaît
De faire fondre sous le palais
trempé dans un sirop de lait
Du râpé de noix de coco
enrobé de fin cacao
c’est que l’insouciance vous gagne
Alain
j’éspére m’étendre
sur ta langue de mer
que tu habites
Une erreur s’est glissée à la 11ème ligne de mon texte du mercredi 16 mars 23h47
au rythme des « marées », je m’enlise dans mes « marais », l’esprit ailleurs, difficilement concentrée sur les mots qui tintent à mon oreille, le son présent la lettre absente, le coeur battant chamaille.
Insouciance, un petit mot
Pour que l’esprit se repose
S’abandonnant un instant
Oubliant le présent
Le coeur en nocturne
Pour un repos salutaire
Sourd aux grondements
De la vie tempétueuse
Pour limiter la prise de risques
Il faut parfois savoir
Y’a pas d’autres chemins
Car d’avoir entendu
Peut rendre plus insouciant
Dès que c’est possible
Car c’est vivant qu’on vit
La mort c’est pour après
Vous fait part d’une petite réflexion tout à fait de circonstance.
Qui dit danger et fait appel à la prudence
_____
Quand l’insouciance
Frôle l’inconscience
Elle devient irresponsable
Et préjudiciable
_____
Bonsoir et bonne nuit à tous
Viser son insouciance
Malgré sa toute conscience
En son hypersensible
C’est cheminer en paix
Sans les peurs inutiles
Car tout n’est pas son noir
Comme il n’est pas son blanc
Et son petit sac à dos
Prend les couleurs du temps
Et le capter son beau
Légère l’état d’âme
Qui s’apaise bien être
La guerre
C’est folie que la guerre quelque soit le motif
Toujours les va t’en guerre usent de leitmotiv
La victoire est facile la cause est nécessaire
Ne rien faire serait lâche la même musique ressert
Il n’est pas compliqué ministre à Matignon
Derrière des buts louables d’agiter l’opinion
De crier « en avant ! » tout en restant derrière
Celle ci il faut la faire ce sera la dernière
Aidons le peuple honnis à chasser le tyran
La liberté chérie veut qu’on se batte pour elle
Nous vaincrons en chansons sur des airs entraînants
Pour ceux qui la financent la guerre est toujours belle
En aucune occasion la guerre n’est légitime
La guerre est une folie qui laisse des victimes
Alain
Un peu de soleil rose
S’est posé sur tes joues
Comme un message du jour
Qui invite à sourire
Tu emportes le rayon
Dans ta course du matin
Et dans l’instant qui passe
Tu offres le vif élan
au vent de l’insouciance
Un vent d’insouciance souffle sur le monde
Ignorant les dangers se moquant des après
Les petites fleurs au vent mauvais
Risquent de perdre leurs pétales
Et les papillons éperdus
De s’enfuir à tire d’ailes
Dans le creux du vallon
A l’abri des courants impétueux
Je protège mes rêves
Mes espoirs, mes projets, mes envies
Je regarde au loin où le vent nous entraîne.
C’est joli, Lou
et comme c’est bon de vivre cela!
pensées tendres!
Coquillage
le joli coquillage que la mer a laissé
il est tressé et creux ainsi qu’une corbeille
Son petit ventre rond tout doux a caressé
il est couvert de nacre et brille au soleil
Alain
Coquillage
le joli coquillage que la mer a laissé
il est tressé et creux ainsi qu’une corbeille
Son petit ventre rond tout doux à caresser
il est couvert de nacre et brille au soleil
Alain
le bel âge de l’insousiance
la certitude trompeuse des apparences
le simple souvenir d’enfance
au loin le tumulte gronde
les sirènes se déchainent
la légèreté du matin qui dance
le sillage du temps qui pense
la clarté du jour par transparence
Hello Annick
Je te souhaite ainsi qu’à tous un we plein de moments d’insouciance et de gaieté. Difficile par ces temps fous !!
Merci Lou,
la tête va se vider, c’est essentiel…
je te souhaite un doux week, et à chacun…
OUI ces temps sont fous, mais faut encore vivre ses moments d’insouciance et de gaieté, dès que c’est possible, cela fait tant de bien!