Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Intense
les bleus essentiels une rêverie mandarine
le ventre au soleil
68 réflexions sur « Intense »
le réel fait rêve
en outrant les couleurs de
la réalité
Intense intense
La mer se vit
Son doux roulis
Frissonne l’oeil
Qui éblouit
S’envole léger
Les couleurs sont jolies, j’aime la couleur de la vie,
et ce bleu et ce vert et ce jaune, ce bleu ciel,
ventre de sable doux
sous les rayons du ciel
la mer ses ondes mouillées
fait des guiliguilis
Les bleus laissent en ciel
une part de leurs illusions
les cieux abaissent en bleu
des éléments d’aspersion
quand on demande farine
on roule des pâtons laches
mais rien de tout ça ne gâche
mais quand l’océan sature
on se dit pourvu que ça dure
alors juste flotter comme esquif
et attendre sagement le récif
je croque encore, cet haïku superbe, et il me dégouline ses jus, bons,
c’est fort beau.
Chère Ossiane, tu nous offres là, une image aux tonalités éblouissantes , c’est un enchantement et un plaisir incroyable, nous avons tellement besoin de couleurs et de lumière en période hivernale pour mettre dans nos coeurs un peu de gaité.
___
Peindre l’émotion
Virulence des couleurs
Nature éclatante
____
Superbes couleurs !
oui, Merci, Ossiane,
en hiver, les jours courts, plus de fatigue, des virus qui trainent,
c’est bon de happer la couleur de serrer son moindre bonheur, plus encore!
A la recherche du temps perdu
Le temps est fugitif il court sans s’arrêter
Depuis le temps qu’il court que fais donc la police
Le jour la nuit toujours en quête de vérité
Il faut pour la trouver que le temps s’accomplisse
Il court il court il court épris de liberté
De sa fuite éperdue les années sont complices
Alain
Belle harmonie quand la nature s’offre au regard que nul peintre peut réaliser
Petit instant de plénitude
ce dimanche, une crique, sur la côté sauvage,
et l’air du tant, tellement,
la beauté de se sentir vivant, tout simplement,
le jeune homme autiste apprécie, alors cela roule d’aises,
c’est si bon de penser offrir du fort beau à celui qui est démuni,
et se sroulis roulas si tendres, et le ciel bleu, et l’air si doux,
des promeneurs, un peu de bise,
cela défatigue tellement,
la vie elle entre, à pleins poumons,
des oiseaux, ils pêchent,
je lui dis que ils cherchent de quoi manger,
ils ne peuvent pas pointer, travailler à l’usine,
c’est dur pour eux aussi,
oui bien sûr que c’est dur, la vie,
quand il faut bien se donner les moyens de *levivre, son istant,
mais comme c’est un retour positif,
car la vie c’est la vie, *
et rien ne vaut la vie,
enfin, me semble,
je ne suis jamais allée faire un tour pour de vrai dans la mort sans retour!
jolie journée pour chacun!
Le rideau de la douche
derrière le rideau d’eau qui chante sous la douche
c’est une jolie femme couleur de l’arc en ciel
un coin du rideau s’ouvre couleur des algues vertes
le sable est une éponge que la femme dérange
mélange de verres brisés et d’écorces d’orange
ainsi qu’un lit froissé la plage est découverte
derrière le rideau d’eau qui chante sous la douche
c’est une jolie femme couleur de l’arc en ciel
Alain
un tableau de Nicolas de Staël
magnifique ossiane !
Quand la nature si picturale, si vive
Sollicite les papilles comme à la saveur d’un fruit mûr
Quand la mer, le ciel, le sable et l’eau
S’harmonisent et jouent ensemble la lumière
C’est un bain de clarté et de fraîcheur
Jouvence d’une nature qui interpelle
Quand le soleil ardent met sa couche finale
A ce tableau débordant d’éclat
Quand les couleurs s’amusent sur la plage
Aux jeux de l’eau qui danse et qui chante
C’est toute la nature qui resplendit
En teintes joyeuses, qui font vibrer les sens : intense
La laisse de mer
A basse mer j’ai vu dans la laisse
Les trésors que l’océan délaisse
Les filets pris dans le goémon
Les bois flottés glissés de l’amont
Les cordages bleus noués en tresse
Les os de seiches et les flotteurs
Et sur le sable une merveille
Un bris de verre au poli caresse
A su faire chavirer mon cœur
Le doux tesson d’une bouteille
Ou se blottissait la tendresse
Un je t’aime jeté à la mer
Par l’anonyme dans la foule
Dans la détresse de la houle
La terre, l’eau, l’air et le feu…
Bonsoir Annemarie, sur le même principe de ces quatre éléments, mais dans un autre ordre d’idée japonaise originaire de Chine :
Les Cinq éléments sont le Bois, le Feu, la Terre, le Métal et l’Eau. Mais aucun n’est entièrement Bois, Feu, Terre, Métal et eau, car comme le Yin et le Yang, ils se définissent les uns par rapport aux autres.
Soif d’absolu devant l’immensité de la mer,
Soif d’intensité devant l’éclat des couleurs.
Un bleu d’encre
mais pas de vague à l’âme
si intense qu’il soit
et doré sur la tranche.
La mandarine
Ma passion pour les lettres est inscrite dans mon noM
A l’heure où je rédige je médite à celA
N’est-il pas poétique ce nom de mandariN
Divin comme un parfum comme l’amour profonD
Apportant du soleil en veux tu en voilA
Réjouissant les poètes beaucoup mieux que de l’oR
Inspirant les écrits et quelques notes aussI
Nouant la réflexion à l’imaginatioN
Exprimant ce que l’homme nomme la libertE
Alain
Les chevaux de la mer
Sur le sable orangé qui s’étend sur la plage
comme un lé de tissu que défroissent les vagues
la mer en s’en allant à laissé quelques flaques
qui luisent au soleil comme du verre brisé
des tessons de bouteilles ou des morceaux de nacre
polis par les marées le verre devient opaque
Sur le bord du rivage que creuse le ressac
La crinière flottant et la bouche écumante
une vague au galop comme un cheval se cabre
Alain
Dis-moi comment fais-tu
Pour avoir le regard si pur
Pour laisser entrer la lumière
Quand tout est sombre autour
Dans une vie faite d’horreur
D’injustice et de noirceur ?
Dis-moi comment fais-tu
Pour savoir fermer les yeux
Sur ce qui entrave la beauté
Au point de la voir transparaître
Au cœur d’un halo si sombre
Etincelante et rayonnante ?
Dis-moi comment fais-tu
Pour trouver le courage
De chanter et de t’émerveiller
Quand tout est misère et pauvreté
Dans un pays dit civilisé
Où l’on meurt de froid et de faim ?
Dis-moi comment fais-tu
Pour trouver la sagesse nécessaire
Qui tire vers le haut les plus démoralisés
En toutes circonstances
Pour s’en tenir à l’essentiel
Et faire de chaque lieu un lieu de bonheur ?
Dis-moi comment fais-tu
Dans ce monde de contradiction
Pour faire la part du beau, du bien
Sans haine avec douceur et bonté
Dis-moi que ce regard est en chacun de nous
Qu’il puise toute sa force dans sa volonté d’être ?
Le sage lui répondit : je garde en moi une âme d’enfant capable de s’émouvoir, de s’éblouir, de s’étonner, de s’émerveiller devant la plus petite étincelle pourvu qu’elle atteigne l’âme qui, comme un miroir réfléchira la lumière.
Dans le roulis des éboulis
la complainte de la médiocrité
le cerveau est un coulis
dans l’ombre de son altérité
…
Vague
Âme
Force de l’esprit solitaire
…
Etrange étrangeté
d’un soi rêvé
au corps malaxé
dans l’excès.
Posés là
Une vague avance
Délicate
Son regard intense
Les sens frissonnent
C’est éprouvant
De tellement
De se sentir vivants
Découvertes renouvelés
C’est bon la beauté d’être
En vie
MERCI POUR VOS JOLIS ECRITS!
elle est belle cette page, hein?!
cet après midi, posés devant la mer de St Nazaire,
je me souriais,
dedans le vrai devant la mer son odeur ses bruits
dedans le vrai devant cette image sa vie cet élan l’envie son bleu
c’est formidable, une image, une photo,
c’est incroyable cette possibilité de laisser voir, de voir, de percevoir, de s’émouvoir,
quelles vies dans le langage des images!
J AIME!
Ta plume trempée
Dans l’encre bleu outremer
Un mot sur le sable
Intense, ce mot est le tien
Algue discrète en paraphe
Les trompettes marines
S’élevant vers les cieux sur son char rutilant
Le bel astre du jour mène ses chevaux blancs
Les étoiles ses sœurs s’effacent devant lui
Aussi la douce lune dont la clarté pâlit
L’océan ce vieillard à la barbe bouclée
Armé de son trident ordonne un défilé
Et comme un beau fruit rond que l’on porte à sa bouche
Retentit la voix d’or des trompettes marines
Alain
Ma OOOOooossY
non Lilly n’oublie pas sa OOooossY
t’envoie un petit mot via Primevères IntenseS
Onze vagues
OnZe grains de sables
OnZYYy tendresses
coucou Lily, te r’vlà,
passe plus souvent,
tes mots délices!
bises
La mer
Je t’aime
Tu es toi
Je suis moi
Et dans tes bras
Je me respire d’aises
Liberté belle douce
Ondes tendres leur zen
Bouge pas
Reste telle
Ondule toi tes ondes
Laisse l’Homme vivant
Tes beautés du rivage
Sont jolies et si belles
Ton immensité grande
De bontés partagées
Témoignages
des plumes d’oiseaux blancs virgules sur la plage
rappellent aux plaisanciers qui foulent le rivage
Que la blonde Vénus est venue de la mer
dans une conque tirée par de blanches colombes
Alain
Doucement tu te retireras
Laissant derrière toi
Quelques souvenirs
Inexorablement tu reviendras
Pour notre plaisir
Maurice
La mer est belle à regarder
Du bleu de l’horizon
A la blanche écume des vagues
Elle vient jouer avec le sable
Mais au jeu des couleurs elle a gagné
La mer quand elle est calme
Cherche le bleu outremer
Vole au ciel sa beauté
Et les flaques sur la plage
Se contentent des reflets
D’un ciel au bleu dérobé.
Que viennent les nuages
Et tous les jeux sont à refaire
L’intensité des couleurs
Pourrait alors faire du sable
Le gagnant des jeux de l’océan.
Que vienne la nuit
Et tous les jeux cesseront
La mer et la terre s’endormiront
Sous l’épaisse couette noire du ciel
C’est incroyable
La mer
C’est là
Posée devant les yeux
C’est beau la vie
Quand elle se donne belle
Et quand on sait qu’elle est poubelle
On a fort mal
Pour le monde qui se perd
Pourtant la vie pense donner
Bien avant de reprendre
Et l’Homme qu’en a t il fait
De ses beautés
Ô monde
L’enfant s’avance
Son innocence
Il ouvre son petit flacon
Cueille de la mer
Met son bouchon
Et il sourit
Sa mer à lui
Dedans sa poche
C’est son trésor
Une grand richesse
Il a compris
Sans le savoir
Que la Nature un minerais
Fort haut classé
A le serrer
Le garder précieux
Boîte à trésors
On est là
Posés Là
Juste Là
On ne manque de rien
Ton regard me boit
On goûte la mer
Ensemble
Comme c’est bon
Rassasiés ivres
De ses beautés
A la mer bleue
Immensité
Rêve profond
Réalité
Je sais il s’applique aux couleurs
Aux bruits, à la lumière,
Il est synonyme d’importance
Couleurs extraordinaires
Luminosité intense
L’œil s’en émerveille
Et pourtant…
Ce petit mot trouve en moi
Toute sa résonnance
Lorsqu’il il parle du cœur
Avec une profondeur incommensurable
D’une émotion sans comparaison
D’un désir, d’un excès peut-être
Si beau, si fort, si puissant
Qu’il ressemble à la douleur
Comme il en va de l’amour
De tout sentiment
Qui trouve ses racines
Au plus profond de soi
Si INTENSE qu’il semble
Que peu de choses à côté
N’ai de place
Il est l’espace à lui tout seul
S’il ne se rattache aux sentiments
Qui viennent du cœur
S’il est considération sans mesure
D’admiration, d’émerveillement
D’éblouissement total
C’est alors que la beauté sans doute
S’apparente à l’amour
« Tout le monde n’est pas artiste, mais chacun peut avoir son propre être transformé, transfiguré par la rencontre avec la beauté, tant il est vrai que la beauté suscite la beauté, augmente la beauté, élève la beauté » F.CHENG (cinq méditations sur la beauté)
Pour un bleu et sans ciel et un verre mandarine…je broderais sur les vagues des ourlets de coton..et le sable étendu je donnerais au soleil…des perles de couleur et des rives incertaines..Dans la mer et le vent..les murmures d’un soir..je glisserai sans mot dire..une lettre de nacre..des baisers emmêlés..et le temps d’un espoir..
Un temps soit peu
et pas seulement sirupeux
c’est dans la flaque que je me sens le mieux
Intense
il a un goût intense de miel et de citron
le tout premier baiser sur vos lèvres assoiffées
La pointe d’amertume qu’apporte le café
Il donne une chaleur qui monte jusqu’au front
c’est la vague géante qui vous fait perdre pied
qui vous roule sur le sable et vous laisse estropié
c’est la langue de feu qui jusqu’au cœur pénètre
le feu d’une allumette qui fait fondre tout l’être
il a la couleur verte qui donne la vigueur
Celle de l’océan qui donne mal au cœur
qui vous tourne la tête comme un verre de liqueur
et celle du laurier qui couronne le vainqueur
Mon regard
Intense
Tu m’en a fais voir
De toutes les couleurs
Des fils de vie
Et je me souris
Aujourd’hui
Car tu m’as fait entendre
Que rien ne remplace
Le doux coulis
De ton intense
Ma vie
Un temps cité, un temps freiné
j’ai retrouvé le temps d’aimer
et sur cette grève pas huppée
dans ce bel assortiment de couleur
j’ai mis un peu de piment sur ma douleur
dans ce qui est une marée sans cage
où survivent certains au naufrage
j’ai sauté d’une flaque à l’autre
j’ai admiré les bleus en dégradés
et la mosaïque miroitante
Délicieux laissés ciels
Sur le sable son rose
Devant la mer son vert
Son bleu de son intense
Ce petit monde se luit
Intense de sa vue
Le regard ébloui
Porté
S’envole haut
Intense aimant qui nous oriente et nous guide
un temps s’aimant qui façonne nos contacts
un temps sémant pour faire refleurir les vagues
un temps s’émancipe quand il excipe de sa qualité
une palette large qui ne nous méne pas en barge
un bleu qui vire au vert et vient taquiner/turquoiser
pas de quoi pavoiser ni toiser mais pulpeuse
l’amarre ne nous atterre pas
et l’amant de la rime
cherche dans ces ridules veinées
oh pas des veines violacées
le souci des sourcils
un front pour un affront
I feel good,
I don’t get the blues
from the sky I never loose
I enjoy the slow tides beat
that push me some heat
a strange but savourous brightness
the world isn’t a mess
definitely I feel good
with you
with you, de chacun,
c’est joli, Thierry,
ma tête se tordationne pour tenter traduire vrai,
ce qu elle fait aussi pour le français écrit, le langage parlé,
qué truc de vie que c’est de communiquer!
bel après midi de soleil, ici, il est merveilleux, généreux de lumières si jolies.
Jour de sable
vague après vague
le poids léger d’un coquillage
La fin du voyage
Déposée sur le sable
L’algue solitaire
Coeur mandarine,
se consume sous
une flamme émeraude,
Passion marine…
Intense
Intense soit le jour
Pour chacun ce samedi
Et chaque jour sa vie
Sont mes souhaits du jour
D’Aujourd’hui bel de viea
Un flash de soleil
Dur la terre et sur la mer
Le sourire aux lèvres
« Sur » la terre….
Dure la terre et vive la mer
meuble est le sable mouillé
quand à la mer bien souillée
l’intense est cité à la barre
il lui faut changer de cap
Vive l’eau bleue outremer
aux douceurs d’écume dormante.
Vive le ciel d’azur protecteur
se mirant dans les sables mouvants.
Tels Mirages de bonheur
dans l’étendue incandescante
des plages austères.
Une révérence
Vague d’applaudissement
La mer se retire
Parfois les vagues ne sont pas vagues du tout mais traitresses et tueuses
parfois l’onde n’a rien de bleu, c’est de la boue qui déferle et ne maintient rien debout.
In memoriam, un retour sur un texte écrit après le tsunami de Banda aceh, intervenu juste quelques jours avant la disparition dramatique d’un ami.
Pourquoi l’anglais est il venu en même temps que les larmes, peut être comme une arme et pour se prémunir d’autres périls tout aussi nombreux. Je retrouve dans ce texte une synthèse de plusieurs thèmes et notamment la vulnérabilité.
« Lost in translation without view at the eyeglance »
I got bad dreams night after night
I hope what I feel strange tonight
But the most amazing thing is right
Over consciousness opening the bright
Sign I wait for over the doubleside
Of the intriguing but monstruous tide
That didn’t fade away with distance
making me poor with no reluctance.
How so huge and mortal disasters
Can reveal the weakness of ants
Like we are instead of being sisters
Seing the trouble shooting with no pants.
Nature is strong enough to erase
Within just a couple of centuries
Traces of mankind on earth surface
To hide the evidence of luxuries.
Despair and disease are so visible
While bodies are thrown into a crucible.
Humanity is no longer powerfull
In is mind if no sure adapted tools
Aren’t soon developped to disminish
The effects on the shore of waves
That could lead to an instant finish
While we want forcedly lives to save.
Who can ignore the danger right now
Is like a fool playing is life randomly.
So we must band the coloured bow
To extend immunity over the shadows
To hold in our quivering hands firmly
The future we fear could succeed
not permitting to grasp any seed
of the commune intelligence
revealing the non sense
in a crash and trash
and just ash
waoooh!!!
Du rêve à la réalité, de la mémoire au vécu, l’émotion en partage, en lisant ton texte Thierry j’ai pensé à Kundera
Mauvais rêve, réalité incontournable mais filmée
je pense au livre d’ Emmanuel Carrère
oui si les mots ne peuvent pas tout traduire
et que de cette émotion ils osent nous enduire
ce n’est pas pour démons ou chimères fuir
et même jamais passer la brosse à reluire
Merci Monique, je suis honoré mais lucide
modeste et restant à ma place
mais l’émotion intense est revenue
de ces souvenirs obsédants
alors le rappel s’avérait indispensable
au dessus du gouffre il retient
et des amulettes il contient
On dit qu’elle est profonde, qu’elle est intense, la douleur quelle qu’elle soit reste une cicatrice ineffaçable, un traumatisme, y a-t-il toujours possibilité de résilience comme l’entend Boris Cyrulnik ? Une autre disposition à voir le monde, ça c’est certain.
_____
La puissance d’un mot
Pour « intense » dans tous les sens
Joie, beauté, offense.
_____
Belle était la plage
Radieuse sous le soleil
Calme en apparence
___
Bonne fin de week-end à tous malgré le froid.
« Belle était LA MER »
J AIME BIEN TES MOTS, Monique,
la douleur reste uen cicatrice ineffaçable,
je ne crois pas trop à la résilience possible dans tous les cas,
ensuite….dans la douleur….Y A T IL UN APRES LA DOULEUR!?
ou juste une douleur qui devient plus gérable, qui laisse un peu de vie possible, une autre vie de toutes façons, plus n est rien n est pareil,
la douleur abîme l innocence….
« la douleur abîme l’innocence et cette part d’enfance qu’il y a en chacun de nous
Ô combien Annick !!!
OUI!
douceurs, Monique, je t’embrasse!
aux courbes de ton sein
les courbes de ma lèvre
dans le délice
des corps
le réel fait rêve
en outrant les couleurs de
la réalité
Intense intense
La mer se vit
Son doux roulis
Frissonne l’oeil
Qui éblouit
S’envole léger
Les couleurs sont jolies, j’aime la couleur de la vie,
et ce bleu et ce vert et ce jaune, ce bleu ciel,
ventre de sable doux
sous les rayons du ciel
la mer ses ondes mouillées
fait des guiliguilis
Les bleus laissent en ciel
une part de leurs illusions
les cieux abaissent en bleu
des éléments d’aspersion
quand on demande farine
on roule des pâtons laches
mais rien de tout ça ne gâche
mais quand l’océan sature
on se dit pourvu que ça dure
alors juste flotter comme esquif
et attendre sagement le récif
je croque encore, cet haïku superbe, et il me dégouline ses jus, bons,
c’est fort beau.
Chère Ossiane, tu nous offres là, une image aux tonalités éblouissantes , c’est un enchantement et un plaisir incroyable, nous avons tellement besoin de couleurs et de lumière en période hivernale pour mettre dans nos coeurs un peu de gaité.
___
Peindre l’émotion
Virulence des couleurs
Nature éclatante
____
Superbes couleurs !
oui, Merci, Ossiane,
en hiver, les jours courts, plus de fatigue, des virus qui trainent,
c’est bon de happer la couleur de serrer son moindre bonheur, plus encore!
A la recherche du temps perdu
Le temps est fugitif il court sans s’arrêter
Depuis le temps qu’il court que fais donc la police
Le jour la nuit toujours en quête de vérité
Il faut pour la trouver que le temps s’accomplisse
Il court il court il court épris de liberté
De sa fuite éperdue les années sont complices
Alain
Belle harmonie quand la nature s’offre au regard que nul peintre peut réaliser
Petit instant de plénitude
ce dimanche, une crique, sur la côté sauvage,
et l’air du tant, tellement,
la beauté de se sentir vivant, tout simplement,
le jeune homme autiste apprécie, alors cela roule d’aises,
c’est si bon de penser offrir du fort beau à celui qui est démuni,
et se sroulis roulas si tendres, et le ciel bleu, et l’air si doux,
des promeneurs, un peu de bise,
cela défatigue tellement,
la vie elle entre, à pleins poumons,
des oiseaux, ils pêchent,
je lui dis que ils cherchent de quoi manger,
ils ne peuvent pas pointer, travailler à l’usine,
c’est dur pour eux aussi,
oui bien sûr que c’est dur, la vie,
quand il faut bien se donner les moyens de *levivre, son istant,
mais comme c’est un retour positif,
car la vie c’est la vie, *
et rien ne vaut la vie,
enfin, me semble,
je ne suis jamais allée faire un tour pour de vrai dans la mort sans retour!
jolie journée pour chacun!
Le rideau de la douche
derrière le rideau d’eau qui chante sous la douche
c’est une jolie femme couleur de l’arc en ciel
un coin du rideau s’ouvre couleur des algues vertes
le sable est une éponge que la femme dérange
mélange de verres brisés et d’écorces d’orange
ainsi qu’un lit froissé la plage est découverte
derrière le rideau d’eau qui chante sous la douche
c’est une jolie femme couleur de l’arc en ciel
Alain
un tableau de Nicolas de Staël
magnifique ossiane !
Quand la nature si picturale, si vive
Sollicite les papilles comme à la saveur d’un fruit mûr
Quand la mer, le ciel, le sable et l’eau
S’harmonisent et jouent ensemble la lumière
C’est un bain de clarté et de fraîcheur
Jouvence d’une nature qui interpelle
Quand le soleil ardent met sa couche finale
A ce tableau débordant d’éclat
Quand les couleurs s’amusent sur la plage
Aux jeux de l’eau qui danse et qui chante
C’est toute la nature qui resplendit
En teintes joyeuses, qui font vibrer les sens : intense
La laisse de mer
A basse mer j’ai vu dans la laisse
Les trésors que l’océan délaisse
Les filets pris dans le goémon
Les bois flottés glissés de l’amont
Les cordages bleus noués en tresse
Les os de seiches et les flotteurs
Et sur le sable une merveille
Un bris de verre au poli caresse
A su faire chavirer mon cœur
Le doux tesson d’une bouteille
Ou se blottissait la tendresse
Un je t’aime jeté à la mer
Par l’anonyme dans la foule
Dans la détresse de la houle
La terre, l’eau, l’air et le feu…
Bonsoir Annemarie, sur le même principe de ces quatre éléments, mais dans un autre ordre d’idée japonaise originaire de Chine :
Les Cinq éléments sont le Bois, le Feu, la Terre, le Métal et l’Eau. Mais aucun n’est entièrement Bois, Feu, Terre, Métal et eau, car comme le Yin et le Yang, ils se définissent les uns par rapport aux autres.
Soif d’absolu devant l’immensité de la mer,
Soif d’intensité devant l’éclat des couleurs.
Un bleu d’encre
mais pas de vague à l’âme
si intense qu’il soit
et doré sur la tranche.
La mandarine
Ma passion pour les lettres est inscrite dans mon noM
A l’heure où je rédige je médite à celA
N’est-il pas poétique ce nom de mandariN
Divin comme un parfum comme l’amour profonD
Apportant du soleil en veux tu en voilA
Réjouissant les poètes beaucoup mieux que de l’oR
Inspirant les écrits et quelques notes aussI
Nouant la réflexion à l’imaginatioN
Exprimant ce que l’homme nomme la libertE
Alain
Les chevaux de la mer
Sur le sable orangé qui s’étend sur la plage
comme un lé de tissu que défroissent les vagues
la mer en s’en allant à laissé quelques flaques
qui luisent au soleil comme du verre brisé
des tessons de bouteilles ou des morceaux de nacre
polis par les marées le verre devient opaque
Sur le bord du rivage que creuse le ressac
La crinière flottant et la bouche écumante
une vague au galop comme un cheval se cabre
Alain
Dis-moi comment fais-tu
Pour avoir le regard si pur
Pour laisser entrer la lumière
Quand tout est sombre autour
Dans une vie faite d’horreur
D’injustice et de noirceur ?
Dis-moi comment fais-tu
Pour savoir fermer les yeux
Sur ce qui entrave la beauté
Au point de la voir transparaître
Au cœur d’un halo si sombre
Etincelante et rayonnante ?
Dis-moi comment fais-tu
Pour trouver le courage
De chanter et de t’émerveiller
Quand tout est misère et pauvreté
Dans un pays dit civilisé
Où l’on meurt de froid et de faim ?
Dis-moi comment fais-tu
Pour trouver la sagesse nécessaire
Qui tire vers le haut les plus démoralisés
En toutes circonstances
Pour s’en tenir à l’essentiel
Et faire de chaque lieu un lieu de bonheur ?
Dis-moi comment fais-tu
Dans ce monde de contradiction
Pour faire la part du beau, du bien
Sans haine avec douceur et bonté
Dis-moi que ce regard est en chacun de nous
Qu’il puise toute sa force dans sa volonté d’être ?
Le sage lui répondit : je garde en moi une âme d’enfant capable de s’émouvoir, de s’éblouir, de s’étonner, de s’émerveiller devant la plus petite étincelle pourvu qu’elle atteigne l’âme qui, comme un miroir réfléchira la lumière.
Dans le roulis des éboulis
la complainte de la médiocrité
le cerveau est un coulis
dans l’ombre de son altérité
…
Vague
Âme
Force de l’esprit solitaire
…
Etrange étrangeté
d’un soi rêvé
au corps malaxé
dans l’excès.
Posés là
Une vague avance
Délicate
Son regard intense
Les sens frissonnent
C’est éprouvant
De tellement
De se sentir vivants
Découvertes renouvelés
C’est bon la beauté d’être
En vie
MERCI POUR VOS JOLIS ECRITS!
elle est belle cette page, hein?!
cet après midi, posés devant la mer de St Nazaire,
je me souriais,
dedans le vrai devant la mer son odeur ses bruits
dedans le vrai devant cette image sa vie cet élan l’envie son bleu
c’est formidable, une image, une photo,
c’est incroyable cette possibilité de laisser voir, de voir, de percevoir, de s’émouvoir,
quelles vies dans le langage des images!
J AIME!
Ta plume trempée
Dans l’encre bleu outremer
Un mot sur le sable
Intense, ce mot est le tien
Algue discrète en paraphe
Les trompettes marines
S’élevant vers les cieux sur son char rutilant
Le bel astre du jour mène ses chevaux blancs
Les étoiles ses sœurs s’effacent devant lui
Aussi la douce lune dont la clarté pâlit
L’océan ce vieillard à la barbe bouclée
Armé de son trident ordonne un défilé
Et comme un beau fruit rond que l’on porte à sa bouche
Retentit la voix d’or des trompettes marines
Alain
Ma OOOOooossY
non Lilly n’oublie pas sa OOooossY
t’envoie un petit mot via Primevères IntenseS
Onze vagues
OnZe grains de sables
OnZYYy tendresses
coucou Lily, te r’vlà,
passe plus souvent,
tes mots délices!
bises
La mer
Je t’aime
Tu es toi
Je suis moi
Et dans tes bras
Je me respire d’aises
Liberté belle douce
Ondes tendres leur zen
Bouge pas
Reste telle
Ondule toi tes ondes
Laisse l’Homme vivant
Tes beautés du rivage
Sont jolies et si belles
Ton immensité grande
De bontés partagées
Témoignages
des plumes d’oiseaux blancs virgules sur la plage
rappellent aux plaisanciers qui foulent le rivage
Que la blonde Vénus est venue de la mer
dans une conque tirée par de blanches colombes
Alain
Doucement tu te retireras
Laissant derrière toi
Quelques souvenirs
Inexorablement tu reviendras
Pour notre plaisir
Maurice
La mer est belle à regarder
Du bleu de l’horizon
A la blanche écume des vagues
Elle vient jouer avec le sable
Mais au jeu des couleurs elle a gagné
La mer quand elle est calme
Cherche le bleu outremer
Vole au ciel sa beauté
Et les flaques sur la plage
Se contentent des reflets
D’un ciel au bleu dérobé.
Que viennent les nuages
Et tous les jeux sont à refaire
L’intensité des couleurs
Pourrait alors faire du sable
Le gagnant des jeux de l’océan.
Que vienne la nuit
Et tous les jeux cesseront
La mer et la terre s’endormiront
Sous l’épaisse couette noire du ciel
C’est incroyable
La mer
C’est là
Posée devant les yeux
C’est beau la vie
Quand elle se donne belle
Et quand on sait qu’elle est poubelle
On a fort mal
Pour le monde qui se perd
Pourtant la vie pense donner
Bien avant de reprendre
Et l’Homme qu’en a t il fait
De ses beautés
Ô monde
L’enfant s’avance
Son innocence
Il ouvre son petit flacon
Cueille de la mer
Met son bouchon
Et il sourit
Sa mer à lui
Dedans sa poche
C’est son trésor
Une grand richesse
Il a compris
Sans le savoir
Que la Nature un minerais
Fort haut classé
A le serrer
Le garder précieux
Boîte à trésors
On est là
Posés Là
Juste Là
On ne manque de rien
Ton regard me boit
On goûte la mer
Ensemble
Comme c’est bon
Rassasiés ivres
De ses beautés
A la mer bleue
Immensité
Rêve profond
Réalité
Je sais il s’applique aux couleurs
Aux bruits, à la lumière,
Il est synonyme d’importance
Couleurs extraordinaires
Luminosité intense
L’œil s’en émerveille
Et pourtant…
Ce petit mot trouve en moi
Toute sa résonnance
Lorsqu’il il parle du cœur
Avec une profondeur incommensurable
D’une émotion sans comparaison
D’un désir, d’un excès peut-être
Si beau, si fort, si puissant
Qu’il ressemble à la douleur
Comme il en va de l’amour
De tout sentiment
Qui trouve ses racines
Au plus profond de soi
Si INTENSE qu’il semble
Que peu de choses à côté
N’ai de place
Il est l’espace à lui tout seul
S’il ne se rattache aux sentiments
Qui viennent du cœur
S’il est considération sans mesure
D’admiration, d’émerveillement
D’éblouissement total
C’est alors que la beauté sans doute
S’apparente à l’amour
« Tout le monde n’est pas artiste, mais chacun peut avoir son propre être transformé, transfiguré par la rencontre avec la beauté, tant il est vrai que la beauté suscite la beauté, augmente la beauté, élève la beauté » F.CHENG (cinq méditations sur la beauté)
Pour un bleu et sans ciel et un verre mandarine…je broderais sur les vagues des ourlets de coton..et le sable étendu je donnerais au soleil…des perles de couleur et des rives incertaines..Dans la mer et le vent..les murmures d’un soir..je glisserai sans mot dire..une lettre de nacre..des baisers emmêlés..et le temps d’un espoir..
Un temps soit peu
et pas seulement sirupeux
c’est dans la flaque que je me sens le mieux
Intense
il a un goût intense de miel et de citron
le tout premier baiser sur vos lèvres assoiffées
La pointe d’amertume qu’apporte le café
Il donne une chaleur qui monte jusqu’au front
c’est la vague géante qui vous fait perdre pied
qui vous roule sur le sable et vous laisse estropié
c’est la langue de feu qui jusqu’au cœur pénètre
le feu d’une allumette qui fait fondre tout l’être
il a la couleur verte qui donne la vigueur
Celle de l’océan qui donne mal au cœur
qui vous tourne la tête comme un verre de liqueur
et celle du laurier qui couronne le vainqueur
Alain
http://www.mespoemes.net/recreation
Mon regard
Intense
Tu m’en a fais voir
De toutes les couleurs
Des fils de vie
Et je me souris
Aujourd’hui
Car tu m’as fait entendre
Que rien ne remplace
Le doux coulis
De ton intense
Ma vie
Un temps cité, un temps freiné
j’ai retrouvé le temps d’aimer
et sur cette grève pas huppée
dans ce bel assortiment de couleur
j’ai mis un peu de piment sur ma douleur
dans ce qui est une marée sans cage
où survivent certains au naufrage
j’ai sauté d’une flaque à l’autre
j’ai admiré les bleus en dégradés
et la mosaïque miroitante
Délicieux laissés ciels
Sur le sable son rose
Devant la mer son vert
Son bleu de son intense
Ce petit monde se luit
Intense de sa vue
Le regard ébloui
Porté
S’envole haut
Intense aimant qui nous oriente et nous guide
un temps s’aimant qui façonne nos contacts
un temps sémant pour faire refleurir les vagues
un temps s’émancipe quand il excipe de sa qualité
une palette large qui ne nous méne pas en barge
un bleu qui vire au vert et vient taquiner/turquoiser
pas de quoi pavoiser ni toiser mais pulpeuse
l’amarre ne nous atterre pas
et l’amant de la rime
cherche dans ces ridules veinées
oh pas des veines violacées
le souci des sourcils
un front pour un affront
I feel good,
I don’t get the blues
from the sky I never loose
I enjoy the slow tides beat
that push me some heat
a strange but savourous brightness
the world isn’t a mess
definitely I feel good
with you
with you, de chacun,
c’est joli, Thierry,
ma tête se tordationne pour tenter traduire vrai,
ce qu elle fait aussi pour le français écrit, le langage parlé,
qué truc de vie que c’est de communiquer!
bel après midi de soleil, ici, il est merveilleux, généreux de lumières si jolies.
Jour de sable
vague après vague
le poids léger d’un coquillage
La fin du voyage
Déposée sur le sable
L’algue solitaire
–
Thierry : http://www.youtube.com/watch?v=u5HRzaOFhec
–
Clin d’oeil, biz et bon WE à tous.
–
–
Et puis
http://www.youtube.com/watch?v=4ZozIX6BNtc&feature=related
… … ..
–
Coeur mandarine,
se consume sous
une flamme émeraude,
Passion marine…
Intense
Intense soit le jour
Pour chacun ce samedi
Et chaque jour sa vie
Sont mes souhaits du jour
D’Aujourd’hui bel de viea
Un flash de soleil
Dur la terre et sur la mer
Le sourire aux lèvres
« Sur » la terre….
Dure la terre et vive la mer
meuble est le sable mouillé
quand à la mer bien souillée
l’intense est cité à la barre
il lui faut changer de cap
Vive l’eau bleue outremer
aux douceurs d’écume dormante.
Vive le ciel d’azur protecteur
se mirant dans les sables mouvants.
Tels Mirages de bonheur
dans l’étendue incandescante
des plages austères.
Une révérence
Vague d’applaudissement
La mer se retire
Parfois les vagues ne sont pas vagues du tout mais traitresses et tueuses
parfois l’onde n’a rien de bleu, c’est de la boue qui déferle et ne maintient rien debout.
In memoriam, un retour sur un texte écrit après le tsunami de Banda aceh, intervenu juste quelques jours avant la disparition dramatique d’un ami.
Pourquoi l’anglais est il venu en même temps que les larmes, peut être comme une arme et pour se prémunir d’autres périls tout aussi nombreux. Je retrouve dans ce texte une synthèse de plusieurs thèmes et notamment la vulnérabilité.
« Lost in translation without view at the eyeglance »
I got bad dreams night after night
I hope what I feel strange tonight
But the most amazing thing is right
Over consciousness opening the bright
Sign I wait for over the doubleside
Of the intriguing but monstruous tide
That didn’t fade away with distance
making me poor with no reluctance.
How so huge and mortal disasters
Can reveal the weakness of ants
Like we are instead of being sisters
Seing the trouble shooting with no pants.
Nature is strong enough to erase
Within just a couple of centuries
Traces of mankind on earth surface
To hide the evidence of luxuries.
Despair and disease are so visible
While bodies are thrown into a crucible.
Humanity is no longer powerfull
In is mind if no sure adapted tools
Aren’t soon developped to disminish
The effects on the shore of waves
That could lead to an instant finish
While we want forcedly lives to save.
Who can ignore the danger right now
Is like a fool playing is life randomly.
So we must band the coloured bow
To extend immunity over the shadows
To hold in our quivering hands firmly
The future we fear could succeed
not permitting to grasp any seed
of the commune intelligence
revealing the non sense
in a crash and trash
and just ash
waoooh!!!
Du rêve à la réalité, de la mémoire au vécu, l’émotion en partage, en lisant ton texte Thierry j’ai pensé à Kundera
Mauvais rêve, réalité incontournable mais filmée
je pense au livre d’ Emmanuel Carrère
oui si les mots ne peuvent pas tout traduire
et que de cette émotion ils osent nous enduire
ce n’est pas pour démons ou chimères fuir
et même jamais passer la brosse à reluire
Merci Monique, je suis honoré mais lucide
modeste et restant à ma place
mais l’émotion intense est revenue
de ces souvenirs obsédants
alors le rappel s’avérait indispensable
au dessus du gouffre il retient
et des amulettes il contient
On dit qu’elle est profonde, qu’elle est intense, la douleur quelle qu’elle soit reste une cicatrice ineffaçable, un traumatisme, y a-t-il toujours possibilité de résilience comme l’entend Boris Cyrulnik ? Une autre disposition à voir le monde, ça c’est certain.
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La puissance d’un mot
Pour « intense » dans tous les sens
Joie, beauté, offense.
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Belle était la plage
Radieuse sous le soleil
Calme en apparence
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Bonne fin de week-end à tous malgré le froid.
« Belle était LA MER »
J AIME BIEN TES MOTS, Monique,
la douleur reste uen cicatrice ineffaçable,
je ne crois pas trop à la résilience possible dans tous les cas,
ensuite….dans la douleur….Y A T IL UN APRES LA DOULEUR!?
ou juste une douleur qui devient plus gérable, qui laisse un peu de vie possible, une autre vie de toutes façons, plus n est rien n est pareil,
la douleur abîme l innocence….
« la douleur abîme l’innocence et cette part d’enfance qu’il y a en chacun de nous
Ô combien Annick !!!
OUI!
douceurs, Monique, je t’embrasse!
aux courbes de ton sein
les courbes de ma lèvre
dans le délice
des corps
C’est joli, Aspe…