68 réflexions sur « Intense »

  1. Les couleurs sont jolies, j’aime la couleur de la vie,
    et ce bleu et ce vert et ce jaune, ce bleu ciel,

    ventre de sable doux
    sous les rayons du ciel
    la mer ses ondes mouillées
    fait des guiliguilis

  2. Les bleus laissent en ciel
    une part de leurs illusions
    les cieux abaissent en bleu
    des éléments d’aspersion
    quand on demande farine
    on roule des pâtons laches
    mais rien de tout ça ne gâche
    mais quand l’océan sature
    on se dit pourvu que ça dure
    alors juste flotter comme esquif
    et attendre sagement le récif

  3. Chère Ossiane, tu nous offres là, une image aux tonalités éblouissantes , c’est un enchantement et un plaisir incroyable, nous avons tellement besoin de couleurs et de lumière en période hivernale pour mettre dans nos coeurs un peu de gaité.
    ___

    Peindre l’émotion
    Virulence des couleurs
    Nature éclatante
    ____

  4. oui, Merci, Ossiane,
    en hiver, les jours courts, plus de fatigue, des virus qui trainent,
    c’est bon de happer la couleur de serrer son moindre bonheur, plus encore!

  5. A la recherche du temps perdu

    Le temps est fugitif il court sans s’arrêter
    Depuis le temps qu’il court que fais donc la police
    Le jour la nuit toujours en quête de vérité
    Il faut pour la trouver que le temps s’accomplisse
    Il court il court il court épris de liberté
    De sa fuite éperdue les années sont complices

    Alain

  6. ce dimanche, une crique, sur la côté sauvage,
    et l’air du tant, tellement,
    la beauté de se sentir vivant, tout simplement,
    le jeune homme autiste apprécie, alors cela roule d’aises,

    c’est si bon de penser offrir du fort beau à celui qui est démuni,

    et se sroulis roulas si tendres, et le ciel bleu, et l’air si doux,
    des promeneurs, un peu de bise,
    cela défatigue tellement,
    la vie elle entre, à pleins poumons,
    des oiseaux, ils pêchent,
    je lui dis que ils cherchent de quoi manger,
    ils ne peuvent pas pointer, travailler à l’usine,
    c’est dur pour eux aussi,

    oui bien sûr que c’est dur, la vie,
    quand il faut bien se donner les moyens de *levivre, son istant,
    mais comme c’est un retour positif,
    car la vie c’est la vie, *

    et rien ne vaut la vie,

    enfin, me semble,
    je ne suis jamais allée faire un tour pour de vrai dans la mort sans retour!

    jolie journée pour chacun!

  7. Le rideau de la douche

    derrière le rideau d’eau qui chante sous la douche
    c’est une jolie femme couleur de l’arc en ciel
    un coin du rideau s’ouvre couleur des algues vertes
    le sable est une éponge que la femme dérange
    mélange de verres brisés et d’écorces d’orange
    ainsi qu’un lit froissé la plage est découverte
    derrière le rideau d’eau qui chante sous la douche
    c’est une jolie femme couleur de l’arc en ciel

    Alain

  8. Quand la nature si picturale, si vive
    Sollicite les papilles comme à la saveur d’un fruit mûr
    Quand la mer, le ciel, le sable et l’eau
    S’harmonisent et jouent ensemble la lumière
    C’est un bain de clarté et de fraîcheur
    Jouvence d’une nature qui interpelle

    Quand le soleil ardent met sa couche finale
    A ce tableau débordant d’éclat
    Quand les couleurs s’amusent sur la plage
    Aux jeux de l’eau qui danse et qui chante
    C’est toute la nature qui resplendit
    En teintes joyeuses, qui font vibrer les sens : intense

  9. La laisse de mer

    A basse mer j’ai vu dans la laisse
    Les trésors que l’océan délaisse
    Les filets pris dans le goémon
    Les bois flottés glissés de l’amont

    Les cordages bleus noués en tresse
    Les os de seiches et les flotteurs
    Et sur le sable une merveille
    Un bris de verre au poli caresse

    A su faire chavirer mon cœur
    Le doux tesson d’une bouteille
    Ou se blottissait la tendresse

    Un je t’aime jeté à la mer
    Par l’anonyme dans la foule
    Dans la détresse de la houle

  10. Bonsoir Annemarie, sur le même principe de ces quatre éléments, mais dans un autre ordre d’idée japonaise originaire de Chine :
    Les Cinq éléments sont le Bois, le Feu, la Terre, le Métal et l’Eau. Mais aucun n’est entièrement Bois, Feu, Terre, Métal et eau, car comme le Yin et le Yang, ils se définissent les uns par rapport aux autres.

  11. La mandarine

    Ma passion pour les lettres est inscrite dans mon noM
    A l’heure où je rédige je médite à celA
    N’est-il pas poétique ce nom de mandariN
    Divin comme un parfum comme l’amour profonD
    Apportant du soleil en veux tu en voilA
    Réjouissant les poètes beaucoup mieux que de l’oR
    Inspirant les écrits et quelques notes aussI
    Nouant la réflexion à l’imaginatioN
    Exprimant ce que l’homme nomme la libertE

    Alain

  12. Les chevaux de la mer

    Sur le sable orangé qui s’étend sur la plage
    comme un lé de tissu que défroissent les vagues
    la mer en s’en allant à laissé quelques flaques
    qui luisent au soleil comme du verre brisé
    des tessons de bouteilles ou des morceaux de nacre
    polis par les marées le verre devient opaque
    Sur le bord du rivage que creuse le ressac
    La crinière flottant et la bouche écumante
    une vague au galop comme un cheval se cabre

    Alain

  13. Dis-moi comment fais-tu
    Pour avoir le regard si pur
    Pour laisser entrer la lumière
    Quand tout est sombre autour
    Dans une vie faite d’horreur
    D’injustice et de noirceur ?

    Dis-moi comment fais-tu
    Pour savoir fermer les yeux
    Sur ce qui entrave la beauté
    Au point de la voir transparaître
    Au cœur d’un halo si sombre
    Etincelante et rayonnante ?

    Dis-moi comment fais-tu
    Pour trouver le courage
    De chanter et de t’émerveiller
    Quand tout est misère et pauvreté
    Dans un pays dit civilisé
    Où l’on meurt de froid et de faim ?

    Dis-moi comment fais-tu
    Pour trouver la sagesse nécessaire
    Qui tire vers le haut les plus démoralisés
    En toutes circonstances
    Pour s’en tenir à l’essentiel
    Et faire de chaque lieu un lieu de bonheur ?

    Dis-moi comment fais-tu
    Dans ce monde de contradiction
    Pour faire la part du beau, du bien
    Sans haine avec douceur et bonté
    Dis-moi que ce regard est en chacun de nous
    Qu’il puise toute sa force dans sa volonté d’être ?

    Le sage lui répondit : je garde en moi une âme d’enfant capable de s’émouvoir, de s’éblouir, de s’étonner, de s’émerveiller devant la plus petite étincelle pourvu qu’elle atteigne l’âme qui, comme un miroir réfléchira la lumière.

  14. Dans le roulis des éboulis
    la complainte de la médiocrité
    le cerveau est un coulis
    dans l’ombre de son altérité

    Vague
    Âme
    Force de l’esprit solitaire

    Etrange étrangeté
    d’un soi rêvé
    au corps malaxé
    dans l’excès.

  15. Posés là
    Une vague avance
    Délicate
    Son regard intense
    Les sens frissonnent
    C’est éprouvant
    De tellement
    De se sentir vivants
    Découvertes renouvelés
    C’est bon la beauté d’être

    En vie

  16. MERCI POUR VOS JOLIS ECRITS!

    elle est belle cette page, hein?!

    cet après midi, posés devant la mer de St Nazaire,
    je me souriais,
    dedans le vrai devant la mer son odeur ses bruits
    dedans le vrai devant cette image sa vie cet élan l’envie son bleu

    c’est formidable, une image, une photo,
    c’est incroyable cette possibilité de laisser voir, de voir, de percevoir, de s’émouvoir,

    quelles vies dans le langage des images!

    J AIME!

  17. Ta plume trempée
    Dans l’encre bleu outremer
    Un mot sur le sable

    Intense, ce mot est le tien
    Algue discrète en paraphe

  18. Les trompettes marines

    S’élevant vers les cieux sur son char rutilant
    Le bel astre du jour mène ses chevaux blancs
    Les étoiles ses sœurs s’effacent devant lui
    Aussi la douce lune dont la clarté pâlit
    L’océan ce vieillard à la barbe bouclée
    Armé de son trident ordonne un défilé
    Et comme un beau fruit rond que l’on porte à sa bouche
    Retentit la voix d’or des trompettes marines

    Alain

  19. Ma OOOOooossY

    non Lilly n’oublie pas sa OOooossY
    t’envoie un petit mot via Primevères IntenseS
    Onze vagues
    OnZe grains de sables
    OnZYYy tendresses

  20. La mer
    Je t’aime
    Tu es toi
    Je suis moi
    Et dans tes bras
    Je me respire d’aises
    Liberté belle douce
    Ondes tendres leur zen

    Bouge pas
    Reste telle
    Ondule toi tes ondes
    Laisse l’Homme vivant
    Tes beautés du rivage
    Sont jolies et si belles
    Ton immensité grande
    De bontés partagées

  21. Témoignages

    des plumes d’oiseaux blancs virgules sur la plage
    rappellent aux plaisanciers qui foulent le rivage
    Que la blonde Vénus est venue de la mer
    dans une conque tirée par de blanches colombes

    Alain

  22. Doucement tu te retireras
    Laissant derrière toi
    Quelques souvenirs

    Inexorablement tu reviendras
    Pour notre plaisir

    Maurice

  23. La mer est belle à regarder
    Du bleu de l’horizon
    A la blanche écume des vagues
    Elle vient jouer avec le sable
    Mais au jeu des couleurs elle a gagné
    La mer quand elle est calme
    Cherche le bleu outremer
    Vole au ciel sa beauté
    Et les flaques sur la plage
    Se contentent des reflets
    D’un ciel au bleu dérobé.
    Que viennent les nuages
    Et tous les jeux sont à refaire
    L’intensité des couleurs
    Pourrait alors faire du sable
    Le gagnant des jeux de l’océan.
    Que vienne la nuit
    Et tous les jeux cesseront
    La mer et la terre s’endormiront
    Sous l’épaisse couette noire du ciel

  24. C’est incroyable
    La mer
    C’est là
    Posée devant les yeux
    C’est beau la vie
    Quand elle se donne belle
    Et quand on sait qu’elle est poubelle
    On a fort mal
    Pour le monde qui se perd
    Pourtant la vie pense donner
    Bien avant de reprendre
    Et l’Homme qu’en a t il fait
    De ses beautés
    Ô monde

  25. L’enfant s’avance
    Son innocence
    Il ouvre son petit flacon
    Cueille de la mer
    Met son bouchon
    Et il sourit
    Sa mer à lui
    Dedans sa poche
    C’est son trésor
    Une grand richesse
    Il a compris
    Sans le savoir
    Que la Nature un minerais
    Fort haut classé
    A le serrer
    Le garder précieux
    Boîte à trésors

  26. On est là
    Posés Là
    Juste Là
    On ne manque de rien
    Ton regard me boit
    On goûte la mer
    Ensemble
    Comme c’est bon
    Rassasiés ivres
    De ses beautés
    A la mer bleue
    Immensité
    Rêve profond
    Réalité

  27. Je sais il s’applique aux couleurs
    Aux bruits, à la lumière,
    Il est synonyme d’importance
    Couleurs extraordinaires
    Luminosité intense
    L’œil s’en émerveille
    Et pourtant…
    Ce petit mot trouve en moi
    Toute sa résonnance
    Lorsqu’il il parle du cœur
    Avec une profondeur incommensurable
    D’une émotion sans comparaison
    D’un désir, d’un excès peut-être
    Si beau, si fort, si puissant
    Qu’il ressemble à la douleur
    Comme il en va de l’amour
    De tout sentiment
    Qui trouve ses racines
    Au plus profond de soi
    Si INTENSE qu’il semble
    Que peu de choses à côté
    N’ai de place
    Il est l’espace à lui tout seul
    S’il ne se rattache aux sentiments
    Qui viennent du cœur
    S’il est considération sans mesure
    D’admiration, d’émerveillement
    D’éblouissement total
    C’est alors que la beauté sans doute
    S’apparente à l’amour

  28. « Tout le monde n’est pas artiste, mais chacun peut avoir son propre être transformé, transfiguré par la rencontre avec la beauté, tant il est vrai que la beauté suscite la beauté, augmente la beauté, élève la beauté » F.CHENG (cinq méditations sur la beauté)

  29. Pour un bleu et sans ciel et un verre mandarine…je broderais sur les vagues des ourlets de coton..et le sable étendu je donnerais au soleil…des perles de couleur et des rives incertaines..Dans la mer et le vent..les murmures d’un soir..je glisserai sans mot dire..une lettre de nacre..des baisers emmêlés..et le temps d’un espoir..

  30. Intense

    il a un goût intense de miel et de citron
    le tout premier baiser sur vos lèvres assoiffées
    La pointe d’amertume qu’apporte le café
    Il donne une chaleur qui monte jusqu’au front

    c’est la vague géante qui vous fait perdre pied
    qui vous roule sur le sable et vous laisse estropié
    c’est la langue de feu qui jusqu’au cœur pénètre
    le feu d’une allumette qui fait fondre tout l’être

    il a la couleur verte qui donne la vigueur
    Celle de l’océan qui donne mal au cœur
    qui vous tourne la tête comme un verre de liqueur
    et celle du laurier qui couronne le vainqueur

    Alain
    http://www.mespoemes.net/recreation

  31. Mon regard
    Intense
    Tu m’en a fais voir
    De toutes les couleurs
    Des fils de vie
    Et je me souris
    Aujourd’hui
    Car tu m’as fait entendre
    Que rien ne remplace
    Le doux coulis
    De ton intense
    Ma vie

  32. Un temps cité, un temps freiné
    j’ai retrouvé le temps d’aimer
    et sur cette grève pas huppée
    dans ce bel assortiment de couleur
    j’ai mis un peu de piment sur ma douleur
    dans ce qui est une marée sans cage
    où survivent certains au naufrage
    j’ai sauté d’une flaque à l’autre
    j’ai admiré les bleus en dégradés
    et la mosaïque miroitante

  33. Délicieux laissés ciels
    Sur le sable son rose
    Devant la mer son vert
    Son bleu de son intense

    Ce petit monde se luit

    Intense de sa vue
    Le regard ébloui

    Porté

    S’envole haut

  34. Intense aimant qui nous oriente et nous guide
    un temps s’aimant qui façonne nos contacts
    un temps sémant pour faire refleurir les vagues
    un temps s’émancipe quand il excipe de sa qualité
    une palette large qui ne nous méne pas en barge
    un bleu qui vire au vert et vient taquiner/turquoiser
    pas de quoi pavoiser ni toiser mais pulpeuse
    l’amarre ne nous atterre pas
    et l’amant de la rime
    cherche dans ces ridules veinées
    oh pas des veines violacées
    le souci des sourcils
    un front pour un affront

  35. I feel good,
    I don’t get the blues
    from the sky I never loose
    I enjoy the slow tides beat
    that push me some heat
    a strange but savourous brightness
    the world isn’t a mess
    definitely I feel good

    with you

  36. with you, de chacun,

    c’est joli, Thierry,
    ma tête se tordationne pour tenter traduire vrai,
    ce qu elle fait aussi pour le français écrit, le langage parlé,
    qué truc de vie que c’est de communiquer!

    bel après midi de soleil, ici, il est merveilleux, généreux de lumières si jolies.

  37. Dure la terre et vive la mer
    meuble est le sable mouillé
    quand à la mer bien souillée
    l’intense est cité à la barre
    il lui faut changer de cap

  38. Vive l’eau bleue outremer
    aux douceurs d’écume dormante.
    Vive le ciel d’azur protecteur
    se mirant dans les sables mouvants.

    Tels Mirages de bonheur
    dans l’étendue incandescante
    des plages austères.

  39. Parfois les vagues ne sont pas vagues du tout mais traitresses et tueuses
    parfois l’onde n’a rien de bleu, c’est de la boue qui déferle et ne maintient rien debout.

    In memoriam, un retour sur un texte écrit après le tsunami de Banda aceh, intervenu juste quelques jours avant la disparition dramatique d’un ami.
    Pourquoi l’anglais est il venu en même temps que les larmes, peut être comme une arme et pour se prémunir d’autres périls tout aussi nombreux. Je retrouve dans ce texte une synthèse de plusieurs thèmes et notamment la vulnérabilité.

    « Lost in translation without view at the eyeglance »

    I got bad dreams night after night

    I hope what I feel strange tonight

    But the most amazing thing is right

    Over consciousness opening the bright

    Sign I wait for over the doubleside

    Of the intriguing but monstruous tide

    That didn’t fade away with distance

    making me poor with no reluctance.

    How so huge and mortal disasters

    Can reveal the weakness of ants

    Like we are instead of being sisters

    Seing the trouble shooting with no pants.

    Nature is strong enough to erase

    Within just a couple of centuries

    Traces of mankind on earth surface

    To hide the evidence of luxuries.

    Despair and disease are so visible

    While bodies are thrown into a crucible.

    Humanity is no longer powerfull

    In is mind if no sure adapted tools

    Aren’t soon developped to disminish

    The effects on the shore of waves

    That could lead to an instant finish

    While we want forcedly lives to save.

    Who can ignore the danger right now

    Is like a fool playing is life randomly.

    So we must band the coloured bow

    To extend immunity over the shadows

    To hold in our quivering hands firmly

    The future we fear could succeed

    not permitting to grasp any seed

    of the commune intelligence

    revealing the non sense

    in a crash and trash

    and just ash

    waoooh!!!

  40. Du rêve à la réalité, de la mémoire au vécu, l’émotion en partage, en lisant ton texte Thierry j’ai pensé à Kundera

  41. Mauvais rêve, réalité incontournable mais filmée
    je pense au livre d’ Emmanuel Carrère
    oui si les mots ne peuvent pas tout traduire
    et que de cette émotion ils osent nous enduire
    ce n’est pas pour démons ou chimères fuir
    et même jamais passer la brosse à reluire

    Merci Monique, je suis honoré mais lucide
    modeste et restant à ma place
    mais l’émotion intense est revenue
    de ces souvenirs obsédants
    alors le rappel s’avérait indispensable
    au dessus du gouffre il retient
    et des amulettes il contient

  42. On dit qu’elle est profonde, qu’elle est intense, la douleur quelle qu’elle soit reste une cicatrice ineffaçable, un traumatisme, y a-t-il toujours possibilité de résilience comme l’entend Boris Cyrulnik ? Une autre disposition à voir le monde, ça c’est certain.
    _____

    La puissance d’un mot
    Pour « intense » dans tous les sens
    Joie, beauté, offense.
    _____

    Belle était la plage
    Radieuse sous le soleil
    Calme en apparence
    ___

    Bonne fin de week-end à tous malgré le froid.

  43. J AIME BIEN TES MOTS, Monique,
    la douleur reste uen cicatrice ineffaçable,
    je ne crois pas trop à la résilience possible dans tous les cas,
    ensuite….dans la douleur….Y A T IL UN APRES LA DOULEUR!?
    ou juste une douleur qui devient plus gérable, qui laisse un peu de vie possible, une autre vie de toutes façons, plus n est rien n est pareil,
    la douleur abîme l innocence….

  44. « la douleur abîme l’innocence et cette part d’enfance qu’il y a en chacun de nous

    Ô combien Annick !!!

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *