Azur

Azur

entre ciel et mer
le rivage de corail
les idées vagues

« Il Erre », un poème écrit et lu par Nath. Merci à elle!

34 réflexions sur « Azur »

  1. .
    Bonsoir à tous!

    Il faut beaucoup de ténacité pour parvenir à publier sur le blog. Toujours de grosses lenteurs d’accès qui font perdre du temps et de l’énergie. J’attends avec impatience des améliorations techniques mais viendront-elles un jour…

    N’interprétez pas forcément mes mots et le choix de mes photos comme le reflet de mes états d’âme du moment;-) Je suis en pleine réflexion et recherche quant à mes images d’ou cette progression parfois chaotique. Merci de votre indulgence.

    Je vous adresse mes meilleures pensées et mes remerciements pour votre présence toujours bien active et créatrice! Bonne soirée!

    Ossiane

    PS: bienvenue aux petits nouveaux, aux passants d’un jour ou aux revenants 😉
    .

  2. bonsoir Ossiane,
    merci pour tes mots,
    c’est si vrai que souvent quand j ouvre une page,
    et je peuxme dire parfois,
    *comment que va Ossiane,
    je clique Azur, alors cela va,
    pourtant une artiste c’est parfois tant le reflet de soi
    sans rien montrer ou son si peu
    dans des nuances des milliards d’ondes

    Elle est jolie cette crique!

    On y accoste
    Le bel bateau
    Et vlan son ancre
    Qu’il se repose
    Paix à son âme
    Si grand voyage
    D’amour tellement
    Ses filets pleins
    Je t’aime tu sais
    Tu le sais bien

  3. Miroirs et reflets
    Où se mirent les rochers
    La côte d’azur

    De mêmes images
    De calanques et de criques
    La Côte d’Azur

    Juste à vol d’oiseau
    Quand les distances s’effacent
    Dans le ciel d’azur
    …..

    Si près….si loin….

  4. Une petite musique de nuit

    La rumeur des flots couraient sur les galets
    Des frissons de chansons dans ses doigts circulaient
    Les mots comme les sons entre les doigts s’accordent
    Les doigts traduisent en vers des jours le défilé
    Les cordes traduisent en notes les maux des exilés
    Sitôt qu’avec ses doigts il tirait sur les cordes
    Des notes de la guitare dans l’air déambulaient
    La musique est une palme que la brise caresse
    Elle vît au bord des plages au rythme des marées
    A chaque remontée des notes vagabondes
    Des vagues de plaisir se lèvent et vous inondent
    On entend mieux les sons sous le ciel étoilé

    Alain

  5. Si je comprends bien, ça ne s’améliore pas sur le Monde, côté blog et peut-être aussi ailleurs. ceci cexpliquant cela…

    Nous retrouvons de la couleur
    l’approche du printemps.

    Entre ciel et mer
    sur le sable nu
    courant les pieds dans l’eau
    les idées vaguent en folie

  6. promenade dans les pas de Jeandler

    Voguent vague à l’âme
    Les pensées au bord de l’eau
    Les rêves enchanteurs

  7. La vague a déchiré
    Un voile du ciel
    Pour en draper la plage
    Avant de se retirer
    Doucement
    Sans la réveiller…

  8. Il n’y a pas de rochers au bord du fleuve
    Mais mon ciel est d’azur et se mire dans l’eau
    A chaque bateau qui passe
    L’eau tremble et fait des vagues

    Pas de plage, juste un petit port
    Qui retient quelques embarcations
    Dont les coques se balancent
    Et se reflètent dans l’eau au soleil de midi

    De l’autre côté du fleuve
    Saint Roman se dessine sur l’eau
    Le dessin de trois collines
    Qui le soir engloutissent le soleil

    Mon havre de paix, ma voie d’évasion
    Mon embarcation, mon horizon
    Sur la digue protectrice qui guide mes pas
    Vers cette mer au loin où le fleuve nous conduit.

  9. « Progression parfois cahotique »…entre les idées vagues…et les idéaux..dans une nuit de janvier qui s’étire en silence..juste les bourdonnements d’une ruche improbable et le glissement d’une voiture de passage..C’est un bal ou les ombres s’invitent..ou les rêves se lèvent en titubant..incapables de vous raconter jusqu’au bout la pièce que vous venez de traverser..à vos actes manqués ou tout juste esquissés..Progression parfois poétique ..portées par les vagues de la nuit qui se retirent…laissant sur la plage blanche..quelques rêves froissés..une plume…et des mots a demi effacés… »Ce n’est pas le reflet de mes états d’âme.. »..juste un miroir posé..sur le sable..entre ciel et mer..une nuit de janvier..

  10. Quand s’effacent les traces du temps
    Comme s’efface ton nom sur la plage.
    Quand s’éloigne la tristesse
    Comme s’éloigne la crête des vagues .

    Quand reviennent les mots
    Comme reviennent les voiles d’écume.

  11. A la lecture de ces reflets
    Que la nature est belle

    Le plaisir est grand
    D’en faire une aquarelle

    Maurice

  12. Azuréen mais pas cyclopéen
    tout ce qui nous domine et nous mine
    nous dépasse et trépasse
    grande lessive céleste
    qui assortit à un zeste de purpurine
    des senteurs marines
    montre combien altérables
    sont les couleurs
    azul héros sont les flots
    qui nous tourneboulent
    sans nous couler
    à l’écoule à l’écoute
    le murmure de la mer
    la mermaid qui se mure
    et l’écho qui raille
    sans la quille
    une physionomie
    pas une anomie

  13. là existe un havre de paix
    chantent les douces vaguelettes
    pur jus en courant d’air

    une fiole ouverte
    le cœur d’une mer
    le chant de la terre

    le son du silence
    se love dans la pierre
    et sculpte le vivant

    une onde de forme
    une vague impression
    de vastitude
    à ciel ouvert

  14. Bonjour Ossiane et l’équipage…

    Lenteur des connections…
    Voilà de quoi en énerver plus d’un(e) !

    Le ciel et la mer
    Se font bons compères
    Pour accrocher le regard
    Sur le bord de la plage

    Sable ocre sur fond de bleu
    Entre ciel et eaux
    Au diable les idées vagues
    Allons courir jusqu’aux vagues

    Biseeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeeee

  15. Un bord de crique
    Cette mer d’huile
    Ta mien la mienne
    Nos doux regards
    Vers le tout Là
    En tout de Là
    Belles amours
    Désirs leurs purs
    Immensité
    Un bien bel jour

    tendre dimanche pour chacun!
    bonjour OSSIANE!

  16. Sur les mots d’Annick dans son bord de crique
    ____

    En couleur de brique
    L’eau se prélasse dans la crique
    Et nos mots s’imbriquent
    ____

    monique

    Les mots et les vagues
    Se répandent sur la plage
    La couleur du sable

    Chaud sous les eaux transparentes
    Dans le silence de l’hiver

  17. Des tons que Vermeer aurait beaucoup aimés
    La mer serait une femme en robe de dentelles
    Le ciel, une fenêtre grande ouverte sur l’azur
    Les rochers, les murs sombres d’une demeure
    L’eau et le sable la couleur chaude de l’intime
    Aux reflets délicatement centrés sur la toile
    En un tableau il eut consacré la mer, le ciel
    En une scène vivante et merveilleuse
    D’une belle demoiselle dans une beauté lumineuse
    Donnant au bleu au gris au blanc au noir au rose
    Une palette harmonieuse pour concrétiser son œuvre

  18. Langue qui s’enfonce dans la mer
    et gangue impromptue de pierre
    ce rouge brique qui s’étale en miroir
    pas du temps un simple dévidoir
    un blanc mousseux
    qui secoue les certitudes
    havre de paix pour solitude
    encore que le corps aille
    à moins que soudain il défaille

  19. Du haut
    Tout en haut du rocher
    A deux
    Ensemble
    Ils contemplent l’écrin de leur amour
    Crique sa belle
    Le ciel son bleu
    Emus ils s’aiment
    Tout simplement leur temps
    Et tant pis les épreuves
    Leur amour est si fort
    Qu’il traverse les ans

  20. ….et oui tu as raison Annick l’amour est plus fort que tout…..

    Ils étaient pourtant bien discrets, nos amoureux sur la falaise à contempler la mer, à vouloir toucher le ciel, main dans la main en scrutant l’horizon dans un paysage rien que pour eux et fait pour eux, respirant à plein poumon ce bonheur qui leur est offert et que rien, pas même un oiseau ne saurait troubler dans ces moments de plénitude intense enviable !

  21. Et oui de oui, je le pense si fort de fort,

    *l’amour est plus fort que tout,
    Monique,

    et oui de oui, je le souhaite à chacun, ce délicieux de vie, si fort, Là, en tout Là, qui assomme, qui élève, qui étonne, qui bouscule, qui s’appelle *l’amour…

  22. Sur la falaise
    ce n’était pas une histoire
    de fadaises
    ils avaient su monter et montrer
    combien leur lien les portait haut

    ça me rappelle cette rengaine de chanson
    « c’est l’amour »
    cette transe intense
    qui vous transcende
    trans ande aussi
    nous rend tout plus facile
    en apparence seulement
    les obstacles tombent
    les difficultés s’amenuisent
    le plaisir se maximise
    le dépassement
    vaut le déplacement
    on déjauge
    mais on ne se déjuge pas
    sous l’emprise
    on est branché sur un fort voltage
    on est otage sans le savoir
    on goûte chaque moment
    on se sent si léger
    plus rien n’est pesant
    ça vaut bien un besant d’or
    on baise les lèvres chéries
    le plus difficile est de ne pas choir
    si haut perché
    il y a des bad trip
    et des descentes sévères

  23. Merci à tous pour vos beaux écrits sur le sable et de votre patience!
    Bienvenue aux tout derniers venus!
    Je ne sais trop quoi te répondre Pierre quant au devenir du blog; je ne vois pas d’améliorations notables pour l »instant… je croise les doigts pour qu’enfin ça se réveille! On a l’impresson que tout fout le camp de partout en ce moment;-) J’espère que tu es content de ton nouveau port d’attache…
    Bonne soirée à tous!

  24. Je remets le texte lu à voix haute.
    La musique est de zero-project, que vous pouvez entendre au lien http://www.jamendo.com/fr/track/675931

    Il erre et part ou l’escale lier

    Il PART, PRET à conquérir l’ESPACE, prêt à détourner le TEMPS.
    Il PART sur les TRACES de son PERE, de sa MERE, en quête de son IDENTITE.
    Il PART et ESPERE PENSER ses mystères.

    PAS à pas, il se SEPARE de ses plus tristes souvenirs, PRET à monter l’APRE ESCALIER du SECRET de sa vie, et mieux PENSER le PRESENT.

    PAS à pas, il ECARTE les ronces ACERES de ses pas désordonnés.

    PAS à pas, il écoute les vagues de la MER s’abandonner sur la PENTE AMERE de ses songes, résonnant sur ses TEMPES.

    Où MENE t’il l’escalier SACRE des souvenirs ?
    A la PERTE de soi ?
    A une VERITE plus profonde, permettant d’acquérir plus de LIBERTE ?
    EST-CE l’ENTREE qui lui PERMET l’ELEVATION, la rencontre de l’AUTRE au plus prêt de soi-même, la porte de l’ORIENT ?

    Il PART.
    Il SENT l’ESCALADE difficile, car trop de marches à gravir,
    et des ARMES à jeter, son AME à exposer.

    Et si parfois l’impatience le MENE,
    si l’IMPATIENCE le MINE, parfois le désespère; il sait.

    Il sait les CRETES ESCARPEES, sa SANTE s’épuiser.
    Mais, plutôt que l’escale-à-tort, il préfère une escale PRES de la RAMPE .
    Et après une pause, il sait reprendre de l’ALTITUDE.

    2007

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