entre ciel et mer
le rivage de corail
les idées vagues
◊ « Il Erre », un poème écrit et lu par Nath. Merci à elle!
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
entre ciel et mer
le rivage de corail
les idées vagues
◊ « Il Erre », un poème écrit et lu par Nath. Merci à elle!
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Bonsoir à tous!
Il faut beaucoup de ténacité pour parvenir à publier sur le blog. Toujours de grosses lenteurs d’accès qui font perdre du temps et de l’énergie. J’attends avec impatience des améliorations techniques mais viendront-elles un jour…
N’interprétez pas forcément mes mots et le choix de mes photos comme le reflet de mes états d’âme du moment;-) Je suis en pleine réflexion et recherche quant à mes images d’ou cette progression parfois chaotique. Merci de votre indulgence.
Je vous adresse mes meilleures pensées et mes remerciements pour votre présence toujours bien active et créatrice! Bonne soirée!
Ossiane
PS: bienvenue aux petits nouveaux, aux passants d’un jour ou aux revenants 😉
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bonsoir Ossiane,
merci pour tes mots,
c’est si vrai que souvent quand j ouvre une page,
et je peuxme dire parfois,
*comment que va Ossiane,
je clique Azur, alors cela va,
pourtant une artiste c’est parfois tant le reflet de soi
sans rien montrer ou son si peu
dans des nuances des milliards d’ondes
Elle est jolie cette crique!
On y accoste
Le bel bateau
Et vlan son ancre
Qu’il se repose
Paix à son âme
Si grand voyage
D’amour tellement
Ses filets pleins
Je t’aime tu sais
Tu le sais bien
miroir de l’âme réfléchi
les pensées divaguent s’effritent
falaise de sable fantaisiste
Miroirs et reflets
Où se mirent les rochers
La côte d’azur
De mêmes images
De calanques et de criques
La Côte d’Azur
Juste à vol d’oiseau
Quand les distances s’effacent
Dans le ciel d’azur
…..
Si près….si loin….
recommencer sans cesse à polir son être
Une petite musique de nuit
La rumeur des flots couraient sur les galets
Des frissons de chansons dans ses doigts circulaient
Les mots comme les sons entre les doigts s’accordent
Les doigts traduisent en vers des jours le défilé
Les cordes traduisent en notes les maux des exilés
Sitôt qu’avec ses doigts il tirait sur les cordes
Des notes de la guitare dans l’air déambulaient
La musique est une palme que la brise caresse
Elle vît au bord des plages au rythme des marées
A chaque remontée des notes vagabondes
Des vagues de plaisir se lèvent et vous inondent
On entend mieux les sons sous le ciel étoilé
Alain
Tu es jolie
La crique
De m’offrir
Ton trésor
Ô merveille
L’amour
Qui roucoule
Ses actes
Si je comprends bien, ça ne s’améliore pas sur le Monde, côté blog et peut-être aussi ailleurs. ceci cexpliquant cela…
Nous retrouvons de la couleur
l’approche du printemps.
Entre ciel et mer
sur le sable nu
courant les pieds dans l’eau
les idées vaguent en folie
promenade dans les pas de Jeandler
Voguent vague à l’âme
Les pensées au bord de l’eau
Les rêves enchanteurs
La vague a déchiré
Un voile du ciel
Pour en draper la plage
Avant de se retirer
Doucement
Sans la réveiller…
Il n’y a pas de rochers au bord du fleuve
Mais mon ciel est d’azur et se mire dans l’eau
A chaque bateau qui passe
L’eau tremble et fait des vagues
Pas de plage, juste un petit port
Qui retient quelques embarcations
Dont les coques se balancent
Et se reflètent dans l’eau au soleil de midi
De l’autre côté du fleuve
Saint Roman se dessine sur l’eau
Le dessin de trois collines
Qui le soir engloutissent le soleil
Mon havre de paix, ma voie d’évasion
Mon embarcation, mon horizon
Sur la digue protectrice qui guide mes pas
Vers cette mer au loin où le fleuve nous conduit.
Oh que c’est joli et tendre et poétique Annemarie
« Progression parfois cahotique »…entre les idées vagues…et les idéaux..dans une nuit de janvier qui s’étire en silence..juste les bourdonnements d’une ruche improbable et le glissement d’une voiture de passage..C’est un bal ou les ombres s’invitent..ou les rêves se lèvent en titubant..incapables de vous raconter jusqu’au bout la pièce que vous venez de traverser..à vos actes manqués ou tout juste esquissés..Progression parfois poétique ..portées par les vagues de la nuit qui se retirent…laissant sur la plage blanche..quelques rêves froissés..une plume…et des mots a demi effacés… »Ce n’est pas le reflet de mes états d’âme.. »..juste un miroir posé..sur le sable..entre ciel et mer..une nuit de janvier..
Quand s’effacent les traces du temps
Comme s’efface ton nom sur la plage.
Quand s’éloigne la tristesse
Comme s’éloigne la crête des vagues .
Quand reviennent les mots
Comme reviennent les voiles d’écume.
c’est très joli, AnneMarie.
DOUX JOUR pour chacun!
A la lecture de ces reflets
Que la nature est belle
Le plaisir est grand
D’en faire une aquarelle
Maurice
Azuréen mais pas cyclopéen
tout ce qui nous domine et nous mine
nous dépasse et trépasse
grande lessive céleste
qui assortit à un zeste de purpurine
des senteurs marines
montre combien altérables
sont les couleurs
azul héros sont les flots
qui nous tourneboulent
sans nous couler
à l’écoule à l’écoute
le murmure de la mer
la mermaid qui se mure
et l’écho qui raille
sans la quille
une physionomie
pas une anomie
superbes couleurs et lumières !
tu as quel type d’appareil ?
bravo pour les « idées vagues »
là existe un havre de paix
chantent les douces vaguelettes
pur jus en courant d’air
une fiole ouverte
le cœur d’une mer
le chant de la terre
le son du silence
se love dans la pierre
et sculpte le vivant
une onde de forme
une vague impression
de vastitude
à ciel ouvert
Bleu
La mer
la feuille qui siffle
à l’horizon
Alain
Les tonalités
D’un paysage hors saison
L’encre de la mer
Bonjour Ossiane et l’équipage…
Lenteur des connections…
Voilà de quoi en énerver plus d’un(e) !
Le ciel et la mer
Se font bons compères
Pour accrocher le regard
Sur le bord de la plage
Sable ocre sur fond de bleu
Entre ciel et eaux
Au diable les idées vagues
Allons courir jusqu’aux vagues
Biseeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeeee
Un bord de crique
Cette mer d’huile
Ta mien la mienne
Nos doux regards
Vers le tout Là
En tout de Là
Belles amours
Désirs leurs purs
Immensité
Un bien bel jour
tendre dimanche pour chacun!
bonjour OSSIANE!
Sur les mots d’Annick dans son bord de crique
____
En couleur de brique
L’eau se prélasse dans la crique
Et nos mots s’imbriquent
____
monique
Les mots et les vagues
Se répandent sur la plage
La couleur du sable
Chaud sous les eaux transparentes
Dans le silence de l’hiver
Le ciel s’y perd.
Des tons que Vermeer aurait beaucoup aimés
La mer serait une femme en robe de dentelles
Le ciel, une fenêtre grande ouverte sur l’azur
Les rochers, les murs sombres d’une demeure
L’eau et le sable la couleur chaude de l’intime
Aux reflets délicatement centrés sur la toile
En un tableau il eut consacré la mer, le ciel
En une scène vivante et merveilleuse
D’une belle demoiselle dans une beauté lumineuse
Donnant au bleu au gris au blanc au noir au rose
Une palette harmonieuse pour concrétiser son œuvre
Langue qui s’enfonce dans la mer
et gangue impromptue de pierre
ce rouge brique qui s’étale en miroir
pas du temps un simple dévidoir
un blanc mousseux
qui secoue les certitudes
havre de paix pour solitude
encore que le corps aille
à moins que soudain il défaille
Du haut
Tout en haut du rocher
A deux
Ensemble
Ils contemplent l’écrin de leur amour
Crique sa belle
Le ciel son bleu
Emus ils s’aiment
Tout simplement leur temps
Et tant pis les épreuves
Leur amour est si fort
Qu’il traverse les ans
Mer Rouge Sang
Sable Bleu du firmament
Je me mire, tu te marres
….et oui tu as raison Annick l’amour est plus fort que tout…..
Ils étaient pourtant bien discrets, nos amoureux sur la falaise à contempler la mer, à vouloir toucher le ciel, main dans la main en scrutant l’horizon dans un paysage rien que pour eux et fait pour eux, respirant à plein poumon ce bonheur qui leur est offert et que rien, pas même un oiseau ne saurait troubler dans ces moments de plénitude intense enviable !
Et oui de oui, je le pense si fort de fort,
*l’amour est plus fort que tout,
Monique,
et oui de oui, je le souhaite à chacun, ce délicieux de vie, si fort, Là, en tout Là, qui assomme, qui élève, qui étonne, qui bouscule, qui s’appelle *l’amour…
Sur la falaise
ce n’était pas une histoire
de fadaises
ils avaient su monter et montrer
combien leur lien les portait haut
ça me rappelle cette rengaine de chanson
« c’est l’amour »
cette transe intense
qui vous transcende
trans ande aussi
nous rend tout plus facile
en apparence seulement
les obstacles tombent
les difficultés s’amenuisent
le plaisir se maximise
le dépassement
vaut le déplacement
on déjauge
mais on ne se déjuge pas
sous l’emprise
on est branché sur un fort voltage
on est otage sans le savoir
on goûte chaque moment
on se sent si léger
plus rien n’est pesant
ça vaut bien un besant d’or
on baise les lèvres chéries
le plus difficile est de ne pas choir
si haut perché
il y a des bad trip
et des descentes sévères
Merci à tous pour vos beaux écrits sur le sable et de votre patience!
Bienvenue aux tout derniers venus!
Je ne sais trop quoi te répondre Pierre quant au devenir du blog; je ne vois pas d’améliorations notables pour l »instant… je croise les doigts pour qu’enfin ça se réveille! On a l’impresson que tout fout le camp de partout en ce moment;-) J’espère que tu es content de ton nouveau port d’attache…
Bonne soirée à tous!
Je remets le texte lu à voix haute.
La musique est de zero-project, que vous pouvez entendre au lien http://www.jamendo.com/fr/track/675931
Il erre et part ou l’escale lier
Il PART, PRET à conquérir l’ESPACE, prêt à détourner le TEMPS.
Il PART sur les TRACES de son PERE, de sa MERE, en quête de son IDENTITE.
Il PART et ESPERE PENSER ses mystères.
PAS à pas, il se SEPARE de ses plus tristes souvenirs, PRET à monter l’APRE ESCALIER du SECRET de sa vie, et mieux PENSER le PRESENT.
PAS à pas, il ECARTE les ronces ACERES de ses pas désordonnés.
PAS à pas, il écoute les vagues de la MER s’abandonner sur la PENTE AMERE de ses songes, résonnant sur ses TEMPES.
Où MENE t’il l’escalier SACRE des souvenirs ?
A la PERTE de soi ?
A une VERITE plus profonde, permettant d’acquérir plus de LIBERTE ?
EST-CE l’ENTREE qui lui PERMET l’ELEVATION, la rencontre de l’AUTRE au plus prêt de soi-même, la porte de l’ORIENT ?
Il PART.
Il SENT l’ESCALADE difficile, car trop de marches à gravir,
et des ARMES à jeter, son AME à exposer.
Et si parfois l’impatience le MENE,
si l’IMPATIENCE le MINE, parfois le désespère; il sait.
Il sait les CRETES ESCARPEES, sa SANTE s’épuiser.
Mais, plutôt que l’escale-à-tort, il préfère une escale PRES de la RAMPE .
Et après une pause, il sait reprendre de l’ALTITUDE.
2007