le polygone noir
la grand-voile descendue
le temps arrêté
◊ … Joyeuses fêtes et Bon Noël à tous … merci de votre fidélité et amitié au cours de cette année un peu chaotique … mes meilleures pensées à ceux qui sont dans la peine et sans logis par cette rigueur hivernale …
au creux du silence
dans ma mémoire
surgit vent et marée
—-
bonne fêtes de fin d’années à toi Ossiane et tous ceux de ce blog
clin d’oeil aux fidèles
que cette fin d’année soit douce et prometteuse…
Drapeau blanc,
C’était une halte,
Toutes voiles repliées,
Paix intérieure.
Bonnes fêtes de Noël à toi Ossiane et aux visiteurs du blog!
ils se sont arrêtés
pour un instant
il se sont arrêtés
pour maitriser le temps
La paix mon doux amour
Nichée tendre son écrin
Au plus près de la vie
Son souffle d’être son bon
De belle liberté
douces et tendres jours à s’avancer ensemble sur le pont du bateau
de chère notre Ossiane,
le port doux abrité remue ses bels hamacs de gâteries sucrées au miel tout doré!
Il y a des blancs qui génent
des silences, un instant
le sourire de l’enfant
il y a de drôles de scènes
la crique de l’île au trésor
il y a des creux où l’on fait relâche
il y a ceux à qui l’on pense
il y a des blancs sans tic tac
des écrans noirs sans histoire
des pensées très amicales pour toi Ossiane
De ce qui t’appartient
je ne l’effleure pas. Rien n’est plus illusion.
« Je vous aime »
est surface des mots
à l’abri des mers fortes et des pensées aux morts.
Austère
comme la roche est nue
tu connais l’être vide
le coeur vrai grand ouvert
le ventre déchiré
Tout est flèche
avancée de la terre
ria sombre du temps
à l’étrave tranchante
frêle épar et gréements
Mais au creux du vallon
de la lande séchée
vient l’âme solitaire
femme veuve
épouse des marins
Elle contemple sa vie
l’âpre désert immense
le ciel à l’infini
Il y a les odeurs des pierres calcinées
des embruns
d’herbes folles
fanées
de bruyères subtiles
Des craquements légers
Des piqures au corps
aux mains humbles prières
Et le regard souvent
fugitive émotion
reflet
imaginaire
le voyage intérieur
encre méditative
L’instant où ne s’arrête
que l’heure au fond de soi
le souvenir profond
le jour
aimé sans autre foi
Ecrin de pierre
la mer s’est arrêtée
je l’entends respirer
le ciel s’est penché
un blanc soupir
la mer a caressée
Blanc
le silence respire
Le creux de ma main.
Bonnes fêtes …
Blanc pas comme gréve infinie
d’où ne sourd que l’ennui
qui afflige autant que la géométrie
singularité et complément
ce n’est pas dans l’opposition
mais dans la superposition
que se trouve la magie
dans ce nouveau repaire
pas de brigands ni de brigantine
on s’y trouve plus qu’on s’y perd
on s’y cherche d’abord
la côte n’est pas seule déchirée
qu’on voudrait pouvoir la déchiffrer
point question pour l’instant
de songer à appareiller
libre d’eau et pas encalminé
on fait bien l’avitaillement
avant que de courir les flots
de nouveau en veine ou en peine
dévidant de la nasse le filin
cette ligne de vie qui retient
qui amarre moins qu’elle ne tire
et dont parfois on retire
quelque satisfaction
Une petite crique
Son île
Le bateau a baissé ses voiles
Son pur de blanc repose
Le silence complice
Berce l’air du temps son doux
douceurs pour chacun en cette semaine qui s’avance,
tendresses, Ossiane,
j’ai bien ri avec ta vidéo, Bourrache,
beaux temps d’amour dès que possible pour vous de chacun!
Le voilier abattu
c’est plus que de la poudre de ris
quand la terre s’arrêtera
le blanc m’arrime
même sans ponton
je le fait monter
sans trop d’affront
mais pas en neige
Que cette fête soit pour vous tous un jour de joie avec cette petite nostalgie des Noël de l’enfance. Dans le même esprit qu’Ossiane ayons une pensée sincère pour ceux qui sont dans la souffrance, la solitude, la misère. Merci Ossiane pour cette note « blanc » l’œuvre au blanc en alchimie est un pas sur la voie de la pierre philosophale, joli symbole même si le blanc n’est pas pour tous positif comme pour les chinois par exemple.
______
Ancré dans la baie
Sur lui les berges se referment
Le temps de l’attente
______
Bonne fin de soirée et bonne nuit à tous
Supprimer la répétition « pour les chinois » merci Ossiane
BLANC comme la neige qui enveloppe mon quotidien depuis plusieurs semaines; Monique;-)
Merci à tous pour vos pensées et prenez soin de vous!
Le voilier au long cours
Il l’a trouvé son port
De si bel abrité
Il se niche ses voiles
Le pont est si paisible
Il ferme ses petits yeux
Regarde au plus profond
Son âme est fort heureuse
De ce jour d’Aujourd’hui
Apaisé de bien pire
Soulagé des années
Il se retourne derrière
Et sourit ses fossettes
Un périple tellement
Ce port en vaut la peine
Merveille pépites d’or
Que l’âme libérée
Joyeuse d’avoir tenu
Ce cap ce gouvernail
Noël est d’un doux tendre
D’un tel ravissement
douce journée, et le plus tendre pour chacun.
Il y a comme un blanc
à une tombée de pierre
pas un levé de rideau
sans agrafes ni clous
et si sur cette scène
pas un souffleur n’efface
des traces en masse
dans le calme blanc
le calame se visse
la tête se dévisse
on a des comptes
largement apuré
les débours et déboires
les détours, les histoires
et sur une lande épurée
on contemple un mât nu
le manuel ne dit pas
ce qu’il doit au spirituel
les notes s’enchaînent
comme les manoeuvres
on n’est pas largué
il n’y a rien à carguer
va t on enfin fourguer
des souvenirs en nasse
de ceux qui menacent
de nous engloutir
atterrage sans rage
qui n’atterre plus personne
juste le blanc cassé
et le rêve fracassé
Que ce beau bateau blanc t’emporte vers tous tes rêves, tendre Ossiane au Bel Œil… Je te souhaite chauds et tendres moments et je t’embrasse, ainsi que tous tes amis et visiteurs.
des heures joyeuses
à l’abri de la tempête
écoutez son coeur
Douceurs
De tendres mélodies
L’amour
Une paix dedans son âme
La voie jolie
La vie
Ecoute mon petit bateau
Approche
Niche moi dedans ta voile
Emmène moi
Dans ton pays à voiles
Fais moi voir des beautés
De la paix en amour
Somnole moi mes yeux
Rend les étincelants
Vis
Vogue mon petit radeau
Mais pour le moment
Repose moi l’instant
Laisse moi vivre
De rien et son tellement
Niché dans pas grand chose
Car c’est déjà beaucoup
Que la vie
La vie
La vie
un endroit de rêve pour passer un réveillon dans le carré à lumière douce de la lampe à pétrole
Joyeux Noël
Bernard
C’est le temps immobile..et les lèvres de pierre..qui épouse la roche..et le blanc des silences..la grand voile descendue ..et les plis de la terre..C’est le temps d’une escale..et les rêves sur terre…qui s’allongent sur le sable..comme ces ombres au soleil..et qui suivent vos pas..en brodant des mystères..Coque blanche sur fond noir..un bateau à la mer..et les mots qui se noient..sur les lèvres de Pierre..
Douce nuit
en solitaire
joyeux Noël
Ancré au fond de l’anse
un abri
message de paix
Bonnes fêtes à tous
c’est joli, Pierre,
tendresses paisibles pour chacun,
douceurs, Ossiane, après toutes ces années à partager ensemble, avec vous de chacun.
Niché dedans sa paix
Sa pleine vie le serre
D’un demain apaisé
polygone pas de sustentation
parce qu’il faut attendre
et tendre par là vers l’infini
que la joie soit dans les coeurs
la paix dans les esprits
et la concorde bien assortie
bises chaleureuses à Ossiane depuis un Lauraguais frisquet
et un énorme boujour aux passsagers d’un jour comme aux habitués
ces compagnons qui font vivre ce pont
Blanc le flocon joyeux
Qui fond aimant aimant
Sur une piste animée
un vieux pont bien aimé
Les matins de l’hiver
Tes mots sur le vélin
Ton coeur plein de soleil
Et la main qui se tend
Douces fêtes au capitaine, aux matelots, aux passagers…
blanc coureur de mer,
en un écrin de terres,
blotti, endormi
Très bon Noël et bonnes fêtes à tous
Battu en blanc mais pas contrebattu par les flots
dans le calme ambiant le repos est notre lot
pas de schooner ni de goêlette comme vieux rafiots
bonjour Lou ça faisait longtemps
la semaine du blanc approche
et nous voici dans de beaux draps
Maman Noel : http://blaise-galland.over-blog.com/article-maman-noel-63651685.html
Bien agréable ce soir de vous retrouver en nombre sur le pont avec de jolis mots de poésie et d’humour en ce jour de Noël qui prend fin dans le froid.
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Et pourtant soucieuse de son allure
Elle s’était revêtue avec élégance
D’une grande robe blanche
Dissimulant ses formes. Méconnaissable
Je lui rendais visite et l’entretenais
Sur le mystère des saisons, le froid de l’hiver,
De sa beauté et des jours trop courts.
Lorsque trop vite le soir arrivait
Elle s’effaçait curieusement
Dans son déshabillé gris perlé
Pour se confier à la lueur de la lune.
Au petit jour je la retrouvais
Brillante, scintillante même
Et je ne pouvais m’empêcher de lui dire mon admiration :
Oh Dame Nature en ma campagne frissonnante
Comme vous êtes belle et sublime sous la neige
Lorsque l’hiver vous habille de son manteau blanc
Qu’il vous rend inabordable à l’horizon lointain
Et qu’autour de vous tout semble désert et secret
Même le silence paraît étrange à la limite du divin.
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Et tandis que je m’émerveille, dans un petit coin de France
Dame nature s’offre encore un petit coin de paradis
Un petit port intime et charmant, une petite miniature
Où l’équipage au repos a jeté l’ancre et descendu la voile,
Tente d’arrêter le temps et de reprendre son souffle,
Semblant de bonheur dans un petit polygone en noir et blanc.
Hello Thierry, Hugs to you and to all from South Lake Tahoe 😉
A snowy smile
the face of winter
a lifetime of bonding
in the hand of a mountain
the wisper in the wind
a day of joy
J’ai affalé la toile
sous ta rose des vents
escale d’un port franc
une rafale d’étoiles
pour rompre les amarres
et chasser sur ton ancre
c’est une baie submergée
de douceurs encalminées
Formidable jean de la lune
qui en peu de mots
nous enchante
Hello sweet Lou
i won’t ask you « t’es où »
no drink from a cask
i am not in Sunnywale
here the sun shine
but we don’t go to the shrine
Merci à toi Monique
Bonjour à tous et petite bise à toi Lou que j’aperçois sur le pont.
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Blanc, bleu, ciel balayé
Entre les branches nues
Mâts sans voiles balancés
Sans mer, sans vagues, sans rochers
Polygone nu derrière les carreaux
Souffle le vent d’hiver
Solitude et silence reposant.
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Au lendemain de fête, les rues ce matin étaient désertes en proie au froid et au vent glacial, seuls les oiseaux au bord du lac pour chercher pitance ; un grand calme.
Tous mes vœux de bonheur pour 2011
Ton blog est toujours aussi passionnant.
Maurice
Hello Monique,
Snow showers and cold weather all around us too, but warmth on the deck
of Ossiane’s amazing sailing boat 🙂
Pretty far from Sunnyvale and the bay, Thierry
but close to sunny and enchanting dreams
Psyche take us fun places …
Happy holidays
Hello tout le monde !
Bien que parfaitement bilingue (on peut encore rêver le lendemain de noël) j’ai traduire le petit texte du mâtelot Lou par un magnifique traducteur du web ce qui donne à peu près ça :
« Douches de neige et temps froid tout autour de nous aussi, mais chaleur sur le pont
Du voilier étonnant d’Ossiane 🙂
Assez loin de Sunnyvale et la baie, Thierry
Mais près de rêves ensoleillés et enchantants
Le psychisme nous prend des endroits(places) amusants … »
Je retrouve donc ce petit côté psychédélique et décalé du blog…..^_ ^
Bises à toutes et tous
Bonsoir Rachel plaisir de te retrouver, tu as raison « psychédélique » est le terme approprié comment se passer du blog d’Ossiane, en toutes circonstances il reste une source saine de bonheur et de découvertes dont on ne peut se passer et qu’on aime partager. La traduction du texte de Lou par le traducteur de web reste certainement moins poétique que ses propres mots car Lou nous a habitués à de très jolis textes.
Bonne fin de soirée à tous.
Sacrée Rachel
jamais très loin lorsqu’il s’agit de se moquer de moi ! 😉
contente de te retrouver partner, tu me manquais et la bonne vieille ambiance aussi…
Peace and Love to all ( question de ne pas perdre mon côté off, psychedelique , une case en moins ;))
Echancrure, déchirure,
c’est dans cette côte découpée
qu’ a choisit de relâcher
ce fin coursier des mers
un écrin plus qu’un écran,
pas familier des vérins
épurée, pas saturée
la nature est là dans sa simplicité
c’est bien plus que de la complicité
pas un geste ne trahit l’intention
Les ailes repliées, immobile au bord de l’étang
Le grand héron blanc guettait sa proie
Près de lui sa compagne bec enfoncé dans les plumes
Deux taches blanches dans la lumière grise
Et le froid glacial d’un matin de décembre
Rendez-vous avec l’élégance, la grâce et la beauté
Arrêt sur image, dans un paysage en noir et blanc
Un instant figée, je contemple et j’admire
Ce grand calme, cette nature sereine
Espace tranquille sous un ciel bas, gris, sans nuages
Un parallèle étrange avec ce paysage de Belle Ile.
« Le blanc agit comme un silence profond et absolu plein de possibilités. »
Kandinsky / Du spirituel dans l’art et dans la peinture en particulier … p. 155
Encrer la marée
Dans un lagon de silence
Avant de renaître.
Suspendre le temps
Aux lèvres d’un cri
Pour affranchir mon voyage.
Le rideau se ferle
Sur les pas de Ballerine,
Pantin de lumière.
Raconte l’histoire
De ta course tourmentée
Au poids de ton ancre.
Un coin de mer, refuge d’un bateau
Au milieu des berges rocheuses et désertes
Un grand silence qu’on écoute en rêvant
Dans le contraste des éléments
Le noir et le blanc l’un tenant l’autre
Miroir impénétrable pour un ciel trop haut
L’éclat s’en est allé sur les roches trop blanches
Les règles du jeu dans le vent se sont inversées
Le blanc sied au silence sur la côte endormie
Parcelle refermée sur les rêves de prochains voyages
Clapotis de mots imperceptibles sur la coque du bateau
L’attente voit passer les jours interminables de l’hiver
Le ciel chargé de neige retient ses nuages trop lourds
…………………………………………………….
Si la nature s’est prostrée dans un immobilisme glacial
N’allez pas croire qu’il y a là une ombre de tristesse
Un simple arrêt sur image le temps de la mue des saisons
Des couleurs qui se refont une beauté dans un bain de lait
En attendant de voir refleurir les voiles sur les mâts des bateaux.
Un grand blanc passe
aurait il dévoré les mots
Je cherchais mes mots et voilà que Thierry pense que peut-être un grand blanc les aurait dévorés, les mots quêtés, les mots lassés, les mots laids, les mots nés, les mots dits, les mots d’elle,les mots clés, bref les mots râlent, quelle histoire !!
J’en ai retrouvé deux bonne nuit.
Un détour sur les berges abandonnées
Petit monde oublié dans le froid
Pâles sont les mots sur les rochers d’argent
Au bord du puits de mer sans fond
Où flotte seul et triste un bateau blanc
Fantôme de solitude dans ce havre de paix
Je passe mon chemin, je reviendrai demain
Laissant une aura de douceur et de mystère
Une sensation étrange dans ce grand silence.
Chercher les sens
dans l’essence
des ciels
et trouver
le souffle d’air
pour entrouvrir
– l’amer…
Comme un blanc et la voix se remplit d’un silence sonore .
Pour entrouvrir la bouche
il faut trouver la pierre de touche
–
… « c’est pas moi qui l’dis, c’est le vent » …
http://www.youtube.com/watch?v=VshLGLVDPq4&feature=related
Faisons de grands yeux…
« y’a pas d’mal, de temps en temps, à être heureux »…
–
Pour cet an à venir,
à tous
tous mes voeux.
–
–
Heu … y’a un couac, là …
(ah … les « copier-coller » … faut savoir les gérer !
si le Prof’ de grec passe par ici, il comprendra … et Maria-D aussi – car c’est après être passée sur son blog que je débarque ici – …)
–
Donc :
lorsque vous aurez écouté la belle musique de Bernard,
je vous offre « Les grands yeux » de Jofroi (chanteur belge !) :
http://www.youtube.com/watch?v=CcBQ-lTKV2c
–
Si vous z’avez pas tout compris, pa
Que l’année prochaine soit le plus douce possible pour notre chère capitaine Ossiane et pour tous les amis et amies de l’équipage et … pour moi aussi.
Sont mes voeux. Je vous embrasse fort.
Bonjour à l’équipage !
Le bateau blanc est déserté,
Tout le monde en vadrouille
Pour fêter la nouvelle année
Les voiles repliées…
Attendent de retrouver
Un équipage unifié
Qui va pouvoir lui redonner
Toute son ardeur
Pour attaquer avec vigueur
La marée montante
Qui le fera repartir
Vers un nouvel avenir
Que j’espère moins chaotique
Que celle qu’on vient de vivre !
Biseeeeeeeeeeeees à tous de Christineeeeeee
Bonjour Christine
j’ai pensé à toi en allant au manège d’équitation de pin balma mardi.
l’oeil reste ouvert
dans l’attente du grand ripolinage
qui fera affluer les images.
Nous avions déjà abordé le bruit blanc et le calme blanc
ce n’est pas seulement assourdissant c’est étonnant
Amarré mais pas chamarré
il ne risque pas de tirer sur son ancre
bien à l’abri dans son antre
Bonjour Neyde et chacun,
je me fais l’écho de tes mots, Neyde,
je vous embrasse bien fort de ce Nord de passage,
qui se trouve sur le chemin de ma vie,
mais qui n’y contient plus ma vie d’Aujourd’hui,
ma vie se vit de plein à l’Ouest que j’aime, tellement,
de toute cette vie qu’elle offre!
et puis cette purée de pois, ce plafond bas, dans le Nord!
yaouh comme la Lumière est grande à l’Ouest!
c’est chouette ce bref instant à vous serrer sur le pont du bateau,
notre voyage est grand, riche et si palpitant, tellement de vie dedans!
je vous embrasse!
tendresse pleine!
Le tambour
C’est comme un blanc navire qui quitte le port.
Et c’est peut être pour cela qu’il résonne aussi longtemps à nos oreilles.
Alain