2010

2010

Lecture du Haïku Calligramme: de gauche à droite

10 ans déjà
le 21ème siècle
0-dyssée

2010 … bonne et heureuse année, chers amis de L’Oeil; je vous la souhaite douce avec beaucoup d’humain pour un monde meilleur (voir image) … quelques réflexions cependant qui me taraudent et que j’ai envie de partager avec vous … 2010, c’est du bel imaginaire mais c’est aussi des inquiétudes profondes … un chiffre mythique aux multiples échos … la suite de 2001, Odyssée de l’espace … le grand roman d’Arthur C. Clarke transposé en film par Peter Hyams en 19841984, oui bien sûr, c’est aussi le sombre roman visionnaire de Georges Orwell … Big Brother et son état policier; ça vous dit sans doute quelque chose … ce type de société n’est plus si inconcevable aujourd’hui … flirt avec l’extrême droite,  racisme, discrimination, intolérance, exclusion, caméras de surveillance … des riches toujours plus riches et des pauvres toujours plus pauvres … 2010, je pense également à Internet et ses dérives … cet outil permet de faire de belles choses et entre autres de tisser des liens comme dans ce blog … cependant, le monopole et les ambitions de G**gle et autres adeptes de la culture gratuite sont très préoccupants … incapables de créer du contenu, ils ont besoin des internautes et des créateurs … prêts à dévorer sans vergogne le contenu des autres pour pouvoir subsister financièrement, ils dérobent et archivent les données laissées en toute insouciance sur la toile pour les utiliser à des fins commerciales … l’argent roi, publicité agressive, destruction d’emplois et de secteurs de l’économie et de la culture … triste constat qui appelle à la vigilance … des poches de résistance commencent à faire entendre leur voix et à marquer des points … le début d’un espoir de respect des autres sur la toile …

82 réflexions sur « 2010 »

  1. Je reviens:j’ai oublié de mentionner que l’année commence bien avec ces premiers voeux !Originalité,beaucoup de talent:merci,continuez à nous aider par votre talent…

    BONNE ANNEE .

    Brigitte.

  2. Quelle belle envolée de voeux pour 2010!

    Pour toi Ossiane et les amis de l’Oeil:
    Une Année riche de projets, de réussite
    de rencontres, d’amitié et d’amour………..

  3. Bonne et heureuse année à toi Ossiane
    à chacun et chacune d’entre vous
    que cette année soit riche en émotions positives
    et continuons à faire don de notre imagination
    pour ultime plaisir de partager quelques moments
    qu’aucune richesse ni aucun pouvoir ne peux remplacer

    MERCI OSSIANE
    et bises sincères et chaleureuses pour 2010 à tous
    pensée particulière pour ceux avec qui je partage cette aventure depuis
    un bon moment déjà
    et à ceux qui sont arrivés cette année que l’imagination et le plaisir
    soit au rendez vous de 2010

  4. 2010
    Des milliers de perles
    Accrochées à vos rêves
    Des tonnes de sourires
    Affichés sur vos lèvres
    Des racines d’humanité
    Encrées dans vos êtres
    2010
    Escales dans vos rêves
    Les plus fous
    Atterrissages aux pays
    Des bonheurs
    Décollages vers les zones
    Interdites
    Amerrissages dans les eaux
    Sensuelles
    Loopings en amours
    Passionnés
    2010
    Soyez happy
    !!!

  5. Quelle joie de commencer l’Année avec tous ces voeux!
    Je vous embrasse tous,
    Ossiane et les amis et amies du Blog.

  6. A ma Ossy superba des bulles

    Tel un murmure naissant du silence de mon coeur
    mes mains te disent deux mille dix voeux pour la nouvelle année OOooooOO

    Avec toute la chaleur de mes bulles d’amitiés ***

  7. Il semblerait que l’adresse mail ne soir pas valide…
    Je n’ai malheureusement pas pu vous envoyer mes voeux.
    Alors je me rattrape un peu ici en vous souhaitant une année 2010 au moins aussi belle que vos pages…

    Toute mon admiration

  8. Un monde toujours plus inégalitaire, plus oppressif, toujours plus inhumain. Un horizon bien sombre depuis quelques années…

    Mais soyons cependant optimistes, d’un optimisme raisonné sinon raisonnable, sans donner quitus à des représentants qui vivent dans leur monde sans voir le monde des autres… Sachons fermement exprimer, sans nous laisser aller à la facile désespérance, nos doléances, en disant non au monde décrit par Orwell.

  9. La croisière avait commencé dans la joie et l’euphorie. Fêter le 31 décembre au milieu de l’océan : les matelots en rêvaient. Ils avaient bien évidemment empli leurs bagages de cotillons, confettis et trompettes de la mort .

    Le voyage s’annonçait long car de nombreuses escales étaient prévues :

    Les matelots embarquèrent dans une exubérance coutumière.

    – Moi d’abord,
    – Non moi !
    – Poussez pas bon sang !

    Seule le capitaine Charlie-Ossiane semblait soucieuse.

    Les premiers jours se déroulèrent sans souci.

    Et puis, un matin, ils furent réveillés par des secousses et une houle inhabituelle. Le bâteau allait cahin- caha : le capitaine avait disparu.

    Monique, avec un calme et une autorité naturelle, prit les choses en main.

    – Arletteart et Lou prenez les commandes sinon nous risquons de dériver.

    Lou se permit une toute petite objection de rien du tout :

    – c’est que j’ai un pont à nettoyer moi ! Faudrait pas que vous me le salissiez par des traces de s’melles ou de sabots ! dit elle en lançant un regard narquois au destrier de Christineeeee. Enfin je dis ça je dis rien !

    – Ah enfin lança christineeeeee. Une bonne résolution pour 2010. Elle va se taire !

    Le regard que lança monique aux deux mâtelots leur indiqua qu’il fallait mieux ne pas faire les guignols pour le moment.
    Lou bougonna un peu (pour la forme) et suivit Arletteart.

    – si on peut pu rien dire ici, où on va !

    – et ben dans la cabine de pilotage rétorqua Arletteart. Monique vient de nous le dire.

    Le bâteau fut examiné de fond en comble. Ils allaient perdre espoir quand ils entendirent des voix provenant d’une minuscule cabine.

    A travers le hublot ils assistèrent à un drôle de spectacle.

    Le capitaine Charlie-Ossiane se parlait à elle-même.

    – Mais si voyons ! Abandonne donc ce navire ! Tu as du travail ailleurs. Et pas n’importe quel travail voyons ! Tu les connais même pas en vrai ces matelots. C’est qu’du virtuel ma pauvre fille !

    A quoi la même Charlie-Ossiane rétorquait :

    – Il m’est impossible de les abandonner. Je me suis attachée à eux quand même. Et puis cet bâteau c’est moi qui l’ai crée, qui lui ait donné son âme, sa texture. C’est un peu comme un enfant que tu me demanderais d’abandonner.

    Charlie-Ossiane fit une pause et se reprit :

    – Voyons Charlie-Ossiane tu divagues !. Il faut analyser la situation avec calme et serenité. Tu as beaucoup de travail en ce moment c’est vrai. Mais ils peuvent parfaitement le comprendre et accepter que tu n’embarques pas toujours avec eux .

    Les matelots se regardèrent quelque peu décontenancés. Une réunion d’urgence fut programmée dans la cabine des deux Bourrache.

    Phil Alba prit la parole :

    – Il faut laisser souffler un peu le capitaine. Moi qui travaille dans les cales du bâteau je peux vous dire que ce n’est pas toujours facile d’avoir le nez dans le guidon.

    – Bien parlé ! répondit Jean

    – ça oui ! intervint marc. Nous les garçons, on en a marre de s’occuper du moteur. On veut l’égalité des sexes sur le navire !

    – Pas contents ! Pas contents ! Entonnèrent Thierry, Phil Alba, Jean et Marc

    Un léger tremblement parcourut monique qui, sentant que la situation allait lui échapper, dû déployer des trésors de diplomatie.

    – Vos revendications sont, comme d’habitude, plein de bon sens les garçons mais je vous propose de remettre la discussion à une date ultérieure car, dois-je vous le rappeler, nous nous réunissions pour parler du capitaine.

    Enfin tous s’accordèrent pour dire au capitaine qu’il était grand temps qu’elle lève le pied.

    – et même les deux s’enhardit la Toto.

    Soulagée par la réaction de l’équipage c’est le cœur léger que le capitaine fantomette fêta le réveillon de la saint sylvestre.

    Christineeeeee envoya des centaines de « e » dans le ciel. La Toto entraina l’équipage dans une chenille déjantée où chacun arborait un petit champignon hallucinogène à son effigie. Enfin aux douze coups de minuit les matelots crièrent en chœur :

    Bonne et heureuse année 2010 à tous les membres de l’équipage et vive le capitaine Fantomette car y’a pas à dire elle est vraiment très chouette !

    – Youhou ! Cria la Toto. Y’a pas à dire la vie elle est belle de belle quelquefois.

    THE END

  10. un passage…
    et pour 2010, même en révolte partagée sincèrement aux cris du fond du coeur d’OSSIANE qui a bien raison de craindre les marchands du « big-broher  » je vous donne :
    des baisers , des baisers sur des lèvres posées car il en faut un sacré paquet pour prendre goût au monde (surtout s’ils sont bien, et souvent partagés)…
    et du soleil …,
    et des mots de déraisons
    pour les frissons avant les caresses
    qui font du vent
    quand rien ne bouge et ne souffle…,
    du vent en dedans…

  11. Ah Rachel comme tu sens bien les choses mais jamais Ossiane ne pourrait abandonner son bâtiment , il faudrait une sérieuse tempête pour séparer le capitaine de ses matelots, elle y a mis tout son coeur comme toi Rachel et nous tous.
    Merci aspe pour » el nave va de Fellini » un joli moment de pause pour l’équipage ce soir.
    __

    J’aime beaucoup les vœux posés de Jeandler porteur d’espoir à court terme et à la fois, je me sens très près de l’état d’esprit d’Ossiane quant au temps qui vient, son image axée sur 2010 à laquelle elle met de nombreuses références cinématographiques et historiques, je la vois comme un système d’engrenage dont on aurait quelque peu endommagé les rouages, il y quelque chose qui ne va plus, et c’est un S.O.S qu’il faut lancer, y -t-il sur cette planète un mécanicien capable de remettre le monde en route avec son équipe de techniciens, de gens compétents, il en existe en tous les domaines, des gens équilibrés, sensés qui comprennent d’où viennent les problèmes, il y en a qui sautent aux yeux. Cette année qui vient, comment pouvons nous la souhaiter bonne quand nous voyons tant d’inégalités et il faut bien le dire d’inhumanité dans un pays où l’on met en exergue les droits de l’homme et du citoyen. Je ne suis pas politicienne mais je pense être humaniste, et j’ai un cœur qui bien souvent se sent écorché vif, je ne comprends pas tout et j’aimerais comprendre. Ce que je comprends par contre, c’est l’évidence même, pourquoi ce qui est flagrant et compréhensible par tous n’est pas compris en haut lieu, si ce n’est uniquement par égoïsme ou pour des intérêts purement personnels à n’importe quel prix. Ce que j’écris ce soir n’est pas de la poésie , Je sais qu’Ossiane ne m’en voudra pas, c’est un cri du cœur, la poésie est un moyen de dénoncer de dire de lancer des cris d’alarme là où le poète sait qu’à travers les mots et l’art il peut être utile aux autres lui qui n’a pas forcément la compétence de gouverner parce que peut-être trop émotionnel mais capable de participer au bon fonctionnement du monde justement à cause de cette sensibilité qui ne peut le laisser indifférent. Il exprime à sa façon les dérives des humains quant à leur manque de respect sur les lois fondamentales de la vie sur notre terre.
    ___

    Bonsoir et bonne première nuit de l’an 2010 avant de savoir ce qu’elle nous réserve de bon et de pas trop mauvais j’espère. Une chose est certaine, l’Amour restera ce qui peut nous sauver et non la haine.

  12. Belle et douce année à vous tous… à toi Ossiane : du bonheur…. du bonheur…. du bonheur …toujours du bonheur

    Je t’embrasse

  13. Ossiane, rétrosective alarmante et futur glauque que tu nous dresses là! C’est que tu nous as habitué à des accents plus optimistes 😉
    Belle année 2010 à toi, à l’équipage, et à tous les passagers…
    L’oeil restera probablement ouvert  » sur soi et le monde « , oeil doux tendre et beau qui sait effacer douleurs et soucis …
    Merci pour le partage, bon courage dans ton travail, et des rêves d’harmonieeeee pour tous.
    Bisou à Rouletabille dont le journal de bord est tjs aussi irresistible.
    Love you all

  14. que chacun veille
    avec son coeur ouvert
    que chacun donne
    un peu de sa douceur
    qu’aucun silence en plomb
    ne nous dicte sa loi
    qu’aucune peur
    ne détourne notre chemin

  15. « Douce année à vivre »*
    De bien beaux souhaits pour tous
    Les yeux plein d’amour

    Les yeux cherchant la beauté
    Une aura de vie paisible.

    *mots d’Ossiane

  16. J’avais oublié de dire à monique que je partageais ses pensées hier soir tout comme celles de Charlie-Ossiane.
    Bises à toutes et tous

  17. Très bonne et heureuse année à toi, chère amie ! Merci pour tes magnifiques « productions »
    Chez nous on fête les 5 années du blog !
    Amitiés

  18. Qu’il est doux d’accueillir tous vos mots et de les faire raisonner ensemble
    c’est vrai que la lucidité doit prévaloir et l’espoir perdurer dans les capacités
    des hommes à s’amender et à s’améliorer, pourtant en faut il de l’amour, de l’intelligence et de la conscience non pour sauver les apparences mais pour aller au bout de nous même. Vous êtes tous si touchants
    Merci Ossiane et en écho à tes paroles juste un petit texte.

    « Inhumanité »

    L’homme déserte l’homme et laisse sur la desserte des miettes, des bribes et des rogatons mais peut on déroger impunément et indéfiniment aux obligations qui sont les nôtres, quand on appartient à ce grand ensemble peut on constamment pressurer, oppresser sans se soucier des conditions ni des conséquences et penser que notre vie et notre niveau de vie, notre consommation effrénée ne saurait être freinée par un quelconque argument de cet ordre là.

    Quid du partage et du ratage que représente l’aide au développement et une partie de la politique de coopération quand s’enferrent des initiatives et s’enterrent de bonnes intentions parce que « in fine » il faut toujours privilégier un intérêt supérieur qui fait cesser de verser des dividendes au progrès et aux efforts à consentir.

    Les ressources et la santé sont des horizons indépassables qui marquent les limitent de notre engagement et nous font reculer devant la globalité d’une approche qui devrait pourtant se montrer à l’écoute des points durs et des futurs manquent afin d’anticiper des besoins et ne pas devoir réagir dans l’urgence sous la pression du temps et des événements comme trop souvent c’est le cas.

  19. Vingt dix
    Deux zéro un zéro
    deux zéro dix
    vingt un zéro
    deux cent un zéro
    deux mille dix
    année bonne année
    beaucoup plus que l’année veille
    moins que l’année vieille.

    Aorisha

  20. .* *,,* *.
    * * *
    *. *
    « *,,* »

    Merci pour tous vos bons Vœux qui réchauffent le Cœur …
    Voici ce Coeur pour vous…
    …un Coeur gros comme la Lune qui pour vous ce soir éclate en un bouquet de milliers d’éToiles…

  21. Je vous souhaite des rêves à n’en plus finir
    Et l’envie furieuse
    D’en réaliser quelques-uns.
    Je vous souhaite d’aimer ce qu’il faut aimer
    Et d’oublier
    Ce qu’il faut oublier.
    Je vous souhaite des passions
    Je vous souhaite des silences.
    Je vous souhaite des chants d’oiseaux au réveil
    Et des rires d’enfants.
    Je vous souhaite de résister à l’enlisement,
    A l’indifférence, aux vertus négatives de notre époque.
    Je vous souhaite surtout d’être vous.

    Jacques Brel

  22. Il faisait froid ce matin sur les chemins
    L’eau du lac faisait des vagues sous le vent
    Les arbres nus se dressaient silencieux
    Sous un ciel bleu tourmenté par les nuages

    L’horizon ce soir s’est illustré de rouge
    Les promeneurs ne se sont pas attardés
    Et pourtant quel beau spectacle dans le ciel
    Un panoramique de toutes les couleurs

    Le temps de s’est pas arrêté à la fête
    Deux mille dix sans bruit efface deux mille neuf
    La terre continue sa course dans son sillage
    Et nos vœux restent des espoirs pour demain

    A son rythme, sans empiéter sur l’avenir
    Le temps au fil des jours gravit le chemin
    Celui qui nous conduit vers des lendemains
    Qu’on espère toujours meilleurs, toujours plus beaux.

    « Le temps n’a qu’une réalité, celle de l’instant. Autrement dit, le temps est une réalité resserrée sur l’instant et suspendue entre deux néants »
    Gaston Bachelard

  23. Ayant « échappé » aux bourrasques neigeuses de Normandie…
    Et de retour « at home »,
    J’envoie à tous les membres d’équipage qui passeront par ici…

    Devinez quoi ?

    des……..

    Des…….

    DES……

    eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

    Que vous pourrez grignoter à l’aise (*)
    Au coin de la cheminée,
    Tout en regardant la nouvelle année
    Prendre son essor,
    Au milieu des campagnes enneigées

    On la voudrait bonne, merveilleuse, lumineuse, cette nouvelle année, et encore meilleure que celle qui vient de se terminer !

    Alors, à tous les ami(es)…

    Biseeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeeeeeeeeeee

    PS/ Ce sont des eeee en chocolat !

  24. Et peu à peu l’équipage se reforme, et quel plaisir de se retrouver tous fidèles au poste, merci à Christine pour les eeeeeeeeeeeee en chocolat, j’offre le café ça se marie bien avec par les temps qui courent sans oublier la petite bougie pour Bourrache C’est parti pour une nouvelle année , on lève l’ancre et bon voyage à tous, Capitaine on est prêts même si pour la remise en route tu ne pourras pas être trop disponible, nous sommes là et puis, on navigue vers les beaux jours.

  25. merci pour le café, Monique,
    je viens de me manger deux pralines en gourmande,
    alors le café suit d’un suit de bon de bel de chouette.
    belle nuit douce.

  26. belle et douce nuit à toi Annick si contente de ces moments que tu viens de vivre. (sans parler de la praline, ça fait partie des petits plaisirs de la vie la gourmandise, ce n’est pas un défaut du tout! tout est dans la modération!)


  27. Pffffff … j’ai du retard !!!

    De retour « at home » (sans eeeeee en chocolat et ceux de poules qui me restent au frigo me suppliant d’être cuits durs..) (mais j’ai voyagé vert … càd en train … pour parcourir 220 Km, m’a fallu 4 heures et 3 changements de train … et aux correspondances, même pas le temps d’aller boire un p’tit noir au café de la Gare !), je viens souhaiter au Capitaine, ô mon Capitaine, à ses matelots du Pont et de la Cale, à ses voyageurs passagers, à ses passagers voyageurs …

    http://www.ville-montlhery.fr/IMG/jpg/feu_d_artifice.jpg

    … des lunes-soleil, des soleils-lune, des oiseaux bleus, des bleus légers comme des plumes, des mots-bougies, des bougies qui réchauffent comme le feu et plein de petits et grands mots-bonheurs à semer, à cueillir, à partager dans ce nouveau jardin-2010.

    Et belle aventure à toutes et à tous !

  28. Je prends, j’écoute, je cueille Bourrache, des soleils- lunes des lunes-soleil des oiseaux aux couleurs de l’arc en ciel et des fleurs et encore des couleurs hum il part bien ce jardin 2010!!! et…bonne nuit moi, je souffle ma bougie c’est l’heure d’aller dormir.

  29. Matin lumineux
    La journée s’annonce belle
    Repas des oiseaux

    Grand silence du dimanche
    La nature encore sommeille

  30. Le ciel est un peu gris opaque, le jour porte le nom d’un jour de Janvier, le départ d’un dimanche doux et tranquille, qui nous guidera vers Guérande, ses fortifications, et si le soleil se laisse saisir peut être un bord de mer de cette nouvelle année;
    en douceurs de vivre à saisir encore et encore, doucement, dès que possible, la vie, en envie de se vivre en se serrant ses beautés à la vie, quand elle est belle douce.

  31. J’ai cloué 2010 aux portes de ma grange,
    Un talisman ailé pour contrer le malheur,
    Je voudrais croire qu’ainsi le monde et la vie changent
    Et que pour toujours vienne le seul bonheur

    Illusion, illusion, clament les bruits guerriers
    Le combat pour la vie exige des épées
    des fusils des canons, et le sang des vaincus
    Et face au nécessaire, toi, toi, que ferais-tu ?

    Pour vivre ou pour survivre de quoi as-tu besoin ?
    De la vie même des êtres qui partagent ton sort
    Pour te dire vivant, pour revivre dans les tiens,
    Tu n’exiges qu’une chose : de certains autres la mort

    Cela ne suffit pas. Comme pour calmer le corps,
    Tu veux calmer l’esprit et tu te crée des dieux,
    S’il en était besoin, pour te convraincre mieux,
    Que toi seul a raison et que les autres ont tort

    Et qu’exigent tes dieux en échange ? La mort
    Cloue donc ce que tu veux aux portes de ta demeure
    Tu n’empêcheras rien de ce qui est ton sort
    Ou le fruit du hasard les pauvres ou riches heures

  32. J apprécie les mots que tu viens d’écrire, Bourrache,

    je me suis si souvent tournicotée dans cette question, » la vie, c’est quoi?  » en tentant de la saisir dans son vivant, la vie telle qui passe, dès que c’est possible…

    tit’bougie pour chacun, en cette neuve année!

    j’espère que tu peux trouver des respirations, Ossiane, je t’embrasse.

  33. Je reviens avec ton écrit, Bourrache,

    la vie c’est tellement dans son tout simple sans souci du compliqué pas choisi

    mais c’est étrange la vie car

    la vie elle se trouve aussi dans cette surprenante inattendue dans parfois des grandes épreuves de vie pas choisies, dans lesquelles la vie a une sustance de moelle singulière

    Pour ton écrit, Phil alba, je l’ai trouvé bien vrai, et il m’a fait frissonner. Parfois, il faut tellement de la force pour changer son destin, adoucir son sort…

  34. Au fil de chaque jour
    Son petit seau de vie
    Puise trois cent
    Soixante cinq fois
    Une perle de vie
    Et se construit des ailes
    Pour se voler en vivre
    Se rubanner de rêves
    En vivre de si bel vrai
    Au fond du puits de la vie
    Deux mille dix délices
    En se vivant d’aimer
    La vie dans ses beautés

  35. Devant les grands problèmes soulevés par Phil alba, je me persuade en répétant plusieurs fois qu’il faut espérer , il paraît qu’à force de vouloir se persuader, on finit par y croire!!
    ____

    Que de rêves et d’illusions
    Sur notre terre toute ronde
    Pour parvenir aux conclusions
    Que nous sommes tout seul au monde

    Pour faire taire les bruits guerriers
    Il faudrait beaucoup d’amour
    Mots sortis de l’encrier
    Bannissant haine et violence

    Cris de joie et chant d’espoir
    Il est court notre passage
    Sans aucun dieu en qui croire
    Sommes contraints d’être Sages

    Ne plus pleurer, juste aimer
    L’utopie ferait elle peur
    Devrions -nous ne plus espérer
    Pour ne pas sombrer dans la rancœur ?
    ____

    Au temps de la révolte succède toujours un temps de pause, de réflexion, pour se dire que peut-être…. jusqu’au jour où une nouvelle goutte d’eau fait déborder le vase… et tout est remis en cause, ainsi va la vie en fluctuations continuelles….

  36. A la relecture, lorsque je vois que violence voudrait rimer avec amour, c’est bien qu’inconsciement les problèmes ne sont pas si faciles à résoudre et les mots tout droit sortis de l’encrier n’ont certes pas trouvé le bon endroit où se poser;-)

  37. et c’est bel bon d’aimer,

    une belle résolution,
    qui ne résout peut être pas tout
    qui peut nuire aussi peut être

    mais c’est bel bon d’aimer!

    sans aigreurs, sans haines, sans violences, dans la douceur, l’humanité,

    et puis si c’est rêver
    héhé

    mais comme c’est bon d’aimer!

  38. Peut importe qu’on soit
    Deux mille dix
    Ou un autre an
    Ou encore de ce millénaire
    La vie c’est dans l’instant
    Son temps de vie
    A se roucouler d’aimer
    S’en serrer se donner
    En un feu d’artifice

  39. Bonne année, Ossiane, ainsi qu’a tous les visiteurs de l’Oeil Ouvert.

    J’apprécie d’autant plus tes voeux qu’ils trouvent un écho naissant en moi-même depuis quelque temps.
    La question n’est pas seulement de se souhaiter entre nous une bonne année à venir, mais aussi à l’ensemble de l’Humanité, au monde (je vise large!), nos frères et soeurs en race humaine. Et de savoir ce que – nous-mêmes – à la mesure de nos moyens – nous pouvons mettre en oeuvre pour qu’elle aille mieux.
    Ceci posé quelle peut être, alors, la place de notre création là-dedans?
    Voici où j’en suis de ma réflexion. L’annonce d’un énième enlèvement et attentat meurtrier le 1er jour de l’année a été un facteur éclairant…

    Je te vois peu répondre aux commentateurs, Ossiane; j’espère que cependant tu vas bien et t’embrasse.

  40. « aimer » Annick, je te l’ai déjà dit, tu en parles bien, j’aimerai que ce mot traverse tous les siècles sans jamais être abîmé ni employé à tort, c’est peut-être le plus riche, le plus dangereux aussi, c’est vrai cela ne fait pas tout mais c’est énorme, là où il y a un peu d’amour la haine a du mal à trouver une place ; en sa présence l’être vit mieux , il a inspiré les hommes depuis des siècles et des siècles et n’en finira jamais de les inspirer car il est la pièce centrale de toute fondation de vie qui se construit. Sans amour tout s’écroule car la raison ne saurait le remplacer. Parfois il semble que les hommes ont peur d’en parler comme si c’était se montrer faible que d’aimer, oh quelle grosse erreur, si on ne le cite pas que ce soit seulement par respect ou pour ne pas vulgariser ce mot et lui laisser la place digne qui lui revient.

  41. ils sont bons tes mots, Monique,
    c’est vrai que aimer cela semble tout bête de bête, il suffit d’aimer comme ça,
    et puis finalement quand on garde l’oeil ouvert, parfois il faut le refermer bien vite car devant des cas de vie où l’amour n’est pas,
    l’oeil il soucoupe ses vertiges, c’est si bizare quand il n’y a pas d’amour,
    c’est bien plus étrange encore quand il n’y qu’intérêt, et odeur de l’argent,
    plus horrible encore que quand c’est une non émotion,

    mais comme est étrange ce monde des vivants,

    quand l’autre peut être soi,
    quand être né ici, cela pouvait être là bas,
    c’est si bon de se sentir être dans le monde,
    j’aime tes propos, Pierre.

  42. .

    Fantomette très chouette vous salue chaleureusement de la France au Brésil, je viens rassurer l’équipage à la demande d’Annick qui s’inquiète sur mon sort;-)

    J’espère que vous avez passé un bon premier nouvel an en toute convivialité et tendresse, que vous avez plein de bonnes résolutions dans la tête et que vous êtes plein d’espoir et d’élan pour aborder ce twenty-ten. Pour ceux que 2009 a affectés, j’espère de tout coeur que 2010 sera un numéro porte bonheur (je le sens bien celui-là) et que la vie sera plus facile et plus douce. De mon côté, je me suis remise au travail aujourd’hui. La neige a un peu compliqué ce nouvel an et je suis encore plus fatiguée qu’avant les fêtes. Mais ne vous inquiétez pas, j’ai prévu une grosse cargaison de vitamines en tous genres pour tenir le coup;-) En premier, la vitamine D, il parait qu’on est deux français sur trois à en manquer;-)

    Je vous remercie pour vos petites attentions et vos voeux si beaux, si généreux dispersés sur les trois notes. J’ai un peu de mal à faire la synthèse car je n’ai pas retrouvé totalement mes esprits mais croyez bien vos mots, vos poèmes, votre humour me touchent beaucoup.

    Amitiés sincères aux amis qui viennent faire signe pour l’occasion Francis, Sylvaine, Isabercée, nigra, oudinet, lilly, Corinne, le sid, véronique, jorge, jean-louis, claudie aorisha, ennA, nath, jean, phil et les deux Pierre; je ne me souviens plus qui est le 1 ou le 2 😉 En tout cas, ils font partie des premiers blogueurs que j’ai rencontrés sur la plateforme du Monde; je les remercie de leur attachement.
    >Pierre de pêle-mêle, en phase avec ce que tu as écrit; quand est-ce qu’on la fait cette révolution;-)
    >Pierre l’aquarelliste, ça fait si longtemps;-) Peux-tu mieux préciser ta pensée; je n’ai pas bien fait le lien entre le devenir de l’humanité et la création ? Oui beaucoup de brutalité ambiante qu’il est impossible d’ignorer.
    Tu as raison, je réponds peu aux visteurs en ce moment et pourtant ils trépignent d’impatience; demande-leur;-) La raison est que mon travail m’accapare totalement en ce moment et que j’arrive à saturation de fatigue; vraiment trop dur d’imaginer, créer, écrire, répondre. Je ne fais même plus de photo. Janvier sera difficile et après cela devrait aller mieux. J’ai vraiment hâte d’arriver au bout maintenant.

    >Nath, encore un peu de patience pour ce que tu m’as demandé, je n’oublie surtout pas;-)

    Je suis contente que mes deux publications fort différentes vous aient plus. La petite perle de rosée est davantage associée à votre sphère intime et le grand 2010 aux problèmes du monde qui nous entoure et dans lequel, je me sens impliquée. Difficile de faire la fête béatement sans avoir un regard autour de soi. Je pense ne pas exagérer la situation de ce que j’ai évoqué et notamment tout ce qui tourne autour d’internet qui est un domaine que je connais bien depuis longtemps.
    Pas de jeu de cube cette année mais ce n’est que partie remise, j’espère.

    Voilà pour ma petite bafouille du soir, j’espère qu’elle vous aura rassurés.
    Je ne voudrais surtout pas oublier de rendre un hommage tout spécial aux matelots qui veillent avec amour sur ce navire jour et nuit pour le faire vivre et préserver les liens qui se sont tissés entre nous au cours de ces années. Je pense qu’ils se reconnaîtront. Je vous demande de les applaudir à tout rompre. Clap! Clap! Clap! Clap! Clap! Clap! Clap! Clap! Clap! Clap! Clap! Clap! Clap! Clap! Clap! Clap! Clap! Clap!Clap! Clap! Clap! Clap! Clap! Clap! Clap! Clap! Clap! Clap! Clap! Clap!Clap! Clap! Clap! Clap! Clap! Clap! Clap! Clap! Clap! Clap! Clap! Clap! Clap! Clap! Clap! Clap!

    Bonne nuit sous la chaleur de la couette car il fait très froid ce soir! Je vous embrasse!

    Be zen and take care of you !

    Ossiane

    .

  43. Derrière la vitre embrumée
    Tombe la pluie
    Le ciel fait la moue
    L’hiver boude dans sa grisaille
    Le soleil est absent
    Caché sous sa couette
    Il se garde ses rayons
    Abandonne la terre
    Tout est uniformément gris
    Un des premiers jours
    De cette nouvelle année
    Sans éclat et et sans gloire
    Il faut puiser dans les réserves
    L’enthousiasme et la bonne humeur
    Les souliers sont trempés
    Les mains sont gelées
    Restons près du feu
    Inventons des mots en couleur
    Rêvons d’amour et de chaleur
    Laissons le mauvais temps dehors
    Il faut beau aujourd’hui dans mon coeur.

  44. comme c’est joli, Monique…

    Ce matin
    Des rayons de soleil
    Tout chaud de chaud
    Emmaillottent mon coeur
    Et le bercent fort tendre
    Le ciel est bleu de bleu
    C’est une année nouvelle
    Et ce jour de soleil
    C’est bien

  45. Nouvel an

    M usical comme les pas de femme,
    I rréels comme peut être la vie
    C es mots tiennent leur vague, de ce que l’âme
    H umaine, charrie l’éloge, comme l’avis
    E tonnement des yeux qui dit la vie,
    L aissés à l’inconnu que les mots sont
    I l faut pleurer les ans mais sourire à la vie
    N’est ce pas d’un cœur qui bat l’éternelle leçon ?
    E t l’heure qui sonne n’en donne t’elle pas le son ?

    Alain

  46. Je reviens de promenade, et les oiseaux n’en ont que faire du gris alentours ils chantent et boivent les goutes de pluie à notre santé, et c’est ainsi qu’il m’est venu cet extrait de Yves Simon dans jouissances ordinaires :

    « Aimer, comme cela, sans rien dire, avec le chant des oiseaux dans sa tête, le souvenir des vagues de la mer et le tremblement des pales d’un hélicoptère. Regarder un visage et s’imaginer que c’est une plage où personne n’a jamais pu courir.
    Aimer, comme si cela ne voulait rien dire. Seulement le son d’une bouche qui dit « aimer » et puis se tait, pendant que les yeux, juste au dessus, fixent le ciel. S’imagine être l’oeil qui regarde et l’étoile regardée, que la distance justement s’appelle « amour » et qui à cet instant – au moment de se pencher vers le visage – la distance s’anéantisse, que la nuit s’éloigne tour toujours, loin des planètes et des galaxies, en dehors de Dieu, de l’univers, plus loin encore que le dernier rêve. Alors seulement effleurer sur la bouche ce morceau de peau perdue…. »

  47. mmmhhh, c’est joli, Alain et Monique,

    heu? je manque de mots,
    mais je dis vrai
    mes yeux roucoulent à vous lire, chacun,

    Monique, un matin de départ en crackboumhue, une matinée avec du crackboumhue dedans, aloooooooooooooooooors,

    mmmmhhh
    quelle douce privilégiée
    de sortir mes pneus en roues libres
    de me stationner un bout de vie
    de pour de moi de seule me laisser serrer
    de cueillir encore et encore des beautés
    et regarder le soleil
    et lancer mes oreilles alentour
    et jouer à me sourire mes yeux
    et haleiner dessus l’écharpe
    et peut être courir qui sait?
    si l envie m’en prend je ferai
    c’est bon de céder à
    sa douce tentation d’être
    d’ailleurs me vient l’envie de chanter
    la pure folie de se sentir en vie
    c’est bel de bel
    mmmmmhhhhh
    ( clin d oeil Bourrache, Rachel, vous m avez fait sourire si souvent…thanks a lot..!)

    belle journée, je vous envoie du bleu de bleu en rayons chauds! même si les toits à l ombre encore plein de givre à cette heure…

  48. Ossiane,

    me revoilà par chez toi pour laisser une envolée de bises de bonne année
    2010
    un chiffre de science fiction, où sont les voyages vers les astres lointains, je suis intéressée

    bonne année a tous les nouveaux et les anciens

  49. Annick nous parlait de soleil et tu arrives JANE, quel plaisir de te retrouver et de pouvoir à mon tour te souhaiter tous mes meilleurs voeux, je viens d’aller faire un petit tour sur ton site et j’y ai rencontré que du bonheur.

  50. De passage j’ai croisé….
    Beauté, légèreté, chaleur, profondeur
    Poésie de l’âme.
    Que de talent et d’émotions dans ces pages….

    Merci 2010 pour cette rencontre. Je reviendrai

  51. Beauté, légèreté, chaleur, profondeur…. On m’appelle (hi hi hi)

    Bonsoir à tous les petits matelots et toutes les petites matelotes.

    Je vais vous lire à tête reposée.

  52. Aime c’est le mot dit que je préfère,
    comme une injonction ou comme une injection,
    directe ou sur une rampe,
    mais il vous porte et vous emporte,
    vous apporte aussi tant de joie
    et de désillusion, entre coyance et trahison.
    Pourtant M c’est bien simple
    ça enjambe deux fois
    ça enchante mille fois,
    ça ranime la joie au fond du coeur,
    la lumière au fond de yeux,
    ça agite le corps
    et ça dope plus surement
    que d’autres excite temps.
    Alors aime ça commence dans le reflexif
    parce que la confiance vous habite
    ça continue dans le symétrique
    parce que l’échange est à ce prix
    et ça se termine dans le transitif
    parce que ça se communique

  53. oui c’est beau
    d entendre AIME,
    Thierry,
    si seulement ce petit mot charmant,
    tout petit tout de court,
    mais costaud de bel tendre,
    on pouvait l’entendre,
    sur des musiques dans les rues,
    par tout…..
    ce serait chouette!

    tant oublie l’essentiel

    AIME,

    c’est le sel de la vie!

  54. Longtemps, longtemps, longtemps….
    après que les poétes eurent disparu…uu..uu..uu
    on s’est souvenu que personne n’honora si fort l’amour

    Aime est impératif
    Aime est impérieux
    Aime est impérissable

    Aime est un périscope aussi

    c’est entraînant de le prononcer sans traîner
    rapide, aspiré, suave, hatif, plaintif, inspiré

    Aime n’est pas une supplique ni un ordre
    Aime n’est pas une obligation pas plus qu’une extrémité
    Aime est plus un moyen qu’une fin, ou alors une faim

    Aimé c’est le summum de la félicité
    Aimé c’est l’acmé des instants
    Aimé c’est la fougue domptée

    alors oui jusqu’à ton dernier souffle
    aime si tu peux, pas parce que tu le dois
    mais parce que sans cela il te manquera toujours quelque chose

  55. Et comme c’est la vie Annick, sourire et sentir la vie en nous c’est merveilleux, c’est mystérieux et plus fort que la tristesse en soi, alors je m’amuse à relire des trucs que j’ai gribouillés et je souris ): c’est idiot…
    Le navire est « clean » bravo matelots, alors je chantonne sur le pont

    Dans un coin de la classe
    Le cancre pleurait debout
    Dos rond et épaules basses
    Le maître à son courroux.

    A-t-il plus de jugeotte
    Le bonnet sur le crâne
    Le cœur sous la calotte
    Des oreilles pour pompon?

    Puni pour sa paresse
    C’est son p’tit cœur qu’on blesse
    Il rêve d’aller ailleurs
    Sur les ailes d’un oiseau
    Sourit secrètement
    Songeant au bonnet d’âne
    Déposé sur le crâne
    De son instituteur
    Oh! oh! oh!

  56. http://www.youtube.com/watch?v=Y_PIadFsvDk&feature=fvst

    Dance me to your beauty with a burning violin
    Dance me through the panic ’til I’m gathered safely in
    Lift me like an olive branch and be my homeward dove
    Dance me to the end of love
    Dance me to the end of love
    Oh let me see your beauty when the witnesses are gone
    Let me feel you moving like they do in Babylon
    Show me slowly what I only know the limits of
    Dance me to the end of love
    Dance me to the end of love

    Dance me to the wedding now, dance me on and on
    Dance me very tenderly and dance me very long
    We’re both of us beneath our love, we’re both of us above
    Dance me to the end of love
    Dance me to the end of love

    Dance me to the children who are asking to be born
    Dance me through the curtains that our kisses have outworn
    Raise a tent of shelter now, though every thread is torn
    Dance me to the end of love

    Dance me to your beauty with a burning violin
    Dance me through the panic till I’m gathered safely in
    Touch me with your naked hand or touch me with your glove
    Dance me to the end of love

  57. Aimer, il est bon de glorifier ce mot lors des vœux de bonne année, qu’y a-t-il de plus fort si ce n’est la santé du corps et celle du cœur qui à l’encontre du corps n’a pas d’âge.
    ___

    « Les tableaux des amours anciennes peuvent toujours resurgir. Au moment le plus inattendu. Au creux d’une période très vide ou très noire, les instants peints de l’amour feront une furtive apparition. Echappés des coffres de l’oubli, sauvés, intacts. Et l’éternel retour du tout premier amour, son eau fraîche dans les vieux sillons, sa clarté de ciel pur dans les yeux cernés……. »
    Pierre Péju dans le vie courante auteur de la petite chartreuse (très beau) et de naissance.
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