Lecture du Haïku Calligramme: haut, bas gauche, droite
voile d’ambre
une danse d’akènes
les herbes sauvages
◊ Sur les falaises de Belle Ile…
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Lecture du Haïku Calligramme: haut, bas gauche, droite
voile d’ambre
une danse d’akènes
les herbes sauvages
◊ Sur les falaises de Belle Ile…
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Bonjour à tous, je ne suis pas en avance mais c’est finalement venu;-)
Je voudrais vous signaler la mise en musique et en chanson du poème Manège qu’Alain a écrit sur la note « Insaisissable » (voir sous mon haïku)
Coup de chapeau à Bernard pour ses visions prémonotoires;-)
Un signe d’amitié à Corinne, Chief gardener et Acai, Lynédice !
Un clin d’oeil inssaisissable à pierreb;-)
Et un grand bravo à tous pour votre constance et votre bel imaginaire!
J’y retourne, amitiés !
Ossiane.
.
brouillard lumineux
monde de rêve rosé
et lui comme un clou
Quel bel défilé d’images douces, quelle jolie révélation,
quels bels mots et jolie peinture calligramme,
je te remercie, Ossiane, pour chaque partage offert,
quel bel coulis dans les veines qui aiment la beauté de vie.
Est-il espace plus merveilleux que cette lande fleurie sur l’île au dessus des falaises, espace propice aux rêves du poète si sensible à cette beauté champêtre où fleurs, plantes aromatiques, herbes folles, bruyères, ajoncs et renonculacées cohabitent en paix pour former un tableau floral impressionniste aux divines couleurs, les mots s’y roulent, les pensées s’y baignent dans un bouquet d’odeurs, s’y noient dans des halos de lumière, dans cet immense jardin sauvage aux couleurs pastel.
Un proverbe japonais :
« Un poème est un tableau avec voix
Un tableau est un poème sans voix »
Je ne sais ce qui me tente le plus prendre un crayon pour mettre en mots où prendre un pinceau pour mettre en couleurs par petites touches sur fond de lande verte.
Halo de lumière
la houle fait des vagues
une fleur chandelle
Une apparition
dans les herbes du soir
fuligineuse
Bon courage, Ossiane!
J’aperçois dans les herbes une fourmi qui se hâte.
Des perles de fleurs
Sur le ventre de la terre
Lucioles florales
dans le pré en fleur
une poussière de lumière
irradie mon coeur
—
c’est très beau … bravo
–
Bô, très, très bô, Ossiane !
–
Prairie ancienne
D’où disparaît le bleuet
Trop frêle, trop bleu.
–
(oui, je sais qu’il y a pas de bleuet sur ces photos…)
Biz à tous et bonne soirée.
(sur ce, c’est vrai que le bleuet disparaît).
–
–
Penche, penche donc la tête,
m’a raconté le vent de nulle part venant.
Je me souviens de son souffle,
m’éclatant
puis m’éparpillant
toutes graines
à l’avenant.
–
un souffle d’or
berce les herbes folles
les soirs d’automne
c’est p’têtre bête comme tout, mais j’adore une vue comme celle là. MERCI.
je ne me lasse pas de telles belles vues.
la beauté telle ne supporte aucun de mes mots, je reste muette, contemplative, bien, tout simplement bien.MERCI.
Youpi ! de la couleur ! (sourire)
Lumière dorée d’ambre rosée
Fleurs fragiles aux corolles aériennes
Délice de la simplicité….
Merci Ossiane pour la fraicheur du tableau!
Bonne journée à tous…
C’est radieux lumineux doux et tendre à la fois. Il ne manque plus que le parfum des fleurs sauvages qui dansent dans le vent.
Le Pissenlit
Comme on traduit en vers ou sur la pellicule
Les espoirs les attentes des hommes qui spéculent
Les souffrances et les joies qui font qu’une vie bascule
les silences qui dénoncent les mots qui dissimulent
tous les maux quotidiens que la vie véhicule
les accords tacites et les conciliabules
les ententes illicites et tous les préambules
qui nous poussent dans la vie sans prendre de recul
toutes ces forces qui s’opposent qui divergent et bousculent
qui agitent nos âmes comme des molécules
Loin de nous rendre mous font de nous des Hercules
Ainsi la vie nous forge en une sphère délicate
Offert à tous les vents chaque trait devient une fleur
Comme un petit soleil sur le bord du chemin.
ALain
Ce n’est encore qu’un petit halo, personne ne le voit, mais lui, il sait que de là viendra l’incendie, un incendie immense va venir, et lui, en plein cœur de ça, il faudra qu’il se débrouille, qu’il continue à vivre comme auparavant (Comment ça va-t-il ? Ça va et vous-même ?), ravagé par le feu consciencieux et dévorateur.
Il est devant un tigre immobile. Il n’est pas pressé. Il a tout son temps. Il a ici son affaire. Il est inébranlable.
…et la peur n’excepte personne.
Quand un poisson des grandes profondeurs, devenu fou, nage anxieusement vers les poissons de sa famille à six cents mètres de fond, les heurte, les éveille, les aborde l’un après l’autre :
« Tu n’entends pas de l’eau qui coule, toi ? »
« Et ici on n’entend rien ? »
« Vous n’entendez pas quelque chose qui fait “tche’’, non plus doux : “tchii, tchii”? »
« Faites attention, ne remuez pas, on va l’entendre de nouveau »
Oh Peur, Maître atroce !
Le loup a peur du violon. L’éléphant a peur des souris, des porcs, des pétards. Et l’agouti tremble en dormant.
Henri Michaux , La nuit remue.
A l’eau ou à la bruine,
une vapeur évanescente
pas de holà! pour autant
juste attendre un peu
quelques rais de soleil
qui jouent
et puis se décomposent
Les fleurs dansent sans bouger,
Respirant en leur beauté simple,
Le parfum tendre d’une lumière dorée.
Descends tu de la nue comme arrive la pluie ?
Peut être es tu le fruit de la lune qui luit ?
As tu été chassée de la douceur d’un nid
tel un duvet d’oiseau ou bien t’es tu enfuis
De la froide prison l’espace d’une nuit
Pour choisir cet endroit ou tu t’es épanouie ?
ALain
Bonsoir à tous !
Le soleil vient de disparaître à l’horizon et j’aperçois une dernière lueur rouge… J’aime bien les couchers de soleil !
Et lorsqu’il se couche derrière les herbes folles…
Cela donne à peu près ceci :
Un souffle de vent
Bruissements
Un souffle d’air
Frémissements
Le nez à ras de terre
Les herbes, ces folles,
Te chatouillent les narines
En se balançant incessamment
Et tout à coup
Un énorme… Eternuement :
La fleur chandelle
Aux milles graines éparpillées
S’est envolée !
Quelle destinée !
Biseeeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeee
penche ,penche donc la tête,
ais je susurré tel un fantôme surgissant
j’ai égrainé cette fleur indéhissante
répandant
puis dispersant
sa quintessence
à l’avenant
sourire bourrache
–
Marc : je ris !!!
1. En lisant la première phrase, j’ai cru que des commentaires avaient été effacés … ça ressemblait à ce que j’avais écrit il y a qlqs temps …
2. puis j’ai foncé sur le dico pour trouver la définition de ton mot bizarre.
Sur le net, « ils » disent : indéhiscent : qui ne s’ouvre pas de soi-même une fois mûr.
Et dans mon vieux PLI posé sur ma vielle commode, il est écrit : qui refuse de sortir de son bac à sable…
Sourire, effectivement, et clin d’oeil.
–
Bonne soirée et douce nuit à tous.
–
Allo, allo monsieur ,
il y a de la lumière plein les yeux
je cligne et je recligne,
j’aligne les tiges qui dansent envaporées
ma vision se laisse porter…extatique
Les petites fleurs naissant de la brume
aucun jardin ne les enfermera
Ton souffle
Et ma vue se trouble
Ta main
Et le soleil devient diffus
Tes doigts
Et le ciel s’ouvre
Tes lèvres
Et les étoiles renaissent
Ton corps
Et l’univers implose
Dieu que c’est beau
Dieu que c’est bon
Les yeux fermés
Ces images m’habitent
Les bras ouverts
Mon corps respire
Corps offert
Mes sens se troublent
Goute comme c’est bon
Ecoute comme c’est beau
Offrons-nous ces moments là
Dégustons-les à en mourir
Des jeux de lumière
Sur la lande des falaises
Flore microcosmique
C’est pour dire que les mots s’inventent des couleurs
C’est pour dire que les mots tout en frou-frou de vers
S’habillent les jours oisifs pour aller dans le pré
Courir entre adonis et Euphorbe faux cyprès
Glisser entre Séneçon et Laiteron maraîcher
Sur l’ombelle dorée des buplèvres penchés
Se suspendre en rubans afin que cueille le vent
Les notes de l’air du tant…
Et tant et tant à dire
Que toutes les fleurs des champs
Des Alpes aux Pyrénées gardent vivaces les vers
Dessus leurs tiges frêles, dans leurs akênes sauvages
Et le soleil penché, lascif en fin de jour
Accueille en son halo les poèmes reçus…des cœurs.
Allez, youps, je viens batifoller un peu de temps, avant de goûter à mon jour à saisir de vie,
et les pieds gambadent le pré, et le petit coeur se danse,
et les fleurs des champs doucement respirent de belles vivantes,
et je vous souhaite une belle journée.
Beaucoup de bien pour chacun. Ici, la lumière est fort belle, dehors. Bel jour!
–
Sans halo mais avec des
http://www.observatoire-environnement.org/dsne/local/cache-vignettes/L800xH600/Centaurea-cyanus-bleuet-4-540d7.jpg
Oh … juste comme ça … en passant …
Un peu pour « meubler » quand même
(y’a quelqu’un ???)
–
Vous semez à tout vent… des images et des mots impalpables.
et reviendue, y’a quelqu’un!
je te lis et souris, Bourrache,
et regarde,
quelle jolie vue!
Le pissenlit ému
En fin de vie
Sa vie
Entouré des bels bleus
Attend pour se pouffer
Son arc en ciel dernier
D’un bel souffle de vie
Il a encore le temps
Se gave en lâcher prise
De merveilleux instants
C’est bon de papoter
Serré dans un bel pré
Et de se laisser aimer
Fort tendrement son temps
à ce soir, je faisais que passer,
du doux temps à me ressourcer avant d’envisager au top, la sortie du jeune homme de l’ESAT, c’est que, en autiste ado adulte, y’a du tempérament le jeune homme,
mais moi aussi, j en ai…SOURIRE!
Bises de bel jour gai en tout dedans! c’est bon d’aimer le temps!
et merci, Bourrache, pour ce meuble joil, que j’aime!
Les anges
Ainsi qu’un fin duvet où se prend la lumière
Vient orner le menton des garçons dont c’est l’age
Un halo lumineux brouille leur personnage
comme une vapeur d’eau dans une salle de bain
dans ce monde de haine ils hésitent à paraître
une grande douceur émane de leur être
ce sont des êtres de lumière de ces lampadophores
que les adultes abhorrent que les enfants adorent
un sourire innocent éclaire leur visage
une lumière intérieure ainsi qu’un photophore
un sourire de faïence des mains de porcelaine
Quand on leur presse le nez il en sort du lait
Lorsque Noël approche ils attachent leurs cheveux
ainsi que des guirlandes aux branches de sapins
Alain
Un petit coucou, Ossiane!
Ton calligramme est très beau. On dirait une peinture impressionniste.
Feux-follets d’ambre
Sous leur tulle de candeur
Le pré des amours
Belle journée!
Mon pissenlit
Tu te souviens
Mon nez sur toi
Et not’secret
De rien que nous
Cet Aujourd’hui
Et ses intenses
Je t’aime tant
Mon bel de vie
Bonsoir Annick ,… petites graines de pissenlits et autres graminées soufflées en « top’secret » et qui couvrent avec tant de grâce et de beauté ces espaces caressés par les vents marins…
____
Il fait beau aujourd’hui sur la lande
Je suis seule au bord de la falaise
A contempler la prairie parsemée
De fleurs aux parfums subtiles
C’est mon espace, mon jardin
Mon parc, mon paradis d’un soir
La brise caresse mon visage : bonheur !
Un papillon m’accompagne : errance !
Le vent souffle ses notes : romance !
L’océan joue ses gammes : rengaine !
Ambiance chargée de quiétude
Je suis bien ce soir au bord de la mer
Cheminant dans la lande en fleurs
Parsemée ça et là d’étoiles d’akènes
_____
Bonne nuit à tous, et laissons la nuit envelopper ces jardins enchanteurs d’une brise désaltérante.
« Une herbe folle en fleurs
en entendant son nom
Je la vis d’une autre façon » Teiji
Rêve de soleil
d’une fleur en herbe
dans les champs passe
un souffle d’air
qui lui a fait tourner la tête
Une fleur cueillie au bord d’un chemin
Une fleur recueillie par le seul regard
S’éclaire un matin plus que les autres matins
Dans la vie un jalon de notre intime histoire
Bonjour et bon week-end à tous
____
Percée du soleil
Dans la brume de l’aurore
Réveille les fleurs
____
bon week-end à toi Monique
et à chaque passants invisibles
une myriade d’étoiles filantes
voie lactée d’un halo de lumière!
vite, faites un vœux
Aloa, halo ha!
Certains trouvent que le halo gêne,
en fait il jette une lumière trouble et troublante.
Alors si cette auréole hâle haut
du moins diffuse t elle alentour
Bonsoir à toi Ossiane et bon courage dans tes multiples occupations
et salut à l’équipage.
Chacun court où il peut…..pas forcément où il veut
____
Courir sur la côte à travers la lande
Sur le tapis douillet des herbes sauvages
Se nourrir de l’air qu’elles respirent
Trouver dans cette steppe océanienne
La force et la rudesse nécessaire
Pour ancrer nos racines dans le sol ingrat
Et par des mots venant du cœur
Faire éclater humblement au soleil
Mille petites fleurs pour embellir la terre.
___
Se frayer un passage au travers des foules
Sur le sol bien souvent inhospitalier
Traînant ses savates sur le macadam
Se nourrir de ce que l’on trouve
Avec la volonté de vivre ou survivre
Cherchant sa place au milieu des humains
Et par un regard, reflet de son âme
Esquisser un sourire sur un visage fatigué
Pour faire naître peut-être un courant de bonté.
____
Courir dans tes bras, mon amour, mon ami
Et sentir sur ta peau les odeurs de luzerne
Accrocher à ton dos les akènes des coteaux
Et rire nos cœurs pivoine, la tendresse en semis.
Bonsoir Monique, bonne nuit à tous.
Bonsoir Leïla et un semis de tendresse j’en veux bien aussi. Bonne nuit à toi .
Dans quatre nuits, elle sera pleine.
Le dernier souffle
sera voyage
nuée d’aigrettes
à la volée
De soie sauvage
déshabillée
vois apparaître
l’oiseau des larmes
incandescent
De sève douce, l’orbe s’épanche de nos mains ivres
Effleurement
Aube limpide
Similitudes
Parfaits adages
entrelacés
Que d’akénes n’a t on compté
à l’heure où sonne l’ouverture des coeurs
semer, sonner avec la rosée
Bernard c’est superbe, j’avais oublié de te le dire
émouvant aussi
Premiers vents
Amour pissenlit
Tu seras étoile de mes rêves
De la lune qui éclaire mes nuits
Tombera un semis de joie
Doucement posé sur l’effroi
De mes pages blanches.
Premiers froids
Fin d’année
Un douillet cocon
Mohair et mitaines
Pour croire que de laine
Nos corps enlacés
S’aiment tendrement
Dans la quiétude du séjour
Le feu de bois berçant l’espérance
Toi et moi, nos enfants accrochent des guirlandes
Halo, c’est la lumière des soirs de fête
C’est l’hiver et le printemps réunis
Le vent souffle sa symphonie
Rien ne bouscule l’harmonie… de l’instant.
allo !…ah:…l’eau ….halle aux …
http://www.youtube.com/watch?v=RRpxgsHQzgg
Merci francis,Très joli « Rue des étoiles »
Revenons sur terre…halos là bas… brillants comme des poussières d’étoiles… un petit coin de terre…
___
Compter fleurettes
La lande n’en a que faire
Dans l’étendue muette
Baignée de lumière
Quelques halos pour repères
Où mille fleurs abondent
Un petit lot de terre
Là bas au bout du monde
Un espace de rêves
Dans l’aridité de l’île
Richesse sur la grève
D’un équilibre fragile
Que demeure sur cette terre
Cette beauté encore sauvage
Lande belle et prospère
Pour poètes fous ou sages
Contes mythiques
Des grottes souterraines
Personnages charismatiques
Fées souveraines
Le mystère des mots
Pour contes en folie
La magie des mots
Un brin de poésie
___
L’homme sur son petit lopin de terre, lorsqu’il a rendez-vous avec les fleurs, le vent, et la mer, est absent de lui même, il se fond dans le silence et oublie le temps,sans le savoir il devient partie intégrante de la nature et de sa beauté.
Entre les herbes folles et les hallos du soleil plus pâle
pensées ébouriffées de trop d’activités
Bonsoir Ossiane et chacun amis
Regard toujours attentif à vos mots
AA
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Bonsoir à tous, un passage en coup de vent… une semaine vraiment difficile et une note entamée depuis plusieurs jours que je n’ai pas encore réussi à finailiser. Je vais essayer de la terminer ce soir. Et vous toujours là un peu moins nombreux mais c’est bien normal;-) Encore merci à vous tous qui continuer du mieux que vous pouvez à faire vivre en beauté ce bel espace.
Amitiés vers vous, à ce soir en principe!
Bienvenue et merci à Lautreje, Mathilde, arletteart, Claudie, Dominique!
https://blog.ossiane.photo/2005/10/02/2005_10_ambroisie/#comments
https://blog.ossiane.photo/2009/11/04/detresse/#comments
.
–
A bout de méandres
de larmes coulées.
Amarrer la peur.
La quitter à quai.
Poser pied parmi
dans – sur –
les herbes folles, la folle envie.
Le jardin interdit.
Une main croque.
A dessein. Animé.
Princesse à ranimer.
ou
Haricot-princesse
craquante sous la dent
s’enlace à la perche offerte.
– sensualité –
Que vous disais-je encore ?
… me voilà perdue.
–
–
Paske je sais pas dessiner :
http://www.deezer.com/listen-1148742
… même pas un mouton !
–
Je vous souhaite cette nuit … sans épines.
Une fleur bleue.
–
cela va, Bourrache,
j’allume une petite bougie, qui te sourit…
je t’embrasse, Bourache.
je regarde la colonne de gauche,
et je vois Bourrache à Halo,
« ben zut alors?! » comme dirait mon fils,
je pars vérifier, mon comment bien écrit à la bonne place…
???j’m’cogite,
et puis je te revois Bourrache,
à la même heure que moi…..
mmmmhhh, c’est une sacrée, hein, ma petite bougie! bises.
dès qu’il se couche dans 5mn, j’écoute avec son ordi,
le mien a un son qui laisse à désirer…
Je n ai jamais lu en entier le petit prince,
juste j ai lu des extraits ces dernières années…
–
‘rci, Annick. Je l’accueille -la cueille- , ta bougie….
Et, juste en passant, sans trop savoir pourquoi … une pensée à Neyde.
–
cela va, Bourrache?
j’allume une petite bougie, qui te sourit…
je t’embrasse, Bourache.
etcomme je me relis,
je vois qu une virgule par erreur…
mais tu as lu au plus près de moi, merci.
une seconde bougie pour Neyde,
et tant d’autres,
pour Ô bel temps que vous êtes, tous de chacun, merci!
senteurs de l’illusion
douces vapeurs en spirales
fondement de mon désert
A Thierry,
http://www.deezer.com/listen-705073
Bonjour,
Je trouve tes photos et tes poèmes superbes !!!!
Au fur et à mesure que je parcours ton blog tu me fais rêver.
Merci beaucoup.
J’ai repris un de tes poèmes que tu as écris en 2005 sur la Badiane. Il sera en ligne sur mon blog demain matin vers 8 heures.
Bonne soirée, Doria