Flocons

Flocons

édredons volants, passe la caravane, peuple nomade

Lecture du Haïku Calligramme: de haut en bas

édredons volants
passe la caravane
peuple nomade

Sur la côte sauvage de Belle Ile…

94 réflexions sur « Flocons »

  1. Ciel vivant en mouvement, ça bouge comme les enfants en vacances qui eux ne tiennent pas compte du sens du vent et bougent dans tous les sens. Bonne après-midi
    ______

    La grande parade
    Pour un spectacle en folie
    Vers l’apothéose

    ____

  2. Les flocons de son âme
    Déchirée et meurtie
    Font un moelleux tapis
    Où se marcher encore
    Après le fond du gouffre
    Redevient le possible
    De simplevivre seulement
    Si sonnée des semaines
    Par de la violence
    Qui abîme tellement
    Et dessert plus qu’elle sert
    La douceur du bel être
    En patience du temps
    Qui aime son prochain
    Se retient ses combats
    Humblement bel Humain
    Il respecte tel l’autre tel
    C’est bizare la vie
    Que les combats de certains
    Et quand on est bel doux
    On ne se défend pas
    On se laisse casser par des mots meurtiers

  3. Coucou Monique,
    une grande pensée vers toi, et les enfants pleins de vie, qui bougent dans tous les sens,
    mais vois tu,
    je peux afirmer à mon milieu d’age,
    que les enfants à trois, petits, ce fut bien éprouvant et épuisant souvent, en autisme à se vivre,
    mais finalement ce qu’il en reste à ce jour, c’est un temps merveilleux,
    un bel temps, si bel temps d’amour de ses enfants petits,
    et parfois le creux de vide en solitude trop pleine, c’est plus triste à se vivre….

    Mais chaque chose en son temps,
    le temps passe comme ils passent, les nuages dans le ciel,
    parfois si lentement, parfois en nuages noirs, ou en petits moutons mignons disciplinés.

    Belle après midi.

    Ps/ et je relis mes mots, et je me dis, ‘ou bien je perds la tête, ce fut parfois si décapitant en autisme en jeune age, mais si je fouille un peu, me restent que la saveur des goûters, les bains, les prispris, les yeux émerveillés, les mains dans la mienne, les cartables et sacs goûters, les purées etc….

    Alors je te souhaite qu’ils partent un peu moins dans tous les sens, et qu ensemble vous avanciez heureux….BISES.

  4. les flots qu’on se réserve et qu’on conserve par devers soit et comme envers
    comme autant de duveteux matelas à penser
    « Flakes that makes our night a kind of delight »
    ciel floqué pour oeil flouté quand tout flotte et que biseauté, besogneux, renfrogné s’avancent en cohortes cotonneuses faufilées et cardées les flo-com-presse pour étancher les fuites du ciel parsemé

  5. La-bas au bout du monde
    Il y a Belle-île la bien-nommée
    Au delà des flocons de nuages
    Après le bout du monde
    Houat retient mon cœur

    Passage à l’heure d’hiver
    Le coq a vu son heure
    Finir au surgélateur

  6. Aujourd’hui…
    Un édredon volant ..avec à l’intérieur ..des rêves de couleur et des plumes passagères..qui se pose sur les toits et les antennes des souris…qui dévale les rivières et les escaliers d’une forêt endormie…qui perd son souffle dans le creux de la nuit…
    Un édredon …pour les mots de tous les jours….pour couvrir les peines…étouffer les beaux discours..qui se glisse à vos pieds aux douze coups de minuit…et perd ses plumes à vouloir se presser..
    Un flocon..sur les rives d’un lit…et le chat sur le toit qui sourit…pauvre antenne à moitié endormie…et s’envolent les rêves ..la raison assoupie…

  7. Voilà des ans déjà
    Que l’oeil tout posé là
    Se grimpe sur un nuage
    Et sur un autre ensuite
    Dans le creux de sa tête
    La marche l’oeil en nuage
    Le cerveau embrumé
    Par un manque certain
    Être privé de quelqu’un
    Est un drame tellement

  8. tendresses Bourrache, Rachel, Christineee, Phil Alba, Thierry, Marc et chacun, vous êtes si nombreux, désolée de mon absence de tellement de présence..mais des coups durs de vie, prennent tant d’énergie, que plus de mots possibles, muette, sonnée de sonnée.
    Bonne soirée.

  9. On pense à toi petite toto. J’espère que notre affection t’apportera un peu de réconfort dans cette période difficile. Je sais que je peux parler au nom de tous les mâtelots et de notre chère capitaine.

  10. et si on allumait tous une tite bougie pour la toto ?
    je suis sûre que ça lui réchaufferait le coeur des pt’ites bougies allumées aux 4 coins du monde.

  11. Annick, si seulement on pouvait t’apporter davantage que des mots, mais derrière tous ces mots il y a notre volonté de vouloir te soutenir et t’aider, pas facile la vie il faut en convenir, sur ce blog je pense qu’il y a beaucoup de monde autour de toi, et si les contacts restent virtuels, notre désir de te réconforter est bien réel, il faut que tu en sois convaincue, c’est bien peu ce que l’on peut faire mais ce peu vient du fond du cœur, du fond de mon cœur Annick.

  12. vous êtes vraiment gentils,

    j allais répondre à toI, PIerre B, que la toto elle est costaude, enfin me semble.. je pense…sans en être certaine car c’est fragile une carcasse de toto, mais cela va ce soir….c’est pas facile quand on est une toto TROP HUMAINE!

    et puis je te lis, rachel, et déjà je t embrasse, et puis tu me fais pleurer avec toutes ces bougies, une seule suffit, je ne suis que moi, avec mon âme à moi, qui est que moi!

    MERCI

    je vous embrasse, touchée! sans être coulée! je viens de raccrocher avec une amie du nord qui s’inquiète, mais cela va, et je la revois mardi soir,alors cela va…

    ET COMME DIRAIT CALOGERO:
    on nest riche que de ses amis, c’est dit!

    j en souhaite à chacun au moins un, ou plusieurs, de vrais!

    je vous remercie,
    toutes ces années, la toto ele a bravé le tant, et en vieillissant, elle a moins de force, avant un donquichotte la toto..SOURIRE! quoique?! elle a des projets HUMAINS!
    Désolée, la toto c’est pas une triste, c’est une coquine de vie! même dans le plus lourd! mais jusqu’à ce soir, ratatinée quand même!

  13. c’est gentil, Monique,
    je suis rouge de prendre la page, c’est aps mon genre, cela va, vous en faites pas!
    j ai de la force m e n t a l e § SOURIRE!

  14. L’âme des peintres.
    Un relief familier.
    Le vent mis en scène par le blanc.

    http://www.youtube.com/watch?v=58IY_8uxKnU

    Monet (Le bassin d’Argenteuil)
    Sisley (barque pendant l’inondation)
    Pelouse (Banc de rochers à Concarneau)
    Pissaro (Les quatre saisons: L’été)
    Moret (La moisson devant le clocher de Saint-Nic)
    Daubigny (L’entrée du Kerity)

  15. Les nuages occupent l’espace et passent sans s’arrêter au dessus de l’île pour rejoindre là-bas le continent, portés par le vent, légers comme des flocons appelés à disparaître dans un courant d’air chaud.
    ____

    Glissent les nuages
    Comme un troupeau de moutons
    Une transhumance
    _____

    Quand bien même il se passerait quoique ce soit sur la terre, les nuages continueraient leur marche imperturbables portés par les vents.
    « …et même si un jour la terre entière est recouverte de béton, le grand ballet des nuages se poursuivra dans le ciel ; ici et là des hommes continueront d’ouvrir grâce à leur art la porte d’accès au divin » Herman Hesse

  16. Courbet (La falaise d’Etretat après l’orage)
    Monet ciel encore! (La plage de Sainte-Adresse / Les régates à Sainte-Adresse)

  17. Bisou Annick, vous/tu-faites/fais partie de ces gens auxquels on s’attache m^me sans les connaître vraiment, même sans attendre qu’ils vous aiment vraiment.Même sans le leur dire vraiment et puis je vous lis tous et souvent je ne dis rien, je n’écris rien ou écrit beaucoup, c’est selon, et lis les histoires de la toto, souris dans mon coin, je reviens régulièrement comme vers ce coin de jardin le vrai de vrai qu’on affectionne juste pour une petite plante, un tronc, ou que sais-je? un jour marc avait raconté une histoire de banquet sous la tonnelle où les passagers du blog se réunissaient en toute amitié.Mine de rien des p’tites histoires comme ça, ça fait chaud au cœur de les vivre en réalité et ça laisse trace de vie indélébile.Bonne soirée à tous sous les flocons…des rêves

  18. « Une seule bougie suffit, je ne suis que moi ». Ben il manquerait plus que tu sois une autre (sourire). Et pis taratata tu les mérites ces bougies aux 4 coins du monde.
    Et puis Leila tu fais partie de l’équipage crois moi, du vrai de vrai, de ces mâtelots qu’on affectionne sans pourtant le leur dire sans arrêt.

    Me vl’a toute sentimentale. Allez zou je vais aller me coucher. Pas au premier étage première porte à droite mais au même étage et première porte à gauche.

    Sourire et pensées vers l’inimitable, l’inégalable, l’inaltérable en un mot la formidable Toto.

  19. Tous ces ciels au dessus de la côte sauvage de Belle île en mer ont frappé l’oeil exercé d’Ossiane, formes, couleurs, mouvements, impressions, atmosphère, regards artistique et poétique qui me ramènent à cette phrase du peintre Eugène Boudin (ceci dans l’esprit du commentaire de salade)

     » Nager en plein ciel. Arriver aux tendresses du nuage. Suspendre ces masses du fond, bien lointaines dans la brume grise. Faire éclater l’azur. je sens tout cela venir, poindre dans mes intentions. Quelle puissance et quel tourment ! Si le fond était tranquille, peut-être n’arriverais-je pas à ces profondeurs. A-t-on fait mieux jadis ? Les Hollandais arrivaient-ils à la poésie du nuage que je cherche ? à ces tendresses du ciel qui vont jusqu’à l’admiration, jusqu’à l’adoration ; ce n’est pas exagérer » Eugène BOUDIN

    Je vous laisse chacun à vos rêveries et vous souhaite une bonne nuit, je vais saisir tous ces flocons du ciel, flocons de coton, va sans dire, et non coton de neige, pour m’en faire un oreiller bien douillet.

  20. annick ce blog est une oasis virtuelle ou chacun peut se reposer, parler ou rester silencieux
    les premières fois que je suis venu, Ossiane m’a accueilli mais alors que j’avais
    très peur d’y déposer mes mots tellement j »étais intimidé par tous ces écrits
    et il est vrai qu’a cette époque il y régnait une effervescence hors du commun
    et bien toi aussi tu m’a accueilli et je cela m’a permis de prendre confiance
    alors merci et je me joins à tous les autres pour t’apporter un peu de réconfort au travers de ce blog , réconfort qui est sincère car derrière la virtualité de cet écran nous existons tous bel et bien avec toute les difficulté que nous apporte l’existence …je t’embrasse annick

  21. Rachel 1er ét&ge et 1ère porte à gauche, Rachel t’es sûre que tu ne te trompes pas de chambre, c’est la mienne, hier c’est moi qui me trompais en prenant 1er étage, 1ère porte à droite, je me suis trouvée nez à nez avec Bourrache, pas possible sur ce navire il doit y avoir plusieurs escaliers à force de regarder les flocons de nuages, je perds le sens de l’orientation !!-;)

  22. Il faut dire qu’il y en a du monde sur ce navire, ça bouge, ça parle, ça philosophe, ça blague, ça réconforte, ça se fait des clins d’oeil, ….et ça parle d’amour et d’amitié, de la vie tout simplement avec ou sans flocons… Bonsoir à tous, je laisse la place aux couche tard.

  23. Bisou Annick, Monique et tout l’équipage. De vous lire en tendresse solidaire, ça émeut de tant comme dirait notre toto 😉
    Je ne trouve pas de joli mots à rassembler pour te faire un beau bouquet Annick (mes neurones sont éparpillees sur le pont et pour remettre mes idées en place, il me faudra en faire du ménage;) mais le coeur y est, et Il est plein de eeeeee qu’ il en deborde presque.
    love et bon week-end

  24. Leila, Monique, Rachel, Marc, Lou and cie,
    chutttt pas si fort, la toto elle aime passer inccognito….. sourire…
    émue elle est…de tant….
    sur le pont d’Ossiane, avec ses escaliers dérobés par le temps….heu? le tant! heu? le tant de temps! le temps de tant!

  25. Touchée de vous lire avec vos bobos, votre coeur qui déborde de sensibilité et la toto qui continue de trottiner bon gré mal gré… touchée de vous si attachés à cet espace de partage d’émotions et d’humanité… il y a des hauts et des bas dans la vie mais il faut toujours garder espoir que ça s’arrange… période charnière qui bascule de la lumière à l’ombre et entraine la mélancolie… ombre et lumière deux amies inséparables qui se jouent parfois des mauvais tours… oui je suis sensible à ces nuages qui depuis l’aube de l’humanité continuent leur voyage comme si de rien n’était… je les trouve réconfortants dans cette période si troublée où l’on perd ses répères… méfiance, garder l’oeil ouvert et ne pas se laisser sombrer dans l’obscurité… croire en l’homme, croire en un avenir meilleur et plus humain…
    Bienvenue à bord Thierry et bruno ! Bises à tous et merci!

  26. Pour Annick

    Gros nuages noirs,dans le silence ,ciel lourd sombre ..
    Vent qui amène,en partage,paroles d’amitiè…

    Passe la caravane de blues et idées noires
    Revient le soleil timide , puis radieux…

    Douceur de la vie
    Chaleur de l’amitié
    SOURIRE

  27. Bonjour à vous !

    J’ai une cargaison de

    eeeeeeeeeeeeeeee
    eeeeeeeeeeeeeeee
    eeeeeeeeeeeeeeee
    eeeeeeeeeeeeeeee
    eeeeeeeeeeeeeeee

    A livrer !

    C’est la bonneeeee adresseeeeeeee ?

    Destinataire :
    Juste un prénom : Annick !

    En plus, il y a un petit paquet,
    Un joli modèle de nuage…
    Pour vous les filles !

    http://3.bp.blogspot.com/_kqkQgqFW8oY/SjCrIfd7jvI/AAAAAAAAAho/GKS62_BXLv4/s400/Collier+nuage+pluie.jpg

    Biseeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeeeeeeeee

  28. Nuages à couper ou à découper…en suivant les pointillés ?

    Passer des flots bleus au ciel gris
    de ce matelas être tout simplement épris
    et dans ce qui ne manque pas de sel
    épris sodique mais pas spasmodique
    alors éviter la flak et ses nuages noirs
    pour laisser passer un flocage sans âge
    confortable et soyeux, douceur émolliente
    de la soie floche qui s’effiloche
    au floconneux du cotonneux
    pas de contours bien dessinés
    pas de compte-tour vacciné
    aux âmes bien nées
    le ciel se donne
    sans rémission


  29. Annick : tacaclop, tacaclop, j’arrive avec un peu de retard. Alors, pour toi, j’allume pas une ‘tite bougie mais un .. cierge. Suis de tout coeur avec et près de toi.

    Christineeeee : rien que d’y penser, ça me fait déjà guili-guili.

    Ici, beaucoup de vent. Plein de moutons qui galopent dans le ciel en jouant à cache-cache avec le soleil et danse des feuilles rousses. 9°C. Joli dirait la Toto.

    Ossiane : ta photo est magnifique. Y’a comme de l’espoir dedans.

    ^_^ et biz à tous.

  30. J’ai été un âne et j’ai fait de moi l’esclave d’une femme comprends-tu ? D’où la morale de l’histoire : qui se laisse fouetter mérite d’être fouetté… Mais, comme tu vois j’ai bien supporté les coups, le brouillard rose suprasensuel de mon imagination s’est dissipé et personne ne pourra plus me faire prendre les guenons sacrées de Bénares ou le coq de Platon pour l’image de Dieu.


  31. Avec un « r » de plus, la fourrure aura tout son duvet et Vénus un peu plus chaud…

    « Poète, c’est assez. Auprès d’une infidèle,
    Quand ton illusion n’aurait duré qu’un jour,
    N’outrage pas ce jour lorsque tu parles d’elle ;
    Si tu veux être aimé, respecte ton amour.
    Si l’effort est trop grand pour la faiblesse humaine
    De pardonner les maux qui nous viennent d’autrui,
    Épargne-toi du moins le tourment de la haine ;
    À défaut du pardon, laisse venir l’oubli.
    Les morts dorment en paix dans le sein de la terre :
    Ainsi doivent dormir nos sentiments éteints. »

    A de Musset.

  32. « I bear the obedient language like a cloud…a people with no poetry is a defeated people »

    « Je porte le langage obéissant tel un nuage..un peuple sans poète est un peuple vaincu. » Mahmoud Darwish.

  33. Nouvelle recette

    Prendre quelques nuages
    En flocons, de préférence,
    Attendre qu’il pleuve un peu
    Pour apporter assez d’humidité
    Mélanger activement
    Avec un nuage de lait
    Vous obtiendrez :

    Une purée…. De pois !

    Biseeeeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeee

    PS/ M’en vais préparer ma purée !

  34. .

    Oui, Bourrache, il se passe de drôles de choses sur le blog en ce moment… que ces multiples identités se démasquent…

    Non Salade, je ne suis pas mélancolique, j’ai simplement la pression et je fatigue un peu;-) Les nuages me reposent et me rassurent car je sais qu’on ne peut pas nous les enlever;-)

    Les ciels à la Boudin, ça je connais bien et j’adore;-) Merci Monique!

    Belle phrase de Mahmoud Darwish, leila, merci!

    Christine, je veux bien un « E » sans sucre !

    Je confirme ce que tu dis, marc.

    Coucou aux rêveurs, Pierreb, lou, thierry, rachel rouletabille, jean, JOS, Maria et ceux qui n’ont pas encore écrit

    Belle journée à vous!
    .

  35. Flexibles et conformables mais pas conformes
    souples et ouateux, mais pas jusqu’à l’assoupissement
    évoquer provoquer, de l’esprit, l’assouplissement
    quand le mot sombre, le nuage périclite
    bataille de polochon en crac et en vrac
    et au ventre cet énorme trac

  36. Edredons remplis de rêves survolés, aspirés pendant la nuit,
    fenêtres ouvertes.
    Rêves en flocons redistribués de ci, de là,
    quand le vent nous porte.
    Rêves de voyages, pour un peuple nomade,
    Rêves de rencontres, quand passe la caravane.
    Attention un rêve peut en cacher un autre
    Juste en devenir, en flocon….
    Rêve éclos pour nuit sereine,
    Rêve bleu dévasion
    Rêve blanc de contentement

  37. L’oeil assis le rocher
    Avec son épuisette
    Il attrape un nuage
    Et s’en tamponne doux
    Délicat bel rêveur
    Si bel parfum éther
    Qui donne vie la pupille
    Magie d’un ciel de terre
    Qui éclaire l’oeil de vie

  38. Douce journée Ossiane, Sourire Jo.S, Merci pour les eeeee Christineee, Bises sur un joli parchemin avec un bel cachet de cire Bourrache, Pouetpouet de la toto….

  39. A l’heure des flocons migateurs
    qui délaissent leurs cocons duveteux
    retrouvé un texte sans ambition

    « Flocage à l’heure du petit déjeuner »

    A l’heure où les petits déjeuners dominicaux
    Ont des allures de brunchs pas très matinaux.
    Nous trouvons une tempête au rendez vous
    Un tourbillonnement désordonné un peu fou
    De fins flocons se déposent dans notre écuelle
    Tendant à masquer les décors de notre ruelle.
    Agités de toutes parts ils se déposent minces
    En couche fine qui sous les pneus grincent.
    Pourtant on imaginerait le mousseux flocage
    Recouvrant du plafond un quelconque étage.
    Malgré sa légèreté floconneuse proverbiale
    La gravité impose une nette loi dictatoriale
    Imposant un tapis étendu jusqu’à perte de vue
    Mêlés à l’avoine, j’en suis à peine revenu.
    Caprice du ciel mais pas aléa météorologique
    A son éclosion il y a une complète logique.
    La température est un paramètre nécessaire
    Pour que ces cristaux se réticulent en amas
    Devenant de l’hiver les précieux émissaires
    Qui finiront alors, tout au plus, en énormes tas.
    Ainsi, dans cette blancheur laiteuse, on pourrait
    Voir un avatar terrestre à notre divine voie lactée
    Ayant décidé de voir comment sont tractés
    Les véhicules patinant sur la couche glissante
    Qui nous rappellent que la vie est dérapante
    Et qu’il convient d’en contrôler le cours.
    Pourtant les meilleurs sablages du monde
    N’empêcheront pas l’angélique ronde
    D’enfants autour de bonshommes attifés
    Qui en sautillant en font sans cesse le tour
    Objet mythique de la joie symbolique
    Qui cristallise leur volonté onirique.

    En pensant aux flocages pas aimables

    « Asbestose, un mal dévorant » comment avoir la fibre patriotique alors que les tutelles ont souvent été autistes et que nous fûmes réguliérement en retard sur les législations d’autres pays.

    La minéralogie réserve des surprises
    Au-delà des amateurs qui chiquent ou prisent
    Il y a depuis longtemps une fibre
    Qui par ses qualités mécaniques et thermiques
    A nulle autre pareille à fait d’elle un calibre.
    C’est sur la tempe de travailleurs ataviques
    Que son influence sournoise avec retard agit
    Depuis on ne cesse de révéler l’ampleur du mal
    Ce miracle technologique dans les poumons réagit
    Et creuse des vides dans leurs rangs, arme fatale
    Allant de paire avec ces diaboliques propriétés
    Cet isolant hors pair, n’a point su rendre réfractaires
    Aux dangers recelés, une population qui s’est frotté
    A ses risques et périls et que des autorités ont su taire
    La virulence unique liée aux microscopiques particules
    Infectant irrémédiablement de ces gueux les poumons
    Alvéoles contaminées, souffle court ; jamais ne reculent
    Ses effets pervers ainsi l’affaire nous résumons.

  40. «  Les nuages étant composés de gouttelettes d’eau ou de cristaux de glace de dimensions microscopiques (quelques microns) mais cependant nettement supérieures aux longueurs d’onde de la lumière, ils vont diffuser également toutes les couleurs de la lumière du Soleil et vont donc apparaître blancs. Ceci est vrai pour tous les nuages vus d’avion. Au sol, les nuages de taille moyenne sont également blancs ; par contre, les très gros nuages vus par dessous vont apparaître gris ou même presque noirs car ils sont tellement épais que pratiquement plus aucune lumière n’arrive à les traverser. »
    —————–

    le coeur d’Annick est un rêve-nuage
    aux couleurs solaires de mots-partage
    au léger parfum d’étoile de badiane
    qui passe dans le ciel d’Ossiane

    ——————

  41. J’avoue que je conjuguerais le verbe être au présent. Je suis en lieu et place de j’ai été un âne.

    Désolée. ça me démangeait.


  42. Je résume :

    – Je suis un âne : hihan.

    – Et moi, je suis un peu vache qui rit : hihi.

    – Dites, c’est grave, docteur ?

    – Oui…

    (c’est vrai que je commence à avoir des doutes sur mon état mental !!!)

  43. Vous commencerez par deux gélules matin et soir pendant 7 jours.

    Si les symptomes persistent, je vous enverrai voir un spécialiste.

    Cela fera 44 euros. 22 par Bourrache

    Docteur Ross……………….Beef

  44. mmmmmmmmmmmmmmmmhhhhhhhhhhhhhhhde vous, je me souris!

    honorée, amichel, j’aime tellement chaque vos textes, si bels poèmes, qui me vibre d’amour……..

  45. Bonsoir amour de ma vie. Je passe le bonsoir à tous les poètes de ce magnfique navire et j’espère que vous tous vous allez bien. Moi je vais bien mais il y a toujours un mais je pourrai aller beaucoup mieux avec le temps et plus de repos. Il me faut une cure de sommeil. Je souhaite un très bon week-end à tous et une bonne santé cela est l’essentielle qui n’a pas de prix.J’attends des jours meilleurs mais pour l’instant je supporte et je me demande combien de réserve de patience il me reste avec tout ce que j’ai utilisé. Je souhaite de vous des prières pour moi et ma famille c’est tout ce que j’attends de vous tous et de continuer de me faire rêver avec vos poèmes qui sont pour moi mon carburant pour mon coeur plein de joie et de tristesse. Chez moi cela va de paire. MAis on arrête de se lamenter je n’aime pas cela. Je préfère rire pour tout oublier c’est une thérapie pour moi et me permet d’avancer vers un avenir meilleur pour tous.

  46. Ce paquebot magique porte un très beau nom, bâptisé aux champagne il porte le nom de « AMOUR DE MA VIE ». Je participerai au voyage tant que le capitaine à bord me supportera car je suis souvent ivre non pas ivrogne!!!! mais juste comme il faut à bon entendeur salut!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

  47. J’ai recu cinq sur cinq ton salut chaleureux et merci. A mon tour des bisous pour te faire voler dans les flocons de nuages cotoneux telle une mousse de chantilly à déguster à deux. Bonne nuit amour!!!!!!!!!!!!!!!!!!

  48. C’est la vraie Rachel qui a écrit à 22h29 ?

    J’aime pas les séances de pan-pan-tu-tues sans queue ni tête…

  49. Deux petits passages de Cent vues de l’enclos des nuages d’André Ar Vot

    « Nomades les nuages, oiseaux de passage. Leurs feux de campement sous la neige, leurs chevaux pommelés, leurs cages à poules sous la roulotte, leur parade tonitruante pour la séance du soir. Chevaliers errants ou cirque ambulant, on a le choix.
    Mais n’oublions pas les nuages obscurs, les noctambules, les faméliques aux mauvais coups, qui reviennent bredouilles à l’aube, traînant leurs espadrilles. »

    « Si l’on se sent perdu dans n’importe quel endroit au monde, il suffira pour se sentir chez soi, de lever les yeux et de regarder un instant les nuages. Oui, chez eux on se retrouvera chez soi. Doublement étranger à ce qui nous entoure. »

  50. Merci de vos présences, chers poètes,
    je vous souhaite une douce nuit!

    Et tout pendant la nuit
    Les nuages se dorment
    En se marchant
    Ou se restant sur place
    Le sieur le vent
    Est le metteur en scène
    Du spectacle sous la couette
    Qui pose son petit être
    Sa petite brume sur la taie
    A se ronfler son somme
    Avant demain matin

  51. …………………………………………………………………….

    Là-bas dans le ciel les nuages en flocons ont disparus
    Sous le plafond noir du ciel, un épais manteau de brumes
    La mer en marée haute s’agite, insomniaque
    Contre les roches encore plus noires, encore plus effrayantes
    L’eau pénètre avec violence dans les gouffres sous la falaise
    Et comme un lion en cage rugit dans un vacarme infernal
    Le froid, le vent, l’angoisse a métamorphosé le rêve en cauchemar
    Toute la douceur du jour, le bleu du ciel s’est fondu dans la nuit
    Le soleil à l’écart, demain prendra congé à l’abri des regard
    Les nuages viendront se répandre sur la terre et sur l’eau
    Les oiseaux pêcheront dans des conditions extrêmes
    Avant de trouver un trou dans un rocher pour se protéger
    Les flocons semblent ne pas avoir atteint leur objectif
    En se pavanant démesurément pour la parade du jour
    Ils n’ont pas répandu leur blanc manteau dont on avait rêvé
    Pour embellir la côte dans un contraste de noir et blanc attendu
    Ils ont laissé envahir la nuit de ses draps sombres de nuages
    Sans même une étoile ou quelque petite lueur d’un croissant de lune
    C’est une nuit triste, noire et sans lune, lugubre et longue.

    …………………………………………………………………………

  52. Tiens ! j’ai écrit à 22 h 29 alors que je n’étais pas devant l’ordinateur !

    Moi non plus j’y comprends rien Christineeeeeee. Et puis y’a des gens que ça à l’air d’amuser de se faire passer pour d’autres !!

    Bon dimanche à tous

    Signée : la vraie Rachel Rouletabille

  53. Us et coutumes, usurpateur à n’importe quelle heure
    c’est toujours génant de voir que certains peuvent se faire passer pour d’autres
    rien de dramatique en soit, mais source de quiproquos
    entre abus et tromperie, seul le style ne s’imite pas facilement
    la signature oui mais pour conduire des enquêtes et rouler sa bille
    il faut avoir roulé sa bosse aussi.

    Personnellement j’ai fait à mes dépens l’expérience de la parfaite homonymie
    ce fut un peu décapant, que de devoir payer des impots à la place d’un autre
    cruelle leçon et désagréable impression de s’être fait doubler pour une cascade d’un autre genre.

    Souvenir détestable qui montre que l’administration souvent ne fait pas son travail à fond et que les N° insee sont peu et mal utilisés !

    Ce matin mer de nuage qui couve tout son petit monde ouaté et satiné, un continuum ou rien n’accroche ni rien ne perce, ou l’on se berce encore d’illusions avant que de découvrir le paysage.


  54. Voguant au plus bleu de ma tête
    les beaux flocons
    que je m’attache à capter
    mais qui, bulles de mots,
    se volatilisent
    à l’instant où je crois les avoir fixés.

    Et pour ma Bourrache préférée

    http://www.deezer.com/listen-3165085
    🙂

    Beau week end à toi Ossiane ( ici pluie , pluie , pluie….) et tous

  55. Oui, j’avais tenté ton lien, sans succés, Christineeeee,
    même que j avais tenté le copié collé que je peux faire, à présent….
    et je me disais que tu allais te rendre compte….la preuve! tu as vu

    oui, Thierry, parfois, on peut perdre sa tête quand on sait plus qui et qui tout devant…mais une tête cela peut se retrouver même quand on croit l’avoir perdue, dans de gros chocs, en partageant ave ses amis….SOURIRE!

  56. Une image une vue
    Un Aujourd’hui
    Cela se voit pour regader
    Avec les yeux de son jour
    Du tout dedans
    Et pafois une image gaie
    Peut renvoyer de la trsitesse
    Aussi une très très noire
    Peut s’engouffrer si belle
    C’est bon de les ressentir
    Ses humeurs du jour
    Pour ne pas se laisser aller
    A un jugement hâtif
    Sur la marche du temps

  57. C’est bon de retrouver l’esprit vif
    Avec de la paix dedans
    De revoir des faits de vie
    Sans les jeter rayer
    Faut pas nier le passé
    Mais le regarder tranquille
    A dustance, bel envol
    La vie cette analyse
    Pour s’extraire bellement
    Et éviter de s’en mourir
    En ruminant le temps
    La vérité d’abord
    C’est bon la vérité
    Sans des mal enendus
    Sur le sentier du tant

  58. A propos de pseudonymes,une question me revient souvent, il y a une ou deux bourraches sur ce blog (sérieux…je n’ai jamais compris, vous moquez pas de moi…) et puis Christineeeeee, moi aussi, je n’ai pas toujours compris les notes du pseudonyme bloguer ou ne pas bloguer mais tous les sens doivent-ils être compris?Dans la mesure où ça reste courtois…Parfois je lis les commentaires des personnes qui commentent les vidéos sur You tube, je suis effarée-non des fautes d’or taugraph » mais de la violence et de la méchanceté des commentaires des uns et des autres.
    Bonne journée à tous.

    Tant et tant de cieux bleus virant du blanc au gris
    Et des matins radieux, tristes mélancolies
    Mais l’hiver est épris des lumières de la neige
    Attendons que s’allège ses tapis de flocons
    Et la feuille humide sous les pas du passant
    La forêt qui se vide à l’automne jaunissant
    Et la fleur du printemps et le bourgeon timide
    Et l’arbre qui supplie de ses ramures fragiles
    Le soleil endormi d’éclairer d’espérance
    La laie indéfinie, auront appris l’Amour
    Au Monde qui se presse…

  59. bonjour Leila,

    pour les deux Bourraches, je l ai pris pour de l humour, comme une Bourrache en vaut deux….sourire…
    je me rassure aussi quand parfois je comprends peu, ou rien,
    et je me méfie plus encore qd il me semble que tout est clair,
    une vue en L’OEIL OUVERT, cela demande tellement de paramètres en passé, en présent en futur, à connaître,
    alorspafois, j ai envie de cesser d’écrire, à qoi bon?
    envie de cesser de lire, à quoi bon, si tout est faux?

    mais ils me semble que sur un chemin qu’on souhaite s’interroger sur la vie, l’Humanité, l’amour,
    cela reste bital de lire, écrire, EXISTER tel qu on est avec tares et qualités…

    MERCI encore pour tous vos soutiens forts, j’étais très mal, après un gros choc de vie, mais je l’ai éjecté, le choc, avec du soutien autour de moi…

    NE JAMAIS RESTER SEUL DANS DES EPREUVES ET TENTER DE SORTIR DE SOI,

    POUR PARTAGER
    ENSEMPBLE
    LE CHEMIN DE VIE
    LA VIE

    Belle journée pour chacun! Beaucoup de bien pour chacun!

  60. .

    Je me demandais qui sont les plus anciens passagers de l’Oeil Ouvert. Après amichel qui fut le premier avec Aurélie, je pense à pierre, annick mais je peux me tromper…
    >Bon voyage en sérénité retrouvée, ma chère Annick! Tu as bien fait de lui dire de sortir à ce choc de vie. Et puis continue à lire, écrire, partager et rêver ici ou ailleurs pour vivre bon et mieux.

    >Vraie Rachel, je comprends ton sentiment vis à vis de ce double. Je peux le bloquer si tu veux ? J’ai d’ailleurs bloqué les multiples visages de ces dernières heures car cela sème la confusion. J’espère simplement que ce n’est pas un ami passager habitué… quant aux interventions sur Cèdre, j’ai laissé tomber car je ne comprends pas bien ce que ça fait là…
    >Beau Week-end, chère Alix ! Pluie pluie pluie, vent vent vent de mon côté. Le bel automne rouge et or serait-il déjà fini…
    >Leila, les billets d’Olivier sont un peu curieux d’apparence car on n’a pas les liens vers les sites qu’il mentionne. Il faut aller sur son blog pour mieux comprendre. Chaque jour, il repère sur la toile des sites intéressants à visiter dont L’Oeil Ouvert fait souvent partie.
    Petits coucous à pierre et véronique, grand signe d’amitié aux passagers de ces lieux! Bon dimanche !
    .

  61. Y’a qu’une Bourrache Leila mais dans les histoires de la Toto y’en a deux. Ce sont un peu comme les deux Dupont. Elles sont indissociables.

    Il faut dire que les histoires de la Toto sont quelque peu loufoques comme vous l’aurez remarqué (sourire).

  62. et comme je me relis,
    je sais que chacun a corrigé mes fautes de frappe..
    Si tu peux corriger, merci, chère Ossiane.

    je ne suis pas arrivée dans les premiers, Ossiane, je me souviens que mon premier passage vers mars 06, devant une fort belle image de rose, j’ai pas résisté à laisser des petits mots, tous doux, sur la pointe de mes ballerines, je te lisais déjà depuis un temps…et depuis, ton album en force de vie de chacun, m’a apporté beaucoup, j ai ri, j ai pleuré, j’ai apprécié de belles images, j’ai eu avec beaucoup des fous rires comme j’adore, on a écrit, l amour, la paix, le combat,la Nature, l’Humain, les larmes, les rires, LA VIE QUOI,

    avec son petit oeil ouvert de chacun,
    on peut avoir L’OEIL OUVERT un peu plus,
    une tite vue Humaine si limitée souvent…

    clin d’oeil, Rachel, de la toto qui t’aime…sourires et bises de dimanche!

    MERCI POUR TOUT, Ossiane, et chacun…

  63. Merci pour les précisions Ossiane et Rachel….suis confuse…. Bourrache, qui se dédouble!!
    Oui Annick, lire et écrire, c’est vital.Mais aussi sourire mais aussi aimer mais aussi donner la main mais aussi, mais aussi, plein plein de verbes jolis dans la langue française que j’aime.Bel de bel la vie Annick, c’est ces bobos qui font grandir mais aussi c’est doux flocons…

  64. Il fait bon retrouver la douceur du bateau, les liens de Christineeeee, la vraie Rachel et Ossiane à la barre.
    Beau dimanche à tous et souhaitons au changeur d’identité la paix de l’esprit et plus de sérénité.
    Love et bon dimanche à tous

  65. oui, Leila, c’est ses bobos à la vie, qui font grandir, c’est ce que je me disais ces derniers jours, à presque trouver que le dernier choc, me sauve au final, plus qu’il ne m’a sonnée dans un premier temps….
    et il y a aussi des bobos de vie, qui peuvent ôter tout vie et qui font grandir trop tard, la vie est partie…

    allez, faut croire au meilleur, et rester optimiste….
    on aimerait tellement que chacun vive pr le meilleur de la vie!

    jolie sourire, Lou,

    pss, Rachel, la toto elle laisse sa carosserie devant la gare, demain, et monte son esprit dans le train….

  66. Voici le texte que j’ai failli poser ce matin, puis j’ai préféré attendre, sachant que le Capitaine n’est jamais bien loin et sait parfaitement faire régner le bon sens sur son navire, ce soir après une journée d’automne splendide avec pour bagages, amitié et superbe ballade dans le monde des couleurs automnales, je retrouve tout en ordre su r le pont, Lou est passée par là et Ossiane n’était pas loin. Important d’écrire dites vous Leïla, Annick, comme vous avez raison, l’œil Ouvert c’est ça aussi, un superbe atelier d’écriture, d’expression , d’échange avec parfois du mal à tout comprendre ou à faire comprendre, ça fait partie du jeu de l’écrit car les mots ne sont que des supports qui tentent de dire au plus près ce qui mijote dans le cœur de chacun ; écrire est une façon d’essayer d’y voir plus clair en mettant des mots sur les pensées ; pas toujours facile mais très souvent d’un grand réconfort et d’un grand soutien moral.
    _____
    Il y a des courants d’air sur le navire
    Qui laissent parfois passer des mots bizarres
    Capitaine, capitaine si vous êtes à la barre
    Redressez et mettez le cap sur la bienséance
    Le navire vogue à la dérive sous un ciel pourtant clément
    Et laisse l’équipage quelque peu déconcerté, étonné parfois.
    Surréalisme n’est pas synonyme de démentiel
    Mais je me trompe peut-être et j’ai le mal de mer
    Je vais prendre l’air, tout simplement, laisser courir les vagues
    Et planer les flocons dans le bleu du ciel retrouvé.

    (Tel était le texte non envoyé ce matin, comme quoi il n’est jamais bon de trop se précipiter)

  67. Bonsoir Monique, je comprends que vous ayez pu vous interroger sur la présence de certains messages inopportuns sur le blog. Ton poème en est le vivant témoin. Oui je veille au grain de loin tout d’abord pour prendre du recul, peser le pour et le contre, me baser sur quelques indices pour authentifier et puis ensuite j’agis et bloque l’entrée du blog à ceux qui veulent user de cet endroit à des fins personnelles. Les décisions en la matière ne sont pas toujours faciles à prendre car je peux faire des erreurs ou commettre des injustices. Ce qui est sûr c’est que je ne suis pas indifférente à ce qui s’écrit sur ces pages. Les multiples visages envoyés par un même intervenant n’ont pas lieu d’être ici car ils sèment le doute, la méfiance, la confusion et choquent tout simplement. Donc, quand je suis sûre, j’éjecte direct pour préserver la tranquilité et la bienséance de cet espace. Voilà vous savez tout, bonne soirée en souvenirs rouge et or!

  68. Décidément l’équipage étaient toujours partants pour de nouvelles aventures.
    Nomades, les matelots ne tenaient jamais en place.
    Le voyage continuait, encore et toujours.
    Ils débarquèrent bientôt sur une terre inconnue de tous.
    A peine avaient ils mis pieds à terre qu’ils aperçurent des édredons volants dans le ciel.
    Quelle ne fut pas leur surprise lorsqu’ils reconnurent la amazona « Christineeeeeeee » chevauchant vaillamment l’un deux.
    Elle était suivie de près par une des deux Bourrache.

    – Laquelle est-ce ? interrogea Thierry

    C’est Bourache avec un « r » je crois.

    Le troisième édredon montra son nez. Cheveux aux vents, la Toto était sur le point de doubler Bourache.

    – Oh ! Regardez là ! Elle trichotte ! Remarqua Arletteart. Elle a allumé un petit champignon hallucinogène pour aller plus vite. Quelle coquine de vie cette Toto !

    – Hé hé chantonnait la Toto

    – Doucement criait Lou ! Je crois que j’ai perdu ma dent !

    La Toto apprêtait maintenant à doubler notre cavalière émérite.

    – chut intervient hèlène, regardez ! la caravane passe.

    A dos de chameau, Charlie-Ossiane fit une entrée remarquée parmi le bruyant équipage.

    – Mes amis. Je vous donne l’arrivée des courses.

    – 1ère : La amazona « Christineeeeeee »
    – 2ème : Lou
    – 3ème : Bourache avec un r
    – 4ème : Leila qui avait opté pour le polochon volant
    – 5ème ex aequo : Pierre B. et Jeandler
    – 6ème : Bourrache avec 2 r
    – Disqualifiée : la Toto pour avoir triché de manière éhontée.

    – Hé hé chantonnait toujours cette dernière. On peut toujours essayer dit elle en adressant un clin d’œil malicieux au capitaine.

    – quelle polissonne cette Toto pensa Charlie-Ossiane. Toujours partante pour une bêtise.

    Et elle sourit avec l’indulgence d’une mère pour ses petits.

    (Surréaliste, déjantée mais pas démentiel j’espère. Hein monique ! (énorme sourire).

  69. Réaliste Rachel , quelque peu déjantée, ça c’est normal c’est la mise en apesanteur, quelques minutes par jour ça remet en forme mais alors pas du tout démentiel, si tu savais ce qui se trame dans le cerveau de chacun tout au long d’une vie, il fait bon souvent de se raccrocher aux neurones encore en bon état pour pouvoir survivre!!!! Les psy en savent quelque chose!!! (mdr comme disent les plus jeunes!)

  70. j’ai franchement ri et comme cela fait du bien, Rachel, à ton « trichote », je me suis laissée emmener dans ta petite aventure des coquins de l’Oeil Ouvert,
    on peut pas toujours être grave, hein, c’est pas grave docteur?!

  71. L’horizon de la mer
    Regarde passer les nuages
    Jamais ils se rencontrent
    Tel est leur sort sur terre
    L’horizon est si loin
    Et les cotons du ciel
    Si haut de bel de bel
    Ainsi passe la vie
    Car si le nuage file
    L’horizon est de mire
    Mais jamais le temps d’une vie
    Ne permet le partage

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