Aiguilles

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lassos d'écume, les monstres ensorcelés, le sacre du soleil

Lecture du Haïku Calligramme: centre, verticale, droite, haut

lassos d’écume
les monstres ensorcelés
le sacre du soleil

Les Aiguilles de Port-Coton sur la côte sauvage de Belle Ile … un paysage étrange et acéré célébré par les artistes … Monet, Jean Hélion, Pierre Alechinsky pour les plus connus …

67 réflexions sur « Aiguilles »

  1. .

    Bonsoir très tard, je viens seulement de poster ce billet;-)

    Je vous remercie pour tous vos beaux poèmes déposés sur les dernières notes Je suis bien sûr sensible à vos belles et riches écritures, vos converstaions, votre amitié et votre attachement sans faille. J’en suis très émue, croyez-moi. Je souhaite également la bienvenue aux derniers arrivants.

    Je sais que parmi vous, il y en a qui s’inquiètent de ma disparition et j’en suis touchée 😉 N’ayez crainte, je vais bien et j’ai bon moral.

    Comme je vous l’ai déjà dit, j’ai la pression. Je suis complètement accaparée et absorbée par ce gros travail de conception que j’ai à réaliser dans des délais très serrés. Pour finir à temps, je dois récupérer pas mal d’heures passées sur le blog.

    Pas de temps disponible à consacrer à l’écriture de commentaires et peu de temps pour les notes qui ont un peu de mal à sortir à temps et à des heures indues.

    Une période chargée qui fait que je sature intellectuellement et que je m’épuise. J’ai du mal à faire bien plein de choses en même temps. Alors si j’en ai l’occasion, j’essaie de rester loin de l’ordinateur pour me ressourcer un peu.

    Cela ne veut pas dire que je vous oublie. J’essaie simplement de me préserver un peu pour pouvoir aller au bout de ce que j’ai entrepris dans les meilleures conditions.

    Si je peux et si j’ai l’énergie, je vous ferai signe de temps en temps.
    Que mon absence temporaire ne remette pas en cause le plaisir que vous avez à vous retrouver ici pour échanger, lire, créer, rire, rêver. Je ne veux pas vous forcer la main. Sentez-vous libre d’aller et venir comme il vous plait.

    Bon voyage en écriture sur cette page encore blanche! Je vous embrasse et vous dis à bientôt!

    Ossiane
    .

  2. Bon courage Ossiane et merci de continuer à poster malgré tout. Cet espace est un lieu de quiétude et de beauté. On y savoure grâce à toi les jolis mots, l’humour, l’esprit et la tendresse de chacun. Merci pour tous ces vers partagés…
    Love

  3. Elle a cousu au fil de l’eau des rochers
    contre lesquels les mots se brisent. L’
    émotion s’en échappe… »en musique s’il vous plaît
    car c’était il faut le dire une aiguille de phono » Prévert.

  4. Bonjour Ossiane, je te remercie pour tes mots pleins de chaleur, c’est vrai que tu manques, mais c’est si vrai aussi qu’il me plait te laisser tranquille dans ta charge de travail, et ton besoin de te ressourcer, ensuite.
    Oui, ton espace est bel, et je l’apprécie toujours autant, j’ai juste aussi pour le moment, besoin de beaucoup me ressourcer en dehors de l’écran, pour toucher le monde des vivants. Et les mots, les idées, les émotions, je les laisse se poser dans mon sac à dos de vie, c’est eux les maîtres, les mots, ils se posent sur la page, au gré de leurs délices,
    si bon de partager, de la tendresse, des chagrins, des beautés, des trucs et des trucs, de la vie, sous le doux petit babil de ma plume légère, aimante, qui est cette étonnante, sans jamais qu’elle me dise ce qu’elle écrira demain, sous tes belles images…
    et j’aime chaque Aujourd’hui qui s’offre de vie, comme la vie s’offre, cette éphémère, sans illusion fausse de penser la retenir, la vie elle passe,et s’en saisir ses instants bels, c’est merveilleux.
    Je t’embrasse, Ossiane, douces pensées.

  5. Petites lances de terre
    Se pointent vers le ciel
    Qui ne craint pas la foudre
    Quand nuage et bouts de terre
    Se posent leur baiser
    Le soleil en rougit
    Ils s’aiment ces deux là
    A fleur de peaux en vies

  6. Les aiguilles de Port-coton, un lieu étrange et fantasmagorique extraordinairement beau au coucher du soleil.
    ______

    Les crocs de la mer
    Dans sa gueule grande ouverte
    Le monstre marin
    ______

    Bon courage Ossiane, que nos mots et nos échanges soient pour toi actuellement juste une détente et ne te créent aucune obligation venant en surcharge de ton travail. Bonne continuation.

  7. Sur l’esprit gémissant en proie aux longs ennuis,
    Et que de l’horizon embrassant tout le cercle
    Il nous verse un jour noir plus triste que les nuits;
    ——————————————————————-
    Rien n’égale en longueur les boiteuses journées,
    Quand sous les lourds flocons des neigeuses années
    L’ennui, fruit de la morne incuriosité,
    Prend les proportions de l’immortalité.
    — Désormais tu n’es plus, ô matière vivante !
    Qu’un granit entouré d’une vague épouvante,
    Assoupi dans le fond d’un Sahara brumeux ;
    Un vieux sphinx ignoré du monde insoucieux,
    Oublié sur la carte, et dont l’humeur farouche
    Ne chante qu’aux rayons du soleil qui se couche.
    ————————————————————–
    Souvent, pour s’amuser, les hommes d’équipage
    Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers,
    Qui suivent, indolents compagnons de voyage,
    Le navire glissant sur les gouffres amers.
    ….
    Le Poète est semblable au prince des nuées
    Qui hante la tempête et se rit de l’archer ;
    Exilé sur le sol au milieu des huées,
    Ses ailes de géant l’empêchent de marcher.

    Juste pour toi, Ossiane.

  8. Au point de croix
    à Ouessant voir son sang
    à Belle-Ile tisser sa toile

    Bon courage Ossiane. Merci de ce signe de vie.
    Je t’embrasse. Tient fort la barre. Le navire est solide.

  9. Ce soir
    Tu te dénudes
    Attends l’heure propice
    Le froissement des vagues
    La lumière d’argent

    Du manteau des nuages
    Tu fais naître l’amant
    Le feu qui nous fait ombres
    Plus noires que tourments

    Au delà
    Est le jour
    Où le voyage mène
    Où cesse la nuit froide
    En trace d’horizon

    Du sommeil outremer
    Tout au creux de ton rêve
    Se déploient les étoffes
    Brodées de tes mains fières

    Elles enlacent des îles

    Naufragées

    Lapidaires

    Le chant reste sans voix

    Le peintre est solitaire

    http://www.deezer.com/listen-972784

  10. ne t’inquiète pas le navire vogue sur le flot de tes notes
    doucement; nous aussi nous quittons de temps à autres le navire;
    mais nous sommes vigilant ;

    le plus périlleux des récif est l’oublie
    quand la nuit nous enveloppe
    de sa cape noire et opaque
    car alors il ne reste de nous
    qu’une silhouette qui s’amenuise
    pour n’être plus qu’une image
    un nom,
    que des enfants prononcent
    un nom,
    que plus aucun enfants ne prononce
    un nom,
    gravé …effacé… oublier …
    dissout dans la pierre!
    ne reste plus alors que l’encre noir
    calligraphiée sur une feuille jaunie;
    mais déjà la feuille se délite…

  11. Le père et ses enfants
    Regardent les aiguilles
    Si belles hors de l’eau
    Et les vagues se jettent
    En écumes toutes blanches
    Bel spectacle de vie

  12. Avec pour toile de fond Beethoven,
    Une lecture et relecture des mots,
    Une respiration un moment suspendue,
    Je regarde la mer et je pense au pays.
    L’air du soir à la tombée du jour
    Pose sur mes joues un baiser de fraicheur.
    Emotion, tendre et douce pensée,
    Marée montante de sentiments
    A la pointe des souvenirs,
    Cogne le cœur sur la vague irisée.
    L’eau de la mer entre les roches dures,
    Les aiguilles sinistres et monstrueuses,
    Saura se frayer un passage en dépit de tout.
    Demain un autre soleil, de nouvelles espérances
    Et au-delà de l’aridité des roches abruptes
    Le regard sur la mer au loin nous apaisera.
    _____

    Demain un autre jour, les petits moussaillons sont en vacances, ça bouge sur l’Océan des amours, le soleil pour complice, quelle chance !! Bonne fin de soirée et bonne nuit très tôt sur la falaise !!

  13. petite correction : bonne nuit à demain très tôt sur la falaise ! ah quand la pensée va plus vite que les mots, certains se perdent en route !!!! pardon !!!

  14. Je ne sais pas si c’est dû aux vacances mais j’ai l’impression que mon message de la nuit a bloqué tout le monde;-) Et pourtant ça démarre beau et fort pour tout le monde;-) Annick, et pourtant je ne dis rien de bien extraordinaire quand je vous commente;-) Merci à tous pour vos pensées et encouragements!
    Bienvenue à Achille et à Ad-Mary 44.
    Merci salade qui connait la France comme sa poche!

  15. heinhein, mmmmmmhhhhh,
    tu me fais remonter de si bels souvenirs,
    de nos petits bisous,
    de moi vers ses trois eux, les enfants de mon ventre confiés par le miracle de la vie…
    PROFITE! bises.
    Mon gros chagrin, en enfance, tu vois, cela a été d’être privée tant et tant des jeux, des moments avec mes filles, mais leur petit frère autiste sans l avoir fait exprès, a pris tant de temps, d’espace, d’existence de chacune…
    BISES!

    profite!

  16. t’en fais pas, Ossiane, rien à voir avec tes phtos, ton travail superbe,
    je suis dans un passage de vie fort difficile, mais des amies me soutiennent, alors cela va!
    et puis je remonte dans le nord le 2, alors cela va, de les revoir de chairs!

    Ils regardent
    La vague à l’âme
    Ils regardent
    Tous penchés
    Vers l’abîme
    Qui donne envie
    De se plonger
    Pour se laisser engloutir
    Mais déjà le ciel en soleil
    Echelle ses rayons
    Et leurs regards retrouvent
    Leurs esprits
    Et la chair se frissonne
    C’est bon de vivre

  17. La terre veut tricoter les rêves.. répandus dans les cieux.. afin que ne s’achève la vie en vils adieux…Sur ses talons aiguilles,… elle prête main forte au vent… qui dans son énergie,… matin, soleil couchant,… sur de grands cerfs-volants… tisse les moutonnements… des nuages et l’écume… de la mer dans nos yeux,… en pur enchantement…Ce sont les âmes des lieux… recueillies sous le vent,… rêveurs dessus la vague,… dans la douceur du soir…sur la falaise mon bel amour… sur la falaise nous deux.

  18. Ne t’inquiète pas capitaine. nous tenons le bâteau.

    Le plus dur c’est lorsque tes absences sont longues et répétées. Le blog devient petit à petit un peu moins vivant. C’est comme ça et nous ne t’en voulons pas.

    J’ai pour ma part beaucoup de mal à écrire. J’essaie de retourner sur les autres notes pour relire tous vos écrits (et dieu c’est qu’il y en a des beaux) mais je retombe souvent sur des petits mots qui me font mal. En effet j’ai beaucoup de mal à supporter qu’une personne se soit servie du blog à des fins personnels, à mon insu.
    Je retombe sur des petits messages dont la niaiserie est pathétique et ridicule.
    Difficile de se dire que l’on a été quelque peu manipulé sur ce blog. J’en conserve une blessure, une colère qui, je l’espère, cicatriseront définitivement avec le temps.
    Je sais pourtant qu’il y a d’autres blessures beaucoup plus importantes et que beaucoup ici n’ont pas toujours une vie facile. La blessure d’amour propre est peu de choses. Cela m’aide à relativiser je pense !

    J’ai eu beaucoup de plaisir à relire des textes de Leila, de ma copine Lou, de monique, d’Annick, Bernard, Neyde, Jacline, Arletteart, Hélène, Thierry, Bourrache, Christineeeee, et d’autres que j’oublie tant la liste est longue.

    Amitiés à tous

  19. Le hasard , Rachel me fait tomber sur ton mot et ce que tu exprimes , la blogosphère est un monde cruel , d’autant qu’il n’est pas toujours aisé de traduire le sens de ce qui s’écrit ; ce que je regrette , personnellement c’est que certains tirent beaucoup les draps vers eux , sans laisser aux autres un temps de paroles ( je sais n’être pas la seule à l’avoir ressenti ainsi ) ; c’est une question d’intelligence et de respect pour chacun.
    Bon courage à toi Ossiane,
    Bises vers toi Rachel .

  20. La blogosphère est à l’image de la vie. Je l’avais un peu oublié sur ce blog tant sa créatrice y met d’intelligence, de respect et de sensibilité. Mais on ne peut deviner les intentions de chacun.
    Bises aussi vers toi hélène.

  21. Merci Ossiane pour ces attentions malgrés tes occupations, les photos et haïkus sont toujours trés beaux .
    L’inspiration n’est pas toujours au rendez vous, parasitée par la vie autours, famille, travail, énergie à donner, toujours donner… j’apprécie ce coin de rêve, hors du temps et des événements d’actualité qui insensiblement laminent le moral.
    Merci de continuer à nous offrir une possibilité d’évasion, d’ouverture vers un imaginaire qui persiste.
    Merci à tous ceux qui écrivent toujours si généreusement et si bien!

  22. Elle s’était vêtue d’un tailleur bleu turquoise et arborait fièrement ses nouveaux escarpins dont les talons aiguilles avaient nécessité un entrainement régulier pour ne pas choir.

    Elle était décidé à trouver du travail. Coûte que coûte. Devait elle remuer ciel et terre pour y arriver.
    Pourtant elle savait déjà que cette recherche serait extrêmement difficile. Autant chercher une aiguille dans une botte de foin lui avait on plusieurs fois rétorqué en la toisant d‘un regard desaprobateur.

    Qu’importe, elle persévérerait. Elle se jeta un coup d’œil dans la glace et ne put réprimer un frisson de plaisir.

    – Quelle belle femme je suis! Pensa-t-elle en souriant. Et elle envoya des baisers à la créature resplendissante qui se reflétait dans le miroir. Je sens que je vais encore faire chanceler le cœur de plus d’un homme aujourd’hui. Elle répéta sa scène fétiche de femme ingénue et essaya une nouvelle fois son sourire femme-enfant. Elle éclata de rire et claqua la porte de son appartement parisien.

    Elle marcha cinq bonne minutes, manqua tomber deux fois et s’avisa enfin que son estomac criait famine.

    Elle vit la brasserie « chez Salade » et ne put résister à une aiguillette de canard que le chef lui proposait.

    Elle pesta et gronda contre la serveuse qui la tacha malencontreusement en la servant.

    Elle s’aperçut qu’un individu la dévorait des yeux. C’est un homme de gout ne put elle s’empêcher de penser. Un discret signe de sa part et celui-ci se retrouva bientôt à sa table.

    Ils commencèrent par les banalités d’usage, puis, de fil en aiguille, abordèrent des sujets plus personnels. L’homme était PDG de l’entreprise « L’AIGUILLE DOREE ».

    Il lui parla donc tricot, du point de mousse, de maille, de riz, d’alvéoles. Elle tenta de s’intéresser à la conversation mais fut vite rattrapée par l’ennui . Elle se concentra sur son regard. Il était bel homme et avait l’air fortuné. Elle lui raconta que cette rencontre ne pouvait pas mieux tomber, qu‘elle avait toujours été passionnée par le tricot, qu’elle cherchait un nouveau job et qu’elle serait ravie de travailler pour lui. Elle acheva sa phrase par des battements de cils qu’il jugea «amusant ».

    Quelques heures plus tard elle regagna son domicile parisien d’humeur joyeuse. Elle croisa dans l’escalier son gentil voisin de palier et se colla nonchalamment à lui sous l’œil furibond de sa voisine.

    – Et oui ma petite ! Y’en a qui font plus d’effets que d’autres dit t’elle méchamment.

    -Je viens d’obtenir un poste de grande responsabilité dans une société internationale. C’est pas à toi que ça arriverait ma pauvre !

    Deux semaines plus tard Melle Mylène Micoton se retrouva responsable en chef du rayon « archives » de la société « L’AIGUILLE DOREE ». Elle était sous son entière responsabilité puisqu’elle était l’unique employée de ce rayon situé au dernier sous-sol de l’entreprise.

    Elle jura qu’on ne l’y reprendrait plus

  23. Et sans le faire exprès, je m’aperçois que ça va très bien avec le début de l’histoire de Rachel :

    « Elle s’était vêtue d’un tailleur bleu turquoise et arborait fièrement ses nouveaux escarpins dont les talons aiguilles avaient nécessité un entrainement régulier pour ne pas choir. »

    C’était….
    La « minute humoristique » !!!

    (y’avait longtemps !)

    Une pensée particulière pour le tricot de Bourrache qui me rappelle un certain tricot que j’avais mis un bout de temps à tricoter !

    Petit jeu : (les anciens seront avantagés)
    Trouvez la note où il est question de ce fameux tricot ! (lire les commentaires avec soin !)

    Rebiseeeeeeeeeeeeeeeeeees !

  24. C’est avec grand plaisir d’être à bord de ce beau navire plein de beauté et de douceurs pour nos coeurs. J’essaye d’être indépendante et ne devoir à rien demander aux autres. A toi je crois que tu en fais beaucoup et je te remercie de tant d’efforts et de patience pour faire vivre ce t océan d’amours. Je t’aime infiniment et je te souhaite une bonne semaine de travail et beaucoup de courage. Je t’aime et je t’embrasse très fort.


  25. Oh … j’me souviens … le pull de Thierry … tricoté par nos soins … et à laver à la main !
    ça daterait pas de l’époque ousk’on à commencer à faire blinquer le pont et lessiver les voiles ???
    Lou, Rachel et bien d’autres doivent s’en rappeler.
    C’est vrai qu’on riait bien à l’époque…

    Sur ce, juste en passant : Cortex, mon indéfectible, s’en est allé au paradis de chiens.
    Et j’me permets d’avoir un gros chagrin.

  26. J’aime retrouver un peu de légèreté. Merci de tout coeur Christineeeeeee et Bourrache. C’est vrai qu’on riait bien à l’époque. Je crois que ce qui me manque un peu, nos échanges un peu farfelues ou l’amitié étaient toujours présentes. Je souris en repensant au pull tricoté pour Thierry

    Pensée vers vous mes deux Bourrache. Je sais ce que c’est de perdre un animal de compagnie.

  27. Ma chère Bourrache :

    Grosses pensées
    Pour ton cher indéfectible…
    Une maille a filé sans doute…
    Et tout s’est détricoté…

    (ça, c’est pour rester dans les thème des aiguilles !)

    Mais ne perdons pas espoir
    Au paradis des toutous
    Il aboie et fait le fou
    avec ses poils tout partout

    Il a dû retrouver mon « Stef »
    Perdu il y a longtemps déjà
    Mais que je n’oublie pas

    eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

    Mais revenons à notre petit jeu
    Histoire de rigoler un peu !
    Car c’est bien vrai qu’on rigolait
    Pour un rien, il est vrai
    Mais c’était bien bon !

    Alors, le nom de la note d’Ossiane ?

    Pas encore trouvé ?

    Cherchez bien et vous verrez…
    Qu’on peut tricoter avec des mots
    Une écharpe très très longue !
    Même sans AIGUILLES à tricoter !

    Biseeeeeeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeee

  28. Bourrache, sage parmi les sages,
    un GROS sourire pour toi, peut-être un peu consolant ?
    (et pour qui veut prendre…) 🙂

  29. Petits signes de réconfort et d’amitié à Annick qui semble traverser un moment difficile, à double bourrache que je sais très attachée à son indéfectible et pour qui ça va faire un vide, à rachel que je trouve un peu tristounette, à christine qui réussit à relancer la vie du blog avec ses aiguilles à tricoter et ses talons aiguilles que je suis incapable de porter;-) … et puis bien sûr à tous les amis fidèles de ce lieu, entre autres la chère Johal que je suis ravie de retrouver;-)

  30. Non mon capitaine, pas tristounette. Mais il est des choses qu’il faut parfois sortir pour ne pas les garder à l’intérieur.
    Je vais chercher christineeeeeee mais ça va être dur car on en raconté des bêtises par moment.

  31. Un indice Bourrache. L’écharpe de Thierry a du commencé à être tricoté en mars 2009. Je sèche encore sur la note elle même. L’est coriace la cavalière et ne nous épargne pas les recherches.


  32. Rachel : t’as vu l’heure !!!
    l’est presque 22h00 – heure Ossiane – …
    l’heure d’aller faire dodo,
    1er étage, porte à droite,
    pour moi.

    J’range mon tricot pour aujourd’hui.

    Biz à tous et belle, bonne, douce et tendre nuit.

  33. Whaouh!

    J’ouvre l’Oeil, après des semaines ou des mois d’absence (j’ai l’impression d’être plus occupée à la retraite que quand j’enseignais, et pourtant!..)

    Et je tombe sur ce petit bout d’océan, de ciel et de rochers que je connais bien.

    Double, triple impression de rentrer chez soi…

    Merci Ossiane, bises à tous et toutes, et je me promets de venir plus souvent me ressourcer avec vous.

  34. Bonsoir à tous, il paraît que les changements de saisons sont plus difficiles à vivre, alors bon courage à tous, sans oublier de rester « cool »
    ______

    Avoir envie de fermer les yeux
    S’imbiber d’un moment de bien-être
    Laisser les mots dans le silence
    Une pensée allant des uns aux autres
    Avec leurs petits et grands malheurs
    Que l’on aimerait tant vouloir effacer
    Laisser les mots s’installer sans peine
    Dans ce poème qu’on voudrait écrire
    Celui que nous aimerions donner à lire
    Parce qu’il sonnerait juste
    Parce qu’il dirait vrai
    Laisser les mots s’amuser sur le papier
    Pour nous entendre rire tant l’humour réconforte
    Relativise et dit parfois mieux
    Ce que nous n’osons pas dire
    Mais voilà, ce soir je suis fatiguée
    Et les mots se tairont, non qu’ils n’aient rien à dire
    Mais j’ai tellement besoin d’aller dormir
    Je les prends avec moi dans mon sommeil
    Comme l’enfant prendrait son pouce pour mieux rêver.

    _____

    Tu vois Bourrache, en regagnant ma chambre au 1er étage, 1ère porte à droite en haut de l’escalier -;) je sais ce que tu ressens ce soir, ce sont des peines sur le parcours de notre vie qui sont sur le moment douloureuses car on s’attache à ces petits êtres vivants qui savent tant nous donner.

  35. > Pour Bourrache

    une écharpe
    j’ai là
    qui réchauffe
    mon cou
    elle est rouge
    et parfois
    elle me parle
    de toi
    elle me dit
    je suis là
    ne m’abandonne pas
    je suis là
    près de toi
    reste sur mes genoux
    une écharpe
    j’ai là
    nouée autour du cou
    qui me parle de toi
    tu vois
    je n’oublie pas

    Je t’embrasse
    maria-d

  36. Hello !

    Allez, je vais vous aider !

    C’était au mois d’avril….
    Et plus exactement…
    Le 25 de l’année 2008 !

    la note était :

    TRIANGLE !

    Et comme je suis très gentille,
    Je vous mets le lien direct :

    https://blog.ossiane.photo/2008/04/25/triangle/

    C’est rigolo
    De voir jusqu’où
    En partant d’un TRIANGLE
    On peut aboutir au tricot !

    Biseeeeeeeeeeeeeees de soir et bonneeeeeeee nuit !

    PS/ Tu vois OSSIANE,
    J’connais mon Œil Ouvert…
    Par cœur !

  37. Oh, zut j’arrive un peu tard et Ossiane qui nous fait déjà passer Ailleurs. Je m’accroche aux aiguilles de Christineeeee, jconnaissais la reponse Chriss, c pas juste!!
    Rachel, im’ reste les talons aiguilles d’Ossiane, mais trop dur de m’y accrocher sans perdre les deux dents qui m’restent.
    Bon en attendant d’aller voir Ailleurs si j’y suis , bisou tous et toutes. Vous êtes trop;)
    Sorry Bourrache pour ton doggy 🙁

  38. Bonsoir la compagnie
    oui je sais les silences sont parfois assourdissants et pas assouplissants
    pensée émue et si possible réconfortante pour Bourrache et son meilleur ami disparu, coucou discret mais attentif à Annick.

    Parti au loin sans connexion vous m’avez manqué mais je savais quel plaisir j’aurais à vous retrouver. Pour gober les dicos il faudrait vraiment ouvrir un large bec ou alors…avoir une grande gueule!!!

    Vos impressions diverses m’ont touché , mais je suis un peu écorché en ce moment, il y a de beaux souvenirs …lointains et demain est toujours un autre jour…à construire ensemble aussi.

    Ossiane a tant fait pour nous réunir et créer de la concorde (avec la place qui va avec pour chacun) je sais que j’ai parfois abusé de votre patience et m’en suis voulu et parfois expliqué, oui il ne faut jamais monopoliser cet espace commun et qui est sacré.

    Bon courage à notre inspiratrice qui nous a si souvent aidé à exprimer du fond de nous même impressions, émotions.
    L’oeil reste un lieu convivial mais parfois il faut reprendre son souffle et cela peut passer par la mise en retrait …pour mieux revenir après.

  39. Bienvenue à bord, Linda! Je t’embrasse aussi!
    Merci pour tes mots Thierry!
    Hello Annemarie, je vois qu’on ne s’ennuie pas;-) ce petit bout de terre ne pouvait bien évidemment t’échapper;-) A quand tu veux!

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