Sonate

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Sonate

Violon solo, une petite fugue à deux voix, cantate à trois

Lecture du Haïku Calligramme: de gauche à droite

violon solo
une petite fugue à deux voix
cantate à trois

« NOTES« , un poème d’Alain que vous pouvez découvrir sur la publication « NOTES » … un poème mis en musique et interprété par son ami Jean-Marie Djibedjan. Cliquez ici pour lire son poème en même temps.

42 réflexions sur « Sonate »

  1. une fugue à deux
    m’emporte me porte
    et me transporte

    esquisse un horizon
    écarte les ombres
    révèle des voies

    thème d’abord fou
    enrichi de mots
    devenu subtil

  2. Cri du coeur
    ……………………..Coeur de pierre

    A dépeindre

    L’Autre
    Celui qui voit

    Oiseau bleu
    Tourment des sans rivages
    Le ciel est Océan

    Vingt mots
    A contempler le chant

    Creuset des voix fuyant

    Chaconne
    Et Rubis
    Vrais visages de sang

    Théatre

    Film d’ombre d’argent
    Rencontre face à face
    Un deux trois
    Toi et Moi
    Vous et Nous
    Corps et âme, violon

    http://www.youtube.com/watch?v=UFdbQtu2A4Q

  3. MERCI Ossiane !!

    Le violon

    Sur la rue, la pluie fascine, et sous la lampe,
    Des feux mal éteints lui font cette voix qui traîne.
    En créant la musique en enfantant des sons
    il nous aide à mieux vivre sans donner de leçon

    Car les cordes de soies savent tout exprimer
    Du simple cri de joie d’un instant de bonheur
    A l’âme qui se plaint touchée par le malheur
    De la marche imposante à la danse rythmée

    A la vue d’une larme il peint le désespoir
    Il sait nous émouvoir pour un regard qui brille
    Et puis, d’apercevoir des feuilles sur le trottoir

    Il enchaîne les valses qui font tourner les filles
    Il sait se rendre drôle et faire changer les pôles
    Afin qu’une tête roule juste au creux une épaule

    Alain

  4. le son pur du violon
    révèle l’être du tréfonds
    joie, mystère de la vie
    à l’unisson des sons résonne
    une mélodie céleste
    vibrance de l’être

  5. La fugue

    comme une vague se lève et se couvre d’écume
    une phrase musicale se tord et se consume
    Car la mer en son sein connaît l’art de la fugue,
    Qui fleurit, s’ornemente, et toujours, se poursuit.

    C’est le même poème qui toujours vient à naître
    La voix de l’océan entre par la fenêtre
    Orchestrée par le vent qu’accompagne la pluie,
    Un thème universel qui sans cesse rejaillit

    Mélodie du bonheur que les poètes déclinent
    Avec les mots du cœur qui toujours interpellent
    des paroles dans le vent où des noms s’entremêlent

    Une fugue en chorale pour exprimer les luttes
    Des hommes sur la terre qui tôt ou tard s’inclinent
    Quelques notes à la flûte qui partent en volutes

    Alain

  6. le chant de la mer
    une résonance
    un violon dingue
    la corde d’argent

    violon
    coule de source coule ta sève
    à l’unisson des sons
    coule ton miel
    perce les cœurs de ta flèche arc-en-ciel
    révèle l’être des sons purs
    résonne encore et encore


  7. Si j’étais pour quelque mémoire
    Pierre sculptée à la douleur
    Sur un vieux tombeau sans couleur
    Palais du temps ultime armoire

    Serais-je obligé de pleurer
    Et de rester sur cette tombe
    Jusqu’à ce que ma pierre tombe
    En chère poussière à leurrer

    Pierre allume une cigarette
    Mets un peu de poudre de riz
    Sur ton âme et va dans Paris
    Vers Notre-Dame de Lorette

    Pierre aimé tu n’as pas d’ami
    A qui donc livres-tu ton livre
    Tu sais que ré ne saurait vivre
    S’il ne dormait près de son mi[…]

    Poèmes à l’autre moi , Pierre-Albert Birot

    Un lieu pour ceux qui aimeraient en savoir davantage…
    http://www.cipmarseille.com/evenement_fiche.php?id=743&PHPSESSID=507a4eb57e13f54fa68cc805115a5024

    Magnifique ton chant des pierres , Ossiane…

  8. Cantate du rocher

    Sans doute je suis blasé allez savoir pourquoi
    Le monde m’indiffère mais j’entends ce qu’on dit
    Mon cœur n’est pas de pierre même si je reste coi
    et je reçois ces plaintes sur mon dos rebondi

    ALain

  9. mélancolie

    ce n’est pas une disparition
    mais plutôt un mirage qui se fond dans l’ombre
    Qui s’estompe!
    En filigrane d’autres chimères apparaissent
    tout en nuances…
    en oppositions…
    La vague toujours s’échoue sur la grève!
    et toujours la lune et le soleil s’observent,
    Jouent à cache cache entre les nuages!
    et le cri du goéland résonne à l’infini…
    riant…
    Quant à l’horizon sombre la lumière,
    Son écho fend l’air comme l’archet du violon
    Sur la corde raide!
    Il en est ainsi depuis des temps immémoriaux
    chaque nuit le mirage se dissout
    dans un patchwork de rêves insondables
    qui renaît de ces cendres matutinales
    Un jour, il s’évanouit à jamais dans les larmes;
    c’est un mirage…
    un hasard…
    peut être un miracle…

  10. LA SONATE de Robert Walser dans petits textes poétiques

    « Agréable mélancolie, douleur qui ne blesse pas l’orgueil. Joie née de telle douleur. Un chagrin léger, complaisant. Bienheureux souvenirs. Souvenirs foisonnants comme une florissante prairie. Douce, mélancolique souvenance. A présent, un essaim de reproches qu’il adresse à lui-même. Les seuls beaux reproches sont ceux qu’on se fait à soi-même. Les autres, on doit, on veut les oublier. En somme, c’est à soi seul, à nul autre, à qui l’on ait à faire des reproches. Oh si les humains, tous les humains, voulaient ne rien reprocher qu’à eux-mêmes, et uniquement à eux ! Le repentir ? Oui le repentir ! Se repentir est doux et mélodieux. Le repentir est un univers, royaume infini, incommensurable en son étendue. Mais le repentir a de la douceur. A peine le perçoit-on. La joie du repentir. Un cœur noble se réjouit d’éprouver une noble émotion. J’accepte alors d’y trouver aussi un peu de désespoir. Les anges ne connaissent pas l’espoir, ils n’ont pas besoin d’espoir. Un ange espère-t-il ? Non. Les anges sont au-dessus de tous les espoirs, de tous. Il faudra qu’il se trouve quelque chose d’angélique dans la SONATE que j’ai en tête. Mais une pointe d’espoir percera aussi dans ses notes, comme lorsque quelqu’un est très, très misérable et abandonné, et cependant toujours se reprend à espérer comme par une douce vieille habitude de l’enfance. A présent, un peu de joie à nouveau, et c’est une joie engendrée par la joie d’autrui. Pur sentiment enfantin, pur bonheur par empathie. Être heureux à la pensée qu’un autre l’est aussi. La musique même n’est-t-elle pas faite ainsi ? La musique n’est-elle pas elle-même heureuse à l’idée de répandre magnificence, gaîté, joie profonde ? A de certains moments, s’épanchent les perles d’un indicible découragement. Doux pleurs silencieux. Se fondre en une faiblesse céleste par sa beauté. Des pleurs sur soi-même et sur tout ce qui est et fut jamais. Point d’effroi, point d’épouvante. Cette SONATE-ci interdit ce genre d’émotions vives. Douce comme un ciel bleu à peine troublé, c’est ainsi qu’elle va sonner, qu’elle doit sonner. Sa couleur est la noble, blanche matité de la perle, sa tonalité est celle du pardon. Il n’y a pas de faute car il y en a trop, pas de douleur car elle est trop immense, trop gigantesque pour l’entendement. Comme les déceptions sont trop nombreuses, il ne devra plus y en avoir aucune, d’un seul coup il ne doit plus y en avoir, plus y en avoir du tout. Ah ce sont toutes ces choses et d’autres semblables qui doivent se refléter dans la SONATE à laquelle je songe, et c’est une jolie jeune fille, laquelle peut sans difficulté s’imaginer être un ange qui jouera la SONATE pareille aux anges et, depuis le ciel du jeu des instruments, tout cela retentira ici- bas, consolation céleste, bien-être béat pareil à celui du royaume des cieux, car j’entends donner à l’œuvre un esprit de charmant bien-être, de contentement profond. Souffrance et plaisir seront comme l’amie et l’ami qui s’enlacent, s’étreignent et s’embrassent. Jouissance et déplaisir sont comme frère et sœur s’aimant fraternellement. Le ravissement, adorable, radieux, est la fiancée, et le chagrin qui s’insinue dans le cœur, le fiancé. Désir comblé et désir déçu sont inséparables. »

  11. Oh Belle île en mer aux aiguilles de Port Coton
    Quand le crépuscule devient une symphonie
    De couleurs, de silences, de musique si douce
    De mots à peine chuchotés devant telle merveille
    Quelle nom pourrait-ton donner à cette sonate
    Qui se joue en sourdine tout en haut de la falaise
    Et dont les notes résonnent jusqu’à l’horizon enflammé.
    Petite sonate pour un moment grandiose
    Dans l’éblouissement et la magnificence
    Où chaque corde pincée retient le souffle
    Où chaque mouvement s’envole
    Dans le plumage des goélands de ce lieu sublime
    Je fus un jour cette silhouette spectatrice émerveillée
    D’un concert de beauté sur la harpe des rochers.

  12. la mer est grise
    couleur de perle
    de la falaise
    une voix s’élève
    … puis deux …
    … puis trois …
    une cantate …
    couleur de suie

  13. Bonsoir à tout le monde,

    1 fourmi
    2 fourmis
    3 fourmis….

    Sonate en mi…

    En équilibre
    Sur la bosse du chameau

    Sonate en do…

    Egaré au bord de la mer
    Comme le radeau du désert :

    Sonate au grand air

    Tangage en rythme
    Chanson du vent
    Hymne aux vagues

    Vague à l’âme

    Un oiseau en vol
    Des notes qui s’envolent

    Sonate en sol

    Bientôt la nuit
    Les trois fourmis pas encore endormies

    Sonate en mi

    Le chameau marche lentement
    Les fourmis ont tout leur temps…

    Biseeeeeeeeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeee

  14. De l’archet au rocher
    le chemin d’airs tracés
    laisse jaillir une voie
    qui pénètre les eaux
    le coeur de la mer bat
    et l’histoire virtuose
    pose un pied sur la lune
    pour rêver librement

  15. Sonate ou symphonie maritime ?

    J’aime ces personnages qui arrivent impromptu, la photo s’anime au fur et à mesure que la lumière s’assombrit, comme pour les noyer dans l’immensité.

  16. « Sonates d’été »

    Aujourd’hui c’est le vent qui soulève les engoulevents et renverse les dernières certitudes et même sil est fort présent animé de fortitude face à lui on évite les certitudes et on se courbe pour lui résister pour peu qu’on veuille aller contre lui .

    Les chants des oiseaux se sont manifestés dès l’aurore avec en toile de fond un ciel incertain qui mourrait à la nuit pour donner le jour si plein de nuages bas filant sur l’horizon.

    Dans ma tête des musiques diverses ont joué, animées de résonances mais sans arrogance saturant parfois de notes épicées ce qui n’était qu’un tranquille jour d’été.

    Cantate quand on en tâte sans amuser la galerie on réussit à être transporté mais pas sur le toit du monde.

    En automne les yakusa éreintent les sonatines mais c’est dans les comptines qu’ils cherchent leurs racines.

    Dans les blés coupés alors que le vent continue de balayer les hautes tiges pas encore déchaumées on rêve à ces douces ondulations qui ne sont pas le fruit de tribulations.

  17. Ils arrivent les uns après les autres
    Sur cette terre du bout de l’île
    Comme on entre dans une église
    Ecouter le chant d’un office
    Il règne à cet endroit
    Un silence quasi religieux
    Où le regard au loin s’étire
    Vers l’immense calice sacré
    Qu’un ciel progressivement
    Enveloppe dans son manteau
    La nuit viendra alors
    Faire place aux dernières lueurs
    Et chaque note sur la falaise
    Quittera la portée
    Abandonnant leur chant
    Au-dessus de l’Océan nacré
    En offrande à la nuit étoilée.

  18. je serais là
    même si tu ne viens pas;
    au bout du chemin
    sur la falaise des sans retour
    je serais là
    en pensant à toi
    je regarderais le soleil s’enflammer
    au contact de la mer
    et j’écouterais le cris du goeland
    se perdre dans l’immensité sans fin
    assis silencieux éperdu
    au bord du vide attirant
    les nuages devant moi danse
    et se joignent aux vagues;
    au loin le soleil n’est déjà plus là
    une feuille virevolte et tournoie
    dans le ciel argenté
    elle se laisse portée
    par le vent froid
    doucement elle descend
    et se pose dans les flots tourmentés
    puis disparait dans l’eau trouble
    je seras là
    au bord de la falaise des sans retour

    inspiré par

    http://www.dailymotion.com/video/x1p7jh_beethowen-sonate-au-clair-de-lune_creation

  19. Je serai là, cher Jean de la lune, cher Jean de la terre, des arbres éveillés,des feuilles affalées de l’été indien,sa douceur sauvage, mon cœur ensoleillé
    mon amour bucolique.Vert et camaïeu, rouge mélancolie, jaune des épinettes, terre dissimulée, sous la sombre chappe de la falaise.
    Une route en feuillage d’automne et des lacs apaisants sont miroir des cimes aux reflets des songes,là, oui là, où l’ombre des pierres imposantes me couvre de son voile de regrets.
    Cher Jean, vous me manquiez..Sur chaque chêne que vous touchez, chaque tronc pressé,un soupçon de moi.Un souvenir de moi, perdu dans vos ténèbres, au seuil de la clarté.
    La falaise qui écoute, les gémissements du vent, aura à porter les pétales de ses amours mortes que je laisse chuter jusqu’à la mer.Moi debout sur les hauteurs, le cœur en vos pensées, les miennes un ballet d’ombres heureuses au champ des mélancolies.Cher Jean de la vie,vous me manquez.
    Leïla

    http://www.youtube.com/watch?v=xTZgMQ7TVes

  20. Je suis là
    « Au bout du chemin
    Sur la falaise des sans retour »

    J’ai emporté
    Les mots qui blessent
    Les mots qui tuent

    Je suis la
    Au bord du gouffre
    Sur la falaise des au-revoir

    J’ai emmené
    Les mots d’excuse
    Les mots faux

    Je les offre
    A l’air, à la terre et au feu
    Que le diable les emporte

    Je suis là
    A refuser d’écouter le vent
    Une fois encore

    Je suis là
    A refuser de croire aux mirages
    Une fois encore

    Du bord de la falaise
    D’un bond je plonge

    Adrénaline en solo

    Du bord de la falaise
    D’un bond tu plonges

    Point de fugue en duo

    Trop tard
    La gravité a ses lois

    Ton hésitation nous coute cher

    Passion, fusion, harmonie
    Point de fougue en trio

  21. …. »Partout où il y a émotion du poète, comme une nef sur la mer, il est immergé, il y est pris, il s’y noie ou il y vogue …. » André Suarès

  22. A la une
    à la deux
    à la trois
    pas comme un chemin de croix
    ni comme une clé pour s’élever du sol
    encore moins effacer le facile du fa si
    et trouver qu’est pesant dans le dos
    le fait d’aller au trio
    discontinuité et jaillissement
    dans ce ressaut du temps

  23. Avoir le même regard sur cet instant privilégié
    Et venir note après note composer en » chœur  »
    Arriver à se confondre dans le même émerveillement
    En une sonate qui se murmure du bout des lèvres
    Atteindre ensemble une sorte de béatitude
    Laisser planer au dessus des falaises
    Une musique qui se fredonne plus qu’elle ne se joue
    C’est à cet endroit, au dessus de la mer,
    Que s’opère comme une symbiose dans l’admiration
    Formant autour de nous une aura de douceur
    Qui se goûte et s’écoute avec enchantement
    Les yeux tournés vers l’horizon
    L’ancre des rêves depuis longtemps déjà levée.

  24. Bonsoir aux amis de passage, ombres chinoises sur fond de mer d’argent
    ______

    Telle une sonate sous l’archet d’un violoniste sur un piédestal au dessus des flots, avec un ciel pâle au plafond de nuages bas, une mer paisible, calme et caressante où traine nonchalamment le drap blanc du soleil qui s’endort … je retiens mon souffle et j’écoute, émanant d’une portée musicale imaginaire, une musique onirique pour accompagner le chant de l’oiseau qui s’éloigne, dans la douce mélodie d’un soir d’automne, au coucher du soleil. Il fait doux en cette fin de journée d’octobre, il y a dans cette mélodie comme un parfum de romantisme teinté de complaisante mélancolie, le Rhône se substituant à l’Océan, la mouette au goéland, la digue au rocher dans la douceur du crépuscule aux couleurs pastel merveilleuses.
    _____

    Le temps invite à la promenade, dans la beauté de l’automne

  25. Ta mère t’a donné comme prénom,
    Salade de fruits, oh quel joli nom,
    Au nom de tes ancêtres hawaiiens,
    Il faut reconnaître que tu le portes bien.

    Salade de fruits, jolie, jolie, jolie,
    Tu plais à mon père, tu plais à ma mère,
    Salade de fruits, jolie, jolie, jolie,
    Un jour ou l’autre, il faudra bien qu’on nous marie.

    Pendu dans ma paillote au bord de l’eau,
    Y’a des ananas, y’a des noix de coco,
    J’en ai déjà goûté, je n’en veux plus,
    Le fruit de ta bouche serait le bienvenu.

    Salade de fruits, jolie, jolie, jolie,
    Tu plais à mon père, tu plais à ma mère,
    Salade de fruits, jolie, jolie, jolie,
    Un jour ou l’autre, il faudra bien qu’on nous marie.

    Je plongerais tout nu dans l’océan,
    Pour te ramener des poissons d’argent,
    Avec des coquillages lumineux,
    Oui, mais en échange tu sais ce que je veux.

    Salade de fruits, jolie, jolie, jolie,
    Tu plais à mon père, tu plais à ma mère,
    Salade de fruits, jolie, jolie, jolie,
    Un jour ou l’autre, il faudra bien qu’on nous marie.

    On a donné chacun de tout son cœur,
    Ce qu’il y avait en nous de meilleur,
    Au fond de ma paillote au bord de l’eau,
    Ce panier qui bouge, c’est un petit berceau.

    Salade de fruits, jolie, jolie, jolie,
    Tu plais à ton père, tu plais à ta mère,
    Salade de fruits, jolie, jolie, jolie,
    C’est toi le fruit de nos amours, bonjour petit.

    Bourvil

  26. très bon site avec de très beaux textes, avec une préférence pour les haïkus : j’écris moi-même des textes courts en vers libres ou qui riment…

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