Fougère

Fougère

Fougère

fraîcheur du sous-bois, odeur de terre humide, lumière tamisée

Lecture du Haïku Calligramme: de gauche à droite

fraîcheur du sous-bois
odeur de terre humide

lumière tamisée

Dans la forêt d’eucalyptus …

55 réflexions sur « Fougère »

  1. Rester à l’ombre
    sentir l’odeur de la terre humide
    à rien penser
    laisser la vie couler
    Quoi désirer de plus?

  2. s’enfoncer sous la forêt,
    dans l’odeur d’humus,
    la tête lourde
    et les yeux papillotants,
    se frayer chemin,
    durement,
    à travers les fougères,
    avoir grande envie de s’y coucher,
    y dormir avec la lumière,
    en un lit glorieux,
    et puis renoncer,
    car trop dures elles sont,
    raides et élastiques,
    et vous repoussent,
    vous renvoient à la marche

  3. Voyage au coeur de l’ombre
    pour rencontrer la vie
    une gerbe de verdure
    qui jaillit de ton coeur
    des fous gèrent l’émotion
    je ne suis pas d’ici
    d’ailleurs je ne suis pas
    j’ai disparu en spores
    dispersant la fraîcheur
    la pluie tombe sur tes pennes

  4. Ombre et légèreté
    Langueur d’été
    Fraicheur réparatrice
    Se laisser aller
    En sécurité
    Dormir et lacher prise

    Dans un Havre de paix
    Doucement
    Ressourcement

    Bonne jornée à tous

  5. Humus, tumulus, t’hûme l’humus
    entêtante ces odeurs
    qui vous montent
    depuis les pieds à la tête
    et plaisir d’esthète
    que ces longues feuilles
    aux frondes régulièrement alternées
    modéles réduits pourtant
    des géantes fossiles
    qui déploient depuis leur crosse
    ces couvrantes tiges
    et répandent largement leurs spores
    alors faire des toits
    des ces supports,
    du sport assurément

  6. SPLENDIDE…

    « Voici la feuille de fougère, déployant un geste,
    Comme un chef d’orchestre dont la musique sera pause maintenant
    Et l’unique note de silence
    Sur laquelle danse la terre gravement. »

    Ted Hughes (extrait de Fougères)

  7. Mais pour les plus fatigués
    sur lit de fougères s’allonger
    quand craquantes et brunies
    sur elles on s’alanguit
    cela ne change pas la mise
    passant du tapis vert
    mais poussant le pêne ombre
    on pénétre en sous bois
    on révêle en sous soi
    les plus douces fragrances
    ni fugues ni errances
    se retourner sur sa couche
    ne pas macher en bouche
    effeuiller délicatement
    ne pas se couper prosaïquement
    de cette nature généreuses
    et aussi ombrageuse
    tirer sa révérence
    sur un pas de danse
    et ne pas fouler
    la végétation
    sous couvert
    de se défouler
    un miracle
    sous chaque pas
    une vie intense
    en sourdine
    à préserver
    à observer

  8. Couvert ou fouillis
    jamais je ne végéte
    sous ce beau treillis
    dentelées, côtelées
    cherchant quelque abri
    marchant en cabri
    masquant mes traces
    aux yeux rapaces
    presque une carapace
    si densément occupé
    un pan de toit pour moi
    une propension à s’étaler
    une tension à protéger
    des couches qui s’empilent
    me touchent le nombril
    primordiale et cordiale

  9. Fougère à l’Oeil Ouvert sur des ombres portées
    Que reviennent les choses là où tout a commencé
    Que les yeux prennent l’espace pour un conte de fée
    Certes la route ombragée est longue mais cède le pas
    A la clairière de soi où le bois garde la trace de la fougère ailée.

  10. Coucou la compagnie !

    eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

    Balade en dehors du sentier
    Entre taillis et troncs redressés
    Qui poussent sans arrêt
    INCURSION

    Balade au fond du bois
    Entre lumière et ombre
    Qui dansent
    PERCEPTION

    Balade au ras de terre
    Entre humus et feuilles tombées
    Qui se mélangent
    SENTEURS

    Balade au milieu des fougères
    Entre tiges et crosses
    Qui lentement se déroulent
    SENSATIONS

    Au cours de mon INCURSION au cœur de la forêt,
    J’ai la PERCEPTION de SENTEURS
    Qui me donnent de belles SENSATIONS

    Biseeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeeeee

  11. Fougère rieuse ou bien lieuse…liante et saillante
    fougère fouettante et coupante

    fougère rougeoyante qui se recroqueville
    fougère vertueuse qui s’épenche et s’étend
    fougère jaunissante et racornie, frémissante aussi

    fougère fourragère,
    fougère fromagère,
    fougère étagère

    fougère zélée
    fougère zébrée
    fougères aimantes …qui se rapprochent et se reccrochent
    fougère tigée et crochetée
    fougère matelassée

    comme un fou j’erre, tel Charles VI en sa forêt du Mans

  12. Tu gardes en toi
    le sceau des fougères et des prêles,
    le calque des écorces, étant
    paume ouverte du temps
    mémoire des ruches de la vie
    où bourdonne encore en nos doigts
    l’enfance des reptiles

    Jacques Lacarrière , Lapidaire.

  13. filicaria sigillata
    laisse ton empreinte profonde
    au sein des schistes
    la carrière du temps
    est grande ouverte
    sur tes merveilles

    belle citation mathilde 😉

  14. Mémoire enfouie

    Jeux cachés sous les fougères
    Ententes cryptées, savoir se taire
    Oublieux des regards sévères
    Amours en paradis verts

  15. Bonjour les poètes ,
    je veux partager une astuce : à la maison, les chiens dorment sur un lit de fougères, et adieu les puces !

  16. Le monde d’Ossiane
    A le vert des fougères
    De l’osmonde royale
    Et des fines capillaires
    Allongé sur la mousse
    La grand aigle balance
    Je cherche des crosses
    La corne de cerf s’élance
    Même les nids d’oiseau
    Lancent des frondes
    Tout là haut
    L’ombre danse
    Sur mon front
    Le ciel est bleu
    Comme des sporanges

  17. Du fond des fougères
    Je vous dis au revoir
    Je pars demain
    deux à trois semaines…
    Mais vous lirai
    Dès que je le pourrai
    En squattant ici ou là !

    Vous allez me manquer…

    Biseeeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeeeee

    PS/ Pendant mon absence, je vous ai mis des petits jeux sur l’Ardoise et dans l’Echo des sabots !

    A bientôt, l’équipage…

  18. Bon voyage Christineeeeeeeeeee. Ton sourire et ta bonne humeur nous manqueront aussi. Have fun!
    Love

  19. >Neyde, heureuse de te voir reprendre ta belle plume 😉

    >Du 100% Brigitte ! On dirait que tu as vraiment testé ces fougères 😉

    > Bravo Lou d’Amérique, tu réussis à me faire entendre la pluie 😉

    >Je crois comprendre qu’il fait chaud sur Paris, Emma 😉 Bien à vous deux !

    >Merci JOS pour ta fidélité et ton enthousiasme. Ton écriture coule douce et spontanée.

    >Hi Leila, happy to see you again 😉 J’espère que tout va bien de ton côté.

    >Thierry, ta plume est fébrile et musicale;-)

    >Sophie, un grand merci aussi à toi pour ton assiduité à ces rendez-vous poétiques 😉 Très belle écriture aussi de ton côté !

    >Bienvenue Bapinthesky ! A vous de jouer en poésie, que diable 😉

    >Merci aussi Monique pour ta vélocité, fidélité, délicatesse et humour. Je ne savais pas pour les puces 😉

    >La même chose pour toi reine Christinneeee qui donne la joie de vivre à plein de monde. Je te souhaite de belles vacances pleines de découvertes et d’émotions. Nous serons attentifs à tes petits signes 😉

    >Mathilde, vous si discrète mais toujours présente en riches extraits d’écriture, je vous remercie sincèrement.

    >Phil, la joie de vivre est en toi, je le sens depuis quelque temps 😉

    >Ami Pierre, bonsoir, toi aussi je te remercie vivement d’être là tous les rendez-vous. TU es un grand poète toi aussi et jardinier de surcroit 😉

    >Ami Jean, plaisir de te retrouver également sur ces pages ; impressionnée par la grande qualité de tes poèmes 😉

    >Amie maria, même remarqe que pour les autres, fidélité et richesse de coeur de tes passages, je te remercie.

    >Ich bin ein Marilyn Lover, merci Olivier, quelle revue de presse !

    Enfin, je vous embrasse tous bien fort, bonne nuit !

    Ossiane

    .

  20. Bonsoir, je découvre une deuxième monique(heiderich)qui nous donne des astuces sauf que moi, je n’ai pas de chiens mais des minous, et ils ne dorment pas sur de la fougère mais un peu partout dans la maison au grès de leur humeur avec une petite préférence pour le fauteuil de mon bureau très souvent occupé le matin par « papyrus » ( nom de mon chat.)

  21. Doux souvenirs d’hier
    Forêts et buissons verts
    Fougères et bruyères
    Petits chemins de terre
    C’était naguère
    Du temps de mon père
    Du temps de ma mère

    De longues promenades
    Au coeur de la forêt
    Palais de mon enfance
    Dans le vert tendre des fougères
    C’était notre pampa
    Notre forêt vierge
    Notre terrain de jeux

    Doux souvenirs d’hier
    Forêts et buissons verts
    Fougères et bruyères
    Petits chemins de terre
    C’était naguère
    Du temps de mon père
    Du temps de ma mère

    Les fougèresde nos forêts
    Plantes par endroit géantes
    Presque impressionnantes
    Pour les enfants que nous étions
    Où l’imaginaire prenait sa source
    Ainsi que des histoires auxquelles
    Nous finissions par croire

    Doux souvenirs d’hier
    Forêts et buissons verts
    Fougères et bruyères
    Petits chemins de terre
    C’était naguère
    Du temps de mon père
    Du temps de ma mère

  22. La Fougère

    Quand à la cime des arbres le feuillage s’agite
    Quand filtre la lumière comme blanchit la houle
    Tels les plis d’une robe d’un beau vert émeraude
    Comme des algues vertes s’étale la fougère
    Comme une sombre mer éclaire les sous bois

    Alain

  23. Litière d’un soir et d’occasion
    pour celui qui cherche un réconfort
    étagées des taillis en contreforts
    pas assaillis par ces langues rapeuses
    dans la pénombre ménagée
    en ce qu’elle recéle de plus secret
    telle est en soi même la fougeraie
    de ces rais de lumière qui percent
    elle darde et pointe avantageusement
    et balaie d’un geste ample tous les doutes
    comme elle efface au sol dans la poussière
    la moindre des traces laissées en la clairière

    belle journée à l’équipage
    grand salut à notre capitaine
    qui n’a de cesse de susciter nos réactions
    et de cultiver notre imagination

  24. Quitter cette terre baignée de soleil
    Où l’air devient presque irréspirable
    Où la moiteur colle à la peau,
    S’enfoncer dans la fougeraie
    Boire la fraîcheur du sous-bois
    Dans le vert tendre des fougères,
    Humer l’odeur de la terre humide
    A l’ombre des grands arbres,
    Je ferme les yeux et j’en rêve
    De ce pays d’où je viens.

  25. Salade de fougères
    Souvenirs mouillés
    L’espiègle s’en mêle)

    Salut Ossiane, ça va très bien sous le soleil!Bisou!Je passe de temps à autre lire tous les poètes avec plaisir.Bel de bel Annick avec beaucoup de retard!

  26. Allongée sous un filtre végétal
    Je me ressourçais
    Les sens en sommeil

    Des bruissements lointains
    Des bruits de pas
    De plus en plus proches

    Sur mon abris végétal
    Une ombre s’est dessinée
    Celle d’un homme

    Un bruit sourd s’est élevé
    Du pied du grand chêne
    Enraciné tout à cotés

    Plus rien
    Seuls les bruits de la forêt
    Me parvenaient alors

    Les pas n’avaient pas repris leur course
    L’homme devait s’être assis
    Là, tout à coté

    Mon rythme cardiaque s’est accéléré
    Peur ou excitation
    Je ne le sais

    Toujours rien
    Plus un son, plus un signe
    Ais-je rêvé ?

    Une voix grave et douce
    A soudain rompu le silence
    L’homme s’est mis à parler

    Des paroles d’hommes

    Des mots

    Pas de ceux qu’un homme dit à un Homme
    Virils, pour ne pas perdre la face
    Pas de ceux qu’un homme dit à une Femme
    Charmeurs, pour ne pas la perdre

    Des mots

    D’une franchise
    A couper le souffle
    D’une justesse
    A damner un saint

    Des mots

    Que j’aurais voulu entendre
    Bien plus tôt
    Pour comprendre l’Homme

    Merci homme

    Je peux interrompre mes réflexions
    Et retourner vers ce monde
    Là, plus loin

    N’aie crainte homme
    Je ne bougerai pas avant ton départ
    Je ne te dérangerai pas

    Même si mes sens
    Me dictent
    De m’approcher

    Vas homme

  27. La forêt verte dormait en silence
    Dans la chaleur épaisse d’une journée d’été,
    Elle gardait en son sein la fraîcheur du matin.
    Sous ses grandes feuilles de fougères,
    Elle abritait tout un monde grouillant de vie,
    Dans la pénombre et l’odeur de la mousse et des feuilles mortes.
    Le vent carresait cet auvent de grandes palmes
    Comme la bise ondule la surface d’un étang.
    Vous l’aurez deviné, sans doute
    Cette forêt avoisine les pays de Loire.
    Elle est vivante, peuplée de souvenirs.
    De ses sous bois s’évapore un parfum de nostalgie.
    Je voudrais me fondre dans ce monde animal et forestier
    A l’abri des regards, des haines et des révoltes,
    Laisser seulement couler les jours,
    Respirer et ne connaître que des larmes de rosée.

  28. Plongée dans une larme de rosée

    Rejoindre l’enfant qui est en nous… Lui dire que tout va bien… Malgré notre évasion du vert paradis des amours enfantines… Le laisser respirer l’air doux et serein des rives de nos rêves anciens… Le laisser humer les fragrances connues de lui et qui nous font cogner le coeur quand nous les reconnaissons… Ouvrir nos bras pour le laisser courir.
    L’enfant ceint sa tête d’une couronne de fougères ; pour toujours il sera le roi de la montagne.
    Alors le regarder partir… Il reviendra… Tout au long du chemin, il nous accompagnera.
    On ne quittte jamais l’enfant qu’on a été.

    Le jour s’écoule

  29. Phil alba Merci pour ces jolis mots , on ne quitte jamais l’enfant qu’on a été , certainement et c’est bien de garder cette part d’innocence et d’émerveillement , en fait cet enfant n’est jamais bien loin.

    De Paulo Goelho dans Sur le bord de la rivière Piedra, je me suis assise et j’ai pleuré :
    « Nous devons écouter l’enfant que nous avons été un jour, et qui continue d’exister en nous. Cet enfant sait ce que sont les instants magiques. Nous pouvons bien étouffer ses pleurs mais nous ne pouvons faire taire sa voix »

  30. Monique et phil, vous m’émouvez aux larmes… de celle qui fait le gros noeud dans la gorge.
    Bisou et big hug à Thierry dont la présence constante est sécurisante et que je rejoins dans le bravo à la capitaine!
    Love to all.

  31. Des fibres rayonnantes
    Des Interstices de soi-même
    On entend la voix.

    Dans nos cœurs, secret,
    L’enfant se rappelle à nous
    Sorti du sous-bois.

    N’aies crainte de tes larmes
    En la forêt un abri
    Pour tes souvenirs.

    La terre est humide
    La laie se rappelle de toi
    Va dans la clairière.

    Des arbres n’y sont plus
    Mais dans la lumière leur ombre
    Accueille tes soupirs.

    La fougère se couche
    Des enfants viennent y jouer
    Partage leur plaisir.

    Car l’enfant en toi
    Laisse chanter ses souvenirs
    Où fleurit la vie.

    Échos de l’enfance
    Voici gravés dans nos yeux
    Les plus beaux récits.

    Gravés sur les troncs
    Sur les corps espiègles et purs
    Des enfants terribles.

    Qui rient et se roulent
    Les voici ouvrant nos cœurs
    Parmi les fougères.

    Vis, cœur chlorophylle
    Sous l’écorce tu es bois tendre
    Tes enfants ramures.

    Vos enfances croisées
    Sur les sentiers des couleurs
    Les quatre saisons.

    Ton bonheur feuillage
    Dentelle de vie animée
    Homme, toi l’enfant sage.

    Sens-tu l’homme qui passe
    Et tes cheveux grisonnants
    Couchés sur la mousse?

    Le temps et l’espace
    L’enfant gai dans sa tanière
    Tes larmes de pluie?

    Promenade d’été
    Douce est l’enfance abritée
    A l’ombre de soi-même

    Va, ami des bois
    Laisse l’émotion te surprendre
    Enfant intérieur.

    Va..mon tendre ami
    De tes souvenirs anciens
    Subsistent tes pleurs.

    Subsiste la voix….intérieure

    Ps: J’y crois
    (croix de bois, croix de fer, si je mens je vais en enfer…….bein quoi??!! c’est l’enfant intérieur qui se déchaîne)))
    Bonne soirée à tous.

  32. A fern popped up
    in my bushy frontyard
    asking the paved walkway
    for permission to stay
    for one month or one year
    for the palm tree was tall
    dressed up in freedom
    and ready to make dreams fly

  33. Pas tout compris Lou, il est loin mon anglais et les faux sens m’empêchent d’aller dans le bon sens, j’essaie d’emprunter les passages à niveau mais …je… rêve….
    Bonsoir Lou et je vais essayer de m’améliorer.
    Bonsoir à toi aussi Leïla, il est tard et le temps passe vite…. trop vite…. comme la vie…
    ___

    Dans la forêt obscure
    De part et d’autre des allées
    comme une bordure dentelée
    S’alignent en points serrés
    Les hautes fougères arborescentes
    Frou-frou de nos sous bois
    Cotillons des grands arbres
    Qu’un rayon de soleil illumine
    Qu’un souffle de vent fait frémir
    Merveilleuses coquetteries de nos forêts.

    ___

    Bonne nuit à tous et une bise pour toi Ossiane et bonne semaine

  34. Juste quelques images Monique
    Au pied d’un palmier de mon jardin qui a ses rêves à portée de la vue
    est née une fougère que la hauteur de l’arbre impressionne
    elle demande à rester… Je n’ai pas le coeur à la couper…

  35. C’est incroyable Lou dans mon jardin j’ai palmier et fougères et ils font très bon ménage, alors belle promenade en nos jardins et merci pour la traduction qui était avoisinante, je n’avais pas bien vu les rapports entre palmier et fougère.

  36. My bad Monique. Tant que l’explication est intelligible, ça va encore … car souvent chez moi la plume danse à son gré 😉

    Allez, fougères on se réveille
    au son du fifre dans le sous-bois
    le soleil glisse son bras
    sous les frondes indolentes
    les feuilles se soulèvent
    à l’appel du vivant

  37. Légères comme fougères,
    Elles se baladent dans les champs,
    Se basant sur quelques critères,
    Sans les accepter pour autant.

    Elles virvoltent ici et là,
    Sans raison apparentes,
    Voilà pourquoi, moi,
    Je les observe en attente.

    Leurs couleurs rougeâtre,
    M’en apprend plus sur le temps,
    Pourquoi prendre pour un théâtre,
    De petites feuilles volant au vent?

  38. Désolé lou, je ne t’ai pas répondu
    content de participer à ta mise en sécurité 😉
    c’est bien peu pourtant, et parfois cela me semble trop !

  39. La fougère et le renard.

    La fougere, se questionne,
    Mais il est trop tard, elle est bien bonne,
    Dans le ventre du renard malin,
    Qui l’avait croisé sur son chemin.

  40. Thierry, don’t worry and just let the words flow: making us open our dictionary in the summer time is uplifting 😉

  41. J’ai plongé mon regard sur la fougère d’argent
    Comme on trempe les doigts dans un bénitier
    A l’entrée d’une grande cathédrale.
    A l’orée de la forêt sombre,
    Sous la nef des grands arbres,
    Je me suis engouffrée dans la pénombre
    C’est là que, sans aucun dieux, sans aucun saints
    Je me suis ressourcée dans la fraîcheur,
    Loin du bruit et de l’oppression du monde.
    L’émotion m’étreignait dans ce havre de paix,
    Il me venait comme une prière au fond du coeur
    Une impression étrange d’être accueillie
    Par la poésie qui habite ces lieux de silence.
    Il n’existe que peu d’endroits semblables
    Où je puisse sentir naître en moi
    Un apaisement aussi profond et intense.
    C’est peut-être là que je pourrai percevoir
    Le véritable sens des mots, ma raison d’être
    Au sein même de ce lieu presque mythique
    …………………Qu’est la forêt………………….

  42. MMMhhhh, comme c’est beau, Monique, mon petit coeur vibre devant tes mots, bien plus mon corps se vit de ressentir tes mots, de tout vrai….
    je suis contente de partager avec vous, les invisibles, l imperceptible, la beauté,

    Sa main rampe une fougère
    Et déjà se frissonne
    Une petite goutte de pluie
    Mouille son petit bout de doigt
    Et lui offre de la vie
    Sur un écrin de vert
    Ouvert au ciel de terre
    Et ellle ferme ses yeux
    Déjà elle est ailleurs
    Au pays de l amour
    Qui serre et offre son jour
    Sa prière grâcieuse
    Bien loin d’un banc d’église
    Ouvre son coeur palpite
    Elle se sent si vivante
    C’est bon d’aimer l’instant
    Qui se donne comme ça
    Dans le simple se vivre
    Au creux de paumes ouvertes
    Dans un recueillement qui fait
    Le tour du monde
    Sur une simple fougère
    Pousée là pour chacun

  43. L’histoire de Bill et de sa bien-aimé fougère

    Ses feuilles virevoltant au vent me rapellent celles de mon amie la fougère, celle que j’avais regardé dans le sous bois et qui m’ avait paru si belles et rayonnante, mais qui n’avait que de simples feuilles vertes. J’étais sûr quelle avait quelque chose de spécial c’est pour ça que je l’avais déraciné et mise dans un pot de fleur. Mais quelle erreur!!!!!
    Après quelque jour ma belle et rayonante fougère c’était faner, elle avait perdu son tout charme. Je me fis donc la promesse de prendre soin des plantes et en particulier des fougère.

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