Lac

lac de Vaccarès

lac de Vaccarès

lac de Vaccarès

lac de Vaccarès

lac de Vaccarès

Colonie de roseaux, sur la ligne d'horizon, l'or des marais

Lecture du Haïku Calligramme: de bas en haut

Colonie de roseaux
sur la ligne d’horizon
l’or des marais

Sur la rive du lac de Vaccarès en Camargue …

Sur les traces de Nath et de Leila, une belle surprise poétique et musicale … il s’agit du poème « Adagio » qu’Alain a écrit sur la note « Lac » et que son ami guitariste a superbement mis en musique et récité. Cliquez ici pour lire son poème en même temps.

47 réflexions sur « Lac »

  1. .

    Bonsoir à tous, j’ai pensé à vous avec cette petite note que je n’ai eu le temps de publier dimanche soir.

    Juste un coucou bref…
    Bien arrivée, le travail avance bien malgré la chaleur et le mistral.
    Sur les rotules et en très bas débit je suis…

    Bon vent avec ces nouvelles photos
    Bien à vous tous, amitiés

    Ossiane
    ;

  2. Chère ossiane, nous sommes toujours tes débiteurs pour autant
    content de te savoir bien arrivée
    et te souhaitant un excellent séjour
    dans ce qui est une de tes arrières cuisines
    pour magnifier cette nature généreuse et encore sauvage
    tu va encore jouer du mistral gagnant

    A peine courre l’onde sur le bleu déclinant
    ligne d’eau ou filet de pêche au ras des flots
    ainsi s’en va au fil de l’eau le roseau aimant

    Dans ce fond continu en mare contigue
    c’est la fusion du rêve et du rivage
    l’or des alchimistes martelé à satiété

    pas d’ibis en son nid qui s’y colle
    dans ce couvert, tellement bien camouflés
    à moins de les tenir dans ce paysage marouflé

    que les cannes soient de cet univers le pivot
    quand ils dressent comme seul horizon des plots
    faisant ressortir en taches quelques îlots

    tranche étrange qui fixe et qui fige
    frange étagée ployante et subordonnée
    immobile apaisement des tiges

    Fond continu déployé à front renversé
    des gerbes par milliers pour tenir bon
    et cette couleur pleine pourtant bien versée

    Bonne semaine à toi Ossiane et rapportes nous de belles photos inattendues
    salut amical à l’équipage

  3. _

    Sur un guéridon de Camargue
    nappe bleue
    et dentelles écrues
    _

    Superbe journée à tous.
    _

  4. Hello grande voyageuse !!!!
    douces pensées vers toi

    Au travers de la roselière
    un doux murmure
    L’oiseau veille sur l’or des marais

  5. blondeur de l’été
    le vent caresse l’onde
    les mots chuchotent

    ***

    Très beau Ossiane … tranquillité lumineuse
    Ton calligramme et fort beau il a quelque chose d’une peinture de Staël
    Bises … ainsi qu’à Bourrache

  6. Lance ,
    L’eau du lac.

    Rafraichis ma peau.

    Elle et moi ,
    dans les roseaux,

    Meme pas cachés
    On s’aime,
    Reposés.

    Morgane ,je suis.
    De ma fée
    couleur canari.

    Lance l’eau du lac,
    qu’elle vivifie ma peau,
    Tannée.

    Qu’elle me permette
    de voir ou je te guette,

    Ame soeur absolue

    Tu sais construire,
    des ponts de bambous,
    avec des sourires
    Pour porter le fou.

    Prete à construire,
    des flèches de bambous
    Pour faire souffrir
    Les ennemis du fou.

    Meme ,
    Tu a tressée ,
    Une corde de bambou,
    Pour que je danse
    Dessus.

    Toi meme,
    qui m’aime ,
    qui veut ,
    Que je l’aime ,
    Qu’elle meme,
    M’aime.

    Lance l’eau du lac,

    J’en attraperai quelques gouttes
    Au creux de ma main
    Pleine de couleur

    Je te donnerai les gouttes,
    Tu les boiras demain ,
    Pur matin de bonne heure.

    Soeur d’ame,

    J’ai ma dame,
    du lac.
    Morgane.

    Mais rien ni personne ,
    Ne coupera le fil,
    Nous ne croquerons pas la pomme,
    Nous avons une ile.

    J’ai la force d’homme ,
    De me blottir ,
    en celle qui tout me donne,
    Ce bohneur à en mourrir,

    …..

    Lance , l’eau du lac,

    …..

    La bise se lève,

    Je te l’envoie ,

    je retourne à mon reve,
    ,Absolu,
    Me blottir ,
    au creux des ailes ,
    de mon canari.

    ……

    C’est une histoire d’ O))),
    C’est une histoire de lac,
    Ou volent les canaris,
    Ou poussent les bambous,
    Ou les matins sont purs,
    Ou les danseurs sont fous,
    Ou la confiance demeure.

    …….

    Soeur dame ,
    Viviane ,

    Lance , l’eau.
    Du lac.

    …….

  7. Le lac

    Le lac au bord duquel de troubles roseaux tremblent
    est tel un œil ouvert protégé par ses cils
    Quand le vent chasse les nues le ciel s’y reflète
    Et nagent ingénues les frêles silhouettes

    Alain

  8. Des têtes de miel
    Une eau de bleue
    L’amour présence

    beau séjour en camargue que j’ai traversé avec mes parents, il y a quante ans…je ne m’en souviens pas..
    MERCI d’offrir tes images de là bas…
    BISES à chacun’e’, pour leurs mots d’été.

  9. Le ciel donne sa couleur
    à l’eau
    Et le soleil d’ors purs peint
    les roseaux
    La toile épouse le coeur
    brûlant d’été
    Il fait si chaud ses bords
    l’oeil somnole
    Ses rêves les plus bels
    folie douce

  10. Que de blondeur, que de douceur autour de ce lac si bleu..comme les cieux…C’est très lumineux et reposant, Ossiane!…et ce lac inspire déjà beaucoup…joli, Fauki! belle inspiration!

    Un petit coucou aux amies!

    Des roseaux pensants
    Dans un rêve océan
    Les blés des marais

  11. Il m a fait frissonner, Fauki, ton joli texte,merci!

    et je recite tes mots et les emmène tout contre moi, en cet été de ce jour…

    « C’est une histoire d’ O))), »
    Des oOooOOoo
    Si bels tous chauds
    Qu’on aime se serrer
    Dans la beauté d’aimer
    Tout contre soi en soi
    Au plus près de son soi
    D’un amour profond tendre
    Si réel qu’il se vit
    Des émotions si grandes
    Un bel défi, la vie
    Dans ses oOooOO
    Et ses baAaaAAaA
    Moi je préfère ses OOooO
    Comme chacun sur terre
    Qui est né pour aimer
    Et se vibrer ses OooOOo

  12. Un oeil de bleu
    Sa frange en cils
    Regarde et se ferme
    Le roseau pense
    Se penche doux
    Il se rêve d’amour

    je préfère mes mots à cette sauce là, belle journée.

  13. Merci Ossiane, de penser à nous, inconditionnels du blog, toujours admiratifs de tes photos.

    Je suis une étendue d’eau propice au repos
    Le ciel se reflète, bleu, sans nuage
    Aucune vague ne vient troubler ma quiétude
    Des roseaux bienveillants m’entourent de leurs caresses

    Je suis une étendue d’eau propice au repos
    Je voudrais être la mer, toujours recommencée
    Mais aucune vague ne vient rider mes plénitudes
    Des roseaux de miel m’enferment dans leur gratitude

    Je suis une étendue d’eau propice au repos
    Je voudrais être la mer libre de tout lien
    Mais le silence règne sur mes rivages
    Je rêve de tempêtes et de marées

    Je suis une étendue d’eau propice au repos

  14. Lac

    un beau lac endormi au milieu des roseaux
    comme un enfant tout nu couché dans son berceau
    ce sont des perles rares que l’on prête aux poètes
    que parfois la nature négligemment secrète

    Alain

  15. beaux mots, Alain,
    en regardant la troisième image, j y ai vu, un berceau, ce matin…

    Berceau tout tiède calme
    Tu serres dans tes bras
    La vraie vie endormie
    Qui berce l’oeil du poète
    Dans les replis de lui

  16. Il s’étend l’étang étant
    Tout son temps une fausse
    Eau dormante exposée au suicide
    Gémissant quand le flamand s’envole !

  17. Les herbes folles barbotent
    Mais elles ne se noient pas
    Elles cherchent l’équilibre
    Dedans cette eau de bleue
    La rive est douce de miel
    En paix de l’instant tendre
    La papote belle jolie
    Cette herbe brûlée d’envies
    Du soleil dans le ciel
    Qui saisit en rayons
    Et ruche ces demoiselles
    Pour les aimer tout contre

  18. reflet d’émeraude
    dans un écrin de roseaux
    frisson de douceur
    *************************************************************
    Ossiane, plein d’énergie à vol d’oiseau pour booster un peu le « bas débit »…
    Et belle moisson d’images…

    Superbe métaphore, Annick,
    « un oeil de bleu
    sa frange en cils… »
    qui se termine en « rêve d’amour ».

    Très beau poème !

  19. Méditations poétiques

    Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages,
    Dans la nuit éternelle emportés sans retour,
    Ne pourrons-nous jamais sur l’océan des âges
    Jeter l’ancre un seul jour ?

    Ô lac ! l’année à peine a fini sa carrière,
    Et près des flots chéris qu’elle devait revoir,
    Regarde ! je viens seul m’asseoir sur cette pierre
    Où tu la vis s’asseoir !

    Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes ;
    Ainsi tu te brisais sur leurs flancs déchirés ;
    Ainsi le vent jetait l’écume de tes ondes
    Sur ses pieds adorés.

    Un soir, t’en souvient-il ? nous voguions en silence ;
    On n’entendait au loin, sur l’onde et sous les cieux,
    Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence
    Tes flots harmonieux.

    Tout à coup des accents inconnus à la terre
    Du rivage charmé frappèrent les échos,
    Le flot fut attentif, et la voix qui m’est chère
    Laissa tomber ces mots :

    « Ô temps, suspends ton vol ! et vous, heures propices,
    Suspendez votre cours !
    Laissez-nous savourer les rapides délices
    Des plus beaux de nos jours !

    « Assez de malheureux ici-bas vous implorent ;
    Coulez, coulez pour eux ;
    Prenez avec leurs jours les soins qui les dévorent ;
    Oubliez les heureux.

    « Mais je demande en vain quelques moments encore,
    Le temps m’échappe et fuit ;
    Je dis à cette nuit : « Sois plus lente » ; et l’aurore
    Va dissiper la nuit.

    Alphonse de Lamartine

  20. Curieuse histoire, en vérité, ces entrelacs au bord du lac
    Curieuse affaire à démêler, cet un art dont je suis bien las,
    A dire le vrai, croix de fer ou de bois, hola !
    Jamais, au grand jamais, quiconque ne s’en mêla

    Il paraîtrait qu’un chêne, un jour, un roseau héla
    Que croyez-vous, frère Benoît, qu’il arriva
    Et bien voila : le chêne ne s’en remit pas
    De là on tire que son bla bla le mit bien bas !

    Si le chêne est bavard, le roseau est taiseux
    C’est un être laborieux qui se contente de peu
    Sa mémoire des saisons cela lui suffit bien

    Je puis vous affirmer que ce serait en vain
    De vouloir qu’il témoigne sur la fin du verbeux
    Et à tout prendre, mon bon ami, ainsi c’est mieux

    Moralité

    Beau parleur finira par se crocher les pieds
    dans ses propres entrelacs. Et ce sera bien fait.
    Pire encore, de lui rien ne subsistera

  21. Un lieu secret pour être
    Se nager nus de sois
    En belle liberté
    Au plus près de la vie
    Dans son écrin si bon
    Qui laisse vivre les sens
    Sans livre d’éducation
    D’un ton bel naturel
    Sauvage si délicat
    La vie dans son plus vraie
    Est belle sans apparât

  22. Douceur sur le lac
    Couleurs à faire rêver
    Les peintres de passage
    Les bleus caressent les joncs
    Les roseaux se serrent en ses eaux
    Un silence religieux embrasse le lac
    D’une aura de splendeur et de tendresse
    Le ciel sur le lac complice, se reflète
    En une douce harmonie de bleus pastel
    Le paysage est serein, absence de vent, douce lumière
    Une sensation de paix envahit mon coeur
    Il devient lac, bleu azur et si léger
    Il contient toutes mes espérances.

  23. L’affaire est dans le sac ou bien dans le lac
    tous ce roseaux pansant n’y feront rien
    pour aller d’une rive à l’autre y a t il un bac

    Dans ce bleus dégradés et presque délavés
    il n’y a rien de dégradant et les gardiens des lieux
    ne font pas plus de bottes que de gerbes

    Dans cet horizon certes borné mais apaisant
    il y a la douceur mais aussi la tranquilité

    que seule le frôlement soyeux des plumets
    vient animer un peu mais ce ne sont élytres

    qui produiraient un son continu et stridulant
    aussi quand s’ébroue poussiéreux le balai

    on croit entrevoir en filet le digne ballet
    d’une cohorte qui exorte mais n’exhaure

    alors qu’il cherche en guise d’exorde
    à vaincre la solitude,contrebattre le désordre

    rassembleur et grégaire il ne souffre la guéguerre
    s’enflammant au point de mettre du rose

    il se pique de prose quand il raconte du lieu
    toutes les facéties et autres péripéties

    et si la faune tant l’apprécie,
    ce n’est pas pour l’art du récit

    pas de crise en ce lieu
    juste quelques prises

    ainsi la caresse du vent
    ne fait qu’effleurer

    là où l’eau affleurante
    ne connait pas de pente

    la stagnation peut dire l’envasement
    pourtant les plantes filtrent

    et ce philtre d’amour
    rejaillit sur la sérénité du lieu

  24. Roselière
    La nature tressa des bordures
    De miel et d’azur
    Les roseaux dansèrent sous le vent
    Entre la terre et l’eau passagère
    Des cieux de massettes et de joncs.

    La rousserole chantait au nid
    Et dans le calme intérieur
    Se pavanaient des grèbes huppées.

    Roselière
    J’ai laissé choir mon cœur au fond
    Y décantèrent quelques pensées
    Le roseau filtra les prières
    Et contre les saules en fagots
    Écarta les vaguelettes sombres.

    Et sur le front des roselières
    Philtre d’amour y ai trouvé
    Et je vis un soleil…d’été

  25. Le lac

    la surface du lac ne réfléchit aucun rayon
    Sinon le soir peut être l’aube le soleil bas
    Donne au ciel pâle le velouté d’une peau de pêche
    Le silence règne dans les roseaux qui s’entrelacent
    un souffle passe un battement d’aile de papillon
    A peine sur la nappe d’eau court un léger frisson

    Alain

  26. joyeuse la fugue
    comme un virage
    dans l’onde des vents
    sur le temps, le Rhône donne aux roseaux l’attente
    des méandres de sable
    quand le lac glisse vers la méditerranée
    ombre jaunie des envols d’échassiers
    ta paresse fugue
    comme un virage :
    «  »Colonie de roseaux
    sur la ligne d’horizon
    l’or des marais… » »

  27. Merci Jacline,
    oj, jolis de vous tous de chacun’e’…
    BELLE JOURNEE,
    en courage et en joies, bises Ossiane.

    Entre deux plumes de douceurs
    Le hamac du pont
    Se balance tendre
    Tout doucement
    Au rythme des palpitations
    De l’amour qui se cueille
    Quand l’oeil s’ouvre au petit matin
    Un bel réveil que se lever
    Pour aimer son jour le cueillir
    Comme il vient
    Dans la respiration du tant
    Qui si calme fait du bien
    Et parfois si le hamac
    Se tourne en vertiges
    Ensuite la caresse de la bise du vent
    Lui redonne son tempo d’amour
    Tout doux tout tendre tout bel

  28. Adagio

    Quel calme reposant apporte la vue du lac
    Entouré de roseaux qui doucement balancent
    Tant de roseaux jaseurs qui soudain font silence
    Ce calme et ce silence propice aux rêveries

    Comment ne pas songer avec nostalgie
    A l’extrême lenteur des minutes qui passent
    A la douce émotion qu’apporte la musique
    A l’exquise caresse d’un très bel adagio

    Alain

  29. L’oeil est bel Ô gâté
    Il est Ô mûr si tendre
    Devant le lac Ô calme
    Se sourit Ô de vie
    Comme c’est bon Ô paix
    Qui Ô goutte bonheurs
    Dans toutes ses perles d’Ô

  30. Bonjour leila
    ravi d’avoir de tes nouvelles
    je tombe du lit en ce moment
    et ce n’est pas la bosse des maths
    mais juste quelques impressions
    c’est fort joli mais je ne sais pas exactement
    ce qu’est une roselière, je vais regarder
    bises

    bon vent et bon séjour à ossiane
    il faut éviter les bougés
    mais tu as du matériel adapté

  31. Poudre d’or
    autour d’un Lac
    précieux
    silencieux
    Un Lac bleu
    au centre du paysage
    adorné
    couronné
    de plumes d’or
    Riche image!

  32. LAC I CAL
    pas de lac bocal
    pas de cal bolac
    pas de cal avec talc
    ainsi glisse le décalque
    mais quand le clac se cale
    le bocal se vide… en loque
    et le lac Baïkal jamais ne baille

  33. J’ai pour toi un lac
    Fier comme la Grande Brière
    Gai comme le Camarguais
    Joyeux comme Grand-Lieu
    J’ai pour toi un lac
    Ou danse l’Agrion
    La Nymphe à corps de feu
    La Cordulie paisible
    J’ai pour toi un lac
    Caché comme la Sologne
    Pluriel comme la Brenne
    Géant comme le Léman
    J’ai pour toi un lac
    Aux grenouilles agiles
    Avec tritons ponctués
    Salamandres tachetées
    J’ai pour toi un lac
    Drôle comme le Titicaca
    Fatal comme le Baïkal
    Secret comme le marais
    J’ai pour toi un lac
    Ou glisse le Gerris
    Le grêle Ranatre
    Et le féroce Dytique
    J’ai pour toi un lac
    Ou chante le Pipit
    Le Bruant des roseaux
    Le Phragmite des joncs
    J’ai pour toi un lac
    Avec hutte de chaume
    Douce couche de mousse
    Pour se la couler douce
    J’ai pour toi un lac
    Ou pousse la douce-amère
    La grande pimprenelle
    La belle orchis abeille

  34. Bonsoir à tous, en un jour d’été digne de ce nom
    Quelques vers inspirés par les mots très beaux d’Alain Hannecart, sensible à l’image de l’adagio dont le hasard veut que ma journée ait débuté avec l’adagio d’Albinoni
    __

    Au bord du lac, le promeneur est comblé
    Devant l’équilibre harmonieux de la beauté.
    Laissons aller nos pensées sur l’onde de l’eau claire,
    Savourons du regard cette nature paisible,
    Ecoutons dans un silence contemplatif
    « L’exquise caresse de l’adagio  »
    Qui laisse sur le fil de l’eau, une musique mélodieuse.
    Demandons-nous amis poètes,
    Si ce n’est pas dans cette approche sur- nature- elle
    Que se cache parmi les roseaux, le berceau de notre bonheur.

    _____

    Bonne fin de soirée à tous et bonne nuit.

  35. Lancelot au bord du lac
    l’un cent dit
    mais au moment ou il la lance
    la voilà qui revient

  36. .

    Bonsoir les amis,

    Des jolies surprises arrivent dans ma boîte à lettres, ce soir. Je veux vous en faire profiter.

    Première surprise… une autre se prépare …

    Vous trouverez sous mes haïkus sur les notes « Lac » et « Accent grave » le poème intitulé « Adagio » qu’Alain a écrit pour la note « Lac » et qu’un de ses amis guitaristes a récité et mis en musique de façon superbe. Mes photos s’en trouvent toutes embellies et je vois bouger les roseaux;-) Belle écoute sous la brise de Camargue!

    Merci à toi Alain et à ton ami dont je peux mentionner le nom si vous le souhaitez. On en redemande si vous avez envie de continuer dans cette voie;-)

    .

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