Violette

Violette

Violette

Violette

Violette

Violette

Jardin de provence, au détour d'un cabanon, le refuge d'iris

Lecture du Haïku Calligramme: gauche, droite, haut

Jardin de provence
au détour d’un cabanon
le refuge d’iris

Une nouvelle lecture de Nath, un poème écrit sur une note précédente intitulé « Dard maux nie ». Cliquez ici pour lire son poème en même temps.

74 réflexions sur « Violette »

  1. Quel bonheur! Merci pour ces photos

    Iris de van gogh
    cabanon du bon vivre
    soi translucide

  2. Surprise du soir !

    Eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

    Peinture d’iris,
    Bleuté, irisé,
    Doucement aquarellé
    Petit morceau de Provence
    D’un jardin ensoleillé
    Qui ressemble aux Vacances

    Biseeeeeeeeeeeees de Christineeeeeee

  3. Un petit cabanon pour des grands moments de joies partagées
    rendez vous amoureux ou repas de copains, émotion enlacée
    Iris, coeurs de vie, violette comme l’encre
    nervures comme veines du coeur
    incandescence et transparence
    BONHEUR!

  4. Un cabanon caché sous un grand cèdre du Liban
    Par un dimanche de printemps, iris éclos
    Les lilas embaument l’air
    Tout devient possible
    Je pourrai l’aimer, il serait amoureux!

  5. Coucou, Ossiane!

    Quelle joie de découvrir le petit cabanon provençal et tes jolis iris violets, si fragiles et délicats!

    Floraison d’iris
    Tapie dans un cabanon
    Provence en beauté

  6. Quelqu’un connaît-il ma cachette ?
    C’est un lieu calme, où le ciel clair
    En un jour de printemps rachète
    Le mal qu’ont fait six mois d’hiver.

    Il y coule des eaux charmantes ;
    L’iris y naît dans les roseaux ;
    Et le murmure des amantes
    S’y mêle au babil des oiseaux.

    Victor Hugo

    Duo de tons chaleureux, Ossiane . Merci

  7. Les Iris

    Sur les pointes d’acier qui vers l’azur s’élancent
    Ainsi qu’une forêt, de glaives et de lances
    Sur le poitrail de fer des hommes en armures
    Comme des traces de rouille figurent des tâches de sang

    La troupe des hommes à pieds entoure la citadelle
    Ils sont venus en masse pour chasser l’infidèle
    A l’aide de grappins de tours et d’échelles
    Les flèches du soleil font reluire les cuirasses

    Au camp de tentes de toiles où flottent les bannières
    On échange des sourires avec les cantinières
    Au milieu des gens d’armes claquent les oriflammes

    Dont la flamme flotte au vent comme flotte un cimier
    Ainsi sortent les iris comme une armée de l’ombre
    Pour donner aux vieilles pierres des tâches de couleurs

    Alain
    PS : merci Annick
    biz

  8. Jardin de provence pour souvenirs d’enfance
    entre rabicoin et cagibi un adorable cabanon
    entre romaines et frise, jarre à huile de poids
    tous ces cris du passé pésent, à peine apaisé
    Lyrisme de l’iris qui nous enflamme l’oeil
    surtout en parterre ces grappes serrées
    et ces violets si vifs qui m’ont affolé
    ils aiment l’eau et batifolent ensemble

  9. Iris, à son brillant mouchoir

    Iris, à son brillant mouchoir,
    De sept feux illumine
    La molle averse qui chemine,
    Harmonieuse à choir.

    Ah, sur les roses de l’été,
    Sois la mouvante robe,
    Molle averse, qui me dérobe
    Leur aride beauté.

    Et vous, dont le rire joyeux
    M’a caché tant d’alarmes,
    Puissé-je voir enfin des larmes
    Monter jusqu’à vos yeux.

    Paul- jean Toulet

  10. Mon cabanon de moi
    Tu me vis mes envies
    Juste en suffisance
    Au milieu de ces fleurs
    Un arbre au fort gros tronc
    Des oiseaux qui se volent
    Un bout de ciel en vitres
    Un lit de l’amour dedans
    Des bancs une table de bois
    Et tes vieux murs de pierres
    Mon cabanon ma vie

  11. C’est joli un iris
    Une pointe qui s’ouvre
    Des pétales délicats
    Avec des grandes feuilles
    Sa beauté éphémère
    Se prend dans un grand souffle
    Le regard se pose là
    Et ne le quitte pas
    Dans le vase il est droit
    Offre sa belle couleur
    Iris je te respire
    Tu es un bel jardin
    Rare de son bel précieux
    Le mien dans mon jardin
    Ne semble pas pousser
    Ses feuilles semblent fgées
    C’est caprice un iris
    Il doit avoir l’envie
    L’envie folle d’aimer
    Pour s’éclore son jour
    Alors je le regarde
    Chaque jour davantage
    Et peut être qu’un jour
    Son baiser de l’amour

  12. Envie d’habiter là,
    Pour un temps, pour la vie,
    Court instant d’un amour,
    Ou bien lenteur d’un jour…
    Voir la lumière tourner
    Sur les fleurs plantées
    Par soi, par qui, qu’importe!
    Admirer et aimer,
    Puis aller se coucher,
    Fermer les yeux, rêver
    En un demi sommeil
    Les éclats de lumière
    Les pourpres et les verts…

  13. .

    Avis à vous les amis!

    Je vous signale sous mon haïku, une nouvelle belle lecture audio de Nath qui scande ses mots avec la touchante sensibilité qu’on lui connait. Merci pour ton beau cadeau, Nath! Je renouvelle mes appels à ceux qui auraient envie de tenter l’aventure.

    Bises de la nuit

    Ossiane
    .

  14. À vendre ou à louer la petite maison?
    C’est adorable pour y vivre, moi et mon amour.
    Entourée de fleurs, un jardin magique.
    Comme le dit Annemarie :
    Admirer et aimer

  15. Bras en couronne
    dans le vent
    serais tu ballerine
    ramassant la lumière
    dans les pans de
    ta robe de soie claire
    l’émotion de l’iris
    se lit
    dans le regard
    et les sens envahis
    s’exaspèrent
    coulant
    en rosée
    sur tes pétales

  16. « Dans la culture Orientale, le passage du Rouge au Violet symbolise le passage de l’actif au passif, du yang au yin. Cette couleur est aussi censée stimuler les glandes sexuelles de la femme. »
    Yoni soit qui mâle Y pense!

  17. Iris c’est nervuré, découpé, enlacé
    quand en plus le violet profond
    vient battre notre coeur comme les volets
    c’est toute la lumière qu’il y fait entrer
    aux tiges balancelles qui oscillent
    répond l’ocelle qui just un peu vacille
    une composition de choix qui nous échoie
    merveille des merveilles, qui le surveille
    qui penche amoureusement quand s’épanche
    en lignes et traits sans retrait son portrait
    auréolé d’une brillance transparence
    quel contraste avec son coeur plus sombre
    et pourtant c’est là qu’on y dénombre
    entre arceau, anse et coupelle
    la grâce folle d’une hirondelle
    Iris, Isis je les préfére sur pied
    dans le vent de la vallée
    ils me fascinent depuis toujours
    en faisceaux serrés qui se confortent
    ils ouvrent à la beauté une nouvelle porte

  18. Irisation… iripassion… irradiance frisson
    fusiforme, en cornet…mais d’abondance…en un rebond qui danse
    déployé souplement… vibrant du moindre souffle…vivant du moindre regard
    fragilité absolue… durabilité limitée…symbole d’ouverture…membrane diaphane…instantané diaphragme…gauffré…poudré…lamellé…effusion inévitable…corné et écorné…déchiré…débité…

  19. L’Iris

    Goutte à goutte comme un pinceau répand son encre
    de l’or au fond des yeux, du noir au bord des cils
    de l’eau dans le regard comme un peu de clarté
    On revoit les iris qui se rouvrent à la vie

    Alain
    (celui de l’Oeil ouvert par exemple)

  20. Le regard voyage
    au bord des couleurs
    vers la toile mouvante…

    Petit passage éclair ,Ossiane , simplement pour te remercier
    des mots que tu as laissés dernièrement…
    Belle, belle suite à ton aventure 🙂
    Pensées à Pierre b
    Je t’embrasse …

  21. le sanctuaire d’Iris…

    pour une nuit sans fin au charriot des étoiles
    tous les deux suspendus sur les lèvres du temps
    bercés par le murmure amoureux du printemps
    la harpe de nos craintes à l’ivresse se voile

    sur nos coeurs pivoines nos iris s’étoilent
    à la sonate joie des frissons de l’instant
    tango des chrysalides aux sourires haletants
    sur nos souffles caresses à la flamme dévoilent

    les baumes et onguents pour nos âmes rouillées
    déversent bulles d’or leurs perles de rosée
    de l’amphore d’Iris aux parfums des délices

    contre vents et marées contrefort cicatrice
    et nos corps enlacés dans l’écharpe d’Iris
    de la Terre vers l’Olympe s’évanouissent

  22. quand on aime la peinture et les iris, comment ne pas penser à Van Gogh…J’ai toujours eu un faible pour la profondeur et le velours des teintes de cette fleur, que tu rends si bien ici. Emma

  23. Violette

    Elle est toute fluette mais bien qu’elle soit minime
    Dans le fond de son cœur dort une étoile infime
    comme des musiciens qui créent l’ambiance il flotte
    autour d’elle un parfum aussi léger qu’une note

    Alain

  24. Bonsoir du samedi soir !

    eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

    Je vous offrirais bien
    Quelques violettes
    De Toulouse, évidemment !

    Comment les préférez-vous ?

    En pot, naturelles ou séchées ?
    Sucrées, en petits bonbons cristallisés ?

    En eau de violette ?
    En liqueur ?
    En parfum ?
    En sirop ?
    En miel ?
    En encens ?

    Ou en bouquet rond ?

    Ossiane,
    J’t’en envoie par retour du courrier !

    Biseeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeee

    http://marius.bernard.free.fr/violette1.jpg

    PS / Suis pas sûre qu’on puisse faire les mêmes choses avec les IRIS, aussi violets soient-ils !
    Sauf de belles photos, évidemment !

  25. La maison elle a vécu sa vie
    Et c’est son cabanon
    Et son bout de coeur tellement
    Les jours où quand il pleut
    A regarder la pluie
    Se couler sur les vitres
    Dans la goutte qui la bulle
    Et puis aussi de fort
    Les jours de canicule
    Dans l’ombre de son toit
    Elle se vit ses émois
    Ses pas marchent près des iris
    Elle fait la ronde à l’arbre
    Soudain elle s’arrêle
    Se pile en serrant d’être
    Puis s’envole là haut

  26. Tendrement elle regarde ta peau sèche
    Qui se craquèle si doucement
    Pour laisser percevoir une petite goutte bleu
    Qui s’allonge se déploie
    L’iris nait
    Tranquillement
    Puis après son vécu
    C’est à son tour
    Dê se sécher fâner
    Se vivre c’est pour un temps
    C’est déjà tellement

  27. Messagère ailée
    Ô déesse de l’arc-en-ciel
    De Zeus et d’Héra.

    Ô fille de Titan
    IRIS parée de dorure
    Traversant le ciel.

    Explorant la Terre
    Voyageant dans les abysses
    Et les profondeurs.

    Conçu en ton sein
    Que l’Amour naisse du zéphyr
    Entre ciel et Terre.

    Que l’enfant fleurisse
    Qu’il essaime bleu irisé
    En terre de Provence.

    Que pluie reluise au soleil
    Que l’oiseau cueille la brindille
    Que le pin foisonne d’aiguilles
    Que les parfums et arômes
    De la lavande et des roses
    Enivrent les jours paresseux
    L’iris empourpré
    Délicat, dansant
    L’iris sous la rosée
    Amoureux d’un sapin
    Son Amour, son refuge
    Près du cabanon.

  28. Petit Rondeau

    Pour notre lune de miel
    j’ai loué une maison
    tranquille, petite, jolie
    Son beau jardin sent bon

    Le pin lui donne de l’ombre
    Le soleil fait sa chauffage
    Les étoiles ornent la nuit
    C’est très belle le paysage

    Facile de découvrir
    Au beau pays de Provence
    Toute parée en violette
    Ça fait la difference

    Je pense de l’acheter
    Et y vivre pour toujours
    Moi et toi, cachés du monde,
    Moi et toi et notre amour.

  29. Au jardin d’Adonis m’a donné rendez vous Iris
    ainsi pas besoin de consulter une pythonisse
    me voila en galante et charmeuse compagnie
    c’est écrin douillet et soyeux que celui ci
    qu’importe si l’on s’absorbe dans la contemplation
    ce temple de l’amour est encore favorable à l’action
    des hautes tiges surprennent des rires amoureux
    du genre de ceux qu’on n’a seulement à deux
    pas sanctuaire pour autant ouverture des champs
    la rocaille et encore des lierres grimpants
    viennent habiller les alentours d’atours choisis
    la canal est tôt inondée de lumière épaissie
    ainsi de toit à toi c’est toujours plus d’émoi
    dans ce havre serein on peut imaginer demain

  30. Ce qu’on aime c’est sa promesse
    ce qu’on retient c’est sa fragilité
    qu’importe ce n’est pas une ogresse

  31. Serait ce là le dernier endroit pour ton épanouissement
    Ose iris, me dire que oui de ce ton alangui qui me ravi
    quelle aubaine de t’avoir trouvé dans un éblouissement

  32. Un bouquet de violettes

    toutes ensembles elles forment un bouquet simple et modeste
    Comme quand aux cils de troubles larmes tremblent
    Et comme les mots que le poète noue en silence
    elles distillent un léger parfum d’eau de toilette.

    Bisous Christine

    Alain

  33. C’est doux
    Tout est calme et paisible
    Et ta main dans la mienne
    C’est de la joie si calme
    Je serre fort un instant
    Que roucoule mon âme
    Puis tu me presses fort
    Ta main dedans la mienne
    Et mon coeur est émue
    Si de tant de tellement
    C’est tendre

    merci pour cette jolie vidéo, Shamino, merci pour les mots de chacun.

    le vent souffle fort ici,
    alors ils envoient mes pensées aux quatre coins du monde, dans un souffle paisible.

  34. C’est doux
    Tout est calme et paisible
    Et ta main dans la mienne
    C’est de la joie si douce
    Je serre fort un instant
    Que roucoule mon âme
    Puis tu me presses fort
    Ta main dedans la mienne
    Et mon coeur est ému
    Si de tant de tellement
    C’est tendre

    et comme je me relis….

  35. Coucou spécial Bourracheeeeeeeeee !

    C’est vrai qu’aujourd’hui c’est la Fête des Mères
    Et j’ai reçu ce matin un très joli bouquet
    Envoyé par ma fille repartie avant-hier !
    Il a trouvé naturellement sa place
    Sur la table ronde du sallon
    J’en ai fait des images
    Pour le garder encore très longtemps
    Même quand les fleurs seront fanées

    Biseeeeeeeeeeeeeeeees à toi

    Un petit hic : ton lien mène tout droit à… rien !
    essaye de voir pourquoi !


  36. Christineeeee :

    Bizarre … (vous avez dit « bizarre ?)
    … quand, sur mon lien, je clique
    j’ai pas de hic !

    J’vois un bouquet
    Que si j’étais abeille
    Mon nez j’y fourrerais
    Pour en faire du miel.

    Quelqu’un d’autre
    Pourrait-il faire un essai ?

    Hé … psssstttt …
    Sur ma table, trône encore mon bouquet de la fête des Mamans (en Belgique, c’était le mois passé…).
    Il a si joliment séchè … j’vais encore le garder…

    Tiens … il pleut toujours chez moi
    Côté positif : pas b’zoin d’arroser.

    Jean … tes hommes en blanc … vont faire un détour par chez moi …

  37. … circulez … y’a rien à voir …

    (zut, alors !)

    (faut quand même bien que je leur trouve un bouquet à ces super-Mamans…)

    (quittez pas … je cherche …)

  38. Je vois comme toi, Christineeee,

    et je vous prie d’excuser mon manque de réactions, quand parfois en cliquant sur un lien, il ne s’affiche pas, je me dis qu’il y a eu mauvaise manoeuvre et que bon, c’est pas bien important,
    mais c’est bien aussi de dire quand on ne peut avoir accès au lien proposé,
    si souvent les liens sont de beaux moments, alors cela reste bon de le serrer.

    oui j’suis heureuse aussi pour le jardin, il manquait d’eau, il a fait si chaud, mais il ne pleut déjà plus, et un bent qui fait un bruit terrible! ma tête je l’ai accrochée alors cela va tenir!

  39. Par ici, quand la toto traverse La Brière, elle longe parfois des étangs avec des iris naturells, fort beaux, c’est ravissant, elle ralentit, apprécie, comme c’est beau, ils sont par petites tribus, au bord de l’eau, et chaque iris papote son ciel de vie, parfois , l’un brasse des gouttes, l’autre pousse un petit cri de joie, leurs vies s’écoulent fort doucement, et c’est à espérer que l’Homme ne se croit pas malin, de dévier le cours de l’eau, changer le cours de leur histoire d’iris, car la toto elle a cette envie forte de les croiser encore, leur chaque printemps, et de les cueillir l’invisible pour garnir les vases au plus profond de son oeil.

    Je vous laisse, j’espère que tu vas trouver, Bourrache, je ne peux manquer ce RV de 16 H, mon fils m’attend pour un café, et c’est lui qui aura choisi le gâteau à m’offrir, cette année j’ai émis l’idée de juste une gourmandise de bouche, et un bon gâteau en palais, j’aime! j’ai des fleurs dans le jardin avec leurs racines et tout et tout…. SOURIRE!

  40. Irriguées sont les iridés qui font plus que changer les idées

    La longue descendance des glaïeuls, nous raméne aux aïeuls
    Le crocus dirige nos regards, sans doute un effet du safran
    L’iris s’immisce et étage ses corymbes, nous porte aux limbes

  41. alors Bourrache, et ces fleurs!?!
    sisi elles sont sur ma table, un gros pot de lys blanc…belle fin de journée.

    Quelques roses
    Des iris bleus
    L’oeil se pose
    Et n’en revient pas
    De son délicieux voyage
    Suspendu dans ses branches
    Il navigue douceurs
    Se serre intime d’être

  42. .

    Chers tous, petite apparition de fin d’après-midi après un samedi obamanien et un dimanche électoral… le grand silence des routes fermées à la circulation pour laisser place à un ballet d’hélicoptères dans mon ciel…

    >Jos, oui une lumière sublime et si particulière qui a attiré bon nombre de grands peintres. On la sent sur soi 😉 Merci pour tes beaux poèmes à bonheur !

    >Christineeee, comme c’est bien croqué, j’achète l’aquarelle !

    >Je dis Provence et Claudie se réveille en poésie énivrée;-) Merci pour ton beau sud et le poème de Paul- Jean Toulet que je découvre!

    >mathilde, bien trouvé ce poème d’Hugo, je ne connaissais pas 😉 Merci beaucoup !

    >alain, magnifique, une inspiration qui t’a emporté si loin de la réalité !! Bien aussi l’iris de l’œil 😉

    >annick, ta plume se délie de nouveau, cabanon des songes heureux 😉 Bises, on dirait que ça mieux ! J’espère que partage gourmand était bien agréable.

    >Hum hum, bonjour योनि 😉 Merci pour ton interprétation orientale 😉

    >thierry, ta plume irradiée par les iris et les souvenirs… Merci !

    >nath, moi aussi surtout quand la bonne lumière est là 😉

    >Hé hé, hello Amie Alix, quelle surprise !!! Rien ne t’échappe de là où tu nous lis 😉 Plaisir de ton petit signe 😉 On a effectivement ton nom et des belles traces que tu as laissées dans notre imaginaire 😉 Toile mouvante pour toi aussi, j’espère que tout va bien de ton côté 😉 Je t’embrasse bien fort et belle aventure à toi aussi à pied ou à cheval 😉

    >phil, superbe petit haîku tout plein émouvant 😉

    >brigetoun, au plus près des lignes, de la réalité crue mais aussi des sensations ! merci beaucoup !

    >beau petit haïku qui sent bon la plume suisse 😉 merci le sid !

    >annemarie, ton poème est plein de langueur du sud, on te suit tous !!!

    >Coucou neyde, je te vois bien vivre là mais c’est une simple cabane pour ranger les outils 😉
    Mais on a le droit de rêver 😉 Merci pour ton beau poème !

    >lou, splendide divagation poétique très chorégraphique, merci à toi !

    >fred, chapeau bas, je m’incline, c’est magnifique ! Ce n’est pas souvent que tu fais de si grands poèmes. Les iris dans ton cœur. Près de cet endroit, il y a le Mont Olympe 😉

    >Emma ou raphaëlle, j’ai bénéficié d’une très belle lumière si spécifique dans cette région. Merci pour ton enthousiasme !

    >Hi Leila, on ne résiste pas à IRIS, n’est-ce pas 😉 Tu as embrassé ces images, tout y est !

    >hum hum, bienvenue Shamino 😉 Superbes vidéos full of love !

    >bourrache, ca y est c’est fait pour moi aussi 😉 Je vais mettre ta photo, juste un peu de patience 😉

    >sophie, belle plume légère comme l’été 😉

    > très fort, l’association des deux iris, jean 😉

    >Toi aussi tu craques, bruno 😉 Une fleur complexe et mystérieuse qui illumine les jardins, merci d’être descendu de ton échelle, bises !

    A découvrir le superbe poème de Neyde sur le sommaire du mois de mai
    https://blog.ossiane.photo/2009/05/31/haiku-calligramme-mai-2009/#comments

    Bonne soirée!

    Ossiane

    .

  43. .

    Et voici les tagètes de Bourrache !
    http://www.ossiane.eu/images/tagetesbourrache.jpg

    « Mes tagètes… à moi.
    Par moi, semées, bichonnéés, retransplantées,
    voilà ce qu’elles ont donné dans mes bacs de fenêtre,
    il y a … trois ans.

    Graines bio d’origine, plein de petites bestioles
    ailées sont venues les visiter.

    Ma ‘tite participation à votre fête
    de Maman française. »

    .

  44. Merveille si ô de bel
    Que ses larges vertes feuilles
    Qui se montent le ciel
    Puis cette tige en épi
    Qui grimpe plus haut encore
    Et ce jour d’ouverture
    Quand l »orchestre se sent prêt
    Alors l’oeil peut assister
    A ce joli spectacle
    Qu’est la naissance d’une fleur
    Et l’iris qui s’étire se donne
    Prend tout son temps
    Et quand il déploie ses froufrous
    L’oeil se laisse embrasser
    Ce coquin il aime la beauté

  45. Elles sont belles les tagètes, elle est fort jolie, la photo…
    Merci pour tes mots, Ossiane, aujourd’hui c’est mieux, hier j’étais à raz plat plat, j’ai repris des forces..

    Le corps s’allonge sur le sol, sur le gazon, et à plat ventre, les mains posés sur les joues, les coudes sur le vert, les yeux regardent le massif, cette touche d’iris, là, poussée là, qui se propage chaque année, il profite avant l’orage, car si toutefois, la pluie trop lourde, certaines branches seront peut être cassées, un vrai massacre,
    alors, pour immortaliser l’instant, l’oeil ouvre sa petite malette, sort un pinceau, une toile, et deux et trois et mille déjà, chaque seconde est un tableau, pour qui regarde la fleur se vivre.

  46. Bonne fête aux mamans du blog 🙂 et Jolies fleurs Bourrache! bisou à Rachel l’éclair .
    Très beau sonnet Fred.
    Bonne journée à tous.

  47. .
    >Bien trouvé hum hum 😉

    >Fred, effectivement je découvre dans ce deuxième temps tes alexandrins et la forme du sonnet. C’est si inhabituel de ta part que je m’étais conentrée sur la longueur et le sens;-) Alors, je te salue bien bas une deuxième fois, c’est un art si difficile de respecter les rimes et le nombre de pieds. Il me semble que amichel en écrivait beaucoup à une époque. Bien à toi!

    >Reprendre du souffle doucement, annick. Ca va revenir, bises!
    .

  48. Une maisonnette que j’habiterais volontiers ! Ce que c’est que d’aimer vivre au coeur de la ville et de rêver y ouvrir un jardin nomade autour d’une petite maison oubliée des grosses entreprises immobilières. « C’était un petit jardin, qui sentait bon le métropolitain… »
    Bises bruxelloises

  49. J’y vivrai bien aussi fugitive mais ce petit cabanon est en pleine montagne isolée de tout urbanisme;-) Bises ver ton toit de Bruxelles.

    Coucou au pâtre grec;-)

  50. Par ce printemps d’hiver..à la lisière des toits en pleurs..et des iris d’hier..une pensée pour Alix et ses mots de couleurs..Le regard et le cœur voyagent..étoffe de soie grise dans le ciel..jardin de Provence pour passage..Bourrache et ses fleurs brins de soleil..
    Par ce temps d’hiver..on flirte avec les ailes de lumières..feu le bois et les ombres de la terre..demain..la fête des mères..Les lèvres et les larmes sur la page..enlacent la Provence sous sa robe légère..murmures d’une encre violette sous le sommeil des rivages..et le frémissement des rêves de chair..


  51. Toujours un réel plaisir de redécouvrir ces trois petits points avec ses mots « bleus » et …mélancoliques.
    Bravo, pierre.b

    Ici, pas encore de fleurs brins de soleil. Elles se tiennent coites à la maison, à l’abri des gelées (ces 2 dernières nuits -1° et 7 à 8° les journées) dans l’attente d’un printemps hypothétique, sans grande envie de s’épanouir.
    On se tient compagnie !

    Qu’à cela ne tienne … je souhaite une « chaleureuse » journée à toutes les Mamans dont ce sera la fête demain.

    (ce fut chouette de relire cette page…).

    J’vais pas déroger : biz à tous, clin d’oeil et sourire.

  52. j’y suis, merci!

    cet album si joli d’un temps qui ne fane pas…

    je vais relire…fermer les yeux…les ouvrir…me rappeler…y être…

    doux soir.

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