Sahara

Sahara

Sahara

Sahara

Sahara

Sahara

Traces nomades, les arbres du sable roux, l'or d'une dune

Lecture du Haïku Calligramme: de gauche à droite

Traces nomades
les arbres du sable roux
l’or d’une dune

Le Colorado Provençal de Rustrel… le lieu dit « sahara »…

Un beau cadeau vocal de la part de Nath… modulations et rythmes subtils de sa voix… lecture du poème qu’elle a écrit pour le sommaire d’avril… il s’intitule « ren-contre ».
Rendez-vous ici pour la lecture du poème utilisez le lecteur ci-dessous pour écouter Nath.

60 réflexions sur « Sahara »

  1. *********************************************************************************************

    Bonsoir à tous,

    Me voici de retour sur le sol des ocres, les deux pieds bien campés par terre… et avec une petite surprise pour vos oreilles… tombée tout à l’heure dans ma boîte à lettres… voici donc la très belle lecture vocale que Nath a faite pour son poème du mois d’avril, intitulé « ren-contre »… si d’autres parmi vous ont envie de se lancer, faites-moi signe… c’est une expérience intéressante qui apporte une autre dimension aux mots.

    http://www.ossiane.eu/images/rencontre-nath.mp3

    Amitiés vers vous

    Ossiane.

    ******************************************************************************************

  2. Belles rencontres cette nuit pour un passage au clair de « dune »

    Le son d’un violon
    Vibre au milieu du désert
    Caresse la dune

    Le son d’une voix
    Cordes sensibles de l’être
    Donne une âme aux mots

    Bonsoir Ossiane et merci Nath pour cette belle lecture à laquelle je suis sensible et qui m’a donné un frisson d’émotion.

  3. des sables du Massif de Saint-Thierry,…
    en ce Samedi Saint,

    Ossiane,
    je te souhaite de Joyeuses Fêtes de Pâques.

    Bien amicalement

    Fran6

  4. Bonjour tout le monde..

    Aujourd’hui, ce n’est pas l’Oeil Ouvert…
    Mais les Oreilles Grandes Ouvertes !

    Quel souffle !
    Nath,
    Tu nous époustouffles !

    Tous tes mots tissés
    Croisés et décroisés
    Echappés de ta bouche,
    Envolés, déposés,
    Pluie de mots,
    Comme la rosée
    Perlent de l’écran
    Jusqu’à mes oreilles
    Pour un réveil
    Quelle merveille…
    J’en suis toute eeeeeeeeeee !

    Biseeeeeeeeeeeees du matin…. sous le ciel gris…. et la pluieeeeeeee !

    Et bientôt peut-être… une vidéo de Nath nous disant ses poèmes ???

  5. Et ce Sahara
    A deux pas…

    Rêve de désert
    Sur les dunes
    Rêve d’or blond
    Sur le sable
    Rêve de lumière
    Sur la terre
    Et une pluie de mots
    Distillée par Nath
    Pour arroser
    Ce Sahara
    Qui bientôt
    Reverdira

    Biseeeeeeeeeeeeeees du samedi

  6. Grains de lumière

    Qu’elles prennent la voie des airs ou partent sur les ondes
    Comme le vent de sable modifie le désert
    Elles changent l’atmosphère comme une boucle blonde
    Ce sont des filles de l’air des gouttes de lumière
    qui dansent sur la terre en formant une ronde
    De blondes vagabondes qui font le tour du monde

    Alain

  7. Nath, c’est un plaisir de bon matin, m^me mes poussins se sont arrêtés un instant pour t’apprécier.

    L’ocre du sable du Sahara en pluie sonore sur l’arbre mort
    Trois jours de pluie, les Évangiles au rythme du soleil, des saisons
    Racontent l’éclat de la lumière à l’équinoxe du printemps
    Et les reflets d’une douce lune rendant la nuit sombre éphémère
    Et les brebis moins égarées se recueillent sous les meurtrissures
    D’un corps muet, d’un cœur offert dans le désert l’ocre du sable
    En pluie sonore sur l’arbre mort,
    Allez-y j’ai mis à ses pieds quelques carrés de chocolat.

    Régalez-vous.) .

  8. Le beau, le brun et l’exténuant
    pas un titre de film,
    juste un constat
    avec le vent des sables
    pour tout compagnon
    qui soulève une vague d’espoir
    et ennoie quelques chagrins
    comment dissiper
    le trouble envahissant
    ma vue double
    façon croissant
    imaginer ces traces innombrables
    dans ces étendues inoxydables
    pourtant au coeur
    ça dérouille
    vastes immensités
    qui foutent la trouille
    il faut les reconnaître
    pour ce quelles sont
    pas objet de déraison
    et qui envoyer paître
    protéger ses yeux
    couvrir sa tête
    avancer

  9. peau craquelée en carapace,
    entre le feu du soleil et le feu intérieur,
    et puis là,
    à coté de ces traces de pas;
    traces des hommes,
    des arbres nains tourmentés,
    en trace de l’eau,
    discrète nappe cachée,
    écrivent la vie.

  10. Bonjour

    Merci pour vos mots …
    C’est aussi une autre façon de partager que de lire … La voix est riche aussi ….

    Le poème n’a pas été enregistré dans son entier (je ne m’en étais pas aperçu !), je vais corriger…
    Si quelqu’un souhaite que je lise un de ses poèmes, faites moi signe. C’est ausi intéressant que d’entendre son poème dit par quelqu’un d’autre …
    J’aime bien …
    Bon weeek-end à tous
    Nath

  11. Un désert de sable
    Et un arbre
    Un vivant qui parcourt
    Son chemin
    En grain de vie précieuse
    C’est grand

    juste un passage pour vous lire,
    mon ordi ne permet plus le son,
    je t’écouterai sur celui de mon fils, ce soir, Nath,

    bel après midi de soleil en vos coeurs.

  12. Sur l’écorce de sable
    Je poserai mes pieds
    Stigmates de mon passage
    Creusés à la surface de la terre
    Sur les dunes d’ocre

    Mes doigts caresseront
    Cette peau brune et nue
    Pauvre et désertique
    Où la vie résiste et gagne
    Au jeu des saisons

    Mon regard attendri
    Par les couleurs chair de cette terre
    Dessinera les contours
    Et les formes de ce corps
    De fusain et pastels de craie

    Mon coeur intensément ému
    Se laissera porter
    En un bonheur intérieur
    Tout en cheminant
    Dans le silence des lieux

  13. Dunes

    Etrange comme les visages de femmes demeurent insaisissables
    ces beaux masques éphémères sont mouvants comme les dunes
    et comme les dunes se couvrent facilement de rides
    toujours hélas en proie à de vives impatiences
    ils capturent la lumière et s’écroulent comme le sable

    Alain

  14. merci Nath pour cette lecture
    c’est beau j’attends la suite du poème!!

    tes mots , ton humour, ta force
    ont laissés des traces de ton passage;
    mais j’ai beau creuser dans le ciel de ma mémoire
    la lumière de ta voix reste silencieuse!
    alors, je comprend que tu es parti pour l’ombre;

  15. Si je suis l odre de tes images, Ossiane, j’y vois….

    Des pas et des pas
    Ont marché le sable
    L’oeil se ferme
    Son cil doux recourbé
    Sur la calvitie de la vie
    Un cheveu tient sa place
    Et dans le creuset du temps
    En méninges la vie se vit
    Un oasis inestimable
    Prouve que l’amour existe

  16. Une voix m’attirait par delà la dune.Je gravis cette dernière et m’assis au sommet.Au pied de la colline de sable des nomades étaient établis, quelques jeunes femmes formaient un cercle, assises sur un tapis de laine tissé.
    Derrière elles, des hommes debout en quinconce, frappaient les bendirs,,.Une jeune bédouine aussi agile qu’une voile au vent, pieds nus, foulait le sable, et tournoyait avec ses foulards ocre et rouge.Sa robe caressait le sable et par la m^me effaçait la multitude d’empreintes de pas laissées par la tribu en effervescence.C’était jour de noces.La mariée dansait sur l’or du Sahara.J’écoutai son coeur battre, assis sur la dune.Mon coeur battait pour elle, loin de ma Provence.

    http://pagesperso-orange.fr/Leila/Musiques/ocre.mp3

    Oui Annick, l’Amour existe.Une petite voix me l’a dit.) Journée magnifique aujourd’hui, après-midi brocante fête foraine c’était super…surtout pour les petits.)
    On est revenus avec deux poissons comme nouveaux amis c’est vraiment beau l’enfance.Voilà, je partage mes joies de maman avec vous.Bonne soirée à tous.

  17. je pense à toi Noisette et je te cite
    « @me du désert
    J’ai marché tous les chemins
    Au bord de l’eau »

  18. Je souhaite à tous de très bonnes fêtes de Pâques, J’ai bien peur que les cloches déposent ici les oeufs en chocolat et autres surprises dans l’herbe mouillée du jardin, à découvrir avec le parapluie, ce qui n’arrêtera pas mes petits gourmands ni les grands d’ailleurs. La grande table à rallonges est dressée, cette année à l’intérieur et non pas sur la tonnelle ! Belles journées à tous et attention de rester raisonnables avec le chocolat noir ou blanc ou au lait ! C’est si bon !

  19. Désert anatomique ou dessert atomique
    à l’heure de la cuisine moléculaire
    certains ne manquent pas d’air

    L’amour du chocolat est plus fort que tout
    je replonge mes racines d’enfance,
    sous couvert d’endurance
    et voici que je me lance
    sans faire l’oeuf
    ni même… me trouver cloche
    bonne dégustation

    000

    « Tchocoatl, après Popocatépetl »

    Dans son évocation mythique
    De ce remarquable Mexique

    Notre bon JMG le Clézio
    A sans doute porté bien haut

    Les valeurs et symboles Aztèques
    Mais a défaut de pastèque

    On ira chercher dans la cabosse
    Tout ce qui ne va pas en carrosse

    Et de cette fève du cacaotier
    On rira comme Parmentier

    Ce ne sera pas du hachis
    Pas plus d’ailleurs que du gâchis

    Car on peut, tout à la fois boisson
    Et sauce, friandise et glaçon

    Confectionner des variétés
    Très complètes, jusqu’à satiété

    Alors si le volcan vomit
    Sa lave brune et dense

    On se frotte déjà la panse
    Pas celle qui est honnie

    On s’agite les barbillons
    En pensant aux poissons

    De la maison Pillon
    C’est presque la pamoison

    Quand vers Bernachon
    Se tournent nos mines de bouchon

    La déglutition s’annonce sévère
    Car ce n’est seulement à revers

    Qu’il faut préparer notre foie
    A ces met, entre tous, de roi

    Car si la grasse gourmandise
    Passe pour un sacré péché

    Le chocolat passe pour une épée
    Qui passe au défaut de friandise

    Dans les mailles de la cuirasse
    Outre ses vertus anti dépressives

    Il enchante le palais et déplace
    Par ses saveurs complexes et lascives

    Les galantes salivaires
    Mettant en émoi tout nos sens

    Par sa subtile essence
    Il trouve avec parfaite aisance

    Le chemin de notre coeur
    Et sert de royale pitance

    La où on ne voyait que beurre
    Et ce cacao nous fait tomber dans le lac

    Du plaisir, du supplice et du vice
    Tant en apparence il semble lisse

    Il cache la noirceur de ses desseins
    Dans des impressions de tablettes

    Et de ces sombres dessins
    Il a toutes les épaulettes

    On a plagié les abdominaux
    La où il n’y a qu’animaux

    Et dans les jolis emballages
    Que nos grand-mères ouvraient

    Crissait le papier d’aluminium
    Mais en même temps se dévoilait

    Ces images qui couvraient les pages
    De ces innombrables albums

    Poulain ou Cémoi
    C’est toujours l’émoi

    Noir délicieux à croquer
    Ou blanc avec du lait

    C’est un trésor de bienfaits
    Il nous fait encore craquer

    Y a-t-il conduite plus addictive
    Que ces manies tendrement affectives

    En pâtes molles à tartiner
    On ne va pas le débiner

    Dans toutes ces barres coupe faim
    Il nous fait aussi du bien

    Faut il qu’européen
    On le coupe de graisse végétale

    Pour que l’amateur soudain
    A toutes jambes détale

    Voila que Paques sonne
    Il n’y a plus personne

    Pour se souvenir que riche
    En cacao on s’entiche

    D’un mystère ancien
    Qu’on ne connaît pas bien

    Haro sur les baudets
    Qui de Bruxelles ou d’Angleterre

    Vont dénaturer ce produit de la terre
    Qui nous élève au ciel

    Aussi sûrement que pot de miel
    Exigeons que fourré ou confit

    On respecte ce noble produit
    Déjà tant maltraité

    En pilules ou dragées
    Non ce n’est pas l’hallali

    Et juste avant d’aller au lit
    On peut savourer en douceur
    Ce qui fait notre bonheur.

    000

  20. Sahara, méharée, m’égarer, me perdre, me retrouver, traverser, observer, comprendre, méditer, méditerranée, revenir

    il faut bien que la traversée du désert, quand bien même ne serait il pas le plus grand du monde par son ampleur territoriale ou le plus divers par toutes ses formes qui lui donnent un air de monde à lui tout seul, il faut bien donc, dis je, que ce lent et éprouvant passage frayé avec difficulté, effrayé par les mirages, soit un point de ressourcement spirituel quand les points d’eau et oasis font grandement défauts et peuvent manquer vers le 26 éme parallèle.

    A défaut de pouvoir humer tous les jours ses senteurs incomparables quand quelque vent sournois tournoie et poudroie et augmente encore l’effroi
    on peut se mettre en quête de soi dans le silence lisse d’une dune où le regard glisse puis ajuste une piste, fausse en l’occurence, et que s’élance en vous l’idée pas incongrue d’une espérance triste ou douce amère.

    Sans amers, en perte de repères, chercher sa bonne étoile qui va luire dans les nuits froides quand le campement roide vous cloue au piquet du chameau, et croire que la direction viendra par delà les mêmes paysages cent fois traversés , resassés.

    Faire cette expérience unique et énorme à la fois et revenir changé, chargé, car cette vision pour éphémère donne au coeur un ressaut qui plus jamais ne lui fera défaut, passer par toutes les couleurs hormis le vert bien trop tapi pour oser se montrer, faire table rase des certitudes, repousser les servitudes, accepter la grandeur du monde et ce moi abyssal, changer ses habits sales et revêtir du linge frais et propre.

  21. L’oeuf

    C’est la vie qui commence sans nulle garantie
    C’est le yin et le yang pour un temps réunis
    C’est le fruit de l’amour qui dort encore au nid
    C’est la peau qui reluit sur un crâne dégarni

    C’est lisse comme un caillou et beau comme un sou neuf
    Comme tout dans l’univers cela commence petit
    un être qui prend forme un esprit qui grandit
    C’est fragile et solide cela cache un mystère

    Pour naître sur la terre il traverse l’éther
    Il est possible aussi qu’il jaillisse de l’écume
    C’est souvent qu’en son sein il cache un porte plume

    Puisque l’amour c’est ne faire qu’un quand on est deux
    On le tient bien au chaud comme au creux d’un coussin
    Quand il quitte le nid c’est un petit poussin

    Alain

  22. Sympa les oeufs Christineeeeee ! et merci aussi LEILA pour tes mots et cette belle musique !
    Bon dimanche et beaucoup de joie à partager avec les enfants !

  23. Chère christine
    je ne suis pas brouillé avec les oeufs
    mais le e me paraît bien trop souvent transcendantal
    il dégage une telle puissance vertigineuse
    qui nous fait affronter une ligne de fuite verticale
    asymptote infinie qui jamais ne nous cale

  24. .

    Bon, moi aussi je m’associe à Chistine pour les oeufs mouillés dans le désert du Sahara;-) Bon dimanche à tous !

    http://www.dailymotion.com/relevance/search/paques/video/x8v6fs_cartoon-de-paques_shortfilms

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    .

  25. Les enfants rient de cet oeuf qui tombe du ciel Ossiane)

    Les oeufs enrubannés

    Au dessus de mon école
    Madame la Cloche a sonné
    Elle lancera en plein vol
    Des œufs blancs enrubannés.

    Sur mon œuf je collerai
    Quelques pommes colorées
    L’œuf blanc est en chocolat
    Pour les gourmands (es) comme moi.

    Mes pommes pour le jour de Pâques
    Mûriront au fond du sac
    J’irai offrir un paquet
    De chocolat à croquer
    A qui?
    A la chenille et au lapin
    Dans mon jardin
    Et les enfants ne trouv’ront pas
    Le p’tit je t’aime caché pour toi))
    Trop heureux de mettre dans l’osier
    Leurs petits oeufs en chocolat.

    Amitiés à tous.Je repasserai un d’ces jours.)

  26. Merci à Nath pour le poème lu. C’est vraiment très bien. On en veut d’autres.
    Le matelot Christineeeeeeee pète la forme. (tu m’as bien amusée avec tes e mouillés)
    Bon dimanche à tous

  27. ADORABLE ce cartoon, Ossiane,

    belle journée de gourmadises d’oeufs, j’ai pas résisté à en manger dès hier soir…mmmmhhh, la gourmande…
    et c’est une tradition que le jeune de vingt deux ans apprécie encore… tout comme moi!

    Désert
    Je pourrais te prendre à la louche
    Mais mes yeux dans ce cas aveuglés
    Alors
    Désert
    Je te saisis en petite cuillère à moka
    Et je laisse tomber un à un tes bels grains
    Car
    Désert
    J’aime quand tu me parles dans le creux de l’oreille
    Si doucement et tendrement tes mots silence
    Et
    Désert
    Je t’aime dans mes je t’aime
    Tu es fort grand à genoux devant toi
    Puisque
    Désert
    Tu me marches main dans la main
    Et me chuchote des mots sacrés
    Alors
    Désert
    Je t’aime et j’aime aussi parfois la vie de bruits
    Comme le chant des oiseaux, le rire des enfants
    Merci
    Désert
    De mettre en lumière la moindre ombre sur terre
    Dans tes vides de tant un rien résonne d’amour

    très belle journée pour chacun,
    ici, il ne pleut pas, c’est une chance, je la souhaite pour chacun!

  28. Et oui Annick et Leïla, l’Amour existe et c’est bien là le drame, s’il n’existait pas combien de souffrances seraient évitées, mais s’il n’existait pas , comme le coeur serait en manque de ce qu’il y a de plus beau au monde ; car qui n’a pas encore connu l’amour, ne connait presque rien de la vie, à peine est-il né.

  29. Et oui Thierry….

    Oui, j’ai succombé
    Au péché de gourmandise
    le poulain blésois

    mais encore plus succombé à ton texte de 9h25, un rêve pour moi pas encore réalisé mais tu as raison à défaut, chacun son désert et ses mirages, belles aventures dans les dunes dorées de l’imaginaire.

    Bravo Christine pour l’oeuf Yin et Yang Zen et sans bavurre ! et quelle belle inspiration il a suscité chez Alain.

    Journée de Pâques pluvieuse mais du soleil autour de la grande table et dans les yeux des enfants. A défaut de coups de soleil j’ai pris de coups de bonheur… Sahari…. !!!!

  30. Et je te lis, Monique,
    c’est bien là le drame de naître,
    car un être est destiné à être aimé et à aimer,
    et son sens de naissance en fait son drame….
    SOURIRE!

    ils sont beaux tes mots,
    je t’espère du soleil demain,
    j’ai de ces coups de soleil,
    un si frnac soleil en bord d’eau,
    même si un vent assez fort et froid,
    ah la peau claire si tendre devant sieur soleil!

  31. Un arbre
    Juste un
    C’est déjà
    Tellement
    Dans ce désert
    Brûlant
    Qui assèche la gorge
    Et ampoulent les pas
    Bienfaisant oasis
    En jolies perles d’eau
    Et Nature se vit
    Et l’Humain peut se vivre

  32. Bonsoir Annick et bonne nuit
    __

    J’ai vu dans le désert de Rustrel
    Des pas, beaucoup de pas
    Voyageurs de passage
    En quête de beauté

    J’ai vu dans le désert de Rustrel
    Un sable rouge, un sable chaud
    Où chaque grain dessine la dune
    Qui ondule sous le vent

    J’ai vu dans le désert de Russel
    Une végétation hésitante
    Jalouse de celles environnantes
    Oasis de bonsaï en soif d’eau claire

    J’ai rncontré dans le désert de Rustrel
    Le silence
    Et la miniature des grands espaces
    Et j’ai trouvé que c’était beau.

    ___

  33. .

    Petit coucou du soir un peu décousu mais sincère 😉

    Coulée d’or dans vos mots comme les jaunes d’œuf …
    et sans doute un peu de pluie pour ce jour pascal;-)
    Nous avons sans doute tous succombé au péché de gourmandise 😉
    J’espère que vous avez passé une bonne journée.

    Grand plaisir à vous lire tranquillement ce soir.
    Sérénité et beauté de vos poèmes avec quelques histoires d’œufs bienvenues au milieu 😉

    Pourquoi parles-tu de Russel Monique et pas de Rustrel 😉
    Bonheur dans tes mots mais aussi dans tes yeux 😉

    Suis contente que la lecture de Nath vous ait plu.

    Bises à vous tous

    .

  34. Ossiane bonjour ,
    Pourquoi je parle de Russel au lieu de Rustrel, j’ai souri en voyant celà parce que toute erreur de mot n’est pas sans raison, j’ai bien mis Russel à la place de Rustrel par étourderie certes mais je suis en train de lire Ma conception du monde de Bertrand Russel, philosophie en certains points très intéressante et puis c’était Pâques, fête religieuse, religion dont parle Russel et très proche de mes conceptions, donc tout simplement un amalgame d’idées et de mots qui ont conduit à ce mot Russel pour Rustrel ayant même consonance 😉

    « La véritable affaire du philosophe, ce n’est pas de changer le monde, c’est de le comprendre » B. Russel

    « La religion a fait beaucoup de mal. Elle a sanctifié le conservatisme, l’adhésion aux habitudes du passé, et surtout elle a sanctifié l’intolérance et la haine » B.Russel

    Sans te commander Ossiane, tu peux corriger mais ce n’est pas très important puisque c’est un nom propre et qu’il peut être imaginé ! pourquoi pas ?

  35. après l’écoute du poême de Nath, j’ai voulu vous joindre ces mots là,
    juste pour vous dire que je suis toujours avec vous, même discrètement!
    vous êtes mon hall de gare, mes premières gorgées de thé , ma cours de récréation, mon souffle de douceur sur la vie en tempête, vous, vous êtes toujours là! et c’est aussi cela le bonheur!

    j’ai trouvé ces mots là quelque part….
    Alors,
    Attention
    Attention à nos mots
    Attention à mes mots
    Que leur violence
    Soit douceur,
    Que leur solitude
    Soit accueil,
    Que leur révolte
    Soit apaisement ..

    Que mes mots,
    Que nos mots
    Vous et moi
    Ne disent pas : « moi .. »
    Moi, moi, moi ..
    Le moi est venin …
    Mais plutôt :
    « Qu’ils vous permettent d’être vous .. »

    Quand la parole
    Devient écoute bienveillante …
    merci à toi Nath pour ces mots à l’oreille

  36. En venant lire Nath, je me relis et oh ! je découvre encore dans mon commentaire un mot pour un autre : »conception » à la place de « conviction » hum!!!!! je crois que je ferai bien de prendre un peu de vacances, les mots se bousculent , s’interfèrent, ce doit être un effet du Chocolat;-)!!!!!! ou les neurones en manque de vitamines !!!!où des passages trop rapides sur l’ordi ou plus grave… docteur qu’en pensez-vous ?

  37. Tu mets en avant ceci, Monique,
    quand un être écrit,
    l’essentiel parfois n’est pas dans l’écrit,
    mais dans la lecture faite avec son oeil de soi!
    Le temps de Pâques est un temps fort, qui remue les mots.

  38. Je suis juste moi à me planter de mot, souvent,
    je fais juste confiance à mes yeux en fusion de moi, eux ils savent parler mon langage au plus près,
    un mot et moi, c’est déjà deux, si compliqué,
    mais faut bien tenter dire…pour s’oser exprimer et peut être être entendu…

  39. Eh oui eh oui et qui plus est un guitariste et personnage étrange tu as raison Thierry , je dis guitariste car j’ai un faible pour les guitaristes, mais c’est une autre histoire !

  40. Ah monique désolé, ce n’est pas dans mes cordes, je t’accorde que j’aime la guitare dans tous ses états mais que je ne suis pas très doué ;)))

  41. .
    Monique, erreurs réparées;-)

    Bienvenue à bertrand, la nature offre des cadeaux inattendus au regard. Amicalement.

    fanou, en voilà une surprise;-) Nath a remué beaucoup de monde avec sa belle voix. Sympa d’être toujours à l’écoute;-) Incroyable cette longue fidélité en prenant ton petit déjeuner;-) Tu sembles pleine de sérénité, bonne continuation!
    .

  42. Hello Captain !

    Champs perdus de dunes que le vent fait valser
    souvent danse les grains emportés en tournis
    la chaleur prend le pas et le pas s’évanouit
    les souvenirs s’enfoncent dans le sable amassé
    Sur une vie contrée qu’un nomade m’a contée
    un verre de thé sucré me brûle encore la gorge
    quelques dattes un sourire rompent l’aridité
    pour cette âme du désert l’énergie se reforge
    Fragile humanité en constante survie

  43. Bonsoir

    Je viens de réécouter le poème que j’ai déposé, et m’aperçois que je ne l’ai jamais réenregistré en entier.. Tant pis !
    Bravo à l’équipage toujours fidèle !

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