Lecture du Haïku Calligramme: de gauche à droite
Traces nomades
les arbres du sable roux
l’or d’une dune
◊ Le Colorado Provençal de Rustrel… le lieu dit « sahara »…
◊ Un beau cadeau vocal de la part de Nath… modulations et rythmes subtils de sa voix… lecture du poème qu’elle a écrit pour le sommaire d’avril… il s’intitule « ren-contre ».
Rendez-vous ici pour la lecture du poème … utilisez le lecteur ci-dessous pour écouter Nath.
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Bonsoir à tous,
Me voici de retour sur le sol des ocres, les deux pieds bien campés par terre… et avec une petite surprise pour vos oreilles… tombée tout à l’heure dans ma boîte à lettres… voici donc la très belle lecture vocale que Nath a faite pour son poème du mois d’avril, intitulé « ren-contre »… si d’autres parmi vous ont envie de se lancer, faites-moi signe… c’est une expérience intéressante qui apporte une autre dimension aux mots.
http://www.ossiane.eu/images/rencontre-nath.mp3
Amitiés vers vous
Ossiane.
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Du sable jaune d’or
Un rien de vert
La lumière est ici
Belles rencontres cette nuit pour un passage au clair de « dune »
Le son d’un violon
Vibre au milieu du désert
Caresse la dune
Le son d’une voix
Cordes sensibles de l’être
Donne une âme aux mots
Bonsoir Ossiane et merci Nath pour cette belle lecture à laquelle je suis sensible et qui m’a donné un frisson d’émotion.
des sables du Massif de Saint-Thierry,…
en ce Samedi Saint,
Ossiane,
je te souhaite de Joyeuses Fêtes de Pâques.
Bien amicalement
Fran6
Bonjour tout le monde..
Aujourd’hui, ce n’est pas l’Oeil Ouvert…
Mais les Oreilles Grandes Ouvertes !
Quel souffle !
Nath,
Tu nous époustouffles !
Tous tes mots tissés
Croisés et décroisés
Echappés de ta bouche,
Envolés, déposés,
Pluie de mots,
Comme la rosée
Perlent de l’écran
Jusqu’à mes oreilles
Pour un réveil
Quelle merveille…
J’en suis toute eeeeeeeeeee !
Biseeeeeeeeeeeees du matin…. sous le ciel gris…. et la pluieeeeeeee !
Et bientôt peut-être… une vidéo de Nath nous disant ses poèmes ???
Et ce Sahara
A deux pas…
Rêve de désert
Sur les dunes
Rêve d’or blond
Sur le sable
Rêve de lumière
Sur la terre
Et une pluie de mots
Distillée par Nath
Pour arroser
Ce Sahara
Qui bientôt
Reverdira
Biseeeeeeeeeeeeeees du samedi
–
Oh,Nath … petite merveille …
–
Grains de lumière
Qu’elles prennent la voie des airs ou partent sur les ondes
Comme le vent de sable modifie le désert
Elles changent l’atmosphère comme une boucle blonde
Ce sont des filles de l’air des gouttes de lumière
qui dansent sur la terre en formant une ronde
De blondes vagabondes qui font le tour du monde
Alain
Nath, c’est un plaisir de bon matin, m^me mes poussins se sont arrêtés un instant pour t’apprécier.
L’ocre du sable du Sahara en pluie sonore sur l’arbre mort
Trois jours de pluie, les Évangiles au rythme du soleil, des saisons
Racontent l’éclat de la lumière à l’équinoxe du printemps
Et les reflets d’une douce lune rendant la nuit sombre éphémère
Et les brebis moins égarées se recueillent sous les meurtrissures
D’un corps muet, d’un cœur offert dans le désert l’ocre du sable
En pluie sonore sur l’arbre mort,
Allez-y j’ai mis à ses pieds quelques carrés de chocolat.
Régalez-vous.) .
Le beau, le brun et l’exténuant
pas un titre de film,
juste un constat
avec le vent des sables
pour tout compagnon
qui soulève une vague d’espoir
et ennoie quelques chagrins
comment dissiper
le trouble envahissant
ma vue double
façon croissant
imaginer ces traces innombrables
dans ces étendues inoxydables
pourtant au coeur
ça dérouille
vastes immensités
qui foutent la trouille
il faut les reconnaître
pour ce quelles sont
pas objet de déraison
et qui envoyer paître
protéger ses yeux
couvrir sa tête
avancer
peau craquelée en carapace,
entre le feu du soleil et le feu intérieur,
et puis là,
à coté de ces traces de pas;
traces des hommes,
des arbres nains tourmentés,
en trace de l’eau,
discrète nappe cachée,
écrivent la vie.
Bonjour
Merci pour vos mots …
C’est aussi une autre façon de partager que de lire … La voix est riche aussi ….
Le poème n’a pas été enregistré dans son entier (je ne m’en étais pas aperçu !), je vais corriger…
Si quelqu’un souhaite que je lise un de ses poèmes, faites moi signe. C’est ausi intéressant que d’entendre son poème dit par quelqu’un d’autre …
J’aime bien …
Bon weeek-end à tous
Nath
Un désert de sable
Et un arbre
Un vivant qui parcourt
Son chemin
En grain de vie précieuse
C’est grand
juste un passage pour vous lire,
mon ordi ne permet plus le son,
je t’écouterai sur celui de mon fils, ce soir, Nath,
bel après midi de soleil en vos coeurs.
Sur l’écorce de sable
Je poserai mes pieds
Stigmates de mon passage
Creusés à la surface de la terre
Sur les dunes d’ocre
Mes doigts caresseront
Cette peau brune et nue
Pauvre et désertique
Où la vie résiste et gagne
Au jeu des saisons
Mon regard attendri
Par les couleurs chair de cette terre
Dessinera les contours
Et les formes de ce corps
De fusain et pastels de craie
Mon coeur intensément ému
Se laissera porter
En un bonheur intérieur
Tout en cheminant
Dans le silence des lieux
Une terre de feu
aux confins du désert
la braise en mon coeur
qui apaisera sa brûlure ?
Dunes
Etrange comme les visages de femmes demeurent insaisissables
ces beaux masques éphémères sont mouvants comme les dunes
et comme les dunes se couvrent facilement de rides
toujours hélas en proie à de vives impatiences
ils capturent la lumière et s’écroulent comme le sable
Alain
merci Nath pour cette lecture
c’est beau j’attends la suite du poème!!
…
tes mots , ton humour, ta force
ont laissés des traces de ton passage;
mais j’ai beau creuser dans le ciel de ma mémoire
la lumière de ta voix reste silencieuse!
alors, je comprend que tu es parti pour l’ombre;
Le désert rouge
nos ancêtres nomades
ont tracé la vie
…
Beau week end pascal
Si je suis l odre de tes images, Ossiane, j’y vois….
Des pas et des pas
Ont marché le sable
L’oeil se ferme
Son cil doux recourbé
Sur la calvitie de la vie
Un cheveu tient sa place
Et dans le creuset du temps
En méninges la vie se vit
Un oasis inestimable
Prouve que l’amour existe
Une voix m’attirait par delà la dune.Je gravis cette dernière et m’assis au sommet.Au pied de la colline de sable des nomades étaient établis, quelques jeunes femmes formaient un cercle, assises sur un tapis de laine tissé.
Derrière elles, des hommes debout en quinconce, frappaient les bendirs,,.Une jeune bédouine aussi agile qu’une voile au vent, pieds nus, foulait le sable, et tournoyait avec ses foulards ocre et rouge.Sa robe caressait le sable et par la m^me effaçait la multitude d’empreintes de pas laissées par la tribu en effervescence.C’était jour de noces.La mariée dansait sur l’or du Sahara.J’écoutai son coeur battre, assis sur la dune.Mon coeur battait pour elle, loin de ma Provence.
http://pagesperso-orange.fr/Leila/Musiques/ocre.mp3
Oui Annick, l’Amour existe.Une petite voix me l’a dit.) Journée magnifique aujourd’hui, après-midi brocante fête foraine c’était super…surtout pour les petits.)
On est revenus avec deux poissons comme nouveaux amis c’est vraiment beau l’enfance.Voilà, je partage mes joies de maman avec vous.Bonne soirée à tous.
je pense à toi Noisette et je te cite
« @me du désert
J’ai marché tous les chemins
Au bord de l’eau »
Je souhaite à tous de très bonnes fêtes de Pâques, J’ai bien peur que les cloches déposent ici les oeufs en chocolat et autres surprises dans l’herbe mouillée du jardin, à découvrir avec le parapluie, ce qui n’arrêtera pas mes petits gourmands ni les grands d’ailleurs. La grande table à rallonges est dressée, cette année à l’intérieur et non pas sur la tonnelle ! Belles journées à tous et attention de rester raisonnables avec le chocolat noir ou blanc ou au lait ! C’est si bon !
Désert anatomique ou dessert atomique
à l’heure de la cuisine moléculaire
certains ne manquent pas d’air
L’amour du chocolat est plus fort que tout
je replonge mes racines d’enfance,
sous couvert d’endurance
et voici que je me lance
sans faire l’oeuf
ni même… me trouver cloche
bonne dégustation
000
« Tchocoatl, après Popocatépetl »
Dans son évocation mythique
De ce remarquable Mexique
Notre bon JMG le Clézio
A sans doute porté bien haut
Les valeurs et symboles Aztèques
Mais a défaut de pastèque
On ira chercher dans la cabosse
Tout ce qui ne va pas en carrosse
Et de cette fève du cacaotier
On rira comme Parmentier
Ce ne sera pas du hachis
Pas plus d’ailleurs que du gâchis
Car on peut, tout à la fois boisson
Et sauce, friandise et glaçon
Confectionner des variétés
Très complètes, jusqu’à satiété
Alors si le volcan vomit
Sa lave brune et dense
On se frotte déjà la panse
Pas celle qui est honnie
On s’agite les barbillons
En pensant aux poissons
De la maison Pillon
C’est presque la pamoison
Quand vers Bernachon
Se tournent nos mines de bouchon
La déglutition s’annonce sévère
Car ce n’est seulement à revers
Qu’il faut préparer notre foie
A ces met, entre tous, de roi
Car si la grasse gourmandise
Passe pour un sacré péché
Le chocolat passe pour une épée
Qui passe au défaut de friandise
Dans les mailles de la cuirasse
Outre ses vertus anti dépressives
Il enchante le palais et déplace
Par ses saveurs complexes et lascives
Les galantes salivaires
Mettant en émoi tout nos sens
Par sa subtile essence
Il trouve avec parfaite aisance
Le chemin de notre coeur
Et sert de royale pitance
La où on ne voyait que beurre
Et ce cacao nous fait tomber dans le lac
Du plaisir, du supplice et du vice
Tant en apparence il semble lisse
Il cache la noirceur de ses desseins
Dans des impressions de tablettes
Et de ces sombres dessins
Il a toutes les épaulettes
On a plagié les abdominaux
La où il n’y a qu’animaux
Et dans les jolis emballages
Que nos grand-mères ouvraient
Crissait le papier d’aluminium
Mais en même temps se dévoilait
Ces images qui couvraient les pages
De ces innombrables albums
Poulain ou Cémoi
C’est toujours l’émoi
Noir délicieux à croquer
Ou blanc avec du lait
C’est un trésor de bienfaits
Il nous fait encore craquer
Y a-t-il conduite plus addictive
Que ces manies tendrement affectives
En pâtes molles à tartiner
On ne va pas le débiner
Dans toutes ces barres coupe faim
Il nous fait aussi du bien
Faut il qu’européen
On le coupe de graisse végétale
Pour que l’amateur soudain
A toutes jambes détale
Voila que Paques sonne
Il n’y a plus personne
Pour se souvenir que riche
En cacao on s’entiche
D’un mystère ancien
Qu’on ne connaît pas bien
Haro sur les baudets
Qui de Bruxelles ou d’Angleterre
Vont dénaturer ce produit de la terre
Qui nous élève au ciel
Aussi sûrement que pot de miel
Exigeons que fourré ou confit
On respecte ce noble produit
Déjà tant maltraité
En pilules ou dragées
Non ce n’est pas l’hallali
Et juste avant d’aller au lit
On peut savourer en douceur
Ce qui fait notre bonheur.
000
JOYEUSES PAQUES !
Pour cette occasion,
et ne pas dérober à la tradition,
Je vous envoie aujourd’hui
Le plus gros OEUF
Que j’ai trouvé !
http://creefi-formation.fr/IMG/jpg/oeuf2.jpg
(à suivre)
Le domaine des ŒUFS
M’inspirant particulièrement,
J’ai une pensée pour Arletteart,
Et lui envoie cette œuvre d’art !
http://imagecache.allposters.com/images/pic/HAD/5230~Oeufs-sur-le-Plat-Posters.jpg
(à suivre)
Et oui, Dali et les œufs, c’est toute une histoire !
http://christineeeee-photosenvrac.blogspot.com/2009/04/oeufs-de-paques.html
(à suivre)
Vu le temps d’aujour’hui…
Je vous envoie des eee « mouillés »
http://3.bp.blogspot.com/_30E2V-5E6Nc/SeGTKnoBlCI/AAAAAAAAC80/imHrT5tqZfE/s1600-h/P1220732.jpg
(à suivre)
Alors, même sous la pluie,
Il faudra rester ZEN !
http://blog.theclimber.be/public/img/General/Voeux/2009/oeuf.jpg
Bonne journéeeeeee !
Biseeeeeeeeeeeeeeeeeeees de Pâqueeeeeeeeeeeeees
Sahara, méharée, m’égarer, me perdre, me retrouver, traverser, observer, comprendre, méditer, méditerranée, revenir
il faut bien que la traversée du désert, quand bien même ne serait il pas le plus grand du monde par son ampleur territoriale ou le plus divers par toutes ses formes qui lui donnent un air de monde à lui tout seul, il faut bien donc, dis je, que ce lent et éprouvant passage frayé avec difficulté, effrayé par les mirages, soit un point de ressourcement spirituel quand les points d’eau et oasis font grandement défauts et peuvent manquer vers le 26 éme parallèle.
A défaut de pouvoir humer tous les jours ses senteurs incomparables quand quelque vent sournois tournoie et poudroie et augmente encore l’effroi
on peut se mettre en quête de soi dans le silence lisse d’une dune où le regard glisse puis ajuste une piste, fausse en l’occurence, et que s’élance en vous l’idée pas incongrue d’une espérance triste ou douce amère.
Sans amers, en perte de repères, chercher sa bonne étoile qui va luire dans les nuits froides quand le campement roide vous cloue au piquet du chameau, et croire que la direction viendra par delà les mêmes paysages cent fois traversés , resassés.
Faire cette expérience unique et énorme à la fois et revenir changé, chargé, car cette vision pour éphémère donne au coeur un ressaut qui plus jamais ne lui fera défaut, passer par toutes les couleurs hormis le vert bien trop tapi pour oser se montrer, faire table rase des certitudes, repousser les servitudes, accepter la grandeur du monde et ce moi abyssal, changer ses habits sales et revêtir du linge frais et propre.
L’oeuf
C’est la vie qui commence sans nulle garantie
C’est le yin et le yang pour un temps réunis
C’est le fruit de l’amour qui dort encore au nid
C’est la peau qui reluit sur un crâne dégarni
C’est lisse comme un caillou et beau comme un sou neuf
Comme tout dans l’univers cela commence petit
un être qui prend forme un esprit qui grandit
C’est fragile et solide cela cache un mystère
Pour naître sur la terre il traverse l’éther
Il est possible aussi qu’il jaillisse de l’écume
C’est souvent qu’en son sein il cache un porte plume
Puisque l’amour c’est ne faire qu’un quand on est deux
On le tient bien au chaud comme au creux d’un coussin
Quand il quitte le nid c’est un petit poussin
Alain
Sympa les oeufs Christineeeeee ! et merci aussi LEILA pour tes mots et cette belle musique !
Bon dimanche et beaucoup de joie à partager avec les enfants !
Chère christine
je ne suis pas brouillé avec les oeufs
mais le e me paraît bien trop souvent transcendantal
il dégage une telle puissance vertigineuse
qui nous fait affronter une ligne de fuite verticale
asymptote infinie qui jamais ne nous cale
.
Bon, moi aussi je m’associe à Chistine pour les oeufs mouillés dans le désert du Sahara;-) Bon dimanche à tous !
http://www.dailymotion.com/relevance/search/paques/video/x8v6fs_cartoon-de-paques_shortfilms
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Les enfants rient de cet oeuf qui tombe du ciel Ossiane)
Les oeufs enrubannés
Au dessus de mon école
Madame la Cloche a sonné
Elle lancera en plein vol
Des œufs blancs enrubannés.
Sur mon œuf je collerai
Quelques pommes colorées
L’œuf blanc est en chocolat
Pour les gourmands (es) comme moi.
Mes pommes pour le jour de Pâques
Mûriront au fond du sac
J’irai offrir un paquet
De chocolat à croquer
A qui?
A la chenille et au lapin
Dans mon jardin
Et les enfants ne trouv’ront pas
Le p’tit je t’aime caché pour toi))
Trop heureux de mettre dans l’osier
Leurs petits oeufs en chocolat.
Amitiés à tous.Je repasserai un d’ces jours.)
Merci à Nath pour le poème lu. C’est vraiment très bien. On en veut d’autres.
Le matelot Christineeeeeeee pète la forme. (tu m’as bien amusée avec tes e mouillés)
Bon dimanche à tous
ADORABLE ce cartoon, Ossiane,
belle journée de gourmadises d’oeufs, j’ai pas résisté à en manger dès hier soir…mmmmhhh, la gourmande…
et c’est une tradition que le jeune de vingt deux ans apprécie encore… tout comme moi!
Désert
Je pourrais te prendre à la louche
Mais mes yeux dans ce cas aveuglés
Alors
Désert
Je te saisis en petite cuillère à moka
Et je laisse tomber un à un tes bels grains
Car
Désert
J’aime quand tu me parles dans le creux de l’oreille
Si doucement et tendrement tes mots silence
Et
Désert
Je t’aime dans mes je t’aime
Tu es fort grand à genoux devant toi
Puisque
Désert
Tu me marches main dans la main
Et me chuchote des mots sacrés
Alors
Désert
Je t’aime et j’aime aussi parfois la vie de bruits
Comme le chant des oiseaux, le rire des enfants
Merci
Désert
De mettre en lumière la moindre ombre sur terre
Dans tes vides de tant un rien résonne d’amour
très belle journée pour chacun,
ici, il ne pleut pas, c’est une chance, je la souhaite pour chacun!
Et oui Annick et Leïla, l’Amour existe et c’est bien là le drame, s’il n’existait pas combien de souffrances seraient évitées, mais s’il n’existait pas , comme le coeur serait en manque de ce qu’il y a de plus beau au monde ; car qui n’a pas encore connu l’amour, ne connait presque rien de la vie, à peine est-il né.
Et oui Thierry….
Oui, j’ai succombé
Au péché de gourmandise
le poulain blésois
mais encore plus succombé à ton texte de 9h25, un rêve pour moi pas encore réalisé mais tu as raison à défaut, chacun son désert et ses mirages, belles aventures dans les dunes dorées de l’imaginaire.
Bravo Christine pour l’oeuf Yin et Yang Zen et sans bavurre ! et quelle belle inspiration il a suscité chez Alain.
Journée de Pâques pluvieuse mais du soleil autour de la grande table et dans les yeux des enfants. A défaut de coups de soleil j’ai pris de coups de bonheur… Sahari…. !!!!
Et je te lis, Monique,
c’est bien là le drame de naître,
car un être est destiné à être aimé et à aimer,
et son sens de naissance en fait son drame….
SOURIRE!
ils sont beaux tes mots,
je t’espère du soleil demain,
j’ai de ces coups de soleil,
un si frnac soleil en bord d’eau,
même si un vent assez fort et froid,
ah la peau claire si tendre devant sieur soleil!
Un arbre
Juste un
C’est déjà
Tellement
Dans ce désert
Brûlant
Qui assèche la gorge
Et ampoulent les pas
Bienfaisant oasis
En jolies perles d’eau
Et Nature se vit
Et l’Humain peut se vivre
Bonsoir Annick et bonne nuit
__
J’ai vu dans le désert de Rustrel
Des pas, beaucoup de pas
Voyageurs de passage
En quête de beauté
J’ai vu dans le désert de Rustrel
Un sable rouge, un sable chaud
Où chaque grain dessine la dune
Qui ondule sous le vent
J’ai vu dans le désert de Russel
Une végétation hésitante
Jalouse de celles environnantes
Oasis de bonsaï en soif d’eau claire
J’ai rncontré dans le désert de Rustrel
Le silence
Et la miniature des grands espaces
Et j’ai trouvé que c’était beau.
___
.
Petit coucou du soir un peu décousu mais sincère 😉
Coulée d’or dans vos mots comme les jaunes d’œuf …
et sans doute un peu de pluie pour ce jour pascal;-)
Nous avons sans doute tous succombé au péché de gourmandise 😉
J’espère que vous avez passé une bonne journée.
Grand plaisir à vous lire tranquillement ce soir.
Sérénité et beauté de vos poèmes avec quelques histoires d’œufs bienvenues au milieu 😉
Pourquoi parles-tu de Russel Monique et pas de Rustrel 😉
Bonheur dans tes mots mais aussi dans tes yeux 😉
Suis contente que la lecture de Nath vous ait plu.
Bises à vous tous
.
Ossiane bonjour ,
Pourquoi je parle de Russel au lieu de Rustrel, j’ai souri en voyant celà parce que toute erreur de mot n’est pas sans raison, j’ai bien mis Russel à la place de Rustrel par étourderie certes mais je suis en train de lire Ma conception du monde de Bertrand Russel, philosophie en certains points très intéressante et puis c’était Pâques, fête religieuse, religion dont parle Russel et très proche de mes conceptions, donc tout simplement un amalgame d’idées et de mots qui ont conduit à ce mot Russel pour Rustrel ayant même consonance 😉
« La véritable affaire du philosophe, ce n’est pas de changer le monde, c’est de le comprendre » B. Russel
« La religion a fait beaucoup de mal. Elle a sanctifié le conservatisme, l’adhésion aux habitudes du passé, et surtout elle a sanctifié l’intolérance et la haine » B.Russel
Sans te commander Ossiane, tu peux corriger mais ce n’est pas très important puisque c’est un nom propre et qu’il peut être imaginé ! pourquoi pas ?
Bien vu tous ces dégradés orange naturel. J’aime beaucoup la 1 et la 5.
après l’écoute du poême de Nath, j’ai voulu vous joindre ces mots là,
juste pour vous dire que je suis toujours avec vous, même discrètement!
vous êtes mon hall de gare, mes premières gorgées de thé , ma cours de récréation, mon souffle de douceur sur la vie en tempête, vous, vous êtes toujours là! et c’est aussi cela le bonheur!
j’ai trouvé ces mots là quelque part….
Alors,
Attention
Attention à nos mots
Attention à mes mots
Que leur violence
Soit douceur,
Que leur solitude
Soit accueil,
Que leur révolte
Soit apaisement ..
Que mes mots,
Que nos mots
Vous et moi
Ne disent pas : « moi .. »
Moi, moi, moi ..
Le moi est venin …
Mais plutôt :
« Qu’ils vous permettent d’être vous .. »
Quand la parole
Devient écoute bienveillante …
merci à toi Nath pour ces mots à l’oreille
Bertrand Russell avec deux » l « décidément je suis de plus en plus étourdie !
Et le plaisir encore de ce lien :
http://photoeil.canalblog.com/albums/deserrances/index.html
ps : Difficile de recommencer l’enregistrement du poème (dans sa totalité cette fois), car Théo (mon fils) est souvent proche de moi …
En venant lire Nath, je me relis et oh ! je découvre encore dans mon commentaire un mot pour un autre : »conception » à la place de « conviction » hum!!!!! je crois que je ferai bien de prendre un peu de vacances, les mots se bousculent , s’interfèrent, ce doit être un effet du Chocolat;-)!!!!!! ou les neurones en manque de vitamines !!!!où des passages trop rapides sur l’ordi ou plus grave… docteur qu’en pensez-vous ?
Tu mets en avant ceci, Monique,
quand un être écrit,
l’essentiel parfois n’est pas dans l’écrit,
mais dans la lecture faite avec son oeil de soi!
Le temps de Pâques est un temps fort, qui remue les mots.
Merci docteur, vous me voyez rassurée.
Je suis juste moi à me planter de mot, souvent,
je fais juste confiance à mes yeux en fusion de moi, eux ils savent parler mon langage au plus près,
un mot et moi, c’est déjà deux, si compliqué,
mais faut bien tenter dire…pour s’oser exprimer et peut être être entendu…
Calvin Russel ce n’est pas mal non plus monique, surtout quand on a le blues !
Eh oui eh oui et qui plus est un guitariste et personnage étrange tu as raison Thierry , je dis guitariste car j’ai un faible pour les guitaristes, mais c’est une autre histoire !
Ah monique désolé, ce n’est pas dans mes cordes, je t’accorde que j’aime la guitare dans tous ses états mais que je ne suis pas très doué ;)))
Je t’accorde cependant ma sympathie Thierry, ça c’est dans mes cordes;-)))
.
Monique, erreurs réparées;-)
Bienvenue à bertrand, la nature offre des cadeaux inattendus au regard. Amicalement.
fanou, en voilà une surprise;-) Nath a remué beaucoup de monde avec sa belle voix. Sympa d’être toujours à l’écoute;-) Incroyable cette longue fidélité en prenant ton petit déjeuner;-) Tu sembles pleine de sérénité, bonne continuation!
.
Hello Captain !
Champs perdus de dunes que le vent fait valser
souvent danse les grains emportés en tournis
la chaleur prend le pas et le pas s’évanouit
les souvenirs s’enfoncent dans le sable amassé
Sur une vie contrée qu’un nomade m’a contée
un verre de thé sucré me brûle encore la gorge
quelques dattes un sourire rompent l’aridité
pour cette âme du désert l’énergie se reforge
Fragile humanité en constante survie
Bravo lou, c’est beau et bien senti, on s’y croirait;-)
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=FRqiqHZhKOM
Bonsoir
Je viens de réécouter le poème que j’ai déposé, et m’aperçois que je ne l’ai jamais réenregistré en entier.. Tant pis !
Bravo à l’équipage toujours fidèle !