Lecture du Haïku Calligramme: de haut en bas
Chemins des sables
un océan de lumière
enfoui dans son coeur
◊ Le Colorado provençal de Rustrel…
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Lecture du Haïku Calligramme: de haut en bas
Chemins des sables
un océan de lumière
enfoui dans son coeur
◊ Le Colorado provençal de Rustrel…
Una maravilla todo.
Felicitaciones siempre.
Saludos
Perdue dans les méandres
Esseulée, cherchant ma route
Impasse, inaccessible chemin
Vers ton cœur
Vers ton cœur….
Le labyrinthe
La vie sur cette terre est comme un labyrinthe
Les hommes errent solitaires en cherchant une main
Ils se suivent sans se voir et se heurtent en chemin
Ils se guident à des mots qui conduisent à demain
Et confient leurs lumières à de pieux parchemins
Alain
Chemin sinueux
Les marbrures de ta peau
Traces d’une vie
Le poème court de Alain Hannecart est une petite merveille, je le relis, et le conserve parmi les beaux poèmes de ce blog, merci Alain pour cette écriture belle et limpide.
sable ou argile craquelé,
si dur que c’est pierre,
et une main décharnée
qui glisse et se répand,
caresse et envahit,
comme résille de plomb
se solidifiant
difficile de passer et voir après ton haïku, Ossiane
wonderful textures
Elle aimait offrir son coeur
Et ses veines en pépites
De belles étoiles dorées
Alors quand un jour de sa chûte
Une petite perle
Toute bleue jaillit
Cela fit peur à un bon nombre
Car pour de tant
Leur coeur est une pierre
Et depuis ce jour de vie
Sa main touche l’air du temps
Douce tendre
Et la vapeur qui la suit
Laisse un gaz bel de bleu
Qu’elle sautille nébulise
c ‘est toujours difficile de s exprimer ou se taire,
car chaque texte de chacun se vibre, et c’est bon à lire,
mais je dois bien avouer, pour être en belle vérité de moi, que mon coeur a vibré très fort à vivre votre texte, Alain Hannecart,
c’est splendide de musique vibrante…J’AIME!merci!
Si tu creuses un peu plus la colline de mes ombres
Des multiples galeries obstruées par la pierre
Tu croiserais la perle enfermée en mon sein
Tu croiserais la nuit sans nulle obscurité
Tu croiserais mon coeur qui n’appartient qu’à toi.
Tu croiseras sans doute les pieds sur des gravas
La pensée qui emprunte à l’errance le chemin
La pensée qui remonte le cours de mon passé
La pensée qui questionne qui se heurte au grand vide
Mais celle qui sourira à la première rencontre
Sera celle dont le fil est tenu et fragile
Mais ô combien est claire la voie où elle serpente.
Le labyrinthe fait peur à celui qui ne sait
Mais qui sait trouvera sur ma peau, mes cambrures
Les poèmes répandus sur une plage de sable
L’océan de lumière, la fraîcheur des embruns
Mon corps qui tangue de joie et qui embrasse la vague.
Il fallait le combattre ce minotaure au centre
Afin de mieux renaître le long du fil d’Ariane
Non ne me quitte pas j’entends encore ta voix
Et tu forces l’épreuve, ta parole est silence
J’ai mis sur mon regard tissu de cécité
Pour ne voir les impasses qu’effleurées au toucher
Les chemins s’entrecroisent je reste plantée là
Au milieu de nulle part à écouter ta voix
Se répandre en mon âme en circonvolutions.
Que je crains du dédale, ne croiser que tes pas
Martelant les chemins dessus ou dessous moi
Comme deux vies parallèles où tu chercherais moi
Où je chercherais toi sans croiser ton regard.
dans la pierre ocre et bleue
les cercles en lacets laissent des marques
temps gravés
à l’apogée des fuyants
comme un passages perdus dans la terre des lointains
frontière aux limites des courbes du chemin
route à la cime des cols
labyrinthe certain fugueur dans les ravins du destin
marche absolue
soleil des glaces
idéal
idéal
pour y découvrir un Minotaure
Dédale complice de Poséidon
gravir la pente dans la boue froide
labyrinthe d’un mandala absolu…
OSSIANE : « »le voyage marque » » et lisse ses empreintes encore toutes chaudes…
http://www.clio.fr/BIBLIOTHEQUE/inde__le_labyrinthe_du_temps.asp
Salut la compagnie !
Je cite Rachel dans son billet d’hier :
« Si vous voulez retrouver la vraie Toto, rendez-vous dans la note suivante ».
Et bien,
On ne risque pas
De la retrouver de sitôt,
La Toto,
Perdue dans son labyrinthe,
À tourner et retourner
A droite, à gauche,
Tout droit ?
Mais non,
J’y suis déjà passée !
A moins peut-être,
Que ce nouveau carrefour
Soit la clé…
Pour retrouver enfin
Le chemin
De la liberté ?
Existe-t-il un volontaire
Pour aller retrouver la Toto ?
Et la sauver de son terrible destin :
Rouler, et sans fin, tourner
Dans ce labyrinthe ocré
De sable solidifié !
Mais Rachel a sûrement une solution…
Biseeeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeeeee
Le sang bleu coule
dans les veines de la terre
La Nature est reine
En écho à Alain Hannecart et son beau poème:
J’suis perdue dans le labyrinthe de la vie
Je n’ai trouvé une main dans ma solitude
Je ne vois personne, personne ne me voit
Même en heurtant , toujours, les uns les autres.
Ah! Si j’écoutais des mots pour me conduire
Confierai –je mes lumières à parchemins?
je repense à ce texte que j’avais écrit:
révérence
Mesdames et messieurs applaudissez !
Le rideau va bientôt se baisser
Je vais tirer ma révérence.
C’est si court une existence !
Un labyrinthe de la vie à la mort
ne pleurez pas je vous l’implore
La vie est une divine comédie
Qui en son temps se finit !
Des pleurs ! Des rires ! Et le silence !
L’ombre du rideau s’étend et s’avance.
Les costumes ; un masque d’apparence
Qui nous donne une certaine confiance.
Les textes; ils viennent de mon éducation,
Ensuite tout n’est qu’improvisation.
La musique ; parfois une belle symphonie,
Souvent une impressionnante cacophonie ;
Les décors ; on ne peut rêver mieux,
Que ce monde féerique et prestigieux
La lumière ; l’aube une enfant capricieuse,
La nuit ; une vieille dame ensorceleuse
Mesdames et messieurs, elle m’appelle
Partez maintenant c’est sans appel !
J’ai presque fini les dialogues !
Mes soliloques ! Mon monologue !
Gardez de moi un doux souvenir,
Sortez en souriant vers l’avenir.
je me creuse les méninges Christineeeeeeeee car la note ne me facilite pas la tâche. Toutefois, on ne peut pas laisser la Toto comme ça ! Donc nous y arriverons dûs je y laisser mon neurone (sourire)
Elles m’ont bien plu tes voitures Christineeeeeee. J’imagine un peu la Toto en « Martin ». (je crois que c’est comme cela qu’elle s’appelait la petite voiture qui aidait Cars)
A plus tard les amis.
PS : c’est vrai que le texte d’Alain était puissant
Des voix tumultueuses
Serpentent les chemins
Trouver sa voie.
> me voilà renvoyée instantanément à mes cours de géographie, lors de cette leçon passionnante où je découvrais, encore enfant, les « courbes de niveau »…
Qui ne s’est jamais perdu dans le chemin de la vie ?
Beaucoup sans doute, car les voies sont nombreuses, et l’on se trompe parfois de chemins.
Certains affirment que chaque expérience est positive. Je me montrerai plus nuancée.
Certaines erreurs sont sources d’enrichissement et d’autres viennent accumuler le tiroir des mauvais souvenirs.
Avec le temps, ces derniers s’apaisent et le souvenir de nos échecs ou nos erreurs s’amenuisent.
Il faut beaucoup de temps pour devenir soi, pour s’accepter telle que l’on est avec ses défauts, ses qualités, ses richesses , et ses petits arrangements avec soi.
Il faut le chemin d’une vie.
Cet ocre se muant en un bleu électrique
Sortir de l’obscurité du labyrinthe
Un espoir fou
car il est en nous
nous sommes le labyrinthe
sinon comment l’aurions-nous pensé?
Errer sur le chemin des mots
Arpenter parmi les images qu’ils suscitent
Se perdre dans un labyrinthe de pensées
Pour se retrouver dans le monde du silence
Heureux d’avoir trouvé la bonne direction
Celle qui mène de la parole à la béatitude
Comme celle d’un crépuscule sur un Océan de Lumière
Là où les mots n’ont plus la force d’expression suffisante
Pour donner corps aux pensées
Là où le mot écrivain prend tout son sens
Où ce qu’il veut exprimer est tout entier silence
Où les Ecrits sont Vains
Face à la puissance des pensées devenues inexprimables.
Entrer dans un labyrinthe de pages écrites sans apparent ordonnancement, certaines des impasses où l’on ne s’attarde pas, d’autres des chemins ouvrant vers d’autres chemins qui eux-mêmes ouvrent sur d’autres paysages et ainsi de suite, si bien qu’on perd le fil de la pensée de départ.
Encore des pages, puis des liens morts puis des humains puis des tarés, puis des malheureux puis des connectés et des déconnectés, tout un chacun y met du sien, ses joies, ses peines, ses cris, son art, son opinion, son sérieux, sa légèreté.Il y a ceux qui tuent, ceux qui violent, ceux qui volent cachés derrière un paravent.
Il y a ceux qu’on aime, croisés au hasard des écritures du bout des doigts, des bouts de coeur à leur offrir.Il y a des tas de pseudonymes, comme des hommes aveugles, préférant le noir pour plus de sécurité, pour éviter les mauvaises rencontres, les ruses qui rapprochent un bourreau de l’enfant, le violent qui apostrophe le doux.
Internet, labyrinthe complexe, fourre-tout d’une jeune femme dans le vent, cartable d’universitaire, chambre d’adolescent, prospectus, bibliothèque du savoir et de l’infâmie, jardin paisible où écrire assis sur un nuage, découvrir le chaos dans le chaos dans le chaos dans le chaos et parfois des coins reculés, secrets où on s’attarde pour flâner, sourire échanger, converser amicalement .
Voilà.C’est mon intime sentiment sur l’ordre et le désordre de ce labyrinthe qu’est internet.Des Humains en marche dans un cerveau planétaire qui filtre leurs pensées.Chacun y contribue.Mais quoiqu’on écrive plus belle est LA VRAIE VIE à fouler le sol, à respirer l’air d’une forêt qui s’éveille, en regardant des enfants grimper sur les troncs couchés, sourire à une grand-mère sur le pas de sa porte et déposer dans ses bras le pain posé par le boulanger ambulant sur le bord de sa fenêtre et la voir sourire. Voilà c’est la vraie vie que j’aime.
Oui, leila, un sourire de vrai, c’est la vraie vie que j’aime aussi…..
Je vous ai lu avec attention, impossible de laisser un mot hier soir, car en vrai de vrai de voix, avec une connaissance, mère d’une autiste profonde, et un long appel téléphonique de sa part….
et puis sur cette image, de circonvolutions, mes mots ne viennent pas, l’élan d’écriture n’est pas, l’image est suffisante…
Impact de l’image
En force se suffit
Tant est dit tellement
Sur le courant de la vie
belle journée, les hirondelles sont arrivées dans le petit coin, avec la pluie, mais elles sont là, et c’est chouette de vie!
Le chant de l’éveil
D’ici là
D’un instant l’autre
L’inattendu adviendra
Quand les dieux habiteront l’intervalle
Du dire à l’entre-dire
Du don à l’abandon
Tout le respiré du printemps
Qu’un trait de sang retrace
La brûlure éclatant en bourgeons
Ivresse et soif demeurant intacts
Dans l’initial rythme retrouvé
Source sera nuage et nuage averse
D’ici là
D’un instant l’autre
Nous nous rejoindrons
Chacun en avant de soi
S’étend de ce qu’il ouvre
S’accroît de ce qu’il donne
Toute fêlure offrande
Toute en-tente
ex-tase
François Cheng
Sur le chemin de notre vie
Suivre les méandres
Et se laisser guider
Pour arriver ensemble
Au point de rencontre
Où les mots se tairont
Où nos regards se croiseront
Où nos mains se frôleront
Pour atteindre peut-être
Le point culminant d’un amour
A travers le dédale des sentiments
Naissance d’un nouveau printemps
Dans le labyrinthe du temps
Une mer si tendre
Berce le sable.
La pierre en fond,
Dénoue son labyrinthe,
Allume les coeurs à la lumière.
Les lettres dansent
oh pas en transe
mais sur ce fond
insaisis- sable
il n’y a pas de remontrance
on ne tourne pas en rond
mais pour avancer
il ne faut pas passer en second
et dans cette inversion
il n’y a pas d’aversion
L’habit éreinte et dans cette mise à nue
avant l’étreinte face à la roche grenue
loin de l’atteinte qu’est mon espoir devenu
courbes isobathes qui la mélancolie combattent
jamais vous ne m’entraînerez à de telles profondeurs
car c’est en surface que me flattent vos miroitements
peu m’importe le temps que prendra le parcours
et dans cette recherche sinon sans but
du moins sans attente déterminée
tout est suspendu à cette lente avancée
plutôt que de me sentir quelque part imbu
j’avale sans rechigner les pas mouillés
suis je prêt de toucher enfin au but
que voilà repoussées les limites
Sinuosités en demi teinte
ne pas perdre le cours
pour gagner le long
savoir rebondir
sur ses parois
extensibles
et sentir
la fibre sensible
si se déploie
gagner en distance
dans un ordre étroit
et enrouler le chemin
de soi en spirale du coeur
concentrer tant d’ardeur
à parcourir de toute part
ce qui revient au centre
pour exprimer l’émoi
dans cette moiteur
le moi s’étonne
et fredonne
une chanson
comme un fil
qui vous raméne
à ce sentiments mitigé
sans changer de niveau
aborder l’espace courbe
fléchir le temps inflexible
réfléchir la voix inaudible
arborer une nouvelle bible
dualité espace/ temps
Imprévisible mais jamais visible
tout se dérobe et rien n’accroche
tout m’échappe en anicroche
je suis à un tournant
vers où guider mes pas
rien n’est rectiligne
mais ça ondoie
on doit se dire
dès l’entrée
jamais
je n’en sortirai
shining
quel reflet
ça te plait
émouvant
non
oui, enfin
ça ne se laisse pas deviner
il va falloir rembobiner
il y aurait bien les cailloux
bonne après midi à tous
désolé pour le tour oulipien des choses
on ne maitrise jamais tout
c’est dans le lacher prise
que se révêlent le mieux les émotions
merci encore à ossiane
elle nous élève
sans jamais
nous faire toucher le fond
Sa paume s’ouvre
Des ondes bleues
S’offrent de vie
Affleurements, ségrégations, contours
où sont les haches
qui peuplent le palais
sont ce leurs tranches
qui ont donné ces traits
qui donc étanche
dans ces circonvolutions
entre grés et argile
de bon ou mauvais grè
les aspects fragiles
certes l’espoir nous anime
et pourtant l’effroi nous mine
oh tort d’avoir à tant attendre
sans pouvoir pourtant prétendre
à la lumière surgir à tout coup
il en faudra de la patience
pour percer à jour
à coup de hache
à coup de hanche
le secret de la création
J’ai trouvé cette musique splendide mais je ne connais pas ce film, il parait-selon les commentaires déposés par les auditeurs-qu’il est génial.
Quant à moi suis plutôt branchée dessins animés avec mes piou-piou….un autre monde)
Monique,Sophie, Nath,Thierry et la toto bel de bel c’est touchant ce que vous écrivez.
http://www.youtube.com/watch?v=8t9tzCUZuWQ
Leila,
Je suis assise devant le petit bois
Et la musique du labyrinthe
Me fleure l’oreille en mon brin d’herbe
Je ferme les yeux et je les ouvre
Le lilas mauve me sourit
Un oiseau son cri
Dans la vitre de la fenêtre
Le reflet de la lampe douce allumée
Les arbres verdissent et me comprennent
Confidents tant de mon voyage
Dans le grand labyrinthe du temps
profite avec tes piou piou, leila, c’est un monde superbe que le leur…et il passe une seule fois leur temps de pioupiou..
signé la toto bel de bel..sourire ému
Remonter le temps
Pour comprendre le parcours emprunté
Et repartir à zéro
Serait tourner le dos à l’avenir
Et ne rien reconnaître du chemin
La route qui conduit en un lieu
N’est pas la même qui vous ramène
A son point de départ
Ce n’est pas un fac-similé
Encore moins une route déjà parcourue
Tout au plus un méandre
Qui vous conduit au centre de vous-même
D’où l’on repartirait
Sans reconnaître le chemin
Labyrinthe des mystères de la vie
Dont le déroulement est si complexe
Qu’il laisse chaque homme face à son incertitude
Labyrinthe prolongeant l’espérance
Laissant au temps le temps de faire son œuvre
A l’esprit de cheminer avec intelligence et prudence
Au cours du long voyage de la Vie
Parfois difficile, voir très difficile même
Au sortir d’un chaos vers la connaissance
Sur « les chemins de sable » mouvants
Les va et vient des marées océanes
Le dédale des mystères du coeur.
Le labyrinthe du silence
Je cherchais quelqu’un
J’empruntai le premier escalier en haut , près de la dernière marche il y avait un panneau « mutisme » j’entendais un cri.Sur le palier un autre escalier grimpait encore, il y avait sept marches . Sur la dernière, tracé en bleu était écrit le mot « mystère », je vis l’invisible dans le visible et dès lors je ne parlais plus qu’en parabole.Un troisième escalier semblait s’élever dans le vide. Tout là-haut, je crus entendre une petite voix.Mes pas foulaient le silence de la pierre, mes pas étaient la musique avant le silence.Le silence se portait en fardeau, le silence avait la parole tenace.J’aimai ce silence.Il écrivait mieux que moi.
Je cherchai quelqu’un.Encore un escalier, puis un autre, puis un autre.Où était-il?
http://www.youtube.com/watch?v=QqiE2lU3O4g
.
Beaucoup de retard dans mes interventions, tout rentre dans l’ordre petit à petit…
Le labyrinthe a donné lieu une fois de plus à de belles déambulations poétiques. Un thème riche en approches différentes.
Je me joins au coeur de louanges pour les poèmes d’Alain
https://blog.ossiane.photo/2005/03/31/2005_03_narcisse_1/#comments
https://blog.ossiane.photo/2005/05/02/2005_05_tulipe/#comments
Message bien reçu, aspe!
Coucou à Emma
Bienvenue à vaggelis vlahos
Et puis bien sûr un grand bravo à tous les poètes fidèles de ce blog!
Nouveau commentaire:
https://blog.ossiane.photo/2009/04/03/ocre/#comments
.
c’est à chier
Quelle amabilité nocturne, quelle franchise désarmante, il n’y a pas à dire c’est catégorique, mais encore, c’est brutal, pas argumenté, c’est excessif et donc comme disait talleyrand-périgord , c’est insignifiant, j’ai dit !
Merci thierry;-)
en inversant les lettres on obtient : c’est riche. Il est évident que c’est ce que cette personne a voulu dire.
Merci mon petit. Cela nous va droit au coeur
L’océan lui aussi
Ecrit et ne cesse d’écrire.
A chaque marée
Il écrit sur le sable.
Il écrit tous les jours,
Toujours la même chose.
C’est sans doute
Ce qu’il doit se dire,
La même chose, et pourtant
Qui s’en fatigue ?
Ne le jalouse pas :
C’est l’océan.
GUILLEVIC