Lecture du Haïku Calligramme: de bas en haut
La peur au ventre
une valse hésitation
rêve d’infini
◊ Du toit de l’église de Roussillon…
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Lecture du Haïku Calligramme: de bas en haut
La peur au ventre
une valse hésitation
rêve d’infini
◊ Du toit de l’église de Roussillon…
Très beau Ossiane, ce calligramme , ces photos…
Un Deux trois en musique
Le chemin de la vie
Ouvre grand son ciel gris
Aux oiseaux de passage
http://www.youtube.com/watch?v=wRdXZRZ5lkE&feature=related
Superbe… superbe … une grande émotion à l’ouverture de ta page ce matin…et je ne sais pourquoi de suite m’est venue la voix de William Sheller… et sa magnifique chanson…
http://www.dailymotion.com/relevance/search/je+veux+%C3%AAtre+un+homme+heureux/video/x2z45w_william-sheller-un-homme-heureux_music
Je prends mon envol
Je veux être un homme
Libre et heureux
Messagers
un temps de repos
avant l’envol
pour une course lointaine
restons bien groupés,
suivons dans le fil du vent
celui qui le premier s’est lancé –
pitié, si avons le temps,
pour celui qui s’égare
oublier les illusions
magicien de sa propre vie
avant de disparaître
je trouve tes haikus de toutes beautés en ce moment Ossiane
ton calligramme me plait beaucoup
bonne journée à chacun
Libre
Très vite, la vague se change en fleur, et la fleur
Devient une aile, et libre l’aile court se livrer
Au vent, elle frotte le fleuve, qui rit ! écarte
Les herbes, un vol se perd dans la paix des eaux
Alain
PS : Pour répondre à ta question Ossiane, je peins avec des mots
déployer ses ailes
glisser sur l’air du passé
prendre son envol
—
Battements d’ailes
une peur bleue
une plume barbule dans le vent
comme c’est joli, Ossiane,
et les images d’envol de vol,
et ton haïku,
Se vivre libre
De s’atteindre son soi
En aimant de tout son saoûl
Celui qu’on aime de tant
De temps tellement de temps
Comme c’est beau cet amour
Qui désire tellement
Aimer et rendre heureux
A s’envoler à deux
Dans un ciel rien que pour eux
merci pour vos mots,
merci pour ces très belles paroles de chansons, mariad et lou….
BEL JOUR pour chacun, dans la folie d’aimer de se rêver son rêve sans le quitter jamais, et s’envoler un jour dans son rêve tout de vrai pour être celui qui est en tout là, au plus profond, de belle sérénité d’aimer….
—
craintif
je déploie mes ailes -lèvres
sur tes lèvres-duvet
frissons
—
Uppercut….
Vision de ma vie
Dans ces lignes…
Croissants d’ailes,
Peignes de plumes,
Le ciel en fume d’aise.
Jolie délicatesse
Dans la pudeur de l’être
En sa grâce en plein ciel
envol poétique pur
Si fort intimidé
Sur la margelle
Du puits de sa vie
L’oiseau il frissonne
Son aile
Et il est très ému
Se vibre son envol
C’est palpitant d’aimer
Se voler ses petites ailes
Et cela fait peur un peu
Alors l’oiseau se frissonne
Devant ce ciel de pur
Il remercie son ciel
Et se ferment ses yeux
Pour s’atteindre encore plus
Devant ce cristal de vie
Envole moi
Minuit se lève en haut des tours
Les voix se taisent et tout devient aveugle et sourd
La nuit camoufle pour quelques heures
La zone sale et les épaves et la laideur
J’ai pas choisi de naître ici
Entre l’ignorance et la violence et l’ennui
J’m’en sortirai, j’me le promets
Et s’il le faut, j’emploierai des moyens légaux
Refrain
Envole-moi envole-moi envole-moi envole-moi
Loin de cette fatalité qui colle à ma peau
Envole-moi envole-moi envole-moi
Remplis ma tête d’autres horizons, d’autres mots
Envole-moi
Pas de question ni rebellion
Règles du jeu fixées mais les dés sont pipés
L’hiver est glace, l’été est feu
Ici, y a jamais de saison pour être mieux
J’ai pas choisi de vivre ici
Entre la soumission, la peur ou l’abandon
J’m’en sortirai, je te le jure
A coup de livres, je franchirai tous ces murs
Refrain
Envole-moi envole-moi envole-moi envole-moi
Loin de cette fatalité qui colle à ma peau
Envole-moi envole-moi envole-moi
Remplis ma tête d’autres horizons, d’autres mots
Envole-moi
Me laisse pas là, emmène-moi, envole-moi
Croiser d’autres yeux qui ne se résignent pas
Envole-moi, tire-moi de là
Montre-moi ces autres vies que je ne sais pas
Envole-moi envole-moi envole-moi envole-moi
Regarde-moi bien, je ne leur ressemble pas
Me laisse pas là, envole-moi
Avec ou sans toi, je n’finirai pas comme ça
Envole-moi, envole-moi, envole-moi…
________
Jean Jacques Goldman
envole-moi
avec tes mots-plumes
loin je plane
L’oiseau s’envole tout a loisir
Par delà la croix de fer
Sans croire
Dur comme fer
Que le travail rend libre
L’oiseau s’envole tout a loisir
Par delà la svastika d’enfer
Sans voir
Fier d’allure
Que le travail rend libre*
* © SS ™
sont beaux les mots de J J Goldman, merci marc…
Icare
Quel bonheur ce doit être de voler sans raison
sans barreaux aux fenêtres hors de toutes prisons
D’errer comme un poème sur les mots vagabonds
D’écouter sur la mer les sirènes du vent
Comme le roi Ulysse qui erra d’île en île
voler comme une note entouré de silence
comme la feuille morte au gré du vent fripon
Et sentir ce frisson qu’ont les plumes dans l’air
En découvrant la terre et le toit des maisons
Alain
L’oiseau quitte sa croix
Le monde libre l’accueille
Il le suit de bel envol désiré
Ô, un oiseau en vol au dessus de mon cœur!!!
La liberté vous guide peuple d’Humanité
Flots de larmes sur la main, les armes en liberté
Vers le marbre des gisants où la balle enfumée
Déchire les entrailles, le sang, vin des armées.
Guerre des puissants du Monde, le destin est en route
A la croisée du doute et des nécessités
La liberté vous guide vers des cieux plus cléments
Mais la douceur se paie du sang de vos enfants
Un drapeau de couleurs aimé plus qu’un amant.
Soumis aux cécités et aux maux sans paroles
Le peuple est à genoux, honneur aux servitudes
Folie des êtres humains, chenilles sans chrysalide
Des chars foulant mon âme, chaque fois que mon frère meurt
Du côté de la balle, du côté de la peau.
La liberté, enfin est-ce une réalité ou chimère en déroute
L’homme maître comme un pantin animé par un dieu?
L’homme n’a bâtit le monde que de ses illusions
La nature est maîtresse et vainc toutes vos actions
De vos ruines elle enfante le sourire de l’enfant
Assis sur l’éboulis avant le couvre-feu.
La liberté sans ailes est sortie du néant
L’indépendance frêle au bout de vos fusils
La liberté est frêle l’Amour est son pays
Et vos écrits sa loi pour limiter le pire.
Le despote multiplie son âme dans ses soldats
Mais le jeu sans l’enfant et le plomb dans la tête
Des fusillés au mur.
Je suis l’oiseau en vol, libéré de vos jougs
Mais j’ai payé tribut, j’ai saigné à genoux
Je me suis retiré comme un poète fou
Mystérieuse et muette l’écriture de mon arme.
Aux armes citoyens, la liberté rend saoûl
Le dictateur chargé de gérer l’opprimé
Je marche encore debout au milieu de vos ruines
Au milieu de vos bruits, le silence des usines
Animées jours et nuits pour fabriquer l’obus
Qu’enfantera l’oiseau au dessus de l’Asie,
De l’Europe ou de l’eau.
Combien d’oiseaux couchés au fond de l’océan
Avec dans la carlingue un souvenir de fer
Non tout n’est pas permis, dans la bouche de vos armes
Le bien combat le mal et le mal assassine.
Tu me dis liberté, je pense comme je l’entends
Tu me dis liberté mais au seuil de la tienne
J’arrête de m’envoler
Tu me dis liberté, sur ton sol vais et viens mais mon frère à Calais
Tu me dis liberté, je prie sans sinagogue, sans temple et sans mosquée
Tu me dis liberté, je dis ce que je pense mais parfois je le paie
Tu me dis liberté, je ne suis plus le noir?l’émmigré sur le quai?
Liberté de la presse, ton âme s’est envolée toi l’oiseau égorgé
Dans les ruelles d’Alger, alors je me censure
Ce n’est pas moi qui meure en soldat à la guerre
Je ne fais que voler entre la croix et la lune
Heureux?Vivons cachés, le pouvoir logiciel
Les mots sont mon fusil, mon poème citadelle
Je chante car ma parole pourrait vous fusiller
Et à la place des flammes du haut de la statue
Pleure MA LIBERTÉ…leurs soldats…vos martyrs.
Chorégraphie
Calligraphié
Sur fond de ciel
viens-tu?
ne viens-tu pas?
un rêve passe
C’est la beauté que l’on emporte
Elle a déjà fui
C’est toujour magnifique
regarder le spetacle donne pour les oiseaux..
L’émotion vient au coeur.
Ossiane à la première photo
donne le départ
les poètes
s’envolent suivant le rêve
sans peur
sans hésitation
soif d’infini
Les poètes de l’Oeil Ouvert
les ailes en plenitude
dans l’infini bleu
magnifique spetacle.
http://www.youtube.com/watch?v=y8onxYa8Qyw
http://www.youtube.com/watch?v=lJY8fhGTMU0
Libre, libre comme l’air…
Et il s’envole
Et il est libre
Il becquote bel
Son ciel de tendre
Ses duvets se volent
Le plein ciel
En rien volant
Qu’en s’envolant
De bel courant
Tendres pensées
L’air est si doux
Quand il se plane
Et qu’il se donne
Ses airs de rien
Qui sont tellement
Le goût de la vie
De ses baisers
La vie vraiment
C’est pour l’aimer
mmmhhh, neyde,
on se frôle les ailes,
doudoux,
vers un bel rêve,
de vivre fous.
Oui avec les oiseaux ce qui est bien c’est l’appeau éthique avec cet à tire d’aile qui nous attire et nous subjugue et qui conjugue la grâce et la légéreté dans une esquisse jamais terminée.
Oui la liberté ce peut être la magie du vol,son côté aérien, ce bal aéré , à errer même qui revient, ces improbables trajectoires, ces piqués illusoires, ces décrochages au fil de l’aile.
Oui la liberté dans l’abondance c’est le spectacle de la danse coordonnée ou chacun va participer dans un impeccable mouvement et nous donner l’assurance qu’un chef orchestre même de loin cette symphonie visuelle qui enchante et représente la quintessence de cette vie aviaire.
Et si l’oiseau passait du frisson au frison au dessus des polders, il aurait pris un bon bol d’air dans une migration saisonniére sans s’arrêter aux tulipes ni aux moulins puisque ses ailes battaient trop vite au moulin de mon coeur .
Décomposition kaleïdoscopique, homothétie numérique, variation symphonique
Elle reste longtemps
Devant sa fenêtre
Un oiseau sautille sa branche
Plus bas un gros merle
Fait bouger les feuilles
Un peu plus haut à droite
Deux oiseaux fouinent un tronc
Un autre s’élance de gauche à droite
Cet autre encore pique du bec
Vers le tout bas
Le petit bois derrière
Il semble statique à première vue
Mais dans la longueur de vision
Il donne plein de frissons
Comme c’est bon toute cette vie
Qui se partage en plumes en becs
En si bels chants
Le corps se souffle
Comme il s’apaise
C’est bon un bois qui le respire
Et il inspire et il expire
Le petit coeur de doux de celle
Et emmène son âme en plein ciel
C’est bon d’être là
Tellement Là
En tout dedans de bel dehors
Si jolis ces instants de vie
La statue d’une femme
Offerte en symbole
Au pays sans nom
Ou pour sauver leurs âmes
Fuirent les colons
Est devenu diabole
Désormais dans ce pays
Qui se dit démocratie
Se fourbisse les armes
D’un futur de larmes
Avec un budget de guerre
De cinquante pour sang de la terre
Elle ranime la flamme
De soldats inconnus
Car rien ne vous tue
Un homme comme l’obligation
de représenter sa nation
Dans ce pays sans nom
Au complexe militaro-industriel
On crée le contexte de nouveaux Vietnam
Que les colombes du ciel
Eclairent le monde de ce drame
Lui fientent sur sa couronne
Qu’une rose a ses pieds
A la taille en coursonne
Y pousse ainsi graissée
Recouvre sa tète d’épines
De roses son visage
De pétales sa poitrine
Et que le vent du large
Diffuse les senteurs
De la paix dans tous les cœurs
Libre, une envie.
Dans Strasbourg, paralysé.
Etat de siège, absurdité.
http://www.youtube.com/watch?v=X4pEkxz8W8c
tant dire en si peu de mots !!!
la musique des mots
la danse des âmes
le chant des coeurs
L ibre comme l’oiseau
I vre de ciel pur
B aigné de soleil
R êves
E nvolés.
Ossiane, Très beau ton envol de pigeons, et de mots en poésie, de bien jolis effets artistiques que j’adore, il y a matière à rêver. Je t’embrasse
Bonsoir tout les couche-tard !
Et oui, pour une fois, suis encore là… et c’est à demi réveillée, à demi endormie que je vous soumets ci-après, ma copie du mercredi !
M’en voudrez pas si quelques maladresse, vos oreilles vous blessent ?
Le toit de l’église
A toujours été
Un lieu de vertige
Pour pigeons débutants
En apprentissage intermittent
Le plus difficile,
Pour les plus timides :
Prendre son élan,
Faire trois petits tours
Au-dessus des tours
Et regagner le faîte
Pour un nouvel essai
De maître !
Le plus rigolo
Pour les pigeonneaux
Un peu plus aguerris
Faire un envol de patrouille
Style « même pas la trouille »
Avec tous les copains
Pour voir qui serait
Le plus malin !
Là où ça se corse,
C’est quand les cloches
A l’heure de 7 heures,
Puis à l’heure de midi,
Sans oublier l’heure de 19 heures
Sonnent chaque journée à tout va
Le moment des repas !
Envolée des volatiles
Affolés par les tintements volubiles
Des cloches à la volée :
Vite, fuyons ce clocher trop bruyant
Et d’un coup d’aile vers le ciel,
Prenons le chemin de la liberté !
Nous y reviendrons demain
Pour de nouvelles aventures
Au-dessus des toitures !
Biseeeeeeeeeeeeeeeeeeeees du soir !
Très beau Ossiane !
A tous Bises et merci pour les commentaires …
Bonne nuit
teindre la coquille
d’un ciel à peau de tambour
entre dans la danse
Calanques, mon doux rivage, j’ai erré tant de jours
Si loin de mon pays, ta peau, voie de velours
J’y accoste d’un regard, la parole déguisée
« Mots, âme »…et l’anagramme a pris de « l’hématome »
Toutes les sonorités des bleus sans ciel d’azur
Je m’envole goéland, la mer s’orne d’un trait
Où rougeoit le soleil couché sur l’océan.
Mais parfois comme la mer endormie tu t’éveilles
Le vent impétieux agitant ton écume
Il ébranle, fait des vagues, rythmant de sa complainte
Le tangage de mon coeur esquivant tes humeurs.
Tes yeux sont l’océan où le ciel bleu se mire
Ton sourire une baie dans laquelle je chavire
Navire sans capitaine, j’aborde ton rivage
La vague berce ma peau au chant de tes soupirs.
http://www.youtube.com/watch?v=mA74TF1WssM
croix
pigeons
au claquement des ailes
tous ensemble
forme groupe
dans un ciel chargé
par l’esprit
il est des moments
d’amour
en longues traines
d’heurs
sans sortir
de l’alcôve
où le simple envol
sur le pavé rafraichissant
d’un matin las
ouvre
le ventre creux
à la satisfaction
d’un vide
gagné
par le frottement des peaux
en béatitude exténuée
Les pigeons va-nu-pieds
se tapent la cloche
et s’envolent en espadrille…
Ils vivent sur un grand pied…en escadrille …les semelles sont dans leurs cordes
« » »La peur au ventre
une valse hésitation
rêve d’infini « »…
singulière partance
envol
infini regard
des libertés
fuite fugue
écran d’air dans le tumulte
bruissements d’ailes vers cette mer
si caressante…
ma tourterelle
mon zénith…
lune accomplissant la course des rondes de lumière
goélette
à la cime des vagues
ligne fragile à l’horizon
humble humain
tendant la main à la charité…
je n’y crois plus
je n’y crois pas
… »tes yeux sont si bleus quand il pleut sur les sommets « …
…”tes yeux sont si bleus quand il pleut sur les sommets “…
Que je me sens oiseau à pianoter tes vers….)
http://www.youtube.com/watch?v=UJjexDFbbmE
Bonjour à tous et au revoir, je m’envole vers l’enfance.)
Mon état d’être Humain
Se résume en un conflit perpétuel entre
Mon cerveau, mon cœur et mon corps
Mon cerveau veut commander mon cœur
Mon cœur veut commander mon corps
Mon corps veut commander mon cerveau
Ils ne sont jamais d’accord
Raison, désir, plaisir
Un cercle infernal
J’y vais ?
Non !
Me dit ma tête
Oui !
Me dit mon cœur
J’ai peur, j’ai envie…
Me dit mon corps
Je suis formatée
Société, obligation, responsabilité
Je suis programmée
Pourtant ça hurle au-dedans
Liberté, passion, déraison
Je veux me déprogrammer
J’y vais ?
Des ‘non’ et des ‘oui’
Encore et toujours
Je chancèle
J’y vais ?
Tiens ? Je vole
Ça alors ! Je plane
Qu’importe le vainqueur
Je suis bien
J’en paierai le prix fort
Sans aucun doute
Ils ne me lâcheront pas si facilement
Assurément
Pour me faire rentrer dans les rangs
Liberté ?
Et si ce n’était qu’un rêve ?
Je n’ai pas trouvé la réponse…
Chacun peut être libre
Il faut le vouloir très fort
Et s’ouvrir ses verrous
Mis par d’autres
Ou par soi
Et par la vie tellement
Mais cette liberté
Elle est en soi vraiment
Et pour se la vivre dehors
Faut juste s’extraire de soi
Et se griser de vie
Au plus près au plus grand
Comme ça
Sa vie d’amour
C’est pas rien
C’est tellement
De quoi réfléchir …J’aime aussi ce lien entre la peur et la liberté …
J’en citerai d’autres un peu plus tard.
Trs bonne journée
C’est de ta peur que j’ai peur.[William Shakespeare]
Je n’ai pas d’autre ennemi à craindre que la peur.[Frédéric-Lawrence Knowles] Extrait de La peur
Tu n’a peur de rien, tu n’as peur de personne. Sauf de toi-même. C’est la pire de toutes les peurs.[Yves Thériault] Extrait de Tayaout, fils d’Agaguk
La peur est ce qui gronde dans le courage ; la peur est ce qui pousse le courage au delà du but.[Alain] Extrait de Les idées et les âges
La peur ne peut se passer de l’espoir et l’espoir de la peur.[Baruch Spinoza]
Le véritable héroïsme n’est pas l’absence de peur mais la canalisation de la peur vers l’action.
[Doric Germain] Extrait de Le soleil se lève au nord
La peur est le plus grand de tous les maux dont l’humanité est affligée. Sans la peur, il n’y aurait pas de guerres…[Roger Fournier] Extrait de Moi, mon corps, mon âme, Montréal etc…
J’ai peur du jour ou je n’aurai plus peur.[Martine Delerm] Extrait de Fragiles [
L’ignorance mène à la peur, la peur mène à la haine et la haine conduit à la violence. Voilà l’équation.[Michael Moore]
L’infini fait autant de peur à notre vue qu’il plaît à notre âme.[Madame de Staël]
Extrait de Dix années d’exil
L’homme courageux n’est pas celui qui n’a jamais peur, mais celui qui accepte de faire silence en lui.[Henri d’Hellencourt]
merci Nath, pour les citations,
chacune pourrait amener un partage de mots….
Je recite ces deux là, que je partage fort de fort….
L’ignorance mène à la peur, la peur mène à la haine et la haine conduit à la violence. Voilà l’équation.[Michael Moore]
L’homme courageux n’est pas celui qui n’a jamais peur, mais celui qui accepte de faire silence en lui.[Henri d’Hellencourt]
Et j’apprécie fort de fort de fort, cette toute dernière.
L’homme courageux n’est pas celui qui n’a jamais peur, mais peut être que bien au contraire, il a fort peur, et son défi de vivre, à travers, malgré tout, l’entraîne dans des parcours pas simples, mais quand il tient très fort une valeur de vie, il trouve force en lui, brave sa peur, et avance, même si c’est hyper dur. Son étoile en devant l’attire, le happe, lui donne foi, multiplie ses forces et quand il a peur, il frissonne fort de fort, et retrouve dans la peur, la force de s’extraire encore, pour rester libre de rejoindre sa vue de lui, en belle liberté.
La toto elle a eu peur souvent de braver le vide, de partir vers l’inconnu, mais à chaque port serré, quelle joie de VIVRE!
-vous prendrez bien un dernier rêve?
-est-ce bien raisonnable?
-allez ca peut pas faire de mal!
-j’en ai déjà pris quelques uns.
-justement vous n’êtes plus à un près!
-bon daccord mais un petit dernier.
– °°°°°°°°°°°°°°°°°°°
– hum c’est bon
– j’vous l’avais dis
– c’est vrai que c’est bien agréable
je me sens décoler
– allez finnissez votre rêve
– hummmmmmmmmmmmm
– que je me sens si léger si immortel
– j’y vais; à bientôt
– faites attention quand même
– ne vous inquiétez pas; tout va bien
– ( en apparté) je n’aurais peut être pas dû insister
il me parait dans un état euphorique; je ne voudrais pas
qui lui arrive quelques chose!
– (seul plannant dans les airs) j’amais je n’aurais immaginé pareil aventure
que c’est beau la vie vue d’ici
– hohé (dis le corps)
– qui me parle
– c’est ton corps qui te parle
– qui y a t’il
– tu n’as pas pas d’aile
– non
– tu es plus lourd que l’air
– oui
– tu n’es pas un ange
– je ne suis pas un monstre non plus
– non c’est vrai mais tu ne peut pas planer
– le cerveau confirme les information donné par le corps
– oui mais le coeur s’en mêle
– l’important c’est d’y croire
– oui mais( dis le cerveau) il faut être rationnel
le corps s’agite fait son possible mais l’homme redescend sur terre
le coeur se ralie à la raison
l’homme s’abat violemment sur un arbre
fracassé; il se dit qu’il n’est pas raisonnable
et qu’a chaque fois il cède à la tentation
on ne le reprendra pas de sitôt à rever
quelques temps plus tard on l’enterra!
le coeur sans rêve se langui sans rêve
le corps n’u plus d’utilité;
et le cerveaux n’ayant plus personne à commander
s’éteind doucement…
bon rêve à tous
je vous donne de la lecture aujourd’hui
—–
Dites-moi vos rêves et je vous dirais qui vous êtes !!!
-bonjour;
– Bonjour; Je voudrais savoir qui je suis !
– installez vous; Dites-moi vos rêves et je vous dirais qui vous êtes!
– j’espère que vous pourrez m’aider
– bien sûr bien sûr ; à quoi rêvez vous ?
-je ne rêve plus.
-tout le monde rêve!!!
– oui cela m’est arrivé mais pendant longtemps je n’ai pas rêvé.
– que c’est t’il passé ?
-on me les a volés.
– mais qui peux bien voler des rêves ?
-je ne sais plus
– vous l’avez bien vu ?
– oui mais je ne m’en souviens plus.
– Etrange !!! mais après, vous en avez eu d’autres
– je ne me rappelle pas
-vous n’avez pas de rêves, vous n’avez pas de souvenirs !
Qui êtes vous ?
-c’est à vous de me le dire
-mais vous n’avez pas de rêves comment voulez-vous que je vous dise qui vous êtes
bon creusons un peu ; par la suite vous avez sûrement eu des rêves ?
-oui c’est vrai ; ça m’est arrivé !
– à la bonne heure !
-oui mais ça m’a fait pleurer, alors maintenant j’ai décidé de ne plus rêver.
-il manquait plus que ça ! c’est bien triste
– ne vous inquiétez pas, je n’ai plus de larmes
– plus de larmes ! si justement c’est inquiétant
-vous croyez
-pour sûr,
– vous riez au moins
– je souris parfois
-plus de plus de souvenir ; plus de rêves, , plus de larmes, plus de rire !!!
plus de passé pas de futur pas de présent !vous ne paraissez pas mort et pourtant !
je n’ai jamais vu de cas aussi étrange ;c’est impossible ; une vie sans rêve, sans souvenir sans larme… sans rire!
– …..
-que c’est il passé avec vos rêves ?
– je suis tombé des rêves et je me suis fait mal.
-ils étaient hauts?
– non.
-alors vous n’êtes pas tombé de très haut, vous n’avez pas pu vous faire bien mal!!
– il n’y’a pas besoin qu’ils soient très hauts pour se faire mal
Ça dépend comment on se réceptionne.
-oui …c’est un peu vrai !
-les miens n’était pas très élevés
– à vous voir ça ne se perçoit pas que vous vous êtes fait mal
-non en apparence tout est à sa place ; Parfois même, je fais rêver!
-c’est un comble
– comme si une ampoule c’était cassée ; à l’intérieur rien que des débris minuscules
je ne sais même pas par ou commencer pour reconstituer ce puzzle
– commencez par le cœur
– le cœur vous n’y pensez pas !
-pourquoi ?
-c’est ce qui c’est brisé le plus, des milliers de morceaux minuscules
– le cœur ! hum hum
– quoi hum hum ?
– c’est à dire que…
-dites…
– voilà c’est délicat
– vous savez, il n’y à plus rien à casser
– c’est vous qui l’aurez voulu
-que diantre !
– bon je sais maintenant qui vous êtes
-alors dites ne me faite plus attendre
-c’est difficile
– je suis prêt à tout entendre
-Vous êtes…
– alors depuis le temps que je cherche à savoir.
– voilà… vous êtes
– et bien
– un rêveur
…
L’imagination nous envole
Elle empêche parfois l’agir
Démêler le vrai du faux
Se détourner d’illusions
Au plus de nos valeurs, de nos limites
Rebondir …
Alors puisque c’est toi
Puisque c’est Vous
Je prendrai bien un rêve
Mais pas le dernier
Ah non jamais
Juste l’avant dernier
Avant les mille autres
Et je me souris déjà
De me rêver tout gaie
Car un rêve en verrine
Je veux bien
Mais un bel
Un fort tendre délicat
Amoureux
Qui donne à l’âge
Le non âge
Juste l’âge de rêver
Sans jamais s’arrêter
C’est ma vie
A me vivre
Et je l’aime
Car des rêves
Mmmmhh des rêves
Quand je les vis de tout vrai
C’est fort bel à serrer
De tout près de chair douce
Mmmmmhhh mon rêveSssssss
C’est bon d’être libre
En faim de vie
Sans attendre la fin de sa vie
Ah Annick et sa respiration joyeuse et tendre!
Marc ton premier texte , j’avais cru que c’était le texte slamé de « Grand Corps Malade » c’est qu’il exprime bien l’être ce grand gaillard
http://www.youtube.com/watch?v=KFxzv_LSufY (SoUs CoNtRoLe!!)
et ton second écrit, on dirait un rêveur chez son psychanalyste) c’est le rêve!le serrer doudou sur le divan)) tu ne peux pas nous inventer un truc pareil ou peut être Rachel avec ses espiègleries?!
Le slam c’est une poésie psychanalytique non?J’aime assez.Le poète est libre, c’est pour cela qu’il sait s’envoler sans ailes.
http://www.youtube.com/watch?v=H1zwtH7Kgys
Bon j’me suis un peu embrouillée les doigts, c’est que le rêve m’a troublée)), les rêves c’est à marc et le conflit coeur, corps , esprit c’est à nigra)…je m’envole de nouveau vers l’enfance…@ plus tard les poètes et poétesses.
L ’envol
I llumine dans la
B rume un
R êve tout
En couleurs…
et sans…cadre 🙂
Encore à prendre et/ou laisser …
La peur tient à l’imagination, la lâcheté au caractère.
[Joseph Joubert] Extrait des Pensées
On a peur seulement quand on n’est pas d’accord avec soi-même.
[Luis Fernandez
Ecrire, écrire le pourquoi on veut écrire, écrire son besoin d’écrire, c’est écrire sa tourmente, sa révélation, sa tension. C’est délier sa peur !
[Louise Portal] Extrait de Jeanne Janvier
Les gens ont toujours peur de la nouveauté. Pour faire du neuf, il faut se donner le droit à l’erreur.[Björk] Extrait de l’émission Music Planet
Vous savez ce que ça peut provoquer, la peur ? Il y en a que ça pousse à la lâcheté, d’autres à l’héroïsme.[Louis Caron] Extrait de Le canard de bois
Il est facile de supprimer de soi l’espoir et l’ambition. Ceci accompli, on supprime la peur qui est sûrement la raison essentielle du combat de l’homme dans sa vie de tous les jours.
[Michel Conte] Extrait de Nu… Comme dans nuage
On donne tout à nos enfants y compris des peurs qui ne leur appartiennent pas.
[Lyse Desroches] Extrait de La Vie privée
Les adultes ont peur parce qu’ils ne savent pas faire la part des choses.
[Marc Levy] Extrait de Et si c’était vrai…
Demain est un mystère, pour tout le monde, et ce mystère doit provoquer le rire et l’envie, pas la peur ou le refus.[Marc Levy] Extrait de Et si c’était vrai…
Quelle audace, vouloir analyser les hommes, quand on n’ose pas s’analyser soi-même de peur de découvrir que ce qui nous manque est à jamais inaccessible.
[Andrée Maillet] Extrait de Profil de l’original
La peur bloque la compréhension intelligente de la vie.
[Jiddu Krishnamurti] Extrait de La connaissance de soi
Il n’y avait pas à dire, elle s’y était attachée à son équipage notre Charlie-Ossiane ! Bien plus qu’elle ne l’avait imaginé à l’époque !
Amusée, elle évoqua, avec tendresse, certains de ces matelots :
Tout d’abord :
– la Toto, pionnière de l’équipage . D’une fidélité à toute épreuve, elle arborait le plus souvent des tenues quelques peu excentriques. Le capitaine sourit en se remémorant la première apparition de la Toto affublée d’une large chemise à fleurs (souvenir d’un concert de Janis Joplin), d’un châpeau multicolore et de son indétournable pendentif champignon !
Ah ça ! des Totos comme ça il n’y en avait pas à tous les coins de rue.
– La Lou ensuite, qui avait rejoint l’équipe il y a un an de cela. Courageuse, elle frottait le pont plus que de raison. Oh bien sûr elle n’avait plus qu’une dent mais elle était fière de montrer que cette dernière était encore ferme et solide.
-Monique , fidèle moussaillon également, était un appui hors paire pour le capitaine. D’ailleurs celle-ci avait tenu à lui prouver sa reconnaissance en l’anoblissant de puis peu et en la nommant Monique avec un grand M.
-Christineeeeeeee , notre casse-cou de service. Munie d’un talkie walkie, d’un masque et de son fidèle destrier elle était toujours prête à affronter de nouveaux périples.
-Leïla et Nath codifiaient les informations à Charlie-Ossiane . Leurs personnalités avaient été prépondérantes dans le succès de certaines missions.
-Thierry, surnommé affectueusement « Professeur » par ces camarades, était un puits de connaissances pour l’équipage.
-Les deux Bourrache étaient deux maillons indispensables à la joyeuse troupe. Toujours de bon conseil elles avaient déjà été utiles pour protéger la Toto.
-Marc était le plus sérieux du groupe. Les autres matelots s’étaient maintes fois essayé au jeu de : Je te tiens, tu me tiens par la barbichette… »
mais tous avaient du s’avouer vaincu jusqu’à présent. Jamais il ne rendait les armes.
Ah ça oui ! elle les aimait ces moussaillons, indisciplinés, braillards, soupe au lait, fatigants parfois mais si attachants !
Toute à ses pensées Charlie-Ossiane oublia l’heure du signal………..
Sous les ailes du monde
le ciel reste gris
liberté reconduite
J’ai oublié de rendre son bisou au moussaillon Lou. (clin d’oeil et sourire comme disent les deux Bourrache
et je ferme la parenthèse). Comment va la pharyngite de la Toto ? mieux j’espère
je me piouffe, rachel, la toto elle tousse, son mal de tête est passé, elle a un peu les joues rouges et les mains froides, mais cela va,
et le petit matelot sort de chez le docteur, il a une angine….
je me piaffe, rachel, merci, je serais jamais bien fort longtemps sérieuse, car je le suis tellement…sourire…
je te relis, ce soir, nath, sur la peur, et déjà….
La toto de moi
Elle eu peur ses parechocs
Si fort
En décembre
En se perdant un point
Puis en voyant se flasher
Deux autres totos
Car la toto de moi
Elle me rend LIBRE
De tant de temps liée
Alors
Ma toto c’est un bout de vie
Un joyau
Une sacrée toto
Que je m’éclate de vie
bises clins d oeil sourires et bougies et brumisateurs de bonnes odeurs..mmhhhh…
Allo, Rachel !
Te reçois 5/5
Etais partie en exploration
Fouiller dans mes rêves,
Noirs et Blancs, ou couleurs,
Toujours au bout des lèvres
Mais les souvenirs sont volatiles
Se forment et se déforment
Comme fumée évaporée…
Alors, suis toujours prête à partir,
Et comme disait quelqu’un
Que je connaissais bien :
« En ture pour de nouvelles aven-routes ! »
C’est ça aussi, la liberté !
Biseeeeeeeeeeeeeeees de la casse-cou de serviceeeeeeeeee !
Il n’y a je pense, aucune honte à avoir peur, et bien des raisons d’avoir peur bien souvent.
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J’ai peur, oui j’ai peur
Peur de la terre qui craque
Peur des monstres de la mer
Peur de la pluie qui claque
Peur de l’orage qui tue
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J’ai peur des hommes
De leur force, de leur faiblesse
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Aveugles ou innocents dans cette Comédie Humaine
Jetons les rôles, quittons les costumes
Levons les masques, levons le rideau
C’est une bien triste parodie
Où le mot LIBERTE a perdu des plumes
Peut-être bien ses ailes.
__
Un coucou à Annick !
Dis, c’est quand que tu nous présentes ta Toto ?
Une jolie photo !
De ta Toto
En liberté…
Quand tu la laches… au pré ???
Biseeeeeeeeeeeeeeees
Un coucou à Monique :
Allez, n’ai pas peur,
On est tous là !
Biseeeeeeeeeeeees
Photo des deux Bourraches prises à leur insu lors de leur dernière mission
http://fontainebleau.evous.fr/IMG/jpg/Muguette_et_Muguette.jpg
photo du dentiste découvrant l’unique dent du matelot Lou
http://imagesforum.doctissimo.fr/mesimages/4234711/dentiste.jpg
Christineeeeeeee à l’assaut du volcan « Amadeus »
http://crdp.ac-dijon.fr/local/cache-vignettes/L540xH694/gif_zorro-10833.png
Rachel c’est le printemps qui te donne des ailes?
Quant aux bourraches, j’ai dû louper un épisode du voyage sur ce navire..euh..y’a deux pseudo bourrache pour que vous parliez des bourraches, je’m perds en conjectures))
Photo de Thierry à bord du bâteau arborant fièrement son pull marin tricoté par les deux Bourrache
(Leïla tu as loupé un épisode. Il y a Bourrache DUPONT et Bourrache DUPOND) (sourire Leïla)
http://minivale.hostarea.org/marin4.JPG
Phil Alba affrontant Marc au jeu de la barbichette
http://www.cholet.maville.com/photos/2008/12/31/P907292D786617G_px_501__w_ouestfrance_.jpg
Enfin la dernière : une petite photo du capitaine
http://urgence-et-smur.wifeo.com/images/photographe.gif
Je me marre))))
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Toujours débordée, je vous fais un petit coucou global et vous remercie beaucoup 😉
Une note très riche et très variée !
Merci pour vos petits mots gentils, je sens que ce thème sur la liberté, la peur et ces images d’envol vous ont énivrés 😉 … et moi avec 😉 Plein de choses à faire passer à travers les mots et gros travail d’écriture de votre part.
Beaucoup de haïkus ont jailli de vos plumes ailées 😉 De très beaux poèmes aussi (super le dernier rêve, marc tu exploses ;-), de l’humour en va-nu-pieds et sur les toits d’église (je sais que tu es fan, christine ;-), les belles citations de nath, l’acrostiche de francis, et puis des chansons aussi.
Oh j’allais oublier aussi la chronique marine de madame rouletabille. Cette fois, j’y vois double avec les deux bourrache 😉 C’est vrai qu’il est sérieux marc 😉
Je confirme, je vous aime beaucoup en moussaillons inventifs, espiègles et sages de temps en temps 😉 De quel signal, tu parles rachel ?
Pas facile à photographier de façon harmonieuse ces touterelles qui s’envolaient de façon désordonnée.
>Alain, tu peins avec les mots comme nous tous alors, je crois que c’est la bonne méthode 😉
>neyde, c’est vrai qu’il y a un peu de vous dans ces trois photos 😉 Je suis touchée qu’il en soit ainsi, tu penses bien 😉
>un petit coucou à fauki, au sid, à hélène 😉
>un super coucou à aspe qui vibre dans la nue 😉
>Bienvenue à nicolas et merci pour son gentil clin d’œil plein d’humour à mon blog 😉
Ah oui au fait, jean a plongé dans l’aqarium de L’Oeil ici 😉
https://blog.ossiane.photo/2008/01/07/poisson/#comments
Et puis bien sûr un grand bang bang à tous les habitués attachants et génereux de cet espace plein de vie.
Je me gondole en découvrant les dernières photos de rachel;-)) C’est quoi ta recette de remise en forme ?
Merci à vous, je file dîner 😉
Ossiane
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ha ha ha ah hahah haha hhah ah ha !
Bravo pour tes liens Rachel !
ça faisait longtemps qu’on n’en avait vu une telle série !
biseeeeeeeees
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Nouveaux commentaires ici
https://blog.ossiane.photo/2009/03/31/photo-haiku-mars-2009/#comments
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Mille millions de mille sabords !
Cinq mille milliards de dollars
Injecté par ces lascars
Car il ne s’agit pas d’or
Mais de papier imprimé
Par des banquiers privées
Depuis que cette bande de pirates
A volé à l’état le droit de battre
La monnaie.
Et l’intérêt
De cette dette publique
Sera payé par nos impôts
Et grossira leurs capitaux
Que le grand frrric
Nous crrroque !
LIBRE I ERBIL
à quand un Kurdistan à part entière ?
Dis moi Rachel, avec qui ce dentiste est il de mèche, parce que ça décoiffe vraiment et c’est proprement effrayant comme vision ;)))
Ma recette de remise en forme capitaine ? Une bonne cure de sommeil de novembre à février et hop ! Les batteries sont rechargées pour la belle saison. (désolée pour vous hi hi hi).
Je crois qu ‘on appelle cela « ‘hibernation ».
Allez ! courage ! je replongerais dans le silence à l’automne (sourire avec toutes mes dents ou presque)
Un petit bonsoir à tout l’équipage et à son capitaine à bord, une lecture ce soir pleine de bonne humeur et de poésie, jolies citations, et belles réflexions, j’ai tout particulièrement aimé les mots d’Annick concernant la peur, Ce n’est pas évident de braver la peur. Merci Christine je me sens forcément en sécurité au milieu de vous tous, et heureusement car Rachel je t’assure que lorsque j’ai peur je me fais « minuscule ». Pardon Ossiane d’avoir confondu pigeons et tourterelles aveuglée que j’étais par la beauté de tes images, quant à Marc le rêveur je te souhaite de faire de beaux rêves aussi beaux que tes poèmes.
Pour me faire pardonner avant d’aller dormir, Les tourterelles d’Hugues Aufray
« Deux tourterelles se lamentaient et pleuraient
Sous la tonnelle, leur ritournelle me disait :
Nous étions belles près de la tour
Mais un jour
Une demoiselle coupa nos ailes pour toujours
Mmmh…
Une demoiselle coupa nos ailes pour toujours
Bel oiseau sage, tu es en cage pour la vie
De ton plumage c’en est fini
Douce amie
Les demoiselles sont bien souvent des enfants
Coupant les ailes aux tourterelles, aux amants
Mmmh…
Pleurez vos ailes, je pleure ma belle
Dans le vent »
et « Chante les enfants » d’Yves Duteil
« Toi qui fais les bêtes, fais-moi des ailes.
Les poules et les chouettes en ont bien, elles,
Et les tourterelles et les étourneaux
Et quelques poissons dans l’eau.
Suivre les étoiles au bout du ciel !
De plumes ou de toile, fais-moi des ailes
Comme aux tourterelles, comme aux goélands,
Et comme aux moulins à vent.
Les pieds me brûlent depuis bien longtemps,
Et la Terre, notre Terre, notre bonne vieille Terre
A fini de m’étonner vraiment.
Il me faut de l’air, de l’air et du vent.
Toi qui fais les bêtes, les hirondelles,
Et les alouettes, fais-moi des ailes,
Comme aux tourterelles, comme aux goélands,
Et comme aux tapis volants.
Suivre les nuages, les arcs-en-ciel,
Et les oies sauvages ! Fais-moi des ailes,
Comme aux tourterelles, comme aux goélands,
Et comme à mon cerf-volant.
Voir le soleil d’un peu plus près qu’avant,
Et la Terre, notre Terre, notre bonne vieille Terre
Avec ses mers et ses océans !
Il me faut de l’air, de l’air et du vent.
Toi qui fais les bêtes, fais-moi des ailes.
Les poules et les chouettes en ont bien, elles,
Et les tourterelles et les étourneaux
Et quelques poissons dans l’eau.
Toi qui fais les bêtes, fais-moi des ailes.
Les poules et les chouettes en ont bien, elles,
Et les tourterelles et les étourneaux
Et quelques poissons dans l’eau. »
Bonne nuit à tous
Bonjour Ossiane,
J’ai découvert hier ton merveilleux site et je n’en reviens toujours pas… Mais où trouves-tu toute cette inspiration? Tu as vraiment un don. Merci de partager avec nous ces photos magnifiques et ta poésie.
Je suis aussi étonnée par le talent des gens qui écrivent sur ce blog…
Je partage donc avec vous un petit poème de mon cru :
Dans mes yeux l’éclat de tes yeux
Doux frissons aux parfums d’infini
Je prends mon envol
Dans ce ciel captif
Sur cette ligne brisée
Qui jalonne chaque pli de ma peau
Julie
Hier soir j ai éteint mon ordi, puis je me suis relevée péniblement pour le rallumer et vous dire bonsoir, et je me suis endormie sous l’effet de la maladie qui couette et prend les forces, avant de mettre mon bonsoir, alors,
je vous dis bonjour, bonjour Monique.
Prends soin de toi Annick. Bisou
Rachel, à la vue de ce dentiste même un loup prendrait ses pattes à son cou 🙂
Allez bisou. Tu m’as fait bien rire !
Soigne toi bien Annick et reviens nous en pleine forme, chase au loin ces microbes envahissants bouffeurs de liberté. Bisous et bon rétablissement.
Pour sourire :
Coup de fusil
Par millier
Les oiseaux s’enfuient
Pour rêver :
Artiste habille
Le soleil dessine
En encre de chine
Des âmes qui filent
Pascal
merci à vous, monique, lou…
Et pour la story encore de l’ancienne toto, un avis de contravention, un excès de vitesse entre vannes et nantes, le 29 mars quand elle est vendue depuis début mars,
quel tchoc encore,
avant de lire la dâte…
Ohlala, cette toto d’avant qui se nomme évasion et ses cabrioles…
la petite grise d’Aujourd’hui, est plus tranquille, et lente..quoique?! sourire….
BEL APRES MIDI à vous, cela va un peu mieux, le sirop hier soir m’a endormie si vite, la toux et moi avec…
grise mine
ombre minérale
à l’air libre
une voltige
merci nath, pour la seconde série de citations,
je les comprends….
par contre, pour celle ci: « On a peur seulement quand on n’est pas d’accord avec soi-même. »
j y mettrai un bémol…
‘ on peut avoir peur quand on n est pas d accord avec soi même, et parfois aussi on peut avoir peur devant l’autre qui peut nous écraser bien trop, en paroles, en actes, et quand on sait que l autre peut monter plus fort en tons, en actes rudes, on se tait pour alléger l’air, rester vivant, ne pas se battre, et puis un jour, on s’extrait car on peut le faire, on a retrouvé des forces, on voit bien que le temps appuie nos pensées, on n a plus peur, on sait tellement qu on est innocent et que c’est l’autre le coupable, on part ».
Partir, sans attache ni bagage
Voler, jusqu’aux limites du temps
Battre des ailes, sans fatigue ni limite
Voir, cimes et vallons, rivière et sable d’or
Survoler, merveilles et sérénité
Accoster, mats et bastingages
Choisir, pour une halte,statue ou clocher
Picorer, grain de folie et chimère
M’endormir, prés de toi, ma tête sous ton aile
Souvenir d’un titre de film « vivre libre » Espagne des années 70, movida et post franquisme , banditisme et argent facile.
Si le travail n’est pas que libérateur et émancipateur et celà sans reprendre la maxime d’Auschwitz il peut, quand on en a, procurer quelques moyens de se sentir plus libre par ailleurs, matérialement , de faire des choses pour lesquelles on est fait, des activités auxquelles on aspire et c’est bien dans l’accomplissement et pas dans le rêve que peuvent se réaliser ces instants de liberté et de communion intime avec ses apsirations.
« Penser sa vie et vivre sa pensée », comme dit Onfray me semble aussi un beau fil directeur car tout se passe dans la tête, enfin presque, parce que le corps aussi donne de la liberté une autre approche et sans paraître réducteur, c’est bien quand les facultés viennent à manquer par attrition naturelle que le souvenir de ces libertés de mouvement et manoeuvre prend une soudaine inflexion en retour.
Bon disons que c’est bien embrumé comme le Lauraguais qui se dégage à peine de son voile.
Espagne 2009 : 3,5 millions de chomeurs.
L’étymologie du mot travail vient de tripalium un instrument de torture.
Soit un rapport de réalisation, d’épanouissement : les artistes, cadres, …
Soit un rapport instrumental, pour de l’argent, ouvriers à la chaine …
Le monétarisme, sous toutes ses formes (capitalisme, fascisme, communisme ou autre), a trois principes qui le guident et qui sont le travail, l’argent et la dette. À travers ses mécanismes de compétition pour une somme d’argent limitée, la base de toute chose est de maximiser les profits. Plus un produit ou service est rare, plus le potentiel à faire du profit est élevé. Avec le concept de profit vient le besoin de promouvoir ses biens et services comme étant meilleurs que les autres. Ceci est aussi connu sous le nom de marketing ou publicité. La publicité est, en fait, l’habitude de perpétuer et répandre la désinformation. Par conséquent, l’abondance, l’efficacité et l’information sont les ennemis du système monétaire. Dans ce système, l’abus des ressources de la Terre, la guerre, la pauvreté et tout comportement aberrant sont inévitables.
http://revolution-monetaire.blogspot.com/2009/01/plaidoyer-pour-une-rvolution-montaire.html
http://www.voltairenet.org/article157210.html#article157210
Il fait gris en Bretagne, mes pensées s’envole vers le Caroux, une montagne de lumière…
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Merci encore aux derniers visiteurs qui sont venus remplir cette page en toute liberté, beauté et même indignation, n’est-ce pas jean;-)
Couvre-toi bien annick!
Julie, merci pour ta venue et ton message enthousiaste.
Bises
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Juste un retour sur le travail et certaines de ses conséquences les plus terribles
avec une actualité sur l’oubli de jeunes enfants en voiture, pas une condamnation des personnes, juste une interrogation sur un système déshumanisé au point de…
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« Travail oui, esclavage non ! »
Le travail est une grande valeur fondatrice dont on ne dira jamais assez les corollaires d’engagement, d’accomplissement et aussi à l’occasion de solidarité.
Le travail est rare, les chômeurs se multiplient et pourtant il est payé parfois avec un lance- pierre faute de l’avoir mieux organisé et d’avoir formé les personnels en leur donnant des outils pour devenir plus efficients mais aussi pour évoluer, ce qui est logique dans une perspective de progrès continu.
Pourtant on constate que le machinisme a dopé le productivisme et la croissance mais que cela ne s’est pas forcément fait à l’avantage de l’homme de base dont la peine, le labeur et la sueur ne sont pas épargnés.
Car certaines taches et opérations se font encore et toujours manuellement, car qualifié ou pas l’homme est encore trop souvent la plus belle et la meilleur des machines à qui on peut confier tant de responsabilités et de pression aussi.
Les journaliers comme les petites mains étaient payés à la tâche et aux pièces (ce qui faisait dire à certains dans un renversement de perspective et pour montrer leur non aliénation « on n’est pas aux pièces »).
Le travail est par nature inégal dans son intensité physique ou mentale, les aptitudes physiques, intellectuelles ou morales qu’il requiert, les contraintes qu’il fait peser sur les hommes et les femmes.
Une seule certitude tous, saufs les rentiers, y sont assujettis pour gagner leur pain quotidien et un peu plus pour certains.
Quel est donc ce travail qui envahit et obscurcit tous les esprits dans une obsession terrible, au point d’obnubiler des parents chargés d’enfant ?
Dans l’actualité récente et fréquente il est symptomatique de penser à ces démarches automatiques qui s’enclenchent et sur ces préoccupations qui prennent le pas au point d’oublier de pauvres rejetons dans des habitacles même pas sur le thème de la course aux jetons de présence, mais sur le caractère impératif de cette activité dévorante qui pourrait au temps faire le même sort que Chronos.
Il est affligeant de penser qu’alors que notre bien le plus précieux et surtout le symbole d’un espoir pour le monde de demain, bref notre progéniture, soit maintenant donnée en pâture à ce capital qui nous casse les reins et fourbis contre nous, fourbus, une loi d’airain.
Mais quand en plus l’aliénation devient telle qu’en plus on oublie le plus important au bénéfice d’un outil certes alimentaire mais que le plus élémentaire n’est plus respecté, c’est vraiment un tournant et l’enfantement de maux terribles qu’il est difficile de qualifier, même pénalement.
Pas ravisseur mais un raviseur, comment aviser les parents de se raviser et de n’en rien faire, sans penser tant et plus à ces chers petits, il faut donner une place équilibré à chacun dans une vie qui sinon ne pourra plus s’écouler calmement du tout, déjà que chacun court en quête du temps perdu, déjà que chacun, à la gagner, sa vie s’ingénie parfois à la perdre un peu plus dans ces constats terribles et stériles à la fois.
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