RÊVE

Rêve

Rêve

Rêve

Rêve

Rêve

Avec des si …
des gouttes dans les cheveux

bulle de lumière

En écho amical et poétique à pierre b;-) … quelques rêves éveillés en fantaisie … toutes générations confondues, des coeurs qui vibrent à l’unisson dans l’engagement collectif … émotion citoyenne et photographique au milieu de la foule battant le pavé pour un avenir meilleur … [ la parenthèse « Résistance » se referme momentanément ] … merci de votre attention;-)

97 réflexions sur « RÊVE »

  1. Rêver un impossible rêve…
    Atteindre l’innaccessible étoile…
    Ainsi chantait le poète pour donner
    un peu de voix à un vieux fou…

    J’aime cette lumière d’étoile, Ossiane

  2. juste regarder
    et plus
    si affinité

    entre les épaules
    de ceux qui me précèdent

    dans mon objectif
    un peu en contre-plongée
    je mesure 1m,65
    il y a la lumière
    le chignon d’une femme
    à la nuque gracile
    les perruques festives
    le rêve général
    l’eau à bulles
    le clocher d’une église
    et un ballon jaune

    et puis
    les voix qui montent
    de chaque côté de la rue
    d’une rue sans voiture
    le bruit des pas
    le soleil
    le vent
    qui porte les slogans
    un brouhaha
    l’ivresse d’être ensemble
    de faire quelque chose
    avec ses pieds
    chercher quelqu’un
    qu’on pourrait connaître
    être porté

    s’inscrire dans une foule
    se dire
    que si l’action ne court pas au plaisir
    le plaisir accompagne l’action

  3. Avec des si…et un bémol
    mouiller la chemise, pas en vain
    cette bulle, après une autre, va t elle se percer

    et nous inonder ou bien nous aveugler

    faut il envisager la radicalisation, le raidissement, une course aux extrémes
    faut il attendre et encore souffrir pour certains
    faut il espérer plus qu’un geste

    c’est un rapport de force,
    une espéce de bras de fer,
    affaire de détermination
    pas seulement de passage à l’action

    des forces obscures nous traversent
    des agitateurs s’ébrouent
    la mayonnaise monte

    entre peur et le « plus rien à perdre »
    entre dégoût et le « ça ne peut pas durer »
    entre colère pour ce côté inéluctable
    et le fatalisme « c’est la crise »

    beaucoup de tentations de faire de ce printemps
    pas un anniversaire…encore que
    après baden baden…il y eut colombey

    tant de promesses éhontées… et si tôt oubliées
    un climat de confiance… tellement entamée
    une tournure où les perspectives se voilent
    on nous dit que par gros temps
    il faut réduire la toile

  4. Adieu noir et gris
    Les couleurs nous attendent
    Espoir de soleil

    Entre (g)rève et printemps…. Bises printanières et ensoleillées. Même si pour moi, c’est l’automne aujourd’hui ;o)

  5. Hello !

    « Avec des si…. »
    « On mettrait Paris en bouteille ! »

    Ossiane en reporter photographe
    Voilà qui te va comme un gant !
    Ton œil ouvert qui se balade
    A travers la foule,
    Qui capte des images…
    Très colorées…
    Le printemps
    Fait sortir les gens !

    Quant à moi, tu l’auras deviné…
    Je n’aime pas trop la foule…
    Qui peut devenir incontrôlable

    C’est mon côté sauvage…
    Mais bon !

    Biseeeeeeeeeees de la sauvageeeeeeeee !

  6. Agoraphobe ou pas, une fois, j’ai eu peur d’être noyé dans une foule, à Barcelone, sortant d’un « nou camp » bondé pour un match de championnat.
    Je me disais qu’on pouvait facilement être écrasé par un mouvement incontrolé dans ces longues et interminables coursives qui n’en finissaient pas de vomir cette marée humaine au reflux puissant dans la nuit; atavisme ou souvenirs de petit enfant, le côté insécure remontait en force avec cette sensation d’étouffement palpable qui ne se libéra finalement qu’une fois dans la rue, libre de mes mouvements et plus pris au piége, drôle de sensation!

  7. spectateurs vêtus de noir
    sourire aux lèvres

    foule en liesse
    multicolore
    pour les mêmes idées
    age mur et jeunesse

    le rêve en marche

  8. Dans le réel des mots scandés par les rues lasses
    Les rêves sont au chômage « déprimisme » en vers lents
    Des ballons en soleil se réinventent et passent
    Illusions et mirages se tiennent en circulant
    Et les perruques s’arrosent contre l’anesthésie
    En quête de poésie leur beau rose insolent
    rencontre dans les images l’artifice et la grâce
    la « toison moutonnant » d’un Baudelaire errant

  9. Baudelaire et Flaubert eurent en leur temps des procés pour propos inconvenants, la censure sous « napoléon le petit » s’exerçait à loisir.
    Baudelaire et son « gueuloir » justement qui réclamait toujours plus de liberté
    de parole tandis qu’Hugo à Guernesey de diatribes en diatribes voguait.

  10. Dans la foule

    Les voilà qui se pressent comme courant vers leur mort
    Collés les uns aux autres semblables à des chandelles
    A la pointe brunie brûlée dans une chapelle.

    Leur teint est blanc ou gris pollué par l’effort
    D’une journée identique à celle de la veille
    A l’usine à conduire, surveiller des machines
    Au bureau, à l’écran, rigueur et discipline
    Des gestes qu’ils répètent, certainement la routine,
    Qu’il fasse chaud, qu’il pleuvine.

    Qui porte comme un fardeau, sa sacoche sur l’épaule?
    Qui pose sur sa tempe ses doigts comme une visière?
    Epuisé mais heureux de rentrer, il est tard.

    La foule ne parle plus, marche au pas en silence
    La voix seule des enfants brise par son innocence
    L’indifférence des hommes aux heures d’affluence
    Les rames de métro pleines, sont bondées à outrance.

    S’introduire dans la foule et tenter l’impossible
    Y reconnaître à son sourire un frère de coeur solitaire
    Côte à côte s’en aller parler de choses et d’autres
    Sans même se connaître, s’offrir un verre de bière
    Ou même rentrer dans une église y semer une prière

    Ils parleront chez eux selon toute vraisemblance
    Heureux celui dont la compagne ne râle ni ne relance
    Pour un siphon bouché, un robinet qui fuit.

    La foule est monotone, à la ville à la guerre
    Elle se veut légère, rassurante pour qui erre
    Mais ne fait ni ne considère
    Les êtres comme des frères.

    La foule c’est soi vu d’une oeillère.
    Une poudrière?
    Une chimère?
    Qu’est-ce que tu préfères?

  11. Splendides occurences d’expérimenter le fait que l’humanité, ce n’est pas les hommes, c’est ce qu’il y a entre les hommes.

  12. Thierry, j’ai quitté la foule, aussi, l’Oeil ouvert, je peux raconter l’univers,comme un chant du monde.
    Et,lire dans les coeurs.)…..  » le rêve manifesté « ….ou…..  » la manifestation du rêve « …..Ossiane, tu es un ange))))))) sur le fil ténu de  » mes/nos  » écritures.

  13. Avec des Si , ( do , ré )
    Refaire le monde en musique
    (c’est bien connu , elle adoucit les moeurs )
    Mais se donner la main, être ensemble
    même si cela semble si simple sur l’oeil Ouvert
    l’est moins dans la réalité , ne soyons pas angéliques

    >Ossiane , beau geste que le tien , il serait bon de (re) penser le monde AUTREMENT , moins de fric et davantage de VALEUR humaine , tout est là , j’en suis persuadée et la route est encore longue.

    Bon week end

  14. Oui Jeandler sans aucun doute une confusion, il importe d’être précis dans les citations, sinon c’est la citation à comparaître au tribunal…des flagrants délires
    Ce mot de gueuloir m’est revenu en pensant à une contraction de gueule et de défouloir, moins d’isoloir car la foule ne rassemble pas forcément. Je me suis toujours méfier des mouvements de masse, je fuis donc les stades mais les images de Nuremberg me poursuivent.

  15. Rêve
    Rêve mon amour
    Rêve
    Quitte ton habit noir
    Et ose ton nu en couleurs
    Il approche ce jour
    Ce bel jour de serrailles
    C’est quand tu veux
    Dis moi
    Que je me vive mon rêve

  16. Annick, je me suspends à ton fil…attention c’est parti!

    Rêve
    Rêve mon amour
    Rêve
    Quitte ton habit bleu
    Et ose ta vue en fleurs
    Il reviendra ce jour
    Ce bel jour d’épousailles
    C’est quand tu peux
    Dis moi
    Que le rêve général
    Ne soit plus astragale pour ruminant au pré))

  17. Ose ton nu en couleur…..

    Je m’habillerais de fleurs
    et d’un peu d’arc en ciel
    en oubliant mes peurs
    je serais jouvencelle

    retirons nos manteaux
    gambadons sans façon
    j’enlèverais mon haut
    et toi……. ton caleçon

    oh oui soyons bien fous
    en riant de bon cœur
    nous ferons des jaloux
    nos corps seront en sueurs

    Nous courrons dans les champ
    Dans ce simple appareil
    Tu seras mon adam
    Et moi ta pinprenelle

    Rachel ! réveillez vous voyons ! et arrêtez de sourire niaisement

  18. Bonsoir

    Encore un mot merveilleux REVE, comme VERitE…

    Je redépose ce texte (utopique …) ici, car je trouve qu’il a plus lieu d’être (que dans aventure).
    J’aimerais écrire sur cette note, mais peu de temps ce jour, et un peu trop débordée d’émotions …J’essaierai plus tard, m^me si c’est en « retard ».

    J’ai rêvé d’un autre monde

    Maintenant que je suis là, près de toi, devant toi, je veux te dire
    « Regarde-moi, écoute-moi. Tu sais, non tu ne sais pas. J’ai simplement envie de te dire un rêve.
    J’ai rêvé d’un autre monde …J’ai rêvé d’un monde où l’on ferait un métier et une action plus citoyenne, quatre jours pour l’entreprise et un autre pour construire autrement.
    Je m’explique. Souvent, les salariés ont une profession et sont absorbés par l’institutionnel. C’est seulement difficile d’être soi…
    Souvent, les gens sont happés par un système et sont mal à l’aise.
    Souvent, ils ont simplement besoin d’une respiration.
    J’ai rêvé que cette respiration, ils pouvaient la chercher, la construire, la proposer.
    J’ai rêvé d’un autre espace où toi, par exemple, gardien de prison, tu quitterais la prison pour lire des livres à des enfants, pour parler à des vieillards.
    J’ai rêvé d’un monde où les PDG d’entreprises cuisineraient avec d’autres pour une entreprise d’insertion.
    J’ai rêvé d’un monde où des hauts politiques prendraient le métro pour participer à des cours de français pour personnes migrantes, où chants et danses se côtoieraient.
    J’ai rêvé d’une ANPE qui proposerait aussi des dîners festifs pour les chercheurs d’emploi, après une thématique centrée sur l’emploi.
    J’ai rêvé de plein de choses encore, d’un monde au service des gens et non plus au service de chiffres.
    J’ai rêvé d’un monde AUTREMENT.
    Alors je t’offre ces trois mots : PARTAGE, LIENS, LIBERTE

  19. La politique ne ferait plus rêver
    on voudrait réenchanter le quotidien
    avec des si…liberté conditionnelle
    pourtant les contraintes pésent tant
    le rêve c’est l’évasion juste pour un temps
    plus de pesanteur, pas de contradiction
    ça ne tient pourtant pas que de la fiction
    après le rêve vient le réveil
    à moins de rester entre veille et sommeil
    préférer à l’onirisme le sophronique
    et mettre en phase corps et esprit
    mais le rêve c’est oser toutes les audaces
    pour entrevoir un sourire des plus fugaces
    quitter ses vieux oripaux et changer de peau

  20. .

    Bonsoir à tous;-)

    Contente et émue de vous voir venir rêver ici sous toutes ses formes;-) Toute ce que vous avez écrit est si joli et sensible. Bravo à tous !

    J’ai volontairement fait cette note ambigüe et ouverte pour que vous puissiez explorer toutes les pistes d’un rêve général et de ces « si… » 😉
    A vous de faire émerger votre rêve de ces images.

    Pour ma part, j’y ai vu des éclaboussures (il y avait des jets d’eau) , la joie d’être ensemble, la fantaisie, l’audace, l’humour, l’arrivée d’un printemps lumineux, l’espoir et un peu de musique aussi (n’est-ce pas hélène;-)

    J’ai vu plein de jolis symboles au milieu de tous ces gens et bien sûr plein d’éclats de poésie inattendue.

    Petit coucou à Andrée, francis et Annie-claude 😉

    Rachel, ton texte m’a fait beaucoup rire mais pas niaisement du tout 😉

    Et nath qui aime mélanger les lettres pour créer du sens;-)

    Christineeee, toi sauvageeeeeeeeee, je n’aurais pas cru;-) Je ne suis pas très foule non plus surtout quand il faut faire ses courses;-) Je sais qu’il y a eu quelques petits accrochages. Mais là, je t’assure que c’était très bon enfant et paisible. Pas l’ombre d’une échauffourée, juste quelques slogans scandés de ci de là, sans haine. Et si on sent le dérapage, il est toujours temps de s’éclipser vite fait bien fait dans une rue adjacente.

    Bon appétit à tous !
    Continuez à papoter entre amis;-)

    Ossiane

    .

  21. Bonsoir !

    REVE…

     » La fin du monde :
    Dieu se retourne et dit :
    « j’ai fait un rêve »…

    A méditer…

    C’est un prof de français qui nous avait donné à réfléchir sur cet étrange rêve. J’avais réussi à écrire 2 copies doubles, très fière de moi ( !)… J’ai jeté tous les brouillons, rendu ma copie… en temps et en heure…
    Le prof ne l’a jamais corrigé… ni rendu…
    J’ai été très déçue… pour une fois que j’avais des idées !

    Allez Ossiane,
    Biseeeeeeeeeeeeeees de la pas si…. sauvageeeeee que ça !

  22. Très loin de la foule
    Face à la mer, jai rêvé
    Assez pour y croire

    Le soleil à l’horizon
    Renaît bien chaque matin

  23. nous nous tenons chaud,
    nous rions même un peu,
    mais des visages tendus,
    des rictus,
    des marches usées
    parlent de leur vies gachées,
    des espoirs bouchés,
    et ici, autour,
    des cités où le rêve
    n’ose pas fleurir

  24. J’ai encore rêvé d’elle, la cherchant dans la foule au moindre pas
    j’ai rêvé que je mettais mes pas dans le siens justement
    admirais sa nuque et son beau chignon
    mais cette reconstruction est un peu vaine
    même si dans un passé lointain elle a été ma reine
    je vis sur des souvenirs, des émois, des odeurs,
    empruntant un drôle de chemin
    alors un jour, le hasard, le destin,
    nous remettrons ils en présence
    Je ne sais, je ne sais où je vais ni pourquoi
    entre vague espoir de retrouver une trace
    et désir de me perdre bel et bien en faisant du sur place
    tous mes rêves et mes chateaux en Espagne
    se sont fracassés et bien trop mélangés
    oh pas une fricassé de vie
    mais à force d’espérer j’ai fini par rêver éveillé
    pourtant il est des jours ou je me pince
    tandis que dans la foule l’oeil se rince
    jamais rassassié de cette sempiternelle quête
    qui rejette au loin la conquête
    une vie en forme d’impasse
    où avec effraction on crochette des serrures
    tenant dans sa main un passe
    qui ne fait que raviver quelque vieille blessure
    a quoi sert de rêver si on est désenchanté
    comment s’extraire de douces pensées
    qui ne correspondent plus à la réalité
    et ce condensé instantané du réveil
    qui fait passer du rêve à la veille
    d’un coup d’un seul quittant mon linceul
    pour retrouver cette solitude familiére
    et au dehors ce bruit de fourmilliére

  25. Rêveolution

    Dans les rêves des images
    Des situations de passage
    Sensations qui bougent
    Immobile voyage
    Ou l’autre a cent visages
    Qui se fondent et changent
    Indéfinis et troubles
    Parfois il te ressemble
    Alors en voyageur des rêves
    J’arrête le songe mobile
    De l’inutile espace futile
    Et contrôle un moment
    Nocturne et lumineux
    Je prolonge l’instant
    Du regard de tes yeux
    Des trésors de ton corps
    Pas de mots dans les songes
    Les mots sont des mensonges
    Je dors et j’aime encore.

  26. Rêvevolution après l’involution et la descente au fond de soi même, l’infusion lente des idées, la manifestation des idéaux, voici la transition douce vers cet ailleurs appelé mais qui tarde à se matérialiser, préfiguré, ébauché,entre-aperçu
    le futur n’est pas encore écrit, rien n’est évident ni automatique, des initiatives et engagements dépendront en partie la physionomie des événements. Désirs et réalités font parfois mauvais ménage et laissent la tête écartelée.

  27. Ce n’était pas un jour de carnaval
    La comédie ne se joue pas dans la rue
    Ne nous y trompons pas
    Et sur la scène la pièce promise
    N’est pas celle qu’on attend
    Alors la rue devient la scène
    De ceux qui ont à dire
    De ceux qui veulent se faire entendre
    Qui ont droit à la parole
    Pour changer le scénario
    La vie n’est pas un rêve
    Il faut faire la part des choses
    Le soleil ne doit pas rester
    Au dessus de nos têtes
    Mais entrer dans nos cœurs
    La vie ne sera jamais
    Un roman à l’eau de rose
    Mais faisons qu’elle ne devienne pas un enfer.

  28. « La souffrance enfante les songes
    Comme une ruche les abeilles
    L’homme crie où son fer le ronge
    Et sa plaie engendre un soleil
    Plus beau que les anciens mensonges »

    Jean Ferrat extrait Les Poètes

  29. “La souffrance enfante les songes
    Comme une ruche les abeilles
    L’homme crie où son fer le ronge
    Et sa plaie engendre un soleil
    Plus beau que les anciens mensonges”

    Jean Ferrat extrait Les Poètes

    La souffrance enfante le vent
    Des rêves pour cueillir le temps
    Et le Regard à dévoiler
    Face à l’immensité salée.

    La souffrance enfante l’encre bleu
    Que l’enfant caresse ma tempe
    Mon rêve y est inscrit au fer.

    La souffrance enfante surtout LA VIE
    Si le fer vous ronge…écrivez
    Qu’est-ce qu’un sourire offert gratuit?
    Qu’est-ce la main tendue à mon frère
    Plus chien que le chien qui le suit?
    Sur le pavé la foule est morte
    Et l’homme assis enterre son cœur
    En lie de vin, gouttes de piquette.

    Vis, vis, vis toi, inconnu(e)
    Le cri de la foule n’est pas rêve
    Debout soldat, le rêve s’achève
    L’étal du marchand se devine
    Tiens! voilà le banquier ruiné!
    Tiens voilà le voisin aimant
    Il frappe à la porte des mensonges
    Pour y sortir tous les démons.

    Rêve général
    Grêve générale
    Le poète fait tourner le Monde
    La bombe en ballons dans le ciel
    Dessous l’enfant n’est pas brûlé
    Il court pour cueillir des étoiles
    Dans chaque rayon de l’arc-en-ciel.

    …je n’ai plus d’idées et le réel toque à ma porte, faut que j’y retourne)

  30. – Faisons un rêve mon bel ami
    – Rêver est une affaire de femme !
    – Et pourquoi donc cette ineptie ?
    – Voyons ! n’en faites pas un drame !

    – Rêver n’est donc point affaire d’homme?
    – Le rêve pour moi est inutile
    – Seriez- vous donc bête de somme ?
    – Je n’aime pas les choses futiles

    – Voyons monsieur soyez sérieux !
    – Rêver ma chère est enfantin
    – mais je me pouffe ! de mieux en mieux !
    – Et je ne suis plus un gamin

    – Vous avez une bien jolie tête
    – Ma mie je vous suis tout dévoué
    – dommage que vous soyez si bête
    – Vraiment madame, vous vous moquez

    – Mais non monsieur c’est un constat. Vous ne faites plus rêver car vous êtes trop âne baté

  31. Hello !

    Un REVE EVEILLE…

    Il avait réussi
    A s’échapper
    Hors de la foule
    Loin du bruit..
    Porté par ses rêves
    Evadé,
    Dans un monde
    Etrange
    De formes,
    De couleurs,
    Laissant libre cours
    A son imagination

    Laissez-vous porter aussi…
    En ce jour de printemps,
    Chantent les couleurs !

    ________

    http://www.dailymotion.com/video/x2p37i_dreams-reve-de-van-gogh-par-kurosaw_creation
    ________

    Biseeeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeeeeeeeeee

    PS/ Et ça fait au moins 10 fois que je le repasse… en boucle !

  32. L’espoir
    Tends-moi la main
    Mon ami
    On nous appelle Juif et Palestinien
    Mais sur la terre de tous les saints
    Toi et moi sommes Galiléens
    Nos arbres portent la même sève
    Et du même mal sont atteints
    Nos ciels souffrent du sang des glaives
    Ce morne gris voile nos destins
    Pour nos histoires communes je rêve
    Que nos maux , ceux des ancêtres s’achèvent.

    Rêvons tous deux l’instant d’une trêve
    A d’ensoleillés lendemains
    Toi mon frère
    Suis-je destiné à te haïr sans te connaître?
    Choisiras-tu toujours de me faire disparaître?

    Regarde la Lune
    Ma rêverie l’allume
    Heureuse d’oublier nos rancunes
    La Lune
    Chacune de nos colères l’écume
    S’éteint, s’allume
    Rancunes à la Une

    Et je parfume nos malheurs
    A la place des pierres offre-moi des couleurs
    Je remplacerai les armes par du bonheur

    Changeons tous deux la douleur de nos mères
    En un coloré jardin de fleurs
    Pour les larmes de nos mères
    Arrêtons la colère
    Pour nos pères
    Pour nos mères
    Pour l’enfant.

    http://pagesperso-orange.fr/Leila/Musiques/Tends-moilamain.mp3

  33. Avec Leila,ce qui est écrit résonne chez moi avec force Souvent je desespére mais
    il nous faudra bien un jour que l’on se dise « nous sommes tous égaux ,tous des Humains tout simplement.  »
    Vous me redonnez courage Bravo à vous et amitiée.

  34. le rêve nourrit la réalité
    la réalité enfante le rêve
    qui du rêve ou de la réalité
    apparut en premier

    merci christine pour la vidéo
    superbe…

  35. Merci leila, et noisette,
    et je te cite noisette, car j’aime: “nous sommes tous égaux ,tous des Humains tout simplement. ”

    tout simplement de simplement nous sommes chacun un simple humain de sang, de chair, de coeur et d’âme…

    Merci Marc,
    et aussi Christine, elle interpelle cette vidéo, et quand j’aime, souvent, je muettise…BISES.

  36. Pour te porter au dela du réve je ne vais pas te couper la main ,mais te la prendre pour t’ emmener faire un tour Rien de mieux sur notre planéte que d’ apprendre d’ abord a nous connaitre ,cela évitera de nous étriper sans savoir pourquoi .Puis je te dirais un peu de moi et chemin faisant tuverra nous aurons tellement de choses à nous dire .Tu ne me crois pas l’ ami?
    Bonne fin d’ aprés midiet bonne semaine

  37. Virage à 180 degrés , je rejoins un peu l’avis de Pierre b sur la note précédente, mais je m’associe pour la liberté de s’exprimer , au soutient de toutes les libertés…

    La liberté de vivre , de créer , sans tabous et préjugés, liberté de la création, liberté de nous laisser vivre …;-)

    Mais je lis que tu reviens déjà aux sources, laisse ton cœur parler Ossiane !!!

    Je t’embrasse

  38. Et je vous relis, leila et rachel, vos mots d’hier,
    qui suivent mon
    rêve
    rêve mon amour
    rêve
    et vis le toi
    ton rêve
    de bel vrai
    plus bel
    que ton rêve
    temps ses douces serrailles
    j’attends ce temps

    j ai eu un sursaut en lisant,
    coupe cette main tendue, dubois aymé
    et je lis noisette,
    pourquoi donner sa main à couper…

    bruno, j aime bien tes mots,
    moi aussi j aime le tendre en douceurs,
    et parfois la vie décide un autre sens,
    l essentiel c’est de jamais oublier,
    de se raccrocher à son fil des tendres,
    car se vivre le doudoux fait du bien!

  39. Mais ce précis murmure , suffit-il de le tendre comme un archer sa corde
    qui attend que l’ennemi est sifflé
    à portée de voix
    répétant au fil de ce vent là
    si non mais pourquoi pas
    sinon quoi ?

  40. « Car se vivre le doudou fait du bien ».

    Décidément Annick tu es vraiment la plus forte. Chapeau bas ! j’aurais jamais été capable de la trouver celle là.
    Enorme sourire.

  41. Annick plutôt que de me demander pourquoi j’ai écrit cette phrase tu devrais te demander pourquoi tu as eu un sursaut? Moi aussi j’aime bien la douceur mais ce serait suspect si il n’y avait que douceur tu ne crois pas?

  42. et je me pouffe de me relire, rachel, merci…

    duboisaymé, je suis désolée, j’ai sursauté car quand je lis, je vis, alors, j’ai vu l’image de la main qui est coupée…
    c’est si vrai que c’est bon la douceur, et pourquoi ce serait suspect que la douceur??!!!et pourtant c’est vrai la vie apporte des duretés,
    MAIS C’est juste la douceur qui me vit, la dureté me fait sursauter, sauter, j’ai peur….peut être car je n ai pas vécu de peurs en enfance, car un climat paisible autour de moi…

    Et je te relis, duboisaymé:
    si tu m’aimes un peu
    porte moi au delà du rêve
    coupe cette main tendue

    alors peut être j’y comprends rien, car je ne sais pas lire l’oeil ouvert,
    excusez moi duboisaymé, parfois mon cerveau suit pas, le pédalage ici…
    par vos écrits et d’autres,
    mais je trouve superbe aussi de laisser le voile à l auteur et de pas chercher à tout comprendre, lui laisser son intimité d’être…

  43. Comme mon oeil qui me semble ouvert tente de lire bourrache et duboisaymée dans calligramme, après les deux comments de cet aprem.. c’est bizare, je ne vois rien!

    bizare mon oeil
    je fais avec
    depuis que je suis née
    et parfois il m’agace
    de pas voir assez
    de tellement
    mais bon est limité
    mon oeil de moi
    juste doudou
    (clin d oeil rachel )

  44. T’inquiète pas Annick, c’est juste la modération !Scuse Ossiane j’avais sorti ma Kalachnikov mea culpa c’était le cri du coeur)
    T’es très mimi Annick « Mon oeil de moi juste doudou », t’es un cerf-volant à tendresse.Mes petiots dorment et je suis heureuse de leur tendre univers.

    Ca comme caresse, li comme liberté, gramme comme le mot. Poids de plume et mon tout calligramme de bulles, de lumière de rêve de sourire de bonheur et de respiration contre l’aimé.Bonne nuit à tous.

  45. Je t’aime
    Une nuit, juste pour elle et moi
    Et demain, enfin je vais me réveiller
    Je t’attendais, regarde-moi
    À ses côtés, c’est sûr je vais la retrouver
    Ouvre tes bras
    Donnez-moi un soir
    Je suis à toi
    Laissez-moi y croire

    Une vie juste pour toi et moi
    Et demain matin, tu seras là…

    merci sabine, les mots de il était une fois que je cite, si jolis…

    BISES leila duboisaymé,
    on fait comme on peut hein?
    j’avais sorti aussi ma Kalachnikov dans mon oeil, à la lire, j’aime tant la liberté, et comprend si mal les injures de certains qui pensent savoir tout…

    Allez je vais sortir mon doudou pour sous ma couette ….sourire…
    Je suis centente que tes petits dorment après t avoir invitée dans leur tendre univers, les enfants petits, c’est un TRESOR INEGALABLE par rien, un enfant, c’est tellement, LA VIE!

  46. .
    Annick et leila, ce n’est pas dû à moi;-) Vos coms ne sont pas dans la cage à spams ni en modération et pourtant j’ai reçu mos messages en alerte;-) Je ne sais pas pourquoi on ne voit pas vos commentaires sur Calligramme. J’ai essayé d’en poster un mais que nenni et pourtant ce n’est pas l’envie qui me manque de répondre à ce super prof français 😉

    On réessaiera plus tard;-)
    .

  47. mauvais clic, au mauvais endroit, c ‘est pas dans ensemble, mais dans rêve que ma petite citation devait être, alors je recommence…
    Faites que le rêve dévore votre vie, afin que la vie ne dévore pas votre rêve.
    Antoine de Saint-Exupéry.

  48. c’est quoi, un professeur de français, hein, Ossiane,
    moi y’en a connaître que les sujets à ondes, et les profs à ondes cela existe pas, hein? chacun en émet,
    et parfois par la magie de la vie, des ondes se trouvent, et même séparées se retrouvent en corps, et sans se forcer, c’est plus fort qu’eux….

    Faites que le rêve dévore votre vie, afin que la vie ne dévore pas votre rêve.
    Antoine de Saint-Exupéry.

    Et puis, monsieur de St Exupéry, quand:
    Le rêve dévore de bel de vrai tout doudou, la vie est régalante de bel rêve vécu de vrai! signé Annick

    et je te cite sabine:

  49. Et je te cite sabine:
    Faites que le rêve dévore votre vie, afin que la vie ne dévore pas votre rêve.
    Antoine de Saint-Exupéry.

    Et puis, monsieur de St Exupéry, quand:
    Le rêve dévore de bel de vrai tout doudou, la vie est régalante de bel rêve vécu de vrai! signé Annick

    vois là j ai remis la phrase à la bonne place, mais quéque qu’il a cet ordi ce soir, il est grisé de printemps de bel de rêve à se vivre?!

  50. grrrgrrrrrr, impossible de te lire rachel,
    l’ordi y pèse son calligramme et fait sa poussée de boutons de printemps, allez je pause un peu,
    p’têt que tous les mots écrits d un coup?! qui sait?
    pourtant il a fait plus frais ce jour, mais la tête de l ordi un peu tournicotée!

  51. W A N T E D

    Les commentaires sur « Calligramme » sont activement recherchés. On soupçonne une professeur de français (fort antipathique ma foi) de s’en être emparés.
    ATTENTION ATTENTION, toutes personnes ayant des informations est priée de les communiquer dans très rapidement.

    Ce message s’autodétruira dans les plus brefs délais.

  52. Je n’ai jamais vraiment le temps de tout lire … Je t’ai lu LEILA, c’est beau …
    Et plutôt en vrac :

    le rêve REVE-AILES,
    le rêve REVE-VEILLE
    le rêve emERVEille, aime-meREVEille
    le rêve REnVErse, bouleVERsE parfois les certitudes
    le rêve casse le VErRE-nie de solitudes
    le rêve cREVE les Ne, les nœuds des temps-scions du réel
    le rêve dEVoRE l’EnVERS pour l’endroit
    rêve vers-cible de REVES errances
    le rêve tREVE pour de la douceur à retrouver parmi les EntRraVEs de lavis pERVErtis…
    Pour que la REVE-volt s’apaise et que triomphe la REVE-rit
    Mais le rêve VERtigE c’est mieux quand ça se réalise
    et que ça a un goût de VERitE et de quiétude REtrouVéE.

    Bonne soirée

  53. Un rêve…………………..Dou………..Dou……………..Yé!!!!!!!!!!!!!!!!
    Je vous embrasse Annick, Bourrache, Leïla, Noisette, Rachel, Sabine, Christine ….et tout l’équipage du vaisseau .Bonne nuit à tous, faites de beaux rêves, en images, en poésie, en calligrammes , en noir et blanc ou en couleurs, comme il vous plaira.

  54. la vie est un étrange voyage
    entre les rêves et la réalité
    ——
    quand les rêves deviennent réalités
    ils perdent subitement de leurs éternité
    pour nous projeter fragile vers l’avenir
    et s’inscriront en nous comme des souvenirs
    —-
    quand nous perdons nos rêves
    la vie devient un cauchemar
    —-
    http://surrealisme.skynetblogs.be/post/6340420/le-reve

  55. Je viens de retoucher un poème, pas très gai, mais reconnaître et délier les blessures, c’est pour un mieux-être et peut-tre que certains rêves deviennent plus accessibles …
    bonne nuit

    J’ai cris

    J’écris des cris de rêve
    Des cris à perdre haleine
    Dans la sève et le sang
    Je rêve d’autres temps
    Et si mes cris persistent
    Chrysalides existent.

    J’écris des mots qui rayent le vent
    Des mots de sentiment
    Dans le drapé des rides
    J’encourage les rimes
    Et si mes pas sont en rade
    Impulse-moi la parade.

    Je cris sur mes fissures
    Des traces de solitude
    Recherche la quiétude
    Griffant les certitudes
    Si l’inquiétude demeure
    Ouvre- moi grand ton cœur.

    Je cris le poids du monde
    La vie nauséabonde
    Les lArMEs de l’abandon
    Les lAMEs de trahison
    Et si mon âme est en panne
    Raconte-moi Paname.

    Je cris pour les oubliés
    Pour tous les écorchés
    Pour les gens en souffrance
    Qui souffrent de l’air rance
    N’abîmez pas l’enfance
    Et si mon regard se détache
    L’enfance parfois me rattrape.

    2008-2009

  56. Rêve
    -Que fais-tu assis sur un neurone mon songe?
    Je t’attends, Poésie, mon amour, ma beauté.

    _Que fais-tu debout?Mon Amour sur le quai
    -Mais je vois ton visage et mon coeur dans tes bras!

    -J’ai marché et touché, sage, du bout de mon rêve
    Ses yeux et d’un baiser je l’ai laissé gémir

    Puis dans un long sommeil, j’ai mis mon cœur en veille
    Et j’attends son retour comme s’il était hier le sable de mon rivage

    Rêverie que fais-tu? l’aube est encore ce matin
    A broder souvenir sur un cil qui oscille
    Mais dès que l’œil ouvert redonne vie au regard
    Le rêve se fait oubli effacé par du gui.

    Il y a rêve prophétique et rêve énigmatique
    Il y a l’heure des démons et des sueurs froides
    Il y a pourquoi,comment, questions de songes vagues
    Le rêve prémonitoire et mon Regard le soir
    Sa caresse onirique.

    J’ai oublié mon corps et mon âme s’est perdue
    Dans un dédale de maux, son enfance évadée
    Qui a rêvé d’esprits à l’heure surnaturelle
    Qui a mis papillon dans son capteur de rêves
    J’ai suivi tous les Maîtres, chacun m’a égarée
    Car j’avais pris leurs pas comme trace d’une ère nouvelle.

    Au dessus de l’étang, ce n’était pas un voile
    Une ombre vêtue de blanc avec une auréole
    L’Amour dans une étoile qui brûle et qui caresse
    Je ne vois l’Avenir qu’à la surface de l’eau,
    La clé des songes posée
    Au fond de mes abysses et j’ai croisé…un ange.

    Dieu que le rêve est beau
    Son regard dans le mien
    Sa voix contre ma peau
    J’ai oublié les heures
    Les jours mis en bocaux
    J’ai travesti les mots, j’ai embelli la vie
    Sous le drap l’inconscient avec un minuteur
    A l’heure abandonnée aux songes de l’univers
    Mystère, le père, la mère, la voix sans un écho
    Et la course qui se croit un film au ralenti
    Toutes les images en vie
    Et le moi sous le toi de la maison image
    Il y avait toi sur moi, nous deux imaginés
    Je parlerais chinois, j’écrirais javanais
    Peut être que sera né de ma plume ton visage
    Que je dessinerais sur un papier de soi
    Tiens un rêve éveillé,c’est l’univers intime
    Quand l’oeil s’est refermé, place au chant de la Nuit.
    Demain..l’énigme.

    Voilà j’ai écrit…n’importe quoi, à la lueur de mon écran, pour toi mon océan.

  57. .

    Bonsoir à tous !

    Et oui les coms sont réapparus sur Calligramme comme par enchantement. Je crois me souvenir que le Monde à un problème de mise à jour du cache sur les anciennes notes ;-(

    L’air du printemps revenu délie les langues et les plumes 😉 On se sent un peu groggy tant on a bien respiré 😉

    Bravo les filles et les garçons, vous m’avez rire aux éclats par les réponses enlevées que vous avez faites à Ysaline ;-)) Vous m’avez touchée également avec votre ardeur si prompte à défendre si fort cet espace d’expression libre 😉 Merci pour tout ça. Du coup, je vais rester aux abris du côté de Calligramme grâce à vous 😉 Je vais peut-être enlever son adresse et numéro de téléphone car ce blog n’est pas un journal de petites annonces;-)

    Bravo aussi pour tous vos rêves rêvés à rêver sur cette page.

    >Un petit coucou à la fausse petite sauvageonne 😉
    J’avais aimé ce film à sa sortie et ton rappel me donne envie de le revoir. Ce voyage dans la toile est sublime. Pas de problème pour monter dans ta bulle 😉

    >Très juste Monique, mais il faut garder notre capacité d’émerveillement et d’imaginaire pour embellir le quotidien. Beau texte plein de vérité de Ferrat. Bonne nuit Monique.

    >Splendidement émouvant, brigitte;-)

    >Respect pour ta belle écriture en sensibilité, thierry.

    >Hello chief gardener, période troublée et incertaine qui génère de l’anxiété, une nouvelle page est en train de s’écrire, bien ou mal je ne sais pas… Bien à toi.

    >bravo jean, c’est très beau 😉

    >bravo aussi leila pour ta poésie inspirée et ta belle musique. Tu dois être épuisée à la fin de la journée après tout ce que tu donnes, non ? Rêve général en amour et en création selon moi 😉 Il me semble que Bashung pensait la même chose 😉

    >Merci pour cette belle chanson nostalgique. Tu écris toujours aussi bien et en vérité réfléchie 😉 Pas de problème, je suis très réveillée en ce moment 😉

    >Annick, tu m’émeus avec tes mots et tu me fais toujours autant rire 😉 C’est sans doute un faux prof de français. Elle se fait passer pour un vrai 😉 Si on ne t’avait pas, je ne sais pas si on arriverait à t’inventer 😉 En tout cas, ne nous quitte pas please 😉 Ondes positives vers toi 😉

    >rachel, tu es mignonne à croquer avec tes textes spontanés en fantaisie Ne nous quitte pas non plus, j’adore 😉

    >Ma chère Noisette, quelle bonne surprise de te voir là !!! Serait-ce l’arrivée du printemps qui te fait sortir pour revoir les amis ? Contente de te sentir en bonne forme 😉 Douce amitié vers toi, je t’embrasse.

    >Bruno, Je suis très contente que d’autres voix s’expriment à propos de la note précédente, vraiment 😉 Pierre b n’est plus tout seul 😉 Je respecte tous les points de vue bien sûr. Mais je ne regrette rien 😉
    http://www.dailymotion.com/relevance/search/je+ne+regrette+rien/video/xjss1_edith-piaf-non-je-ne-regrette-rien
    Liberté, création, renverser les idées reçues, donner sa vision du monde, bien sûr j’adhère à tout ce que tu dis. Bruno, je ne me pose pas trop de questions, j’avance et si j’ai envie de vous faire partager quelque chose spontanément, je le fais. Comme pour toi, ce blog est un carnet de vie pas figé, un carnet d’indignation, de joie, de questionnements, d’essais, de trajectoires diverses qui me stimule beaucoup. Tant pis si mon voyage imaginaire est un peu chamboulé 😉 Je trouve que cette rupture a permis de s’aventurer sur d’autres chemins d’écriture et de paroles tous ENSEMBLE;-)

    >Ubu, bienvenue sur le blog avec ce joli morceau de poésie;-) N’hésitez pas à revenir vers nous, amitiés.

    >sabine, j’aime beaucoup la citation que tu as choisie. Merci aussi pour cette belle chanson d’amour.

    >nath, c’est le grand printemps aussi pour toi 😉 Le Rëve fait jaillir des merveilles de ta plume et la sérénité revient dans ton cœur chaud comme le soleil 😉 Bravo , tu m’émeus !

    Bonne nuit en rêves éveillés 😉

    Nouveaux commentaires sur:

    https://blog.ossiane.photo/2005/05/04/2005_05_calligramme/#comments

    https://blog.ossiane.photo/2005/05/18/2005_05_mer/#comments

    .

  58. C’est un des voyages que je préfère…le désordre est charmant ….restent juste quelques mèches de soleils clairs…et le secret de la nuque aux regards offerts…Retrouver cette sensation d’exquise douceur…le murmure des secrets qui se glissent dans les pas…et le parfum deviné…C’est un voyage qui attire les passants et brulent les baisers…ou les rêves se posent avec le coeur dispersé…ou la brise se mêle à nos pensées…

  59. C’est fort beau, leila,
    mmmhhh, pierreb, mon bel rêve éveillé…
    Et je te lis, Ossiane, et je me pouffe avec tes mots pour moi, t’en fais, j’arrive pas à la changer l’Annick, quelle graine de je ne sais où, celle là…SOURIRE!
    et coucou à Noisette aussi, parfois je me tais bien trop, parfois je parle bien trop..Ahlala, juste moi, à VIE!

  60. et quand dans l instant, la toto se part vers St Nazaire, pour un rv programmé, yaouh, c’est une belle course rêvée vécue de vrai…

    J’aime vivre le rêve, éveillée, pour le vivre au plus près!
    car courir après son rêve, parfois cela essoufle schnoufdeschnouf…

  61. Pour rapporter les fleurs et les fruits défendus
    je pars à la recherche du paradis perdu
    Vers les îles toujours vertes où vivent les Papouètes
    qui parlent un beau langage où c’est toujours la fête

    Aider de l’alphabet j’affronte tous les mots
    Je construis des poèmes comme on fait des émaux
    A peine j’appareille que ma pensée décolle
    J’entends le bruit des flots dans les mots qui s’envolent

    Les phrases qui se forment retombent et puis déferlent
    Des vers d’une belle eau aussi beaux que des perles
    Le vent avec lequel je livre mes combats

    Qui circule dans ma tête me dit des choses tout bas
    Une musique douce comme les vagues font
    Circule sur la grève quand il frôle mon front

    Alain


  62. Annick : as-tu pris avec toi ton Doudou pour te tenir compagnie en cas d’urgence ? …
    parce que, schnoufdeschnouf, faut pas fumer n’importe quoi, hein !

    Clin d’oeil, biz et bougie.

  63. Dream et pas drum
    pourtant les tambours battent
    plus que les tempes
    et voici que le mouvement
    d’une belle trempe
    nait et s’étend

  64. .
    >Cette jolie nuque m’a également tapé dans l’oeil, pierre b;-) Tu en parles bien;-)

    >merci Alain pour toute cette beauté poétique partagée avec nous. Amicalement.

    >J’adore cette chanson là aussi;-) Quelle musique ! Allez on se la réécoute pour le plaisir;-) Bises vers toi, ne bosse pas trop fort;-)
    http://www.dailymotion.com/relevance/search/bashung/video/x2pvbx_alain-bashung-madame-reve

    >Coucou sylvie, oui de belles retrouvailles; je t’embrasse 😉

  65. Les photos de cette « parenthèse » sont aussi belles que les autres… Sans doute parce que nous avons besoin d’un peu d’espoir, de solidarité et de rêve, elles nous touchent… Je ne peux m’empêcher de penser à Anna Akhmatova, être au milieu de mon peuple.

  66. REVE I EVER
    REVELER I RELEVER
    REVASSER I RESSAVER
    REVER I REVER
    REVERS I SEVRER

    Mon rêve pour toujours me dis des choses d’amour qui me mettent debout
    pour un nouveau début et vont peut être me sauver quand je m’enfonce mollement et si jamais je ne pourrai m’en passer c’est pour continuer de me confronter à cet envers sans aversion mais ne pas verser dans la facilité.

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