Feux

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Village dans le noir, des phares dans la nuit rouge, chaleur du foyer

Lecture du Haïku Calligramme: du centre vers l’extérieur

Village dans le noir
deux phares dans la nuit rouge
chaleur du foyer

70 réflexions sur « Feux »

  1. Ô
    Feux
    Ô lumière!
    Questions,
    Mes doutes
    Ton mystère
    Silence et bruit
    Et s’agite ma colère
    S’envolent mes baisers
    En tant de doux frissons…vains
    Contemplations aux portes closes
    Dont le trousseau est égaré
    Ainsi toute vérité enclose
    N’a comme issue que liseré
    A entre voir sans dévoiler…..la route.

    Bonjour Ossiane…ils dorment tous.)

  2. ___

    Retour aux sources
    L’air au coeur de la nuit sang
    Sillons sur vinyl
    _

    Belle journée à tous.
    ___

  3. Deux phares dans la nuit
    Qui se brûlent leurs ailes
    Passent devant le foyer
    La quiétude n’y est pas
    Il y fait froid de tant
    Alors deux petites lumières
    Partent vers un lendemain
    Qui leur donnera chaleur
    Pour se vivre en Humain

  4. Dans les feux du couchant
    Eclose dans l’instant
    De ton départ en car
    L’effusion des roses

    Et je suis du regard
    Ses feux rouges au virage
    Sur la route du village
    Déjà fanent les roses

    Et se perd la navette
    Dans le cri de la chouette
    Quand s’éteint le paysage
    Tout semble morose

    Me voici dans le noir
    Les yeux rouges au visage
    Et l’espoir de te revoir
    Demain à l’aube rose

  5. ET BRAVO BOURRACHE !
    Quelle bonne idée tu as eue de participer : c’est super !
    Très très bien relayée par Ossiane, qui joueeeeee…. le jeu… encore plus !!!

    Double 6 !

    Une fenêtre ouverte
    Du ciel bleu en Belgique
    Douceur campagnarde

    Biseeeeeeeeeeeeeeeeeeees tout plein !!!

  6. et mon « poème » du jour !

    z*z*z*z*z*z*z*z*z*z*z*z*z*z*z*z*z

    Lever dès l’aube
    Sous les rayons de feux
    Irradiant la campagne
    Comme un soleil couchant….

    Musique :

    Un drôle de gus, qui surgit hors de la nuit
    Cours vers l’aventure en auto
    Son nom, il le signe à la pointe du stylo
    D’un Z qui veut dire Zozo !

    Zozo, Zozo,
    C’est la route qui fait ta loi
    Zozo, Zozo,
    Vainqueur tu l’es à chaque fois

    Quand il paraît
    Les radars éblouis
    Fuient en criant le nom de Zozo
    Tous les routards n’ont jamais redouté
    Son signe, le signe de Zozo

    Zip zip zip (bruit du bic qui fait zip)

    Zozo ! Zozo ! Zozo !

    z*z*z*z*z*z*z*z*z*z*z*z*z*z*z*z*z

    Bizeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeeeeeeeee au bic qui fait zip !

  7. encore pour le plaisir

    Jacques Brel

    Et quand vient le soir
    Pour qu’un ciel flamboie
    Le rouge et le noir
    Ne s’épousent-ils pas

  8. Je viens de la réécouter, de relire ses paroles à J. Brel,
    merci Marc,
    mais que l homme ne se mette pas à genoux, quand une femme l’aime, elle l’aime tout debout, dans le plus grand de lui, en regards vers le ciel, et elle se niche près de lui….

  9. Tes propos sont très justes Annick : l’homme n’est pas obligé de se mettre à genoux devant la femme. Toutefois cela fait plaisir à voir quelquefois (hi hi hi)
    Dis moi Capitaine pourrais tu réexpliquer l’histoire de la photo car je n’ai pas bien compris.
    Bon d’accord ! je n’ai pas la comprenette très facile en ce moment mais quand meme je m’accroche (sourire)
    Et puis j’avoue que ce n’est pas du tout une de mes chansons préférée
    de Jacques Brel. Elle a quelque chose qui me met mal à l’aise mais c’est un avis tout personnel.

  10. Rachel, Annick, je partage votre sentiment

    « Ne me quitte pas
    Je ne vais plus pleurer
    Je ne vais plus parler
    Je me cacherai là
    A te regarder
    Danser et sourire
    Et à t’écouter
    Chanter et puis rire
    Laisse-moi devenir
    L’ombre de ton ombre
    L’ombre de ta main
    L’ombre de ton chien
    Ne me quitte pas…. »
    ça fait drôlement mal un chagrin d’amour mais de là à en arriver là….

    bonsoir à l’équipage et à son capitaine

    ciel de braise
    terre de glace
    et de petites fourmis qui s’activent sur leur chemin

  11. Oui, c’est ce que je souhaitais dire, candide, bien entendu et vu,
    l ombre de ton chien, qu est ce que cela fait mal à entendre,

    et je te cite et partage, rachel, « Bon d’accord ! je n’ai pas la comprenette très facile en ce moment mais quand meme je m’accroche (sourire) », tu me fais sourire, rachel avec « comprenette »…une soirée un peu rude, disons rude hier soir, alors ce jour en zigouigoui….sourire….mais j’ai remonté mon seau d’eau de vie…hic!

  12. Dans un premier temps, les feux de l’amour…
    ensuite …
    les feux de la colère…
    puis à forçe d’incompréhension, la douce et tendre chaleur du foyer s’enflamment chaque jour un peu plus…
    et alors…
    douceur et tendresse, à jamais, disparaissent en fumée…

    bonne soirée.

  13. Bonsoir et bonne nuit à tous
    _____

    La nuit s’est posée
    Dans le silence glacé
    Laissant agoniser le jour
    Comme la braise d’une bûche
    Dans l’âtre dune cheminée.
    Emergeant des fumées de brume
    Deux points rouges
    Disparaissaient dans le lointain
    Feux follets dans l’onde noire
    Comme deux âmes égarées
    Fuyant le monde des vivants
    Vers un monde de rêves
    Laissant la terre a sa rotation
    Et nous pauvres humains
    Dans notre course avec le temps.
    ____

    et je vous lis et vous écoute et vous dis savoir, que souffrir d’aimer, est une abominable souffrance dont on ne ressort jamais indemme.

  14. Deux petits feux rouges
    Se sont perdus dans le noir
    On ne les voit plus

    Avec eux s’en vont
    Les voyageurs de l’obscur
    Frères d’aventure

    Vers quelle destinée
    Sur les routes de la nuit
    S’en vont-ils ainsi ?

    Nul ne sait le dire
    Ainsi passent chaque nuit
    Des petits points rouges

  15. Les yeux sont comme falots de Nuit
    Comme éblouissement pour songe
    Sans fard, sans joailleries au cou
    Elle s’offre nue, son corps sublime est pourpre d’âme
    Et flamme humaine aux soirées blêmes
    Comme libellule dont ailes frêles s’habillent de métamorphoses.

    Plaisir des pianos sans gammes sur lesquels les doigts coursent l’oubli
    Où la pensée se fait dompter, qu’est-ce qu’est la pensée sublime?
    Qu’est-ce qu’est l’homme et la femme, perdus
    Aux chemins des désenchantés, langueur des caresses offertes
    Des noces dont l’écho est perdu, dont le temps a fait sa ripaille
    Au point de ne vouloir de flammes illuminer soirées d’ennui
    Comme Paris et Champs-Élysées flamboiement de soirs à Noël

    Tous les fards de Paris sur Seine
    Coulent comme aux cils le rimmel
    La Nuit s’allonge sous les ponts
    Pour caresser les barges aux quais
    Dormez bonnes gens
    Paris allume ses feux, vestale
    Des poètes qui errent sur la toile
    En touches de peinture sur les pentes
    Du Sacré-Coeur comme bonheur
    Dans nos coeurs réchauffés.

    Merci Ferrat.)
    Bonne journée à tous.

  16. A toutes mes Belles, je dédie ma préférée de Ferrat :

    http://www.deezer.com/track/2554341

    Je trouve le « zeu » des 6 de Christineeee génial !

    Merci, Ossiane, de l’accueillir.

    Je fais appel à tous ceux qui n’ont pas encore rejoint ce « bac à sable (!) » …

    qui sait … peut-être matière à « cube » ???

    Sourire à tous.

  17. COUCOU, et je vous lis,
    et vous savez comme je suis pas la dernière à courir vers le bac à sable avec mon seau à bêtises et mes pâtés de vie.. SOURIRE…
    mais depuis les fêtes, l appareil photos rêglé sur la haute netteté, et moi y’en a pas savoir bouger les pixels ded machins trucs, et pourtant je me dis bien que j ai envie de prendre des photos,
    mais faut croire que mes bouts de doigts, z’aiment plus taponiter que clicker sur l appareil, ils leur faut du temps pour se changer d’habitudes…SOURIRE.
    dès que je peux, j envoie,
    et puis, je suis un peu flagada ces derniers jours, plus engourdie, alors faut me secouer…et me réveiller.. SOURIRE! mes bouts doigts se reposent faut croire, non sans blaguer, je me sens fatiguée, besoin d un break, d un week, d’un calme, d’un doux, d’un bel moment de vie…
    J espère de très belles photos dans ta besace, Ossiane, avec ton escapade dans le Sud.

  18. Et je dis…
    Mon Dieu…
    Avec 1 JOUR de retard ! (honte à moi)

    Bon ANNIVERSAIRE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
    à
    BOURRACHE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

    On pense à toi !

    Ni grille pas toutes tes bougies…
    gardes en quelques unes, on ne sait jamais,
    s’il y a une panne d’électricité !

    J’envoie donc un gros gâteau, plein de bougies !
    Fourré d’une pâte de eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee !

    _____

    http://imagesforum.doctissimo.fr/mesimages/3673646/gateau%20geant.jpg

    _____

    Biseeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeees
    de Christineeeeeeeeeeeeeeeeee

  19. je pense à un truc,
    si je prends une photo, ce sera la première,
    et cela doit être la six,
    alors je cliquerai cinq fois dans le vide et la six, c’est de bon…SOURIRE en baillant…

  20. Son coeur a saigné un peu fort
    Il s’est ouvert en deux son corps
    Et a vidé ses sangs dans le ciel
    Maintenant il va déjà mieux
    C’est impossible d’aller toujours
    Et quand son petit bus qui guide soi
    Reprend sa route ses petits feux
    Le petit soi il est heureux
    Il marche son chemin comme il lui vient
    Et prend et donne comme cela est
    C’est bon de serrer son chaque jour
    Avec celui qu’on aime bien fort

  21. alors je ris aux éclats, Marc,
    c’est vrai, faut pas pleurer sur le temps qui passe,
    quand il est tout de bel dans son présent,
    c’est bon de le vivre en riantttttttttttttttttttttttttttttttt!

  22. Le gros bus roule
    Il voit fort mal
    Pourtant ses deux yeux éclairés
    Et ses arrières visibles de tant
    Mais il fonce trop tête baissée
    Car c’est là haut que cela se passe
    Le ciel est rouge de sa passion
    De vel désir si fort si grand
    Si plein de tant
    De coeur, d’âme et de corps
    Pssss, monsieur le bus
    Arrêtez vous
    Que le ciel vous donne son tellement

  23. Et lassé le ciel s’allume une cigarette
    Voilà que le bus s’arrête
    Le ciel hoquète
    Et déjà le bus reprend sa route
    A moitié ivre à moitié sourd
    Puis pile net en panne d’essence
    Le ciel écrase sa cigarette
    Et siffle en bas
    Le bus fait le bel
    Et leur baiser de belle grâce
    Suspend le vol des passagers
    Qui arrêtés admirent s’ennivrent
    Du plus bel baiser de la planète

  24. Il se recule
    Content
    Ses formes de hanches
    Aux troncs charmants
    Si tendres voilés
    Ce ciel d’un rouge
    D’un bel effet
    Le peintre se recule
    Encore un peu plus
    Et ajoute pour signature
    Ses deux yeux lumineux
    Pour éclairer la toile
    Pour qu’elle ravive
    Ses doux instants

  25. Hé mister Wolf
    Serais tu devenu lâche
    A te cacher ainsi

    Hé monsieur Loup
    Qu’as-tu fait de ta témérité
    De n’oser m’approcher

    Je te devine
    Je te hume
    Je sens ta présence

    Hé oui mister Wolf
    Mon cœur est fou

    Hé oui monsieur Loup
    Mon corps est de braise

    Lève les yeux
    Le ciel est avec nous
    Lui est prêt

    Il est temps
    Tu dois choisir
    HAINE ou AIME

    Je te haime
    Tu m’aines

    Ne rime à rien

    Croque moi
    Avec amour ou haine
    Mais croque moi

    Qu’on en finisse

  26. .
    Cinq ! Voilà que Vincent suit le mouvement avec sa petite explication qui suit ci-dessous;-) Attention au sixième !

    http://www.ossiane.eu/images/vincent6.jpg

    « Depuis deux ans je prends une photo presque tous les jours (souvent) depuis une fenêtre
    de mon atelier en conservant le même cadrage. Le fichier s’appelle
    « ne pas déposer de sac poubelle » en raison d’un panneau qui s’y trouve.
    Voici la sixiéme photo de ce fichier.  »
    .

  27. A Londres un exilé de Jamaïque
    Améliora le feu vert et rouge
    Et dans notre espace mystique
    Ou tous les clochers guident les routes
    Ou à Rome mène tous les chemins
    Et à chaque carrefour des croix
    Tu vois aujourd’hui dubitatif pèlerin
    Au feu rouge clignoter le drapeau rasta

  28. Ossiane, je ne suis étonnée que bourrache, mariad, monique, vincent, arletteart, t’envoient de jolies photos….en ressentis…je pensais avoir deviné depuis longtemps qu’ils étaient ohsi photographes de plumes et d’images…en album.

  29. Ecoute moi,
    Reviens me voir

    Le rouge nous éloignera
    Du noir

    Ecoute moi,
    Reviens me voir,

    Il y a, quelquepart,
    une voie, un chemin

    Tu le connais,
    Je le connais.

    Tu sais bien,
    il monte, tout droit dans les sapins,
    Tu sais bien,
    on marchera dans la neige,
    et on arrivera,
    par la voie, par le chemin
    à la cabane,

    Tu sais bien,
    la cabane.
    Celle que tu connais,
    Celle que je connais,

    Il y a le feu,
    dans la cheminée.

    Et on va arriver.

    Ecoute moi,
    Reviens me voir…

  30. Incroyable !

    L’idée de Bourrache fait son chemin, et tout le monde à l’air d’apprécier !
    Comme quoi, c’est drôle qu’en partant d’un « tag », envoyé chez moi par mima, on arrive à plein de choses que je n’aurais même pas imaginées !

    Alors continuez !

    Biseeeeeeeeeeeeeees entre deux feux !

  31. Le chat ouvrit les yeux,
    Le soleil y entra.
    Le chat ferma les yeux,
    Le soleil y resta.
    Voilà pourquoi, le soir,
    Quand le chat se réveille,
    j’aperçois dans le noir
    Deux rayons de soleil.

    J’ai oublié de qui est ce poème, mais je n’oublierai jamais les trombines de mes élèves de maternelle, concentrés, émus, à chaque fois que je le leur disais.

  32. J’aime ce texte, Annemarie,
    et je vous embrasse chacun,
    comme ça,
    car j’ai envie!
    sourire!
    et mmmhhh!
    me suis reposée avant ma dernière limite;
    alors c’est bon,
    qui me suit tout autour de la terre!
    en vélo ou en cloche tête
    ou en coucicouça,
    allez,
    youps
    on y vahhhh!
    bises,
    excuse, Ossiane, l’aquagym et mon discours d’après en quittant Pontchâteau m’a mis un moral d’acier, si tendre pour moi…..

  33. Elle allonge son bras
    Et tout au bout de son doigt
    Elle chipe un peu de rose rouge
    Et le met sur ses lèvres
    Avant de l’embrasser
    Son coeur tout plein d’un ciel
    Si flamboyant de bel

  34. Sous le ciel qui saigne
    D’un au revoir qui ressemble à un adieu
    La terre s’est drapée de noir
    Meurent les derniers tisons
    Dans le silence et la nuit

  35. Le ciel en fausse couche
    Perd son sang tout de rouge
    Mais il y gagne en vie
    Son bleu le réanime
    En perfusions si tendres
    Et en bel alité
    Le ciel se laisse aimer
    S’offrant au bel regard
    Qui le porte si haut

  36. Et l’étoile des cinq sens
    Tend dans son chaque bras
    Et son oeil pour le voir
    En le goûtant par l’autre
    Se sentant exister par ce bras
    Qui l’entend se respirer
    Fleur de peau se touchant

  37. .

    Coucou la compagnie, j’ai toujours un mal fou à me remettre dans le rythme d’ou ma sortie tardive en pleine nuit;-)

    >leila, toujours aussi inventive et inspirée;-) Elle est jolie cette petite vidéo animée.

    >annick, contente de savoir que tu vas mieux;-) Pas mal de choses dans ma besace et surtout pas de complexe par rapport aux photos;-) Tu fais donc des discours ?

    >bourrache, c’est joli le rose aux joues;-) Bon anniversaiiiiiire !!!

    >brigetoun, belles petites étoiles;-) A chaque fois, je me demande comment tu vas appréhender les photos;-)

    >arletteart, toi aussi tu veilles et tu es gourmande aussi,-)

    >marc, du moment que c’est beau et que ça te plait, merci pour Brel;-)

    >énigmatique salade: et là;-)

    >jean qui ose, ton beau poème rose est très touchant. Merci;-)

    >christineeeeee, tu tiens la grande forme avec ton zozo et nous aussi après t’avoir lue 😉

    >rachel, me voici donc;-) Je n’ai pas tout compris non plus;-) Il s’agit d’un petit jeu qui se répercute de blog en blog si tu es désignée par un blogueur. Il s’agissait de publier la 6ème photo d’un sixième dossier. Un jeu de hasard photographique car on peut tomber sur une photo qu’on n’aime pas. Et justement Raphaëlle de Trottoir bleu a joué le jeu et a expliqué pourquoi la photo qu’elle a mise en ligne ne lui plaisait pas. C’est intéressant à lire, va la voir;-)

    >coucou candide, toujours à aimer parcourir les chemins d’aventure 😉

    >sabine, je te sens morose avec ces feux et cette fumée… bises.

    >abeille, bienvenue et merci pour ces jolis mots de tendresse. A bientôt.

    >monique, tu te surpasses en poésie d’hiver toujours bien sentie. Merci, c’est beau;-)

    >Merci pour Ferrat, lou d’amérique;-)

    >bien senti maria !

    >nigra, incroyable ce que tu arrives à faire dire à ce ciel un peu fantastique;-)

    >fauki, le rouge délie les plumes et l’imaginaire, bienvenue à toi;-)

    >pierre, oui ces deux points rouges ou blancs m’ont interpellée aussi très fort;-)

    >annemarie, bonsoir;-) Un superbe petit poème pour émouvoir et faire réfléchir les enfants;-)

    Nouveaux poèmes magnifiques de bernard qui est juste au bout de la ligne, leila et Annick :
    https://blog.ossiane.photo/2005/08/30/2005_08_fragments/#comments

    .

  38. Allumer le feu, pas de pire Oman qui tisonne et brandit des brandons,
    pourtant dans le froid grelottant qu’il est bon de s’en rapprocher.
    Pas uniquement fasciné par ses bouquets coruscants qui s’échappent
    de mille manières en faisceaux démembrés.
    Et quand le rouge vif vous annihile incandescent alors descend cette paix de l’âme.
    Rayonnant il nous communique de manière circonscrite un message interdit qui inhibe et attise.

  39. .

    Bonsoir,

    Je remets le lien vers la photo de Neyde qui m’a donné son accord pour mettre le petit texte explicatif.

    http://www.ossiane.eu/images/neyde6.jpg

    « Moi, je n’ai pas l’habitude de photographier, mais chez moi il y a une photographe. C’est ma petite fille Raquel.
    Pour me mettre dans le jeu, je t’envoie la sixième photo qu’elle a fait avec son portable neuf. La photo est du 06 de décembre de 2008.
    Elle lui a donné le nom: Fête de Iemanjá – Étoile guide.
    Les personnes font la fête sur le sable à côté de la mer, à la fin du jour.
    Iemanjá est Notre Dame de la Conception.
    Le melange de noms de saints avec les dieux d’autres croyances
    est dû au synchretisme religieux qu’on voit au Brésil et d’autres pays aussi.
    IIemanjá, c’est la reine de la mer pour ceux que y croient.
    C’est ma contribuition pour le jeu qui a du succès.
    Bises. Neyde »
    .

  40. .

    Front contre tempe
    Nos deux âmes se touchent
    Et l’amour est là.

    Ce rougeoiement
    Est ce mon coeur ou le feu
    Dans la cheminée?

    Braises qui rougeoient
    La soirée se consume
    Mon désir aussi

    Et puis, nous sommes aussi sortis voir le feu d’artifice de noel:

    Nuit noire, glacée,
    Les yeux des enfants brillent
    Aux feux de bengale.

    Bye Ossiane, porte toi bien
    philippe

    .

  41. Que dire ? Je suis muette d’admiration, je suis sous le charme de TOUTES tes images ! Ton regard sur le monde et ta poésie sont porteurs de tous les espoirs, chaque photo est un nouveau jour, une nouvelle lumière, celle de tous les possibles. Superbe Annick ! Merci beaucoup pour tous ces témoignages d’amour

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