Lecture du Haïku Calligramme: de bas en haut
Brins de laine
la trace d’une plume
fleurs de coton
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Lecture du Haïku Calligramme: de bas en haut
Brins de laine
la trace d’une plume
fleurs de coton
Magnifique, comme c’est joli, pffffffff, splendide de sensations douces….
Lèvres du ciel
Baiser tout tendre
Frisson coton
la grâce…..
Sourires à toi Ô vent mauvais
Tu fléchiras en mon désir
Dans les brassées de mes baisers
Tu deviendras tendre zéphyr
Pour murmurer au creux du cou
Les mots d’amour dont j’ai secret.
Premier chant d’oiseau en balade
Je chanterai contre ta joue
De douces strophes puisées au coeur
De l’émotion que j’ai pour vous.
Petite voix comme lys ailés
A planter en mon coeur en lignes
Pour un royaume de douce Nuit
Un matin douillet comme plume
Dans la douceur d’une laine rosée
Aux fleurs des calices en coton
Où notre amour va reposer.
Annick, on ne va pas savoir aller se coucher! c’est joli n’est-ce pas! Cette Reine Ossiane est magique!Je suis heureuse dans son jardin.
Et tes mots qui accompagnent son jardin, à Ossiane, splendide,
oui, c’est une bizare idée que d avoir besoin d un minimum de sommeil,
c’est si bon de dormir en écrire regarder un bel album se vivre
Ferme les yeux mon doux
Et rêve de rose douillet
De mes tendres baisers
Dans ton cou et partout
Dedans la couette tendre
En plumes blanches de nous
Douces soieries filées
Avec la laine du temps
Si précieux dans sa grâce
Qui nous offre si bel
Notre Aujourd’hui si grand
aura rose éros
trace raz d’haleine rossée
en un ciel ailé
Douceur de l’angora et chaleur de vigogne
la carte de la tendresse au rendez-vous douillet
dans le rose épanoui les sens se répandent
le corps dans les nuages et la tête au Pérou
Je navigue à pas lent , mon esprit tourne au ralenti 😉
Les nuages m’ont toujours fait rêvés, jamais le ciel n’est deux fois le même !
Bises Ossiane
_
Dentelles-tendresse en rêves-roses angora :
lavage doux à la main et eau fraîche.
Ne pas essorer !
_
Belle journée à ceux qui passeront…
_
Tendresse de mon baiser
Délicat déposé
Sur tes lèvres m’oser
l’aile hélée d’Hélios
brosse ta laine d’haleine rossée
d’aura rose éros
Plume ébourrifée dans ce ciel de vent
Rose et tendre bleu
Parle -moi de ce pays si doux
Fleurs de coton , fleurs de laine
Pour y rêver encor
Et te retrouver…… un brin
Azur, pays léger
Le ciel a le reflet d’une rose échevelée
En tendresse d’un brin, la caresse belle douce, jolie délicatesse d’un joli silence, frissonnent ondulation.
Tamponné rose, le ciel, ce bleuté de douceurs.
pour donner aux ombres la splendeur des éclats de lumières…
POUR TOI OSSIANE, dans le parfait silence des : « Brins de laine
la trace d’une plume
fleurs de coton » :
***je ferme les yeux, et dans l’éveil, l’azur rosé
parfaite ligne dans la courbe des nuages
tranché sur le vif
lignes ondulantes poudrées d’oranges et de myrtilles
fragile équilibriste sur son fil suspendu dans les temps allégé de l’azur rosé
je ferme les yeux…*** » »Brins de laine
la trace d’une plume
fleurs de coton » »…
ANGORA : http://fr.youtube.com/watch?v=808M-UXNgiI&feature=related
Bonjour la Compagnie !
eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
Dans son chaudron à merveilles
Le maître Cook du Ciel
A tissé ses longs fils rosés
Très fins et très sucrés
Les a tirés, étirés, rallongés
Du bout de sa baguette
Les a tournés avec dextérité !
Un p’tit nuage de rose…
Quelques gouttelettes mauves…
Un soupçon de bleu…
Couleurs idéales
Saveur inimitable !
Pelote en écheveaux
Volume et légèreté
Une goutte de sirop !
Bientôt sera achevée
Le dessert à savourer
Qui va fondre immédiatement
Sous la langue des gourmands
Et je me délecte déjà
De cette géante BARBAPAPA !
eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
Biseeeeeeeeeeeeeeees collanteeeeeeeeeeeeeees
Le regard sur ces images quitte la table, l’écran et s’égare du côté de la fenêtre où viendra naître le rêve au-dessus des nuages et je ne suis pas sans penser à Prévert, comment tant de douceur peut laisser l’âme insensible, je m’y love, je m’y roule, je m’y plais, je m’en imprègne.
__
Rêves enchanteurs
Sur les ailes d’un nuage
Planent dans les airs
En bleu et en rose
Chaque plume de mon âme
Constelle le ciel
Mon regard se noie
Dans l’édredon angora
Douceur et tendresse
Quand mon front se penche
Tendrement avec passion
Un câlin douceur
Un petit entracte
Dans la noirceur d’un autre jour
Beaucoup plus chagrin!
Autre poésie
Rouge et noire plus réaliste
Autre paysage
Les yeux ont des larmes
A poser sur les nuages
Dans un ciel d’orage
____
Comme c’est charmant Monique
Les yeux ont des larmes
A poser sur les nuages …..
Et sur quoi sont ouverts
Les yeux fermés ?
Un rêve angora de douceur rosée
bataille d’oreillers roses.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Somateria_mollissima_male..jpg
Un petit coucou à tous! Ossiane, ton angora réchauffe le coeur!
Ciel en tendresse
Caresse d’une plume
L’azur angora
Mon truc en plume
Ballet de flamands roses
Le ciel vaporeux
Couette douillette
Coussin de sâtin rosé
Nuitée câline
Une soirée douce et feutrée..autour d’un beau feu de cheminée!
Ton ciel petit chat bleu
Angora fils
En corps à dire
Halte aux cumulus
Miel ton lapin rose
Agoraphobe
En corps à prendre
Altocumulus
Un petit chat angora tout doux, dans son panier, près du feu, ronronne. Les aiguilles à tricoter se posent un moment pour se laisser aller à caresser le pelage si velouté. L’air est tendre, tout est calme, c’est si paisible un chat qui dort toute sa chaleur.
C’est gentil Arletteart, j’espère que nous n’ aurons pas trop de larmes à poser, les nuages pourraient bien nous tomber sur la tête sans ménagement !
_____
Les nuages plumes
Comme les oiseaux s’envoleront
Sans laisser de trace,
Les caresses du vent sont éphémères,
Les couleurs du rêve passent avec le rêve
Et je serai là à regarder le ciel
A chercher jusque vers l’horizon
La moindre petite lueur
Dans les sillons de ta barbe
Mais ce n’était qu’un nuage,
Le plumage d’un oiseau de passage
Dans les dernières clartés du jour.
___
Belle journée de plein soleil pour toi Ossiane, cette fois sans mistral, j’espère qu’en dépit de l’actualité et du travail, tu auras pu profiter au maximum du possible.
Un petit chat qui ronronne , hummm!! oui angora ou pas angora, boule de tendresse si douce, Annick comme c’est bon, même lorsque je viens de le gronder parce qu’il mange mes fleurs, aucune rancune, que de l’amour il voudrait tout partager avec moi, même le clavier.
Petit coucou dans ton univers Haikus ! quelle magnifique couleur !!
Je me suis permise de donner le lien de ton site à une personne qui s’interesse tout comme toi aux Haikus, peut être passera t’elle te voir… je te communique son adresse en privé
bonne fin de semaine !
Barbe à papa,
décidément tout nacré
qu’il est dans ses reflets
ce ciel enroule en pur sucre
pour contenter l’azur
mais entre azul et azucar
il y a un héros de trop
comment dissiper le malaise
quand les nuages plus à l’aise
couvrent allégrement de sirop
notre voute amputée
pas de rose assez
dans ce cortége divin
pas non plus d’opiacés
pour jouer les devins
jeter un regard étonné
et voir la vie en rose
ou juste béer d’aise
et se rendre compte
qu’elle est éclose
demander la cessation
de toute hostilité
et rengainer les fumigènes
ne plus appeler
la patrouille de France
car on est à la traine
Pas d’attaque… sur les bords,
pas de bord de fuite… non plus
pas de délit,
juste du délire…mais très mince
quand le rose… envahit l’écran de nos vies
c’est plus que les joues… qu’il enhardit
avec ou sans chevalier …sur son coursier
et pourtant se déforme son panache
tandis que de taille et d’estoc
il tranche les amarres des nuées…ardentes
un feu brûlant couve… dans son regard
il n’a rien d’un ringard…tant il éprouve
de nobles sentiments…accablés
il virevolte lancinant…adieu plumet
et sans perdre la tête…sans coup férir
il lance une dernière pique…éperonne
disparaît dans un nuage violet
Des flammes en rose…qui s’ébrouent et s’étirent
comme des échassiers mal emplumés
et qui n’osent froufrouter de peur de géner
vite un coin de ciel pour éviter le pire
Quelle merveilleuse photo !
Ciel rose
Promesse de vent….
Et je voudrais être brins de laine, brins de laine angora, et ainsi, t’envelopper de tendresse et de douceur…
bonne nuit.
Un nuage passe…..léger comme la laine…..doux comme l’angora…..compact comme le coton…..rose comme les plumes d’un flamand rose….éphémère comme tous les nuages….enfant du soleil et du vent…..en dehors du temps….du temps qui passe comme un nuage….tout seul dans le silence du matin.
De longs poils laineux
au ciel traînant
s’effilochant
le vent aidant
gris roux ou blancs
la main s’y abandonnant.
La toto dévale la pente, et se trouve nez à nez avec les gazes du soleil qui prennent soin de sa peau, la nuit. Toutes des vapeurs roses, si belles, le petit regard est ébloui, sa douche en oeil rince le matin, et le rend si vivant. Comme c’est beau, un soleil qui part vers sa toilette et se réveille doucement. Et elle soufflle en cet instant en doux souvenirs qui la revivent, c’est tellement beau un ciel qui se donne qui s’offre en tout là haut et capte le regard d’un petit Humain du bas. Et elle sourit, elle aime ce rendez vous avec son bel galant, au petit matin, quand la couette encore chaude, quand, le corps se tend, quand, la nuit se termine, quand la lumière s’allume doucement, que le petit pain au chocolat, déjà, marche la petite place, et admire la vallée de La Loire en tout là bas. Elle en a de la chance , la toto, elle a la belle vie de rouler dans ce pays si bel, et elle apprécie, et elle contemple. Merci la vie.
Et en écrivant ces quelques lignes, elle se brasse ses rubans roses et part dans une chorégraphie avec ses mots, si petits, son petit bagage maigre en elle pour partager sa vie.
Bises de belle journée, pour chacun’e’.
Comme dirait mon fils que j’aime..senseible aux douces étoffes…
Comme c’est douxdoux
Ce ciel de rose
Je me ressens dedans
Me bouge et me frictionne
Tendresses délicatesses
De bel amour
Comme c’est douxdoux…
Nu âge, sous le duvet
visage sous le plumet
ravage qui rend muet
Le ciel tend ses lèvres sensibles, et elle avance son regard pour saisir son baiser, elle est là, en tout Là, à se viv re d’aimer, et elle sait que l’instant des belles retrouvailles…
Vos photos sont de véritables haïku, aimants et silencieux. Bravo !
EtheR
Recèle halO
Oh senS
SuprêmE
RamagE
OffriR
StylO
En plumeS
Belle journée pour le voyage,
Le soleil a fait place nette,
Chaque sommet et montagnette
Reçoivent ses rayons à bras le corps.
Le bleu du ciel a tout avalé,
Plus trace d’aucun nuage dans le ciel,
Ni rose, ni mauve, ni gris, ni blanc, ni noir ;
Nous ne verrons ce soir
Qu’un petit voile au dessus de l’horizon
Sur lequel le soleil s’amusera à déverser
Ses plus belles couleurs.
Quelques coups de pinceaux sur la toile
En signe d’au revoir.
Pour ne pas avoir froid
J’aurai pris soin, bien avant,
De cueillir dans le cie,
Ton écharpe de nuage rose
Afin de pouvoir l’enrouler
Chaudement, autour de mon cou.
De cueillir dans le ciel
Bonjour les pas nombreux !
Petite chèvre
Façon Pollux
En manteau
ANGORA
Cela va de soi !
_____
http://njhurst.com/~natiel3/knitting/2006july/bendi_angora.jpg
_____
Biseeeeeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeeeeeeee
Rêve
Obscur
Sur un vélo
Eclos
le ciel c’est paré d’une crinoline
De nuages légers, aux nuances bleu et violines!
Ils ondulent délicatement sous l’effet du vent.
glissant dans le ciel avec un mouvement presque imperceptible.
Le soleil décline à l’horizon et ne laisse dépassé qu’un halo d’or.
Les vagues s’échouent avec fracas sur la grève.
La brise vient de se lever, froide;
elle cingle mon visage;
Quelques larmes troublent mon regard.
Derrière cette brume humide les souvenirs se précipitent.
Je la revois la première fois que je l’ai vue; elle portait une robe ample
et parcourais cette jetée d’un pas aussi léger qu’un félin.
L’air venu de la mer soulevait sa toilette légère;
Le soleil couchant traversait les voiles diaphanes
Et me laissait deviner l’ombre de sa silhouette.
Je l’ai croisé encore quelques fois.
Echangeant à chaque fois des sourires presque familiers.
Comme si nous avions partagé une intimité.
Parfois nous échangions quelques mots ordinaires; qui me paraissaient extraordinaire.
J’attendais avec impatience de la croiser à nouveau.
Ces rencontres n’étaient jamais vraiment fortuites.
J’empruntais les mêmes chemins sur la grève;
Les mêmes jours ; aux même heures; à la minute près !
Comme une marionnette, Mue par un fils invisible,
qui semblait la manipuler tout autant.
Petit à petit
nos rencontres se sont rapprochée;
nos mains se sont effleurés ;
Nos cœurs se sont écoutés; .
Lorsqu’elle n’était pas avec moi,
Mon esprit vagabondait comme un fantôme sur la grève.
Nous n’avions jamais flirter;
Mais, nos regards… nos gestes.. nos silences
Ressemblaient à des aveux .
Le soir nous avions pris l’habitude de nous appeler
lorsqu’un de nous se couchait.
Je restais quelques minutes suspendu à sa voix
sa respiration augmentait lorsque sa voix se taisait.
je sentais mon coeur s’affoler dasn sa cage si petite
j’avais envi de déchirer ma poitrine pour le laisser s’envoler et la retrouver.
parfois les minutes s’étiraient tard dans la nuit.
nous racrochions. J’étais plongé dans un sentiment de plénitude.
je revais à ce jour ou je pourrais la prendre dans mes bras
et l’enlacer tendrement dans la clarté rose du matin.
mon esprit apaisé, s’envellopait dans des rêves angora…
mmmmhhh, joli, Marc….
Hello Marc
Le début de ton poème serait à inclure sous une de mes esquisses …tu avais déjà écrit en Novembre un petit texte très beau
Et la brume angora y est pour quelquechose aujourd’hui
Emue elle reste là
Elle regarde le ciel
Qui l’emmène
Dans ses rubans de soi
Tirés par celui qui
Friponne de bels émois
c’est vrai qu elle est délicieuse cette image, arletteart, j’aime beaucoup son grain de ciel si sensible….
bonsoir annick et arletteart
en effet ce texte est inspiré de cette note d’ossiane et de cette peinture que j’avais vu sur ton site
bise ossiane si tu nous suis de quelque part
bonne soirée au visiteurs du soir
angora…chat alors ! non d’un birman 🙂
belles couleurs
Crépitements d’un feu
Lavis de cendres
Fougues endormies.
Angore agrippé
Le guerrier gourou
L’hagard égaré
La gare agora.
Regard vers le vaporeux du ciel
Teinté aux couleurs des enfants sages
Le frou frou des robes légères
Des longues écharpes de laines
Flotent dans le ciel crépusculaire
Un voile de fraîcheurr au dessus de nos têtes
Un rêve aux accents mélodieux
La guinguette des anges
Et se plante l’aiguille
Pour perfuser des heures
Et celle des minutes
Pour tendre le hamac tout rose
Dans le temps arrêté
Eventail délicat
De mademoiselle seconde
En brins de laine légers
En plumes au duvet soyeux
En bouquets de fleurs de coton
Le ciel s’est poudré de rose
Pour accueillir tous nos rêves
Dans son nymphée de nuages
Bonsoir Annick, ce petit nuage rose semble avoir autant d’effet que le marchand de sable
aussi je ne vais pas faire de bruit, partir sur la pointe des pieds pour réveiller personne et te souhaiter une bonne nuit.
Bonne nuit, Monique.
J’étais en pleine discussion savoir si oui ou non c’est les orientaux chrétiens ou les arabes espagnols qui avaient traduit le grand Aristote, ils sont comme ça, les moines. Oui, l’abbaye c’est comme même l’endroit le meilleur pour la poésie, je veux dire le silence, et quand la conversation se met à battre son plein, après matine, et que le rosé coule à flot, un rosé qui vous remet l’image dans l’oreille et vous chatouille l’esprit, je me demande si je vais travailler aujourd’hui, mon roman. Je me souviens quand je vous parlais d’espace. J’ai connu les beuveries lancinantes précédent la chasse à cour, le corps noir des ennemis de l’intérieur, le poids de l’enfer. La cage de ouate. Ici, le chant grégorien résonne, de nouveau je peux écrire dans l’éclair des neurones, au point précis de l’étincelle, vers le haut.
De toute sa beauté
Le ciel dedans son sein
Est la mamelle du monde
Son lait à boire pour vivre
Et le regard petit
De cet Humain sur terre
Soulève sa nuque en arc
Et se plonge le ciel
En appétît de vie
Qui aime le joli
La beauté qui se voit
Et celle qui ne se voit pas
Et qu’on nomme si tendre
La beauté intérieure
Qui vit à l ombre souvent
Dit peu ses vérités
Elle n’a rien à prouver
Car le ciel sait tout cela
Et c’est fort suffisant
Pour un regard fort doux
Qui aime aimer le bel
De toute intimité
En pudeur d’être soi
belle journée à chacun’e’.
Angora langoureux louangeux et pas fangeux
donner langue à l’oral pour passer entre deux
précipiter le sac de duvet depuis les cieux
comme un oeil de bébé oiseau
dont on ne sait de quelle espèce il s’agit
un oeil en devenir
du grandir de l’oiseau
un oeil invité à l’émergence
hors l’obscur et la noirceur
un oeil invité au festin de noces
du visible avec l’invisible
un oeil en émerveillement
dont la beauté s’accompagne de silence
d’un silence animant
cette mystérieuse irrigation
de nuages en beauté
modifiant
le champ de vision
sur lequel le regard se pose
houpette
pour soupçon
de poudre de riz,
à côté de Shalimar,
petite robe,
velours noir,
collier de perle.
Envie de grandir.
L’ai fait – sans les obtenir,
ou pas tous
Je lève mes yeux vers le ciel
Et c’est un autre monde
Il n’y a plus
De nuages roses,
De fleurs de coton,
De laine angora,
Ce cocon douillet
A fait place
Au plafond bas
D’un ciel tout gris
La page est tournée
Le rêve s’est envolé
Doux mirage
Utopie d’un paradis
Paravent de la misère
Qu’est-il devenu
Ce ciel de mon enfance
Où les nuages s’habillaient de roses ?
Je vois que nous avons croisé le même ciel!
Couleurs douces et flamboyantes à la fois
amicalement
Ah les rosses ils nous ont envoyé sur les roses
et maintenant c’est à tout va qu’ils nous arrosent
pourtant il va falloir faire quelques chose
Qui au peigne fin la laine a voulu carder
en levant la tête, bien haut regarder
point besoin l’illusion encore retarder
Dors mon bébé
Dors
La gaze du ciel
Pour te chauffer
Rose étoilée
Regarde cette pluie
D’étoiles si belles
Elles tombent pour toi
De ce ciel rose
Ferme tes yeux chéri
Le ciel te garde
Mon trésor
Elle regarde le ciel
De ses yeux amoureux
Et le voile de rose
Parcourt l’immensité
Et vient doux se poser
Sur les lèvres de l’aimé
Bonne soirée à tous les passants de l’Oeil Ouvert
___
De voir ce ciel si beau, si frais, si doux
Je sentais comme une tendresse à portée de main
Je levai mes bras vers l’Olympe
Mais il était si distant, si fier, si loin
Que jamais mes doigts ne purent l’atteindre
J’ai gravi la montagne
Et suis montée très haut vers les sommets
Mais le ciel ignorant ma peine
S’est joué de ma requête,
Aveugle dans sa beauté.
Le rêve était absurde mais mon coeur y croyait,
Toute une tendresse contenue, perdue dans le silence
Noyée dans l’océan des petits nuages roses.
Pour qu’enfin en de profondes ténèbres
La nuit engloutisse mes folles espérances.
___
Et bien tout le monde a l’air de faire la grasse matinée ce matin !
Explication :
Lové(es) en boule
Au coeur de la pelote
Chaleur ANGORA
Dormez bien !
Biseeeeeeeeeeeeeeeeees du matin !
Jour d’hiver, silence
Ciel plat, gris de février
Mais les oiseaux chantent
J’irai sur le chemin
Respirer l’air frais du matin
Ecouter les oiseaux
Faire naître en mon âme
Un ciel plus bleu et plus rose
Le soleil du coeur
La belle balade
Dans l’océan de silence
En marée d’hiver
C’est joli, Monique, cela donne envie de cette ballade..mais une délicieuse grasse matinée, je ne peux tout avoir…sourire…
Belle ballade, oui Annick mais je dois avouer un peu fraîche et humide, la nature semblait s’être arrêtée de vivre, pas de couleurs, un ciel bas, pas un bruit, pas un mouvement, sauf le vol de deux canards sauvages traversant mon ciel à la vitesse d’un éclair noirs sur gris. Tu n’étais pas la seule semble-t-il à faire la grasse matinée et pour toi au moins il y avait ciel rose et matin chaud.
Beau rouge à lévre dispersé en nuées ardentes
qui volétent et déposent alors milles baisers
comptine turque
astrakan et alpaga
tonton
et tontaine
brins de laine
fleurs de coton
Une chèvre d’ankara
et un lapin angora
s’aimaient d’amour tendre
le fier astre khan
les alpagua
on jugea l’une à vendre
et l’autre à pendre
astrakan et alpaga
tonton
et tontaine
brins de laine
fleurs de coton
Mots de poètes pour les poètes
La poésie est un réflexe de survie
Une effraction continue
La persistance du souffle
Le vrai coeur de la planète
Le contraire de l’inhumanité croissante
Zeno Bianu
Belle et douce soirée angora
Un ange passe dans le soir tombant, sans bruit, seules émanent quelques effluves de rêves ressemblant à du bonheur
_____
J’ai vu dans le ciel
Roses, douces et légères
Les ailes d’un ange
___
Bonsoir à l’équipage et au Capitaine du vaisseau !
_
Point de croix
Point de fer
Point à l’endroit
Point à l’envers
Point angora
Point mousse
Tout à l’endroit
Tout à l’envers
Avec des aiguilles
Pour un nuage
Rose
___
Bonsoir à vous !
Ah, Dame Bourrache,
Ben va falloir encore
Tricoter une écharpe
Pour Ossiane ?
Me semble que j’en avais déjà fait une,
Mais c’était pour la saison printemps été 2008
Plus exactement, le 27 avril….
Allez voir si le modèle vous convient
Dans la note :
TRIANGLE !
Le même en ANGORA,
Sera encore plus chaud
Plus doux, plus léger…
etc…
On peut changer les points
Si vous le désirez,
On peut aussi changer le modèle
A la place des étoiles,
Peut-être des Lunes ?
Biseeeeeeeeeeeeeeeees du soir !
Et « clin d’oeufs » à Bourrache !!!
plumes envolées
souffle éphémère de douceur
l’envol d’un ange
.
Bonsoir
Juste un petit saut sur le blog pour faire un signe, vous dire que je suis bien rentrée et vous remercier de tous vos poèmes déposés tout au long de ma semaine d’absence. Merci pour tout !
Une semaine bien remplie, riche de paysages, de sensations, de rencontres.
Je vais reprendre progressivement le cours du blog d’ici un à deux jours le temps de reprendre mes esprits et de récupérer un peu;-)
Je vous souhaite une bonne nuit et vous dis à demain.
Ossiane
.
Un nuage de rouge
couvre le ciel de passion
L’air ni même bouge
douce contemplation
Bonjour Ossiane
Bonne semaine dans le midi où le temps t’a fait bon accueil, il n’en est pas de même aujourd’hui, c’est donc pour toi une belle réussite qui semble t’avoir beaucoup apporté sur tous les plans. Je suis contente pour toi. Bonne reprise.
____
Dans son ciel douillet
Le petit nuage dort
porté par les vents
Il attend la nuit
Pour se fondre dans les nues
Et conter ses rêves
C’est un enfant sage
Dans son royaume céleste
porteur de beau temps
____
Osisane savait qu’il fallait le mettre dans ses bagages, le soleil veillant sur lui, veillait aussi sur elle.
bonjour Ossiane bonjour à tous
—
comme un chat endormi
le blog ronronne doucement
l’oeil en alerte près à bondir
bonne journée
http://fr.youtube.com/watch?v=DUcJWaC-2Co
Je viens de découvrir ce blog, un vrai régal pour les yeux, merci pour la balade !
@+
La pluie ne cesse pas et les roses promesses se diluent en ce ciel lourd
« Je sais les cieux crevants et les trombes
Et les ressacs et les courants
Je sais le soir
Je sais l’aube exaltée ainsi qu’un peuple de colombes
Et j’ai vu quelquefois , ce que l’homme a cru voir »
L e bâteau n’est pas encore à la dérive ….!! Chère Ossiane
Et le chat ronronne
Et son coeur tout de doux
Se brasse des ondes roses
Il parfume le ciel
De buées et vapeurs
Qui étourdissent bel
D’un amour croustillant
Qui donne aux lèvres douces
Un goût sucré d’épices
Que le temps ce délice
Garde intact Aujourd’hui
L’angora serait ce donc si douillet …au point de s’endormir
si soyeux …qu’il nous serait loisible de défaillir
l’angor ah …si seulement c’était celà qui nous travaillait
mais dans un ciel …parsemé de poudre de roses
on ne cherche pas les ronces…le regard ne fronce
on s’ouvre comme les pétales…jamais on ne détale
Angkor vat nous paraît si loin, Ankara trop européen
Angora apelle le tissage et le lissage
en carafe le ciel nous fait tomber
avec les derviches nous tournicotons
avec ou sans barbiche
la chèvre comptes ses gains
Meltem ou sirocco
saupoudrons les abricots
soufflons sur ce lokoum
qui plus loquace comme locum
nous renverse la tête
nous donne un air de fête
cette pink parade sans ink
c’est vraiment renversant
Roses prouesses qui jamais ne signent mieux d’éros les caresses
Roses tendresses qui n’ignorent pas les superbes espèces
Roses genèses qui évacuent les provocantes laisses
Roses aléses qui bordurent le ciel comme tentures
Roses fraîcheur qui donnent au souffle de la couleur
Roses vigueurs qui mettent en émoi tous les sens
Roses torpeurs qui contre battent le mal d’amer
Roses minceurs qui cachent à peine diaphanes
Et elle serre contre son cou l’écharpe belle de rose, et puis sa main délicate lui tend son étoffe de parfum, à son aimé de coeur pour qu’il la serre fort, fort, bien plus fort encore.
Et le baiser du ciel se done à l’infini, tandis que le regard, s’offre de tout son corps quand les mais se rejoignent, que l’approche se fait tendre et que l’union si grande frémit belle envie d’être.
23 h 22…
C’est l’heure de la couette
Toute pleine de plumettes
Chaleur du duvet
ou
Chaleur d’Angora
L’embarras du choix !
Et je dors à moitié
En baillant
Enormément
Penchée sur mon clavier !
Biseeeeeeeeeeeeeeeeeeees du soirrrrr !
Je contemple le ciel en cette nuit d’insomnie
Il est noir et sans étoiles, dans l’encre des nues
Un nuage frêle et innocent a disparu
La lune absente l’aurait-elle mis à l’abri
Des orages et des nuages menaçants
Le soleil l’aurait-il emporté de l’autre côté
De la planète ou les enfants sont éveillés
Il filait vers l’horizon à la tombée du jour
Il doit connaître le chemin pour tourner avec la terre
Il est si léger qu’il lui suffit de se laisser glisser
Des bras du crépuscule dans les bras de l’aurore
Sans avoir à appréhender ni le noir, ni le froid de la nuit
Bisou Monique et Christineeeee. Welcome home Ossiane !
Le reflet d’une histoire
dans un désir de rose
se dessine angora
dans les pages bleues du ciel
La douceur se dépose
traîne d’amour épanouie
art mot nid du sensible
où s’endort le poème
On est tous évanouis par le baiser du ciel?!
–
^-^
–
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(avouez : mon sourire sybillin …
c’est déjà mieux que rien, hein !)
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si-byl-lin, si-byl-lin et si-sol-do-fa…
(question de replacer l’y à sa juste place)
http://www.youtube.com/watch?v=h3MuEyMZu7g
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« Art mot nid du sensible » Lou c’est très subtil et très joli
Bonjour à chacun, évanouis ou endormis, subjugués ou transis, Annick peux-t-on savoir !
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Chaque état d’âme prend la couleur de son ciel
Les pieds dans les flaques d’eau font des vagues
Et les branches qui s’y reflètent écrivent
Des mots qu’on ne comprend pas
On cherche dans l’étang le reflet d’un nuage
Mais une petite bise vient brouiller l’ardoise
Le ciel est trop gris et la nature s’ennuie
Alors, on lui parle d’hier lorsque le soleil
Illuminait la terre et qu’un petit nuage rose
Beau comme les plumes d’un oiseau
Parcouraient le ciel dans sa douce lumière
Et tout redevient lumineux et souriant
Le souvenir gagne sur la grisaille du temps
Le bleu, le rose le rouge tendre réapparaissent
Et le petit vent à la douceur d’un brin de laine
Le ciel a la beauté d’une fleur de coton,
La couleur des plumes d’un flamand rose.
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L’hiver continue son oeuvre avec cette année beaucoup d’application, peut-être un peu trop à mon goût, la neige c’est joli, mais ce n’est pas l’avis de tous !
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Bôôôôôô, Monique.
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Dans l’attente d’un printemps bleu …
http://www.cfaitmaison.com/culinaire/fleurs.html
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Le ciel ce tendre ce bon
En bel amant fidèle
La laisse toute seule
Sur sa couche fort douce
Ses yeux se sont fermés
Elle ressent le palpitant
Qui doucement se pose
C’est si bel d’aimer fort
De tout son corps en être
Et le ciel la regarde
Emu et désirant
Déjà il rêve fort vite
Au baiser tout de suite
évanouis ou endormis, subjugués ou transis, Annick peux-t-on savoir ! » je te cite Monique,
c’est vrai qu on ne peut pas savoir quand on ne se voit pas ou qu’à travers nos mors,
je suis un peu de tout ça, ce jour, évanouie, endormie, subjuguée, transie, paisible, passionnée, curieuse…mes mots se reposent un peu, mais mon regard se vit encore…
JE SORS DANS LE SOLEIL, dans l instant d’après. Et je vous envoie de la lumière, je vous embrasse. Bises tendres et belles.
Merci Bourrache… pour les recettes à fleur de pot !
Et pour ce qui est du bleu,
Le ciel en est tout plein…
à 14 h 51 !
Biseeeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeeeeeeee
Hier j’observais
les Pelottes de nuage
se boulocher dans le ciel!
trace du temps qui passe
je les ai récoltées sans que personne ne me vois;
Le ciel est devenu d’un bleu immaculé!
En soirée j’ai attendu que la pénombre
enveloppe l a ville et les rumeurs,
et j’ai dérobé les couleurs du crépuscule!
j’ai attendu patiemment la nuit;
j’ai décroché subreptissement
un échantillon de drap étoilé
que j’ai cousu avec du fil de lune
pour en faire un édredon!
j’ai mis ces petites boules pelucheuses à l’intérieur
j’ai refermé le tout avec soin!
je me suis allongé sur un matelat d’imaginaire,
je me suis couvert avec la voie lactée;
posé ma tête sur l’édredon
et
je me suis mis à rêver…
bonne après midi à chacune et chacun
Ouhh, Annick tu fais bien de reprendre ma phrase car le « x » peut-on savoir ce qu’il est venu faire dans le soleil de notre ciel ? je ne peux savoir !
Bonjour Bourrache, merci pour tous ces enseignements sur les fleurs et pour Barbara, un délice que tout cela!
Bonjour Christine sous ton ciel tout bleu, ici il est tout gris.
Bonjour Marc et jolis rêves sur ton édredon de drap étoilé cousu en fil de lune et laine de nuage enveloppé dans la voie lactée .
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Monique et son x.
Moi et mon y.
Un amateur pour le z ???
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mmmmhhh, c’est beau, Marc…
mmmmmmhhh, Bourrache, je suis amateur pour le z….SOURIRE…pleine gorgée de bel soleil de dehors, je suis encore plus réveillée, réanimée, vivante de plein….et puis je suis amateur aussi pour le w, je vous emmène dans un wagon, pour cueillir le beau et le revivre en déballant son petit morceau de tissu à carreaux de vie, tout rouge et blanc, pour se manger et croquiner des belles douceurs, je suis une gourmande….DE VIE!
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Bonjour à tous et merci pour votre chaleureux accueil ronronnant et patient sur cette note rose angora ! Un peu de mal à me remettre dans le bain, alors finalement, je prends mon temps;-)
Merci aussi aux tricoteuses en tous genres et notamment d’écharpes angora;-)
Je suis également amatrice du « z » de zéphyr;-)
Bienvenue à Un photographe amateur de nature 😉
Belle journée à vous!
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test