D’ici et d’ailleurs

D'ici et d'ailleurs

D'ici et d'ailleurs

D'ici et d'ailleurs

D'ici et d'ailleurs

Ombres planantes sur rêve de Toscane en terre de Sienne

Ombres planantes sur rêve de Toscane en terre de Sienne

Ombres planantes sur rêve de Toscane en terre de Sienne

Ombres planantes sur rêve de Toscane en terre de Sienne

Lecture du Haïku Calligramme: bas, haut, centre

Ombres planantes
sur rêve de Toscane
en terre de Sienne

Terres de Champagne en Toscane. Petit clin d’oeil à la terre d’Alice …

92 réflexions sur « D’ici et d’ailleurs »

  1. Douces aquarelles planantes
    Rêve d’improbable voyage
    Véhicule en attente dans l’entrelac des songes
    Harmonie ,mon amie
    Douce journée à vous
    AA

  2. Quelle magnifique série de variations

    bravo ossiane, tu as sorti toutes tes craies de couleur
    je crois bien qu’il n’y en a plus dans la boîte 😉

  3. je vous rejoint que c’est bôoooooooooooooooooo

    déclinés à l’infini
    je(ux) d’ombre et de lumière
    altération vers un autre moi(s)

  4. domino rêvant
    dans le rectangle l’horizon
    la rotondité

    croisée des chemins
    étendue à l’horizon
    deux dominos joints

    on the road again
    domino arc-bouté
    contre l’horizon

  5. Dévisager l’ultime
    Retrouver sans faille
    l’ouvert
    Où se donne
    la vie entière
    En son inaltéré
    va-et-vient

    Entre la cime d’ici
    et l’horizon
    Un aigle trace
    le cercle du soir
    Qu’un éclair recueille
    en passant

    A temps ou
    à contretemps

  6. l’ombre et la lumière!
    l’un sans l’autre,
    n’est qu’obscurité ou aveuglement!

    la vie et la mort!
    l’un sans l’autre,
    n’est que qu’utopie et ruine de l’esprit!
    —-
    droite et rondeur!
    l’un sans l’autre,
    n’est qu’invisibilité et rengaine!

    nuance et contraste!
    l’un sans l’autre,
    n’est que confusion et superficialité!
    —-
    ici et ailleurs!
    l’un sans l’autre,
    n’est qu’inertie sans rêve!

    à l’infini le monde est dualité et complémentarité
    l’homme et la femme n’echappent pas à cette maxime
    —-
    toi et moi!
    l’un sans l’autre
    n’est que liberté sans avenir!

  7. Campagne tienne
    peinture a tempera
    terre de Sienne.

    Qu’y a-t-il de plus beau qu’un paysage cultivé
    la terre ratissée
    belles ondulations fertiles
    images pacifiées ?

  8. Damier

    Sur le côteau les tours s’intallent
    les cavaliers-nuages s’élancent
    les fous, entre les arbres-pions se faufilent
    la couleur est reine
    le roi en goguette
    par monts et par vaux

  9. ne domine
    ni l’eau ni le feu
    ne croise pas
    ton chemin
    avec les seyantes rotondités
    des collines environnantes

    sois libre

    sois craie de couleur
    en la palette endimanchée
    d’une polychromie de fête douce
    au mystère accompli

    hors les murs
    et la violence
    du noir
    du trait
    des remontrances
    et du rouge
    du sang
    des naissances
    il est des beautés à découvrir
    telles des dragées
    disposées
    au hasard des papillotes défroissées
    et que la menotte
    de l’enfant émerveillé
    porte en bouche
    sans l’ombre
    d’une hésitation

  10. L’ombre ne s’appesantit pas
    mais révêle la profondeur
    déclinaison dynamique et animée
    car le paysage a une âme sensible
    qu’il expose dans le champ tournant

  11. Couche après couche
    La vie son lit
    Il tombe neige
    Le rayon de miel
    Poussières d’étoiles
    Un arbre à fruits
    Un rire partage
    Complicité
    La gravité
    Bulles murmures
    Caresses tendres
    Au plus profond
    La vie

  12. Tracé monotone
    Ligne brisée, artefact
    Chamade d’un coeur pur.

    Onde de mots, vers
    Les ombres prient vendredi
    Haïkus sous vitraux.

    Tendresse in vitro
    Dans les eaux troubles,
    Un coeur aimé
    Culture de l’oubli.

    Aux arbres citoyens
    Les ombres sont des dais
    Le coeur y grave les troncs
    Les feuilles verdissent la terre
    Sienne, mienne et tout est leurre.

    Rêve de plat pays et Paris
    Quai de Seine, se lisent nos écrits
    Le ciel atteint son crépuscule,
    La terre s’étire un vert de gris
    Sur ses collines planent des nuages
    Qui ressemblent à des poésies.

    La liberté, force de l’esprit
    Des lignes et des lignes d’écritures
    Des grappes de bonheurs en fruits mûrs

    Au silence muré cœur au vent
    A la santé des ventricules
    Qui se meurent ou revivent ailleurs
    Des rêves, souvenir domino.

    Orient de croix-lunes
    Arabesques à la croisée des lys
    Étale de fleurs au coeur

    Carreaux de la journée prochaine,
    Ensoleillée, voile d’un été
    Dans nos destins, rencontres, hasard
    Des mots liés en bras de mer
    En bras de terre entrecroisées
    Avec des issues en impasses.

    C’est au petit matin quand la rosée m’effleure
    Et que de froid frémit l’épiderme mis à nu
    Par la brise qui se perd au fond de mon jardin
    Que ton nom me revient comme une déchirure.

    Il s’en va souvenir ton regard vert bouteille
    Dans les tendresses de mon oubli, ainsi ne pleurera pas, dis
    Mon coeur qui se languit de vie
    Après tout rien n’aurait abouti, toi et moi deux mondes qui s’éloignent
    Au labyrinthe de mes écrits
    Dédales des armes sans cartouches
    Des rires éteints, nos coeurs en touche.

    Chacun reprend une autre vie
    Moi vagabond en pleine misère
    Toi fée de notes en capeline
    Un moment dansaient orphelines tes espérances sans grand amour
    Tu me voyais, las, immobile, revenu d’un autre voyage
    Sans lendemains tu n’y étais que pensées de lune sur ma main.

    Je refermais mes idées folles, toi absente jusqu’au jour où l’arbre
    L’arbre de mousse mit à ma vue
    Un pan de ta robe rouge de vigne
    Plaquée sur une photo d’antan.

    Je meurs de ta pensée cruelle
    Je me tue, tu passes et mon corps
    Te rappelle quelqu’un, un vécu
    Oui c’était moi, aux ruines du temps,
    Sur le parvis de l’abbaye
    La cloche sonne, les terres au loin
    Ont des ombres qui planent au dessus
    Comme des élytres de nos fantômes
    En rêve, un pays de cocagne
    Une terre de Sienne
    Si la Toscane m’est contée en si douce beauté
    Moi femme d’ici, poète d’ailleurs
    Alors la vie est belle, bel de bel hein Annick?!

    Librement inspiré des souffrances du jeune Werther et de la terre source.

  13. Le rêve d’un nuage
    Naître sur le rivage
    Dessiner sur la terre
    Des pastels éphémères
    Et sous son ascendance
    Un tourbillon de danses
    Aspirer dans son air
    Les chagrins de l’âme
    Effacer d’un passage
    L’ombre des silhouettes
    Tamiser en gouttelettes
    Le soleil sur ces pages
    Voir la terre défiler
    De Toscane à l’Annam
    Puis bientôt tout gonflé
    De la tristesse des drames
    Des soucis d’ici
    Des malheurs d’ailleurs
    Quitter l’amer humain
    Pour retrouver la mer
    Et fondre en larmes
    Vague océane enfin

  14. Bonjour entre deux averses et trois rayons de soleil !

    ****************************
    L’ombre des nuages
    En si large pinceau,
    Dessine en un passage
    Sur le damier des champs
    La couleur des saisons
    Et la couleur du temps

    Printemps…
    Du vert tendre

    Eté…
    Couleurs de blés

    Automne…
    Rouille et ocres mêlés

    Hiver…
    Neige et froids gelés

    Et sur la douce colline
    Défilent les saisons
    Et défile le temps
    Qui nous fait voyager

    ICI…
    Dans un rêve éveillé

    AILLEURS…
    Sans avoir à marcher !

    Biseeeeeeeeees vagabondeeeeeeeees

  15. La vie n’est pas belle, bel de bel, Leila, ce matin, mais elle est paisible et si calme, je l’apprécie fort, le palpitant est tendre, si doux, apaisé…merci Leila pour tes pensées.

  16. L’Homme s’est assis devant sa toile
    Il a pris ses équerres, sa rêgle
    Et puis toute en géométrie
    Il l’a tracé sa vie
    Et quand sa peinture explosa
    Il reprit une feuille blanche
    Et de sa main caresse et tendre
    Il laissa vivre sa plume douce
    Pour la vivre délicate sa vie
    Au plus près de son coeur
    Pour se vivre en tout dedans
    Son sourire épanoui dehors
    Dans les couleurs du temps

  17. Et mon instant est bel
    Leila
    Il se vit en couleurs
    De mes doigts
    Et je remercie
    Ô le temps
    Qui m’offre son tant
    Et murmure à chacun
    Un bel après midi

  18. Une campagne si rayonnante
    Qu’elle semble être un effet
    Du rêve et de l’imagination.
    Paysage d’un monde
    Venu d’on ne sait où,
    Terres où règnent la grâce,
    Le silence et l’harmonie.
    Où l’ombre légère
    Des ailes d’un ange
    Caresse tendrement le vallon.
    L’âme est sereine
    Et les pensées sont paisibles.
    Les arbres posés çà et là
    Semblent être les gardiens
    De cette beauté triomphante
    Où suis-je ?
    Je ne sais plus
    Terres de Champagne
    Où terre de Toscane ?
    Dessin, peinture ?
    Je ne sais plus
    Mais je sais que c’est beau.

  19. Hello Annick
    Belle de bel en son domaine
    Je ne puis répondre sur ton site
    Et ni comprends goutte
    peut – être même on ne peut t’écrire
    Belle de bel en ton domaine
    AA

    J’aime beaucoup ta joie de vivre et la façon dont tu appréhendes la vie
    Ceci est un aparté particulier !!! désolée
    àAbientôt dans les enlacements de Sienne d’ocre et de brune rousse

  20. Hello Annick
    Belle de bel en son domaine
    Je ne puis répondre sur ton site
    Et ni comprends goutte
    peut – être même on ne peut t’écrire
    Belle de bel en ton domaine
    AA

    J’aime beaucoup ta joie de vivre et la façon dont tu appréhendes la vie
    Ceci est un aparté particulier !!! désolée
    A bientôt dans les enlacements de Sienne d’ocre et de brune rousse

  21. Déjà je sursaute quand on me cite,
    et voilà qu’on recite, j’aime bien l’inaperçue, mais c’est si bel gentil d’écrit….
    heureusement je me pouffe de me pouffer d’émotions,
    bien le bonjour arlettart, sur quel site ne peux tu écrire? bizare car mes portes sont ouvertes, et c’est juste une étourderie de ma part qui m’a fait fermer une porte, sous l’émotion…
    Je vais faire attention de pas me doublonner…heinhein..parfois de souvent, je traficotte l’ordi…

  22. Une pièce montée
    De toutes pièces
    Qui se vit son rideau ouvert
    Ou la tenture rouge fermée
    D’année en année
    Pour l’escalader dramatique
    Ou rigolotte sa scène de vie
    En choux à la crème
    Ile flottante de miel
    Tendre baba au rhum
    Religieuse en éclairs
    Mille feuilles de vie
    Fruits de la passion

  23. Ce site est mensonger.
    c’est un scandale, nous faire que la Champagne offre de si belles couleurs,
    de si beaux paysages…
    La Champagne c’est souvent triste et gris
    monotone et plat, c’est déprimant,
    c’est de l’openfield à perte de vue.

    à moins qu’Ossiane, la fée ne passe par là et nous enchante.
    Le proverbe chinois dit que « « le paysage est à la fois devant les yeux et derrière les yeux »
    http://www.cafe-geo.net/article.php3?id_article=152.

    PS en réponse à Ossiane dans une note précédente :
    le finage et le terroir sont deux notions différentes en relation avec l’analyse paysagère.
    Le terroir renvoie à une portion de l’espace qui réunit certaines qualités et certains critères comme l’exposition, la pente, la nature des sols, le climat et pourquoi pas la couleur de la terre comme aujourd’hui.
    Le finage est une notion juridique désignant un territoire possédé ou géré par une communauté (jadis une paroisse, une seigneurie et aujourd’hui une commune). Ainsi une communauté peut mettre en valeur son finage en exploitant plusieurs terroirs.
    En Champagne il existe trois ou quatre terroirs différents : le terroir de plaine céréalière, le terroir de vallée alluviale herbagère, le terroir de côteau viticole, et enfin le terroir de plateau forestier.
    Mais tout ceci est très théorique car la vigne peut glisser dans la plaine, la forêt suivre la rivière et les cultures gagner les plateaux défrichés. La plaine elle même n’a pas toujours été céréalière.
    C’est dans le vignoble que la notion de terroir va être la plus complexe. Elle est à l’origine des appellations, des classifications des crûs par exemple.
    Le coteau sud de la Montagne de Reims est classé « 100 % grand crû » par la qualité de son terroir présentant des conditions pédologiques ou climatiques optimales…
    Ce n’est pas Mr Loisel qui me contredira, n’est ce pas Rémy ?
    http://www.chateauloisel.com/analyse/terroir-montagne-reims.htm

  24. Elle est d’ici
    Elle est d’ailleurs
    Est elle plus ici qu’ailleurs
    Ou plus ailleurs qu’ici
    Elle le sait
    Elle
    Sur son tapis volant
    Ou sur les ailes de son hirondelle
    Elle serre son ailleurs
    En se serrant ici
    Tellement
    Celle d’ici et d’ailleurs

  25. Les nuages passent
    Sur le tout de bas
    Qui regarde passer la vie
    Où cela vit
    Tout simplement
    A la serrer d’aimer

    belle fin de journée, et bon début de week.

  26. Annick, (ne sursaute pas) Amusant de te lire avec toujours autant de bonheur, tu parles d’hirondelles, j’écrivais cet après midi, les hirondelles ont déserté notre ciel….On pourrait croire, soit la transmission de pensée ou alors nous avons pris les hirondelles pour des pigeons voyageurs, un aller et retour entre toi et moi, mais alors c’est que j’ai un réel problème de vue si je confond les hirondelles et les pigeons ! 😉

  27. Des visages d’une terre des couleurs enchantées
    Les pinceaux se concertent le brun est adopté
    Il entre en piste seul, séduit les voyageurs
    Ravi le mouvement se* valse en douceur

    Le rose le bleu le vert en pas s’avancent et vont
    Se mêler aux marrons des teintes effloraisons
    L’ici où l’ailleurs est l’exécution progresse
    Dans l’espace où se meut en moments la tendresse

    La force et l’énergie traversent alors intenses
    Et prennent avec adresse possession du décor
    Les frissons à mille temps submergent le silence

    La charmante carnation de la terre se pénètre
    De ces reflets de l’eau que la lumière caresse
    La peinture haletante nait d’un bonheur champêtre

    *Se valse = délicieux emprunt Annickien 😉
    bisou et bon week-end à l’équipage

  28. Combien de fois devant la splendeur d’un paysage s’est-on dit, je voudrais que ce tableau reste gravé en ma mémoire, mais les images souvent éphémères ne laissent qu’un souvenir flou, seule l’émotion garde de sa puissance. La photo est un merveilleux moyen de faire revivre ces moments d’exaltation.
    ___

    Je regardais longuement
    Ces lambeaux de terre
    Tissant sur le sol
    La toile de l’envie
    Frisson, émerveillement,
    Les couleurs s’impriment
    Sur le point de hauteur
    Où la beauté s’inscrit
    Et laisse appaître
    L’horizon de l’espoir.
    L’émotion d’ordre esthétique est née
    Elle ouvre la voie de la contemplation
    Et le rêve doucement s’installe.
    De crainte de voir disparaître
    Ce qui fit naître cette impression de plénitude,
    Je plonge ma tête dans mes mains
    Afin d’inscrire ces images
    En l’intime de mes souvenirs

  29. L’ombre plane et inonde,
    Puissante et insolente,
    La terre qui n’en peut mais.
    Le soleil la pourchasse
    De plaine en pré, en champ,
    D’un val, d’un coteau l’autre.
    Ils s’amusent à ce jeu
    De toute éternité
    Sans perdant ni gagnant.
    Leur galop est invite,
    Défi, pour ceux qui tentent
    De figer ces instants…

  30. Bandes vertes et parures arborées
    ici…et maintenant
    dans un ensemble marbré
    veines argentées
    et stries brûlées
    azur immaculé

  31. La pureté contraint
    Au silence
    Parfois

    Qu’importe
    La soumission
    Forcée

    Ici ou ailleurs
    Ton ombre
    Vit

    Pécher
    En pensée
    Par acte
    Par omission

    Que dites vous ?
    C’est interdit ?

    Sachez que
    Mes pensées
    Sont libres

    Sachez que
    Mon jardin secret
    Brille de mille feux

    Et si cela vous dérange
    Sachez que je n’en ai cure

    Point …

  32. Que sont ces ombres filiformes qui envoutent
    attirent du regard dans le défilé agreste
    décharnés et bien loin mais presque célestes

  33. Sur l’oppidum veillent les sentinelles
    balayant à l’avenant la plaine
    et l’éventuel retour des sauterelles

  34. Elle pleure,
    Le soleil la console.

    En cycles immuables
    s’évapore l’encre lune.

    L’aube au dessus des plateaux
    Allume les ombres de rose.

    Demain sera nouveau
    Demain sera meilleur.

  35. Chape légère et fugacement écrante
    écharpe multicolore qui se déroule
    bandes entrecroisées qui se crantent

  36. Le buis deux fois au puits
    S’abreuva de haïkus
    Le seau empli de vers
    Gouttait de eeeeeeeeee la nuit
    Ploc, ploc, ploc.
    Bis repetita placent.

  37. Elle est sienne et d’ailleurs…je ne reconnais pas ces couleurs….je ne sais pas quelle est cette attirance…j’ai juste le coeur sous influence…C’est une terre de nul part….avec des lignes qui nous séparent….et des vagues de lumière….sur un ciel de hasard…Elle est sienne et moi d’ailleurs…on naît pas sur les mêmes pages…on se crée un pare-coeur….on devine les visages….C’est une fenêtre sans âge….avec des creux de douceur….l’horizon sans rivage…et des lettres de couleur…C’est juste un message personnel…. un fil dans la mer….une vague qui s’envole…et des mots trop serrés….dans un coeur qui éclate….C’est juste une part de rêve…pour des lèvres affamées…par la même attirance…et le même baiser…Elle est s’ienne et je t’m pour une lettre égarée…

  38. Les Saisons / Jean Ferrat

    Ah les saisons Ah les saisons
    Je ne me lasse pas
    D’en rêver les odeurs
    D’en vivre les couleurs
    D’en trouver les raisons
    Ah les saisons Ah les saisons

    Je serai l’automne à tes pieds
    Tu seras l’été à ma bouche
    L’hiver aux doigts bleus qui se couche
    Nous serons printemps fou à lier

    Ah les saisons Ah les saisons
    Je vais sans me lasser
    En guetter les rumeurs
    En voler les ardeurs
    En vivre à tes côtés
    Ah les saisons Ah les saisons

    Voir un seul hiver t’affamer
    Encore un été t’épanouir
    Encore un printemps t’enflammer
    Un seul automne pour en rire

    Ah les saisons Ah les saisons
    Je ne me lasse pas
    D’en distiller les fleurs
    D’en jalouser chaque heure
    D’en mourir sans raison
    Ah les saisons Ah les saisons

    http://www.dailymotion.com/relevance/search/les%2Bsaisons%2Bjean%2Bferrat/video/x6h1gy_les-saisons-jean-ferrat_music

  39. Pierre b. Beaucoup de romantisme dans ce message qui s’envole comme sur la bague d’un pigeon voyageur, c’est très joli.

  40. merci Maria-D de nous avoir donné à réentendre cette si belle chanson de jean Ferrat qui accompagne si bien les images d’Ossiane, bonne soirée.

  41. Terre de Sienne Brûlée par les ardeurs
    on hûme au loin de si bonnes odeurs
    pourtant pas de saturation de la couleur

  42. Maria-D : l’est trop forte, trop fine notre Ôssiane … elle a subtilement rebondi sur les 4 saisons de Vvaldi … et moi, je l’ai pas remarqué !
    Merci (et pour Ferrat aussi).
    _

    Pierre b. : …
    _

    Annemarie : j’aime bien tous tes points d’interrogation … j’en rajouterais volontiers quelques-uns (le choix que nous demande Ossiane est bien trop … déchirant !)
    _

    Pour votre dimanche, une phrase relevée dans un de mes courriers :

    « On ne peut empêcher les oiseaux de la tristesse
    de voler au-dessus de nos têtes
    mais il est toujours possible de les empêcher de faire leur nid dans nos cheveux. »
    _

    Bonne, fructueuse recherche et biz à tous.
    _

  43. Dans la clarté du matin, un soleil,une lune pâle palabrent des oiseaux hors du nid des cheveux de la fée.

    Bonjour à tous sous le soleil d’hiver joli.

  44. J’ai fait miennes tes paroles
    pour fouler la terre de Sienne
    et du Chianti je bois à la tienne
    ainsi donc irait l’antienne
    plus rien alors qui me retienne
    mais justement la mer Tyrrhénienne
    me tend les bras pour que revienne
    des mythes anciens la belle siréne
    je veux bien perdre mon latin
    en joyeux drille et paladin
    courir le monde et assiéger
    les belles de mes assiduités
    chacun ici joue son rôle

  45. Vivaldi était vénitien, ce qui n’est pas un cas rare
    il enchantait les patriciens et traçait comme Palladio
    de l’harmonie à grands traits et coups d’archets
    quatre saisons ce n’est rien de trop pour signifier
    ce qui est beau dans la nature en clair et en obscur

  46. .
    ———————————————————————

    Après une petite tourmente, une petite accalmie… je viens vous dire bonjour les amis 😉

    Merci d’avoir apprécié cette série de photos sur une Champagne qu’on n’a pas l’habitude de voir . Très belles lumières inespérées ce jour d’été là. Vos poèmes d’une grande beauté et intensité sont donc à l’unisson de ce que j’ai voulu faire passer. Un grand merci à vous tous pour tout ce que vous avez donné de vous. Quelle inspiration Fred et thierry ! Merci également à François pour ses précisionssur le finage. Je connais en effet mieux les attributs du terroir 😉

    Coucou spécial à MioModus, Nigra, pierre b, Maria, pour leurs jolies visites en pointillés et à Bourrache pour sa chronique commentaireset son dessin animé en vivaldi 😉

    Et puis bien sûr plein de bises à tout le monde.

    Bel dimanche plein de soleil

    Ossiane
    .
    ———————————————————————

  47. Mon Ici et ton Ailleurs
    ne se ressemblent pas.

    Ailleurs,
    Ici,
    confondent leurs saisons

    Mon été fait rêver:
    la neige est rouge sang.

    Ton hiver est pétales:
    des blanches fleurs de givre.

    Ton frimas m’ennuage,
    l’écriture
    aux doigts gourds.

    Mon ciel est un orage,
    immense
    aux chaudes larmes.

    Tu dépeins l’improbable
    au lavis grise mine;
    imagines le vide
    aux couleurs crayon gras.

    Je crée ce que tu vois,
    en un lieu si lointain.
    D’ailleurs
    Tu n’y crois pas.

    Silence! on nous écoute…
    Parfois les hommes grondent,
    enflamment leurs violons…
    Et dansent sur les notes
    d’un génie d’autrefois.

    http://fr.youtube.com/watch?v=u12_M4I2KxE&feature=related

  48. Au sommet de la colline
    Nuances d’ombres passent
    Dans le ciel clair une hirondelle
    Surprend la lune qui dit des maux
    Au soleil d’or, sur des rayons de blé
    Or, le soleil a des lumières
    Et le blanc de lune des éclairs..vagues sourires, moisson de courage, la terre humide, boueuse, désolation des mottes labourées de peines
    Coeur en amande, dragée en tulle de fête
    La Terre s’habille des baisers de la source.Fleurissement de vie.

    J’ai lu ceci quelque part:
    Fends le coeur de l’homme, tu y trouveras un soleil.

    C’est joli non?

    Et ça c’est l’hirondelle que j’ai pianotée aujourd’hui.
    http://web.me.com/leila14/Au_vent_qui_passe/Hirondelle.html

  49. Coucou à vous tous. Bien joli, tout ce que je viens de lire, de voir et d’entendre.
    Pendant que vous faisiez naître mots et musique, j’ouvrais sur une grande feuille une nouvelle fenêtre sur la Champagne, sortie de mes rêves où ces images m’ont conduites, et les heures se sont écoulées remplies de douceur d’ici dans des vallons de couleurs où le temps n’existe plus d’ailleurs.

  50. au seuil de l’ailleurs
    le hasard et le destin
    d’un domino d’ici

    ailleurs est ici
    domino d’ici d’ailleurs
    ici est ailleurs

    noir et blanc d’ici
    d’une passerelle vers l’ailleurs
    domino transite

  51. .
    Une superbe note que ne cessez pas d’embellir avec vos mots et vos notes de musique!

    Magnifoco bernardo! Ta poésie fait corps avec ces photos, quel talent tu as !

    Bravo leila pour cette hirondelle toute en délicatesse poétique et musicale! N’hésite pas à faire partager tes créations en mettant des liens vers ce que tu as composé si ça fonctionne bien avec la note proposée.

    Et bourrache toute en belles palpitations du coeur…

    Et Monique ouvre sa fenêtre en doucuer et rêverie….

    Et vincent qui joue toujours aux dominos…

    Et Anne qui cligne; merci ça me fait plaisir; ces séries me sont chères;-)
    .

  52. ___

    A lire
    Entre ses lignes
    J’offre
    Mes mains
    A la terre

    Et mon coeur
    Et mon sang

    Pas de faux-semblants

    Elle me rend
    Ses champs
    Et le chant
    Des oiseaux
    Et ses odeurs
    De fleurs

    Elle et moi

    Comme un jardin

    En faim
    ___

  53. >Bonsoir Dominique, ça fait longtemps qu’on ne s’était pas croisés;-) Je passe de temps en temps lire tes belles chroniques pariseiennes;-)
    Sinon, c’est vrai;-) La lumière est capable de magie. Elle peut transfigurer un paysage en une autre réalité et ça j’aime beaucoup;-) Bonne soirée à toi, à bientôt !

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