Lecture du Haïku Calligramme: de haut en bas
Prairies de mousse
le lit d’un petit ruisseau
elle s’abandonne
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Lecture du Haïku Calligramme: de haut en bas
Prairies de mousse
le lit d’un petit ruisseau
elle s’abandonne
Au murmure de l’eau
Dont les bulles sont frissons
Sur une peau de velours
Les temps partagés
La terre comme une offrande
Je suis rassasié
Perdue dans la prairie où elle git près de l’eau
La feuille tombe du printemps
S’étonne du chant d’automne
Qui aspire l’éte roi pour faire souffler au vent
Sur son limbe un trombone
Vagabond après tout
Il change le tableau la musique allant vers
Le ruisseau qui emporte cette barque minuscule
L’embouchure de l’hiver
que loin de son berceau
un pavillon éclaire
répondant à ses sons et créant le chemin.
http://www.youtube.com/watch?v=JWfsp8kwJto&feature=related
bonne journée
LesFeuilles Mortes ……… de Marc !! comme ça sans prévenir ouah! trop !!de bon matin , nostagie , si bien que j’ai perdu le fil de mon propos sur cette nouvelle image Je reviendrai quand les remous seront apaisés
suis désolé aletteart
mais cela m’a sauté à la figure !!!
les saisons passent, et trépassent
et le présent semble se fossilisé
comme un instant d’éternité
ton emprunte sur mon coeur
ton parfum, son indélébile odeur
ta peau, et sa terrible douceur
Tiens ! Ossiane nous offre une mousse.
A la tienne… hips.
lentilles d’eau sur le fil
pour approcher au plus près
ce qui sépare d’un trait
Oh! Je voudrais tant que tu livres la benne
Pour y mettre mon tas de feuilles jaunies
J’ai pas le temps d’les mettre à la poubelle
Et le soleil me les a toutes roussies
Une feuille morte manque toujours à l’appel.
Tu vois je n’ai pas bien cherché.
Une feuille morte manque toujours à l’appel
Laisse nous venir et les gorets aussi…
Quel corps y a t il au bout de cette main?
Elle s’est posée
Sur le drap vert tendre
Pour mourir en paix
Feuille d’automne
posée sur un lit de mousse
coquille de saison
Pour un arbre
c’est la première feuille
qui coûte le plus
Yaouh, quelle page, je suis comme arletteart, chavirée…
bien bel haiku, si tendre léger, et une image nostalgique de temps d’automne…BISES. Je me remets de mes émotions.
Belle matinée avec le soleil de septembre.
Elle se laisse posée
Dans ses bras reposée
Il la tendre vie d’elle
Doux murmures de ses ailes
ils sont forts, ses mots chantés, à Y. Montand, et il ne m’en voudra pas trop si je recopie ses jolis mots, par la plume d’une femme, car ces mots peuvent être chantés par un homme ou une femme….un homme, une femme…
Oh ! je voudrais tant que tu te souviennes
Des jours heureux où nous étions amis.
En ce temps-là la vie était plus belle,
Et le soleil plus brûlant qu’aujourd’hui.
Les feuilles mortes se ramassent à la pelle.
Tu vois, je n’ai pas oublié…
Les feuilles mortes se ramassent à la pelle,
Les souvenirs et les regrets aussi
Et le vent du nord les emporte
Dans la nuit froide de l’oubli.
Tu vois, je n’ai pas oublié
La chanson que tu me chantais.
{Refrain:}
C’est une chanson qui nous ressemble.
Toi, tu m’aimais et je t’aimais
Et nous vivions tous deux ensemble,
Toi qui m’aimais, moi qui t’aimais.
Mais la vie sépare ceux qui s’aiment,
Tout doucement, sans faire de bruit
Et la mer efface sur le sable
Les pas des amants désunis.
Les feuilles mortes se ramassent à la pelle,
Les souvenirs et les regrets aussi
Mais mon amour silencieux et fidèle
Sourit toujours et remercie la vie.
Je t’aimais tant, tu étais si joli.
Comment veux-tu que je t’oublie ?
En ce temps-là, la vie était plus belle
Et le soleil plus brûlant qu’aujourd’hui.
Tu étais mon plus doux ami
Mais je n’ai que faire des regrets
Et la chanson que tu chantais,
Toujours, toujours je l’entendrai !
Et pour pas succomber à trop de belles émotions, rester vivante,
je souffle sur la page, la feuille s’envole, je l’attrape dans mon creux de mains, je la regarde, elle me chuchote, et je l’embrasse de mon regard, cette feuille unique d’être elle en ailes…
Qui suis-je?
De « φ »,
je me souviens
…………………la trace de mon erre
un voyage du vent
dessein de courte vie
détaché du grand monde au tronc des millénaires
De l’ « υ »,
c’est mot à mot
………………….que les yeux me déchiffrent
jaunie d’intempéries
après maintes ivresses
épelée jour à jour comme lettres en friches
« λ »,
je te prononce
………………… telle l’aile mouillée
le besoin de la sève
aux lèvres répété
rouge éventail offert aux arbres dépouillés
D’ « α »,
je vois fuir
…………… aux mains brunes froissées
les instants abolis
au fil de la rivière
l’écriture limpide aux traits entrelacés
Du « ς »,
je joue que sais-je
…………………….. de pourpres sortilèges
à fleurir dans la mort
où les couleurs ruissellent
envahie des douceurs où je me désagrège
Je suis de ce « φυλλάς »
et suprême élégance
j’emprunte ma fortune à la source hellène
Si toi aussi (ane) tu t’abandonnes!
http://extract.fnac.com/extract/0724385588921/1/17.extract
Décidément ce matin ……….. Bernard même avec « ta suprême élégance » je ne capte pas !!!!
Merci Annick pour ton émotion automnale et les paroles presque oubliées
Le tapis de douce mousse dOssiane, trompeuse impression me fait penser …….au thé vert de la cérémonie du thé au japon !!! celui qui a osé tremper ces lèvres dans cette mixture épaisse s’en souviendra toujours !!!
pas très romantique tout cela mais c’est pour chasser les nostalgies
à bientôt plus inspirée
Désolée
AA
Pousse mousse
je n’y met pas les pouces
mais entre deux eaux
le verdâtre est parfois saumâtre
Bernard :
Feuillage
Ou lit de feuilles
Qui, en bel étymon,
Dériverait
Telle une jolie naïade
Se reposant sur la phyllade.
_
Est-ce que j’ai juste (belgicisme…) ?
_
Bonne journée à tous.
Sur la première photo, je vois Ally (gars tors).
_
(Suis nulle).
You are right, Beourrrach’
Fou n’afez pas ‘tors…
Merci, Ally. N’étant pas torse, j’ai donc raison : je suis nulle.
Dis, sur ce, continue : je deviens bonne en russe, en grec et en langages divers
(…d’hiver ? … dits « verts » ? …).
Sourire et clin d’oeil.
Pour Bernard
Le jour où le chêne pleurera ses feuilles
et la vie qui les quitte en ces jours d’octobre
Le jour où sur la source se libèrera l’ambre
de ces larmes de nymphe au premiers jours d’octobre
Ce sera une fête flamboyante sur les sources … les rivières …
et sur son lit de mousse s’endormira φυλλάς … divinité rousse
pour que demain sa mort donne vie à ses soeurs
Les feuilles mortes se caressent mouillées
Le rouge carmin, nervures rouillées
Venues au dernier souffle oser
Une valse tendre au dessus de la mousse
Au vent frais des matins d’octobre.
Souvenirs, les regrets,
Autopsie d’une confidence
Aux portes sans serrures
D’une alliance plaquée or
Mariage malheureux
Mon frère, mon ami.
___
Pluie détrempe fragile toison.
Vent emporte saison.
Dernier sursaut.
Dernière volupté :
Tapis mordoré.
___
Flane la feuille sur
son écrin de mousse
Inanimée
..
Dernière épave
Feuille de vigne
Rougissante
..
Un blog plein de douceur, qu’ Ossiane a déjà
signalé mais que je m’autorise à citer de nouveau
http://ilyaunjardin.blogspot.com/
Depuis tant d’années le bal des débutantes
Attirait de par le monde de frêles innocentes.
Ces demoiselles affairées depuis des jours
Préparaient avec soin leurs merveilleux atours
La musique d’octobre résonnait au loin
Et se ferait entendre jusqu’au petit matin.
Rosine une jeune femme gracile et charmante
Portait une robe pourpre ; toilette envoûtante ;
Des reflets d’or couronnaient sa tête de princesse,
Et des dentelles rehaussaient cette suprême altesse ;
Cette douce déesse aussi fraîche qu’un poupon
Rosissait constamment et tombait en pâmoison
Devant un chevalier à la vigueur déconcertante ;
Elle accepta de danser une valse lente
Elle se laissa guider ! elle se laissa griser !
Toute éblouie par ce merveilleux cavalier
Première danse! Premier émoi ! première déception !
Le vent glacial l’aima sans aucune émotion ;
Et l’abandonna brutalement au bord du plaisir!
Il continua son chemin éclairé par le désir;
Abasourdi Par tant de vils mensonges.
Elle gisait le regard perdu dans ces songes
Allongée, éperdue sur un lit de larmes,
Elle s’endormit malgré terrible vacarme.
son âme pure, lacérés, à jamais blessé
Ses rêves éteints, au seuil de son age printanier.
Son cœur lacéré, entachés de tristesse
Désenchanté d’avoir succombé à l’ivresse
Hello !
eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
Odeur de fin d’été
Odeur d’eau mouillée
Odeur de mousse humide
Odeur de feuille abandonnée
Odeur de vert profond et bien vert
Odeur de bleu liquide sillonnant la prairie
Odeur de fraîcheur remplaçant la grosse chaleur
Senteurs d’automne exhalées par les mousses douces
Coussins douillets, matelas de verdure, qui jamais ne dessèchent,
J’aimerais m’y reposer, le nez aux aguets de ces belles effluves odorantes
Et rester là, les yeux fermés, à écouter le gazouillis discret du ruisseau enchanteur !
On a bien le droit de rêver non ?
eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
Hollé !
Biseeeeeeeees odoriféranteeeeeeeees
Si belle mousse
De vert fort tendre
Sur un coulis
D’eau belle de pure
La feuille se pose
C’est le coup de foudre
belle soirée pour chacun.
ru des grenouilles
le petit poisson rouge
empreinte de saison
L’eau est mouillée
La mer liquide
Si bel ruisseau
Coulis de mots
Fort tendre, bel automne
Saison dépouillée
Sous nos manteaux…la brume.
Telle une plume tombée d’un oiseau de passage ,elle plane encore dans son habit d’or .Avant que la pluie ne la froisse ou qu’une main délicate la capture et la presse entre les pages d’un livre .
Icône devenue d’un tableau éphémère
Ayant perdu ses odeurs avec Christineeeeee
Désenchantée par Marc!!
Rougissante encore chez Alice oh!ho!
Dans une dernière volupté pour Bourrache ah! bon
Sans regrets Leila
A suivre ? les aventures de la Feuille qui s’abandonne ………….
AA
se fondre dans la transparence
être un avec
tel est le secret
le secret du un
s’abreuver à la source
s’abandonner sur un tapis de mousse
une vision claire et limpide
traverse le champ de l’esprit
se mettre au vert
se détendre en tendre
sans rien attendre, seulement il n’est
de la profondeur à gagner
lumière du monde inonde
éclat sur le ruisseau de la vie
le souffle s’abandonne
pour la grande traversée
Très beau cette touche rouge au milieu de ce vert. Délicatesse des couleurs complémentaires.
chacun est venu entérré l’été, ce bien aimer
le crépuscule à déposé ses couleurs sur ses habits de lumières
la terre de ses exhalaisons embaument son corps fragile
le ciel pleure à grosse larmes, la chaleur de cet ami intime
La nuit enveloppe son amant d’un linceul noir
les oiseaux orphelins se receuillent en silence
chacun se regarde entre douleur et plaisir de se voir
peut être ne se revera t’on que dans quelques mois
en attendant chacun retournera se blottir contre sa solitude
un peu triste je vous l’accorde
j’ai la feuille qui détonne, monotone
sur ce tapisson vert d’eau
j’ai la feuille qui gazonne, autonome
en contraste, en trousseau
j’ai la feuille qui déraisonne et assaisonne
à saisir et à verdir, quel culot
J’ai la feuille qui pamoisone, anémone
pas à estourbir, en solo
J’ai la feuille qui frissonne, pas frisonne
qui passe la digue, en bateau
j’ai la feuille qui rame et même ramone
passe pas…entre les poteaux
pauvre feuille…qui va tourner chèvre
Bonne soirée à tous et meci Ossiane pour ce lit de lentille
dont on ne fera pas tout un plat mais juste un plateau :)))
Révérence de l’arbre à la mousse
Pomponnette de sourires chlorophylle
Trempée dans le ruisseau.
La feuille se maquille, séduit les eaux
Pleure et s’assèche de croire
Qu’au petit soir de ses matins
Le printemps reviendra la voir.
Dans un ultime baiser d’adieu,
La feuille d’automne posée sur l’eau
Hésite, balance au gré des flots
Elle livre ses regrets au hasard
Auquel la fraîcheur de l’automne
Propose des dentelles à casser
Et des souvenirs à tisser.
Elle se délivre de son passé
Après légère escale de mousse
Elle glisse vers le lit du ruisseau
Dans la forêt qui se découvre.
Sur la transparence, le courant
L’attire vers l’aval où murmure
Dans la vallée claire aux chevaux
Le vent des prés mélancoliques.
Dans un recoin de pierres lisses
Voilà, la feuille rousse gît, couchée
Automne, tombeau d’amours pressés
Aux laies de l’oubli fleurissant.
un petit texte ancien pour marc et pour marquer la saison
000
Premiers frimas d’automne
L’automne détonne et étonne tour à tour
Et pourtant il vaut un sacré détour
Quand ses vents ont fini de secouer
Ces pauvres feuilles qui finissent trouées
Salies et jonchent le moindre des trottoirs
On ne doit jamais perdre totalement espoir.
Bien sur le souffle Zéphyrin qui s’engouffre
Sous les porches et fait tournoyer en cadence
Ce tapis dont la couleur égale la magnificence
Ne peut procurer à celui qui, de maux, souffre
Qu’un surcroît d’angoisse à la vision qui passe.
On évite l’assaut frontal et les murs on rase.
Mais le temps incertain oscille entre lumière
Et ombre par ce balancement alternatif hier
Mais qui demain donnera peut être une tendance.
Alors pas moyen d’arrêter des feuilles la danse
Juste observer du mouvement ample la cadence
Sans pour autant remettre tout sur la crédence.
Ne claquemurons pas nos délicats intérieurs,
Ne verrouillons pas, à cette saison, nos cœurs
Cette dissolution forte des atours de la nature
Ne doit pas nous faire donner en pâture
Ces sentiments de changement déstabilisant
Qui effraient notre désir de quiétude.
000
-alors papy c’est votre anniversaire?
– quoi mon petit! les lentilles de verre! quelle lentilles de verre!
– j’ai dit : votre anniversaire!
j’ai vomi dans le verre! vous dites n’importe quoi!
– elle est bien bonne
-c’est l’automne! mais j’comprend pas tout c’que vous dites
c’est l’automne!
– mon sonotone mais je l’ai mon sonotone! vous allez pas m’faire répéter vos anneries !je suis pas senil ! j’espère que vous avez compris et qu’ vous êtes pas dure de la feuille au moins !
merci thierry pour ton texte
c’est vrai qu’a l’automne chacun se repli dans sa caverne des temps modernes!
alors tous au balcon de l’oeil ouvert
Ce n’est pas une histoire à trembler comme une feuille
mais elle est signée et après on dit que le gap des générations
n’existe pas mais c’est le gap des dégénérations…auditives en l’occurence
qui rend les situations compliquées
Sans la feuille
L’arbre se sent bien nu
Il s’écueille
Mais la vie continue
Sans la sève
L’arbre a perdu l’entrain
Pas de rêves
Sans chaleur le matin
Sans soleil
L’arbre grelotte de froid
Il sommeille
Et se givre ici bas
Sans la feuille
L’arbre a perdu l’enfant
C’est un deuil
qui l’éprouve maintenant
-Papy, je ne suis pas dur de la feuille, juste triste, c’est l’automne…
– Moi aphone! Soyez poli mon petit! Je chante mieux que Ruggieri, à faire vibrer tes favoris
– Papy, je n’ai pas de moustaches!
-Quelles taches? De quoi parles-tu mon garçon?
-Des taches de rousseur sur les fleurs et les feuilles mortes sur la mousse.
– Je me trémousse!!! moi, à mon âge! ?Oh! oh! j’ai passé l’âge des danses macabres.
– Et l’alezan qui se cabre dans la prairie rue vers le banquet …votre anniversaire papy!
– C’est l’bouquet?! c’est l’bouquet?! Dites que j’dérange..vous cherchez à hériter? Suis pas encore alité!
– non papy dans le champs alezan écrase toutes les marguerites!
– mais j’ai pas la grippe! vous allez pas encore me donner des médicaments
– rester là ne bouger pas je vais m’en occuper
– me couper mais qu’est que vous voulez me couper!
– Les poils de nez papy car ça vous donne un air brouillon !! comme une allée d’herbes, de joncs, panache argenté sous un pont !!
-Quoi? con? moi con? Germaine!!! amène le balai !! y’a un enfant vagabond qui me confond avec un blond! :))
–
Z’êtes-z-incroyables ! … je vous zèm…
Belle, bonne, douce nuit à tous.
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Nouveaux commentaires sur:
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https://blog.ossiane.photo/2008/10/01/alezane/#comments
https://blog.ossiane.photo/2008/09/30/haiku-calligramme-septembre-2008/#comments.
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entre marc et leila on a papilloné,
c’est comme un lépido-virus
contagieux et qui voléte de tête en tête
on met la sourdine et le voila qui radine
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Bonsoir amis du blog !
Fin de semaine très chargée, je n’ai pas pu venir vous faire des petits coucous 😉
Un gros retard pour réagir, ma boîte à lettres est pleine… et je suis raplapla.. alors juste un petit mot ce soir…
Je vous lis avec ou sans remous mais avec plaisir;-) Cette petite feuille est entre de bonnes mains 😉
Les feuilles déclenchent surtout à cette époque tourmentée par les tempêtes de toutes sortes des messages apaisants, mélancoliques voire tristes mais aussi pleins d’humour;-)
Ce que vous avez écrit est MA-GNI-FI-QUE, TOU-CHANT, TEN-DRE, DE-ROU-TANT, AM- U-SANT! Mon sonotone est branché cinq sur cinq 😉
Soit on s’abandonne, soit la vie vous abandonne…
Toi aussi lucienne bernardo, tu t’abandonnes 😉 Pas désagréable de s’abandonner de temps en temps 😉
Leila, oh la vache qui hennit;-) C’est vrai ce que tu dis 😉
Veux-tu que je fasse écouter aux amis ton morceau de musique ?
Je n’ai pas voulu particulièrement tomber dans le chapitre de l’automne et vous faire pleurer;-) Bonbonze l’a bien compris 😉 J’offre la tournée de mousse à chacun et à chacune avec un peu de musique 😉
http://www.dailymotion.com/relevance/search/autumn/video/xma5h_autumn-leaves_music
Merci à tous, je vous embrasse fort et vous souhaite une bonne nuit !
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le vert des feuilles
feuillage des âges mousses au passages des vents
graines fluides des fontaines du temps
à l’automne des poursuites averses furtives fuites pourchassant les vents
la feuille a trouvé refuge
au fond de l’étang
Merci pour ces versions des feuilles mortes…
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La feuille tourne et tourbillonne
Dans les airs emportée
Elle danse et virevolte
Par un jazz invitée
Puis lasse elle s’abandonne
Dans le lit bien douillet
De la mousse accueillante
Le repos mérité
Demain elle reprendra
Le bus de l’automne
« Pareil à la
………………..feuille morte. »
http://www.youtube.com/watch?v=ZyBvdfOGvUA
… au pays des elfes et des nymphes!
Et des violonistes
http://www.youtube.com/watch?v=Jis3UDDlNM8&feature=related
les yeux fermés…
Merci Bernard,
Mais là j’ai les yeux plus rouges que la feuille ! Allez je vais aller me prendre une ptite mousse pour me dégriser 😉
Bonne journée à tous
many thanks mister Ferré
many thanks mister Freedman
many thanks mister B
Merci Bernard pour les mots et la musique et les mots mis en musique…
http://www.youtube.com/watch?v=vdtDJyYjVq0&feature=related
Beau Week end 🙂
C’est avec plaisir Ossiane.
Right…copy pour tous!
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Petit coucou musical du samedi !
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Leila a composé un morceau de musique à partir du pré verdoyant d’Alezane.
Elle est d’accord pour vous le faire écouter.
http://ossiane.eu/diaporama/output-1-2.mp3
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Merci Bernard pour ce superbe diaporama d’automne… qui nous entraîne au pays des fées, c’est magiqueeeeee !
Bonne idée à Ossiane de nous faire partager les musiques… je m’imaginais planer dans les vastes plaines mongoles !
A mon tour de vous envoyer
une petite vidéo que je viens de trouver…
Un peu moins poétique il est vrai…
Mais qui m’a bien fait rigoler !
Mais avec une pensée
pour tous les randonneurs…
Perdus en forêt ou ailleurs…
Qui ont un jour ou l’autre
Eté affronté à ce cruel dilemne !
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http://www.dailymotion.com/video/x5rlv5_coliques_fun
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Et comme dirait Bourrache :
Clin d’oeil et sourire !!
Biseeeeeeeeeeees en ce jour ensoleilléééééééééé
PS : premières neiges aperçues sur les sommets pyrénéens !
Une petite feuille tendre
Se niche sur sa mousse
En perds savon du temps
Qui laisse un berceau tel
Naturel de défauts
D’oduers et de saveurs
Où se nicher est tendre
En se serrant amour
il est joli cet air de guitares et celui en violons…
La petite feuille fatiguée
De son été fracas
Se repose dans ses bras
Sur sa couche douce mousse
Qu’il cultive tendre pour elle
Et elle renaît ses aises
Mon enfance fut douce, innocente et joyeuse.
L’arbre jouxtait la mousse scintillante et soyeuse
Le soleil irradiait ma peau bien enfantine
Ma sœur s’en amusait car elle était coquine
Puis l’été arriva nous chauffant tout l’été
L’amour est un combat qu’il nous fallait gagner
Mon cœur s’embrasa pour un jeune catalpa
Ma pudeur se brisa dans les premiers émois
Le vent d’automne enfin brisa tout mes élans
Comme un clairon qui sonne la victoire en chantant
Les bourrasques s’enchaînent et les frimas me tuent
Il alourdit ma peine et la vie continue
Je tourbillonne en vain dans le jour finissant
La faucheuse chantonne « allez viens mon enfant »
J’agonise et j’expire dans le matin si blême
Sans un dernier adieu, ni baiser ni je t’aime
Marrant les colchiques Christineeeeee !
J’ai bien aimé le chirping après le galop dans ton morceau Leila. C’est inattendu et tout mignon.
Tout ce savon perdu Annick, on se rattrappera sur la mousse 😉
Bisou Rachel, joli ton texte
Dites l’équipage , zavez pas vu Monique?
Et d’un voyage à l’autre la feuille traverse l’Atlantique
http://www.youtube.com/watch?v=UsODsSfgo2k
Une petite feuille tendre
Se niche sur sa mousse
En perd savon du temps
Qui laisse un berceau tel
Naturel de défauts
D’odeurs et de saveurs
Où se nicher est tendre
En se serrant amour
oui, on se rattrapera sur la mousse, Lou, sourire, même si le vague à l’âme, les voisins dans un tel tapage….et puis semptembre si nostalgique, une belle saison d’aimer plus encore…
Divagation autour d’une feuille
peut-être de vigne !
Etait-ce alors le paradis ?
Et Eve passa-t-elle ici ?
Ne laissant trace de son passage
Que ce vêtement tout naturel
N’aurait-il pas été plus sage
Qu’elle le gardât par-devers elle ?
On effeuille bien la marguerite
N’effeuillerait-on pas l’aimée ?
Sans doute Adam allant trop vite
L’unique parure fut oubliée
Heu ! Ossiane ?
Me vient un doute…
N’aurais-tu pas perdu quelque chose ? ;-:))))
tu me fais sourire, phil alba…
C’est fait pour, tendre Annick !
C’est fait pour !
Un bel sourire à partager
C’est une nuit bien préparée !
Bonne nuit à toi, plein de bons rêves !
Bonne nuit à tous !
JOLIE NUIT, phil alba et chacun!
Dans le petit ruisseau, elle s’abandonne
Son âme au fil de l’eau, elle te la donne
Protège là car elle est fragile
Elle t’a offert son bien le plus précieux
elle t’a donné sa vie…
comme c’est joli rachel, d’amour doux et précieux, le nez se renifle un peu, il ressent si sensible….
BISES d’automne qui souffle, pleut tendresse, l’oeil se réveille gai et paisible, et fleure l’air du bel temps dans l’âme, le temps du dehors donne envie de goûter aux éléments de bourrasques en s’accrochant son fil du temps tout tendrement, sous le parapluie ou la capuche.
Sur la photo
Trace du voyage
D’une feuille randonneuse
Hahh, découvrir les îles !..!
Glisser sur un océan pistache
Pour vivre son rêve ….
–
–
–
Bises à tous
Yo-cox
http://photo-passion.blogspot.com/
Elle s’abandonne
Sur la feuille de papier
Se vit déjà son rêve
En amour tout dedans
Et les lignes de sa main
S’agitent sur les petites touches
Chaque pression un pas
Vers devant
Et déjà la pluie qu’elle adore
L’emmène vers tout dehors
Sur la pointe de ses nervures
Ô temps
imperceptiblement…elle s’est détachée
elle flotte dans l’air suave de ses désirs
elle ne sait pas très bien ou le vent l’emporte…
mais elle se laisse entraîner, le cœur serré…
laissant dans son sillage une partie d’elle-même…
un jour elle se posera sur cette terre rêver
et se laissera doucement porter par le courant
vers un mode inconnu… enivrant… inquiétant
le doute s’installe… les souvenirs se bousculent
elle se souvient… la caresse du soleil…
le regard des oiseaux… les premiers cris des oisillons
la clameur de ses proches…
tout à coup sa vue se trouble …
Ses yeux rougissent….Une larme coule sur sa joue.…
une autre…encore une autre…une pluie de larme…
irrépressible …
jaillit de son âme…elle à chaud…
sa robe verte est complètement mouillé…
elle entend une petite musique lui chuchoter à l’oreille.
Elle repense au cheval à la couleur alezane qu’elle observait galoper de son perchoir…
Hé Ho ; Hé HO. Leila réveille toi
Reveille toi ! tu t’es assoupie….
Accroche toi un orage d’été se prépare….
Orage d’été… Marc, tu ne crois pas si bien dire (hé, hé, hé !)
eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
Petite feuille assoupie
Va bientôt se réveiller
Avec en projet
Une super solution
Pour de nouveau s’envoler !
Petite feuille est très souple
Elle se plie, se déplie, se replie,
Trois pas à l’endroit,
Trois pas à l’envers,
Et bientôt…
le miracle se produit !!!
A tire d’ailes, petite feuille s’envole
Retrouver son arbre qu’elle adore
Pour s’y percher encore et encore
En attendant le retour de l’été
Et c’est magiqueeeeee !!!
eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
_____
http://www.youtube.com/watch?v=3iVP0tzwhVc
_____
Envol de biseeeeeeeeeeeeeeeees d’automneeeeeeee !
Sous les ponts des canaux, la brèche de nos esprits.
Lecture par autrui de la douleur profonde
Des maux incompris de soi
Mots écris tant aimés,
Maux décris, se détachant de nous-mêmes.
Poésie, musique de mes mots,
Verre de ma musique où s’abreuve mon coeur
Accro, dépendant, dissident, électron poétique
Musique synthétique
La feuille a jauni, signe de pluie et d’harmonie.
Marc, la feuille fait du tobboggan
Sur les paupières de l’Oeil Ouvert
Encore un cil et hop au vent!
Elle s’envole roulée à l’envers
Par la Christineeeeeeeeeee, ses « e » auvent
Des feuilles par l’orage attristées.
Fini les flirts sous la tonnelle
Balade des amours au jardin
Il y a dans les couettes un écrin
Pour vos amours et pour les miens…
Salut la bande à automne, ça va? j’ai réussi à suivre le fil de l’idée?! :))))
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Le beau poème de Nath à découvrir sur le sommaire de septembre !
https://blog.ossiane.photo/2008/09/30/haiku-calligramme-septembre-2008/#comments
D’autres commentaires sur:
https://blog.ossiane.photo/2008/09/29/tristesse/#comments
https://blog.ossiane.photo/2008/09/14/ipomee/#comments
https://blog.ossiane.photo/2007/08/06/lagune/#comments
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Pour ce dernier Dimanche avant que notre petite feuille retrouve son arbre par la magie de Chistineeee la Magicienne( belle idée tonique)
Sur les pointes de ses nervures ……….Annick , danseuse exotique !!!
Comme une randonneuse d’après YO-cox…. en parler aux sportives
Elle aura donné sa vie ………selon Rachel.. en s’abandonnant dans son bain de mousse Annick ;; ……..et ne pas oublier de bien rincer
En musique s’il vous plait …………Marc et en cadence
Je vous salut .. La Bande à Automne ……….de Leila ..trop bien trouvé
Et cours à Paris voir Picasso
A bientôt les Amis AA
En surfant trop vite avec la Petite Feuille je dédie mes plus belles improvisations futures ……………..à Ossiane notre « Manne » grande prêtresse de notre inspiration . Amitiés AA
Bisou Leila, Arlette , Ossiane et l’équipage
Christineeeeeee, irresistible l’origami quand il s’envole ( Il n’y a que toi pour trouver un truc pareil à inscrire dans FEUILLE ! Génial et drôle , merci 😉
>>>Coucou les petits derniers;-)
Très joyeuse cette fin de note toute en belle musique ou en farandole de mots !
Peiti clin d’amitié à Yo-Cox 😉
Qu’ai-je donc perdu Phil ??? Tu m’intrigues;-)
Un grand merci à vous tous, je vous embrasse!
Vert je te Rouge
La feuille se ramasse
A la mouth
Roux, je te vers
L’amas se défeuille
A l’amour.
Feuille d’algue
Au courant asservi
sous tes vers
coule nos amours
Adam d’air Eve d’eau
Les feuilles d’ivresses
Mêlent nos songes
En ondes frémissantes
L’ivresse des songes
Mêle nos feuilles
En Ophélie vivante
Les feuilles des songes
Mêlent notre ivresse
En passion ruisselante
Eve d’air Adam d’eau
Par délicatesse
Ne perdez pas votre vie
C’ets fort joli, Nighton, ravissant.
Si Van Gogh m’était conté
Je le prénommerai Vincent
Lui apprendrai qu’au domino
La règle est d’ivoire(y voir?!) entres des points noirs
A caresser
Clin d’oeil à toi mon ami…
Plonger ses pupilles dans le noir des points de dominos est parfois interessant pour en sortir avec un regard neuf. Tes caresses me donnent des ailes.
>Nighton :
Bonjour Nighton, je te souhaite la bienvenue, 😉 Je vois que les amis du blog m’ont devancée et ils ont bien fait;-) Merci pour les poèmes pleins douceur que tu as déposés. Cette petite feuille semble te fasciner en beauté 😉 A bientôt peut-être!
Se noyer dans la liesse d’un tourbillon heureux sous la cime d’un chêne tortueux et hurler:JE SUIS HEUREUX.
ça fait du bien…et…là…. la biche murmure derrière vous: « Pas si fort, les arbres méditent! » Prenez feuillage à caresser et dans le sentier de nos lunes….paressez… sourire aux lèvres.
Salut Nighton! Amitiés.
Les arbres méditent et perdent leur feuilles. Une par hazard s’est délicatement posée sur un tapis de mousse aceuillante comme pour nous dire que l’on peut trouver sa place en un endroit paisible et caressant où l’échange simple amical se produit. Merci Ossiane merci à toi Leila
J’ai lu cette feuille afin de l’écouter puisque les couleurs de l’oreille sont là je veux dire, Rouge Tomatis, Vert et Bleu de sa peinture abstraite. Elle s’abandonna à la première lecture, tandis que la feuille dans une main je la balançais de l’autre. Elle voulu recommencer à l’intérieur mais non, c’est trop dangereux (tandis que j’apercevais l’église et son rappel: articule afin de croire ce que tu pries). Quatrième ainsi de suite. Cinquième sur la télé que j’initiai aux voix lyriques, sixième plus tard. Oui, l’oreille voit.