Lecture du Haïku Calligramme: de gauche à droite
L’ombre de mes songes
l’éventail de mes pensées
mes cheveux dans le vent
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Lecture du Haïku Calligramme: de gauche à droite
L’ombre de mes songes
l’éventail de mes pensées
mes cheveux dans le vent
MOI
Omis
Immobile
Moi
Paravent
Vert pomme
Filets de lune
Fils en rubans
Moi, j’écris, j’écris, j’écris, j’écris, j’écris….jusqu’à quand?
Préservez-moi seigneur de ce mot suffisant.Parler de soi, fil de soie écorché.Parler de la fleur qui éclôt et de l’enfant qui boude, rieur…de la vieille dame d’il y a des heures qui voulait de MOI causerie…parler de l’Amour, des douleurs et de la plume pour tout combat, écrire, écrire, oubliez-Moi.Je suis l’ombre des autres.L’éventail de leurs pensées, la brise et la caresse de l’humanité.Moi, arc-en-ciel de mots, sans droits, sans copies, je vous donne mes rêves, je marche dans les ornières,jamais droit.Moi, syndicat éternel, rebelle, Amour et bonté, MOI, bizutage à volonté du politiquement correct.Voilà, fallait pas donner du blé à mon moulin, hôtesse.))
ZOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOuuuuuuuuuuuuuuuuuu au lit! MOI, je m’oblige à fermer les yeux sans vers et contre rime.
Bon voyage Ossiane et encore merci pour tout ce que tu offres …
C’est joli Leila « fil de soie écorché »
___ ___ ___
D’une révérence fière, l’éventail s’incline
Il s’offrira en vers et s’y boira délice
Le sourire de l’hôtesse remplit les oasis
Le verre du labeur au vert des feuilles mêle
La tendre volupté des danses féminines
A celles que soulignent les vents d’anges éternels
Et l’ombre de répondre entrecoupée de soie
Je serai toujours là oui toujours là pour toi
misère, je me défais,
que va-t-on dire de moi ?
le père Machin va prétendre
que je suis malade
que je fais tache,
moi je m’aime bien
la tête dans les étoiles
les doigts de pieds en éventails
la vie est repos et ripaille
Ossiane bon courage pour le travail
sourire
Rencontres…
Toi….La lumière de mes rêves…le souffle de mes pensées…tes cheveux dans le vent…Toi …à la lisière des regards…pour une rencontre de hasard…dans un quartier bizarre…au départ d’une gare…Toi…sur une plage de mer…un matin de désert…ce sourire qui éclaire… la magie qui se perd…Toi….à côté de la rue…pour attendre sa venue…la terrasse inconnue…livre ouvert et jambes nues…Toi…sur une page blanche…l’écriture qui se penche….émotions avalanches…lendemain d’un dimanche…Toi….sur un mur de sable…séduction et portable…pour une chaîne ou un cable..et la pub adorable…Toi…près d’un marché couvert..pour une course de fruits verts..un pannier ouvert…et le coeur à l’envers…Toi…dans un cube de glace…pour un jeu de dépasse..un sourire qui m’enlace…une voiture qui s’efface…Toi…
De fil en aiguille
les pensées s’effilochent
sans l’ombre d’un doute
Oh, Pierre b. …
_
Il était une fois une feuille,
son rêve au bord de longs doigts effilés,
qui voulait devenir araignée…
_
Brin de soleil et bonne semaine à tous.
Parler de soi en parlant d’autres choses……………..
Sartre en fut le maître!!
« TOI » belle échapatoire Pierre
Tant à dire tant à écrire ………..à suivre
AA
Parfois au fil des pages se glissent des fautes ………..!!!!
que l’on ne peux rattraper!!
comme dans la vie………..
quelqu’un a dit que, dans une lettre les fautes ne se regardaient pas car elles étaient la spontaneité du coeur………
Hum!! belle échappatoire avec 2p cette fois mille excuses aux puristes AA
alors merci d’être indulgent pour la spontanéité de mon coeur…
il est joli ton haiku, Ossiane, je te souhaite un bon courage et un bel ouvert pour cette semaine…BISES..
et bises à chacun…
Toi
Moi
Sans importance
Car nous savons
Alors parlons de
Lui
Elle
Qui sont
Eux en nous
et je te souhaite un bel OEIL ouvert, Ossiane,
alors si mon petit coeur mange ses mots, merci pour votre indulgence, plus encore…
–
Quelles voix parlent sereines en moi ? ma main écrit sous la dictée
Quelles voix se querellent en moi ? ma main se rebelle
biffe et rature.
Les voix se sont tues .La main s’abandonne impuissante
sur la table et la peur surgit familière et redoutée
Soleil noyé silence et nuit
Et alors à quoi bon et pour quelle tâche cette main
abandonnée sur la table
tant de patience et d’espoir?
Les ronces ont recouvert les pierres mal taillées de la route
Tout à prouver
à se prouver qu’on existe autrement que le
temps de la construction d’une route sans issue.
–
En partage , ce beau texte de Joelle Gardes / Dans le silence des mots (p 47 )
–
Bon courage à toi , chère Ossiane… De mon côté aussi des choses à faire et beaucoup moins de temps pour venir te rendre visite…
Pensées amicales vers toi , à bientôt 🙂
Quand l’inspiration fait défaut …
ma main devient le guide-tuyau de l’aspiration de mes poussières
(bataille sans issue).
_
Oui, bon, se sais.
_
Alix : superbe texte.
Donc, si j’ai bien compris, c’est la journée des « coquilles » …
vous voulez bien lire « je » sais ?
(Rires Bourrache …>))…et Clin d’oeil ;))) Bonne promenade au pays des poussières ( particules aimantées qui voyagent au soleil o:)
Je t’embrasse ( et hop je suis passée au tutoiement , l’aspirateur ayant avalé les vous et les moi ou toi, ne restait que les tu et les nous !)
à+
Une fleur …un éventail…une femme fleur … geisha…Une illusion…un rêve…un fantasme …l’art personnifié…Art de la réception ; art de la séduction ; art des plaisirs…
Sa vie est une métaphore…femme à la beauté d’une fleur à la souplesse d’un saule…
tout n’est en apparence douceur …élégance…raffinement…elle vie dans une ville fleur…elle est payé avec de l’argent fleur…ses jours sont bercés par la musique, la poésie la danse…
De réceptions en réceptions…tout est codifié…organisé…depuis le plus jeune âge..
Et même ce passage que l’on appelle le mizuage…mot si doux…si vaporeux… évanescent…presque virginal…fatal… il me fait penser au bizutage… mot dont on ne sait vraiment trouver l’origine…mais qui marque un passage…de la fille à la femme…déflorescence plutôt qu’efflorescence … perte de la fleur… …et sa coiffure une pêche fendue …rehaussée de rouge… métaphore… mais cette image si blanche n’est qu’un masque…j’aimerais ôter ce masque de l’hypocrisie…mais que découvrirais-je… si ce n’est le reflet de certains fantasmes…pourtant entre rêve et réalité…il y a des frontières à ne pas dépasser…
Marc-ou-l’éternel-printemps :
les geishas, après s’être dépoudrées, passent-elles l’aspirateur ?
(ça, c’est une image à casser tous les fantasmes…)
Clin d’oeil, hein !
Bourrache
laisse les feuilles poussées par le vent
et oubli Le nettoyage de printemps
ce n’est plus vraiment le moment
maintenant lâche l’aspirooooooo
et prend plutôt l’ plum’ Hoooooooooo
pour nous écrire de jolis mooooooots
sourire
c’est vrai qu’il est beau ce texte Alix
Amusant la geisha à l’aspirateur, et moi je vois dans l’ombre de la feuille la main de la sorcière au miroir , et donc ceci pour rire )))
Les doigts de la sorcière dans l’ombre transparaissent
Et cette altière main n’est pas que joliesse
Elle tient parfois l’épine et donc enchanteresse
envoute Blanche Neige avec moult finesse
Dans la palme glacée qui cherche les terrains secs
Elle est prête à frapper pour tenir en échec
La princesse aux sept nains qui ouvrira son bec
Pour avaler la pomme et le poison avec
Terrassée par la nuit, la jeune fille chemine
Dans l’eau du fleuve bleu où sa vie se termine
Comme celle d’Ophélie ou de quelque autre ondine
La blancheur s’évanouit et comme en arc en ciel
se découpent les couleurs qui rendront éternels
Les chevaliers pluriels aux baisers essentiels
Du bout de ses doigts
palmés
S’effiloche le temps
Imperceptiblement
De s’en saisir tout
désiré
et je vous lis, souris,
je l’ai passé ce matin, l’aspirateur, en tenue de nuit, avec mes bigoudis, toutes fenêtres ouvertes, il fait si beau, le soleil m’a aidée à tenir le manche d’inspiration, d’expiration…sourire…
Annick-la-geisha-aux-bigoudis :
t’as pas une photo ?
_
Désolée. C’est ma journée « bac à sable ».
_
J’arrête, là, tout de suite.
OSSIANE- la -palme -de- nos -âmes
Palme de notre palmeraie
Palme d’or du festival de nos « moi »s
Se grisant de vin de palme!
Ou ..de champagne..
Cheveux d’or sous les alizés
Ou les …ondées de fin d’été
Si près si loin
Douces pensées
AA
Y a plus personne ,le salon est vide dommage e venais dire bonjour à tout le monde .
J’ ai cruapercevoir Lou dans les hauteurs je ne sais a quel étage.
Le temps que e lise déja elle était partie.
Si les écrivains désertent dommage que nous restera t il?
La rentré literraire ça promet du plaisir.
Mais y a personne dans la maison quel dommage je reviendrai
En route j’ ai rencontré bcp de gens .
e repasserais amitié pour tous.Noisette.
Ah je vois qu’Ossiane s’est enfin décidée à faire une note sur moi.
Il était grand temps de reconnaître ma réelle dimension car enfin mon « moi » est d’une importance considérable, certains diront même essentiel.
Je leur dirais avec tout la modestie qui me caractérise : Vous avez raison. Sans moi cette espace ne saurait être où serait terne et sans vie.
Certains penseront que je me suffis à moi même. Je leur répondrais humblement : oui
Il émane de ma personne un éclat extraordinaire dû essentiellement à mon intelligence et à ma beauté. Mais comme vous avez pu le constater j’ai su rester simple, avec cette bonhomie tranquille qui fait croire à chacun que je peux être son égal. Car telle est ma force et ma sagesse. Au cours des longs mois partagés en votre compagnie je n’ai jamais perdu de ma superbe et je vous l’écris ce soir avec une certaine gravité : vous avez de la chance d’avoir croisé mon chemin.
Je vous propose donc de méditer sur ces mots et de me dédier cette page car je n’ai pas peur de le dire : je le mérite.
(sourire enfin j’espère)
Le ballet de feuilles se repose
tendre
Il a tant balayé le temps
tel
Qu’il en est émouvant
tendresse
je n ai pas pensé à me prendre en photos, et la poussière riait tellement en se laissant chatouiller par l’aspi, que d’autres pensées aspirantes…BISES, Bourrache.
coucou Noisette,
et pour vous faire sourire vrai, j ai failli vous râter,
je réponds à l humour de Bourrache, envoie, tout s efface, j ai encore oublié mon nom… et puis en réécrivant, je vous trouve… un hasard belle chance…
oui, j’ai cette chance de vous avoir croisé, chacun, en chemin…sourire Rachel…à bientôt de vous lire, dans les trente minutes, je suis partie…voir si j’y suis…SOURIRE!
Hello l’équipage
Noisette, j’étais allée repiquer un petit somme.
Bisous et sourires
Remarque avec le boucan de tous ces aspirateurs, et celui d’Annick en particulier, tout les endormis seront bientôt sur le pont ;))
excusez mon touT en chemin, il y a des jours comme ça où même lortograffe prend le chemin des feuilles
en passant
http://tv.jubii.fr/video/iLyROoaftmfa.html
première partie
bonne soirée à tous
en dent de scie
les jours découpent ma vie
sans vraiment avoir de croquis
Rachel-notre-plus-belle : et TOI, t’as une photo ?
(… juste qu’on vérifie)
_
Lou : j’ai des difficultés à suivre le chemin de ton touT.
Il est où ?
C’est celui que suit le camion ?
Signé : TOUT-AN-KHÂMION
_
ma-Noisette-préférée : comment ne pas penser à toi !
Depuis quinze jours, un écureuil vient me rendre visite, matin et soir. L’ai surnommé « Trognon » (c’est vrai de vrai qu’il est mignon).
Lui ai acheté, puis fixé à un de mes arbres, une mangeoire.
J’espère (égoïstement ?) que, par sa présence, il illuminera mon hiver.
J’y ai placé des noisettes.
Mais en le prévenant : cette Noisette-là, tu la croques pas !!!
_
Je vous envoie les papiers à signer ?
(… pour mon internement …)
_
Que d’émoi dans ce Moi
si ce n’est Narcisse
Serait-ce Elle
Qui cachée sous les Toits
se prend pour une déesse
Ô miroir dis-moi qui est la plus
belle ?
Ce moi de septembre me parait bien lumineux, généreux et serein.
Ce moi de septembre est le moi du « je suis » et non pas le moi du « je parais »
Ce moi de septembre m’est ami. Il ne me trompe pas.
Faire la nique à Narcisse (j’habite dans mes yeux et mon regard m’éblouit)
Ce moi est lumière sans être héliocentrique
Ce moi de toi est don de soi…
Tout le contraire du « moi », en quelque sorte !
Voila qui, espérons-le, rassurerait Blaise Pascal pour qui le moi est haïssable
De mOi
l’on s’étonne de l’O!
– sève claire des yeux –
La paume écartelée
ardente déchirure
à peine s’effiloche
Je l’m
extase de couleurs
enfin plus que fol
i
De l’O
l’on s’étonne de mOi.
Bourrache 😉 , il était 18h.20 quand mon tout tout en t s’est perdu! Est-ce par s ou B. tease …
Bisou amusé
Hello Bernard et Phil,
Oui je dirais même plus l’on s’étonne du O , comme Dupont avec t en écho à Dupond
Pardon Bernard je défigure tes mots, « on s’étonne de l’O »
Je te rejoins Bourrache sur la route de l’asile, on se tiendra compagnie. Dis, on doit les faire signer par qui les formulaires ?
Ossiane peut-être à son retour ?
je relève le défi Bourrache. Voici une photo prise il y a quelques semaines.
http://www.cinema.com/film/9314/nanny-mcphee/gallery/page_9.phtml
Avis de recherche :
Perdu, vers 18 H 20′, en cours de promenade, le toutou de Lou.
Si vous apercevez un « s » ou un « t », nous vous saurions gré de le signaler à l’Oeil Ouvert.
_
je ris comme une folle, alors je suis, je pars avec vous, bourrache et lou, et je voudrai rien dire mais rachel, tu peux venir aussi et si cela tente d autres.. BISES.
je rends l’ordi de mon fils, le mien est depuis vendredi en blocage….pas étonnant..il en voit tant…à bientôt…
et….une petite coupe de champagne, envoyée par Ossiane!
A vot santé, mes gens aimés, et je risz d’être bête, car ainsi fête…youpi!
c’est rien il a fait très chaud aujourd’hui, et surtout la tête en bel ciel de joies…
et j en oublie la belle photo….
Sa palme en paume
S’est ouverte
Doucement
Sur le rythme du temps
Et s’échappent des baisers
Des délicats charmants
Oh la la je n’ai jamais autant ri.
Rachel, t’es un vrai clown
ça oui, tu viens aussi et Annick et les eeeee et ces souvenirs de fous, car j’avais pratiquement perdu un peu plus que le t …
elle en aura des formulaires à signer Ossiane
L’épeire enroula
En de subtils entrelacs
Les doux fils de Soi
Oh, Rachel … j’m’en doutais !
t’Adam …
t’aurais pas dû croquer la pomme …
Mina Lobata
La fière danseuse
Eut tant de succès
Avec son flamenco
Dansé au coin du feu
Que sa jeune cousine
Argiope Lobata
L’épeire soyeuse
Voulut l’imiter
S’enroulant illico
Sur l’éventail herbeux
Se blessant aux épines
Pour la fleur innocente
La rosée peut être absinthe
Pauvre belle amante!
Et chacun se rit et s’amuse, bravo les copains et les copines, le chat n’est pas là les souris dansent, mon moi s’en est allé rire avec vous se fondre et se confondre, s’est sorti de l’ombre de sa coquille, mêlé sa chevelure à la vôtre, laissé envolé dans le vent de vos pensées, et s’aimer de vous en s’échappant, il paraît d’après Monsieur Einstein que :
« Ce qui fait la vraie valeur d’un être humain, c’est de s’être délivré de son petit moi »
L’histoire ne nous dit pas si nous valons bien cher!!! Mais ce qui n’a pas de prix ce sont tous vos petits mots de vous donnés sans compter. Ca vaut bien un petit merci à tous en attendant le retour d’Ossiane perdue dans les vignes du Seigneur!
quéquéL va diR, chère Ossiane, con né des tits saouls rient bébètes…dès qué part, on fait l’andouillette….heu? cela me gêne pas trop, c est assez moi, m’aime moi, en rires bêê^^ê^^bête…
puisqu’on est dans les photo de famille je vous envoie la mienne
http://www.dinosoria.com/enigmes/elephant_man.jpg
Marc-ou-l’éternel-printemps ( clin d’oeil Bourrache)
Oh Bourrache, t’as de ces commentaires irrésistibles, l’Adam n’y résiste pas et la sorcière non plus !! ;)))
Monique et Annick, c’est bien vrai, il est agréable de se retrouver et de rire en choeur, je suis sûre qu’Ossiane ne nous en voudra pas.
Bisou à toi O quand tu nous liras.
Que veux-tu Annick, nous serons toujours les enfants que nous avons été et j’en suis bien contente.
« Je ne vous dirai pas, changez de caractère ;
Car on n’en change point, je ne le sais que trop ;
Chassez le naturel, il revient au galop. »
Philippe Néricault dit Destouches
___
Que connais-tu de moi
Si ce n’est ce que tu vois
Crois-tu que ce soit moi
Celle que tu penses voir ?
Qu’est-ce que je connais de toi
Si ce n’est ce que je vois
Est-ce bien toi
Celui que je crois voir ?
Qui sont ces insondables « moi »
__
Marc ou l’eternel printemps, avec Rachel, vous êtes les beaux de notre site ! incontestablement !! ))
Et c’est rigolo, car hier, dans une fête rurale, on me disait ‘ une vraie gamine! « ,
et oui, je le fais exprès, et quand je splitche le champagne avec Ossiane, je le bulle de oooOoOoOO…..
bises Monique
Mais mes mois
Sont pour toi
Et surtout
Celui là
Là, tu vois
Au plus profond
De moi
Ah lors
Donne moi la main
Ô toi
m a échappé mon texte…
Mais mes mois
Sont pour toi
Et surtout
Celui là
Là, tu vois
Au plus profond
De moi
Ah lors
Donne moi la main
Ô toi
Que je vois
Avec les yeux de moi
Je viens d’aller promener mon Indéfectible sous un toit tout étoilé. L’une d’entre elles a filé sous mes yeux. Gage de bonheur, paraît-il.
Et je me suis sentie heureuse sous cette immensité.
Comme je l’ai été tout au long de ce jour à partager avec vous en rires et sourires.
Ni Narcisse, ni fière danseuse, j’aime à croire qu’il est bon, parfois, de s’éloigner des choses trop sérieuses.
Mais on ne peut pas plaire à tout le monde…
A chacun(e) d’entre vous, j’offre un petit bout de mon étoile filante … et souhaite une douce nuit.
c’est gentil Bourrache, ça me donne l’envie de filer à la fenêtre et de la regarder passer ton étoile pour qu’elle me file des bels filets pour grimper jusqu’à elle, et me nager le ciel….et….
Ma bougie à mOi
Toute de jaune
A coulé de la cire
Sur le guéridon
Je la regarde
Elle est mienne
Mille frissons
De mOi
Pour tOi
nos « moi » sont
Encore à la belle saison
Dans les blés fraichement fauchés
Nos coeurs s’en vont glaner
Quelques épis perdus
et pour cette nuit je vais essayer de voirune étoiles filante avant de m’endormir, Bourrache dit que cela porte bonheur, bonsoir et bonne nuit avant qu’elles ne filent toutes de l’autre côté du monde
hihi, on est dans le même oeil ouvert de vue, Monique…bises et belle nuit.
« voir une étoile filante » hum!!, et j’en connais une d’étoile qui ferait bien de filer dans son lit avant que ses yeux s’éteignent complètement
hihi…
Hi hi Annick bonne nuit à toi aussi, je t’embrasse
Marc : tu n’as rien d’un Elephant Man (ce film a fait perler des larmes à mes yeux).
Quand je parle de ton éternel printemps, je pense au renouveau, à la sève qui monte et … à la « flamboyance » de certains de tes poèmes …
Cela n’engage que moi, bien sûr !
Monique et Annick si les étoiles filantes passent par ici ce soir, je vous en attraperai quelques unes au passage et vous les renverrai par la nuit de demain…
celle de Bourrache brille joliment, Annick fais moi une place quand tu t’y accrocheras.
Bonne nuit à vous tous
Annemarie, j’ai revisionné la belle araignée Argiope Lobata , cela me donne des frissons , son élégance vaut bien la fleur Mona Lobata elle est, elle aussi, haute en couleurs.
Merci Lou et rendez-vous pris demain soir je t’embrasse
http://www.youtube.com/watch?v=9lsvYejz88U&feature=related
bonne soirée à chacun
Bourrache cela fait toujours plaisir quand on écrit et que cela donne du plaisir à lire
Marc : me vient immédiatemment en écho :
http://www.youtube.com/watch?v=CqTLqRFKjAU&feature=related
Je clos l’oeil?
Bla, bla
Bla, bla, bla
Blog par ci, blog par là…
J’aurais bien papoté
Au seuil de la voisine
Ouvrira-t-elle sa porte
Ne l’ouvrira-t-elle pas?
J’aurais bien raconté
A son coeur mes valises
Et ses explorateurs
Une révérence gitane
Une fleur en éventail
Des couleurs, des matières
Des formes en mouvement.
Moi je danse écriture
Je m’envole en musique
Au rythme des saisons
De la nuit à l’aurore.
Moi, je vole sur les toits
Et j’escalade les murs
Je saute sur les bancs
Sous de hauts réverbères.
J’ai secoué les eaux
Les gouttes glissent de mes doigts
En traçant des cerceaux
Où je plonge mon regard.
J’ai cueilli dans la vigne
Un coeur en formation
Trop vert pour être offert
A la douceur des lèvres.
J’évente les minuscules
Et les lettres en vedette
Au seuil de belles photos
Des notes d’Ossiane.
Quand tournent toi et moi
Trop vite dans ma tête
Très longtemps, moi et moi
Nous pleurons ton absence.
Quand tournent les derviches
En un vol habillé
De blanc, de coeurs muets
L’esprit devise avec les anges
La miséricorde des cieux.
Et je regarde ces rondes subtiles
Aux visages dormants inclinés
Ils hypnotisent et tout prend fin
Par le silence des émotions
Derrière les yeux clos et leurs bras
Des élytres de repentance
Font s’envoler vers les cieux
Nos peines, nos joies et nos péchés.
Il pleut des corolles sur mon coeur
Il neige du jasmin léger
Moi je, moi j’eus, moi jet
D’une fontaine qui chante
L’Amour des autres!
Moi, Mes mois reeeeeeeeeeeee à l’infini!
Merci fort de fort à chacun, marc, monique, lou, bourrache, annemarie, rachel, phil alba, bernard, noisette, arletteart, jeandler, pierreb, alix, leila, brigetoun, j espère n oublier personne de celle belle page vi van te…
je t ai fait une place, Lou… alors l’étoile nous emmène….de vrai de bel de vrai..douce nuit!
Leïla : c’est beau, c’est bon, c’est chaud … comme une couverture que l’on tire sous son menton … lorsque l’on s’en va se blottir … dans ses rêves … à l’infini … de sa nuit.
Zut !
J’ai encore loupé la moitié du film…
Y à-t-il encore quelqu’un sur la toile ?
Bon, je vois que,
Même quand je ne suis pas là,
les eeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
sont
là !!!
Quant à MOI :
Idées sombres,
Idées claires,
Idées saugrenues,
Bonnes idées,
Mauvaises idées,
Idées bizzares,
T’as pas idée
Du nombre d’idées
Qui me passent
Derrière la tête
Quand d’un coup
J’ai une idée !
Un coup d’éventail bien sûr !
Et d’un coup de tête,
Les cheveux bleus
Volants dans le vent…
Parce que je le vaux bien ?!,
Heure tardive pour moi…
Ne m’en voulez pas…
Biseeeeeees du soir !
Beau Leïla et je te lis et j’adore merci Leïla, pour toi j’ai gardé l’Oeil Ouvert le temps de te lire et d’apprécier, il pleut du bonheur dans nos yeux.
eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeuh, non …
y’a plus personne !
… des fois que tu te ferais des idées !
Je me doutais bien que tu n’étais pas loin Bourrache…
Et bonsoir à Monique !
… c’est l’heure des fantÔmeeeeeeeeeeeeeees …
M. O. I.
Mammifère
d’Origine
Inconnue !
pfffff … même pas un pédigrée !!!
C’est comme ça pour les chevaux…
Les Origines Inconnues, c’est à dire sans « papiers », comme mon vieux Toto, on les appelle ici des :
Cocktail de prairie !
Oh, c’est joli.
J’ai pas de cheval.
Mais un indéfectible appelé « Cortex ».
Origines z’inconnues, sans papiers, chez nous on dit :
« C’est un croisé entre un tram et une brouette ».
S blottir dans ses rêves, nous les grands enfants, qui payons nos factures, nos impôts et contraventions, qui tapons sur l’horloge quand elle sonne trop le temps, qui crevons dans l’armure des bonnes et honnêtes gens, qui savourons la poésie avec liesse et frénésie….éventera bien qui éventera le dernier,
je souhaiterais que notre hôtesse ramène sept grains de raisins…:)))
Un grain pour paresser
un autre pour caresser
Le troisième pour jouer
Des heures sur le blanc et noir
Des notes de ton ivoire
Mon amour, mon miroir
Aux touches sensuelles,
Un grain pour mon goûter
A croquer sur du pain
avec un chocolat
Le cinquième grain ira
Se nicher dans un pot
Entre une olive et un abricot
Puis le sixième accueillera
Dans la vigne des coeurs
Un amoureux fervent
Quant à dire que fera mon septième grain
Je pense que chacun trouvera
Comme toute rêverie ce que bon lui plaira :)))
Que de hauts émois, de vous à moi
on était à l’étroit à deux, alors à trois !
j’ai l’impression d’avoir loupé quelque chose
quelle moiteur touffue dans ces moi à toute heure
quelle candeur inattendue dans ces toi sans abris
quel bonheur absolue dans ces vous si nombreux
Ici les trams, on ne connaît pas trop,
Mais les brouettes….. j’en connais vraiment un très long rayon !
(fumier, fumier, fumier…)
Sur ce, je te dis bonsoir, ma chère Bourrache, puisque tu es la seule en ligne, et je te dis à bientôt !
(et merci d’être passée me voir sur mon blog, Jonathan a été ravi de te lire !)
Tiens, y’a Una (la chatte) qui veut rentrer !
Biseeeeeees nocturneeeees
Bonsoir à Thierry,
qui nous rejoins tardivement
et Leila !
Moi, moi, moi moi moi moi moi moi moi moi moi moi moi moi moi moi moi moi moi,moi moi moi moi moi moi moi moi moi moi, moi, moi,moi, moi, moi, moi,
Où est mon éventail, je vacille,vertige d’émoi, je souffre de christinite, où est mon apothicaire, mon remède anti eeeeeeeeeeeeeeeee? Amenez-MOI mon lit que je me repose.Trop de vous, trop des autres en MOI, qu’on m’évente de caresses et de baisers, cela m’ira bien pour guérir…Allez j’arrête de faire le pitre:))
Moi : dodo !!!
moi je t’aime si loin
lointaine zone
des franges du destin
haine qui trace ses cris
fragiles
dénudées
assoiffées
paresses
méduses détestables des bonheurs
lointaine zone moi je t’aime si loin
moi je t’aime si loin
Mais vous ne dormez jamais les amis……….
Et la nuit est propice aux plus délirantes improvisations . J’en ris encore ce matin
MOI j’étais avec Gauguin !!!!
MOA MOA
Sous les palmes frémissantes au bord du lagon bleu
Déesses colorées aux poses hiératiques
Rêves
de MOA
AH!AH!
AA
Elle s’est joliment complétée la page. A mon tour d’aller dormir, j’avais gardé l’oeil ouvert, vous vous en doutez bien.
Bises et je vous envoie le soleil.
Une orange sur le toit…des nuages de soie…ma voiture est une île…un matin rendez vous….arletteart parle de « toi »….Bourrache en émoi….et Leîla ses deux ailes…Pour un lou de tendresse…et un marc sucré…une Noisette craquante…Annemarie sa douceur…et Alice nous conte…pour Bernard qui s’étonne…J’aime bien brigetoun…les pensées de jeandler…Annick une fée…et alix près du coeur…Rachel est ma chance..phil alba les yeux de septembre…Aspe l’amour lointain…thierry de bonheur…Christineeee pour une bise…et Monique une étoile ….J’ai brodé dans le ciel…j’ai gardé dans mon coeur…j’ai appris à ma main…tous vos mots offerts…Pensées…Ossiane…
La citation du jour d’Evene.fr :
_
« Si tout est incertain, pourquoi craindre quelque chose ? »
(Solon)
_
Aujourd’hui est jour de plein soleil.
Je m’en repais.
Ossiane, puisses-tu connaître, toi aussi, cette chaude lumière et tirer de merveilleux clichés.
_
Biz à tous.
si tout est certain pourquoi espérer quelque choses
retournant la proposition de solon, c’est selon…n’est ce pas ?
t’a de la chance bourrache, ici ça bruine sérieusement
vite un bruinisateur silencieux mais tenace
allez à ce soir, parce que les oeufs de moa je trouve ça…indigeste
et je vous lis, de votre soirée tardive, je sous ris…
et je vous embrasse, ce jour….
Les doigts de pieds en palmiers
Exotisme
Paille dans un coulis fort frais
Bigbang
Le doux sommeil qui s’allonge ses jambes
Youps
Tourniroulis dans ce mélilo d’été
Gloups
MOI
Il y a un moi timide
Qui rougissait d’un regard d’une parole
un moi ennuyeux
qui vous ferait fuir comme un gueux
Un moi qui doute
Et m’empêchent d’explorer les routes
un moi coquin
qui des fait parfois de drôle de câlins
Un moi révolté
Qui recherche la liberté
Un moi ridicule
Mais cela ne tue pas
Un moi amoureux
Doux rêveur bienheureux
Un moi peu scrupuleux
Qui se sens vite un peu honteux
Un moi secret
Qu’aucune clef n’ouvrirait
Un moi étonnant
Qui au réveilme surprend
Un moi qui n’est pas moi
Quand la colère me prend pour proie
un moi impossible
Qui me rend la vie parfois difficile
J’ai aussi un moi qui à peur
De voir la dernière lueur
Et qui a peur aussi d’ la maladie
Qui l’emmènerait au bout d’ la nuit
oui j’ai tout ça en moi
mais cela ne se vois pas
car je porte le masque des apparences
et de la bienséance
mais il y a des mois que je n’ai pas en moi
un moi sournois
pour avoir tout de toi
un moi guerrier
symbole de virilité
un moi autoritaire
soufflant sur les autres le vent de l’enfer
souvent je m’interroge
mais toi Que vois-tu de moi
Depuis tant de mois
Que je suis avec toi
Et vous qui me connaissez
qu’au travers des mots
Quel est le moi que l’on perçoit?
peut être toujours celui que je ne suis pas
voilà vous savez beaucoup de moi
enfin de ce que je crois
Car tant de choses encore ne sont pas dites!
je pourrais continuer longtemps cette liste à la Prévert
Je pourrais dire tout et son contraire.
Mais ce sont les actes et non les mots
Qui font de moi ce que je suis
bonne après midi
Entends – tu dans chaque mot
le NOUS qui déplace le Moi
Indigeste et fumeux
Le TOI harmonie si soudaine:
C’est EUX qui ensemble
se construisent un monde
Peint en bleu sous un TOI
pour chaque jour de l’enfance
Ne plus retenir ce MOI arrogant
Et proclamer un NOUS d’abondance
Je , tu , il
Nous vous aimons
Ils , elles t’entendent
Sans Moi dit l’égocentrique.
Bonne journée
C’est joli, Marc et c’est touchant, et pour te suivre…
Peu m’importe qui tu es
Tu es
Je t’aime ainsi fait
Sans me poser le pourquoi
Car si je me la posais
La réponse serait celle ci
Lui
Mon lui de moi
Il est amour
Et c’est justesimplevivre
Que de vivre en amour
Soi
Alors si tu te caches
Pour ce que tu dévoiles
J’y vois de l’amour
Alors
Inévitablement
Je t’aime
Ô Toi
Ne cherche plus pourquoi
T’aimer pour ton amour
Est
Si grand de fort de vie
En lumière infinie
c’est joli, Hélène…
Sur une grappe de raisin
La vie
A se boire se goûter
En belle vérité
Un grain pour toi
Cet autre pour moi
Encore un pour nous
En v i e
Et puis en voilà pour vous
Sans oub lier ceux
Et lui et encore elle
Et aussi vous de nous
Comme elle est jolie cette grappe
De V I E N
D’un monde sucré et généreux
Qu’il est bon se gorger
En ivresse de vie jamais rassasiée
Il est si bon le temps d’aimer
Je V I E N S
palme et cheveux d’or.
Quel bonheur, l’accord parfait textes et images !
Ossiane agite son éventail
et mille mots papillons s’envolent
aux couleurs de
leila
lou
brigetoun
marc
pierre.b
jeandler
bourrache
arletteart
annick
thierry
aspe
alix
noisette
rachel
alice
phil alba
bernard
annemarie
monique
christineeeee
helene
salade
ceanothe
d’autres peut être
et moi et moi et moi et moi
dans le jardin d’ossiane
on vole de ci de la
on a la clef des champs
pour un temps
MOI, Ossiane, je prends le train en route..
Oh!feuille voluptueuse
Tu déploies tes fils amants
Comme une reine enjoleuse!
Tu te déploies comme un évantail
Sur mon surmoi
Et j’aspire à me délivrer de toi
Pour affirmer mon moi
Un p’tit coucou à tout l’équipage qui m’a l’air en folie! Ma foi, vos « moi » inondent le blog de joie
Courage à toi, Ossiane!! Bises
de toi à moi…. de moi à toi… je voulais te dire, te dire…et voilà je ne sais plus ce que je voulais te dire,tant pis !!!
que c’est dommage SABINE, il y a tellement à dire dans ces silences de mots oubliés…
moi c’est m…
Ne pas vouloir dire
Nepas savoir ce qu’on veutdire
Ne pas pouvoir ce qu’on croitqu’on veut dire
Dire et toujours dire ou presque
Samuel Beckett
ouf ! je ne sais pas si j’aide ainsi Sabine!!!!!
AA
Décidément dès que le capitaine a le dos tourné l’équipage se déchaîne.
J’ai bien ri en vous lisant ce matin.
elle agita son éventail…se rosit un peu tant…se cacha derrière le mouvement..et se tournant un peu, imperceptiblement…dans l’inaudible son dans son plus fort quand même…elle murmura si tendre…il comprit fort de suite à son battement de son cil…avança élégant..pour les frémir quand s’aime…quand près de toi suis de moi…
J’ai ouvert l’éventail à idées. Il n’en est rien sorti car j’ai la fâcheuse habitude de ne penser à rien.
Des plis de l’éventail est tombé un doigt de pieds. Il était furieux d’être ainsi dérangé et m’invectiva énergiquement. Il repartit clopin–clopant retrouver les siens.
L’air avait beau être très frais je me suis surprise a agiter l’éventail un peu comme une automate.
Depuis je suis cloué au lit avec un rhume carabiné. J’ai mis l’objet en vente en affichant un éventail de prix assez large.
J’ai refermé l’éventail à idées. Une chose est sure : cela n’avait rien changé car je ne sais si je vous l’ai déjà dit mais j’ai la fâcheuse habitude de ne penser à rien.
Personne n’a encore décerné la palme
pourtant sur le blog ce n’est pas le calme
un orage agite les moi et au tournant de celui ci
on a peur qu’IKE ne vienne ficher en l’air toi
c’est que la feuille de palme sert à confectionner
des coupe vent et des toits, des toitures pas des toits sûrs
surtout pas qu’en l’ébouriffant cyclone du blog souffle autant
Ah cette ivresse passagère et légére nous fait aussi penser
à ce vin de palme que l’on brasse de libre manière
avant de couler, pas de se la couler douce
avant de sombrer dans une ironie douce amére
c’est si digité qu’on en est trop agités, à giter ainsi
conserve t on le vivre et le couvert
et quand on veut s’éventer la tête sans se vanter
on évite le moi mais on peut s’abriter
car si il ne nous tutoie, il nous revigore
évite la morsure trop acerbe
et quand la sieste nos endort
nous pique le fessier
comme un conquistador
bel équipage, le rôle est signé, tous embarqués
ça va encore tanguer
merci de tant d’effort
un vrai réconfort
moi je vous le dit
encore
merci bien fort
Bonjour à tout l’équipage qui se sert les coudes, bienvenue à Céanothe
Je vous fais partager « le bonheur des mots » de Pierre Reverdy, de vous à moi, je l’aime beaucoup et Sabine en lisant fera une petite pause
___
« Je n’attendais plus rien quand tout est revenu, la fraîcheur des réponses, les anges du cortège, les ombres du passé, les ponts de l’avenir, surtout la joie de voir se tendre la distance. J’aurais toujours voulu aller plus loin, plus haut et plus profond et me défaire du filet qui m’emprisonnait dans ses mailles. Mais quoi, au bout de tous mes mouvements, le temps me ramenait toujours devant la même porte. Sous les feuilles de la forêt, sous les gouttières de la ville, dans les mirages du désert ou dans la campagne immobile, toujours cette porte fermée, ce portrait d’homme au masque moulé sur la mort, l’impasse de toute entreprise. C’est alors que s’est élevé le chant magique dans les méandres des allées.
Les hommes parlent, les hommes se sont mis à parler et le bonheur s’épanouit à l’aisselle de chaque feuille, au creux de chaque main pleine de dons et d’espérance folle. Si ces hommes parlent d’amour, sur la face du ciel on doit apercevoir des mouvements de traits qui ressemblent à un sourire.
Les chaînes sont tombées, tout est clair, tout est blanc – les nuits lourdes sont soulevées de souffles embaumés, balayées par d’immenses vagues de lumière.
L’avenir est plus près, plus souple, plus tentant.
Et, sur le boulevard qui lie au présent, un long, un lourd collier de coeurs ardents comme ces fruits de peur qui balisent la nuit à la cime des lampadaires »
___
Encore merci à Ossiane à travers ses images, ses songes et ses pensées où chacun peut errer dans le plus grand bonheur je vous embrasse tous
Sans vouloir réveiller personne, je repasse par ici, peut-être que vous repasserez par là, c’est juste pour un petit bonsoir.
___
Dans la douceur de l’air
Aux senteurs de chlorophylle,
Une palme s’effile
Et caresse les songes,
Interroge le temps,
Ecoute les mots,
Ce qu’ils ont à nous dire.
C’est tout un éventail d’idées
Qu’un vent léger transporte,
Des bribes de souvenirs,
Des pans de mémoire
Qu’on rattrape
Ou qu’on laisse partir
Dans la douceur de l’air.
___
Bonne fin de soirée et belle nuit
Une pensée ma tête en splitch
Et déjà le temps m’éclabousse
Il en fait tant son temps au temps
Et l’éventail me ventile
Des pensées ça brûle le crâne
Alors que le temps complice me vienne
Encore dans son creux de calice
Amour je t’aime de tout mon moi
Ccmme c’est joli, si tendre, Monique, j’aime…Belle soirée..
bonsoir au visiteurs du soir
juste en passant
http://www.dailymotion.com/video/x3dsul_vanessa-paradis-des-que-je-te-vois_news
bonne soirée au derniers passagers et aux suivants
bourrache manque à l’appel!!!
TOI, MOI, NOUS, qui sommes nous ?
Sous la plume de Reverdy :
« Je suis dur
Je suis tendre
Et j’ai perdu mon temps
A rêver sans dormir
A dormir en marchant
Partout où j’ai passé
J’ai trouvé mon absence
Je ne suis nulle part
Excepté le néant
Mais je porte accroché au plus haut des entrailles
A la place où la foudre a frappé trop souvent
Un coeur où chaque mot a laissé son entaille
Et d’où ma vie s’égoutte au moindre mouvement »
___
Bonsoir tous et merci Annick je t’embrasse
Je vous souhaite une belle nuit, Marc et Monique,
c’est beau de mots, vos mots en partages, le palpitant apprécie…..BISES.
à demain, Ossiane, goûte aux bels raisins de vie, par tes clicks de ton toi, et moi, petite moi, j’admirerai en silence ou en mots, ces graisn velours posés…
Et l’enfant décida
De tresser les rayons
Du soleil du matin
Sur les doigts de sa main.
Sur les murs de sa chambre
Fit des ombres chinoises.
Éventail, araignée
Monstre, fantôme ou fée?
L’enfant se rendormit,
Son rêve retrouva
Peuplé de rayons d’or
Et de tous ses trésors.
Encore une fois,
J’arrive…
Un peu tard,
Mais bonsoir quand même !
Christineeeeeee et ses biseeeeeees
Que vois-tu de moi, depuis que nos deux corps
Se sont dévoilés pour s’éloigner des berges
De la rivière qui coule entre étoile et terre.
Les mots oubliés cheminent de moi à toi
Notre histoire pages pour d’autres, raconte des regrets
Mais des bonheurs aussi.
Le vent emporte mes cheveux, ils semblent se gausser de joie
A s’envoler, un éventail en guise de main pour les frôler.
Le fil de Soi est écorché, mais il peut encore traverser
Pour les Moi croisés sur sa route, toutes les rivières tourmentées.
Sans vers et contre rime, envers et contre aucun
S’incline la main qui palme de ses nervures l’humain
En berçant les coins d’ombres pour préserver les uns
Des avalanches d’amour, mirages des autres, en ville.
Epeire-émeraude j’écris sans peur, j’écris trop vrai pour être leurre
Cache bien mes voyelles, elles se glissent entre tes réseaux
Se font des petits de consonnes et flirtent à se faire nommer mots
Il n’y a pas assez de Robert, ni de Larousse pour leur fixer demeure, alors, les lettres courent toujours et viennent rapporter à mon coeur, les faits divers des âmes soeurs
Un jour en Asie majeure, un autre en Afrique du ciel
Tantôt en Amérique d’Europe, tantôt en Arctique désertique
Rien n’y fait j’ai beau les héler, ces turbulentes autour de MOI
Elles chahutent trop dans l’escalier, la cour d’école n’a pas assez de coins secrets pour des jeux d’hommes
Elles se cachent, espiègles de rue
Trop l’envie de la voir passer, l’évanescente et belle Gheisha e Marc,
Eternelle beauté, fantasmé sans aspirateur
Le teint poudré la joue rosée et le petit pied enroulé
Nô, moi, Nô, plus de rêve! Mais il court plus vite que ma pensée l’alphabet.Il exige de mes doigts des histoires
Je les lui offre, offerte à sa dictature adorée.
Voilà je suis en moi, gheisha…
Le monde des fleurs et des saules
Gheïsha et Samouraï
Gheïsha et hommes d’affaire
La grâce pour un guerrier
Un shogun populaire,
Qui goûte au plaisir de la chair,
L’arc se tend, la flèche se lance
Sans viser la cible ennemie
Sa bête fulmine, course nerveuse,
Les rivaux aux champs de bataille
Son maître est puissant dans la vie,
Et dans la mort harakiri.
L’homme arbore ses deux sabres qui luisent
Avec ses katana, c’est un patrimoine de courage
Dans les coeurs d’un Japon séculaire.
Les maisons de gheïshas
Maisons de femmes rivales
Anciennes et débutantes
Se côtoient sans heurts.
La jeune fille encore apprentie
Est une Maïko, petite danseuse
Dont les cheveux noirs et huilés,
Sont torturés en poire fendue,
Maître de thé et grande conteuse
La vieille dame, à présent ridée
Est une icône de respect
Avant, sa face blanchie au plomb,
Sa peau aujourd’hui en retraite
A jauni, n’est plus à la fête,
Satin couleur de jade
Des plis et des ceintures
Des fleurs et des couleurs
Des kimonos précieux
A l’obi enveloppant
Une taille gracieuse et frêle
Peignes de nacre et éventails
Multiplicité de la grâce
Des faces blanchies à l’oeil ridé.
Sous les fleurs blanches des cerisiers
Chutant à peine écloses
La fleur cueillie dans sa beauté
Embellit toute chose,
Bourgeons de prunier, fleurs de thé
Surnoms flattant l’imaginaire
Elle s’accroupit subtilement
Sous la palme en éventail
Silhouette du plaisir tranquille
L’encens qui se consume
Est le clepsydre de la séance
De ces moments intimes,
Les gheïshas et les courtisanes
Sont des jeunes femmes à savourer
Prévenantes, effacées
Souriantes et dociles
Assises derrière des paravents
Servant au flacon de saké
Leur hôte avant de divertir
Par la danse ce rendez-vous,
Rendez-vous comptés dans la nuit,
La jeune gheïsha à pas pressés,
N’a jamais voulu s’arrêter
Se fait secrète, se fait discrète,
Dans son quartier, la Japonaise
Longe plusieurs maisons de bois
Des passants curieux la saluent,
Emerveillés par sa beauté,
Elle sourit soulève ses étoffes
Laissant deviner sa chaussure
La courtisane n’est pas gheïsha
La gheïsha jamais courtisane
On sent, on caresse sa beauté
Tandis qu’on aime la fille de joie,
Saule agile des soirées d’automne
Ou dans la moiteur de l’été,
Okamé, suit son bel amant
Mais elle sait pertinemment
Que leur temps est éphémère
Il l’emporte en silence, d’un sourire
Partager des instants…de l’art.
Au théâtre les kimonos
S’alignent en allée de printemps
Drapées dans leurs longues soieries
La chevelure parfumée
De fleurs de roses, de camélias,
Les femmes bridées
En rigoureux alignement
Dans la grâce de la danse et du chant
Accordent la beauté du jour
A la musique de tout amour
Et sur la scène obscure,
Un corps se meut au ralenti
Suivi dans le même mouvement
De femmes qu’on suit sans se lasser
Tandis qu’un musicien s’adonne
Au chant des mystères sous la soie.Soi et moi.
Bisou l’équipage.
Passage très tardif quant à moi 😉
Quand t’as moi dans la peau
Que j’ai toi dans le coeur
On soulève le capot
Pour y planter les fleurs
Le moteur de la vie
sort et dit vagabonde
Et l’essence des jours
se répand comme une onde
En moi les feux clignotent
ou allument le feu stop
La clé des champs chuchote
et dit au périscope
De faire tourner la roue
Et d’essuyer la glace
De casser les verrous
Pour faire un seul espace
Sur les feuilles de palmiers
vos mots resplendissants
pendant que vous dormiez
Je les voyais passant
Gais et doux tour à tour
Prenant le toit ouvrant
ou les ailes de l’amour
ils oeuvrent tisserands
Et merci de les partager
A demain
Mais demain Lou c’est aujourd’hui ………
i ly a ceux du soir et de la nuit et ceux du matin où petit matin pour se rencontrer
parfois difficile aussi ,alors
Lasse je me suis assise au bord du chemin et je me suis vue passer ,alors je me suis donner la main pour continuer …………….
AA
Un passage dans l’ombre de mes songes .
Bonne journée à toi Ossiane
A boire! A boire Ossiane! Une autre image! Un autre bon point! Une autre photo de soi! Trop de moi! Trop de moi, symphonie bruyante, prose d’esprits sous les ogives silencieuses de ta cathédrale.
Bonjour et bonne journée dans le matin qui s’éveille tout encore immobile dans le soleil timide.
__
Là-haut, là-haut sur son palmier
La palme a caressé les cheveux d’anges
Elle a gardé au bout de ses doigts verts
Les fils de l’amour
Qui tisseront la toile
De la couche des amants
__
anne-marie j’aime beaucoup ce texte sur l’enfant
arletteart ignorant l’espace et le temps qui nous séparent
les images, les noms , les mots s’assemblent,
pour le plus grand bonheur de l’esprit cet l’oeil ouvert sur le monde
Monique, merci pour ces passages de Reverdy
et ton regard promenade
merci annick, oasis de gentilesses et de mots-images et Leila qui ecrit en apnée
Bourrache manque toujours à la pêle je me suis pris un rateau c’est moi qui joue au sable aujourd’hui
bonne journée a chacun
ils sont doux tes derniers mots, Monique, merci Marc, belle journée de mercredi pour chacun, jour des enfants…
Marc l’apnée juvénile ça nous rajeunit et c’est tant mieux ;)))
grande et bonne journée à tous
.
Petit Coucou en direct de Reims entre deux vadrouilles photographiques;-)
.
Bonjour à tous les passagers du blog! Le capitaine est parti et c’est la fête à bord;-) Tant mieux le blog est bien vivant! Quelle bande de poètes peu ordinaires vous faites avec tous vos mots, vos maux, vos mois, vos surmois, vos émois, vous vous en tirez bien! C’est superbe comme d’habitude ! Je ne sais pas ce qui m’a pris de partir sur cette idée;-)
.
Et moi et moi et moi…. ça va bien;-) Grand beau temps lundi et mardi, idéal pour la photo, beaucoup de marche et découverte de très jolis coins dans la Vallée de la Marne sur les coteaux de vignes et en bordure de Marne. Je repars en randonnée cet après-midi dans la montagne de Reims.
Mes premières bulles hier soir avec un blanc de blancs aromatique et aérien que je vous ai dédiées;-)
Je vous laisse à vos activités, je vous remercie également pour tous vos beaux écrits, votre humour et votre joie partagée et je vous dis à bientôt. Le devoir m’appelle, je file.
Amitiés à tous
Ossiane
.
balade à moi
moi qui passe
étrange trait de moi
à toi poisson frivole dans ton bocal ventru
pense à buller si tu es à REIMS…
http://fr.youtube.com/watch?v=SCw201tKUDY
Tous égaux
Nos p’tits ego
Jouent au lego
Au jeu de go
Sans mégoter
Se dégommer
Ni ergoter
D’allégories
Ils s’égosillent
Allez, go!
Oui Arletteart aujourd’hui et demain ne font qu’un, je cherche toujours le t sur le chemin de l’asile 😉 Bonne idée de se prendre par la main 😉
Hello Aspe, Annemarie, Thierry, Marc, Annick et Monique, Bruno, Leila et l’équipage.
Bisou à toi Ossiane
Je commence la journée dans un « bout de ficelle » tressé dans les cheveux de la feuille 😉
___ ___ ___
Toi le O adulé entremis touchant tant
Entre mi tout chantant et puis la do laissant
L’adolescent omis où le moi s’est perdu
Père du moi mois de mai
A qui remplace le O
Et le moi dans le mai refleurit en ami
Rit en âme il est fou ce O qui se promène
Entr’ aime et I content
A la recherche du T
Qu’il a bu en passant
Pas sans toit la tendresse
Est-c’ toi ou moi l’ivresse
Toi le thé moi le aime
ce champagne de Reims
Et me revoilà M bien suivi par le O
Mot de toi mot de moi
Pour les go des enfants
Qu’on ne cessera d’être
Merci Ossiane d’être passée par ici, tu nous laisses à nos activités et nous t’en remercions toi qui « crapahute » dans les collines de Reins, tu nous as mis la palme dans les mains, nous nous la passons comme un relais en poésie, à moi, à toi et le rêve se construit des uns aux autres. Tout cela reste bien dans la pensée de Gaston Bachelard qui dit :
« La poésie constitue à la fois le rêveur et son monde »
Nous sommes dans le monde de » l’Oeil Ouvert » largement ouvert , sur les autres, sur la beauté, la poésie, le rêve, l’amour l’amitié….et qui plus est nous aide à nous construire par l’expression mais aussi par l’écoute, les échanges et le partage…..je passe le relais…..
il était temps j’allais vous endormir, bonsoir Lou j’ai suivi ton O dans ton mot rigolo
Avec ses pieds palmés
elle marcha son matin
Puis sur ses pointes elle danse
en cet après midi
Avant de ranger ses palmes
pour la soirée pour vous
A vous lire et écrire
pour partager nos mots
bel soleil pour chacun’e’…
MOI j’aime les belles lettres mais certaines, eh bien pas.Ainsi je n’aime pas le « G », il ne ronronne pas assez, a beau se faire draGée, une aile dans messaGer, bouGie pour une rencontre mais MOI, tatie Danielle qui ne vous connais pas mais vous déteste déjà, G voyaGé en poésie sans apprécier ce C ouvraGé..Ma préférée c’est la lettre « f » car les mots sont Fluets,Fées sur ma coiFFe,dans les étoFFes de mes Fêtes.Dès que mes Fées croisent G, je me fais moins draGon, j’arrête de GriFFer!
Le poète s’en va sur une ligne
et se retourne comme un fantôme
à la recherche d’un moi imaginaire
uni, dépouillé , fauché , glorieux
pauvre moi de poète au bord
de la jeunesse et la vieillesse du monde
et dans sa compassion hésitante
il fauche les lourdeurs et les métaphores
les clapotis des vagues et l’emphase des rondeaux
unis sur le même vol d’oiseau
avec ou sans la participation d’une parenthèse
absorbée par le ciel clair
Il proclame en vers
je est un autre
mais est- ce moi ?
La palme raie, éclaire l’aoasis d’un trait
même si elle est effilochée
pas de quoi nous faire loucher
mais pour ce qui est de toucher
sans pestige de la digitation
pas de preste allittération
pas dorée sur tranche
pas jonchée en branches
elle nous déclenche
dans le sud ouest
on est gavé
c’est que le palmipéde
a tracé des chemins
de gastronomie dominée
la palme est la reine
de la fête des rois
qui sert à confestionner
tant de menus objets
souvenirs aux alentours
de la cathédrale …de Barcelone
en période de Noël
enfin pour les amateur de Havane
le palma larga
flatte de ses vitoles interminables
et dresse des volutes à n’en plus finir.
difficile de faire le tour de la palme
sans plonger dans d’affligeantes banalités
pourtant la palme sert aussi à baliser
tout autant qu’à tamiser …la lumière
Monique,
A ta santé les bulles d’ Ossiane, d’Annick et d’Aspe, les volutes de Thierry et puis toutes ces folies.
l’O plate ou minérale nous remettra d’aplomb car on est ivre mort après avoir tant bu et tant fumé ;)))
lOvE et c’est le EEEE qu’on suit 😉
tOi ?
Ombre effilée
Fragile
Douce Insolente
bonsoir à chacun
Ossiane je vois que tu allies l’utile et l’agréable
c’est toi qui bois et nous on trinque …..mais à ta santé
dans le miroir je me regarde mais c’est toi souvent cet étranger que je vois
et tu seras toujours pour moi un vrai mystère.
bonne soiré
peut être en fin de soirée je repasserais
Et les e de Christine à ta soirée Marc, ne les oublie tout de même pas 😉 !!
Bises
Quand le moi noie sous les palmiers
et que toi toise sous les palétuviers
il faut appeler le monoi du pluvier
trouver la douche …appuyer sur la touche…enlever une couche
quand on a le moi si sûr on ne craint pas la moisissure
aussi large soit la tonsure on utilise un ton si sûr
quand tu crois toucher le moi et t’apprêtes à dire « le moi t’y es »
tu n’a pas pas fait la moitié du chemin
pourtant bien malin si tu crois te connaître
et cette formule au fronton
« connaîs toi ,toi même et tu connaîtra les autres »
pourtant comme le disent les enfants « toi même »
il faut bien s’abriter de soi
se défendre de soi
se déprendre de soi
car l’émoi est délectable, à défaut du moi
que certains s’ingénient à haïr
il faut s’apprivoiser, lentement…lentement
il n’y a pas trop d’une vie pour celà
Hello !
Vite, un petit :
Le M
donne la main au
O
Le O
donne la main au
I
Le I donne la main…
à qui ?
Le I
donne la main au
T
Le T donne la main au
O
Le O donne la main au
I
Le I donne la main…
à qui ?
Le I
donne la main au
S
Le S donne la main au
O
Le O donne la main au
I
Le I donne la main…
à qui ?
A NOUS !
Ce qui nous donne
Une chaîne sans fin…
MOI-TOI-SOI-Nous….
C’est la chaîne de l’amitié
C’est la chaîne de l’Oeil Ouvert !
Rondeeeeee de Biseeeeeeees
Viens que je te toise, toi Moi collé, mon ombre
Viens que je t’apprivoise, après,si tu encombres
Trop le fil des idées, je te marchanderais pour une cuillère de miel
Ou te proposerait une rencontre de Mois, qui bavardent l’Oeil ouvert :))
Dans l’allée des palmiers
Aux larges feuilles tendues
Comme des mains offertes
J’ai promené mes rêves
Et mes envies de voyage
J’ai imaginé
L’euphorie d’un départ
Vers ces contrées lointaines
Avec une folle envie de partir
Pour découvrir et connaitre
Mais les rêves ne durent
Que le temps d’une balade
Ils s’évanouissent
Au détour des allées
Fussent-elles des allées de palmiers
D’orangers ou de catalpas
Et puis l’on se retrouve soudain
Dans la rue principale du village
Une baguette de pain à la main
Et l’on se prend à penser
Que la rue est coquette
Le village merveilleux
Et que la mutation de rêves
S’est faite finalement sans douleur.
Quelle drôle d’endroit que cet Oeil ouvert !
Ossiane boit ( mais ça on s’en doutait non !), Marc va repasser (n’oublie pas le petit tas de linge que je t’ai préparé), Christine fait une chaîne, Leila fait du commerce, Thierry nous récite la prière du soir, Lou sème les e moi et cherche son t.
Non vraiment, quel drôle d’équipage. (sourire les amis). Et hic à votre santé !!!!!!!!!
correction : Lou semè les « e » moi qui croyait qu’elle cherchait son « t »
Quelle belle osmose entre la photo, l’image et les mots !
Une harmonie du Moi réussie !
Bienvenue parmi nous Excuvie , jolie tes petits « patapons » et les citations de ton site.
J’aime bien tes derniers mots Thierry. Oui , « il faut s’apprivoiser lentement ». Et j’ajouterai doucement apprendre à s’aimer quand on ne s’aime pas.
Remarque Semer des e pour commencer ou pour finir la soirée, ce n’est pas une trop mauvaise idée, hein Rachel, mais il en a déjà tellement, qu’il ne reste plus qu’à s’atteler à La Disparition 😉
Allez bisou du soir
Et à bientôt l’équipage
Bon Jour
Vous êtes étourdissants les amis et je suis toute étourdie de vos moi toi soi
où est-ce les bulles transmises par Ossiane ???
Parlez- moi de Moi y a qu’ça qui m’intéresse chantait Gréco
voici un bel exemple
on en redemande …………. des bulles et des moi toi soi
bel journée comme dirait ………Annick
AA
Je reccroche encore un petit maillon !
Lou,
C’est toi
La
Semeuse ?
___
http://www.pixelcreation.fr/fileadmin/img/sas_image/galerie/livres/hist_du_graph_en_france/02.jpg
___
Biseeeeeeees matinaleeeeeees
Faudrait dire à Spiderman qu’il arrête de s’essuyer avec les feuilles du jardin…
Chère Neyde , un message personnel pour m’assurer que vous allez bien;
Comme vous n’avez pas écrit le poème du mois ( n’y voir aucun lien à ce moi de la semaine ) et que je ne vous lis plus chez moi , je m’inquiète !!
Un petit signe peut-être ?
MMMMMMMMMMMMMMMMMMMMM0000000000000000000iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii :)))))
Prochain thème pour jongler:
bulles :)))))) Vous pariez qu’elle va nous l’faire?
Des bulles, Il y en a à la note 500, de très belles.
Elle agite son éventail
Pour se ventiler sa vie
Parfois si éprouvante
Que la gaieté la quitte
Et en airs frais si poétiques
Se réveille douce et apaisée
bel bon jour, arletteart..SOURIRE.
Bonjour,…., le ciel voilé et bas semble recouvrir le monde d’un duvet de plume, le ciel est vide de nuages, de soleil et de ciel bleu, brouillon du paysage au crayon de papier….
___
Elle abritera nos coeurs fragiles
Généreuse, elle offrira ses mots tendres
Sans ostentation, elle chantera pour nous
Nous donnera à entendre
Les mélodies que l’on attend
Elle puisera dans son infinie tendresse
Des paroles douces à nos oreilles
Elle logera au creux de ses vers
Ces petites phrases de rien du tout
Qui font se renverser le monde
Elle fera s’épanouir les regards les plus tristes
Et de sa source jaillira la beauté
Des histoires les plus sombres
Sortiront les mots qui font frémir
Et se tordre les entrailles
Elle nous tirera de cette léthargie
Où notre âme s’endort
Elle….la Poésie
___
…..et c’est ainsi que songeur, l’esprit vagabonde et les pensées s’éparpillent de ci de là et loin de moi s’envolent aux vents du hasard…..
c’est joli, Monique,
et pour te suivre…en poésie douce mélancolie…
Le petit oiseau, dehors, il s’écarquille et il agite sa branche en feuilles, pour se raffraichir son feu aux ailes, il faisait si bel chaud hier, et puis, cet aujourd’hui, septembre porte son nom, et l’oiseau se repose, il a tant volé le ciel bleu d’hier, et puis la poésie le sauve, il se niche son nid, fait des tendresses de vie, ses cuicuis bullent des oOoo qui remplacent ses iIiiIi, la vie, la poésie de vie, du bout de son éventail qui s’agite et prend l’air pour adoucir le coup de soleil d’un petit oiseau à elle.
Pout Leïla :
Si tu veux des bulles de champagne….
Clique ici !
https://blog.ossiane.photo/2007/12/31/aurore/
c’est gratuit !
et sûrement d’actualité pour Ossiane !
Biseeeeees bulléeeees
Trop mignon Annick, ici les oiseaux sont encore à la sieste et sous les grosses feuilles du palmier qui lèvent leurs longs… doigts… verts… vers le ciel il n’y a pas l’ombre d’un battement d’ailes ; je ne sais pas où ils se cachent, peut-être dans branches du tilleul qui se balancent sans mélancolie mais comme sous le son inaudible d’une mélodie. J’ai beau tendre l’oreille, je n’entends rien, la nature a parfois ses intimités.
Bonjour CrhistineOOOOOOOOOOOOOOOOO, je me suis servie une coupe, il faut dire qu’Ossiane ne se trompe pas d’adresse!
Je découvre aujourd’hui ce magnifique blog ! Les photos sont superbes. Le travail du traitement des photos est très agréable à voir. Bravo
De moi à toi Christineeee une grosse bise de cheval :))
love et bonne journée l’équipage.
Toi
Toi de toi
Comment ça va
Et moi
Moi de moi
Ca va
Et nous
Toi et moi
Nous
Ca va
Et je pose mon moi
Pour t’entendre tout toi
Une partie de toi
Et mon moi il accourt
Car ton toi est si bel
Que mon moi s’en souvienne
De toi en toi mon jour
Monsieur Séraphin avait été nommé, la veille, chef du personnel dans une modeste PME du Loiret. Les employés accueillirent leur nouveau patron avec plaisir car Monsieur Séraphin avait toujours été un homme aimable, courtois et très humain.
Au lendemain de sa nomination, ils virent arriver un homme moins voûté qu’à l’accoutumé. Comme à l’ordinaire ils le saluèrent mais cette fois le nouveau chef ne répondit pas à leur salut. Ils s’en étonnèrent mais pensèrent bien vite qu’il était plongé dans ses pensées. Lorsque les employés arrivèrent dans leur bureau ils furent surpris par l’atmosphère oppressante qui s’en dégageait. Mademoiselle Rose pleurait dans le bureau du patron. En sortant elle annonça entre deux sanglots que le patron venait de la licencier et qu’elle devait « balayer le plancher immédiatement ».
– Mais enfin pourquoi ? s’interrogèrent Mesdames Rabi et Jocate
– Je lui ai dit « Bonjour » alors que j’aurais du lui dire Bonjour Monsieur Séraphin
– C’est une plaisanterie répondirent en chœur les deux femmes
– Oh non je vous l’assure !
– Mais enfin, Monsieur Séraphin a toujours été un homme bon et sage
– Pas ce Séraphin là dit Mademoiselle Rose en pleurant à grosses larmes
Mesdames Rabi et Jocate frappèrent à la porte de Monsieur Séraphin et essayèrent de défendre sa cause. Pourtant l’homme qui se tenait devant elles ne ressemblait en rien à celui qu’elles connaissaient encore la veille. Ses yeux étaient petits et cruels, sa bouche se tordait dans un affreux rictus.
– Qu’est-ce que vous voulez vous autres ! Subir le même sort que la Rosita. Ça va valser moi j’vous l’dit car maintenant c’est MOI qui décide, c’est MOI qui commande, c’est MOI qui dirige. Il y a tellement longtemps que j’attends ce moment. Allez dégager sales grues et mettez vous au travail immédiatement.
L’enfer dura ainsi plusieurs mois. Monsieur Séraphin dormait maintenant dans les locaux car sa femme l’avait quitté. Chacun souhaitait une fin sordide et douloureuse à cet homme jadis aimé. Lorsqu’il s’écroula par un après-midi d’automne les employés l’enjambèrent à tour de rôle pour rentrer chez eux.
Chacun allait de sa satisfaction vengeresse pour toutes les méchancetés séraphines, murmures de propos assassins et crachat sur l’inanimé.
L’entreprise s’est vidée, le corps gisait sans vie.Des pas retentirent dans l’escalier, des pas qui montaient, une ombre, une seconde, une troisième, encore une, puis une s’agglutinèrent autour de Séraphin.L’humanité plus forte, les fit rebrousser chemin.
(je ne garantis pas ce résultat dans la réalité!)
Suprème injure
Dans le monde des enfants
Ou peut-être même des plus grands :
MOI c’est MOI
et TOI
« T’es TOI »
En d’autres termes, il vallait mieux la boucler, sinon ça allait barder !
Biseeees du soir !
heu? peut on l’ouvrir encore, Christineeeeee, belle journée pour chacun’e’..
.
Petit coucou rapide; j’ai un peu de mal à accéder à mon ordi qui est affecté à d’autres tâches;-)
.
Marc, je joins l’utile à l’agréable avec les gens que je connais ici;-) Des petites bulles tous les soirs avec des bouquets de tchin tchin envoyés à la volée et des spécialités champenoises;-)
.
Après le grand beau temps et les grosses chaleurs, la pluie revenue mais j’ai pu faire ce que j’avais prévu à Vertus dans la côte des blancs. Malgré le manque de soleil pendant l’été, les raisins sont beaux et gorgés de sucre. La vendange pourra commencer le 17 septembre.
.
Toujours vos petits mots semés à l’infini sur vos moi, vos vous et vos toi comme dans une grande prairie de fleurs. Jolis échanges pleins d’affection sur la clé des songes! Bien du plaisir à te lire aussi bernard;-) Chacun d’entre vous a la palette de mots qui lui ressemble. Ces écrits partagés sont d’une grande richesse intellectuelle et affective.
.
Neyde, je pense à te répondre et t’envoie mes meilleures pensées en attendant mon retour samedi.
.
Petit coucou à Gwen et à bonbonze qui commençait à nous manquer;-)
Toutes mes pensées à vous en cette veille de week-end. Pardonnez si j’ai oublié de mentionner des choses; je vous relirai à tête reposée dès mon retour.
.
Ossiane
.
La légèreté candide
d’un mot
capricieux
papillonne fiévreux
Moi météore
Toi indolore
Eux insonores
Nous muets
Une telle absence
de paroles
vous ensevelit
devenant cet ultime
spectacle
lente défaite de
nos vies .
Ossiane à propos du vin :
ce montage et ces textes de amichel étaient merveilleux
https://blog.ossiane.photo/2007/09/12/patrimonio/#comments
descendre et regarder cette belle grappe de amichel une merveille
bonne journée a tous
c’est pas descendre
c’est remonter
enfin vous trouverez bien sur la note
et c’est tellement beau de rappel tendre, merci Marc,
et remerci amichel, dont j’apprécie tant la jolie plume..
Toi
Toi, ici
Et je rougis
De moi
« l’ombre de mes songes
L’éventail de mes pensées
Mes cheveux dans le vent »
Haïku merveilleux d’Ossiane l’esprit déjà ailleurs dans les spiritueux de la vallée de la Marne et des collines de Champagne et qui nous transporte si aisément dans le monde des songes.
__
Regarder plus loin
Dépasser les contours du réel
Au de là du perceptible
Dans la fascination de l’ombre
Cette forme fluctuante
Modulable à la lumière
Floue et mal définie
Silhouette trouble
Impalpable, imaginaire
Fantômatique ou illusoire
Qui bascule l’image
De la réalité dans le monde des idées
« L’ombre de mes songes »
O douce rêverie
Où mon esprit s’égare
Aux frontières de l’inconscience.
moi
moi je vendange,
mes pas dans la terre
ocre
froide
calcaire
je vendange
histoire de vignes
« raisins de la colère »
ivresses de mes mots
je vendange au pôle nord
dans les glaces en perdition
aux creux des fjords
moi
moi je cris dans les cuves trop pleine
des tromperies de vapeurs
château « l’arnaque » cuvée prestige
l’alcool
Apollinaire mon moi lunaire
automne des bruyères
moi
je vendange
dans ma rue
cave
gorgée de lumière
jazz
jazz
pour nous tous
Notre reporter a pu joindre notre capitaine : L’interview a donné ceci :
J’vous ai pas oublié
Surtout pas de panique
J’suis parti vendangé
Je bois à vot’santé hic
C’est vraiment beau là bas
Qu’est-ce qui y’a comme raisin
J’en goutte un peu ma foi
Quand les seaux sont trop pleins
Et vous sur l’œil ouvert !
Vous allez bien j’espère ?
Tenez je lève mon verre
A vos anniversaires
Je vois pu bien ma foi
Qui éteint la lumière !
Je marche plus bien droit
J’crois qu’j’ fais moins ma fière
Ça y’est je suis malade
Je veux rentrer chez moi
J’ai l’foi en marmelade
Tout barbouillé ma foi
Fin de notre interview spécial par égard pour nos auditeurs
Sourire Capitaine. Désolée de dire n’importe quoi mais on commence à avoir déjà tout dit sur « moi ».
Je ne bois pas d’eau,
dit la source
la terre est mon secret.
je ne bois pas de vin
dit la vigne
l’eau est ma force.
Je ne bois ni vin ni eau
dit le vent
l’éternité n’a qu’un souffle.
Le rameur sans rivage (ed La différence)
Je n’écris pas pour dire
Mes mots, respiration
Je ne dis pas pour dire
La musique, ma passion
Je n’ai des mots, des sons
Que des respirations
Collées contre la tempe
Source d’enfance profonde
Le poète musicien (ed.MOI)
On y songe et souvent se perd le sentiment
qu’on existe vraiment
Quand dans les yeux de l’autre, brillent les mots souhaités
Jaillit belle en silence la douce félicité
Le coeur se remplit d’O et comme prisme ou diamand
S’y mirent ou s’y retrouvent les facettes cachées
De ce moi goutte à goutte qui s’inscrit sur la feuille
en perles éphémères
la lumière et l’ombre fleuretaient souvent
ils chahutaient s’embrassaient innocemments
ils imitaient chacun de leurs mouvements
Ondulaient sous la tendre accolade du vent !
si unis et pourtant tellement différents
ils jouaient à cache-cache comme des enfants
riaient devant les miroirs déformants
Ils paraissaient tellement insouciants !
l’après midi cachés au milieu des champs
ils savouraient enlacés l’intimité du temps
et leurs lèvres, rivage enivrant des amants
soulevaient l’écume des cœurs palpitants
le soir l’ombre s’allongeait indéfiniment
et regardait attristé la beauté du firmament
la lumière jetait un dernier regard envoûtant
et lentement rejoignait à l’horizon l’orient
Lou , Leila, alice , rachel, Monique, annick, aspe
belle soirée a chacun
et aux prochains visiteurs
Bonsoir, Oui Annick et Lou, il me plaît aussi d’imaginer nos petits doigts sur le clavier, les temps d’hésitation ou le mot se cherche lorsque absent dans la phrase il en bloque l’idée, ces petits mots donnés comme un présent du coeur aux lecteurs qu’on imagine et vers qui l’on va en partie en ayant l’impression de se connaître – pour de vrai- c’est aussi cela le blog d’Ossiane où l’on se retrouve sans prétentions et pour le plaisir de gribouiller ensemble.
Bonsoir à tous et merci marc pour ce petit moment d’intimité au travers de tes rimes de ce soir.
___
De mille « soi » jaillissent des pensées
Qui s’ouvrent comme des fleurs
Au creux de chaque main
Elles s’offrent en éventail
Aux couleurs du jour
Rafraichissent nos idées
Laissent traîner derrière elles
Quelques courants nouveaux
Elles abreuvent notre matière grise
Nourrissent notre imagination
Un petit air sans cesse
Balaie notre regard
Avide de découvrir
Quelques nouvelles idées
Chaque coeur qui bat
Alimente la source inépuisable
De cascades de mots.
Belle soirée, Marc et Monique, et chacun,
ma plume se trempe d’encre dans l’encrier,
pas fatiguée de cette jolie page, mais un peu fatiguée de vie,
elle va revenir à elle…BISES.
Bonsoir Annick bonne fin de soirée et te dis courage. Je t’embrasse.
Ouragan de gaieté pour la nuit et les songes d’Annick
Bonne soirée Leila, Marc et Monique jolis mots…
Love d’un moi qui en passant se nourrit de vous
Je vous embrasse Monique et Lou, je lis, cela fait du bien…
Moi son et lumière ou vent d’ange en son bestiaire
lachez moi la grappe je veux mûrir tranquille
laissez moi exprimer toute la force du terroir
en un seul mais profond coup de pressoir
le mou tarde t il à venir que je fais le dur
espérant dans la raison du plus pur
pourtant face à la vis
je montre ma face la plus lisse
je me nourris de grains de soleil minuscules
qui à force dans mon corps s’accumulent
mes pépins se hérissent
quand on veut qu’ils périssent
c’est si doux de penser à une décoloration
du moment qu’on a sa ration
Puisque le vin semble avoir, à distance, inspiré
vos pensées, laissez moi vous souffler
à bonne distance…je vous rassure
haleine délétère ne vaut pas un jeu d’haltères (ego, à cause du moi)
voici donc un texte sur le vin et l’esprit qu’il nous donne
bonne dégustation et bonne nuit à tout l’équipage dont l’équipée
se poursuit dans un telle joie unanime…hips
000
Vin pas vain mais pas vingt sur vingt non plus
Fruit en grappe dans le ravissement nous plonge
Sauvage il pousse bien en pieds et s’allonge
Mais quand de ces sarments on a tiré les ferments
Rapidement de son humeur on est devenu fervent.
Né dans le Caucase, géorgiennes sont ses origines
Mais très vite il se répand, stocké et transporté
Dans des récipients divers de l’amphore à la jarre
Du tonneau aux foudres il envahit la méditerranée.
Il donne aux grecs une tradition de passion et de verve
Dans des bacchanales annuelles mais pas banales
On tâte du résiné au goût de résineux pas trop vineux.
La vigne est noble même si son aire toujours fluctue
Parfois, sous nos pas, le plancher vient à se dérober
Quand par trop épris de boisson nous sommes.
Si nu, par mégarde nous trouvons, pouvons toujours
Une feuille dentelée placer pudiquement là où vous savez
Mais c’est dans l’entretien de sillons labourés
Que réside le levain qui va insuffler aux grains
Leur amour du sucre eux qui réfléchis et concentrés
N’en finissent pas d’affiner entre pulpe et grains
Une chair parfois douce et fruitée aux relents acides.
Entretenue avec respect la vigne se développe alors
Comme le reste entre exposition et terroir elle fait sa place
Donne à voir des bulbes savoureux gorgés de lumière
Qui reflètent avant l’heure des promesses d’ivresse
C’est dans le mou qui barbote que les odeurs acres montent
C’est dans les premières liqueurs pressées que grandit le trouble
C’est dans la jeunesse en instantané qu’on le dit bourru
Mais à peine a-t-il fait sa première fermentation que le sucre
Se transforme en une kyrielle de molécules aromatiques
Qui sculptent son visage, lui donne profondeur et caractère
Et si cet équilibre est souvent fragile il revient à d’agiles
Assembleurs de faire les rassembleurs de principe
Pour donner une longueur, une typicité, un vraie ferveur.
Saluons le travail saisonnier qui est parfois ingrat
Mais toujours contribue à magnifier le final bouquet.
Il faut bien tailler les sarments pour libérer la repousse
Evacuer le bois mort, enfin alléger les charmilles
Il faut bien traiter pour éviter les parasites
Enfin il faut l’œil pour décider du moment opportun
Afin de vendanger à point sans mettre la vigne en danger.
Dans le silence des chaix après qu’on eut fait le tri
Et déjà depuis longtemps évacué les déchets
Se matérialise l’élevage attentif et patient au son des gaz.
Quand le breuvage prend enfin ses nouvelles couleurs
Grâce aux apports de l’air et du bois, chargé de tannin
Il retient l’œil, gras de ces acides il colle au verre
Mais c’est sur le palais qu’on attend l’accroche
Pour vérifier qu’il n’y aura pas d’anicroche.
Alors comme dans un bal le charme opère
On se laisse porter, le désir palpable est là
Ses vapeurs sont émollientes mais si liantes
Et la valse des étiquettes peut alors commencer.
000
J’ai vendangé ton texte Thierry pour en extraire le meilleur, beaucoup de grains choisis et déjà coule au fond de mon palais l’elyxir qui me rend ivre, ivre de tant de verve pour un bel évènement, pour ce sang sacré de la terre, qui émulsionne et fait frétiller les riverains de ces cépages aux qualités d’appellations contrôlées mais non de consommations controlées, les odeurs de vendanges ne vont pas tarder à chatouiller nos narines avant que le breuvage chatouille nos papilles.
Oui la valse des étiquettes peut commencer et bientôt le quadrille des bouteilles… mais il est quelque chose que j’attends, la ronde des couleurs dans les vignes à l’approche de l’automne, toutes ces gammes de coloris qui se jouent dans le soleil avant de laisser les ceps, rois vainqueurs de la terre dans leurs allures et leurs sculptures qui deviennent pour une saison , nus, les maîtres des lieux.
« elixir » c’est mieux de relire avant! A moins que…. non quand même;-)
Merci Monique
j’ai fréquenté hier Plaimont
et pas loin d’Eauze le Tariquet
ne m’a pas trouvé inquiet
mais ton assemblage est goûteux
à souhait
j’ai oublé l’essentiel,
pur et charnel
je voulais dédier à mon papa
qui fêtera ses 80 ans la veille du 11 novembre prochain
ces quelques mots
lui qui planta et entretint des vignes
dans sa jeunesse (sans rouler sous la table)
en son honneur et au bonheur d’un chateauneuf
du pape débouché le jour de mes dix huit ans
et qui avait dix huit ans justement
l’age de la maturité certaine
pour le vin s’entend !
à mon père donc qui continue
de tailler sa vigne
juste du raisin de table !!!
mais possède une bonne cave
et encore une solide descente aussi
à vous tous aussi puisque ce soir
je boirai un daumas gassac
à ma santé puisque c’est mon anniversaire
merci de ce que vous donnez tous
et puisque vous le valez bien
in vito very naze, pardon
in vino very tasse
très bonne journée
le soleil est revenu
c’est tant mieux
youpi !!!
Thierry :
Quelques bisous
Sur chacune de tes joues
… à siroter avec modération
(comme le gassac !).
Dessous ma pluie, je te souhaite un très heureux anniversaire.
Bonne journée à tous.
Alors bel anniversaire, Thierry,
je te souhaite d’être entouré de ceux que tu aimes, et qui t’aiment.
Ce matin
Une envie
J’ai lavé la belle grappe
D’un raisin blanc attirant
Et puis
Les lèvres ont goûté
A un, puis, un second
Le croquer
Doucement sucer le jus
Craquoter la peau chantante
Un bel moment
Du plaisir
De la vie
Dans une petite grappe
De raisin de cet automne
belle journée, je vous envoiele soleil d’ici… BISES.
Vraiment c’ est bien j’ arrive juste a temps pour te dire » bon anniversaire Thierry » comme il fait beau que ce soit un jour de plaisir.De tout coeur je me réjouie et en attendant une renontre une brassée de bises avec bcp d’ iode cela est excellent,tonique ,et vive toi.Tu va certainement trouver une « bonne bouteille » !
A tous un sourire ensoleillé ,il fait Soleil ça nous arrive quelques fois .Noisette.
thierry bon anniversaire
attention de pas trop descendre il faut remonter après
mon père lui va sur ses 81 ans
mais lui il boit de l’eau depuis toujours je crois
quel domage!!
un vin de palme,
ivresse qui fut rare en d’autre temps,
réervée à de jeunes anglais
ou autres
sanglés dans leurs uniformes,
pendant que des jeunes filles jouent au volant,
petits pieds sous robes blanches,
ou à des gabiers un peu usés
et roulant d’alcool et de mer
entre les bras de belles à cigarillos,
ou d »un administrateur confis dans l’ennui
et l’attente d’un poste en métropole,
ou de rameurs indigènes la nuit
à coté des pirogues tirées sur le sable,
une cuisinière qui rigole en préparant
le fritchi
Et toi + moi + tous ceux qui le veulent…
http://fr.youtube.com/watch?v=kOru9ITtVIg
Si on me presse de dire pourquoi je l’aimais, je sens que cela ne peut s’exprimer qu’en répondant : « Parce que c’était lui, parce que c’était moi. »
[Montaigne] Extrait des Essais
Pour moi, il n’y a que d’heureux présages ; car, quoi qu’il arrive, il dépend de moi d’en tirer du bien.
[Epictète]
Pas mal du tout un Chateauneuf du Pape de 18 ans pour tes 18 ans, c’était hier et aujourd’hui je te souhaite un bon anniversaire pour tes « n » années ton plus beau cadeau est d’avoir ton papa à tes côtés et pouvoir trinquer avec lui. Le Chateauneuf, le vin de la fête si merveilleux, avec ses voisins le gigondas et le vacqueyras, les vins du soleil, tout près de chez moi, de toute façon, tu as raison In Vino Veritasse!!! Avec tout le respect qu’il se doit, une bise au papa et au fils.
A Thierry
Il va sans dire que mon petit mot s’adresse à Thierry dont c’est l’anniversaire aujourd’hui
Merci Nath pour la citation de Montaigne si belle !
De Pierre Reverdy, celle-ci pleine d’humour n’est pas sans me déplaire :
« Le moi est haïssable, aimer son prochain comme soi-même c’est tout dire »
(dans le livre de mon bord)
Il est peut-être préférable de s’aimer un peu c’est plus sympa pour le prochain !
Pour notre ami Thierry,
Qui a l’air de bien aimer les bouteilles !!
!! JOYEUX ANNIVERSAIREEEEEEEEEEEEEEEeeeeeeeeeeeeeeeeee !!
et clin d’oeil à Ossiane
par la même occasion
qui en connaît un sacré rayon
pour faire sauter les bouchons !
____
http://site.voila.fr/Menkahoure/pub/champ.jpg
____
Biseeeeeeeeeees pétillanteeeeeeeeeeeees de Christineeeeeeeeeee
…
Et un petit souvenir des années 70 !
__
http://fr.youtube.com/watch?v=TPKACL6Z0-c
___
Il n’ y avait pas de pré méditation (même si la méditation comme le bonheur peut être dans le pré, mais de toi à moi, et surtout à vous, c’est dans le près)
à attendre la fin du moi pour s’annoncer tout à trac.
Je ne vous ai pas tout dit car il y aura vraisemblablement du grabuge et le daumas ne sera pas seul, côteau du layon (de l’obans exactement, un nec tard mais ultra) , gewurtztraminer (pas pour les tramino ça dévie la ligne) et qui sait
un petit fronsac, mais aussi un bon champagne et pour finir, une vieille réserve
de 20 ans de chez Lheyraud (fine petite champagne que je vous recommande).
je suis conscient que c’est un peu génant tout ce déballage, cet étalage, comme un drôle qui est devant ses jouets, mais c’est une manière certes indirecte et lointaine mais sympathique de vous faire participer aux agapes, mais chut n’en disons pas plus, je suis aux fourneaux et ça va encore durer une peu.
Merci de vos voeux à tous ils me vont droit au coeur, je suis né un vendredi
mais le 13 ne m’a pas trop mal réussi, je suis tombé sur un blog quasiment génial.
bonne après midi à tous, le temps se gâte mais la soirée s’annonce animée (pas à miner).
Ample
vide
la poésie
et ses mouvements
inconsciente
fébrile
la liberté
et son image
hors de toute maîtrise
_
Thierry : tant qu’à connaître toutes les boissons, vu mon côté « cuisinière » (l’ancienne, celle qui fonctionne bois-charbon), il m’aurait plu d’avoir un aperçu du menu…
Profite(z) bien de ce précieux samedi 13 !
(je te prépare deux aspirine pour fin de soirée…afin que tu sois, frais et dispos, le premier à poster chez Ossiane demain matin).
Clin d’oeil et biz.
_
Y’a une fête ici ! C’est l’anniversaire de l’ami Thierry. Alors chantons en choeur
JOYEUX ANNIVERSAIRE. ça fait quand même lontemps qu’on avait pas trinquer hein !
Bon Week end à tous et toutes
Oui bourrache je comprends ta légitime curiosité, je ne voudrai pas non plus provoquer de réactions d’agacement: alors juste quelques éléments
tartare de choux fleur
aubergines au crabe à l’antillaise
sauté de poulet à ma façon
entrées et sorties à l’avenant
je sort juste des fourneaux, heureusement que nous ne sommes pas trop nombreux.
au fait (en fête aussi) l’aspic rime avec une sévère piqure de rappel à la modération ;)))
_
Thierry : miam-miam.
Quand y’en a pour deux, y’en a pour trois …
_
Dis, Marc, t’affrêtes l’aile lisse de ton hélico … et tu passes nous prendre … ?
… on ira faire un coucou à Thierry ….
_
Hello Thierry
Pour ton anniversaire , je souhaite que se réalisent tes désirs, tes envies, tes folies.
Amuse-toi bien et profite pleinement de toutes ces bouteilles.
Attendez-vous les autres au texte le plus saoul que thierry nous ait donné à lire ;))Grosses bises bien sonores pour un dude hyper sympa.
Je t’aurais bien invité à danser pour terminer la soirée mais avec tout ce que tu auras bu, mais le temps que j’arrive tu seras déjà endormi sur la table ;)) j’aurais fait tout le trajet pour rien !
A ta santé thierry ! Have fun!
et le temps que j’arrive pardon .
Il n’y aura même plus rien à manger, Marc et Bourrache , allez-y molo. C’est pas juste que j’habite si loin !
Oh lala 211 commentaires, Ossiane, tu es une star 🙂
C’est toi cette plante ? en même temps piquante, solide, mais sachant rester souple et s’adapter aux méandres de la vie ?
Bonne fin de we Ossiane 🙂
Alors, puisque je me sens invitée, sourire, laissez moi un bel petit verre de vin fort bon avec le fromage, et une coupe de champagne avec le dessert,
le temps de scotcher mes ailes, faire le tour du monde,
et puis deux verres me suffisent pour être juste gai sans tournis, sourire.
ET PUIS…
Une palme
pour toi
Et cette autre
pour moi
Pour se dévoiler
nous
Derrière ce
paravent
Si intime et
charmant
Cet émOi de septembre qui s’allonge, qui s’allonge
Cet émOi de septembre dans lequel je me plonge
C’est tout toi, infinie et cachée dans un songe
C’est ton monde inconnu que cependant je longe
Ce silence appuyé sur ta route des vins
M’oblige à chaque instant à me faire devin
A bâtir une carte et pointer… Saint-Savin
Alors même que jamais dans ce pays ne vins
Cet émOi de septembre qui au contraire des jours
Se fait long et plus long pour paraître toujours
Commence à me peser mais mon coeur s’en arrange
Il pressent te revoir avant l’ultime vendange
EmOi, émOi… Et toi, ça va ?
Un peu en retard, mais de tout coeur, une modeste fleur … de palme ,cheveux dans le vent violent de cejour pour un message :BON ANNIVERSAIRE Thierry
merveilleux bouquet d’amitiés
AA
Et voilà… à force de parler vendanges
L’automne a joué les répétitions
Et tout fonctionne
La pluie s’est mise à tomber
Les nuages flottent au dessus de nos têtes
Le soleil se sent exclu et se cache
Le thermomètre s’est bloqué à mi parcours
Le vent s’est gonflé de froidure
Les champignons montrent leur nez
Les feuilles jaunissent et tombent
Et moi je grelote en attendant demain
En espérant
Que le soleil revienne
Et qui sait ? peut-être aussi Ossiane
Que les dahlias continuent à fleurir
Et les oiseaux à chanter
Et même si les cigales se sont tues
Et que les moustiques ont disparus
Il y a encore de belles journées à venir
Sans que se presse l’automne
Bonnet d’âne, hiver, sert, le Champagne Thierry 13.
Bien dit Leila ! Et ne buvez pas trop les fêtards !!
Ha¨ki, haïko, Haïku rimés:
J’évente les MOI
J’évente les TOI
J’évente les poussières d’étoiles dorées.
J’évente les mots
J’évente les bulles
J’évente les lentilles des eaux dormantes.
J’évente le temps
Douceur palmée
Effilochée
Chute des heures pressées.
J’évente les âmes grisées
Aux ondées de l’été
Sur des chemins verts
MOI de poètes errants
Les sourires endormis
Vivants, l’oeil ouvert,
L’OR teau grafe
Fait des gaffes
Mais l’OEIL OUVERT
Fermé! aux instit en rouge
Au miroir des émois
Tous les narcisses sont rouges
avec un coeur clair
Leurs yeux sont ma maison
Leur jardin ma lumière
Nos pensées, engrais
Multiples déchirures
Inconnues, sues de MOI
Semblables, effilochées
Qui n’a point ouvert l’oeil la nuit
Sur une fenêtre ouverte dorée?
Lumière!
Eventez les idées
La flamme des coeurs vacille
Pluie de joie sur toile
Fils de SOI collants
Accrochent des baisers de rires
Sur toile numérique
Portes, miroirs
Pont, nos clés
Vos serrures
Vos chaînes brisées
Vos costumes sur cintres.
Cocktail de prairies
Cocktail d’origines
Croisé de MOI et de NOUS
Eventail de pensées au vent
Eventail de bavardages heureux
Mouvement de coeurs inconnus
Immortelles pseudonymes
Ivres en bulles
Avez-vous vu passer des MOI
Courant en Champagne
Le coeur grisé?
Ils tissaient des rayons de lune
En pont suspendu, TOI du monde
Reims tes yeux de bulles
Photo mouillée de NOUS
Coteaux pour courses folles
Tous les poètes sur pente
Saoûls enfin réunis
Autour d’un palmier
Osmose de photos et de mots
La musique se glisse par moments
S’inquiète d’être, de mon MOI
Délaissée longtemps
NOUS
MOI de routes
MOI de doutes
MOI de câlins
Emoi coquin
Amoureux (se)
MOI que tu crois
Que je n’ai dit
Qu’à coup de vers
Poèmes de non-dits
Ne dis rien
Je le dirai pour TOI
Tu l’écriras pour MOI
Et NOUS
Mais surtout parlez-moi de LUI
Qui se fait ombre puisqu’il me fuit
Je l’ai emprisonné dans mes vers
Un été.
Il m’enlace mon amant
C’est un vent pour mes nuits
Pour mon coeur, du bruit
Je traduis l’ histoire
En braille pour les muets
Dont le coeur est aveugle
Aime-MOI
C’est gratuit !
J’ai soldé mon argent
Pendu en vitrine
Parfois je me tais,
Je regarde L’OEIL OUVERT
Et lis vos fantaisies
Je reviens, poésie
Vos mots spiritueux
Des VERS encrier.
Je vendange en MOI
Raisins de couleur
En cuve d’échos
Crus VIOLÉS
Sarment en feuilles
Je lis l’amphore
Et les bouteilles
La terre se laboure
Grain de vie, grain de sucre
Au palais des Milles et unes cuites
Bacchanales
L’éventail dessine
L’éventail nous signe
D’un doux langage de vigne.
Signé:
Couleurs et humeurs de Leila (Zavé vu?MOI en premier !!!))))
lou,brigetoun,marc,pierre.b,jeandler,bourrache,arletteart,
annick,thierry,aspe,alix,noisette,rachel,alice,philalba,bernard,annemarie,monique,christineeeee,helene,salade,ceanothe et…d’autres peut être… les passants, les passantes, Ossiane
et moi et moi et moi .
Allez savoir pourquoi, cette image me rappelle ceci :
http://www.dailymotion.com/video/xxeqs_1980-belle-des-champs
Bel moment, rachel, c’est mignon…
Le jour à se saisir
De marcher bel de temps
En dehors son dedans
Se planer belles vues
Dépoussiérer sa vie
Se ventiler sa palme
Si belle de fruits d’amour
Et se vivre son jour
En amour tout dedans
C’est bon d’aimer si grand
Dans son voyage du temps
bises de bel jour pour chacun, hick d’un jour de plus, Thierry, bel jour.
« MOI » aujourd’hui c’est le vent
___
Soleil sorti vainqueur
Mais l’ombre vascille
Clair-obscur en continu
Le vent se veut maître
Le palmier au fond du jardin
Agite ses longues feuilles
Et les bambous plient
Sous les coups de vent
Rien n’est immobile
Qui se trouve dehors
Le mistral est arrivé
Comme un torro dans l’arêne
Menaçant et maître des lieux
Volant au soleil
La chaleur de ses rayons
La promenade matinale
Fut énivrante
Atmosphère haute
En teneur d’Oxygène.
__
Bonne journée à tous et bonne promenade, pull oblige.
lire vacille merci
Mes nuits ne sont pas plus belles que vos jours,
ceci n’est pas un billet doux
mais la soirée a été plus belle et détendue
grâce à vos pensées et vos mots
point d’abus, de l’équilibre en tout,
un passage en revue des gouts
et la joie et la gaité non feinte
qui sans nous amener au Parnasse
d’un pinacle harassant
défatiguent et délacent
merci à vous de mots si doux
Bourrache; l’aspirine n’est pas de sortie,
car malgré l’effervescence
d’hier le comprimé est réprimé :)))
Notre hôtesse nous manque
non que ses silences nous glacent
mais sa présence est stimulante
en même temps que si accueillante
bises à toi Ossiane et bon retour
déchampagnisé.
………………………………………………………..
qu’il pleuve du latex
sur nos chemins amoureux
et remballe ton pape
……………………………………………………….
andrée wizem
« ils sont dans les vignes les moineaux … » et notre grive aussi
Vendanges tardives
Pour le cœur des amants fidèles
Que les moisissures du temps
Rendent plus fort et plus doux
Les jours du vin nouveau
Passent mais la passion dure
Des vendanges tardives
Mûri meurtri par le vent
Le soleil et la pluie
Le grain de ta peau brune
Est le dernier plaisir cueilli
Pour le vin de l’amour
Des vendanges tardives
L’arôme de ton corps
La chaleur des caresses
Distillent une cuvée d’ivresse
Au pressoir de ta bouche
Coulent la liqueur des baisers
Des vendanges tardives
Dans la vie où le ciel nous convie
Pour un repas de noces et de larmes
La faim du désir et la soif de bonheurs
La dernière coupe sera
Pour le vin de dessert
Des vendanges tardives
Quand nos os en fût blanchiront
Quand nous ne serons plus qu’engrais
Dans une terre à la gloire des vignes
De la pourriture noble de nos amours
Naîtront les fruits du renouveau
Des vendanges tardives
pour les amateurs de vin
retour au 12 septembre 2007 de ce blog
pour trinquer avec ossiane si elle peut encore lever le coude :>))
Oh, Andrée … c’est bien … « piqué ! » …
… j’apprécie …
_
Ravie de te retrouver en pleine forme et heureux, Thierry.
_
C’est vrai … t’es où Ossiane ?
Tu vas bien, au moins ?
_
J’profite de mon brin de soleil pour peigner mon Indéfectible.
Comme il aime pas trop ça,
je dois m’y reprendre à plusieurs fois.
Un petit peu par ci, un petit peu par là.
J’essaie de le convaincre
que c’est pour son bien.
Vous verriez ses yeux,
vous crieriez :
« Bourreau de … chien ! »
L’a vraiment pas l’air
« Heu-reux… »
(librement adapté d’après F. Raynaud…)
(« Qui c’est … ? c’est l’plombier …)
_
Biz et bonne fin de dimanche à tous.
_
Oh, Amichel, que mes mots me paraissent bien plats … après toi …
_
Assise sur la terrasse,
Je regarde les aller et venue de l’oeil ouvert,
Ca rentre,
Ca sort ,
Ca piétine,
Ca hésite,
Ca questionne,
Ca s’inquiète,
Ca coiffe son chien,
Ca crie Ô pape!,
Ca réfléchit,
Ca parle de la pluie et du beau temps,
De la vie aussi
Ca dépose de belles pages de mots,
Ca se souhaite fête et anniversaire,
Ca rêve aussi, beaucoup
Ca s’encourage,
Ca se retrouve,
Ca feuillette les notes passées,
Ca trinque à l’amitié,
Ca philosophe,
Ca élucubre,
Ca s’agite autour de « MOI »…
et j’ai cru lire sur les lèvres : « t’as pas vu Ossiane ? »
.
11111111111111111111111111111111111111111111111111111
.
Bonjour les amis du blog, je peux encore lever le coude et je retrinque avec vous !
Oui Michel, tu avais fait un superbe calligramme ce jour-là 😉
Comment allez-vous en ce dimanche ?
Et mOi ça va, de retour parmi vous
Dans la moite chaleur de septembre;-))
.
Mission accomplie dans de bonnes conditions, les vendanges commenceront la semaine prochaine maintenant. Je note que ce mot déchaîne votre plume en beauté et fantaisie 😉
.
Me revoilà chez moi sous un beau soleil après un retour hier soir tard dans la nuit 😉
.
Valises à vider, frigo à remplir un peu, courrier à répondre, photos à trier etc… beaucoup de petites choses à faire pour tout remettre en ordre de marche.
.
Touchée par votre attente et vos interrogations à mon sujet 😉
Je suis bien vivante et en bonne santé 😉 Un peu de courbatures toutefois mais tout plein de belles photos haut perchées;-)
.
Je me suis bien amusée en vous lisant 😉
Un grand merci pour votre humour, votre gaieté, gentillesse, l’accueil que vous avez réservé aux petits nouveaux mais aussi pour tous ces magnifiques poèmes partagés que je viens de relire à tête reposée. Vous êtes allés jusqu’au bout du MOI, je crois !
.
C’était aussi la grande fête hier soir sur le blog avec l’anniversaire de Thierry à qui j’adresse tous mes meilleurs vœux 😉 Et re… Je lève mon verre à ta santé, Thierry et à celle de tous les autres, n’est-ce pas Rachel ;-)) J’espère que la soirée a été animée et joyeuse et que les vins ont été à la hauteur de ton beau repas.
.
Si vous avez besoin de conseils sur le choix et la dégustation des vins et du champagne, n’hésitez pas à me demander 😉
.
Anne, je ne reviens pas de tous ces commentaires au bout d’une semaine 😉 J’en suis toute étourdie aussi ;-)) Oui c’est moi cette plante ; drôle d’idée qui m’a traversée ce jour-là mais qui a bien occupé les esprits pendant ces six derniers jours;-))
.
Un peu de patience à ceux qui m’ont envoyé des messages, je ne vous oublie pas.
Bienvenue à toi, Céanothe et bravo pour tes splendides photos de nature ! Ton site vaut le détour ! http://jocnature.canalblog.com/
.
Aimeriez-vous que je publie ma note cet après-midi plutôt que ce soir à minuit ? Je l’avais préparée à l’avance…. Que ceux qui le souhaitent se manifestent !
Bel après-midi en balade peut-être ; à tout à l’heure
Ossiane
.
44444444444444444444444444444444444444444444444444444
.
5555555555555555555555555555555555555555555555555555555555
Que veux-tu dire Leila? 5 sur 5 ? Que je peux publier ???
Bienvenue Ossiane chez toi et merci de nous accueillir avec tant de générosité
Oui le Daumas Gassac de 2003 a été si fort en tête qu’il a sifflé ce vent d’ange
qui depuis le septième siècle rafraîchit la vallée.
En partage pour ton retour un texte visible sur http://pierre.leoutre.free.fr/liens.html
en allant sur mon prénom dans textes
000
« Qu’elle était mûre ma vigne »
Dans ces rangs si bien alignés
Sommeille un nectar en devenir
Qui sait ce que sera l’avenir
Dans ce cépage issu d’une lignée
Que l’histoire nomme romaine
Pour tout ces fiers domaines.
Les sarments s’épanouissent
Ce sont des serments de richesse
Mais avant que ne s’évanouisse
Dans une veine pécheresse
Ces promesses alambiquées.
N’ayons pas un esprit étriqué
Il faut ouvrir notre cœur au soleil
Pour qu’il vienne comme abeille
Butiner grappes et livrer le sucre.
Cette année point besoin de chaptaliser
Car c’est un puissant souffle d’Alizé
Qui va nous faire prestement avaliser
Une teneur en alcool plus que visée.
Alors quelques soit les terroirs
On ne sera pas sous l’éteignoir
Au moment de lever son coude
Que personne son verre ne boude.
Cette liqueur en sa divine rondeur
Nous laisse parfois un peu songeur
Plus de place pour l’ombre d’un doute
Personne ne sera dans la redoute.
000
Pour ta note c’est quand tu veux
mais que les autres s’expriment d’abord 😉
à très bientôt
>Alix:
Il me semble que tu as un autre site
http://www.vie-secrete.com/
Peux-tu me confirmer s’il faut laisser l’autre lien « La Partition des Mots » ?
>Thierry:
Pas mal le Daumas Gassac;-) Merci pour ton lien que je vais aller voir. La vigne aime la musique des mots et des sons, parait-il 😉
J’enregistre ton OUI et attends un peu d’autres voix avant de prendre une décision:-)
Pfffff … par chez moi, au Nord de votre Nord, ni cep … ni treille …
Pays de pluie, pays d’eau … qui purifie !
http://fr.youtube.com/watch?v=wM5I84YObkQ
Mais vous, vous n’en connaissez p’têt qu’un p’tit bout
… de son circuit.
_
Quel bonheur de te retrouver, Ossiane !
666666666 je peux me permettre :
… Leïla … un jeu de … chiffres ?
__
Bonsoir à tous et très contente de te retrouver Ossiane, tu dois crouler sous le nombre de photos à trier mais quel bonheur, prend ton temps en ce qui concerne le blog, tout le monde a été très sage, et peut attendre encore un peu sans faire de caprice!!
Thierry pas d’inquiétude je te cite :
« Au moment de lever son coude »
Nous serons tous là sans problème, nous sommes à bonne école ici.
Beaux très beaux tes écrits, je m’y promène avec plaisir.
Bourrache, je te l’avais pourtant bien dit que je t’enverrai du soleil, alors ouvre le colis, il est dedans-;)
Pour ma part tu fais comme tu veux pour la note car j’aime bien cette note sur moi. Maintenant si tu veux publier la note sur toi il n’y a aucun problème.
Contente de te revoir capitaine. On a tellement levé nos verres qu’on a mal aux coudes.
Jeux de mots, jeux de chiffres Bourrache? hum! hum!
Tant qu’il y a de l’amour, y’a du 9 !
6 et 6 au champagne font 69 :))))
Bon retour ossiane
p’ete bein qu’ oui p’ete ben qu’ non
tu fais comme tu veux
sourire
bonne soirée a tous
J’ai oublié de voter mais c’est pas grave.
Dans 555555 coeurs, il sera minuit.
L’Adam de Rachel devra quitter son « moi », son nid.
J’ouvrirai le colis…
… plein de soleil dans ma nuit !
_
Oui, bon, je sais.
___
OOOOOOOssiane,
Le capitaine, c’est t0i !
Cap sur ta n0te, si tu le veux
Et vOila !
Bonjour tout le monde
Welcome home O ! C’est bon de retrouver son chez soi son frigo
Meme quand il est vide et qu’on n’a que de l’eau
Une seule solution pour rester au repos
Ouvrir les valises ( pas celle des plantes l’autre)
et sortir ces bons vins goûtés sur les coteaux
Thierry lui de sa party, n’a rien laissé
Le temps qu’on se réveille,
il avait déjà tout fini avec ses guests !!
Bises et sourires
Prends ton temps Ossiane pour la note suivante et fais à ton rythme. On est bien avec « toi » sur l’espace du moi
Merci pour vos mots de bienvenue ! Oui, Phil, c’est mOi !
Lou, les bouteilles sont parties en maison de repos pour plusieurs semaines car les voyages en voiture ne font pas de bien au vin. Frigo très peu plein, pâtes et O pour ce soir;-))
Entre les OUI, les OUI mais…, les NON, les PT »ETE ben que OUI et les PT »ETE ben que NON, les 5, les 6, les 9 et les 69, je ne sais plus quoi faire;-))
Pensées bullées vers vous, je réfléchis…
… repÔÔÔs …
… dans 44444444444 heures, sonneront les 12 coups de minuit…
et demain, promis-juré, on s’ra sages pour aller à l’écÔÔÔle…
(… on f’ra gaffe Ô bulletin de fin de semaine…)
» ELLE » est de retour avec des idées plein la tête ,
ok pour tout ce vous voulez
Le sourire au coeur de nous retrouver fidèles et parfois un peu déjantés………………!!!!!
MILLE amitiés
AA
Merci Ossiane
pour faire relâche il faut assujetir les aussières, sans fard à paupières
ne pas donner à fond ….de cale, dans la cosmétique automatique
ne soit donc pas obnubilée, ni omnibullée d’ailleurs ;)))
chi va piano, va sano !
Je te rassure lou, il reste du Gaillac et du Gewurtztraminer, avec le fromage
le premier est…schlurp…délichieux .
je ne peux pas répondre à leila, je ne me rappelle pas si 69 a été une bonne année. ;)))
Merci monique pour ton appréciation flatteuse… mais combien l’art est difficile
Allez je vous dis à tous,à demain, car ça décarre dès potron minet et pour dépoter et pas capoter il ne faut pas raboter la nuit, après ça écope haut!
Je n’avais pas vu ta question O°°°°°°°°°°sssssiaaane. 5 sur 5 c’est ok, je jongle quand tu veux…je « mots » dès l’ouverture des palabres des joyeux lurons de ton blog (c’est moche ce mot…blog, on dirait un pavé dans la mare aux eaux calmes; blog, blog, blog).
J’ai oublié de dire..c’est sympa ici quand même, il y va de certains lieux comme de certaines personnes, vous ne savez pourquoi elles vous attirent…c’est comme ça.
J’aime la poésie, j’aime la photo et par dessus tout la musique et pire, ironie du sort « MOI » ZÉ JAMAIS PIGÉ LE SOLFÈGE, je joue d’oreille.
Jeux de maux, jeux de bobos
Jeux d’oreille, bein c’est pareil !
Voilà, c’est fait! J’ai pris ma décision en 1111111111 clin d’Oeil et sans cOOOOOsmétique;-)
Amitiés arletteart, j’espère que les idées seront là; les voyages sont source d’imaginaire en principe;-) Vous jonglez quand vous voulez et en toute liberté;-)
Blog, blog, blog, ce mot ne fait pas vraiment rêver mais quoi dire à la place, espace poétique, atelier d’écriture, salon, club, bac à sable (copyright Bourrache) etc… c’est comme vous voulez;-)
Leila, c’est bien aussi de marcher à l’intuitif libre de toute contrainte. Certaines musiques se prêtent à l’improvisation. Mets le lien vers les musiques tu as composées pour les faire découvrir aux copains et copines;-)
Fais gaffe Thierry ! Je risque de rappliquer ! ;))
De très beaux textes ( et autres sujets qui méritent qu’on s’y attarde )
Merci Thierry
Coucou toi ;D
Juste Pour te dir que ta Vraiment du tallen …
& que moi je veut être Photographe , & je prend des belle photos aussi 😛
Donc J’aimerais te connaitre un peu plus , t’auré pas une adresse msn ? =$
En tou cas Tes trèèès Douée 🙂
Bisouus. (l).
A force de m’écrire
je me découvre un peu
je recherche l’ Autre
J’aperçois au loin
la femme que je suis
j’en discerne les gestes
je glisse sur ses défauts
je pénètre à l’intérieur
D’une conscience évanouie
j’explore son regard
comme ses nuits
Je dépiste et dénude un ciel
Sans réponse et sans voix
je parcours d’autres domaines
j’invente mon langage
et m’évade en poésie
Retombée sur ma terre
j’y répète à voix basse
inventions et souvenirs
A force de m’écrire
je me découvre un peu
Et je retrouve l’autre .
Andrée CHEDID / Je est un autre (inédit )
>perline:
Quel beau poème tu as déposé ici! Il est parfait sur cette note;-) Bises à toi.
Bonjour,
C’est ma première visite sur votre blog. J’aime beaucoup cette photo, excellent cadrage. Bonne continuation.
>Bonjour et bienvenue J.K, merci pour ta visite;-) De très belles photos également du côté de chez toi, notamment ces gouttes; très impressionnant! Bon Noël !
J’aime bien le petit poème …
Tous égaux
Nos p’tits ego
Jouent au lego
Au jeu de go
Sans mégoter
Se dégommer
Ni ergoter
D’allégories
Ils s’égosillent
Allez, go!
je crois fort utile de démasquer les attitudes égocentrées.
Un égo sans trait d’union voila ce qui pose le plus problème !
–
Thierry : aurais-tu des problèmes avec ton starting block ?
Pan !
ou
Go, hé !
(= démarrage)
Moi, j’file (gestion des poussières).
Clin d’oeil et biz à tous.
–
Je suis un ancien sprinter
mais non de ce côté la tout va bien
je démarre encore au quart de tour
question réactivité
pas sûr d’avoir compris ton astuce (c’est pas dans le dico 😉 )
c’était juste une reprise sans génie autour de l’égo centré
un simple constat qu’on se porte mieux si on n’oublie pas
de regarder autour de soi
allez je file , les poussières me font éternuer , je suis allergique
–
Thierry : aucune attaque ds ce que j’ai écrit ce matin !
« Ego sans trait d’union » m’a fait penser à hé-go ! (avec trait d’union).
Comme j’étais un peu à la bourre (et que j’ai un peu suivi les championnats du monde d’athlétisme), je nous ai vus sur les starting blocks.
Fallait démarrer donc : « Pan ! »
ou
« Go, hé ! » (l’inverse de celui avec trait d’union).
Puis, j’ai filé à l’assaut de mon 100 m haies-et-poussières…
(et, pssstttt, j’ai pas gagné).
Clin d’oeil à toi.
–