Lecture du Haïku Calligramme: droite, gauche, haut, bas
Nénuphar du marais
alligator assoupi
moiteur du bayou
◊ Le torrent du Fango … Voir la Carte de Corse …
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Lecture du Haïku Calligramme: droite, gauche, haut, bas
Nénuphar du marais
alligator assoupi
moiteur du bayou
◊ Le torrent du Fango … Voir la Carte de Corse …
l’été aux lagunes
silencieuse île
attend le discret reptile
l’ile attend la marée
pour recommencer
à en être
Bayou incandescent
Vendu par l’empereur
Cochon de yankee
Formes surréalistes ou l’imaginaire vagabonde .
Je t’embrasse
C’est…. un éclat de verre posé sur la terre…la transparence à la lisière…C’est…un ruban de soie vert…qui doucement vous enserre….C’est….le miroir du ciel….
C’est…une glace dans laquelle la pluie se perd…on y trouve des larmes et des éclats de verre…des nuages qui ont des allures de pierre…des nénuphars et des nuages à l’envers…
C’est le ciel qui au dessus de nous se ride…qui pensait se croire à l’abri du temps… qui pleure parce qu’il a peur du vide… s’endort dans un bain de sang….C’est un coucher de soleil…
C’est un passeur assoupi….qui marche en rêvant….se réveille en nage…dans la moiteur du bayou…niché au creux de son lit..
Réchauffement climatique.
Vue du ciel, la nouvelle carte du monde des hommes au coeur de pierre.
Prémonition ?
Louisiane pour des louis
Du roi soleil
au roi du jazz
Nouvelle Orléans éblouie
Mais Louisiane sous la pluie
Inondée froide
La douleur veille
Quand l’ouragan la détruit
Posés là
On se demande pourquoi
Et c’est déjà de trop
Regarder çà et là
Et apprécier déjà
C’est remercier la vie
Qui se donne se pose
En belles rencontres
De l’oeil, de l’âme, de corps
En Homme
Rebondir d’une île
A une autre
Ne pas rester coincé
Prisonnier encerclé
Savoir nager bondir
S’envoler
C’est tout un métier
Qui s’apprend
En petit Homme
Humble et limité
Pas à pas
pied à pied
sautillant de l’un à l’autre
pas comme un bon apôtre
Bonjour Ossiane et ton beau cercle de poètes,
t’es mis un petit mot sur « Ebauche ».
Où coule le fleuve mythique, le Mississipi,
Mais où frappent de terribles ouragans,
Reste une petite Francophonie,
Et cette fantastique musique née ici,
Dans les coeurs des noirs, le jazz, ce rythme plaisant,
Allez dansez maintenant !
Je vous embrasse tous ceux que je connais en particulier Ma Brésilienne Neyde et AMichel que j’admire tant !
Gros bisous et bon week-end dear Ossiane,
A friend OLIVIER
____________________________________sans noms
__________________sans formes
_____________________________ni pensées
palette
liberté
clair regard dans ma tête
lit de pierre versée
à fleur d’eau
accourue
__________fièvre rousse
__nitescence______________________________
__________________feu jaune d’utopie
&&&&&&&&&&&&&&&&&&&
je voyage par-ci, par là…
je suis un autre monde, un étranger sincère,
j’accoste auprès de vous sans voiles, sans repères.
__________________________________dites-moi,
___________________________________vous m’aimez?
Votre image m’avive. Belle absence, un soupir.
c’est la couleur unique
la simple transparence
Il n’y a rien qui change à la source limpide
______________éloigne-toi des bruits,
_________fissures du silence
__________________________buvons ivres de chants,
de nos yeux ébahis.
___________________approche lentement, vois la joie!
Cette éternelle rive.
Une pierre
Une seconde
Face à face
Côte à côte
Se parlent pas
Ne racontent pas
Des histoires
D’âge de pierres
Elles s’aiment en silence
De bel amour
Tout dedans
Et se clapotent
De doux roulis
En bordures de leur
*Il et elle*
Tant d’émotions en elles
C’est beau le temps d’aimer
Grandement infiniment
Avec intensité délicatesse
et je te lis Bernard… c’est superbe, j’aime beaucoup, merci.
Lu dans la gazette de l’Oeil Ouvert :
_
Petite pierre aimant tortue offre dos rond à carapace bosselée afin de garder, en communion, la tête hors de l’eau …
… et plus, si affinités.
Photo non exigée, coeur grand comme ça souhaité.
Contact : https://blog.ossiane.photo/2008/07/04/louisiane/
Curieux s’abstenir.
_
Avant de sortir, je jette un oeil ouvert, le mien,
et je me pouffe d’éclats de rires, Bourrache,
et me repouffeeeeeeeeeeeeeee…..BISOUS…je sens qu’il va y avoir foule…
JE SORS EN RIANT, et en pirouettant les deux rochers…
et j ai cliqué….. pour offrir ma carapace demizote, bon allez sotte de tant…SOURIRE! sisi c’est de pour de vrai, je joins pas ma photo, à découvrir…SOURIRE!
et cette phptp si forte de tant, me laisse muette et j’écoouteeee….
Un pas
Ja po
Nez devant
Un autre
Doux ce
France
oppopoppo,
c’est rien, juste que je disjoncte les touches, me voilà chouette en plus..
à touT!
Dis, Annick : « phptp » (14 H 45, 3ème ligne), sé kwa ?
(ze la vois pas mais suis sûre que ta photo doit être zolie !)
Bizzzzz et immense sourire.
Un petit radeau
La dérive des continents
Le rêve en voyage
Ici ou là-bas
De rivages en rivages
Des ilôts de mots
Rats d’eau
Tortues et aligators
Méduses et coquillages
Sortir du marais
De la moiteur du bayou
Vers des eaux limpides
>Bourrache
j’étais sûre que c’était toi!!…qui avait écrit cet avis de recherche!
Dans le marais règnait une atmosphère feutrée, les eaux stagnantes somnolaient innocentes, dans la moiteur de l’été, le bleu divaguait en marbrures de brillance où seul clapotait le silence. Là, sur cette frange inerte, deux formes singulières, revêtues de mystère….était-ce les fragments d’un ilôt inconnu ou un rêve étrange qui s »ouvre à la dérive de l’imaginaire….deux formes taillées dans le roc à fleur d’eau, pas l’ombre d’une ondine….ni le soupçcon d »âme qui vive…deux formes difformes….qui aspiraient à voguer vers d’autres océans, d’autres continents pour retrouver les leurs….Egarées, elles se toisaient, esseulées dans le bayou…elles ne se reconnaissaient pas…iguane ou nénuphar? Reptile ou fleur du mal? Le rêve se baigne dans l’irréel, là où le temps se suspend, où le soleil couchant accouche des êtres sortis du néant….. A l’orée de ma nuit, les formes inquiétantes avaient disparu dans les ornières de ma mémoire….
Un p’tit coucou à tous..et bises teintées d’eau cristalline
http://www.dailymotion.com/video/xi2ep_jelly-roll-morton_music
pour le jazz
only …
kiss
Bien de mer
*********************************************************
Crottes divines à la dérive
Dans la marée rachidienne de mon cerveau
phptp, Bourrache, c’est phOtO, me suis plantée de touche…
C’est pourquoi en me riant, je disais, oppopoppo, ayant mélangé o et p…
Bon je suis pas claire, c’est vrai..
Une tortue
Un éléphant
La trompe au vent
Carapace sur le ventre
Se font la planche
Tout doucement
Ils papotent de l’air du temps
Et se font des câlineries
L’un douche l’écaille tendre
Et l’autre gratouille le dos
D’épais en cuir de peau
Ils se font des doucetteries
Bon soir, Annick.
Tel un ermite en son ermitage
Loin des mots et des images
je vous laisse des mirages
avec le « monde et « skyrock »
Sur chaque caillou , un nom , une phrase qui caracolent et vous dévoilent………
Le mystère reste entier : Maria @nn@ Christineee Annick Lou Rachel
Monique Thierry Phil Pierre et tous autour de notre grande « Prétresse » Ossiane aux saveurs Océane (même de Corse)
Pause technique selon Maria pour cause de ………confitures
A bientôt où avant si la « machine » le permet
erreur
pas eut le tempsde finir avec des pensées amicales AA
un peu plus loin, une ombre, le troisième…
–
Si près de frémir
Les terres ont partagé
Le ciel et l’éternel
Cœur de la mer
–
Juste en passant…
Beaucoup de retard et peu de temps pour m’occuper du blog aujourd’hui. Petit coucou rapide vers vous avec tous mes remerciements.
>Pascal :
Un petit poème bien senti, merci pascal pour ta fidélité !
>jorge :
Bonjour Jorge , merci pour ce petit poème. C’est une façon originale d’approcher la photo. Bonne soirée !
>jean-louis :
Amusant petit poème 😉 Merci Jean-Yves !
>Bruno :
Coucou bruno, tu as raison, on peut tout faire dire à ces formes. Merci de ta visite et courage pour tes projets.
>pierre b :
C’est brillant, transparent, coupant, réfléchissant, les yeux se perdent en imaginaire dans tes pensées et tes mots. Merci monsieur le passeur de mots pour la beauté de tes rêves, bises du bayou !
>bourrache :
Bien vu la carte du monde ! Il a bien rétréci, inquiétant docteur bourrache, non ?
M’amuse ta petite annonce touchante 😉
>lou :
Deux strophes qui se complément en beauté. J’aime beaucoup la dernière. Merci, bises à toi !
>Annick :
Tu vois beaucoup de belles choses Annick, en animalité et en humanité 😉 Merci pour tes jolis mots généreux.
>Thierry :
Pas encore parti 😉 Marc t’attend en Ré 😉 Mais je sens que c’est presque l’envol à petit pas 😉 Bonnes vacances et à bientôt !
>olivier :
Bonsoir Olivier, j’espère que tu vas bien 😉 J’ai lu ton beau message sur Ebauche et je t’en remercie ; il m’avait échappé. Ne crois surtout pas que je ne voulais pas te répondre, ce n’est pas du tout le cas. Mais parfois ma boîte à lettres est si pleine qu’il est possible que je fasse des oublis sans m’en rendre compte. Je mets toujours un point d’honner à répondre à tout le monde, tu sais 😉
Dans la moiteur et la tristesse du bayou, ton poème est plein de belle gaieté musicale. Entrons dans la danse alors 😉 Bises chaleureuses du week-end vers toi !
>bernard :
Ta plume voyage en liberté, joie et en superbes arabesques, bernard ! Merci pour ta belle écriture originale et sensible! Bises à toi.
>monique :
Des jeux de mots pour toi aussi monique 😉 Une subtile façon de dériver de ta vision cartographique. Merci pour la beauté de ton évocation, je t’embrasse.
>claudie :
Coucou claudie, superbe ! La dérive des continents, des idées, des mots se poursuit en beauté inventive ! Merci pour ton beau morceau d’écriture, bises.
>aspe :
Merci pour le beau partage musical, bises.
>patricio :
Bonsoir patricio, j’espère que tu vas bien. Quel come back poétique inattendu tu nous fais ;-)) Je n’avais pas du tout pensé à ça 😉 Bises vers toi et merci de ta visite.
> arletteart ;
Confitures de quoi ;-)) La grande prêtresse aimerait savoir 😉 Je parie pour l’abricot 😉
Il est vrai que chaque évocation déposée à propos de ces pierres laisse planer un petit peu de chacun de nous sans qu’on s’en rende vraiment compte. Bonne soirée gourmande et merci pour les mirages !
>alix :
Hello douce amazone Alix, j’espère que tu vas bien ;-)) Merci pour tes mots toujours si sensibles et beaux. Coeur de la mer vers toi. Je t’embrasse et te dis à bientôt.
En léthargie
des monstres pétrifiés
en nous dérivent.
Hello Dame Ooossiane , j’espère que tu vas bien également 😉
Merci pour les tiens et belle soirée chez toi
🙂
Figé en effroi
le torrent sculpteur du temps
le monstre dompté.
Un petit coucou à tous ce soir. Difficile de se concentrer sur le blog quand on prépare ses bagages pour les vacances. Je serai donc absente un petit moment. j’espère pouvoir vous lire d’une cyberbase. Bonnes vacances à ceux qui partent. Bon courage à ceux qui restent. Laissez nous de belles choses à lire mais je ne me fais aucun souci de ce côté là. Je constate que Christineeeeeee n’a pas réapparu (en vacances j’espère)
A bientôt Ossiane et l’équipage et bon vent à chacun
bonnes vacances, Rachel, repose toi bien et profite bien de ton temps…
Bonnes vacances Rachel pour des moments privilégiés propices au repos, aux rêves, aux échanges, à la découverte, aux rencontres, à l’enrichissement de soi de toute façon. A bientôt.
La croûte des eaux s’est assoupie loin des inutiles mouvements.
L’homme cherche parfois ces fontaines de pierre offrant aux tempêtes de l’être la quiétude minérale des vieux sages.
Belle soirée à tous
>Pierre:
Merci pour tes mots minéraux, j’espère que tu ne vas pas faire de cauchemards avec tous ces monstres de pierre;-) Bonne fin de soirée.
>Alix:
Oui , je vais bien, reposée après une petite pause d’une semaine. Bon week-end!
>rachel:
Petit coucou vers toi, rachel pour te souhaiter de trouver là où tu vas le repos, la découverte, les belles émotions des vacances. A très bientôt, on t’attend pour la suite de l’aventure. Je t’embrasse.
>johal:
Un beau thème celui de l’immobilité qui mène à la tranquilité et à la médiiation. Merci pour ces mots empreints de bonne sagesse. Je t’embrasse et remercie, johal.
Et maintenant les raies mantas, Ossiane, c’est un festival ! Tu vas ouvrir un cirque 🙂
Veiné sous la peau de chair en eau
Le sang se coule
Et les pierres se respirent
Posées
Pour l’éternité
A la surface des choses
Quand en leur tout dedans
Elles aiment se palpiter
Quand du nénuphar du marais
La couleur blanche s’est égarée
De la fleur monte l’ange des îles
Papillon bleu aux ailes fragiles
Vers l’été vert du ciel paré
en nuages doux de vous moirés
Il vole au coeur de l’île de Ré
Marc enchanté lance larmes au large
Thierry dans ses fruits de mer frais
Papillon vole un peu plus loin
Ossiane observe avec soin
Un paysage pour nous ravir
Annick savoure l’amour…d’écrire
Et Bourrache prend le temps de rire
Bernard dessine des tortues
Et Anne des raies de terre battue
Johal médite et Pierre s’amuse
Arletteart peint ses rêves de muse
Le bisou d’été papillonne
Sur tous matelots et passagers…
Papillon vole bleu d’ Amerique
De vent couvert bleu pacifique
Jusqu’à l’Eden d’vos mots uniques
Love
LOUISE
LOUISE
LOUISIANE
ma liane
pas à pas feutrés d’eau
sur le dos d’animaux douteux ouateux ténébreux
plaisirs désirs fragilisés par les tempêtes
à la trompette des cris cotons des chaînes de l’histoire
blancs noirs drapeau d’étoiles infinies sur les nuits des chants qui se perdent dans les nuits
jours pris aux démences des carnavals
douceurs des rives
sous le soleil jazzy
d’un banjo fiévreux
donne moi ma dose
ma brune
ma frange de vipère écarlate
grise frileuse
jambe
lancée dans les danses perdues
des sueurs
Louisiane
mon coeur
pluie
pleur
j’ai peur
peur
fille immense
des déserts graves
humble humain
enchaîné aux notes folles des heures perdues
tramways exigeants fuyants Garden District
ma nuit dans le vieux Carré
sonne à la trompette de John
mon black
mon black à ma peau duveteuse
coton des tentations
laisse glisser dans mon verre ton affreux « four roses »
encore Louise gâte mes gâteries exquises
oui tu le sais
et tu le chantes
sur tes planches glacées
crevettes grillées
vins importés de France
que jamais je n’ai pu glisser dans ma valise
aéroport prison
quand papa habitait Manhattan
ma mère fuguait à Québec voire ses copines
frangin perdu
le marquis faisait du jazzy dans sa cave noyée
inondée de souvenirs LOUIS IX…
Et mon fils est né
je me suis marié
le frangin a fini sa virée dans le Péloponnèse
jamais je ne suis venu
dans cette terre nouvelle
à Pennsylvania Station
papa
où es-tu?
Penn Station
JAZZ
à NY
big apple
des nuits de transes
dans ton appartement
fuyant
les marches forcées des déserts oubliés
tu partais à la Nouvelle – Orléans
Fangu , parfait Jackson Square
quand Roger est tombé
du haut de la falaise…
Jazz
Jazz…
LOUIS XIV… mal pianoté sur le clavier…
Passe de belles vacances Rachel, rebranche-toi vite… Tu nous manquerais trop sinon;)
bisou
Très joli texte Aspe.
Bonne journée
hors d’oeuvre
la terre fait sa petite cuisine
au menu il y a cake au chèvre
les ingrédients au bain marie
cuisson lente pâte coulante
la terre cuisine avec les restes
volcans éteints eaux pétrifiées
avec le dégueuloir de l’humanité
matières immergées qui surnagent
métal fondu en pur jus de tomates
mélanges herbes chairs de mollusques
la terre offrira le dernier service
à laper comme des fauves à la source
andrée wizem
Dans la partie de son cerveau reptilien,
reste d’un passé si lointain,
il y a comme un rêve d’eau.
Boire, absolument boire, instinct de vie,
de survie, pour lui, pour son espèce.
Ensuite, en cas de danger, s’échapper,
partir, se cacher, se fondre dans les éléments.
Mais boire d’abord, au risque d’oublier l’autre,
le prédateur, celui qui surprend
qui sait attendre son heure
qui sort les dents, les crocs, le venin
qui broie, étouffe qui se nourrit et qui survit.
Instant de vie concentré sur le seul objet nécessaire à la vie : l’eau.
Dans la partie de son cerveau reptilien,
reste d’un passé si lointain,
ne demeure plus qu’un rêve de pierre
à jamais enchâssé dans les griffes du temps.
Quand vient le soir, l’instant de l’eau,
Il ressent comme une angoisse sourde.
Il ne comprend pas, il ne sait pas…
reptile.
andrée wizem
Restaurants dans le hameau de G..
bon appétit
…********* bon courage……………
mon grand père maternel chef cuisinier,(voir dans la galerie), mes oncles, ses cinq fils déclarés (rires) chefs cuisiniers aussi , et pas des moindres (sic, LASSERRE, LA MAMOUNIA, LE CAFE DE LA PAIX vers 1950/1960, …).
…,mais j’ai en fond de bouche , le goût sublime lumineux et subtil des fruits d’une terre vraie, quand elle descend la vallée de la Dordogne…, magique, … fermer les yeux et se laisser guider par l’odeur des saveurs…, l’odeur d’une braise, d’un éclat d’huile de noix, d’une figue, d’un Xérès, paradis oublié des frisons du palais… http://www.canalacademie.com/Tables-princieres-a-Chantilly-du.html
hors d’oeuvre
la terre fait sa petite cuisine
au menu il y a cake au chèvre
les ingrédients au bain marie
cuisson lente pâte coulante
la terre cuisine avec les restes
volcans éteints eaux pétrifiées
avec le dégueuloir de l’humanité
matières immergées qui surnagent
métal fondu en pur jus de tomates
mélanges herbes chairs de mollusques
la terre offrira le dernier service
à laper comme des fauves à la source
andrée wizem
Restaurants dans le hameau de G…
Hello!
I have a new blog about photograpy.
I would like that you have a post in my blog.
Please, visit it (this is the link: http://positivagruta.blogspot.com/2008/02/loeil-ouvert-de-ossiane.html)
and tell me what do you think.
I would like to publish a photo by you,
but I will eliminate it if you are not agreed.
Thanks.
Délicate
Elle avance
Un orteil puis l’autre
Sa jupe
Se bord de mouille
Légère
Elle avance son pas
Au fil de l’eau
En silence
Bonne fin de journée à tous
___
Un arrêt sur image
Pour laisser passer la chaleur du jour
Sur la peau dorée des pierres
Les rayons du soleil se posent,
Dans les eaux claires du torrent
L’immobilité silencieuse
L’esprit se repose
Un monde au ralenti
De l’eau
Elle se nage dessus la pierre
Et la caresse et l’enlace fort
La pierre résiste des ans
Des cent des millénaires
Un jour elle se fendille
L’eau entre
La fracture se glisse un petit courant
La vie s’engouffre dedans la pierre
La pierre et l’eau
Elles font l’amour
Sur terre
Annick savoure l’amour… d’écrire, je te cite, Lou, merci, mais aussi,
Annick savoure l’amour… tout simplement
Hello Annick, je sais bien que tu savoures l’amour tout court, c’est à cet effet que j’ai mis les point de suspension.
Cela dit « Ecrire EST un acte d’amour, s’il ne l’est pas, il n’est qu’écriture »
Cocteau
Pour Annick et à l’amour !
Dans les mains de l’amour se réveillait le jour
Dans l’eau douce les rochers s’étiraient à leur tour
Et d’une humeur badine s’ invitaient à jouer
déguisant leurs formes nues par nature allouées
En Fleur en crocodile ou en île enchantée
Ils renaissaient ainsi aux regards inventés
Et riaient insouciants de ces plaisirs d’enfants
Qu’ils avaient retrouvés dans l’été triomphant
Cette eau claire où plongeaient les îlots ennivrés
Cette fête et les jeux fous de leurs corps orfevrés
Gravaient là le bonheur dans les flots alentour
Qui somnolaient encore avant le doux bonjour
L’eau recueillit les rires des rochers barbotant
Et l’offrit aux passants pour un matin chantant
…………………………………………
dans les eaux stagnantes
tout se passe à la lisière
mouvements infimes
…………………………………………
andrée wizem
Bon dimanche à tous en compagnie de Louis :
http://www.youtube.com/watch?v=2awuWK6c6xE
OUI, Lou, j’écris en amour, mon jour….d’ailleurs ce petit fou de moi, écrit tout seul, avec ses fautes de frappe, ses émotions si vives que parfois c’est pas le bon mot, mais je le laisse ce petit coquin, il est en moi.
MERCI pour cet hymne à l amour, Lou…. TENDRESSE.
MERCI Bourrache, superbes artistes…COUCOU Andrée.
BELLE JOURNEE pour chacun.
Il nage vers elle … pierre de sa pierre … tout aspire à la fusion … vrai !
C’est beau … et doux … les alligator aussi … !!! Beauté d’alligator … puissance d’alligator … mais aussi super-tendresse d’alligator … bien entendu, avec ceux qu’il aime et protege … Il suffirait de le mettre just’un peu au régime … pour en faire l’Alligator parfait … ! Je goûte d’avance les “sourires” satisfaits des tortues, des poissons … et des autres aussi … 😉 … faire partie de la famille … et savourer la Paix … Rêve d’Alligator ;-)!!!
En LouiSiane,
Sous l’Oeil vigile d’Ossiane
L’Alligator très vite s’avance …
Il va son chemin … à pas de danse … !!!!
>Anne :
Belle image ces raies mantas ! Je vais y songer 😉 Bon dimanche !
>Annick :
Que de sérénité et d’amour dans tes mots, Annick ! J’espère que tu as pu aller prendre un bon bain 😉 Bises à toi.
>Lou :
Très sympa ton poème dédié à nous tous ! Doucuer de vivre dans tes mots 😉 Bon dimanche !
>aspe :
Que ne ferait-on pas sur un air de jazz… belle évocation vécue de Louisiane, bravo aspe !
>Ö!Ö :
Bonjour, et bienvenue sur le blog 😉 C’est très gentil d’être venu faire un peti tour par ici pour me livrer ces sensations au travers de qui fait le charme de la répétition 😉 Très touchée par tes mots. J’invite les Amis du blog à se plonger dans la nature en allant voir tes belles toiles très végétales http://cottencin.com Bien à toi, à bientôt !
>andrée :
Amusante vision de ces roches un peu calcinées 😉 Merci pour ton hors d’œuvre, et tu as prévu quoi en plat principal 😉
>phil :
Magnifique poème très reptilien autour de l’eau! Quelle belle inspiration ! Bon après-midi et merci !
>Auxi :
Bonjour et bienvenue Auxi 😉 Un grand merci pour cette belle note consacrée à L’Oeil Ouvert. Pas de problème pour que vous gardiez la photo publiée. Amitiés vers toi.
>Monique :
Repos intégral après avoir lu tes mots et pourtant j’ai tant de choses à faire 😉 Merci pour ton beau poème méditatif, bises.
>bourrache :
Merci bourrache, que le soleil soit avec toi là-haut dans ton nord !
>merciel :
Ravie de voir que les alligators inspirent en virtuel des images si douces 😉 Ce monde si particulier des bayous entre sauvageie et tendresse 😉 Merci à toi, bel après-midi !
Une petite visite avec toujours le plaisir de voir de très belles photos
andré claude
Bonsoir,
Nouveau concept sans manières, ni « chichis » : venez découvrir l’exposition d’artistes à la campagne, l’art au pays de la rillette !
Evelynej
Scribouille et peinturlure
http://evelynej.unblog.fr/
Ah Cavelier de la SALLE et pierre Lemoine d’Iberville
les rives du Mississipi, les grands lacs et le delta
quasi introuvable à cette époque là
par mer tant sont nombreux
les bras et les mangroves
et puis cette plate, ce chaland, cette barge
du nom de la BELLE qui nous a dévoilé
la vie de tous les jours et le troc
avec les populations indiennes
La Nouvelle France et la belle province
et ce traité de Paris
le grand exode depuis le Canada
et ce peuplement acadien
ce rôle de bastion durant la guerre civile
pardon de sécession
tant d’images et d’odeurs, de rythmes et de joie
et la vindicte des jésuites qui poursuit
La SALLE lâchement assassiné.
>thierry:
En visiteur studieux, tu rattrapes ton retard;-) Merci pour cette évocation historique.
Carapaces mordorées
s’étirent mollement
reflets du temps
Evelynej
Scribouille et peinturlure
>evelyne:
Bonjour Evelyne, merci pour ce beau petit poème qui reflète bien la langueur de ces rochers;-) Bien à toi!