Golfe

Capu Rossu dans le Golfe de Porto

Cap Seninu dans le Golfe de Porto

Cap Seninu dans le Golfe de Porto

Falaises à pic, des rêves sur les pointes, cap de l'extrême

Lecture du Haïku Calligramme: de bas en haut

Falaises à pic
des rêves sur les pointes
cap de l’extrême

Le Golfe de Porto et ses montagnes de granit rouge qui s’embrasent au couchant.
Le Cap Rossu au sud (1ère photo) et le Cap Seninu au nord (2ème et 3ème photos)… Voir la Carte de Corse

103 réflexions sur « Golfe »

  1. Toutes ces brumes
    Issues de nos chagrins

    Tous ces orages
    Qui bataillent entre nos tempes

    Toutes ces ombres
    Qui emmurent l’espérance

    Tous ces cris
    Qui entravent notre chant

    Toutes ces craintes
    Qui retiennent nos pas

    Toutes les clartés
    Qui naissent de ces remous!

    Andrée CHEDID

  2. .
    222222222222222222222222222222222222222222222222222222222222222
    .
    Après le tout nouveau blog de Christineeeeee « l’Ardoise magique » http://christineeeeeeee.blogspot.com/, voici qu’@nna@ vient tout juste d’ouvrir le sien « …Un chat passant parmi les livres… « , je vous invite à vous y rendre http://un-chat-passant-parmi-les-livres.blogspot.com/

    Bonne visite à nos deux amies!

    Ossiane
    .
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    .

  3. Tu marches les yeux fermés sur le fil de l’amour
    Est-il solide ou frêle, existe-il toujours
    Falaise, pics, pointes guettent le mouvement
    Tu marches sans te soucier de la nuit ou du jour
    Funambule fil-de-feriste inconscient téméraire
    Voguant sur le radeau du songe qui t’emporte
    Au large de la nuit dans les images de l’eau
    Les visages apparaissent des reflets des visions
    Tu plonges pour saisir le fugace, le mouvant
    Sur la mer tu ondoies une minute encore
    Puis tu prends ton envol vers les contrées lointaines
    Et le soleil décroît dictant les lois aux rêves
    Les mots sont les sujets et les verbes des rois…

  4. de grosses bêtes tapies
    au coeur de la brume
    se sont réunies pour lapper la mer –
    et sous l’oeil de la plus grande
    font le dos rond
    et lappent, lappent avec constance

  5. l’or du couchant
    ouvre la voie
    de l’aventure

    voile des rêves
    sur l’horizon
    mettre le cap

    du fond du golfe
    le grand voyage
    va commencer

    apaisement
    des grands géants
    calme du soir

  6. ~
    Vestale des brasiers , amante des fournaises, tu rafraîchis le coeur des plus chaudes étoiles, vêture inadurante des âmes où couvent encore les cendres des voyants.
    ~

  7. Merci Ossiane pour les images et les poèmes qui suscitent autant de créativité .Parfois je cueille un mot par ci par là pour illustrer mes esquisses .
    Chaque pour vous lire est une merveille de délicatesse de la part de vos amis également AA

  8. ___

    Les rêves des vieux sages
    Flottent fumeux
    Fumants de rage.

    Terres noires ravagées
    Et coeurs de pierres,
    Les pieds dans l’eau.

    Une lueur, une chaleur
    Déjà vaincue, ose une percée
    Dans leurs nuages.

    Dans ses souvenirs,
    La mer éperdue
    A peine frissonne.

    Il n’y aura plus d’enfantement.
    ___

  9. Il est des endroits que l’on voudrait garder pour soi Comme un trésor ;
    Et en même temps nous avons envi d’en partager la quintessence
    cet endroit j’aimerais vous y emmener.
    Pour y arriver prenez le chemin de votre cœur.
    – – – – – – –
    comme un reptile souple et agile
    la mer rampante s’est engouffrée
    Dans les déchirures de la terre.
    A l’abris du monde et de ses tourments.

    lorsque la mer se déchaîne
    excitée par le vent d’Ouest,
    Le golfe semble gardé son calme .
    Tapie à l’ombre des montagnes.
    Aucun chemin ne mène en son entre.
    C’est une cette grotte à ciel ouvert.
    une caverne réservée du temps.
    on ne peut la découvrir
    Qu’en passant par la mer.

    comme un vieux loup
    Je m’y rends parfois solitaire.
    J’y reste dormir de tant à autre,
    J’observe avec vertige la multitude
    D’étoiles et l’immensité de vide.
    Dans un silence sépulcral
    j’écoute les pulsations du l’univers
    les grondements des entrailles de la terre.
    Attentif aux palpitations de l’eau
    Caressant sa rivale.
    j’écoute les râles du vent s’engouffrant
    Dans les interstices que les brumes
    envahissses et transforme cet endroit idylique
    en un gouffre fantomatiques.
    Je m’endors souvent couvert d’un drap d’inquiétude.

    Mais Au petit matin quand la lumière d’or coule
    et se fond dans le cobalt de mes yeux.
    un sentiment de plénitude envahi mon être.
    de mon iris étincelant, une larme de joie
    Glissent sur ma joue.
    Un sentiment de liberté
    envahit mon âme.
    je songe à l’éternité…

  10. Golfe
    Au point du jour
    quand de la nuit
    les ombres
    au loin
    s’enfuient
    et sombrent
    en mer profonde
    Golfe
    au matin
    quand le soleil
    renverse
    son creuset
    d’or alchimique
    sur les arêtes
    des falaises farouches
    Golfe
    porte intime
    que le vent force
    avec le sauvage désir
    du grand large
    Golfe
    ouverture
    et abri
    aventure
    et retour
    attentes
    et rêves

  11. Un joli golfe
    Hors du temps
    Le soleil a choisi
    De s’éteindre dans ses eaux
    Douces si délicates
    L’oeil se laisse bercer
    Tout est calme et si tendre
    La Paix dans ce bel golfe

  12. Dans ce GOLFE si calme
    Aux eaux profondes et Or,
    Sous les rayons du couchant,
    Le voilier a enfin jeté l’ancre
    Après une nuit un peu délirante !

    Notre belle capitaine
    Possédant plusieurs casquettes
    Cachées fond de sa cabine couchette
    A troqué le béret du marin
    Pour coiffer le casque
    Du guide Corse-Alpin !

    Tu passes en tête ?

    Mais c’est en « libre »
    Que tu nous proposes
    De suivre ces crêtes effilées
    S’élevant à la ronde !

    (C’est normal
    Aujourd’hui
    Pas de cordes
    A démêler !)

    De grattons en grattons
    Les mollets s’affûtant
    Nous dansons nos rêves
    La mer surplombant…

    Par un monodoigt
    Bien suspendus
    Bravant le vide
    Libres
    Au-dessus des flots nus,
    La grimpe nous gagne,
    Nous nous élevons,
    Souplesse du chat,
    Légèreté de l’oiseau,
    Et de la voie de l’extrême
    Nous remportons la bataille !

    Biseeeeeeees grimpeuseeeeeees

    PS : en souvenir de la voie « Solei Rouge » à Pen-Hir….

  13. Dans le golfe de ses amours, la mer est paisible et tranquille, le soleil la veille de son oeil doux, et elle se repose tout doucement. Elle ne se claque pas sur les rochers, elle ne se retire pas à marée basse, elle se contente de se flotter, de tranquillement se trouver elle, la mer, tout simplement la mer, dans un golfe écrin de perle, dans les bras des rayons du soleil, qui la serre douce et aimante. Il l’aime d’un amour bel, le soleil, et la mer se tait, elle le sait…tellement.

  14. quand la brume a envahi mon esprit
    et couvrait mes yeux d’un voile épais,
    les heures semblaient interminables.
    immobile,prostré je n’entendais
    que le tintement irél de la vie.
    je ne comprennais plus le monde qui m’entourait.
    chaques mouvements me semblaient impossibles
    chaques paroles me semblaient incompréhensibles
    chaques jours me semblent inaccessibles,
    chaque nuits me paraisseaient interminables
    tous les êtres qui virevoltaient autour de moi
    je semblais assis dans un manège infernal.
    et chaques paroles entendus semblaient
    provenir d’une une langue inconnu;
    et cette brume s’épaississait, s’épaississaient tellement ,
    qu’il me semblait possible de la ramasser
    comme du coton et d’en faire une couverture.
    une couverture dans laquelle je pourrais m’enrouler
    et dormir …dormir ..dormir…
    comme un bienheureux…
    pourtant par je ne sais quel miracle
    un jour la lumière entra sans frapper
    sous mes paupières de marbre.
    et la brume peu à peu se dissipa
    laissant l’éclat des jours redonner couleurs
    aux moindres détails, au x moindres instants…

  15. point de falaises à pic, dans mon golfe, mais des rêves par milliers, et cap sur l’extrême , un peu plus chaque jour…

  16. je suis fort ému devant tes mots, marc, je comprends fort….

    J’aime bien tes mots, sabine.

    Aujourd’hui
    Le mot se baigne
    Doucement
    Il flotte sa bouée
    Paisible
    Hier
    Il a tant fait la fête
    Joyeusement
    Il écrivait de tant
    Heureux

  17. Bonsoir,

    Un petit mot d’amitié et de remerciement aux nouveaux venus et aux revenus (jorge, odile, alice, laure, éric, claudie, candide, alix, aiguebrun, fanou, Emmanuel) que je n’ai pas eu le temps de bien accueillir hier sur le blog et bien sûr aux fidèles habitués qui mettent tout leur cœur dans leurs belles poésies.

    Merci aux laveuses de pont qui ont bien rempli leur contrat 😉

    >maria :
    Oui, toujours dans les brumes jaunes dont je n’arrive pas à sortir 😉 Merci pour ton bel haîku vaporeux et ce superbe poème d’André Chedid. On dirait que le texte a été écrit pour ces photos. Bises.

    >lou :
    Beaucoup de choses dans ton très beau poème. Tu es une funambule des mots. Merci à toi.

    >brigetoun :
    Je parie que tu aimes les chats 😉 Merci pour ce beau morceau d’écriture inattendu et bien senti 😉

    >candide :
    Tout est dit, on dirait que tu y étais ;-)) Des mots simples, des vers courts pleins de force. Je t’embrasse et remercie.

    >jorge :
    Bonjour jorge, te voilà revenu 😉 Belle idée ce cyclope ! Merci de ta visite.

    >salomé :
    Bonsoir Salomé, contente de te revoir 😉 Atmosphère irréelle et fantastique dans ton évocation. Les volutes brumeuses ont inspiré en beauté ta plume. Un grand merci de ton passage.

    >arletteart :
    Bonsoir et bienvenue sur le blog 😉 Merci de votre gentillesse, n’hésitez pas à nous rejoindre en émotion. Bonne soirée à vous.

    >bourrache :
    Superbe, Bourrache, tu te surpasses dans ce poème à partir de ces fumées nuageuses. Et comme souvent, tu laisses passer beaucoup d’émotion. Bises vers toi.

    >annick :
    Annick un peu plus sage aujourd’hui 😉 Ouf 😉 Merci pour tes poèmes plein de doucuer et de délicatesse. Bonen soirée.

    >pierre :
    Tu as raison de t’émerveiller de si bonne heure 😉 Merci pour ton bel haïku.

    >marc :
    Magnifique marc ! Un beau poème teinté de réel et d’irréel, de sensations intérieures. Grande richesse de tes images et de tes émotions.
    La brume s’est imposée à toi dans le deuxième poème. C’est beau et sensible
    Merci pour ta belle plume inventive! Bises.

    >amichel :
    Ta vision du golfe est pleine de beauté pacifique et protectrice. Un golfe accueillant qui chasse les ombres noires pour mieux partir en aventure vers ses rêves. Un grand merci pour ta belle écriture, je t’embrasse.

    >Christineeeee :
    Je reconnais la grande alpiniste, n’est-ce pas 😉 Merci pour ton poème fort bien troussé et trouvé 😉 Bises vers toi.

    >sabine :
    Dans quel golfe vis-tu ? Le golfe des rêves 😉 C’est sans doute ce qu’il y a de mieux,-) Bises.

  18. Craqué le ciel ;
    aux frottements du regard
    se mêle l’étoupe des obliques.
    Voici que la tension – fragile –
    de l’entre-temps se brise.
    Faille, éblouissement,
    sur le soufre du soir,
    plus que désir et falaise.
    Craqué le ciel
    comme au premier jour du monde

    Belle soirée

  19. Annick parfois il est plus facile d’écrire sur certains sujets
    quand on les à vécu de l’interieur; et encore je l’ai surement vécu beaucoup moins fort que certains
    Et effet Sabine c’est une re-naissance
    Ossiane bon courage à toi je vois que tu as encouragés tes troupes
    je propose que pour la fête des pères que ce petit score soit pulvérisé
    alors bientôt à vos plumes!

  20. Hey Marc, superbe idée ! c’est quand la fête des pères en France? On vous donnera quelques coups de main mais ce sont les messieurs qui devront faire le gros de l’ouvrage! Et s’ils n’y arrivent pas, Ossiane… tu leur fais laver le pont !!

  21. Marc, jamais personne ne peut savoir qui de qui vit beaucoup moins fort que certains, alors c’est bon de respecter chacun dans ses passages de vie, parfois fort douloureux et bien trop intimes, pour en parler…
    et c’est bon une renaissance…

  22. Bonsoir, l’esprit quelque peu embrumé,
    Comment ne pas être émerveillée devant telles images où l’on ressent Ossiane toute ta sensibilité dans la recherche si minutieuse des prises de vues et des couleurs, on te sent en parfaite osmose avec la nature dans une attitude contemplative, sans parler de tes talents de photographe, je trouve dans ces images un côté très oriental que j’adore, beaucoup de romantisme aussi.

    ___

    Si beau, mon âme bouleversée
    Se noie dans la splendeur de ces lieux ;
    Tout mon être se fond dans le modelé des couleurs,
    Plénitude et bonheur m’accompagnent .
    Enveloppée d’une beauté extrême
    Aux couleurs intimistes dans l’heure indéfinie du jour,
    Je rends hommage à la nature et mets le cap sur le rêve.
    Il me vient un vague à l’âme, mêlé de tristesse,
    Une langueur qui me colle à la peau.
    Allez savoir pourquoi, il en est toujours ainsi
    Lorsque le sensible frôle la beauté
    Mon coeur pleure comme un enfant.

  23. hé Monique, tu veux pas danser plutôt, moi c’est comme ca que je me remonte le moral ou alors on peut laver le pont, c’est cool malgré l’aspect corvée

  24. La mer qu’on voit danser le long des golfes clairs
    A des reflets d’argent, la mer
    Des reflets changeants sous la pluie

    La mer au ciel d’été confond ses blancs moutons
    Avec les anges si purs, la mer
    Bergère d’azur infinie

    Voyez près des étangs ces grands roseaux mouillés
    Voyez ces oiseaux blancs et ces maisons rouillées

    La mer les a bercé le long des golfes clairs
    Et d’une chanson d’amour, la mer
    A bercé mon coeur pour la vie

    La mer qu’on voit danser le long des golfes clairs
    A des reflets d’argent, la mer
    Des reflets changeants sous la pluie

    La mer au ciel d’été confond ses blancs moutons
    Avec les anges si purs, la mer
    Bergère d’azur infinie

    Voyez près des étangs ces grands roseaux mouillés
    Voyez ces oiseaux blancs et ces maisons rouillées

    La mer les a bercé le long des golfes clairs
    Et d’une chanson d’amour, la mer
    A bercé mon coeur pour la vie

    Charles Trenet

  25. Annick le mot « certains » comprend des personnes que je connais
    ou des récits autobiographique que j’ai lu.

    Monique c’est beau et triste

    Bourache belle poésie à 9h11 le matin
    l’esprit pas trop brumeux!

    bonne soirée à vous tous

  26. Johal : v’là que j’hésite !
    Pansement et bouillotte, pour la nuit, ça peut se combiner, hein ?

    Bon, j’me taille.
    _

    Belle nuit à tous.

  27. Dis donc Lou le pont doit être propre depuis le temps qu’on le brique. Il va devenir glissant… et c’est comme ça que tu veux remonter le moral à Monique en la faisant tourbillonner sur ce pont immaculé.

    Voulez vous danser Monique
    sur ce pont briqué qu’jastique
    tout comme au bon vieux temps
    lorsque j’avais mes dents

    Désolé mais j’ai l’esprit bien embrumé depuis plusieurs jours.
    Rhume de cerveau,
    j’vais mettre au chaud
    je vous assène bien des fadaises
    adieu je m’jette de la falaise

  28. et p’têt ben un « B »majuscule pour peaufiner.

    Hein, l’aile lisse de l’hélico …

    (j’t’embrasse tout plein, Marc).

  29. Marc, j ai juste cité ta phrase:
    «  »quand on les à vécu de l’interieur; et encore je l’ai surement vécu beaucoup moins fort que certains » »
    pour amener ma réflexion en réaction partage…

  30. De retour un peu tard, ce soir !

    Bien le bonsoir à tout le monde, s’il en reste !
    La falaise étant haute, prévoir un parachute…. sinon, bien viser la vague avant de sauter !
    Ce n’est qu’un conseil… pour Rachel… !

  31. On aimerait être dans une petite tente, et dépasser sa tente, et admirer ce bel spectacle,de cette brume qui descend doucement sur la mer, et puis le dernier clin d’oeil du soleil, et cette vapeur en haut des hauteurs, et sentir battre son petit coeur,
    s’élancer, prendre de la vitesse, et s’élancer du plus haut pour se planer, se rêver bel, dans les bras de l’aimé….
    qui est à nos côtés dans la petite tente….sur une bien jolie berge…

  32. Merci Rachel pour le coucou, NONNNNNNNNNNNNN ne te jette pas de la falaise: tu me le remontes à moi le moral. Et chez moi, il bascule vite, (i suffit d’un rien! et je rejoins la cale! , sacrée sensibilité idiote !)
    J’adore  » lorsque j’avais mes dents » ))))))))
    Dis c’est qui ou quoi qui me les aurait cassées !! ?? !! ))))) et le bon vieux temps, il date d’hier seulement !?! non?
    Mais je ne dis plus rien !
    Et arrête de me taquiner, j’ai décidé que je ne parlerai plus! Enfin… plus ou moins !!

  33. Merci du conseil Christineeeeeeee. Je vais peut être prendre le parachute, maladroite comme je suis.
    Un coucou ensomeillé et bien enrhuméeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee.
    Atchoum ! toum ! toum ! Tiens y’a de l’écho ce soir !

  34. Ne fais pas de promesses que tu ne peux pas tenir Lou c’est comme si moi je promettais la même chose. Me taire à jamais. Au secours ça m’angoisse rien que d’y penser !

    Vive la parlotte
    et si j’tasticote
    on rira en choeur
    c’est bon pour le coeur

    Pour ce qui est des dents je sais pas comment tu les as perdu. Moi il m’en reste une

  35. Et les quatre yeux sortent le bout du nez de la tente, et s’allongent leurs mains et se goutellettent de vapeurs de songes, la brume est si belle dans le ciel, ils se frissonnent un doigt gelé et ose un plongeon dans la mer, remontés vite par les bras du soleil, qui les remet dedans leurs couettes, seuls au monde, tout en haut, en haut du vide, ils sont pleins, juste pleins d’eux, et leur intimté est grande, dedans la couette, sous une tente, sur un éperon rocheux, entre ciel et mer…….

  36. Tu m’étonneras toujours par ta réactivité Christineeeeeeeee. Je vais aller habiter vers Toulouse, j’aurais sûrement l’esprit plus vif. Mais c’est vrai que mon état se rapproche du disciple.

  37. )))))))))))))))) Oh la la t’es trop drôle Rachel !! j’en peux plus ! une dent, c’est pas pratique ça !!! mais c’est déjà mieux que rien !)))) Allez estime toi heureuse. N’empêche la tête que tu dois avoir ;)!
    Cela dit pour ce qui est de parler, j’ai dit plus ou moins Rachel plus ou moins !!!
    Et puis aujourd’hui, je voulais retrouver ma sagesse légendaire, c’est mal barré comme je vais ! Mais là , je ne parle plus quoi que tu dises !!

  38. C’est joli Christineeeee, de découvrir la Nature…

    Excusez moi, mais je suis si calme ce soir, mais néamoins je me ris quand même, vous en sortez de ces trucs…merci pour les photos…

  39. Tu ne parles plus quoi qu’on en dise
    Je suis contente de ta franchise
    Que mon allure te tranquillise
    J’me rapproche de la Tour de Pise

    Plus qu’une dent qui tient encore
    Elle se déchausse mais je m’en sors
    Il lui suffit de bonnes chaussures
    pour lui redonner belle allure

  40. C’est Bourrache qu’on entend ronfler. C’est qu’elle m’empêche de dormir. Et pourtant nous avons suivi tes conseils Christineeeeeeee. Nous marchons sur la pointe des pieds et les rêves sur les pointes.

  41. Assoiffés de vérité se vivre
    Les rêves se lancent du pic
    Et ils se réveillent si purs bels
    Le vrai plus beau que le rêve

  42. Je vous dis
    tout doucement
    bien le bonsoir
    et bon vent
    A demain
    si vous l’voulez bien

    Biseeeeeeee s du soir !
    Christineeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

    PS : vous pouvez continuer sans moi, mais calmement !

  43. C’est quand même incroyable uncoucher de soleil, de la vapeur de gouttes d’air, la mer, et même si des sciences tentent d’expliquer, cela reste magique à regarder se dorer, se brumer, se nager….

  44. Avant de se coucher
    Le soleil se vaporise
    Une eau de toilette
    Du soir belle étiquette
    Et la montagne étourdie
    Crachote un peu des relans
    De parfums mytère
    Puis il se couche dans le golfe
    La mer comme chaque soir
    Se pousse un peu son oreiller
    Et lui laisse sa place chaude

  45. ,;:),:,;,),;:)+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++…………!)

    douce nuit!

  46. pardon , j’oubliais ;( qui deviendra )))))) après qu’on soit allées danser. Et pour finir ;eeeeeeeeeeee ))))
    (ce ne sont pas des mots que je prononce, juste des adjuvants sémiotiques !

  47. Je suis en

    http://zebrette.canalblog.com/images/33_Prestwick_train.JPG

    vers mes rêves.

    Je clos l’huis,
    Pose pansement
    Sur mon aujourd’hui.

    Je prends bouillotte,
    Dans mon creux,
    Pour ma nuit.

    Et mon indéfectible,
    Et ma Chipie
    Aussi.

    Mes mots,
    Mes maux s’en vont ronfler
    Sans déranger.

    Je n’ai pas peur
    De ces quelques heures
    Du noir de ma nuit.

    Mais, demain…

    Oh, foutu matin !

    Il me faudra me lever…
    ___

  48. Le guerrier s’assoit, il contemple la terre et tout autant la mer qui se cachent l’une à l’autre en jeux d’ombres. Plus de bruit, plus de souffle ! Rien qu’un silence sans fin. Il entend son sang passé dans ses oreilles ; c’est le bruit de son coeur.

    Voila, tout est fini. Sa terre, sa compagne, n’est plus asservie. Le chant des bottes sur la rocaille ne fera plus vibrer les nids cachés.
    Tant de luttes, tant de larmes, tant de sang pour que revienne enfin la douceur.

    Le guerrier est seul, il se rejoint. Le monde qu’il regarde est tel en lui-même. Avec des lieux d’ombres, des zones de lumières, avec des pans de brumes, des endroits incertains. Lutte intérieure. Pleurs et tremblements. Acceptation, rémission.

    Il est venu le temps de la réconciliation. Malgré les cicatrices encore douloureuses, celles de l’âme, celles du corps, celles du coeur, celles de l’esprit.

    Le guerrier cependant est las. Ses yeux contemplent le monde si familier qu’il ne semble plus connaître vraiment. Il est vieilli ce monde, comme lui. Il est beau malgré tout. « Ce monde est sans armure » se dit-il.

    Alors, il se relève, jette son casque au loin, enlève son armure, brise sur un rocher son épée valeureuse. Il a touché l’extrême, il aspire au présent.

    En bas, dans l’ombre, il est des chants sereins. C’est le chant de la mer qui se mêle au chant de l’épouse lui même reprenant le chant du vent dans le maquis pour bâtir un hymne à la lumière.

    Il veut rentrer avant la lumière du monde, porteur de sa propre lumière. Il a tant a donner.

  49. Il a tant à donner !
    Il y a tant à donner et à recevoir
    Il y a tant à partager
    Il y a tant…

  50. Oui, c’est fort beau, phil alba, j’ai lu tes mots en début d’après midi, et je viens de les relire avec le même plaisir.

  51. Je rebondis sur les mots d’Annick répondant à Marc

    Dans l’intimité de son être
    Quand disparaissent tous les « paraître »
    On se retrouve au creux de soi
    Et quelquefois bien à l’étroit

    Dans l’intimité de son être
    On pose le pour et les peut être
    Et l’on affronte son intérieur
    Bouillonnant au gré de son coeur

    Dans l’intimité de son soi
    On prend la vie à bout de bras
    En s’armant pour tous les combats
    Dieu que cela est dur parfois

    Dans l’intimité de son être
    Quand disparaissent tous les « paraître »
    Je me blottis tout contre toi
    Toi qui connaît bien mon vrai moi

    Car ils ne sont pas si nombreux
    c’est toi qui me connaît le mieux…

  52. Endroit étrange où se forgent les caps qui ne sont que de la brume devenue de plus en plus dense, c’est ainsi également que les dunes naissent de l’écume de la mer !

  53. Terrible décrochage, on s’absente deux jours et on trouve tout de chamboulé.
    salut au joyeux et brave équipage et surtout bonjour et merci au capitaine
    mon capitaine !
    Le golfe en jouant, c’est en déjouant les embuches que l’on fraie son chemin, un chemin qui effraie rétrosepctivement.
    Je pensai aussi au golfe juan et au débarquement de l’empereur pour repartir sur un rythme swingant pour 100 jours qui n’ébranleront pas le monde mais le trone impérial oui.
    Il faut que je prenne le temps de vous lire en détails.
    youps

  54. Bonjour à vous !

    Toulouse sous la pluie….
    Que le ciel est bien gris…
    De pic… en cap…
    j’en arrive à ceci :

    « C’est un roc ! . .. c’est un pic ! . . . c’est un cap ! Que dis-je, c’est un cap ?. .. C’est une péninsule ! »

    Biseeeeeees pointueeeeees

  55. pour lui, plus aucun espoir, plus un seul rêve, aussi pas besoin de parachute, sur les falaises, son corps, il a offert, et libre à la mer, de l’emporter, loin trés loin…

  56. Trop de bruit
    Trop de monde

    Le calme s’écroule
    La foule me soule

    Sur les pointes
    J’emporte mes rêves

    Vers les sommets
    Là, le silence tuera mes mots

  57. Mais non christineeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
    c’est un promontoireeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
    euh je crois que j’y suis allé un peu fort
    le départ de Pollack, mais pas pour sydney
    m’a scotché, tant de souvenirs pour beaucoup de beaux films
    pleins de sens dans leur époque.

  58. parfois, dans la vie, il suffit de peu… envie de mettre les voiles, envie de changer de cap, envie de voguer, voguer avec toi, vers tes rêves…

  59. Comme la brume s’accroche aux rochers …….
    Les souvenirs effleurent encore notre âme brisée .
    Rien ne peut s’oublier, d’un lieu aimé

    voir une esquisse sur un blog si vous le désirez …………….

  60. Dans la brume
    Les mamelons du ciel
    Douce dévoile
    Se laissent caresser
    Par le dernier rayon de soleil
    Les falaises à pics rêvent
    De se chûter tendresse
    Vers le haut
    Ce ciel nourricier

  61. Du haut de ces falaises, dans la brume du soir je lance à la mer quelques haïkus, forme de poésie que j’aime, qui m’a ouvert la porte de ce blog et qui particulièrement sur « golfe » s’harmonise avec la pureté des images …

    __

    Aller au-delà
    Au crépuscule d’un soir
    Vers l’inaccessible

    A travers les mots
    Des cahiers de la folie
    Le délire des yeux

    Force de contempler
    Paradis sur notre terre
    L’immersion de l’âme

    Vers la déraison
    L’espérance de l’insensé
    Vers la délivrance

    Dans la brume au loin
    Sur les falaises du golfe
    Le rêve absolu

    J’aimerais trouver les mots capables d’exprimer l’infinie beauté de ces instants si merveilleusement saisis dans leur summum de splendeur .

  62. Sur la pointe des pieds,
    L’horizon de mon rêve
    S’enfouit sous l’oreiller
    Dans la nuit qui s’achève.
    Je le croyais perdu
    À la levée du jour,
    Mais il m’est revenu
    Sans trompes ni tambour.
    Étrange et pénétrant
    Comme celui de Verlaine,
    Il est mon rêve amant
    Qui cajole mes peines.
    Il prend toutes couleurs
    D’humeur ou de saison,
    D’ici ou bien d’ailleurs…
    Compagnon d’évasion,
    Mon rêve amant secret
    Vogue entre rire et larmes.
    Je le garde serré
    Caché au coin de l’âme.

  63. Bonsoir,

    Après la petite surexcitation des derniers jours sur Topaze, je propose qu’on revienne à un mode d’échange plus paisible. Le dernier mail de Nigra est un signe qu’il faut prendre en compte. Je n’ai vraiment pas envie qu’elle parte. La bateau tangue un peu fort parfois; c’est déjà arrivé par le passé mais il finit toujours par retrouver la cadence qui convient à tout le monde. Il ne s’agit pas de ne plus s’exprimer mais de le faire sans que ça fuse dans tous les sens car ça perturbe la bonne lisibilité des commentaires. Croyez-moi, vous êtes lus plus que vous ne le pensez, alors pensez à ceux qui vous découvrent. Amitiés et bises à vous tous;-)

    >johal :
    Comment fais-tu pour écrire de si belles choses 😉 Cette référence à l’allumette et au soufre est superbe. Bravo Johal !

    >brigetoun :
    Tu n’as peur de rien, Brigitte la rebelle 😉

    >marc :
    C’était une punition et non un encouragement 😉

    >monique :
    Un spectacle magnifique du haut de ses montagnes qui s’offrait à moi. Il faut simplement savoir attendre son heure pour le savourer et prendre son temps pour l’observer 😉

    Touchée que tu sois si bouleversée par ces images. Merci pour tes très beaux haïkus pleins de sensibilité. Je t’embrasse.

    >le sid :
    Bonsoir Yves, bienvenue à toi, j’espère que tu vas bien 😉 Encore un bel haïku de ta part et toujours avec cette note décalée dans le troisième vers. Bonne fin de soirée.

    >pierre :
    Merci pour la chanson de Trénet qui trouve toute sa place sur cette note. Bises.

    >Rachel :
    Beau rebond vers Marc ! Merci rachel, bonne nuit.

    >Christineeee :
    Fais de beaux rêves, beaucoup de pluie pour moi aussi 😉

    >Annick :
    Bonne nuit Annick, merci pour tes mots vaporisés.

    >bourrache :
    Meilleure nuit à toi, cette fois Bourrache ; je t’embrasse.

    >aspe :
    Oui aspe, un beau promontoire comme on n’en voit pas souvent 😉 Merci de ta visite.

    >Phil :
    Bravo phil , c’est superbe ! Comme le portrait de ton guerrier est sensible ! Ta belle évocation est originale et inattendue. Merci à toi.

    >nath :
    C’est vrai, c’est beau, c’est d’actualité dans les jardins en ce moment. Bises vers toi.

    >ulysse :
    Bonsoir ulysse, belle réflexion ; je n’avais jamais pensé à ça 😉 Merci beaucoup.

    >thierry :
    Bon retour, Thierry !

    >sabine :
    Tu as de la chance, sabine 😉

    >nigra :
    J’entends ton message, nigra ; ne nous quitte pas, le blog va retrouver un rythme plus calme.

    >arletteart :
    Pour qu’on puisse voir une esquisse, il faut nous laisser l’adresse de votre blog 😉
    Belle image l’âme brisée, merci à vous.

    >anne :
    Je t’en prie Anne, respire à fond 😉 Bises à toi et merci.

    >annemarie :
    Magnifique Annemarie ! Une rêve plein de subtilité, de douceur et d’émotion ! Merci belle poétesse pour ce beau morceau de poésie. Bises du soir.

  64. Assoupi par les brumes
    à demi englouti

    faute de plongeon
    pour en émerger

    sombrer dans des
    songes sans fond

  65. J’avoue moi aussi que cela émousse mon envie d’écrire sur de si belles photos, en résonance à de si beaux poèmes, quand il faut, pour en dénicher un, traverser une avalanche de commentaires en aparté.
    Mais Nigra le dit bien plus joliment que moi…
    Bonsoir à tout l’équipage, et que l’Oeil reste Ouvert à tous et toutes.

  66. >emmanuel:
    Tu vas bien dormir, Emmanuel;-) Merci pour ce beau petit poème bien douillet! Bonne soirée!

    >anne-marie :
    Ton message est entendu et compris, Annemarie. Bises vers toi.

  67. Images merveilleuses de la création d’ un monde biblique…..Dieu sépara le ciel de la terre et la terre des eaux et vit que c’était bien……

  68. Permettez moi d’être franche et de vous dire que vos mots m’ont laissé un goût un peu amer.
    Les commentaires sur Topaze sont partis d’un jeu. Personne n’a pensé à mal sachant, bien évidemment, que c’était exceptionnel (il ne pouvait en être autrement). A partir du moment où tu es entrée dans le jeu Ossiane j’ai trouvé tes mots un peu blessants (je cherche un autre terme mais je n’en vois pas d’autre) pour ceux qui s’étaient autorisés cet amusement. Je comprends parfaitement qu’il ne doit pas en être ainsi sur toutes les notes. D’ailleurs cela n’amuserait personne. Mais je pense sincèrement qu’il y a différentes façons de se sentir bien sur ce blog. J’ai le sentiment d’avoir été remis à ma place par des donneurs de moral.
    Voilà, j’avais ces mots sur le coeur. Je ne veux blesser personne mais j’ai été blessé par vos mots. La personne mettant son texte sans jamais mettre un commentaire sur les écrits des autres n’est pas ma conception. Je conçois parfaitement que l’on n’est pas le même point de vue que moi. Mais s’il est bon que la mer soit calme la majorité du temps il est bon aussi d’accepter certains remous nécessaires à la vie. J’espère avoir exprimé au mieux ce que je ressens.
    Bonne soirée à chacun

  69. >rachel:
    Rachel, je suis vraiment désolée que tu aies perçu mes mots de cette façon; je n’ai jamais voulu blesser personne. J’ai sans été fort maladroite dans ma formulation. J’ai juste voulu faire sentir qu’il ne fallait pas refaire la même chose que sur Topaze sur cette note. Mais vous l’aviez sans doute compris. J’aurais sans doute mieux fait de me taire;-)

    J’aime bien aussi qu’on s’amuse de temps en temps sur le blog. Il faut simplement que ce soit temporaire. Ce lieu n’est pas un site de poésie rigide et sans vie puisque tout le monde peut venir s’y exprimer sans écrire de poèmes.

    Je suis à chaque fois très ennuyée quand il y a un peu trop d »exhubérance car je sais par expérience que certains visiteurs préfèrent lire les commentaires sans trop d’apartés. Crois-moi, je n’ai pas envie de faire la police ni la morale sur le blog d’ou sans doute mes mots maladroits. J’essaie simplement de respecter tout le monde et trouver un équilibre pour que chacun puisse trouver sa place de façon équitable.

    Me comprends-tu mieux? C e n’est pas si facile de gérer la vie d’un blog, tu sais;-)
    J’espère que je ne vais pas m’attirer de nouvelles foudres car j’apprécie beaucoup ta présence ici;-)

  70. Je te remercie pour tes mots Ossiane. Je te comprends et je ne t’en veux pas mais j’avais besoin d’exprimer mon malaise hier soir. J’ai préféré en faire part pour que tout le monde puisse se sentir bien mais je sais qu’il ne doit pas être facile pour toi de « maîtriser » tout le temps cet espace. Si tu n’y vois pas d’inconvénient je reprends ma place comme avant. Je vais essayer d’être sérieuse mais pas tout le temps s’il vous plait car alors ce ne serait pas moi. (au fait Ossiane j’avais bien conscience que ton intention n’avait pas voulu être blessante mais on blesse parfois les gens sans le vouloir)
    Bonne journée à chacun

  71. >rachel:
    Pas de problème rachel, j’aime ta franchise qui me donne l’occasion d’expliquer comment fonctionne ce blog avec ses libertés mais aussi ses contraintes. Merci de ta compréhension.

    Chaque jour, entre 1500 et 2000 personnes visitent ce site; ce n’est pas rien. Je suis donc obligée de veiller à ce que tout se passe dans la meilleure harmonie possible pour ne froisser personne. Quand j’ai créé ce blog il y a trois ans, je n’avais pas imaginé une seconde que j’aurais à prendre tant en compte cet aspect relationnel. L’équilibre est fragile, un rien peut le détruire et il faut des semaines pour remettre tout en place.

    Il n’est nullement question que tu partes; tu es devenue quelqu’un de précieux sur cet espace maintenant et j’ai plaisir à te lire. Alors continue à te et nous faire plaisir dans ces partages. Je t’embrasse.

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