Dôme

Dôme

Dôme

Voile solaire, sous la voûte de cristal, la montagne noire

Lecture du Haïku Calligramme: de haut en bas

Voile solaire
sous la voûte de cristal
la montagne noire

Aux abords de Sartène. Voir la Carte de Corse

110 réflexions sur « Dôme »

  1. Oh … puis-je ?

    (tout de suite, j’ai pensé aux images d’un faire-part de décès)

  2. Le ciel blanc de son oeil éclaire le visage sombre
    Un iris dilaté soleil brillant sur l’ombre
    Mais du mont distingué ne parait que du noir
    couverture de nuit triste et de lourd désespoir

    Et l’oeil ouvert planait dans l’uni vers à voir
    Entre nuage et air entre blanc et miroir
    Apportant la chaleur aux contrées rencontrées
    Farandole de l’amour et de mots enivrés

    Etait-ce là Orphée qui errait sous ce mont
    Perdu et eperdu en enfer descendu?
    La clémence des dieux était-elle attendue?

    Et comment expliquer que ce blanc pénétrant
    N’allume pas le jour sur la nuit noire souffrant?
    Aux mystères d’une photo s’égarait la question.

  3. comme une vapeur de lumière,
    comme un sein sur lequel la montagne se pose,
    comme un écrin qui en fait un joyau,
    comme une promesse de changement de temps

  4. Dans la clarté de tes yeux
    Dans la profondeur de ton regard
    Je plonge tête baissée

    Explosion de larmes
    De bonheur et non de pleur
    Eruption solaire

    Contre la noirceur du monde
    Le vent solaire fera son œuvre

    Du magnétisme de cette union
    Naîtra l’aurore boréale

    Pure feeling

  5. yaouh, c’est tellement joli que je me contente de vous lire, en doux repos des yeux devantla belle photo et les fort jolis mots…yaouh, comme c’est joli!
    et déjà m’échappent…

    De la montagne noire
    Sortents des blanches vapeurs
    Si claires immaculées
    En ont fait un périple
    Pour se vaporiser
    Au goût du bel, du bon
    Mmmmh de mmhh et comme ça
    Et cela sent bon de bon
    Tendre éruption passion
    Belle volute en ciel
    Quel joli horizon

  6. Bien belle journée à chacun, je m’en sors chercher des petites fleurs pour l’intérieur…..au goût de printemps qui piaille ses chants, son rayon de soleil fort et grand hésitant, de la fraicheur encore, comme au plus des cimes, de l’air si tendre et vif, le coeur se vit paisible….

  7. Si mon œil distingue
    – ombre et lumière, couleur et absence, l’Autre et son espace séparé
    du monde –
    l’œil se trompe.
    Il n’y a que Toi tranché de Moi
    par clin de lettre ;
    il n’y a que croix inachevées
    blessées par l’œil qui ne voit
    que le vide, là où la luxuriance des temps
    s’épanouit en silence.

  8. oeil langoureux
    oeil injecté
    oeil contenu

    sous la joute amoureuse
    les lambourdes sèches
    projettent le cru du fruit

    nue
    et pistilée de glaires amères
    l’estampe

  9. transparences
    pour passer de la vapeur aux brumes
    le soleil se colle aux formes généreuses de la montagne
    il les encercle dans ses rayons
    lueurs
    parfumées
    du goût des ombres
    triomphe des couleurs
    et doucement lentement dans un éclat
    parfaitement maîtrisé
    naît le jour
    naît la nuit
    étreinte
    suave
    des désirs de vie…
    «  » »Magnifique, ça change des lumières dures du mois d’Août, je crois reconnaitre la vallée du Rizzanèze en direction de Propriano ? » » »
    Rédigé par: François le jardinier de Marandon amoureux de la Corse
    …tu n’es pas le seul…, c’est bien pareil,…quelles merveilles,…

  10. Bonjour les bloggers !

    Aujourd’hui, nous allons donc prendre de
    L’ALTITUDE, et respirer l’air des montagnes…
    Je sens déjà le vent frais sur mon visage !

    Cette montagne sauvage,
    Emergeant au milieu des nuages,
    Toute de noir revêtue
    A épinglé son voile de mariée nacré
    Pour épouser le dôme céleste des cieux,
    Et dans le miroir gris
    D’un ciel chargé de pluies,
    Elle grimpe son long chemin
    Et part vers son destin, si loin,
    Sa beauté étonnante et troublante
    Nous fait croire qu’elle est vivante !

    Moralité :
    Mariage pluvieux,
    Mariage heureux

    Biseeeeeeeeees à la mariéeeeeee

  11. Le rideau s’est levé sur un spectacle grandiose….

    Splendeur d’un geyser
    Des éclats en noir et blanc
    Le bouquet d’étoiles

    Fleur sortie de terre
    Au pistil d’étincelles
    Flash immaculé

    D’un manteau de brume
    Le ciel inonde la terre
    Trainées vaporeuses

    La montagne noire s’éveille dans un halo de lumière au sein des cristaux du ciel, sous son duvet de plume , la terre lovée dans sa nuit attend la venue du jour,
    la scène a des allures étranges d’explosion, d’une coquille qui se brise, la naissance au premier jour de la création, comme un passage de l’obscurité à la lumière dans le plus grand silence et l’émerveillement.

  12. * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * *

    * * * * * * Et pour les noces de la montagne, * * * * * *

    * * * * * * * Le ciel aussi se pare * * * * * * *

    * * * * * * * * * * * * * * De son voile le plus pur * * * * * * * * * * * * * *

    * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * Le plus léger, * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * *

    * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * Finement irisé * * * * * * * * * * * * * * * * * * *

    * * * * * * * * * De verts tendres et nacrés * * * * * * * * *

    * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * Magie d’un soir d’hiver, * * * * * * * * * * * * * * *

    * * * * * * * * Voici le cadeau astral * * * * * * * *

    * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * De l’aurore boréale ! * * * * * * * * * * * * * * * * *

    * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * *

    A écouter religieusement :
    _____

    http://fr.youtube.com/watch?v=Pv__nN9P6Bg

    _____

  13. >Gokuyoko :
    Bonjour Gokuyoko, j’espère que tu vas bien 😉 Ton poème est superbe ; on sent qu’il est sorti spontanément tout droit du cœur. J’aim ces références à la gaze et à l’ébène. Merci pour la beauté de tes mots.

    >Maria-D :
    Des ambiances comme tu les aimes je crois 😉 Ca se sent dans ton bel haîku vaporeux. Merci et bonne journée.

    >bourrache :
    Tu n’es pas gaie aujourd’hui 😉 Pourtant, le noir peut être si beau et porteur de sérénité 😉 Regarde les peintures de Soulages et à son outrenoir. Je te renvoie à deux liens http://www.pierre-soulages.com/
    http://aphorismes.over-blog.net/article-4411951.html

    >lou :
    Je n’avais pas pensé du tout à un œil. Voilà une belle idée ! Ton poème concentré sur la blancheur est splendide ! Bravo à toi.

    >brigetoun :
    Tu vois beaucoup de choses sous ce dôme et c’est si bien dit 😉 Merci Brigitte.

    >françois :
    Lumière de printemps, François 😉 J’ai pris la photo sur les hauteurs de Sartène. Tu dois avoir raison pour le lieu.

    >nigra :
    Pure and magnificient feeling, Nigra ;-)) Tu as une capacité incroyable à t’envoler en beauté avec des mots tout simples et de façon concise. Bravo à toi une nouvelle fois, c’est fort !

    >annick :
    Ouf, je suis contente que tu ne te tois pas laissée effrayer par le noir 😉 Un bel envol de mots entre noirceur et blancheur. Merci pour ta belle plume.

    >johal :
    Pffiou ! Quelle beauté là aussi ! Une superbe réflexion qui me laisse pantoise ;-)) Jusqu’où irez-vous ? Bises à toi et merci.

    >pierre :
    Un bel haîku déchiré délicatement par tes mots. Bises vers la Loire.

    >regard :
    L’œil continue à faire son chemin, chose que je n’avais pas prévue 😉 Un poème oscillant entre colère et amour de façon très originale et forte. Merci regard, bonne fin d’après-midi.

    >aspe :
    Tant mieux si ça vous plait. Ca fait deux amoureux de la Corse plus Claudie 😉 Un moment quelques minutes avant un très gros orage. Comme souvent ton poème est empreint de sensualité. la nature devient vivante et généreuse sous ta plume. C’est superbe ! Merci aspe.

    >christineeeeee :
    Bonjour la blogueuse de choc 😉 Bravo Christineeee pour ces belles envolées nuptiales et vaporeuses, un thème auquel je n’avais pas pensé non plus 😉 Merci pour la beauté de tes évocations. Bises.

    >monique :
    Que des belles choses aujourd’hui dans votre plume voltigeuse ;-)) Le spectacle que tu nous offre est splendide, comme un feu d’artifice. Bravo à toi, je t’embrasse et te remercie.

  14. Emouvant le coeur, et pénétrant l’âme si fort si loin …
    Le noeud de la gorge empêche de parler ou d’écrire

  15. Pour Bourrache en faisant suite au commentaire d’Ossiane
    « Le noir, c’est, d’un côté, l’extrême, le sombre, il n’y a pas plus sombre que le noir, et, à côté de cela, une couleur lumineuse. Le rapport de ces deux possibilités a fait que je me suis orienté vers cette manière de peindre. »
    Pierre Soulages
    Bises à vous deux

    ***

    Oui Ossiane… j’aime beaucoup l’atmosphère de cette note…

    Un voile nuptial
    En lambeaux de crêpe blanc
    Et perles de pluie

  16. Vous dites tous de si belles choses, que la plume dans l’air reste suspendue !
    Ossiane, merci pour la référence à Pierre Soulages et quel plaisir d’être matelot…
    Love

  17. L’Aurore boréale

    La nuit d’hiver étend son aile diaphane
    Sur l’immobilité morne de la savane
    Qui regarde monter, dans le recueillement,
    La lune, à l’horizon, comme un saint-sacrement.
    L’azur du ciel est vif, et chaque étoile blonde
    Brille à travers les fûts de la forêt profonde.
    La rafale se tait, et les sapins glacés,
    Comme des spectres blancs, penchent leurs fronts lassés
    Sous le poids de la neige étincelant dans l’ombre.
    La savane s’endort dans sa majesté sombre,
    Pleine du saint émoi qui vient du firmament.
    Dans l’espace nul bruit ne trouble, un seul moment,
    Le transparent sommeil des gigantesques arbres
    Dont les troncs sous le givre ont la pâleur des marbres.
    Seul, le craquement sourd d’un bouleau qui se fend
    Sous l’invincible effort du grand froid triomphant
    Rompt d’instant en instant le solennel silence
    Du désert qui poursuit sa rêverie immense.

    Tout à coup, vers le nord, du vaste horizon pur
    Une rose lueur émerge dans l’azur,
    Et, fluide clavier dont les étranges touches
    Battent de l’aile ainsi que des oiseaux farouches,
    Eparpillant partout des diamants dans l’air,
    Elle envahit le vague océan de l’éther.
    Aussitôt ce clavier, zébré d’or et d’agate,
    Se change en un rideau dont la blancheur éclate,
    Dont les replis moelleux, aussi prompts que l’éclair,
    Ondulent follement sur le firmament clair.
    Quel est ce voile étrange, ou plutôt ce prodige ?

    C’est le panorama que l’esprit du vertige
    Déroule à l’infini de la mer et des cieux.
    Sous le souffle effréné d’un vent mystérieux,
    Dans un écroulement d’ombres et de lumières,
    Le voile se déchire, et de larges rivières
    De perles et d’onyx roulent dans le ciel bleu,
    Et leurs flots, tout hachés de volutes de feu,
    S’écrasent et, trouant les archipels d’opale,
    Déferlent par-dessus une montagne pâle
    De nuages pareils à des vaisseaux ancrés
    Dans les immensités des golfes éthérés,
    Et puis, rejaillissant sur des vapeurs compactes,
    Inondent l’horizon de roses cataractes.
    Le voile en un clin d’oeil se reforme plus beau,
    Lové comme un serpent, flottant comme un drapeau.
    Plus rapide cent fois qu’un jet pyrotechnique,
    Il fait en pétillant un sabbat fantastique,
    Et met en mouvement des milliers de soleils
    A travers des brouillards transparents et vermeils
    Comme cristallisés dans la plaine éthérée.
    Quelquefois on dirait une écharpe nacrée
    Qu’un groupe de houris secouerait en volant
    Dans l’incommensurable espace étincelant ;
    Tantôt on le prendrait pour le réseau de toiles
    Que Prométhée étend pour saisir les étoiles,
    Ou pour le tablier sans bornes dans lequel
    Les anges vanneraient des roses sur le ciel.

    Et la forêt regarde, enivrée, éblouie.
    Se dérouler au loin cette scène inouïe ;
    Et l’orignal, le mufle en avant, tout tremblant,
    Les quatre pieds cloués sur un mamelon blanc,
    L’oeil grand ouvert, au bord de la savane claire,
    Fixe depuis longtemps l’auréole polaire
    Poudroyant de ses feux le céleste plafond,
    Et son extase fauve en deux larmes se fond

    William Chapman

  18. Christine
    Ce sont les plus belles aurores boréales qu’il m’ait été donné de voir…
    Merci

  19. C’est très beau, le diaporama, Christine, je l ai vu cet après midi, avec profondeur,
    l’amie voisine vient de décéder, et ce diaporama je le serre, comme elle l’aurait regardé avec beaucoup de recueillements,
    c’est fort beau, la profondeur de la vie,
    et c’est bon de l’approcher car c’est tellement de vie dedans.

  20. elles sont belles tes images, Ossiane,
    et il est vrai que cette fois, le noir ne me fait pas mal, je le trouve immense de profondeur,
    et avec ce blanc, c’est grand de vie,
    du blanc au noir, en passant par tous ses dégradés.
    BISES à chacun.

  21. Annick, bises arc en ciel
    et Maria, quel beau texte que celui de William Chapman, qui est-il et où peut-on trouver ses textes ?

  22. Au petit matin
    quand nous partîmes martine et moi,
    le ciel d’un immaculé
    semblait nous inviter à monter
    Jusqu’au sommet afin de profiter de la vue sur l’ensemble de la chaîne de montagne.
    Nous sommes partis très tôt ; le pas léger; le cœur alerte.
    Nous avions allégé nos sacs au maximum.
    Pareil à des gazelles nous franchissions rochers, torrents.
    Mais vers onze heures la fatigue commençait à nous assaillir.
    Vers onze nous avons déjeuné dans une joie non contenue sous un soleil de plomb
    Le rosé tavel que nous avions emmené aidait à la détente.
    Nous avions aussi emmené de la charcuterie locale; et pour finir une petite mignonnette de cognac.
    Puis avons repris notre randonnée. Le rythme se ralenti prodigieusement
    Au-dessus de nos têtes Les nuages se sont réunis deux à deux.
    Puis comme au concert, ils se sont agglutinés ne laissant aucune once de bleu.
    Aussi compacte qu’une foule en panique.
    Au loin nous entendions le tonnerre grondé.
    L’air devint pesant ; nos corps moites.
    Autour de nous aucun refuge.
    Tout à coup un hurlement se fit entendre
    Une lumière fait d’éclat d’argent troua les nuages.
    Un objet aux formes inconnues, aussi gros qu’un terrain de foot semblait
    Flotter aussi élégant qu’une libellule.
    En à peine une seconde il repartit dans un éclair blanc.
    Inquiet autant que ravi nous sommes descendus rapidement dans la vallée.
    Le ciel devint à nouveau d’un bleu immaculé.
    La terre semblait aussi sèche qu’auparavant.
    A bout de souffle, transpirant ; les yeux hagards d’avoir tant couru. Nous racontâmes au village notre épopée. Mais chacun allait de son bon mot
    Pour tourner notre histoire en dérision.
    Depuis nous partons en excurtion sans aucun alcool. Malheureusement ce phénomène ne c’est jamais reproduit.

  23. Une aurore boréale Johal, c’est comme un Picsoutier (voir definition dans le dictionnaire de l’Oeil Ouvert. sauf que c’est mille fois mieux)
    Quand on la voit, on flotte; on s’en va s’en vient; on flotte car on n’en croit pas ses yeux. Puis on réalise que c’en est une. C’est alors le plus beau spectacle qui soit, créé avec une telle « minution » que la vie pour celui qui la regarde s’arrête pour un moment d’extase.
    Merci à tous pour ce merveilleux moment.

  24. Maria-D : tu as eu une super idée de poster ce beau poème sur le thème de l’aurore boréale, il me plait beaucoup !

    … Moi aussi, j’aimerais admirer ce spectacle
    de la nature… peut-être un jour ?

    et maintenant, le petit « hors sujet du soir » :

    Un coucou coco à Gokuyoko
    Un coucou paella à Maria
    Un coucou pistache à Bourrache
    Un coucou caramel mou à Lou
    Un coucou de toon à Brigetoun
    Un coucou des bois à François
    Un coucou au foie gras à Nigra
    Un coucou magique à Annick
    Un coucou cordial à Johal
    Un coucou éclair à Jeandler
    Un coucou par milliard à Regard
    Un coucou montagnard à Aspe
    Un coucou de marque à Marc
    Un coucou féerique à Monique
    Un coucou véritable à Ossiane

    Y’a plus personne ?

    Et…. Biseeees du soir !

  25. coucou tchintchin à Christine

    et

    coucou rigolo à chaque nouveau

    coucou coucou coucou, je l entends à longueur de journée dans le bois derrière…

  26. Et que longtemps encore chante le coucou, clin d’oeil à plume au ton chantant dans le petit bois derrière chez toi…..Annick
    Joli poème de William Chapman mis en lumière par toi Maria
    merci aux petits « coucou » de Christine qui résonnent et galopent sur le dôme noire des montagnes en polyphonies corses
    ___

    L’éclat d’un nuage surgissant du gouffre de la terre
    Sous le jet incessant de la bruine légère
    Caresse le dos courbé de la montagne noire
    D’un geste ample le voile recouvre les vagues de la terre
    Dans l’épaisse blancheur de l’aurore naissante
    Oh douceur de la brume effleurant la terre
    Dans le temps suspendu entre l’aube et la nuit
    Image de pureté ou spectre de la mort
    Ange ou fantôme en égale beauté
    Je savoure votre silence dans la fraîcheur matinale
    ___

    Bonne soirée et bonne nuit à tous

  27. Coucou à tous bisou fou de vous!
    Marc, oui en randonnées, évite d’être saoul!
    Jolie, l’image de la baleine Shaggoo.
    Et comme je ne dors pas encore, je veille sur vous.
    Happy few coucous
    Lou

  28. coucou lou coucou et bonne fin de journée, ça roucoule assez à voix haute-;) ici à cette heure les « coucou », les tourterelles et bien d’autres encore font silence, y-t-il ces chants d’oiseaux autour de toi ? Bise

  29. lire  » Lou  » pour lou, tu vois tu n’es pas la seule en matière de fautes à vouloir systématiquement corriger, c’est le souci du vouloir bien faire sans doute-;)

  30. T’en fais pas pour ça Monique avec ou sans la majuscule, je ne change pas !!
    Excuse-moi, je m’étais assoupie et même endormie un peu. J’avais besoin de rattraper un peu de sommeil et fais donc une piètre gardienne. Ici il y a des oiseaux de toutes sortes, et Coucou en anglais familier = fou !!
    Viens faire un brin de causette si ça te dit un de ces jours .
    Bisou

  31. Une lentille ivoire comme dans un couloir
    inonde de lumière, surintensité saisissante
    et contraste accusé, mais est il l’heure se se lever.

    Noir et blanc, ombre évanescente, glissant dans la descente
    doucement vers la plaine.

    je suis resté scotché devant la beauté insoutenable
    du paysage lentement révélé

    Pour les aurores plus besoin d’être hyperboréens d’ici quelques…
    dizaine de milliers d’années, en effet dans un cycle de notre dynamo
    terrestre, notre noyau liquide qui induit le champs magnétique
    il y a tout les quelques centaines de milliers d’années une inversion
    de polarité qui fait basculer les pôles nord et sud magnétiques
    en les intervertissant peu ou prou. Ceci est tracé dans les matériaux épandus au niveau des dorsales médiocéaniques, alternativement polarisés dans un sens puis dans l’autre. Or l’anomalie de l’atlantique sud
    au large du brésil et de l’argentine est le signe que dans un avenir
    pas si lointain nous passerons par un stade multipolaire qui va annuler
    quasiment le champs et du coup les particules du vent solaire ne seront
    plus précipitées comme dans un entonnoir aux plus hautres latitudes
    mais le phénomène lumineux provoqué par cette interaction avec l’atmosphère
    sera visible de beaucoup plus d’endroits, là où ces protons et électrons notamment s’enrouleront autour des lignes de champs. Seul inconvénient
    la réduction d ela magnétosphère ne nous protégera plus guère contre le vent solaire et les éruptions cataclysmiques et gare aux UV, mais il y a encore du temps avant de se mettre aux abris.

    Un peu long sans doute, mais je n’ai pas résisté, comme les connaissances
    sur le noyau, sa composition et les phénomènes qui s’y passent a progressé
    on en saura peut être plus dans quelques temps.

    Bonne journée à tous, on se souhaite plus de calme car la gréle ici à fait de sacrés dégats.

  32. Merci à Maria pour le texte de Chapman
    à chistine pour ton diaporama
    à Monique pour ton jolie texte

  33. Coucou fleuri à Thierry !

    Pas de grêle ici, juste la pluie et le grondement du tonnerre, il va falloir encore « vider » la carrière !

    * * * * * * *

    Voile solaire
    Pour voyage interstellaire
    Passagers de l’œil Ouvert
    Sous la voûte étoilée
    Protégés par le dôme de cristal
    Voici votre ticket d’entrée
    A bord du Papillon des Etoiles !

    Le voyage sera long,
    Très long, très très long,
    Des milliers d’années
    Quant à la destination,
    Vos descendants lointains
    En verront seuls la réalisation…

    Ossiane, notre joyeuse reporter poète,
    Photographe enthousiaste et géniale
    Va pouvoir continuer à nous faire rêver
    Le voyage ne fait que commencer !

    * * * * * * *

    (bon programme en perspective)
    Et bon w-end à tous)

    PS : ci-après, la maquette déjà bien développée de ce futur Papillon, imaginé par B. Werber !
    (encore une fois, j’ai trouvé ça par hasard )

    * * * * * *

    http://www.mucuscorporation.net/werber/PDE/PDE.htm

    * * * * * *

    Biseeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeeeeeeeeeeeeeeee

  34. La nuit drapait les montagnes noires .
    Le ciel pendant nos heures de sommeil avait tissé un manteau blanc
    Royale.
    Nous nous étions levés très tôt ce matin là.
    Les étoiles scintillaient dans le ciel de Zinc.
    La musique du silence enveloppait nos coeur.
    Au loin le soleil comme une allumette se mit à embraser l’air.
    Et le feu du ciel se mit à illuminer de ses couleurs diaphanes la terre blanche et froide.
    Et comme un feu ardent les flammes émeraudes dansaient dans le désert de silence.
    Cette lumière Cristalline se reflétait dans le lagon bleu de tes yeux.
    Nos mains se frôlèrent et se joignirent devant se spectacle intemporel.
    combien de temps sommes nous restés à admirer ce spectacle?
    quelques secondes , quelques heures?. qu’importe! cela parait une éternité.
    Puis le temps repris sa course au galop semblant vouloir rattraper son retard.
    Et la lumière ondulant comme un linge au vent , se détacha de la terre et devint transparente. légère commeune aile de libellule elle s’éleva dans le ciel et disparu.
    Nos âmes , réchauffées par cet âtre irréel,
    étaient exposé nues aux regards fières des montagne devenues blanches.

  35. Dans le soleil du jour, je voguais dans la nuit et la vue était belle !
    je retourne me coucher.
    bisous

  36. La terre était encore sombre
    dans son manteau de nuit
    et son lourd châle d’ombres
    du ciel une lumière a lui
    un souffle de blancheur éthérée
    dans l’azur ouvrant une trouée
    pâle clarté dans les nuages
    annonçant la gloire du réveil
    quand il sera midi au large
    sur la mer saoule de soleil

  37. Et tout en haut des cimes
    Si douce apparition
    Que cette nébuleuse
    De bel gaz d’éther
    Tendre et doux délicat
    L’esprit s’envole dans ses bras

  38. Je les entends pépier
    C’est eux qui me réveillent
    Ils sèment et c’est céleste
    Leurs doux gazouillements

    Passeraux, passerelles
    ou pigeons voyageurs
    Oiseaux de Richepin
    Migrateurs de Perrin

    Je saisis les beaux chants
    La langue universelle
    De la nature Eden
    Qu’il nous faut préserver

    Ils chantent par vos mots
    Le joyau ou le graal
    Ou l’aurore boréale
    Et vos coeurs sont si grands

  39. Les images et le haïku d’Ossiane où le blanc et le noir trouvent un éclat exceptionnel viennent prolonger mes propos sur l’Alchimie évoquée dans la note précédente, et m’a donné l’envie de relire Marguerite Yourcenar dans l’Oeuvre au noir .
    Ils m’ont inspiré ces trois haïkus comme ces trois stades en alchimie, l’oeuvre noir, blanche et rouge qui ont fait couler tant d’encre pour avoir souvent confondu alchimie avec magie ou autres croyances…
    ___
    La transmutation
    Vers la pierre philosophale
    L’oeuvre au noir, au blanc

    Stade de l’oeuvre rouge
    L’accomplissement final
    Vers l’évolution

    L’explosion solaire
    La découverte du monde
    Richesse intérieure

    ___

    anecdote, je viens d’aller voir une exposition à l’occasion des journées européennes du solaire , avec la présentation des atouts de l’énergie solaire pour éviter l’émission de gaz à effet de serre.

  40. Lou
    Toute musique vient elle d’un gazouillis d’oiseaux est en effet universelle, j’aime comme toi Lou le chant des oiseaux, les seuls qui sont autorisés à me réveiller à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit, j’aime particulièrement le cri de la chouette effraie la nuit, la Dame blanche, un petit village du Gard lui a offert un nom de rue, joli non ?

  41. Monique , tu m’as fait faire des recherches !! Mais quel plaisir encore…
    On découvre tant de choses 😉

  42. Cela dit Monique, et toujours par rapport à ce cri de chouette, je n’aime pas trop la mort et ne la souhaite à personne. La souffrance en est une et elle tue doucement. Pourquoi nous la donnerions, elle s’inflige d’elle-même à ceux qui la recherchent …

  43. D’ailleurs je pense là à Icare quand il se brûle les ailes! C’etait un drôle d’oiseau beau et c.. à la fois…
    Mais nous ne serons jamais que des humains, hein 😉

  44. avec des rêves d’humains. Et nous ferons des bêtises encore.
    Restons donc vigilants pour faire triompher le bon en nous…
    bisou et bon week end

  45. Lou

    Quand je parle de la Chouette effraie appelée aussi Dame Blanche au regard de sa belle « robe » je ne faisais référence qu’à ce bel oiseau uniquement et non à sa mauvaise réputation quant à son cri, si tu veux parlons de la Hulotte dont le cri est peut-être plus sympa, je ne suis pas grande experte en matière de cris de chouette et de hibou-;) En ce qui concerne la mort, bien d’accord avec toi, hélas mille fois hélas nous la cotoyons malgré nous. Bises

  46. Chacun invente l’autre rive. Imagine un espace inconnu qui tiendra ses promesses. On se retouve à l’embarcadère, transis d’angoisse. Face à l’ombre qui désigne d’un geste où prendre place. L’ombre déjà nous guide. Nul ne parle; de peur de faire basculer l’esquif dans les ténèbres.
    Le passeur s’est avancé trop loin. Par quel élan poussé ?
    Il a franchi les limites; perdu ses repères .
    Il ne reste que les rameurs et leur propre rumeur.

    J.M Tixier / Les Silences du passeur
    ..
    Agréable week end à chacun

  47. Pardon Monique, j’ai dû y aller un moment et n’ai pas pu te répondre tout de suite. Ok pour chouette ou hulotte, t’as raison de t’attacher à sa beauté, plutôt. Moi en faisant des recherches, je pensais que tu parlais de son symbolisme. Eh, je suis pas spécialiste de cri non plus !!
    Devant la mort qui s’impose sans qu’on le désire, il y a toujours la vie qu’on peut trouver ailleurs pour ne pas se laisser aller au chagrin… et vive la joie! ;))) Dommage que tu ne sois pas à côté, on serait allées s’amuser un peu.
    Bisou bien fort

  48. Quel dommage d’ associer les gentilles chouettes a toutes ces balivernes que croyent les braves qui n’ en peuvent plus de ces croyances.Quelle espéce dans la nature se sentirais pret a nous extourbir ???
    J’ ai vécue avec bcp de gens de toutes croyances confondues mais jamais nous avons eut de telles questionsLes animaux enfin tout ce qui peut vivre n’ est pas la pour détruire l’ autre.Monique et Lou écoutés bien les oiseaux vous verrez tout ce que l’ on reçoit d’eux .Ne m’ écouyez pas mais ouvrez grandes vos oreilles.Cela est si beau le chant du rossignol etc…………….bonne nuit.Noisette.

  49. La chouette symbolise le savoir = nous la trouvons comme sigle des libraires
    Da,s la symbolique bretonne =la dame blanche signifie que l’ on arencontrer La Mort
    si une femme que nous avons croisée était de blancvetue= prenons bien garde si ce n’ est nous ce sera un de nos proche.
    Personnelement le blanc ne me fait aucun effet inquiétant.Pas plus que je pense que l’ on puisse avoir une influence sur moi.

    Enfin je trouve dommage de parler ainsi de  » Dame Nature  » que dirait le Petit Povrello.
    Bonne nuit a vous Noisette.

  50. D’accord avec toi, Noisette. Tu sais, je ne suis pas superstitieuse du tout et quand j’étais jeune , je faisais exprès de passer sous des échelles, ouvrait mon parapluie à la maison… parce que je crois qu’il n’y a pas plus grosses balivernes.
    Quant aux info sur la chouette, je les ai trouvé sur internet en cherchant à son cri. Voilà tout. Et vous avez raison, c’est chouette les dames blanches et les rossignols encore plus et les colibris c’est chou !

  51. Lou
    Comme tu n’étais pas près de moi, je suis allée à un petit concert de jazz sans toi, et comme cela fait du bien de rire je me suis prise d’un fou rire à la sortie qui valent tous les remèdes du monde.
    Noisette tu as raison, baliverne que tout cela.
    Si nous trouvons la chouette comme sigle des bibliothèques, elle n’est pas seulement le symbole du savoir mais aussi de la Sagesse selon les mythologies grecque et romaine.

    Bonne fin de soirée et Bonne nuit Lou et Noisette je vous embrasse.

  52. Je ne dors pas… par la fenêtre une douce lumière…c’est la lune…la lune blanche sur le drap noir de la nuit comme une présence dans l’immense silence…..

    Quand le blanc et le noir se côtoient
    Quand le ciel et la terre se frôlent
    Quand le jour et la nuit se succèdent
    Le YIN et le YANG s’épousent
    En tenue d’apparat
    Respectueux l’un de l’autre
    Sous le regard des muses attendries
    Dans le spectacle pyrotechnique de Dame Nature

    la lune est splendide dans son halo de brume…

  53. Ce soir les oiseaux dorment ,les chats méditent sans aucun doute et les crapauds silencieux .Pas de vent mais des trombes de pluieLa nature est fatiguée peut être de nous .La nature ce n’ est pas  » tout le monde il est beau  » non ce n’ est que la Jungle et ce qui n’ est pas mangé avalle tous les autres.Souvent les personne disent la Nature cela console.Moi je pense qu’ elle ne fais pas de cadeau a nous de vivre ce que nous avons de Vie.
    Quand la Nature me réconcilie avec ce qui fait mal nous faisons partie de cet Univers.Nous avons perdus bcp de notre coté animal enfin je pense être assez loin de Mme de Croc -Magnon .Comme chante Juliette en parlant de sa fille un peu bipéde un peu ?? qu’ elle nous parles de ses beaux dessins sur les murs Bon il est tard ,bonsoir et e m’ envais « Luna rosa reine des… » et je remonte le temps Je ferme et dort.Noisette.

  54. Hey Miss Monique, heureuse de voir que tu as eu du fun 😉 même sans moi!!
    Elle est jolie ta lune blanche sur le drap noir et l’harmonie générée par cette vision donne un sentiment de paix.
    Bisou à toi et à Noisette.
    Bon dimanche à l’équipage et au capitaine.

  55. D’un splitch de vie
    Tout blanc
    Le ciel parfume la terre
    Qui éternue de ses aises
    Et se danse pétillante
    Son noir

  56. Dôme d’étoiles
    Dôme de toile
    Dôme de verre
    Sous le Dôme
    La Terre
    Sous cloche

    et poussent les salades !

    Biseeeeees du dimancheeeee

  57. heureusement les mots sont là, car de la couleurs ils mettent sur les photos…
    bon dimanche ensoleillé à tous…

  58. C’est en lisant Sabine que me sont venus ces mots :

    Sur la photo plombée de gris
    Mise en relief un vendredi
    Je clique en bougeant la souris
    mais rien ne change et je m’écris

    Où êtes vous donc les couleurs ?
    Peut être caché à l’intérieur
    De tous ces mots posés plus hauts
    Qui parlent de chouettes et puis d’oiseaux

    J’ai pris les mots comme un manteau
    Pour qu’ils me couvrent et me tiennent chauds
    Puis j’ai secoué l’ordinateur
    Pour qu’il libère toutes les couleurs

    Rien n’y faisait et par dépit
    J’ai déployé le parapluie
    En y laissant couler le gris
    Quand dans mon cœur déjà réjoui

    Un arc-en-ciel est apparu
    Un peu frileux et presque nu
    J’ai enlevé mon pardessus
    Cousu par tous vos mots émus

    Et la photo s’est colorée
    De tous les mots qui, délivrés
    Sautaient, riaient allègrement
    Moi j’ai souri comme un enfant

  59. !
    Sur le —-
    D————-
    O——————-
    M——————–
    E————————-
    ——————————
    Du parapluie tout gris —–
    Se déplient des mots jolis jolis
    Et coulent les lettres
    En
    P
    L
    U
    I
    E
    !
    : )
    :—–)

  60. Je continue sur les pas de rachel
    Encore à moitié endormi,
    je monte dans des mots du printemps,
    je glisse alors
    et puis reglisse
    pour atterir
    radieux
    dans le picsoutier*
    de l’arc en ciel.

    *Toujours utiliser les mots nouvellement appris pour ne pas les perdre en chemin))

  61. la terre s’est recouverte d’un voile
    et de sa beauté ne reste que des ombres grises
    qui ondule doucement sous l’effet du vent!
    une trouée nous dévoile à peine son âme !
    je rêve de se jour ou elle pourra se découvrir
    et diffuser ses couleurs,son parfum subtil
    sans attiser le désir incontrôlable de l’homme!

  62. hello Marc, on splash dans des mots colorés et c’est super rafraichissant, come on in… et puis venez tout le monde, Noisette êtes-vous là…allez cool woooooow

  63. Je crois que je vais me remettre à chanter au risque de provoquer la pluie, mais bon les pluies de mots sont douces. Elles ne nous feront pas de mal… au contraire.
    Oh la la « toboggan », excuse-moi, d’arracher ainsi ton g.

  64. Quoi vous me réveillez et puis après vous disparaissez !! Alors les mots, les pluies, on se bouge!!!!!!!!!!

  65. hello, Lou, non tu nest pas toute seule, nous ne sommes pas bien loin… vive la magie du net, et Ossiane qui nous permets de jouer avec les mots…

  66. Sous la montagne noire
    Vivait un montagnard
    Surnommé « binoclard »

    On se moquait de lui
    Et les plaisanteries
    Fusaient à l’infini

    Et puis vint un beau soir
    Où déboulèrent braillards
    Des gars au désespoir

    On a perdu Raoul
    Oh aide-nous sois cool
    Tiens ! tu manges de la s’moule

    Et le p’tit binoclard
    Eut un sourire bizarre
    Un peu jubilatoire

    J’vais aller le chercher
    Si vous me promettez
    De cirer mes souliers

    Les gars qu’étaient pas fiers
    Jurèrent par ciel et terre
    De pu lui faire misère

    Le petit binoclard
    Qui voyait dans le noir
    N’était pas pétochard

    Il ramena l’Raoul
    Qu’avait la chair de poules
    Et de vilaines ampoules

    Et depuis ce jour là
    C’est Monsieur Binoclard
    Qui vous dit bien l’bonsoir

  67. On pense à Lou si elleveut prendre un thé .Elle sera la bienvenue A tout de suite
    Mais nous n’ avons pas de soleil Noisette

  68. Hey, j’étais retournée dans mon lit faire un peu de grasse mat. Contente que vous soyez là. Sabine, tu es très drôle.
    Le thé avec vous, je le prends avec plaisir !! Vraiment il embaume. Vous n’avez pas de soleil??
    Mais c’est VOUS le soleil !!
    Et ce thé est si bon à un clic de souris …(ou de sourire)
    Purée les hors sujets!! C’est la faute à Christine, c’est elle qui nous entraine dans ces eeeeeeee de folies.

  69. J’ai dit « Sabine » , je voulais dire Rachel. Pardon je suis encore toute sonnée de sommeil.

  70. Moi, qu’ai je fait ?

    Rachel m’a tendu le parapluie humide
    Et j’ai rebondi sur la toile tendue :
    Elle est si lisse que je patine
    En glissades de mots,
    Lettre après lettre,
    les eeeeeeeeeeeeeeeee
    font la savonetteeeeeee !
    Et ça dérappe sec !

    (hors-sujet ???)

  71. Où est-ce que vous voyez de la pluie sur ces photos d’Ossiane hein?
    Remarque dôme et parapluie, on peut faire la connexion ! Et vive la liberté )))))

  72. Et puis c’est la voute de cristal qui s’est brisée pour libérer les mots en pluie. Ben oui, pas de hors sujet en vue. On est bon. yahoooooooo !

  73. je pars juste quelques heures cet aprem et je retrouve en dessous de ce dôme, une cathédrale fort belle de mots rigolos….
    BELLE SOIREE!

  74. Hey te revoilà Annick papillon arc en ciel, tu fais bien de dire le mot « DOME » pour qu’Ossiane sourit. Car, nos commentaires, en principe doivent rester connectés au dôme !! pour aujourd’hui du moins !

  75. Reçu un « e » sur la tête
    Ça doit être l’amie Christine
    Qui m’a cogné la binette
    J’croyais qu’on était copine

    Voilà que déboule la Lou
    En ouvrant grand son pépin
    Elle me dit « tu m’cherches des poux »
    Lui répond « j’en vois aucun »

    Voilà notre amie Annick
    Qui arrive inopinée
    Elle s’met à lancer des piques
    Elle est très forte au lancé !

    Puis nous rejoignent Thierry
    Monique, Noisette et puis Marc
    Dans un jeu qui nous réjouit
    « Mes amis allons au parc »

    Si nous appelions Ossiane
    Qu’elle vienne nous retrouver
    « Je la vois là sur la lianne »
    Nous sommes tous bien déjantés

    Chacun s’est réconcilié
    Lou et moi et puis Christine
    Y’a un « e » qui est r’ tombé
    Mais on est resté copine

    Nous sommes tous regaillardis
    Contents de s’être trouvés
    Et c’est la mine épanouie
    Que nous allons nous quitter

    Christine repart vers Toulouse
    Et les autres vers leurs ailleurs
    Ça y’est je crois qu’jai le blues
    Eh tout l’monde…………… « a tout à l’heure » !

  76. Rachel spécialiste de poème rigolos
    Cheminait acrobate entourée de dingos
    Elle avait rappelé des noms
    La troupe d’artiste et puis laissé tombé un e sans son prénom
    Bien sûr, décalage horaire aidant
    Je me trouve bien souvent
    à l’arrière du navire ou alors bien à l’avant
    Je ramasse donc le e avant de repartir
    Et puis comme convenu,sous le DOME le pose.

  77. Sur un simple fourreau
    De pure soie laquée noire,
    Un vague imbroglio
    De mousseline ivoire
    Pour unique joyau,
    Elle ne porte aucun fard.
    La belle soprano,
    De la voix, du regard,
    De quelques trémolos,
    Sous les néons blafards
    De ce vieux casino,
    Embrase mon cafard.

  78. D’accord c’est parti en vrille
    J’ai le stylo qui s’tortille
    C’est que je n’aime pas le gris
    J’ai le cœur qui s’rabougri

    La photo est magnifique
    Le gris est vraiment le hic
    Il est temps que je me taise
    mais je joue à la punaise

    Je vous dis quand même bonsoir
    Dormez bien comme des loirs
    Peut être pas Lou à cette heure
    Vous êtes tous chers à mon coeur

    Et Phil alba
    t’es pas là ?

  79. Joli numéro d’équilibriste
    Sous le DOME céleste
    Rachel jongle sur son fil,
    Elle est très forte à ce p’tit jeu

    Elle ne jongle pas avec des cerceaux,
    Ni avec des balles,
    Ni avec des massues,
    Ni même des chapeaux…

    Elle jongle avec mes …

    E e e e e e e e e e e e e e

    Et mes e montent dans le ciel
    Et retombent dans ses mains
    Elle les relance de plus belle
    Me les renvoie, c’est tellement bien !

    Et toute la troupe s’y met joyeusement :
    Farandole de

    E e e e e e e e e e e e e e

    Qui passent de main en main,
    Et jamais ne s’arrêtent,
    Cascade de eeeee
    Sous le DOME céleste

    C’est la fêteeeeee !

  80. Sur le dôme éternel
    Quel bel endroit
    Pour dire je t’aime
    Avec des eeEeEEeE
    Des bulles d’OoooOO
    Sur le bel doOoomEEeE
    Je te serre
    Mon amour

  81. Dans la beauté de ton âme
    Dans les senteurs de ta peau
    Dans l’abandon qui me charme
    Dans ton souffle qui me tient chaud

    Dans tes silences ravageurs
    Dans nos colères respectives
    Dans nos tréfonds intérieurs
    Dans nos humeurs invectives

    Dans la douceur de tes bras
    Dans les frissons qui me brûlent
    Dans mon amour qui se noie
    Dans nos nuits sans préambule

    Tu es mon dôme
    Ma cathédrale à moi
    Celui quon nomme

    Mon amoureux ma foi

  82. Sur la voûte de cristal
    Ils ont posé leur haine
    Ils ont craché leur venin

    Ca dégouline de partout
    Sous le poids de leur violence
    La voûte se craquelle

    Tout est si doux
    Tout est si tendre
    Au-dedans pourtant

    De toute mes forces
    De toutes mes ondes
    Je tends les cordes

    Charpentes de Vie
    La voûte tiendra
    Et les protégera

    Sous la voûte de cristal
    Lui et Elle retrouveront la lumière
    Lui et Elle danseront sur les cordes

    Amour contre stupidité…

  83. sympa les ami(e)s, je lançe un mot, , et vous laissent ensuite travailler, faut dire que vous êtes bien meilleurs que moi pour jouer avec les mots, et surtout avec les conjugaisons, et l’orthographe, mon gros point faible… si vous avez besoin de soleil, je vous en donne, chez moi il ne manque pas… encore merçi, au hasard, pour m’avoir fait découvrir ce blog, un rayon de soleil de plus dans la vie de tous les jours…

  84. Sur le dôme éternel,Quel bel endroit,Pour dire je t’aime, mais je ne peut te le dire, te peur de te perdre…

  85. Je viens à peu prés chaque semaine admirer votre travail, en silence respectueux ! Puis aujourd’hui je me dis, c’est trop bête ! Ne pas laisser un mot pour faire part de mon admiration… Voilà qui est chose faite ! Ce blog est un monde plein de créativité où l’on passe un moment agréable à s’ouvrir l’esprit à l’Art dans toute sa splendeur ! Alors Merci pour ces moments et surtout belle continuation

    Bonne semaine

    Gwen

  86. Je voudrais entrer en contact avec la personne à qui appartient la première photo, j’aurais aimé pouvoir utilisé celle-ci pour illustrer mon mémoire de fin d’études.
    merci d’avance.

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