Lecture du Haïku Calligramme: de haut en bas
Voile solaire
sous la voûte de cristal
la montagne noire
◊ Aux abords de Sartène. Voir la Carte de Corse …
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Lecture du Haïku Calligramme: de haut en bas
Voile solaire
sous la voûte de cristal
la montagne noire
◊ Aux abords de Sartène. Voir la Carte de Corse …
Aube Naissante sur un soleil couchant
le magma d’ébène du noyau terrestre
Arrêté par la gaze du nuage blanc !
Mille excuses, je voulais dire …la gaze du nuage blanc !
Bonsoir ossiane… c’est très beau
Eclats d’écume
Mousseline envolée
Poudre de lune
Oh … puis-je ?
(tout de suite, j’ai pensé aux images d’un faire-part de décès)
Le ciel blanc de son oeil éclaire le visage sombre
Un iris dilaté soleil brillant sur l’ombre
Mais du mont distingué ne parait que du noir
couverture de nuit triste et de lourd désespoir
Et l’oeil ouvert planait dans l’uni vers à voir
Entre nuage et air entre blanc et miroir
Apportant la chaleur aux contrées rencontrées
Farandole de l’amour et de mots enivrés
Etait-ce là Orphée qui errait sous ce mont
Perdu et eperdu en enfer descendu?
La clémence des dieux était-elle attendue?
Et comment expliquer que ce blanc pénétrant
N’allume pas le jour sur la nuit noire souffrant?
Aux mystères d’une photo s’égarait la question.
comme une vapeur de lumière,
comme un sein sur lequel la montagne se pose,
comme un écrin qui en fait un joyau,
comme une promesse de changement de temps
Magnifique, ça change des lumières dures du mois d’Août, je crois reconnaitre la vallée du Rizzanèze en direction de Propriano ?
Dans la clarté de tes yeux
Dans la profondeur de ton regard
Je plonge tête baissée
Explosion de larmes
De bonheur et non de pleur
Eruption solaire
Contre la noirceur du monde
Le vent solaire fera son œuvre
Du magnétisme de cette union
Naîtra l’aurore boréale
Pure feeling
yaouh, c’est tellement joli que je me contente de vous lire, en doux repos des yeux devantla belle photo et les fort jolis mots…yaouh, comme c’est joli!
et déjà m’échappent…
De la montagne noire
Sortents des blanches vapeurs
Si claires immaculées
En ont fait un périple
Pour se vaporiser
Au goût du bel, du bon
Mmmmh de mmhh et comme ça
Et cela sent bon de bon
Tendre éruption passion
Belle volute en ciel
Quel joli horizon
Bien belle journée à chacun, je m’en sors chercher des petites fleurs pour l’intérieur…..au goût de printemps qui piaille ses chants, son rayon de soleil fort et grand hésitant, de la fraicheur encore, comme au plus des cimes, de l’air si tendre et vif, le coeur se vit paisible….
Si mon œil distingue
– ombre et lumière, couleur et absence, l’Autre et son espace séparé
du monde –
l’œil se trompe.
Il n’y a que Toi tranché de Moi
par clin de lettre ;
il n’y a que croix inachevées
blessées par l’œil qui ne voit
que le vide, là où la luxuriance des temps
s’épanouit en silence.
et belle journée à tous 🙂
La pluie en rideau
et surgit la lumière
crève le voile
oeil langoureux
oeil injecté
oeil contenu
sous la joute amoureuse
les lambourdes sèches
projettent le cru du fruit
nue
et pistilée de glaires amères
l’estampe
transparences
pour passer de la vapeur aux brumes
le soleil se colle aux formes généreuses de la montagne
il les encercle dans ses rayons
lueurs
parfumées
du goût des ombres
triomphe des couleurs
et doucement lentement dans un éclat
parfaitement maîtrisé
naît le jour
naît la nuit
étreinte
suave
des désirs de vie…
« » »Magnifique, ça change des lumières dures du mois d’Août, je crois reconnaitre la vallée du Rizzanèze en direction de Propriano ? » » »
Rédigé par: François le jardinier de Marandon amoureux de la Corse
…tu n’es pas le seul…, c’est bien pareil,…quelles merveilles,…
Bonjour les bloggers !
Aujourd’hui, nous allons donc prendre de
L’ALTITUDE, et respirer l’air des montagnes…
Je sens déjà le vent frais sur mon visage !
Cette montagne sauvage,
Emergeant au milieu des nuages,
Toute de noir revêtue
A épinglé son voile de mariée nacré
Pour épouser le dôme céleste des cieux,
Et dans le miroir gris
D’un ciel chargé de pluies,
Elle grimpe son long chemin
Et part vers son destin, si loin,
Sa beauté étonnante et troublante
Nous fait croire qu’elle est vivante !
Moralité :
Mariage pluvieux,
Mariage heureux
Biseeeeeeeeees à la mariéeeeeee
Le rideau s’est levé sur un spectacle grandiose….
Splendeur d’un geyser
Des éclats en noir et blanc
Le bouquet d’étoiles
Fleur sortie de terre
Au pistil d’étincelles
Flash immaculé
D’un manteau de brume
Le ciel inonde la terre
Trainées vaporeuses
La montagne noire s’éveille dans un halo de lumière au sein des cristaux du ciel, sous son duvet de plume , la terre lovée dans sa nuit attend la venue du jour,
la scène a des allures étranges d’explosion, d’une coquille qui se brise, la naissance au premier jour de la création, comme un passage de l’obscurité à la lumière dans le plus grand silence et l’émerveillement.
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* * * * * * Et pour les noces de la montagne, * * * * * *
* * * * * * * Le ciel aussi se pare * * * * * * *
* * * * * * * * * * * * * * De son voile le plus pur * * * * * * * * * * * * * *
* * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * Le plus léger, * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * *
* * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * Finement irisé * * * * * * * * * * * * * * * * * * *
* * * * * * * * * De verts tendres et nacrés * * * * * * * * *
* * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * Magie d’un soir d’hiver, * * * * * * * * * * * * * * *
* * * * * * * * Voici le cadeau astral * * * * * * * *
* * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * De l’aurore boréale ! * * * * * * * * * * * * * * * * *
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A écouter religieusement :
_____
http://fr.youtube.com/watch?v=Pv__nN9P6Bg
_____
>Gokuyoko :
Bonjour Gokuyoko, j’espère que tu vas bien 😉 Ton poème est superbe ; on sent qu’il est sorti spontanément tout droit du cœur. J’aim ces références à la gaze et à l’ébène. Merci pour la beauté de tes mots.
>Maria-D :
Des ambiances comme tu les aimes je crois 😉 Ca se sent dans ton bel haîku vaporeux. Merci et bonne journée.
>bourrache :
Tu n’es pas gaie aujourd’hui 😉 Pourtant, le noir peut être si beau et porteur de sérénité 😉 Regarde les peintures de Soulages et à son outrenoir. Je te renvoie à deux liens http://www.pierre-soulages.com/
http://aphorismes.over-blog.net/article-4411951.html
>lou :
Je n’avais pas pensé du tout à un œil. Voilà une belle idée ! Ton poème concentré sur la blancheur est splendide ! Bravo à toi.
>brigetoun :
Tu vois beaucoup de choses sous ce dôme et c’est si bien dit 😉 Merci Brigitte.
>françois :
Lumière de printemps, François 😉 J’ai pris la photo sur les hauteurs de Sartène. Tu dois avoir raison pour le lieu.
>nigra :
Pure and magnificient feeling, Nigra ;-)) Tu as une capacité incroyable à t’envoler en beauté avec des mots tout simples et de façon concise. Bravo à toi une nouvelle fois, c’est fort !
>annick :
Ouf, je suis contente que tu ne te tois pas laissée effrayer par le noir 😉 Un bel envol de mots entre noirceur et blancheur. Merci pour ta belle plume.
>johal :
Pffiou ! Quelle beauté là aussi ! Une superbe réflexion qui me laisse pantoise ;-)) Jusqu’où irez-vous ? Bises à toi et merci.
>pierre :
Un bel haîku déchiré délicatement par tes mots. Bises vers la Loire.
>regard :
L’œil continue à faire son chemin, chose que je n’avais pas prévue 😉 Un poème oscillant entre colère et amour de façon très originale et forte. Merci regard, bonne fin d’après-midi.
>aspe :
Tant mieux si ça vous plait. Ca fait deux amoureux de la Corse plus Claudie 😉 Un moment quelques minutes avant un très gros orage. Comme souvent ton poème est empreint de sensualité. la nature devient vivante et généreuse sous ta plume. C’est superbe ! Merci aspe.
>christineeeeee :
Bonjour la blogueuse de choc 😉 Bravo Christineeee pour ces belles envolées nuptiales et vaporeuses, un thème auquel je n’avais pas pensé non plus 😉 Merci pour la beauté de tes évocations. Bises.
>monique :
Que des belles choses aujourd’hui dans votre plume voltigeuse ;-)) Le spectacle que tu nous offre est splendide, comme un feu d’artifice. Bravo à toi, je t’embrasse et te remercie.
Emouvant le coeur, et pénétrant l’âme si fort si loin …
Le noeud de la gorge empêche de parler ou d’écrire
Pour Bourrache en faisant suite au commentaire d’Ossiane
« Le noir, c’est, d’un côté, l’extrême, le sombre, il n’y a pas plus sombre que le noir, et, à côté de cela, une couleur lumineuse. Le rapport de ces deux possibilités a fait que je me suis orienté vers cette manière de peindre. »
Pierre Soulages
Bises à vous deux
***
Oui Ossiane… j’aime beaucoup l’atmosphère de cette note…
Un voile nuptial
En lambeaux de crêpe blanc
Et perles de pluie
Vous dites tous de si belles choses, que la plume dans l’air reste suspendue !
Ossiane, merci pour la référence à Pierre Soulages et quel plaisir d’être matelot…
Love
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>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>Pour tous:
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Un petit cadeau de la part de Christine…
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http://www.ossiane.eu/diaporama/nos_aurores_boreales.pps
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L’Aurore boréale
La nuit d’hiver étend son aile diaphane
Sur l’immobilité morne de la savane
Qui regarde monter, dans le recueillement,
La lune, à l’horizon, comme un saint-sacrement.
L’azur du ciel est vif, et chaque étoile blonde
Brille à travers les fûts de la forêt profonde.
La rafale se tait, et les sapins glacés,
Comme des spectres blancs, penchent leurs fronts lassés
Sous le poids de la neige étincelant dans l’ombre.
La savane s’endort dans sa majesté sombre,
Pleine du saint émoi qui vient du firmament.
Dans l’espace nul bruit ne trouble, un seul moment,
Le transparent sommeil des gigantesques arbres
Dont les troncs sous le givre ont la pâleur des marbres.
Seul, le craquement sourd d’un bouleau qui se fend
Sous l’invincible effort du grand froid triomphant
Rompt d’instant en instant le solennel silence
Du désert qui poursuit sa rêverie immense.
Tout à coup, vers le nord, du vaste horizon pur
Une rose lueur émerge dans l’azur,
Et, fluide clavier dont les étranges touches
Battent de l’aile ainsi que des oiseaux farouches,
Eparpillant partout des diamants dans l’air,
Elle envahit le vague océan de l’éther.
Aussitôt ce clavier, zébré d’or et d’agate,
Se change en un rideau dont la blancheur éclate,
Dont les replis moelleux, aussi prompts que l’éclair,
Ondulent follement sur le firmament clair.
Quel est ce voile étrange, ou plutôt ce prodige ?
C’est le panorama que l’esprit du vertige
Déroule à l’infini de la mer et des cieux.
Sous le souffle effréné d’un vent mystérieux,
Dans un écroulement d’ombres et de lumières,
Le voile se déchire, et de larges rivières
De perles et d’onyx roulent dans le ciel bleu,
Et leurs flots, tout hachés de volutes de feu,
S’écrasent et, trouant les archipels d’opale,
Déferlent par-dessus une montagne pâle
De nuages pareils à des vaisseaux ancrés
Dans les immensités des golfes éthérés,
Et puis, rejaillissant sur des vapeurs compactes,
Inondent l’horizon de roses cataractes.
Le voile en un clin d’oeil se reforme plus beau,
Lové comme un serpent, flottant comme un drapeau.
Plus rapide cent fois qu’un jet pyrotechnique,
Il fait en pétillant un sabbat fantastique,
Et met en mouvement des milliers de soleils
A travers des brouillards transparents et vermeils
Comme cristallisés dans la plaine éthérée.
Quelquefois on dirait une écharpe nacrée
Qu’un groupe de houris secouerait en volant
Dans l’incommensurable espace étincelant ;
Tantôt on le prendrait pour le réseau de toiles
Que Prométhée étend pour saisir les étoiles,
Ou pour le tablier sans bornes dans lequel
Les anges vanneraient des roses sur le ciel.
Et la forêt regarde, enivrée, éblouie.
Se dérouler au loin cette scène inouïe ;
Et l’orignal, le mufle en avant, tout tremblant,
Les quatre pieds cloués sur un mamelon blanc,
L’oeil grand ouvert, au bord de la savane claire,
Fixe depuis longtemps l’auréole polaire
Poudroyant de ses feux le céleste plafond,
Et son extase fauve en deux larmes se fond
William Chapman
Christine
Ce sont les plus belles aurores boréales qu’il m’ait été donné de voir…
Merci
C’est très beau, le diaporama, Christine, je l ai vu cet après midi, avec profondeur,
l’amie voisine vient de décéder, et ce diaporama je le serre, comme elle l’aurait regardé avec beaucoup de recueillements,
c’est fort beau, la profondeur de la vie,
et c’est bon de l’approcher car c’est tellement de vie dedans.
elles sont belles tes images, Ossiane,
et il est vrai que cette fois, le noir ne me fait pas mal, je le trouve immense de profondeur,
et avec ce blanc, c’est grand de vie,
du blanc au noir, en passant par tous ses dégradés.
BISES à chacun.
Annick, bises arc en ciel
et Maria, quel beau texte que celui de William Chapman, qui est-il et où peut-on trouver ses textes ?
Au petit matin
quand nous partîmes martine et moi,
le ciel d’un immaculé
semblait nous inviter à monter
Jusqu’au sommet afin de profiter de la vue sur l’ensemble de la chaîne de montagne.
Nous sommes partis très tôt ; le pas léger; le cœur alerte.
Nous avions allégé nos sacs au maximum.
Pareil à des gazelles nous franchissions rochers, torrents.
Mais vers onze heures la fatigue commençait à nous assaillir.
Vers onze nous avons déjeuné dans une joie non contenue sous un soleil de plomb
Le rosé tavel que nous avions emmené aidait à la détente.
Nous avions aussi emmené de la charcuterie locale; et pour finir une petite mignonnette de cognac.
Puis avons repris notre randonnée. Le rythme se ralenti prodigieusement
Au-dessus de nos têtes Les nuages se sont réunis deux à deux.
Puis comme au concert, ils se sont agglutinés ne laissant aucune once de bleu.
Aussi compacte qu’une foule en panique.
Au loin nous entendions le tonnerre grondé.
L’air devint pesant ; nos corps moites.
Autour de nous aucun refuge.
Tout à coup un hurlement se fit entendre
Une lumière fait d’éclat d’argent troua les nuages.
Un objet aux formes inconnues, aussi gros qu’un terrain de foot semblait
Flotter aussi élégant qu’une libellule.
En à peine une seconde il repartit dans un éclair blanc.
Inquiet autant que ravi nous sommes descendus rapidement dans la vallée.
Le ciel devint à nouveau d’un bleu immaculé.
La terre semblait aussi sèche qu’auparavant.
A bout de souffle, transpirant ; les yeux hagards d’avoir tant couru. Nous racontâmes au village notre épopée. Mais chacun allait de son bon mot
Pour tourner notre histoire en dérision.
Depuis nous partons en excurtion sans aucun alcool. Malheureusement ce phénomène ne c’est jamais reproduit.
Merci Christine,
c’est un de mes rêves, voir en vrai une aurore boréale…
Une aurore boréale Johal, c’est comme un Picsoutier (voir definition dans le dictionnaire de l’Oeil Ouvert. sauf que c’est mille fois mieux)
Quand on la voit, on flotte; on s’en va s’en vient; on flotte car on n’en croit pas ses yeux. Puis on réalise que c’en est une. C’est alors le plus beau spectacle qui soit, créé avec une telle « minution » que la vie pour celui qui la regarde s’arrête pour un moment d’extase.
Merci à tous pour ce merveilleux moment.
Merci pour le partage Lou 🙂
Maria-D : tu as eu une super idée de poster ce beau poème sur le thème de l’aurore boréale, il me plait beaucoup !
… Moi aussi, j’aimerais admirer ce spectacle
de la nature… peut-être un jour ?
et maintenant, le petit « hors sujet du soir » :
Un coucou coco à Gokuyoko
Un coucou paella à Maria
Un coucou pistache à Bourrache
Un coucou caramel mou à Lou
Un coucou de toon à Brigetoun
Un coucou des bois à François
Un coucou au foie gras à Nigra
Un coucou magique à Annick
Un coucou cordial à Johal
Un coucou éclair à Jeandler
Un coucou par milliard à Regard
Un coucou montagnard à Aspe
Un coucou de marque à Marc
Un coucou féerique à Monique
Un coucou véritable à Ossiane
Y’a plus personne ?
Et…. Biseeees du soir !
coucou tchintchin à Christine
et
coucou rigolo à chaque nouveau
coucou coucou coucou, je l entends à longueur de journée dans le bois derrière…
Et que longtemps encore chante le coucou, clin d’oeil à plume au ton chantant dans le petit bois derrière chez toi…..Annick
Joli poème de William Chapman mis en lumière par toi Maria
merci aux petits « coucou » de Christine qui résonnent et galopent sur le dôme noire des montagnes en polyphonies corses
___
L’éclat d’un nuage surgissant du gouffre de la terre
Sous le jet incessant de la bruine légère
Caresse le dos courbé de la montagne noire
D’un geste ample le voile recouvre les vagues de la terre
Dans l’épaisse blancheur de l’aurore naissante
Oh douceur de la brume effleurant la terre
Dans le temps suspendu entre l’aube et la nuit
Image de pureté ou spectre de la mort
Ange ou fantôme en égale beauté
Je savoure votre silence dans la fraîcheur matinale
___
Bonne soirée et bonne nuit à tous
Etait-ce déjà la nuit ?
Dans le ciel aquatique, nageait une baleine de lumière…
Coucou à tous bisou fou de vous!
Marc, oui en randonnées, évite d’être saoul!
Jolie, l’image de la baleine Shaggoo.
Et comme je ne dors pas encore, je veille sur vous.
Happy few coucous
Lou
coucou lou coucou et bonne fin de journée, ça roucoule assez à voix haute-;) ici à cette heure les « coucou », les tourterelles et bien d’autres encore font silence, y-t-il ces chants d’oiseaux autour de toi ? Bise
lire » Lou » pour lou, tu vois tu n’es pas la seule en matière de fautes à vouloir systématiquement corriger, c’est le souci du vouloir bien faire sans doute-;)
T’en fais pas pour ça Monique avec ou sans la majuscule, je ne change pas !!
Excuse-moi, je m’étais assoupie et même endormie un peu. J’avais besoin de rattraper un peu de sommeil et fais donc une piètre gardienne. Ici il y a des oiseaux de toutes sortes, et Coucou en anglais familier = fou !!
Viens faire un brin de causette si ça te dit un de ces jours .
Bisou
Une lentille ivoire comme dans un couloir
inonde de lumière, surintensité saisissante
et contraste accusé, mais est il l’heure se se lever.
Noir et blanc, ombre évanescente, glissant dans la descente
doucement vers la plaine.
je suis resté scotché devant la beauté insoutenable
du paysage lentement révélé
Pour les aurores plus besoin d’être hyperboréens d’ici quelques…
dizaine de milliers d’années, en effet dans un cycle de notre dynamo
terrestre, notre noyau liquide qui induit le champs magnétique
il y a tout les quelques centaines de milliers d’années une inversion
de polarité qui fait basculer les pôles nord et sud magnétiques
en les intervertissant peu ou prou. Ceci est tracé dans les matériaux épandus au niveau des dorsales médiocéaniques, alternativement polarisés dans un sens puis dans l’autre. Or l’anomalie de l’atlantique sud
au large du brésil et de l’argentine est le signe que dans un avenir
pas si lointain nous passerons par un stade multipolaire qui va annuler
quasiment le champs et du coup les particules du vent solaire ne seront
plus précipitées comme dans un entonnoir aux plus hautres latitudes
mais le phénomène lumineux provoqué par cette interaction avec l’atmosphère
sera visible de beaucoup plus d’endroits, là où ces protons et électrons notamment s’enrouleront autour des lignes de champs. Seul inconvénient
la réduction d ela magnétosphère ne nous protégera plus guère contre le vent solaire et les éruptions cataclysmiques et gare aux UV, mais il y a encore du temps avant de se mettre aux abris.
Un peu long sans doute, mais je n’ai pas résisté, comme les connaissances
sur le noyau, sa composition et les phénomènes qui s’y passent a progressé
on en saura peut être plus dans quelques temps.
Bonne journée à tous, on se souhaite plus de calme car la gréle ici à fait de sacrés dégats.
Merci à Maria pour le texte de Chapman
à chistine pour ton diaporama
à Monique pour ton jolie texte
Coucou fleuri à Thierry !
Pas de grêle ici, juste la pluie et le grondement du tonnerre, il va falloir encore « vider » la carrière !
* * * * * * *
Voile solaire
Pour voyage interstellaire
Passagers de l’œil Ouvert
Sous la voûte étoilée
Protégés par le dôme de cristal
Voici votre ticket d’entrée
A bord du Papillon des Etoiles !
Le voyage sera long,
Très long, très très long,
Des milliers d’années
Quant à la destination,
Vos descendants lointains
En verront seuls la réalisation…
Ossiane, notre joyeuse reporter poète,
Photographe enthousiaste et géniale
Va pouvoir continuer à nous faire rêver
Le voyage ne fait que commencer !
* * * * * * *
(bon programme en perspective)
Et bon w-end à tous)
PS : ci-après, la maquette déjà bien développée de ce futur Papillon, imaginé par B. Werber !
(encore une fois, j’ai trouvé ça par hasard )
* * * * * *
http://www.mucuscorporation.net/werber/PDE/PDE.htm
* * * * * *
Biseeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeeeeeeeeeeeeeeee
La nuit drapait les montagnes noires .
Le ciel pendant nos heures de sommeil avait tissé un manteau blanc
Royale.
Nous nous étions levés très tôt ce matin là.
Les étoiles scintillaient dans le ciel de Zinc.
La musique du silence enveloppait nos coeur.
Au loin le soleil comme une allumette se mit à embraser l’air.
Et le feu du ciel se mit à illuminer de ses couleurs diaphanes la terre blanche et froide.
Et comme un feu ardent les flammes émeraudes dansaient dans le désert de silence.
Cette lumière Cristalline se reflétait dans le lagon bleu de tes yeux.
Nos mains se frôlèrent et se joignirent devant se spectacle intemporel.
combien de temps sommes nous restés à admirer ce spectacle?
quelques secondes , quelques heures?. qu’importe! cela parait une éternité.
Puis le temps repris sa course au galop semblant vouloir rattraper son retard.
Et la lumière ondulant comme un linge au vent , se détacha de la terre et devint transparente. légère commeune aile de libellule elle s’éleva dans le ciel et disparu.
Nos âmes , réchauffées par cet âtre irréel,
étaient exposé nues aux regards fières des montagne devenues blanches.
Dans le soleil du jour, je voguais dans la nuit et la vue était belle !
je retourne me coucher.
bisous
et la lumière fut !
La terre était encore sombre
dans son manteau de nuit
et son lourd châle d’ombres
du ciel une lumière a lui
un souffle de blancheur éthérée
dans l’azur ouvrant une trouée
pâle clarté dans les nuages
annonçant la gloire du réveil
quand il sera midi au large
sur la mer saoule de soleil
Et tout en haut des cimes
Si douce apparition
Que cette nébuleuse
De bel gaz d’éther
Tendre et doux délicat
L’esprit s’envole dans ses bras
Je les entends pépier
C’est eux qui me réveillent
Ils sèment et c’est céleste
Leurs doux gazouillements
Passeraux, passerelles
ou pigeons voyageurs
Oiseaux de Richepin
Migrateurs de Perrin
Je saisis les beaux chants
La langue universelle
De la nature Eden
Qu’il nous faut préserver
Ils chantent par vos mots
Le joyau ou le graal
Ou l’aurore boréale
Et vos coeurs sont si grands
Les images et le haïku d’Ossiane où le blanc et le noir trouvent un éclat exceptionnel viennent prolonger mes propos sur l’Alchimie évoquée dans la note précédente, et m’a donné l’envie de relire Marguerite Yourcenar dans l’Oeuvre au noir .
Ils m’ont inspiré ces trois haïkus comme ces trois stades en alchimie, l’oeuvre noir, blanche et rouge qui ont fait couler tant d’encre pour avoir souvent confondu alchimie avec magie ou autres croyances…
___
La transmutation
Vers la pierre philosophale
L’oeuvre au noir, au blanc
Stade de l’oeuvre rouge
L’accomplissement final
Vers l’évolution
L’explosion solaire
La découverte du monde
Richesse intérieure
___
anecdote, je viens d’aller voir une exposition à l’occasion des journées européennes du solaire , avec la présentation des atouts de l’énergie solaire pour éviter l’émission de gaz à effet de serre.
Lou
Toute musique vient elle d’un gazouillis d’oiseaux est en effet universelle, j’aime comme toi Lou le chant des oiseaux, les seuls qui sont autorisés à me réveiller à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit, j’aime particulièrement le cri de la chouette effraie la nuit, la Dame blanche, un petit village du Gard lui a offert un nom de rue, joli non ?
Monique , tu m’as fait faire des recherches !! Mais quel plaisir encore…
On découvre tant de choses 😉
Cela dit Monique, et toujours par rapport à ce cri de chouette, je n’aime pas trop la mort et ne la souhaite à personne. La souffrance en est une et elle tue doucement. Pourquoi nous la donnerions, elle s’inflige d’elle-même à ceux qui la recherchent …
D’ailleurs je pense là à Icare quand il se brûle les ailes! C’etait un drôle d’oiseau beau et c.. à la fois…
Mais nous ne serons jamais que des humains, hein 😉
avec des rêves d’humains. Et nous ferons des bêtises encore.
Restons donc vigilants pour faire triompher le bon en nous…
bisou et bon week end
Lou
Quand je parle de la Chouette effraie appelée aussi Dame Blanche au regard de sa belle « robe » je ne faisais référence qu’à ce bel oiseau uniquement et non à sa mauvaise réputation quant à son cri, si tu veux parlons de la Hulotte dont le cri est peut-être plus sympa, je ne suis pas grande experte en matière de cris de chouette et de hibou-;) En ce qui concerne la mort, bien d’accord avec toi, hélas mille fois hélas nous la cotoyons malgré nous. Bises
Chacun invente l’autre rive. Imagine un espace inconnu qui tiendra ses promesses. On se retouve à l’embarcadère, transis d’angoisse. Face à l’ombre qui désigne d’un geste où prendre place. L’ombre déjà nous guide. Nul ne parle; de peur de faire basculer l’esquif dans les ténèbres.
Le passeur s’est avancé trop loin. Par quel élan poussé ?
Il a franchi les limites; perdu ses repères .
Il ne reste que les rameurs et leur propre rumeur.
J.M Tixier / Les Silences du passeur
..
Agréable week end à chacun
Pardon Monique, j’ai dû y aller un moment et n’ai pas pu te répondre tout de suite. Ok pour chouette ou hulotte, t’as raison de t’attacher à sa beauté, plutôt. Moi en faisant des recherches, je pensais que tu parlais de son symbolisme. Eh, je suis pas spécialiste de cri non plus !!
Devant la mort qui s’impose sans qu’on le désire, il y a toujours la vie qu’on peut trouver ailleurs pour ne pas se laisser aller au chagrin… et vive la joie! ;))) Dommage que tu ne sois pas à côté, on serait allées s’amuser un peu.
Bisou bien fort
Quel dommage d’ associer les gentilles chouettes a toutes ces balivernes que croyent les braves qui n’ en peuvent plus de ces croyances.Quelle espéce dans la nature se sentirais pret a nous extourbir ???
J’ ai vécue avec bcp de gens de toutes croyances confondues mais jamais nous avons eut de telles questionsLes animaux enfin tout ce qui peut vivre n’ est pas la pour détruire l’ autre.Monique et Lou écoutés bien les oiseaux vous verrez tout ce que l’ on reçoit d’eux .Ne m’ écouyez pas mais ouvrez grandes vos oreilles.Cela est si beau le chant du rossignol etc…………….bonne nuit.Noisette.
La chouette symbolise le savoir = nous la trouvons comme sigle des libraires
Da,s la symbolique bretonne =la dame blanche signifie que l’ on arencontrer La Mort
si une femme que nous avons croisée était de blancvetue= prenons bien garde si ce n’ est nous ce sera un de nos proche.
Personnelement le blanc ne me fait aucun effet inquiétant.Pas plus que je pense que l’ on puisse avoir une influence sur moi.
Enfin je trouve dommage de parler ainsi de » Dame Nature » que dirait le Petit Povrello.
Bonne nuit a vous Noisette.
D’accord avec toi, Noisette. Tu sais, je ne suis pas superstitieuse du tout et quand j’étais jeune , je faisais exprès de passer sous des échelles, ouvrait mon parapluie à la maison… parce que je crois qu’il n’y a pas plus grosses balivernes.
Quant aux info sur la chouette, je les ai trouvé sur internet en cherchant à son cri. Voilà tout. Et vous avez raison, c’est chouette les dames blanches et les rossignols encore plus et les colibris c’est chou !
je reste sans mot en lisant tes quelques vers. sublime !
Lou
Comme tu n’étais pas près de moi, je suis allée à un petit concert de jazz sans toi, et comme cela fait du bien de rire je me suis prise d’un fou rire à la sortie qui valent tous les remèdes du monde.
Noisette tu as raison, baliverne que tout cela.
Si nous trouvons la chouette comme sigle des bibliothèques, elle n’est pas seulement le symbole du savoir mais aussi de la Sagesse selon les mythologies grecque et romaine.
Bonne fin de soirée et Bonne nuit Lou et Noisette je vous embrasse.
Je ne dors pas… par la fenêtre une douce lumière…c’est la lune…la lune blanche sur le drap noir de la nuit comme une présence dans l’immense silence…..
Quand le blanc et le noir se côtoient
Quand le ciel et la terre se frôlent
Quand le jour et la nuit se succèdent
Le YIN et le YANG s’épousent
En tenue d’apparat
Respectueux l’un de l’autre
Sous le regard des muses attendries
Dans le spectacle pyrotechnique de Dame Nature
la lune est splendide dans son halo de brume…
Ce soir les oiseaux dorment ,les chats méditent sans aucun doute et les crapauds silencieux .Pas de vent mais des trombes de pluieLa nature est fatiguée peut être de nous .La nature ce n’ est pas » tout le monde il est beau » non ce n’ est que la Jungle et ce qui n’ est pas mangé avalle tous les autres.Souvent les personne disent la Nature cela console.Moi je pense qu’ elle ne fais pas de cadeau a nous de vivre ce que nous avons de Vie.
Quand la Nature me réconcilie avec ce qui fait mal nous faisons partie de cet Univers.Nous avons perdus bcp de notre coté animal enfin je pense être assez loin de Mme de Croc -Magnon .Comme chante Juliette en parlant de sa fille un peu bipéde un peu ?? qu’ elle nous parles de ses beaux dessins sur les murs Bon il est tard ,bonsoir et e m’ envais « Luna rosa reine des… » et je remonte le temps Je ferme et dort.Noisette.
Hey Miss Monique, heureuse de voir que tu as eu du fun 😉 même sans moi!!
Elle est jolie ta lune blanche sur le drap noir et l’harmonie générée par cette vision donne un sentiment de paix.
Bisou à toi et à Noisette.
Bon dimanche à l’équipage et au capitaine.
D’un splitch de vie
Tout blanc
Le ciel parfume la terre
Qui éternue de ses aises
Et se danse pétillante
Son noir
Ah Lo, allo la terre, bienvenue à chaque terrien!
Dôme d’étoiles
Dôme de toile
Dôme de verre
Sous le Dôme
La Terre
Sous cloche
…
et poussent les salades !
Biseeeeees du dimancheeeee
Tu me fais rire Christineeeeeeeeeeeeeeeeee, bel dimanche.
heureusement les mots sont là, car de la couleurs ils mettent sur les photos…
bon dimanche ensoleillé à tous…
et la voûte de cristal, se brise …
C’est en lisant Sabine que me sont venus ces mots :
Sur la photo plombée de gris
Mise en relief un vendredi
Je clique en bougeant la souris
mais rien ne change et je m’écris
Où êtes vous donc les couleurs ?
Peut être caché à l’intérieur
De tous ces mots posés plus hauts
Qui parlent de chouettes et puis d’oiseaux
J’ai pris les mots comme un manteau
Pour qu’ils me couvrent et me tiennent chauds
Puis j’ai secoué l’ordinateur
Pour qu’il libère toutes les couleurs
Rien n’y faisait et par dépit
J’ai déployé le parapluie
En y laissant couler le gris
Quand dans mon cœur déjà réjoui
Un arc-en-ciel est apparu
Un peu frileux et presque nu
J’ai enlevé mon pardessus
Cousu par tous vos mots émus
Et la photo s’est colorée
De tous les mots qui, délivrés
Sautaient, riaient allègrement
Moi j’ai souri comme un enfant
!
Sur le —-
D————-
O——————-
M——————–
E————————-
——————————
Du parapluie tout gris —–
Se déplient des mots jolis jolis
Et coulent les lettres
En
P
L
U
I
E
!
: )
:—–)
Je continue sur les pas de rachel
Encore à moitié endormi,
je monte dans des mots du printemps,
je glisse alors
et puis reglisse
pour atterir
radieux
dans le picsoutier*
de l’arc en ciel.
*Toujours utiliser les mots nouvellement appris pour ne pas les perdre en chemin))
la terre s’est recouverte d’un voile
et de sa beauté ne reste que des ombres grises
qui ondule doucement sous l’effet du vent!
une trouée nous dévoile à peine son âme !
je rêve de se jour ou elle pourra se découvrir
et diffuser ses couleurs,son parfum subtil
sans attiser le désir incontrôlable de l’homme!
Joli Christineeeeeeee ! Super les tobogans
hello Marc, on splash dans des mots colorés et c’est super rafraichissant, come on in… et puis venez tout le monde, Noisette êtes-vous là…allez cool woooooow
Je crois que je vais me remettre à chanter au risque de provoquer la pluie, mais bon les pluies de mots sont douces. Elles ne nous feront pas de mal… au contraire.
Oh la la « toboggan », excuse-moi, d’arracher ainsi ton g.
Quoi vous me réveillez et puis après vous disparaissez !! Alors les mots, les pluies, on se bouge!!!!!!!!!!
je n’aime pas les picsoutiers où je suis toute seule. Je vais y aller alors. Ciao
hello, Lou, non tu nest pas toute seule, nous ne sommes pas bien loin… vive la magie du net, et Ossiane qui nous permets de jouer avec les mots…
Sous la montagne noire
Vivait un montagnard
Surnommé « binoclard »
On se moquait de lui
Et les plaisanteries
Fusaient à l’infini
Et puis vint un beau soir
Où déboulèrent braillards
Des gars au désespoir
On a perdu Raoul
Oh aide-nous sois cool
Tiens ! tu manges de la s’moule
Et le p’tit binoclard
Eut un sourire bizarre
Un peu jubilatoire
J’vais aller le chercher
Si vous me promettez
De cirer mes souliers
Les gars qu’étaient pas fiers
Jurèrent par ciel et terre
De pu lui faire misère
Le petit binoclard
Qui voyait dans le noir
N’était pas pétochard
Il ramena l’Raoul
Qu’avait la chair de poules
Et de vilaines ampoules
Et depuis ce jour là
C’est Monsieur Binoclard
Qui vous dit bien l’bonsoir
On pense à Lou si elleveut prendre un thé .Elle sera la bienvenue A tout de suite
Mais nous n’ avons pas de soleil Noisette
Hey, j’étais retournée dans mon lit faire un peu de grasse mat. Contente que vous soyez là. Sabine, tu es très drôle.
Le thé avec vous, je le prends avec plaisir !! Vraiment il embaume. Vous n’avez pas de soleil??
Mais c’est VOUS le soleil !!
Et ce thé est si bon à un clic de souris …(ou de sourire)
Purée les hors sujets!! C’est la faute à Christine, c’est elle qui nous entraine dans ces eeeeeeee de folies.
J’ai dit « Sabine » , je voulais dire Rachel. Pardon je suis encore toute sonnée de sommeil.
Moi, qu’ai je fait ?
Rachel m’a tendu le parapluie humide
Et j’ai rebondi sur la toile tendue :
Elle est si lisse que je patine
En glissades de mots,
Lettre après lettre,
les eeeeeeeeeeeeeeeee
font la savonetteeeeeee !
Et ça dérappe sec !
(hors-sujet ???)
Où est-ce que vous voyez de la pluie sur ces photos d’Ossiane hein?
Remarque dôme et parapluie, on peut faire la connexion ! Et vive la liberté )))))
Et puis c’est la voute de cristal qui s’est brisée pour libérer les mots en pluie. Ben oui, pas de hors sujet en vue. On est bon. yahoooooooo !
je pars juste quelques heures cet aprem et je retrouve en dessous de ce dôme, une cathédrale fort belle de mots rigolos….
BELLE SOIREE!
Hey te revoilà Annick papillon arc en ciel, tu fais bien de dire le mot « DOME » pour qu’Ossiane sourit. Car, nos commentaires, en principe doivent rester connectés au dôme !! pour aujourd’hui du moins !
Reçu un « e » sur la tête
Ça doit être l’amie Christine
Qui m’a cogné la binette
J’croyais qu’on était copine
Voilà que déboule la Lou
En ouvrant grand son pépin
Elle me dit « tu m’cherches des poux »
Lui répond « j’en vois aucun »
Voilà notre amie Annick
Qui arrive inopinée
Elle s’met à lancer des piques
Elle est très forte au lancé !
Puis nous rejoignent Thierry
Monique, Noisette et puis Marc
Dans un jeu qui nous réjouit
« Mes amis allons au parc »
Si nous appelions Ossiane
Qu’elle vienne nous retrouver
« Je la vois là sur la lianne »
Nous sommes tous bien déjantés
Chacun s’est réconcilié
Lou et moi et puis Christine
Y’a un « e » qui est r’ tombé
Mais on est resté copine
Nous sommes tous regaillardis
Contents de s’être trouvés
Et c’est la mine épanouie
Que nous allons nous quitter
Christine repart vers Toulouse
Et les autres vers leurs ailleurs
Ça y’est je crois qu’jai le blues
Eh tout l’monde…………… « a tout à l’heure » !
Rachel spécialiste de poème rigolos
Cheminait acrobate entourée de dingos
Elle avait rappelé des noms
La troupe d’artiste et puis laissé tombé un e sans son prénom
Bien sûr, décalage horaire aidant
Je me trouve bien souvent
à l’arrière du navire ou alors bien à l’avant
Je ramasse donc le e avant de repartir
Et puis comme convenu,sous le DOME le pose.
Bisou, je m’en vais vaquer à mes choses. See you après le dôme.
Sur un simple fourreau
De pure soie laquée noire,
Un vague imbroglio
De mousseline ivoire
Pour unique joyau,
Elle ne porte aucun fard.
La belle soprano,
De la voix, du regard,
De quelques trémolos,
Sous les néons blafards
De ce vieux casino,
Embrase mon cafard.
D’accord c’est parti en vrille
J’ai le stylo qui s’tortille
C’est que je n’aime pas le gris
J’ai le cœur qui s’rabougri
La photo est magnifique
Le gris est vraiment le hic
Il est temps que je me taise
mais je joue à la punaise
Je vous dis quand même bonsoir
Dormez bien comme des loirs
Peut être pas Lou à cette heure
Vous êtes tous chers à mon coeur
Et Phil alba
t’es pas là ?
Joli numéro d’équilibriste
Sous le DOME céleste
Rachel jongle sur son fil,
Elle est très forte à ce p’tit jeu
Elle ne jongle pas avec des cerceaux,
Ni avec des balles,
Ni avec des massues,
Ni même des chapeaux…
Elle jongle avec mes …
E e e e e e e e e e e e e e
Et mes e montent dans le ciel
Et retombent dans ses mains
Elle les relance de plus belle
Me les renvoie, c’est tellement bien !
Et toute la troupe s’y met joyeusement :
Farandole de
E e e e e e e e e e e e e e
Qui passent de main en main,
Et jamais ne s’arrêtent,
Cascade de eeeee
Sous le DOME céleste
C’est la fêteeeeee !
Sur le dôme éternel
Quel bel endroit
Pour dire je t’aime
Avec des eeEeEEeE
Des bulles d’OoooOO
Sur le bel doOoomEEeE
Je te serre
Mon amour
Dans la beauté de ton âme
Dans les senteurs de ta peau
Dans l’abandon qui me charme
Dans ton souffle qui me tient chaud
Dans tes silences ravageurs
Dans nos colères respectives
Dans nos tréfonds intérieurs
Dans nos humeurs invectives
Dans la douceur de tes bras
Dans les frissons qui me brûlent
Dans mon amour qui se noie
Dans nos nuits sans préambule
Tu es mon dôme
Ma cathédrale à moi
Celui quon nomme
Mon amoureux ma foi
Éruption de nuages
vers la lumière et
par le ciel attirés
Sur la voûte de cristal
Ils ont posé leur haine
Ils ont craché leur venin
Ca dégouline de partout
Sous le poids de leur violence
La voûte se craquelle
Tout est si doux
Tout est si tendre
Au-dedans pourtant
De toute mes forces
De toutes mes ondes
Je tends les cordes
Charpentes de Vie
La voûte tiendra
Et les protégera
Sous la voûte de cristal
Lui et Elle retrouveront la lumière
Lui et Elle danseront sur les cordes
Amour contre stupidité…
rideau des astres
sous son dôme de pierres
l’éperon d’ébène
Vapeur de rêve
Sous le dôme de la nuit
Perles de cristal
sympa les ami(e)s, je lançe un mot, , et vous laissent ensuite travailler, faut dire que vous êtes bien meilleurs que moi pour jouer avec les mots, et surtout avec les conjugaisons, et l’orthographe, mon gros point faible… si vous avez besoin de soleil, je vous en donne, chez moi il ne manque pas… encore merçi, au hasard, pour m’avoir fait découvrir ce blog, un rayon de soleil de plus dans la vie de tous les jours…
Sur le dôme éternel,Quel bel endroit,Pour dire je t’aime, mais je ne peut te le dire, te peur de te perdre…
Sabine, pour t’aider, c’est trés utile
ainsi que le correcteur d’ortaugrafe de ton ordi…
….et surtout avec les conjugaisons, et l’orthographe, mon gros point faible…
http://www.capeutservir.com/verbes/verbes.php?verbe=construire
Il est magnifique ton retraitement Ossiane !
S U P E R B E !
Je viens à peu prés chaque semaine admirer votre travail, en silence respectueux ! Puis aujourd’hui je me dis, c’est trop bête ! Ne pas laisser un mot pour faire part de mon admiration… Voilà qui est chose faite ! Ce blog est un monde plein de créativité où l’on passe un moment agréable à s’ouvrir l’esprit à l’Art dans toute sa splendeur ! Alors Merci pour ces moments et surtout belle continuation
Bonne semaine
Gwen
…
la lumière explose
dans le noir de la nuit
plus proche de toi
…
Je voudrais entrer en contact avec la personne à qui appartient la première photo, j’aurais aimé pouvoir utilisé celle-ci pour illustrer mon mémoire de fin d’études.
merci d’avance.