Lecture du Haïku Calligramme: de droite à gauche, arc de cercle
Une suite d’échos
lumière insaisissable
la porte du temps
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Lecture du Haïku Calligramme: de droite à gauche, arc de cercle
Une suite d’échos
lumière insaisissable
la porte du temps
Un arc en ciel est toujours un cadeau! mais des ricochets d’arc en ciel il n’y a que toi pour nous les offrir…
Merci!
Joli retour au calme, l’écho des vagues est beau, le ricochet aussi. Douce sérénité.
__ __ __
Et la ligne se trace
Entre l’or et l’azur
blancheur que l’eau embrasse
Invitant l’écriture
Les vers mouillent leurs pieds
Les mots brassés s’enlacent
La ligne sans papier
A travers l’eau s’efface
Découvrant d’autres lignes
Qui surviennent et s’espacent
La lumière curviligne
marque l’instant qui passe
Bisous à tous
IL est des fois ou la nuit passe vite quand on parle de vieux gréments ,
Les ailes nous poussent et plus rien ne ressemble a rien .
On oublie les choses tristounettes et nous voilà volantes commes nos reves
Plus de frontiére,plus de négritude Aimé les as emmenés et comme dans un gospel
Nous voila chantantes et dansantes ce pourrait être » enterrement de Césaire »
La mort d’un poete est triste mais iL reste avec nous plus proche que vivant.
Ce soir je pense a ces rassemblement ou les gens de l’ assemblée dansaient
Ce soir je suis seule éveillé mon amie dort avec le chat pres d’ elle demain sans doute réveillées par le chahut des chats dans aucun doute je serais éveillée la premiereet de bonne humeur .Et je ne dirais pas que tout de suite j’ ai pensé d’une façon pas triste du tout de la mort du grand poete Peut etre cette réaction parce qu’ il était vraiment « GRAND » A demain .Noisette.
Comme nous parlons des vieux gréments ne pensez pas que je suis une affreuse vielle qui me régale de la poésie qui était bien présente.Entendre chanter les amours de cette époques ou les gens malheureux avaient la chance d’ aimer .Ce n’ étais pas en vers cette poésie mais en « langage coloré » même si ce n’ étais pas forcément bien parlé .Les films de cette époque donnaient l’ idée de ce milieu.
C’ étais une époque ou les gens jouaient aux gendarmes et au voleurs.IL ne faisaient pas » comme si » ils étaient.Pour comprendre il faut avoir « mitonner ou mijoter aveceux » Vieux gréments ,vieux chants de marins ,cantiques a la ste Vierge ,cela était tres vrais la Vierge étaient la femme aimée dans tous ses étatsLa Mere.Fois de ces gens qui avaient une vie si dure Je pense tjs avous Les terre Neuvas Tous ces hommes restes en Mer.IL est tard il faut que me coucheNoisette.
Instants …
instants de beauté –
ce matin dans le ciel devant chez moi, un grand arc-en-ciel s’est formé
les yeux toujours s’étonnent au voir les couleurs dans le ciel.
instants de peur :
cette nuit un tremblement de terre – 5,2 – a touché São Paulo. à 21:05 h -horaire de Brasilia.
L’épicentre au littoral de São Paulo, distant de la plage 270 Km.
La ville entière a senti le tremblement. Je n’ai rien senti, j’habite une maison, mais mes amis et amies qu’habitent des apartaments ont beaucoup senti.
D’autres villes de São Paulo et aussi des villes de Rio de Janeiro ont senti le tremblement.
Les vaguelettes
portent doucement
des morceaux d’arc-en-ciel
jusqu’aux pieds des passants
innocents
«L’image ne peut être étudiée que par l’image, en rêvant les images telles qu’elles s’assemblent dans la rêverie.»
[ Gaston Bachelard ] – La poétique de la rêverie
Bises Ossiane
Le lac
Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages,
Dans la nuit éternelle emportés sans retour,
Ne pourrons-nous jamais sur l’océan des âges
Jeter l’ancre un seul jour ?
Ô lac ! l’année à peine a fini sa carrière,
Et près des flots chéris qu’elle devait revoir,
Regarde ! je viens seul m’asseoir sur cette pierre
Où tu la vis s’asseoir !
Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes,
Ainsi tu te brisais sur leurs flancs déchirés,
Ainsi le vent jetait l’écume de tes ondes
Sur ses pieds adorés.
Un soir, t’en souvient-il ? nous voguions en silence ;
On n’entendait au loin, sur l’onde et sous les cieux,
Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence
Tes flots harmonieux.
Tout à coup des accents inconnus à la terre
Du rivage charmé frappèrent les échos ;
Le flot fut attentif, et la voix qui m’est chère
Laissa tomber ces mots :
» Ô temps ! suspends ton vol, et vous, heures propices !
Suspendez votre cours :
Laissez-nous savourer les rapides délices
Des plus beaux de nos jours !
» Assez de malheureux ici-bas vous implorent,
Coulez, coulez pour eux ;
Prenez avec leurs jours les soins qui les dévorent ;
Oubliez les heureux.
» Mais je demande en vain quelques moments encore,
Le temps m’échappe et fuit ;
Je dis à cette nuit : Sois plus lente ; et l’aurore
Va dissiper la nuit.
» Aimons donc, aimons donc ! de l’heure fugitive,
Hâtons-nous, jouissons !
L’homme n’a point de port, le temps n’a point de rive ;
Il coule, et nous passons ! »
Temps jaloux, se peut-il que ces moments d’ivresse,
Où l’amour à longs flots nous verse le bonheur,
S’envolent loin de nous de la même vitesse
Que les jours de malheur ?
Eh quoi ! n’en pourrons-nous fixer au moins la trace ?
Quoi ! passés pour jamais ! quoi ! tout entiers perdus !
Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface,
Ne nous les rendra plus !
Éternité, néant, passé, sombres abîmes,
Que faites-vous des jours que vous engloutissez ?
Parlez : nous rendrez-vous ces extases sublimes
Que vous nous ravissez ?
Ô lac ! rochers muets ! grottes ! forêt obscure !
Vous, que le temps épargne ou qu’il peut rajeunir,
Gardez de cette nuit, gardez, belle nature,
Au moins le souvenir !
Qu’il soit dans ton repos, qu’il soit dans tes orages,
Beau lac, et dans l’aspect de tes riants coteaux,
Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvages
Qui pendent sur tes eaux.
Qu’il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe,
Dans les bruits de tes bords par tes bords répétés,
Dans l’astre au front d’argent qui blanchit ta surface
De ses molles clartés.
Que le vent qui gémit, le roseau qui soupire,
Que les parfums légers de ton air embaumé,
Que tout ce qu’on entend, l’on voit ou l’on respire,
Tout dise : Ils ont aimé !
A. de Lamartine
Devant tes images, Ossiane, irresistiblement, ces vers sur les lèvres se sont dessinés.
Sublimes, Ossiane, tes images…
La mer d’ Iroise aprés la tempête se repose…
Bruno, qui cherche la couleur, l’a bien senti, citant Bachelard le subtil en images oniriques.
OUI,
Je suis assis là!
J’attends la marée…
Attendre, affaire de temps, de durée peut-être?
Assis, sur le fond.
Le fond de la terre.
Il est fait de sable, tout imbibé d’eau.
Juste à la frontière, où ça va ça vient.
Je pourrais rester ainsi des années.
Je sens l’eau qui monte de vagues ourlées,
J’entends le frou-frou, caresses du large,
Du monde infini.
J’ai le coeur au ciel, le ventre enfoui.
Serpent laminaire,
Je vis avec lui.
Je sait l’eau qui monte,
Les lèvres du chant,
La fraîcheur du rêve
D’être encore enfant.
J’ai l’eau de la mer qui bat dans mon sang,
Ondes oniriques d’écume et de vent.
Je ne bouge pas,
J’attends ce moment…
Le signe divin du regard des autres,
Le lointain voyage du fleuve océan.
J’embrasse l’amour de tous les instants.
Du séjour radieux où naît l’innocence,
La voûte précieuse, or fin d’espérance.
Je vois,
Voile impossible d’horizon.
Avant,
Cette illumination.
Source blonde, bleu regard irisé,
Ourlets de fuites frémissantes.
Où s’ouvrent,
Arche sublime
Où bascule le jour,
Où songe une nuit noire
Annoncée des nuées,
Des ombres menaçantes,
Des regrets de vieillir
De peur des vies absentes.
Assieds-toi.
Je te parle de moi.
Que dis-tu?
C’est le bruit de la mer
Qui couvre le silence?
Le froid de l’eau qui monte…
OUI,
Parle-moi de toi.
La journée s’annonce calme comme cette douce procession de vagues, sous la bienveillance divine d’Iris, déesse vierge de l’arc-en-ciel, j’espère Neyde qu’elle est annonciatrice d’une accalmie des affres de la terre.
___
Savourer l’instant
Sérénité et quiétude
Poésie et douceur
La mer sur le sable posée
Comme un drap de satin
Finement brodé
Les vagues fredonnent
La beauté du jour
Aux couleurs d’arc en ciel
___
« Tu es plaisir avec chaque vague séparée de ses suivantes. Enfin toutes à la fois chargent. C’est la mer qui se fonde, qui s’invente. Tu es plaisir, corail de spasmes. » René CHAR
Bonne journée à tous
En écho à Bachelard et Lamartine, aux mots de Neyde, Noisette , l’arc-en-ciel de Christine, la ligne magique de Lou, les vaguelettes de Jorge et les mots de Bernard…Je cite Baudelaire à comparaître … séance tenante:
–
Homme libre , toujours tu chériras la mer!
La mer est ton miroir; tu contemples ton âme
Dans le déroulement infini de sa lame
Et ton esprit n’est pas un gouffre moins amer.
Tu te plais à plonger au sein de ton image;
Tu l’embrasses des yeux et des bras, et ton coeur
Se distrait quelquefois de sa propre rumeur
Au bruit de cette plainte indomptable et sauvage.
Vous êtes tous les deux ténébreux et discrets:
Homme, nul n’a sondé le fond de tes abîmes;
O mer, nul ne connaît tes richesses intimes,
Tant vous êtes jaloux de garder vos secrets!
Et cependant voilà des siècles innombrables
Que vous vous combattez sans pitié ni remord
Tellement vous aimez le carnage et la mort
O lutteurs éternels, O frères implacables.
CHARLES BAUDELAIRE / Les Fleurs du Mal
–
Belle journée à tous
Monique …nos chemins se sont croisés..:)
comme c’est joli, comme c’est joli, comme c’est joli, comme c’est joli, comme c’est joli….je me dis en défilant chaque photo,
et puis je lis le haiku qui parle d’écho….comme c’est joliiiii….
BISES de mercredi.
Vagues à lames
Arc en plein centre
Ciel de lux
Clin d’œil Bourrache !
Calme plat…
Sur la Grand Mare des Canards !??!!?
Biseeeeeeeees de Christineeeeeeeeeee
J’ai cherché le bouton
Pour ouvrir
La porte du Temps :
RIEN !….
La porte du Temps
Jamais ne s’ouvre
Jamais ne se referme
Et pourtant,
On la distingue parfois
Au loin…
Cet arc-en-ciel,
Arche du temps qui passe
Toujours insaisissable,
Nous montre le chemin…
Et pourtant,
Tel un mirage dans le désert
Il recule à mesure que l’on avance
Il s’efface, gommé par la brise légère,
Puis semble renaître un peu plus loin,
Et semble nous dire :
VIENS !…
Au seuil de la porte du Temps,
Pas besoin de clé,
Elle n’est pas cadenassée,
C’est une porte de lumière irisée
Où l’on passe à travers,
On ne peut l’attraper,
Et pourtant :
On la voit,
Elle est là !
Là !
Là !
Droit devant :
INSAISISSABLE !…
Mais bon sang
Qu’elle est belle !
Biseeeeeeeeees iriséeeeeeeees
Christineeeeeeeeeeeeeeeeeeee
Instant de plénitude
A l’heure de la contemplation
A ce moment précis où tout se fige
La mer, dans ses frondeuses ondulations
S’apaise, après les affres de la tempête
Calme, elle s’étale, dans ses frous-frous
De vagues entremêlées
Sur le rivage, des ondes se rejoignent
Comme des mains serrées
Pour s’être si fort enlacées
Instant suprême de sérénité
Roucoule la mer en un doux chant bercé
Et l’arc-en-ciel du temps
S’ouvre, émerveillé
Devant cette splendide beauté.
Notre coeur à la dérive bat la chamade
De ce trop plein d’émotions
Pour cet instant magique
Où le vague à l’âme se glisse
A pas feutrés
Sur le sablier de l’éternité
Bises, Ossiane et un bonjour amical à tous.
Pensées d’écume pour Neyde
merci à
Ossiane pour ta suite magnifique
Jeandler pour le poème de Lamartine et pour tes textes
ou tu puise l’essentiel
Bernard pour tes textes toujours extraordinaires
Annick pour tes mots merveilleux
Monique pour tes ballades au clair de mots
Neyde pour ton inventivité
Christine pour ton enthousiasme
Phil alba pour ton écriture
Lou pour ta verve poétique
Bourrache ton humour et ta poésie hou hou es tu là?
Noisette pour tes méditations
Thierry pour ta recherche lexicale
Alix pour la beauté de ta poésie
Claudie pour ta sensibilité
Rachel pour son humour décapant
Amichel pour ses textes sublimes
Pierreb pour ton humanité
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Certains jours paraissent gris et monotones ;
mais regardons au travers de l’amour ce miel,
nous y verrons alors de sublime arc-en-ciel
fruit de la nature ou divins songes de l’homme
pensons à ses moments d’éphémères beautés
à ces instants gravés dans notre mémoire
à ses souvenirs qui nous inclinent vers l’espoir
Semblable à des milliers de gouttes de rosé.
laissons la chaleur du cœur s’en emparer
et dissiper la brume de nos âmes attristées
pour laisser place à une lumière irisée
d’où jaillit des nuances si sublimées
Belle journée à chacun
L’écho d’une chanson de Brassens
Me revient en mémoire :
Ossiane à la barre,
Pour naviguer en père peinard…
Sur la grand-mare des Canards !
Un peu à l’image de l’œil Ouvert :
Les Copains d’abord…
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http://www.youtube.com/watch?v=1WFypuRaYc4
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Alors,
Biseeeeees aux copains et copineeeeeeees !
L’éternité, c’est ici.
Posée en respiration
ample et apaisée
la vague s’assombrit
s’ourle et se déroule
à nos pieds câline
se glisse
Dans ma suite déco
Qui était parentale
Mon dieu qu’il faisait chaud
Comme feu de bengale
Lumière insaisissable
Où est l’interrupteur ?
Oh soyez charitable
Car dans le noir j’ai peur
A la porte du taon
J’ai cru pouvoir cogner
Piqué et rougissant
Me voilà tout enflé
Dans ma suite de Caux
Me suis mis à pleurer
J’irai plus dans l’hérault
Font rien qu’à m’embêter
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Lire entre les lignes des vagues. Me lover, foetus, dans les courbures de l’arc. Laisser mousser la saponine en moutons blancs.
Enfin, me suspendre au fil de l’horizon.
Bercée par un imperceptible souffle,
je sècherai mes rêves
de maux
bleus.
Je goûterai à l’océan.
Comme une voile salée.
__
Inspirée (ah, ouais ?) par mon linge que j’ai, profitant d’un brin de soleil, fait pendre au jardin…
Désolée, pour le moment, peux pas mieux faire (je parle de l’écriture … pas du linge !).
Je vous lis avec beaucoup de fidélité. Z’êtes toujours aussi « apaisants ».
Clin d’oeil, sourire et biz chaleureuses à toutes et tous.
___
cela fait plaisir de te relire Bourrache. Il y a comme un vide quand tu n’es pas là. Et heureusement que tu ne peux pas faire mieux car c’est déjà plus que chouette. Au bout d’un moment c’est énervant (sourire)
Et un marché au goût si doux, un repas tendre si apaisé, un aller retour avec un carton porté en duo, cela n’a l’air de rien, mais avec Jean Sébastien, autiste de 21 ans, des perles d’instants moments si longs moments bonheur, et je me plais à me rouler dans ce tendre, et je saisis cette journée, et ………mon coeur garde l’espoir secret de vous revoir…. et je vous lis et vous remercie pour vos instants offerts par vos beaux mots.
Merci Marc, coucou Bourrache, heu? un verre d’eau bien bonne en partage, je me suffis d’une tasse par jour et le coeur se porte bien bel, mais je peux faire du café pour toi et chacun…belle fin de journée.
Les ondes en vaguelettes
Se frissonnent air de fête
Et les vapeurs du temps
Goutelettes un arc en ciel
Instants précieux
Mon arc en ciel
Mon oeil te clique
Un’s’temps des cieux
>Bonsoir à tous et salut amical à chacun
merci ossiane pour ce doux retour au calme
Au large sur cette cornée nuageuse
pas une corvée nageuse
ni une cornue rageuse
s’élabore en palette et en courbe
sur ce dôme diffracté
un bel enchantement
qui nous parle les couleurs de la vie
même si délavées le lavis nous est proche
et ces nappes liquides
qui périodiques
rythment le temps d’ici
nous invitent
nous incitent
à l’ouverture
à la porte des cieux
un sourire
la clé de l’instant
l’enfant sur le sable
le devine
et front baissé
retourne à ses châteaux
de temps
le grand qui l’accompagne
ne voit plus
que des traces
les vagues s’en retournent
et les îles lointaines
restent lointaines
sur la jetée
un vieux
rêve d’avant
Un peu de nostalgie… bonne soirée 🙂
L’instant d’un regard
l’instant d’un retard
les rictus de la mer
qui courrent en terre
___
Ben, dites donc…
ça manque un peu de « risettes », ces derniers temps.
(ça n’engage que moi)
___
l’avance
terrible
du ventre rond
…faim
ma felouque vogue dans le sable,
six heures trente-sept
et déjà quarante degrés
à cinq kilomètres de la frontière Soudanaise
je rêve d’une forêt de palmiers sans fin
faim
et dans l’île joyeuse
Aimé part vers la liberté des étoiles
sable des plages
faim
fraingalle
des misères du monde
des vivants
font
une chaîne des ventres ronds
ma joie
vaut bien un cri
faim
d’histoire
de lumière
de chaleur
ma main
dans l’eau des millénaires
___
Ben, dites donc…
ça manque un peu de “risettes”, ces derniers temps.
(ça n’engage que moi)….
Bourrache
Je t’adresse une grande de grandes « risettes » de soleil tout chaud…
Ossiane va te dire d’où j’arrive, mais regarde – mon cri -…
risettes…
Pour Christineeeeeeeeeee
As-tu déjà vu « craquer » la houle?
souvenirs de mon « temps de service » dans la marine à Lorient hiver 1982…
La terre dit à la mer et au ciel : « Je vous offre un arc d’alliance »
—
Je me suis assis au milieu de toi.
Par tes narines j’ai senti les odeurs de la terre et la mer mêlées
J’ai ressenti la fraîcheur marine
Par tes oreilles, j’ai entendu le bruit du vent
Le chant de la terre
Par tes pieds, j’ai senti la douceur du sable
et j’ai senti aussi la terre tremblée
Par tes yeux, j’ai vu ce que monde nous donne à vivre,
Il y a tant à vivre,
Par tes yeux j’ai vu l’arc d’alliance que la terre a offert
à la mer et au ciel
Au milieu de toi, je m’assieds, toi qui m’amène aux marches du temps
qui m’amène, ici et là-bas, aux marches du monde,
phil alba
merci,
c’est si fort…
Aspe : la houle, ça « craque comment ??? »
Pour rire un peu…
et redonner de l’inspiration à Bourrache :
___
http://sd-1.archive-host.com/membres/images/1043997194/couture_2007/schema-fil-a-linge.jpg
____
Offre valable aussi pour ceux qui ne sont pas trop inspirés !
Content de te revoir ou plutôt de te lire Aspe.
A bientôt
Aspe : la houle, ça “craque comment ???”
Christineeeeeeeeeeeeee à suivre … »aspe dans Embruns »
Mer de sable et arche de mer, lames de vague et vague à l’âme : ainsi roule le temps. Et Ossiane qui toujours veille au grain.
Aspe :
Et bien non, j’ai jamais vu… craquer la houle…
En revanche, j’ai souvenir d’un certain itinéraire, au delà de la Brèche de Roland, ou là, on entendait craquer la foudre, du côté des mains courantes en fer….
et crois moi, on n’était pas fiers !
Bigre…
De « risettes » ?
Si un jour la porte du temps
Pouvait éclairer le mystère
Combler le vide et le néant
En expliquant nos vies sur terre
Rêve impossible et chimérique
Les échos emportent nos voies…
Devant de tels spectacles, il y a ceux qui y étaient et les autres…
andré claude
qu’est ce que c’est beau, phil alba, yaouhhhhh…
Ton fil me fait bien rire, christineeeee….
je te souris fort, Bourrache, est ce que tu le vois, et comme je te vois, je souris plus encore, et croque un petit chocolat avec un bon café…
Le soleil amoureux
A trempé son doux doigt
Dans le bleu de la mer
Qui lui murmure couleurs
Et son doigt peint en ciel
Un arc en ciel d’amour
Jolies couleurs de vie
Car il l’aime sa mer
Le soleil amoureux
Minimalisme absolu, avec une progression dans tes images. Des lignes qui apparaissent progressivement. Magnifique.
Bonne soirée Ossiane.
Les vagues une à une
Tracent sur l’eau
Les lignes du temps qui passe ;
L’onde inlassablement
Porte au loin les échos de la terre ;
La vie s’égare, s’étire, se perd
Aux confins de l’horizon.
Et moi, je reste là, assise sur le seuil
Je regarde, j’écoute, je sens, je prends, je donne…
Et pour que demain la porte reste ouverte
Je sais que chaque vague portera en elle
Toujours et toujours les épisodes de notre histoire
Sous le pont de la mémoire
Dans la lumière de l’éternel demain.
Et longtemps encore les mots résonneront sur l’eau
Et longtemps encore les vagues traceront
les lignes du temps qui passe.
Rachel,
tout le mystère et tes questions,
ta vie, la vie et puis ce temps,
tout ce pourquoi et ce comment…
TOUT est contenu dans ton prénom
rêve possible ; écouter en silence
les mots du cœur distillés goutte-à-goutte
écouter sans jamais avoir de doutes,
écouter ce qui ressemble à une absence
rien n’est caché ! En abondance tout est donné,
confiance ! Il n’y a pas de nanti et pas de démuni
en entendant ton cœur tu retrouves ta VIE,
le vide et le néant, illusoires, sont là pour te tenter
Bonsoir à tous,
Je pars en Loire pour le travail de demain jeudi à vendredi soir. Ne vous inquiétez pas si vous ne me voyez pas sur le blog. J’ai quand même préparé une note dont la publication se déclenchera en principe automatiquement jeudi soir à l’heure habituelle 😉 A vos plumes autant que vous le désirez ! Je montrerai le bout de mon nez dans la journée de samedi 😉
Ne vous inquiétez pas si vous voyez beaucoup de commentaires provenant des Etats-Unis ces jours-ci. Il s’agit d’étudiants américains du Colorado que leur professeur de français envoie sur le blog pour leur faire découvrir la poésie de façon ludique avec les calligrammes.
Bises à vous tous.
>Christine :
Bonsoir Christine, du gris en passant par la lumière pour revenir au gris sombre, il s’agit d’une suite d’instants lumineux très fugitifs et presque irréels. Voilà pourquoi ces ricochets;-)
Ta porte du temps donne envie de s’y engouffrer avec ces beaux mirages de désert ! Droit devant, quel élan et quelle forme! Je ne sais pas si je suis très bonne barreuse 😉 Je me vois mieux en petit mousse 😉
>lou :
Oui lou, un moment d’une grande douceur à savourer à toute vitesse tant la lumière changeait vite 😉 Quelle belle idée d’imaginer ces lignes d’écriture qui trempent leurs orteils 😉 Et ces lignes qui meurent pour renaître ensuite et san fin… merci pour la beauté de tes mots.
>Noisette :
Quelle grande noctambule tu es ! Tu vas bientôt battre amichel et finir par le rencontrer dans les couloirs du temps ;-)) Merci pour toutes ces pensées nocturnes et un petit coucou à ton chat. Bises à toi.
>Neyde :
Bonsoir Neyde, te voilà de retour 😉 Deux instants vriament extrêmes pour ce qui est de ton commentaire ! Tu passes de la beauté irisée à l’angoisse d’un tremblement de terre ! Mes pensées vers vous ; j’espère que vous n’avez pas eu de blessés et de dégâts… Je t’embrasse de ma terre tranquille.
>jorge :
Un joli morceau de poésie colorée et sereine, jorge ! J’aimerais bien ce genre de cadeau au quotidien 😉 Merci de ta visite.
>Bruno :
Ah notre ami Bachelard qui dit de si belles choses 😉 Je me retrouve beaucoup dans cette citation, c’est un peu ce qui se passe quand je crée une note 😉 Je passe toujours par l’image et le rêve en premier. Les mots viennent ensuite. Bises vers Bruxelles.
>Pierre :
C’est vrai, la mer a presque l’allure d’un lac. Quel beau poème tout en rondeur pour le deuxième!
Une simple petite pause en mirage pendant le voyage, Pierre 😉 Merci à toi, je t’embrasse et penserai à toi du côté d’Orléans 😉
>Bernard :
Coucou bernard 😉 Echoué sur le sable, ta poésie fait battre le cœur. Ton poème est une véritable déclaration d’amour à l’océan. Tu es en osmose totale avec les éléments. Tes mots sont magnifiques et très émouvants. Un grand merci au poète de la mer. Je t’embrasse.
>Monique :
Oui Monqiue, c’est un peu plus calme que la grande vague 😉 C’est bien d’écrit ces sensations douces et satinées. Le soleil a transfiguré la mer en un voile de satin pendant quelques instants. C’est beautout comme cette phrase magnifique de René Char. Il a tout compris. Que ta nuit soit douce et sereine.
>Alix :
Tu embrasses tout le monde en poésie, bravo 😉 Merci pour ce beau poème de Baudelaire. Bises de 23h31 😉
>Annick :
Et comme tu es toute mignonne et jolie jolie;-) Beaucoup d’amour dans tes évocations ; le printemps est de retour 😉 Merci pour le doux lavis de tes mots. Bonne nuit.
>Salade :
Bien Salade ! Merci pour le flux lumineux de tes mots. Bises vers toi.
>claudie :
Bonsoir Claudie, tout n’est que douceur et sérénité pour ces instants de bonheur ! Images sonores et ondulatoires qui donnent beaucoup d’émerveillement et de sensualité à ton poème. Belles images ces mains serrées pour évoquer les vagues. Merci à toi poétesse de la beauté. Bonne nuit à toi.
>marc :
Bonsoir marc, quel beau bouquet de mots tu offres à tout le monde ! Tu as bien saisi les contours de chacun 😉 Tu es plus silencieux ces temps-ci, j’espère que tu vas bien ? Je t’embrasse.
>rachel :
Tu m’impressionnes rachel ! Où vas-tu chercher toute cette inspiration à partir de mes images ? Merci pour ta belle plume inventive. Bises.
>Bourrache :
Ah te revoilà ;-))) Petite pause pour se régénérer, ça peut arriver. Savoir que tu es dans l’ombre silencieuse me fait plaisir 😉
Superbe poème, Bourrache ! Tu ne files pas d’un mauvais coton 😉 Tu t’abandonnes et te laisses porter sur l’eau. Ca donne de belles choses émouvantes. Merci beaucoup. Je t’embrasse.
>thierry :
Bonsoir Thierry, merci pour ta poésie qui glisse d’un mot à l’autre avec habileté. Je me demande comment tu fais pour garder les idées claires 😉 Bises.
>johal :
Ta poésie est émouvante et imagée, Johal. Je vois tes images du passé défiler comme dans un film en super 8 😉 Bravo à toi et une grosse bise en prime 😉
>aspe :
Bonsoir Aspe, bon retour à la maison ! Je dis tout puisque tu me le demandes mais les amis du blog ont dû deviner;-)
AVIS A LA POPULATION ! ASPE REVIENT D’EGYPTE !
Ton poème est très inspiré Egypte 😉 On s’y croirait… de la beauté mais aussi de la misère et de l’émotion dans tes mots. Merci pour ton évocation sensible.
>Phil :
Bonsoir Phil, comme ton évocation est belle et vibrante ! Une véritable séance de méditation en pleine mer ! Tous les menbres du corps sont sollicités. On ne peut qu’aimer l’océan. Merci pour ta belle écriture émotionnelle. Je t’embrasse.
>Jean-Pierre :
Bonsoir Jean-Pierre, contente de te voir là 😉 Quel beau roulis de mots tu as déposé sur cette page ! Et oui, j’essaie d’être toujours sur le pont contre vents et marées malgré quelques petites faiblesses parfois. Mais les passagers du blog sont tellement gentils qu’ils me pardonnent tout de suite 😉 Bonne continuation. Amitiés.
>Chief gardener :
La beauté fugitive d’un instant…j’y étais ;-)) Un moment unique à ne pas rater ! Bonne nuit et merci.
>Anne :
Oui Anne, bien vu 🙂 Je démarre en abstraction totale pour donner quelques contours plus précis et focaliser ensuite mon œil sur l’arc magique et ses sondes 🙂 Un autre monde, j’ai essayé de montrer très humblement bien sûr 😉 Merci de ton passage judicieux.
>Monique :
Ton poème est magnifiquement senti ! Tous les sens sont en éveil et s’ouvrent à l’océan. Sensibilité extrême et réflexion profonde sur le sens de la vie au travers des ondulations. C’est beau ! Un grand merci et une grosse bise 😉
>Max :
Une leçon de vie à travers tes mots, max ! Merci pour ta sensibilité poétique. Je t’embrasse.
Le flot et le relux
un pont en arc en ciel
l’éternité un temps suspendue
Quel manque d’imagination…tu me parles de la mer et de sa jupe plissée..de cette nouvelle vague sur un corps déroulée…d’une algue à l’accent iodé…Et tu ne vois pas la marée monter…couvrir le sable et les galets…et surtout cette algue abandonnée…Je suis vraiment atterré…que vient faire ce ruban doré…ces boutons nacrés…les couleurs otées…Parles moi plutôt de nuages…de coquillages..de mirages…Tu croyais m’impressionner..et bien c’est raté..tu sais bien qu’ici on ne peut rêver…qu’il faut se contenter de banalité…siroter des photos glacées..Et surtout ne me parles pas de sensualité..de la nudité de ce paysage que tu as aimé..de ton souvenir ému des baisers salés..de ton coeur battant dans son regard noyé..Un jour il faudra apprendre à se réveiller..à quitter cet univers qui te fait délirer..Une dernière chose..avant que tu n’ailles travailler…N’oublies pas de ranger la jupe plissée..mais si tu le sais bien…celle que la mer…hier..a emporté..
Combien d’enfants aimeraient jouer
Dans la mer déjà retirée
Sur le sable courant, les pieds
De tous ces gosses émerveillés
Beaucoup n’ont jamais vu la mer
Ils ont d’autres points de repères
Des terrains vagues abandonnés
Où les poubelles sont entassés
Alors ils courent en libérant
Pour quelques heures leur cœur d’enfant
Ils sont bien nombreux aujourd’hui
Et tant pis si le ciel est gris
Ils repartiront tout à l’heure
Vers d’autres lieux, d’autres ailleurs
Gardant pour un temps dans leurs yeux
La mer aux reflets si joyeux
Instants
Précieux
De vie
Je vous
Vie
J’aime beaucoup la photo en N&B. L’arc en ciel s’y oppose bien, face aux vagues…
Rayon coloré du matin, merci Ossiane.
Suite d’éphémères
tous instants sublimés
sur la ligne du temps
la vie nous a créés
Chaque choix,chaque père
tous perles d’un collier
sur la trace du temps
dans nos coeurs sont ancrés
Porte le toujours fier
tous semblable métier
sur la fuite vdu temps
pourquoi faut il pleurer?
Demain est comme hier
tous miracles posés
sur la force du temps
d’autres éclats,d’autres clés
Après une nuit mouvementée,
Houle craquante et submergeante,
Réveil de la basse marée,
En grasse matinée,
La mer s’é t a a a a a a a l e,
La mer s’é t i i i i i i i i i i i i i i i i r e,
La mer se p r é l a a a a a a a a a a a s s e
La mer s’a l a n g u i i i i i i i i i i i i i i i i i i i i i t
En ondes calmes et régulières,
C’est le temps du farniente,
C’est l’instant de détente,
Repos des flots après colère !
Grandes vacances en douceur
Respiration tranquille
Pour ridules et vaguelettes
Léchant rivage avec bonheur…
Instants privilégiés que l’on savoure
Dans un grand bain de lumières tendres,
Ephémère cadeau du ciel éternel
Face à la porte du temps…
Biseeeeeeees étiré e e e e e e e e e e e e e e s
Christineeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
Doucement
La mer est si calme
Instant arrêtés
Le paisible se boit
Ma main contre la tIenne
Vague dans ta douceur
Et me blottit le coeur
Nos âmes ondent belles
Tranquillement
Aimantes
Les vagues nous apaisent
Un arc de splendeurs dans l’espace-temps
ouvre sur l’infini du ciel
j’y cours
laissant
la trace de mes pas
sur le sable mouillé
dans l’oreille
le murmure joyeux du vent :
« ELLE EST RETROUVÉE ! »
moi dans un cri fébrile :
« QUOI ? »
le vent passe et ne répond pas
l’écume ourle le rivage
les embruns giflent mon visage
la vague au soleil
devient rose nacrée
et la houle me parle :
« ELLE EST RETROUVÉE ! »
moi dans un cri fébrile :
« QUOI ? »
la vague danse et ne répond pas
vers l’arche aux sept couleurs
je me hâte impatient
de grands oiseaux blancs
à tire d’ailes
vers les lointains s’éloignent
poursuivis
par l’alerte stridente des mouettes
« ELLE EST RETROUVÉE ! »
moi dans un cri fébrile :
« QUOI ? »
la mouette aussi ne répond pas
cependant qu’ éperdu
dans mon coeur
cogne un tambour sauvage
j’entends que m’appelle
grave inspirée
la voix profonde de l’océan
vieil aède
chantre du grand secret :
« ELLE EST RETROUVÉE ! »
moi dans un cri fébrile :
« QUOI ? »
l’océan enfin répondit :
« L’ÉTERNITÉ,
« C’EST LA MER MÊLÉE AU SOLEIL »
L’immense mouvement de la mer
La marche continuelle du temps
L’écoulement sans fin des eaux
Les vagues qui roulent inlassablement
Dans un bruit sourd et perpétuel
Le déroulement infini des heures
la terre qui tourne, tourne sans cesse
Et nous entraîne dans sa course
Dans une ronde infernale
Flots qui coulent dans nos veines
Au sortir de la terre
De la source première
Aux vagues incessantes de l’océan
Dans l’interminable manège de la vie
Dans le murmure lancinant
Des vagues sans cesse renouvellées
Le temps qui passe d’instants en instants
Dans l’espace qui nous entoure
Ainsi tournent les rouages du temps
Ainsi va la vie….ainsi va la v….ainsi va l…ainsi va….ainsi…ain..ainsi…ainsi va…ainsi va l…ainsi va la v…ainsi va la vie…..
Ossiane,
Une éternité s’est écoulée sans que je n’ai eu le temps que pour des visites furtives. Et aujourd’hui comme hier. Mais tes deux dernières photos m’ont transportée par leur beauté. Alors, je prends quand même 3 minutes.
Transparence et vigueur de la vague. Magie émouvante de la porte de lumière.
Quelles émotions dans une morne après-midi de labeur !
Merci, Ossiane pour cet éclair de merveilles. Et bravo à tous pour vos écrits de rêve !
A bientôt, je l’espère, pour des nouvelles plus complètes.
Instants
Mes délicieux instants
Je me serre
Mon présent
Tu es mon coeur de tant
Toi
Mon onde si précieuse
Et déjà la seconde
Puis encore la troisième
Tu me vibres mon âme
D’un amour si de temps
Je t’aime au bel présent
Mes vagues dans l’instant
De toi à mes côtés
Et la perle m’écume
Et mon regard se vit
Dans tes yeux grand ouverts
Qui regardent la vie
J’adore.
l’instant d’avant on espérait encore
l’instant d’après c’était la mort
Je voudrais avoir une grande pensée pour Marie-France, qui nous a quitté hier soir. J’en ai le coeur tout chamboulé. C’était une collègue très humaine et très agréable.
Où que tu sois mes pensées vont vers toi.
Comme je te comprend « l’instant d’ avant et l’ instant d’ apres »
On peut viellir et malgrés ça c’ es tjs pareil ,on ne s’ y fait jamais .
Qu’ ilyai ou qu’ il n’ ai rien cela est tout pareil ,la séparation celle que l’ on sait irrémédiable.Notre conditon de Terrien nous sommes ainsi .
Mais je préfére connaitre cette douleur plutot qu ‘ etre a l’ abri de tout ,ma souffrance est a la force de mon amour.
Rachelje pense bien a toi et je reste pres de toi.Noisette.
….et je m’en irai, sans que rien ne manque à ce monde immense et radieux….
Victor Hugo.
…
Et l’instant où je vis est déjà loin derrière moi …
…
Des fois cela passe si vite ,mais je sais que j’ aurais laissée quelque chose pas finie Le temps passe trop vite Je n’ ai plus de temps de faire grand chose Je me demande comment les gens font pour s’ ennuyer.Bonsoir a toi ChritssssssssssssssssssssssssssssssssssssseeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeesssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssNoisette c’ est déja loinnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnouf!
Instants magiques où je te vis
Que j’ai recueilli dans mes deux mains
Tellement en force du regard
Que depuis ce jour je te vis
Instants divins que ton baiser
Que j’ai donné de toute mon âme
Tellement en vérité de vraie
Que le fil des jours tisse en vie
Instants miracles que je te vois
Que je cueille si doux l’instant
Tellement en amour si grand
Que l’éternité semble petite
Instants magiques où je te vis
Que j’ai recueilli mes deux mains
Tellement en force du regard
Que depuis ce jour je te vis
Instants divins que ton baiser
Que j’ai donné de toute mon âme
Tellement en vérité de vraie
Que le fil des jours tisse en vie
Instants miracles que je te vois
Que je cueille si doux l’instant
Tellement en amour si grand
Que l’éternité semble petite
à la relecture, ces mots ci me plaisent mieux…alors les voilà..
Elle est un peu perdue devant le nombre des chacuns, qui de qui est de qui, alors elle chausse sa ballerine prend son ombrelle si légère et pose un pied sur l’arc en ciel, et elle gravit et elle transpire, pour l’atteindre son ciel, et elle sue et elle chante, en faire confiance, son qui de qui est tout là haut, alors elle monte sur les couleurs, ses pieds dessinent des ronds en ciel, et tout là haut, rejoints, main dans la main, ils plongent mais vers le haut, ce fut si long, si douloureux, car quand on aime, c’est douloureux de se quitter, le ciel s’effondre, la terre se faille, le rire se pleure, la vie déserte, et de leur ciel de tout là haut, ils remercient cet arc en ciel passerelle qui a permis ce ciel d’eux deux.
je vous embrasse rachel et noisette, chaque être est singulier, et pour celui qui reste, le manque est un tel vide…
ils sont beaux les mots de V.Hugo.
Bonne soirée.
La tête de l’arc en ciel
Regarde
Le flux et le reflux
Les vagues sont calmes
Et ses couleurs en tête
Deviennent pastelles
Tendres d’amour
Si vaguelettes délicates
Christine
Boileau en d’autres termes disait « le moment où je parle est déjà loin de moi »
__
Le temps pour moi tourne les pages
Je regarde ma vie comme un livre d’images
J’ai grandi comme une fleur sauvage
Ni trop vilaine ni trop sage
Je poursuis tant bien que mal mon voyage
J’évite les nuages
Et plus encore les orages
J’inscris sur mon visage
Chaque jour une nouvelle page
Et laisse le temps tourner les pages
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Bonne nuit à tous et ne suis pas sans penser ce soir, à ceux qui aujourd’hui, ont perdu un être cher.
Bonsoir Annick, il semble que tu sois encore là à écrire de bien belles choses, en équilibre sur un fragile et éphémère arc-en-ciel. C’est joli, et j’ai eu envie de relire. J’avais le temps, Ossiane nous a laissé les clés.Je t’embrasse.
Monique, c est fort gentil ton petit mot, et je deviens hardie,
comme je lisais ton mot, j ai eu envie d écrire, comme c’est beau, et puis, souvent mon silence me tait pour par saoûler,
c’est vraiment beau, yaouh…c’est délicat…
et je repose les clés d’Ossiane, si chère, dessous le petit pot de ciboulette, ainsi chacun sait où les trouver…
bonne nuit Monique.
J aime venir ici vous goûter chacun, de si beaux mots. Merci.
Annick
Qu’il est bon en effet de venir chaque jour lire tant de merveilles et de rencontrer tant de gentillesse. Quel bien cela fait . Contente que tu aies encore été là, ne t’inquiète pas j’ai remis la clé au bon endroit. Bises
BISES.
Merci Monique…
A propos de Boileau !
Je me disais bien que j’avais déjà entendu ça quelque part, mais je ne savais plus ni où, ni qui !
Merci donc d’avoir réveillé ma mémoire !
J’adore les photos! L’arc-en-ciel sur l’eau est belle. La poésie est puissante et belle, aussi. Merci pour les photos et la poésie parce que ils sont très jolis.
Instants” sont magnifiques! J’adore l’arc-en-ciel.
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Bonsoir, à tous
Coucou, me voilà revenue… un peu fourbue 😉 Tout plein de courrier et beaucoup de retard bien sûr dans mes commentaires que je ne vais pas pouvoir rattraper sur cette note.
Je constate qu’Instants a beaucoup sollicité votre imaginaire 😉 Toutes vos contributions sont magnifiques et me font voir les photos autrement 😉 Cet arc est devenu bien magique sous vos plumes. Bravo à vous tous et merci ! Bienvenue à Elisabeth et Antonia ! Que ce grand soleil d’avril embellisse votre week-end !
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instant d’un jour, instant de toujours, je voudrais que ces moments de pur bonheur, que nous avons la chance de partager ensemble s’incrivent à tout jamais dans le temps… bon 1er mai à tous… et que des milliers de brins de muguets s’invitent chez vous…
il y a parfois des instants, dans une vie, si doux, si agréable, si volupteux, que l’on voudrait ne jamais les oublier…
oui, c’est le plus beau de la vie dans sa beauté si belle…..et la mémoire conserve intacte l’émotion pure…
les mots sont comme des notes de musique, ils ponctuent nos amours, l’absence, la beauté, les silences.
J’adore ce blog.
J’aimerai asser savoir avec quel logiciel tu fais ça.
Bonne continuation.
C’est magnifique
Fil
–
mer bien trop calme
un vague babil caresse
les mots ensablés
–
Que de souvenirs !
Pour l’occasion : clin d’oeil et sourire
Tu as raison Françoise que d’émouvants souvenirs, espérons qu’un jour Ossiane aie le temps de revenir dialoguer avec nous tous comme au bon vieux temps. Mais derrière les écrans je sais des regards fidèles. Également clin d’œil et sourire.
___
« La mer sans arrêt roulait ses galets ……..et c’était comme si tout recommençait…… »
que chantait Ferrat ….je me sens quelque peu nostalgique ce soir.
je vous embrasse, Bourrache et Monique, et chacun,
comme au bon vieux temps… et je te cite Monique.
je me sens quelque peu nostalgique ce soir, et je te cite encore Monique.
» La mer sans arrêt roulait ses galets…….et c’était comme si tout recommençait…….. »
et je te cite Monique,
et comme ils sont jolis les mots de J. Ferrat.
On se pose la tête
Sur ses deux mains
De vie
Et la mémoire confie
Des jolis souvenirs
De bels instants
Si purs que la vie
Se vit dedans
De merveilleux instants
En magie recueillie
Et quand les mains se joignent
Douceurs elles remercient
de bels instants, je vous souhaite, pour cette soirée de ce soir,
et chacune autres soirs, sans cesse renouvelés les plus jolis instants,
brodent une étoffe si fine que les ailes translucides envolent,
leurs éternels, leurs puretés d’instants que chacun en redemande,
pour offrir et s’offrir des souvenirs vivants, complices des années,
dans *levivrevieillir.