Lecture du Haïku Calligramme: centre, haut, bas
Caresse de soleil
lumière du silence
une femme endormie
◊ Orléans, face à la cathédrale …
« La Pensive » du sculpteur Volti (1985)
« Amoureux de la femme, toute son oeuvre forme un chant à la gloire du corps féminin, courbes et rondeurs sont pour lui les images même de l’art et de la vie. Jamais de mièvrerie dans les sculptures de Volti qui traite le corps de la femme en recherchant davantage force et vérité que grâce facile et élégance légère. »
« La sculpture est un témoignage. Il s’agit de prendre une matière et de lui faire exprimer quelque chose d’émouvant pour le coeur, la chair et l’esprit. » citation de Volti.
SUPERBE… merci et belle nuit
***
Un silence pur
Une lumière s’y pose
Ange assoupi
à quoi songes-tu étonnante rêveuse
au corps de femme avec ses courbes si douces
à la sage coiffure si proche de celle des moines d’autrefois
aux yeux comme remplis d’une immense lassitude
la même que celle de tes mains de travailleuse
à quoi songes tu étonnante rêveuse
aux sculpteurs qui autrefois dans ce décor monacal donnaient vie à des dentelles de pierre
ou à quelque magicien qui te libérerait de cette gangue de pierre où tu étouffes jour près jour?
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http://www.dailymotion.com/playlist/x7ud9_cbourrache_cbourrache/video/x2ps9r_anne-vanderlove_music
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Mes amours
Vous qui me savez des vôtres
Vous qui me savez si pauvre
Si pauvre et si nu pourtant
Mes amours
La vie n’est qu’une chimère
Si l’amour n’y vient pas faire
Sa ronde d’oiseau géant
Mes amours
Moi qui ai cette fortune
Entre mes mains désarmées
Je pense à ceux qui n’ont qu’une
Chanson triste pour pleurer
Mes amours
Mais il faut tant de chansons
De poèmes d’Aragon
Pour sauver encore le nom
De l’amour
Mes amours
Vous qui me savez offert
Moi qui suit la bonne ferte
Pour votre cœur vagabond
Mes amours
La cruauté n’est qu’un leurre
N’attendez pas que j’en pleure
Pour partager ma chanson
Mes amours
Vous et moi c’est la conquête
Dans ce monde dévasté
Le soleil à la fenêtre
Par dessus les cheminées
Mes amours
Mais il faut tant de chansons
De poèmes d’Aragon
Pour sauver encore le nom
De l’amour
Mes amours
Mais si vous savez m’entendre
Si vous savez me comprendre
Que je chante juste ou non
Mes amours
Voici la terre promise
Quoi qu’on fasse quoi qu’on dise
Le cœur n’a qu’une chanson
Mes amours
Vous voici en terre douce
La peur a cloué son bec
Toujours coulera la source
Sous le caillou le plus sec
Mes amours
Il y a tant de chansons
De poèmes d’Aragon
Que l’on sauvera le nom
De l’amour
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Jean FERRAT
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silence,
massivité de la présence,
grain de la pierre souligné par le jour frisant,
je reste devant cette évidence,
cette présence
et le regard muet
dardé par dessus le bras,
et me fige un instant
intimidée
Elle fait penser à un nu bleu de Matisse. Et tu l’as appelé soupir, c’est si joli…
un soupir d’aise que j’émettrai avant de dormir dans la pierre
ainsi figée dans l’éternel car je serais volontiers elle.
c’est un trait de pierre, miracle de la sculpture, encore merci Ossiane pour tes images fabuleuses…
« RHACOTIS »
« La porte à peine fermée, Chrysis appuya la main sur le centre enflammé de son désir comme o, presse un point douloureux pour atténuer des élancements. Puis elle s’épaula contre une colonne et tordit ses doigts en criant tout bas… »
Pierre LOUYS – APHRODITE – Moeurs antiques.
http://www.anthologie.free.fr/anthologie/louys/louys.htm
Femme de granit
Au seins froids comme de la pierre
Dénichons des seins chauds !
Bonjour Ossiane …
___
N’est-ce pas étrange
Ce rêve de pierre
Inanimé
Le cœur porte la faim
D’une absence de lumière
Balayée sur les courbes
Buvant la nuit
L’ombre sans méditation…
D’une ligne fendue
Se perle la balsamine axillaire
Des mots transparents
La caresse est sincère
Trouble est le voyage
____
Encore un voyage à travers l’indicible…A quoi rêvent les pierres…?
–
Belle journée à tous.
Ossiane
Tes jolies photos conduisent vers la contemplation…
J’aime bien les mots de Lou et d’Aspe..
Dans la torpeur de la nuit
Une vision impériale
Une statue de femme
Aux formes alanguies
Au corps détendu
Les seins arrondis
Apaisée et assoupie
Comme une femme après l’amour,
Caressée, dans une tendre volupté
Langueur et plénitude
D’une femme comblée
S’endort la dormeuse
Dans les bras de Morphée
Une auréole lumineuse
Donnant à sa peau
Un grain velouté et satiné
Irradie sa nudité d’indolence
Et elle plonge dans ses rêves d’innocence
Soupirant d’aise, muette d’extase
Sa main repliée comme un voile
Dans le drap du silence
Belle journée…d' »Annonciation »!
>Coucou, Alix
Quand j’ai lancé mon com, je n’avais pas vu le tien…..J’ai voyagé dans » mon imaginaire »..et ma statue n’est pas en pierre!!!
Le calligramme est fort beau.
Tout semble arrêté
Pas un bruit
L’oeil se rapproche
En silence
La pointe de son sein
Se palpite
Doucement
* coucou Claudie…contente de te lire de nouveau..Bises 🙂
Rien n’est plus émouvant qu’un soupir de pierre.
_
Tant je l’ai regardée caressée merveillée
et tant j’ai dit son nom à voix haute et silence
le chuchotant au vent le confiant au sommeil
tant ma pensée sur elle s’est posée reposée
mouette sur la voile au grand large de mer
que même si la route où nous marchons l’amble
ne fut et ne sera qu’un battement de cil du temps
qui oubliera bientôt qu’il nous a vus ensemble
je lui dis chaque jour merci d’être là
et même séparés son ombre sur un mur
s’étonne de sentit mon ombre qui effleure
__
Claude Roy
–
J’aime beaucoup ce soupir de la pierre ! Photos qui invitent à une douce sérénité (un luxe dont il ne faut pas se priver!)
Bonne semaine
En songes des soupirs, beauté endormie
Sous le vent des montages, ton corps en résonance aspire des formes calices dessinées au fusain sur du papier indélébile, pour me souvenir des rêves fantasmagoriques de ta peau perlée de pluie en gouttes de miel sucré.
Endormie dans la pénombre de la pluie, le temps passe, ton visage s’efface, mais je garde trace de ton souvenir, de tes mots d’embruns, d’une écoute perméable au reflet de ton image dans la lumière du silence …
C’est joli, Bruno.
Cet ange
Aux ailes diaphanes
Auréolées de lumières transparentes,
Opalescences irradiantes de douceur
Un jour s’est endormi,
Le devoir presque accompli :
Accompagner les hommes n’est point
Un labeur de tout repos.
Gardienne du silence
Elle s’accorde un temps de réflexion :
Le temps n’a d’ailleurs aucune importance,
Il s’est comme figé,
Suspendu juste un instant
Tandis que le Monde tourne irrémédiablement ;
Et lorsque le rayon de l’astre solaire
Effleure son épaule
Caresse chaude,
Il l’invite à reprendre courage :
L’ange s’éveille
Dans un soupir
Et s’envole vers la lumière
Nous secourir
Pauvre mortels…
Biseeeeeees transparenteeeeeees
Christineeeeeee
Tiens, je viens de remarquer que l’horaire des posts est resté à l’horaire d’hiver !!! Donc, je viens de poster à 14 h 14 !!
C’est L’HEURE D’ETEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE
(et j’aime l’heure d’étéééééééé)
tes yeux sans teint
m’empêche de pénétrer
le fond de ton âme
est tu tristes ou bien joyeuse?
préoccupé ou insouciante?
Sereine ou tourmenté?
je crois déceler l’expression de ton désir
mais peut être est le murmure de tes soupirs
offerte à mon regard indiscret
j’aimerais ouvrir tes bras
te couvrir d’un voile
et percé le secret de ton regard !
Mélancolie baignée
De soleil et de paix,
Plainte murmurée,
Discret chant de regret,
Désespoir étouffé
En longs sanglots muets,
Souffle pur et léger,
Frisson d’amour secret,
Emotion éthérée,
Le rêve se taisait,
Le soupir est gravé
Dans la pierre à jamais.
Nue
Juste d’elle
Elle pense à lui
Son désir
A la fois
La ronge
La palpite
Et la garde
En vie
c’est fort joli ce que tu as écrit, Annemarie.
En elle
Dans l’ombre
Elle est habitée
Par la lumière
Qui la caresse
Lui rend la vie
Par la fenêtre
Qui donne la lumière
En beaux rayons
Qui la chauffent
Et son souffle discret
Si aimant et si tendre
Se souffle sérénité
Elle a aimé
Tellement aimé
Elle encore
De bel vivant
Son amour vrai
Si bel de tant
Et son désir
Resté vivant
merci de supprimer le texte précédent, merci Ossiane. Passe une bonne fin d après midi.
Elle a aimé
Tellement aimé
Elle aime encore
De bel vivant
Son amour vrai
Si bel de tant
Et son désir
Resté vivant
Dans le clair-obscur
Intimité de l’âme
Le temps d’un soupir
Elles sont jolies tes photos, Ossiane, et ton haiku fort délicat…
et tes mots si beaux Maria-D…
Femme captive
Reine de pierre
La Femme nue
Courbe l’échine
Abandonnée
Réveille là
Du sommeil lourd
Embrase le
Ce regard vide
Le tien le mien
Sculpte le corps
De tous nos doigts
Des désirs forts
Brûlants de mots
De couleurs chaudes
La peau nouvelle
Qui se déploie
Voiles de feu
Le souffle est né
Ressuscité
Tendrement belle
La lumière la caresse
Et son corps de nue
Se donne doucement
Aux délices volupté
Belle sérénité
Ossiane – Merci Ossiane, tu nous ouvres des portes merveilleuses.
Je respire à l’instant l’air des sommets ; tout bouge en moi, mon corps, mon coeur aussi mon âme. C’est une vraie cavalcade, toute pareille au troupeau de brebis qui dévale la montagne de Galaad.
Une fois n’est pas coutume… Je vais donc m’appuyer sur un des poèmes de Baudelaire qui m’accompagne depuis des années : La beauté
Je suis belle, ô mortels ! comme un rêve de pierre,
Et mon sein, où chacun s’est meurtri tour à tour,
Est fait pour inspirer au poète un amour
Eternel et muet ainsi que la matière.
Je trône dans l’azur comme un sphinx incompris ;
J’unis un cœur de neige à la blancheur des cygnes ;
Je hais le mouvement qui déplace les lignes,
Et jamais je ne pleure et jamais je ne ris.
Les poètes, devant mes grandes attitudes,
Que j’ai l’air d’emprunter aux plus fiers monuments,
Consumeront leurs jours en d’austères études ;
Car j’ai, pour fasciner ces dociles amants,
De purs miroirs qui font toutes choses plus belles :
Mes yeux, mes larges yeux aux clartés éternelles !
Spleen et Idéal, XVII
Magnifique, Bernard, j’allais poser l’écran, en pause préparation du repas, et je vais me bercer tes doux mots si beaux,
quelle belle page encore Ossiane, sur laquelle s’accrochent de si beaux mots, c’est si beau le soupir d’aises, en belle sérénité..
Je ne tiens pas en place. J’ai tant d’émotion que je souhaite faire un clin d’oeil à Madame, madame, qui dit des choses tendres – Noisette – Brigetoun – Dame du bord du Rhône – Aspe – Bourrache – Christineeeeee – Rachel – Lou – et vous tous, que je ne peux citer, qui au fil des jours m’êtes devenus si importants. Je ne me suis pas encore détaché de Lennigan que j’associe ici par delà le temps et que je sens baigné dans la même lumière (merci Lou).
O Ossiane, tout ceci n’est que beauté, douceur, calme et…
A bientôt
La simple vue de cette statue me chamboule intérieurement, je ne sais pas pourquoi… merci pour toutes les belles choses sensibles que vous avez écrit à son sujet… j’y vois un peu plus clair 😉
>maria :
Ange… c’est un peu vrai… je me demande de qui peut bien être cette statue… Merci pour tes beaux haîkus entre ombre et lumière ; des ambiances que tu aimes bien je crois 😉 Bises.
>@nn@ :
Rêveuse aussi, bien vu ! Une sculpture empreinte de douceur qui apaise. Rondeurs rassurantes que tu as si bien évoquées. Ta rêveuse nous fait rêver. Un grand merci à toi.
>Bourrache :
Merci pour ces belles références ! Tu te fais noctambule en ce moment 😉
>brigetoun :
Bien vu ! Face à cette statue si paisible et dans le jour finissant, j’ai éprouvé un peu les mêmes sentiments. Invitation à se poser. Merci pour ta belle plume expressive.
>Lou :
Jolie pensée, Lou. Tant de sérénité mérite le respect. Soupir… je pense au silence et à la respiration 😉
>Aspe :
J’aime ton trait de pierre, comme une écriture… Une image qui s’offrait à moi par une belle lumière;-) J’aime vraiment beaucoup cette statue et voudrais savoir qui l’a créée 😉 J’ai cherché et je n’ai pas trouvé.
>Bonbonze :
Grande forme ! Ah bonbonze, comme je te retrouve ;-))
>Alix :
Bonjour Alix, c’est de toi cette fois ;-)) ??? Oui je crois 😉 Trouble est le voyage et celui auquel tu m’invites aussi ;-)) Comment fais-tu pour écrire de si jolies choses ??? Et la balsamine axillaire… tu m’en bouche un coin Alix 😉 Je t’embrasse et te remercie.
>Claudie :
Coucou chère Claudie, te voilà revenue en beauté et écriture sensuelle qui te va si bien;-) Ange, rêveuse et voilà la dormeuse toute en rondeur et volupté. C’est magnifique ! TU n’as vraiment pas perdu la main ! Bravo à toi !
>Annick :
Oui Annick, tu es tout à fait dans le ton. Tes mots palpitent en grande douceur et lumière. Une découverte tout à fait incongrue dans un endroit de passage… comme si le temps s’était arrêté. Je t’embrasse.
>Chantal :
Comme quoi la pierre peut éveiller des émotions bien vivantes malgré la froideur du marériau. Tout dépend de la matière, du grain, de la lumière et bien sûr du geste du sculpteur. Je suis de plus en plus attirée et fascinée par cet art. Merci pour la visite et bonne soirée.
>Mathilde :
Quel beau choix approprié Mathilde ! Merci pour tes belles contributions qui font découvrir d’autres univers poétiques. Sereine soirée alors 😉
>Bruno :
C’est lundi, tu reprends ta respiration… quel superbe lâcher de mots en relation avec les détails de la photo et d’une grande émotion!! Bravo au grand poète que tu es ! Bises vers Bruxelles.
>Christineeeee :
C’est superbe cette idée d’ange et d’ailes que plusieurs d’entre vous ont soumise. Ange, rêveuse, dormeuse, gardienne du silence, l’esquisse de cette femme se fait de plsu en plus précise et chaleureuse. Beaucoup d’inspiration et de sensbilité dans tes mots, chère Christineeeee ; la forme serait-elle revenueeeeeeeeeeee 😉 Bises d’été.
>marc :
Bonjour marc, voilà une autre belle façon d’approcher cette statue… essayer de voir à travers la pierre pour y déceler son secret. C’est joliment fait marc et toujours avec délicatesse. Merci, je t’embrasse.
>Annemarie :
Quel beau soupir Annemarie ! Sensations égrenées au fil de ton inspiration entre regrets, tristesse et amour secret. Merci pour ta belle écriture inspirée. Bises du soir.
>Bernard :
Contente de te retrouver en cet endroit hors du temps 😉 Tes mots embrasent ce regard de pierre impassible en beauté sensible et bien vivante ! Serais-tu magicien en plus d’être un jongleur de mots 😉 Je t’embrasse.
>Phil :
Bonsoir Phil, toujours fidèle au rendez-vous et avec un enthousiasme et un attachement qui me touchent particulièrement 😉 Merci pour ce beau moment passé avec Baudelaire. Je t’embrasse et te remercie d’être là.
Toute la grâce
méditation à l’éveil
attente en lumière
D’ un vitrail voisin
Eve chassée du jardin
enfante le monde
>Chris :
Bienvenue Chris et belle aventure avec ton blog. Amitié.
>Bourrache :
Belle lumière sur cette église et quel ciel ! Merci pour le partage.
Ossiane,
Je crois que ce que j’ai écrit hier irait beaucoup mieux aujourd’hui.
Peux-tu l’enlever de »paix » si c’est possible Merci.
Merci pour tes compliments. Ce sentier que nous suivons avec toi nous conduit dans des lieux hors du commun, hors du temps, nous amènent dans des zones au tréfond de nous-mêmes et ces zones s’éclairent nous faisant découvrir nos richesses intérieures. Chance de chance, nous pouvons les partager.
Je t’embrasse.
Pierre parmi les pierres
Je suis là, simplement,
En voie d’éternité
En attendant ton nom
Attendant ton regard
Je suis pierre
Intensément
Ainsi je resterai
Si tu ne me viens pas
Sans âme ni raison
dans l’ovale séraphique s’inscrit une mimique
la flamme découpée jaillit dans son dos
la tête lovée dans les bras en berceau
le front ceinturé d’un discret bandeau
cette posture serrée exhale à l’unisson
le regard couché se perd sur la crête des doigts
un pied bloque l’autre par une clé…de sol
les courbes s’épaulent, se chevauchent
la main n’est pas nerveuse,
la poitrine fiére et altière
le port de tête amarre
les derniers sursauts de conscience
la belle est lasse mais pas éplorée
l’échine est courbée
mais ne ploie pas sous le désir
l’attente est là
la détente visible
le souffle bas
un petit bonsoir à chacun. Je vous lis tous avec plaisir. Tu as parfaitement raison Phil Alba c’est un bonheur pour moi aussi de vous retrouver dès que possible. Ossiane la statue est magnifique. Pourtant je suis vide d’inspiration aujourd’hui. Demain est un autre jour……
Bonne soirée à tous et à toutes
un dernier soupir, avant de m’assoupir…..
bonne nuit…..
Posée reposée sérénité
Sur ses deux jambes
La tête se laisse
Cajoler son coeur
Qui se palpite douceurs
et je vous lis chacun,
et merci pour le poème de Baudelaire, phil alba,
et monsieur, et messieurs, qui dit des choses tendres, tu me fais sourire douce, phil alba et chacun..
j avais apprécié hier, ton poème, ‘pierre parmi les pierres’, phil alba, mais je trouve tellement tous les mots de chacun, jolis, que j’ai l impression de dire et redire, alors je me tais, sinon, je dirai sans cesse…’ comme c’est beau de beau ‘
‘ comme chaque page si jolie, elle se donne à s’écrire, en velouté d’amour, jour après jour, dans la magie du jour, qui se naît de si bel.. ‘
« Caresse de soleil
lumière du silence
une femme endormie »
de pierre…
Dans le silence,
de son pinceau gorgé d’or,
le soleil a caressé la pierre.
Naissance.
Sous la pluie fécondante
Danaé s’ouvre.
Viennent les couleurs
les couleurs de la vie
http://fr.wikipedia.org/wiki/Danaé
http://art.mygalerie.com/les%20maitres/klimt3.html
Elle est superbe effectivement cette statue. J’aime beaucoup ce que tu en as extirpé. C’est si juste.
Femme blanche
Ou bien noire
De tes hanches
Naît l’espoir
Femme de chair
et de sang
tu es pair
et pourtant
Maltraitée
Fréquemment
humiliée
bien souvent…
ogive de lumière
la dune de l’épaule
capte
le sourire aux membrures digitales
d’une vigilance ténue
un ange passe
à peine sortie de sous ma douche, ce soir là, je me suis assise à tes côtés , nue, en position de replie,( tel un foetus dans le ventre de sa maman), la tête posée sur mes bras, soupirant encore et encore….
alors, avant même que je ne te le dise, tu savais déja, ce soir là, que j’étais soucieuse, et inquiéte….
mais pouquoi donc ? ça tu ne le savais pas…..et tu ne le sais toujours pas…..
mais peut importe, puisque de soupir en soupir, je me suis endormie…..
Je la regarde de plus près
Et ne la trouve plus si mélancolique.
Mutine, un peu, pas angélique
Du tout, voyez ses pieds !
Ils sont vivants, ils battent un rythme
Que nous n’entendons pas,
Ni son cœur qui bat,
C’est son tempo intime.
Elle vient de danser,
Elle se repose un peu.
On le lit dans ses yeux :
Elle est belle, elle le sait…
comme l’impossible union du sable et du vent
une jeune femme de pierre
rencontra un vieil homme de chair
elle parlait avec sa simple beauté
lui avec ses doux mots étoilés
elle l’écoutait attentivement
lui la regardait furtivement
nue, éclairé par une lumière dorée
il la couvrait de son ombre ailée
il caressait sa peau patinée par le vent
et se frottait avec sa peau ravinée le temps
dans un éclair blanc de silence
la pierre se mis pour lui à danser
l’homme étonné rit à gorge déployé
Si fort qu’il en vint à s’évanouir.
depuis, elle l’attend de ses soupirs
sans bouger, serrant entre ses doigts
Un de ses cheveux à la douceur de soie.
elle entend encore l’écho de leur bonheur
chaque jour jaillissant à la même heure
au moment ou le soleil éclaire ses yeux tourmentés
Elle a froid et entonne la même prière
elle semble attendre cet homme de chair
espérant cet impossible union du sable et du vent
et comme phil alba, me fait sourire, et je le remercie, j aime rire sourire dès que c’est possible,
» Madame, mesdames, comme vous dites des choses douces…je vous souhaite la bonne nuit « …
elle est ravissante cette photo, la seconde…
La lumière
la chauffe
son dos
Et la parcourt
ses veines
Elle se laisse faire
Toute attendrie
de se sentir
Être
Merci, Candide, pour ce lien vers Klimt.
Elle n’est finalement pas mélancolique du tout, du tout, du tout, cette belle rêveuse!
>Pierre :
Beaux haïkus de circonstance ! Tu la connais ?
>Phil :
Je préfèrerais que tu fasses ton choix parmi tous les poèmes que tu as écrit dans Paix et que tu les remettes sur cette note car je ne m’y retrouve pas. Ce n’est pas grave qu’ils soient mis deux fois. C’est une peu le même thème, non ? En effet ces partages sont source d’enrichissemenst et de découvertes. C’est aussi ce qui fait l’intérêt de cet espace de discussion et de création. Bonne nuit, à demain.
>rachel :
Pas si vide que ça avec ton poème sur la femme. Tu as tant donné ces derniers jours, c’est normal 😉 Bises vers toi.
>sabine :
La douche avant le soupir et puis un gros dodo sous la couette 😉 Bonne nuit et merci.
>Annick :
Toujours fidèle au poste avec tes mots qui palpitent 😉 Je t’embrasse et te souhaite une bonne nuit.
>Anne :
Cette statue m’a émue profondément. Si douce et si sereine. Merci pour ton passage. Bonne nuit à toi.
>regard :
Que j’aime cette dune de l’épaule ! C’est vraiment ça ! Merci pour cette belle capture de sens tions. Bonne nuit.
>candide :
Intéressant ton lien et cette référence à Klimt. Quel beau tableau que celui-ci ! Merci pour la beauté dorée de ton évocation. Bises.
>Annemarie :
Je crois qu’on peut lui faire tout dire à cette rêveuse dont j’aimerais en savoir un peu plus. Merci pour ton approche musicale. La bise à toi.
>marc :
C’est beau et plein de force ces parallèles avec le sable, le vent, le temps, la pierre et la chair. Merci pour le beau souffle inspiré de tes mots, je t’embrasse.
Pénélope
J’écoute mon coeur qui bat
dans le silence
je pense à toi au loin là-bas
à ton absence
la mer un jour te ramènera
vers mon rivage
qui hors moi se souviendra
de ton visage
la nuit je cherche ton étoile
pour être avec toi
le jour je défais un peu la toile
que tisse mes doigts
la maison me paraît bien vide
je guette tes pas
mais las à mon désir avide
tu ne réponds pas
quand reviendras tu mon amour
ranimer mon cœur
et chasser au loin pour toujours
ma dévorante douleur
———–
Rond comme l’angle d’une pierre
***********************************************
Dans les yeux bleus de la nuit
Une danse infinie
Emporte la suave lassitude
Des femmes de pierres…..
*********************************************
Minuit étincelles
mes mots dansent à ta portes
la parole des vents
dresse dans un éclair
l’or de demain
As-tu pris le temps d’écouter
la lumière sur le papier froissé
où tes couleurs saignent
je connais ta peine c’est la mienne
« Dame de pierre »
comme c’est fort amichel et aspe..
Bonjour Ossiane et Amis poètes,
Plus je regarde cette belle statue, plus un souvenir remonte de mon coeur.
Dans un
Ses formes n’avaient aucun secret pour moi,
Ouvrier de son corps, source d’émois,
Un regard d’elle suffisait,
Plaisirs d’amour infiniment partagés,
Innocente dans cette position de repli,
Radieuse, elle a bouleversé ma vie pendant quelques nuits.
Je t’embrasse ma chère Ossiane, ainsi que Neyde, Annick et tous ceux et celles qui me connaissent,
OLIVIER
Je la connais, je la situe, je veux dire, mais le sculpteur, non.
Tu as peut-être surpris, au cours de tes déambulations, la « Petite Baigneuse » de Belmondo (le père de Belmondo, sculpteur) et « la Loire » de Hubert Yencesse, toutes deux installées rue Royale, artère qui est, pour Orléans, sa rue de Rivoli! Mais ici, la facture est assez différente; le bandeau qui ceint la chevelure , en particulier. Mais quel beau mouvement des jambes!
L’oeuf en lumière
Délicatesse
Vise son socle
Pour se poser
Tout à sa droite
Et l’embryon
De tendre vie
Souffle et respire
Si tendrement
Dedans sa pause
Porte ouverte sur un autre temps
Sculpteur de lumière entre en résonance
Le souffle du vivant porte en lui le silence
L’oeuf d’or inonde de ses rayons
Gardien du temps sculpte la matière
Un chant, une perle, un écho
Regard neuf de l’homme nouveau
Une vielle âme endormie se réveille
Pour s’en remettre au monde
éternel féminin,
extraordinaire sculpture, merci Ossiane, alors je ne peux m’empêcher de penser à « la ballade des dames du temps jadis » de maître François, mise en musique par Brassens et reprise dans ce « vieil » enregistrement…
et à deux autres merveilleuses représentations :
la mystérieuse dame d’Elche
et, la dame à la capuche, ou dame de Brassempouy, trouvée en 1894 dans le village du même nom, situé à quelques kms de chez moi, sculptée il y a 25.000 ans, me disait joliment mon ami spécialiste de la préhistoire, par un artiste qui devait être fou amoureux de son modèle et première représentation connue d’un visage humain sculpté dans une pointe d’ivoire…
http://www.dailymotion.com/relevance/search/ballade%2Bdames%2Btemps%2Bjadis/video/x364b5_ete-67-botanique-bxl-031007-ballade_music
http://fr.wikipedia.org/wiki/Image:Dama_de_Elche_%28M.A.N._Madrid%29_01.jpg
http://fr.wikipedia.org/wiki/Image:DamaElche01.JPG
http://fr.wikipedia.org/wiki/Image:Venus_of_Brassempouy.jpg
http://www.1000questions.net/fr/arts-et-cultures/Le_premier_visage_humain.html
Pourchassant des vertiges
j’aspire aux illusions des passions
+++++*****—–
l’automne s’achève
grisailles des brouillards gelés
dans le jardin
au bord du fleuve
une sculpture
Dame de pierre
résiste aux frissons
des jours d’hiver
sa douceur
sa beauté
se rient
des glaces qui couvrent
ses si jolies épaules dénudées
soupir…
Un soupir
Pfffffeeeeeeeee
Un souffle léger
Léger
Léger
Presque rien
Rien
Rien
Un souffle divin
Divin
Divin
Et la belle endormie
Mie
Mie
Renaîtra à la vie…
Vie
Vie
Pffffffeeeeee……
Biseeeeeeees……
« Et comme un oeil naissant couvert par les paupières, un pur esprit s’accroît sous l’écorce des pierres »
Gérard de Nerval
C’est la première fois que j’écris sur votre blog ( que je connais grâce à une amie ) et l’occasion est si belle que je me permets même un lien vers l’artiste Aristide Maillol:
http://www.museemaillol.com/index2.html
Bravo pour la qualité de votre travail
Des mots à la volée ….comme on sème l’espoir… comme on s’aime sous la caresse du soleil…pour cueillir une nouvelle…sur les lèvres du silence…Des mots dérobés….dans le creux d’une main…tendresse et baisers….pour l’amour du divin…Et le temps qui vous assiège…au coeur de cette cathédrale…endormie sur un siège….nudité virginale….Et le temps qui se lève…sur les ombres mouvantes…de tous ces habituels…qui se veulent fidèles…Des mots déposés…comme on s’aime d’espoir…pour cueillir une caresse…sur une femme endormie……
Grâce à cette sculpture je souhairerais rendre hommage à quelques femmes qui m’ont marqué, pour des raisons très différentes. Ce sont toutes de femmes de grand courage et qui ont ou ont eu une vie extraordinaire (dans le sens premier du terme). Ces noms sont bien évidemment liés à mon histoire et à ma sensibilité.
je voudrais citer Simone Veil que j’admire beaucoup qui a surmonté tant d’épreuves et qui a changé la vie des femmes et des hommes , Georges Sand qui est une des premières féministes et un immense écrivain, France Gall que j’aime beaucoup et que je trouve très digne malgré les drames qu’elle a vécu. Et puis bien évidemment Ingrid Betancourt dont la pensée m’obsède. Je lisais des articles contre elle. Si je peux comprendre que son sort puisse laisser certains indifférents (quoi que) je n’arrive pas à supporter la bêtise de certains qui écrivent que la France n’a qu’à la laisser, qu’elle s’est mis dans cet enfer de son plein gré. Vraiment la bêtise et la haine me sont insupportables. Bien sûr ces noms sont incomplets mais il est important parfois de rendre hommage aux personnes que l’on aime.
Les mots en caresse de songe ;
D’une envolée, sous le bras nu,
Le sourire voilé d’un ange…
Mon ange, le devines-tu ?
Belle soirée à tous
Pierre b: superbe, des graines de beauté pour l’éternité
soupir posé comme une main légére
soupir ponté comme on franchit le silence
soupir pointé comme un masque fluide
et des notes chaudes et graves
et des notes douces et tendres
et des notes inaudibles mais presque …visibles
la lumière qui joue sur le grain de la pierre
la musique qui joue sur le calme environnant
la beauté minérale qui anime cette femme
entre inspire et expire un temps de suspension
dans l’harmonique chromatique un point de suspension
dans le dos apathique un point d’inflexion
ménager du repos dans le monde agité
sans pour autant noircir le tableau
et du dernier soupir se rapprocher d’autant
c’est bon de te lire Rachel, et de lire ….chacun…
décidemment, elle trouve cette page est extrêmement émouvante, et elle vague tendresse pleine, et elle soupire doucement en secret depuis des ans, et sa vague parcourt son corps en des ondes si belles d’amour de telle intensité….et la lumière émotive devient plus douce encore et la serre si bon que les murs se chuchotent, et que le sol de terre transforme sa pierre en chair…
~
Elle n’est que froissement de pierre
Entre les deux abîmes
Jonction de la terre et du vent
Corps en pose d’envol
Le souffle clos
Le froid de son âme se retire
Plus elle invente
Un mythe lent
Et le combat démesuré
Du temps qui glace
là le repli d’un contour
Ses lambeaux en larmes fières
Un geste premier
Rythme point et ligne
Image en pointillés
Elle est trop loin déjà
Des légendes captivantes
Sur le marbre mercenaire
De soupirs impalpables
Elle brise le ramage
~
Elle était doucement repliée sur elle-même
Rêvant suivant des yeux le temps qui s’en allait
Elle invitait des mots la douceur des poèmes
Et cueillait les pensées de nos âmes égarées
Peut-être respirait-elle on ne l’entendait pas
L’émotion remuait nos coeurs et puis le sien
Elle aimait les regards que nous posions sur elle
Son coeur en tressaillait on ne le voyait pas
elle faisait rencontrer dans son bel oeil ouvert
les passants de naguerre et ceux qui aujourd’hui
scrutaient dans la lumière ses lignes attendries
Tout en se demandant ce à quoi elle rêvait
Et pour ceux qui voulaient inspecter au delà
Elle demeurait ainsi dans cette position
Fragilement sereine amoureuse éternelle
guettant alanguie toutes les apparitions
D’un soleil brûlant qui dardait ses rayons
Enfin tendre il passait en caressant un corps
Qu’elle avait dénudé et son poignant soupir
Que l’on décèle encore se changeait en sourire
pardon pour ce « naguère » que j’ai écorché un peu plus haut et qui crie de douleur.
Assise au cœur des ténèbres, dans tes yeux si clairs
le monde se reflète, comme dans un lac d’argent;
Pour toi je célèbre, la beauté de cette terre
Avec les mots d’esthètes, l’âme au firmament.
Tu écoutes le chant, de la vie foisonnante!
Tu entends le friselis, de l’air dans les branches!
Tu touches doucement la terre frissonnante!
Je regarde ébahi, le mouvement de tes hanches!
Tu ressent le désir, à l’odeur vaporeuses
Des effluves de ma peau, pourtant si volatile!
je devine tes soupirs, tu deviens langoureuse
derrière tes yeux enclos, ma muse si subtile.
Mais je ne peux cacher, la tristesse de mes yeux
que j’aimerais te donner, le temps d’un éclair.
Et te voir émerveillé , sous la lumière des cieux
Les couleurs éthéré , éclairant tes yeux si clairs.
…sous tes yeux de pierres les mystères …
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Vraiment la bêtise et la haine me sont insupportables. Bien sûr ces noms sont incomplets mais il est important parfois de rendre hommage aux personnes que l’on aime.
Rédigé par: rachel | le Mardi 01 avril 2008 à 17h16|
Rachel, je suis comme toi, attristé
…La Colombie, Le Tibet, L’Afghanistan???? , Etcetera, Etcetera, Etcetera’…?
« et toutes les autres choses ». …
pour moi aussi, la bêtise et la haine, me sont insupportables, et voilà que des larmes me crépitent la gorge…
Dame silence
Pense
En paix
Distribution générale de mouchoirs ce soir ! Je plaisante mais cela fait chaud au coeur de vous lire Annick, Aspe et tous les autres. Mais tu as raison Aspe il y a tellement de causes à défendre que la liste serait trop grandeà énumérer.
Avant d’être brûlée vive
Jeanne d’Arc
Dans son cachot
Soupire
Le monde ne comprend rien
>amichel :
Merci Michel pour cette belle Pénélope qui fait battre ton coeur 😉 Beaucoup de simplicité dans tes mots qui parlent fort et en beauté. Je t’embrasse.
>aspe :
Une belle dame pour toi aussi, aspe 😉 Tu donnes vie à la pierre avec douceur et émotion. Merci pour la beauté de tes évocations.
>olivier :
Bonsoir Olivier, un beau poème plein d’émois et d’amour. Bises de la nuit, merci.
>Pierre :
Je ne vois pas où est la baigneuse dont tu parles. Est-ce elle sur la deuxième photo de « Faisceau » ?
>Annick :
C’est beaucoup de rondeur et impression de fécondité. Je te sens très impliquée en poésie sur cette note, Annick. Il est très beau cet œuf ! Bises.
>Véronique :
Bravo Véronique, comme tu arrives bien à extraire des fibres de la pierre l’essence de cette statue. L’œuf suit son chemin 😉 Merci beaucoup.
>Christineeee :
Léger, léger, délicat, délicat, profond, profond, très christinien, chiristinien,-) Bises vers toi.
>max :
Merci Max pour toutes ses références ; je ne connaissais pas toutes les dames. C’est super quand chacun vient apporter sa petite pierre. Je t’embrasse.
>Odile :
Bonsoir Odile et bienvenue sur le blog 😉 Jolie entrée en matière pour ces premiers pas et amusante coincidence pour la référence à Maillol. Phil Alba m’a suggéré ce sculpteur. La douceur et rondeur de ses oeuvres y font penser mais apparemment ses statues sont en bronze….
Phil, tu peux intervenir si tu veux 😉
Merci pour le lien vers son site et à bientôt sans doute. Bonne nuit.
>pierre b :
Douceur et baisers à la volée, Pierre est passé en beauté;-) Un grand merci, je t’embrasse.
>rachel :
Pas de problème à ce que tu évoques des gens que tu aimes et et que tu admires. Toutes ces femmes ont subi des souffrances dignes de respect. Sens-toi très libre, rachel. Bises.
>johal :
Quelle belle esquisse tracée seulement en quelques mots aériens! C’est superbe, merci Johal !
>Thierry :
Soupir, expire, inspire, respiration qui parcourent avec plus de légèreté ton poème ce soir. Merci pour la beauté de tes mots.
>Salomé :
Bravo Salomé pour décrire avec tant de beauté et de vérité cette femme émouvante de pierre. Je t’embrasse.
>lou :
Les femmes visiteuses ont une façon bien particulière la réalité de cette statue 😉 Douceur bien sûr, sagesse, sérénité, amour se dégagent de tes mots. Tu t’es projetée en beauté dans cette femme 😉 Merci, je t’embrasse.
>marc :
Tu es un spectateur attentionné et ému. Je crois que tu as percé le secret de cette femme 😉 j esuis sûre qu’elle t’a entendue 😉 Bises d’après minuit.
>l’œil vagabond :
Bonsoir Chris, chuuut !!! j’écoute tes mots en silence. La paix parmi nous grâce à toi 😉 j’espère que tu vas bien. Bises.
Ossiane, les deux oeuvres que je cite se trouvent rue Royale, toutes deux.
Ossiane, Odile, Jeandler, et tous, et toutes,
Voici un site qui permet de voir les oeuvres (en bronze) de Maillol à Paris.
Comme je te l’écrivais hier, Ossiane, Je ne trouve pas tout à fait la même « patte ». Est-ce dû au travail du bronze ?
C’est curieux de ne rien trouver sur les sites d’Orléans à propos de ces sculptures… ou peut-être suis-passé à côté ?
http://www.insecula.com/salle/MS02788.html
>Pierre:
J’ai vraiment passé trop peu de temps dans la ville pour bien me repérer. Comment s’appelle cette place que je montre dans Faisceau?
>Phil:
Elles sont magnifiques ces statues! Merci pour le lien.
Ca m’arrive très souvent de vouloir trouver après coup des infos sur des oeuvres d’art exposées en plein air et très souvent je ne trouve rien sur les sites municipaux. Quel dommage! J’ai envie d’écrire à la mairie pour leur signaler ces lacunes;-)
> Ossiane, il s’agit de la place Sainte-Croix.
En principe, le sculpteur a du laissé sa griffe quelque part; il faut tourner autour de la statue, scruter… et la nuit n’est pas un bon atout pour ce faire! Lorsque je retournerai là-bas, je me documenterai (ou le tenterai). Promis.
>PIerre:
Merci pour l’info, je ne pense pas être allée Place royale. C’est vrai que j’aurais dû faire attention mais j’avais si peu de temps devant moi que je me suis laissée emportée par autre chose. J’ai envoyé un mail à la mairie d’Orléans pour qu’ils me donnent des infos mais je compte quand même sur toi si tu as l’occasion d’y retourner;-) N’y va surtout pas exprès pour ça. Bises du soir.
Nous voici, l’un comme l’autre, renseignés. Je note.
La mairie a sans doute été efficace.
Bon week-end.
>Pierre:
Mairie très efficace, je confirme. J’en suis baba; je n’y croyais pas;-)
Alors, qui est ce sculpteur ?
superbe ton blog – originale cette intégration photos haïkus – bravo cordialement
>Kate:
Bonjour kate, je te souhiate la bienvenue;-) Merci pour ta visite enthousiaste. Amitiés.
J’adore votre poème. Votre choix de mots est très beau et l’image des poèmes et le photo ensemble sont très fantastiques. J’aime beaucoup le photo aussi. Je voudrais voir cette sculpture un jour. Vous êtes très créative. Au revoir!
Le soupir
Brûlant du désir de te rejoindre vois mon âme
Est déjà sur mes lèvres et mon corps te réclame
Dans ma pensée je refais ton visage j’entends
Ton rire, je dessine tout ton corps qui me plaît tant
Alain