Paix

La Cathédrale d'Orléans

La Cathédrale d'Orléans

La Cathédrale d'Orléans

La Cathédrale d'Orléans

Lueurs du jour, délivrée de ses démons, la nuit s'efface

Lecture du Haïku Calligramme: haut, bas, droite

Lueurs du jour
délivrée de ses démons
la nuit s’efface

Pour en savoir plus sur la Cathédrale d’Orléans…
Je dédie cette note à Noisette, Brigetoun et leurs souvenirs douloureux.

94 réflexions sur « Paix »

  1. J’ai l’impression de me retrouver dans un dessin animé … où tous mes rêves voilés de brume sont permis.

    Merci, Ossiane.

  2. Je vous le livre tel que je l’ai reçu de mon frérot :
    _

    Ensemble pour Sauver la Planète

    Il était une fois, quatre personnes qui s’appelaient TOUT LE MONDE, CHACUN, QUELQU’UN et PERSONNE .

    Il y avait un important travail à entreprendre pour sauver la Planète et on a demandé à TOUT LE MONDE de le faire.

    TOUT LE MONDE était persuadé que QUELQU’UN le ferait.

    CHACUN pourrait l’avoir fait, mais c’est PERSONNE qui le fit.

    QUELQU’UN se fâcha, parce que c’était le travail de TOUT LE MONDE.

    TOUT LE MONDE pensa que CHACUN pourrait le réaliser, mais PERSONNE ne réalisa que TOUT LE MONDE ne pouvait pas le faire.

    En fin de compte, TOUT LE MONDE fit des reproches à QUELQU’UN parce que PERSONNE n’avait fait ce que CHACUN aurait pu faire.

    Moralité :

    MOI, je le fais !
    ___

  3. Au matin rougissant
    Soleil, tu m’embras(s)es
    Mon corps écla(t)boussant
    Lui ôtant toute trace
    Des ombres de la nuit

    J’avais quoi ? Moins de vingt ans
    C’était, il y a longtemps

    Tiens bon, frérot de Bourrache !

    Et en ce matin lumineux… Jour bel à tous (clin d’oeil)

  4. Beauté des lumières
    affranchi de ses diables
    ta nébulosité s’estompe…
    ***************************************
    La paix du monde comme une immense farce à la face des vivants
    doutes étranges
    à l’ombre d’une cathédrale
    je ne trouve pas la paix
    ma paix est dans le creux de tes bras
    simplement lumineuse de la joie d’être
    *********************************************
    pour la paix
    paix
    aux abois
    dans les cris d’espèrances
    http://www.tibet.fr/

  5. Cathédrale d’Orléans
    C’est au lever du jour que tes tours se réveillent
    Que la lumière du ciel pose ses yeux brillants
    Sur leurs fronts ciselés
    C’est au lever du jour que tu souris au temps
    Et qu’on remplit ton verre de ciel bleu éclatant
    Cathédrale d’Orléans je me souviens de toi
    Non pas dans ces moments
    où tu règnes impassible sur la ville endormie
    Je me souviens de toi
    plus tard dans la journée, tes portes nous ouvraient
    le chemin de ton coeur et nous offraient la paix.

  6. ma paix,
    mon amour,
    les hirondelles bleues des pétales de tes yeux m’éblouissent de méduses translucides
    l’acide rosé de tes lèvres
    sur mes lèvres
    a un goût de sucre sauvage
    je te caresse
    ma paix
    mon amour
    d’arrogantes caresses orangées
    fragiles et tendres
    ma paix
    mon amour

  7. Dans un ciel bleu
    Vision si belle
    La Paix dedans
    Qui fait du bien
    Perle les veines
    De gouttes de vie
    Qui donnent vie
    A la vie

    et après avoir posé mes petits mots de mon coeur en l’ouvrant comme, j’ouvre le pot de confiture de mirabelles ce matin et me remplis de douceurs tendres, je vous souhaite une belle paix..
    Et déjà, que de jolis mots offerts en délices si tendres sucrés de bon, en grande gourmande qui apprécie et se régale doucement, en croquinant chacun, avce tendresse…

  8. Ma Paix de moi
    C’est tellement vous aussi
    Mon amour
    Toute blottie
    Tout contre vous
    En me serrant me nichant
    Vous offrant ma chaleur
    En Paix qui nous circule
    Perlée de chaque instant
    Si tendre et bel
    Qui inonde si grand
    La liberté oxygénée
    De nos petites veines
    De vie


  9. « L’homme est capable de faire ce qu’il est incapable d’imaginer » a écrit René Char

    L’ouragan dégarnit les bois
    j’endors , moi , la foudre aux yeux tendres.
    Laissez le grand vent où je tremble
    S’unir à la terre où je crois.

    Son souffle affile ma vigie.
    Qu’il est trouble le creux du leurre
    De la source aux couches salies!

    Une clé sera ma demeure
    Feinte d’un feu que le coeur certifie;
    Et l’air qui la tint dans ses serres.

    Profession de foi poétique qui part du souffle de la parole à celui du silence…ce sera mon poème de la paix ….

    Bonne journée à tous.

  10. La Paix
    La Paix de l’âme
    Est cette cathédrale
    Qui se bâtit son jour
    Chaque jour
    Chaque grain de poussière
    Mêlé à la sueur
    Se monte vers le ciel
    Dans la lenteur

  11. Chère Ossiane, tes images, dans la nuit et la brume (sinon la pluie) et sous ces angles-là sont superbes et magnifient un monument qui n’en méritait pas tant, à mon avis. Une cathédrale imposante certes, néo-néo-gothique, tout ce qu’il y a de plus bâtard, terminée (l’est-elle vraiment?) en 1830! Que de mains, que d’architectes se sont penché sur son berceau! La dernière cathédrale de France (les Orléanais n’ont pas été bien généreux pour accélérer les travaux et les aléas de l’Histoire n’ont rien arrangé, par ailleurs). Orléans, à l’égale de Lyon, s’est voulu capitale religieuse de la France: tant de clochers pour une province, devenue une petite Genève aux guerres de religion: on s’y étripa, on se massacra joyeusement; on détruisit beaucoup, bien sûr … jusqu’à ce que Henry IV vînt y mettre la paix… Les tours, si fragiles, n’ont pas résisté aux bombes de 40-44 et on accéde au parvis que depuis peu. A Orléans, on prend le temps de la réflexion pour faire les choses. la Loire coule toujours sous le vieux pont.
    Bises à toi, de Paris, sous un ciel gris.

  12. Chère Ossiane,
    sublimes photos !

    A Noisette, Brigetoun, et toutes et tous ici,
    La Paix,
    Un bien joli mot qui n’a plus d’écho,
    Personne ne s’écoute,
    Personne ne s’entend,
    Ma révolte est grande,
    Trop de douleurs dans ce bas monde,
    Dieu, s’il existe, a du oublier ses pêcheurs,
    Malgré tout j’y crois,
    Ici, chez moi, viennent de très belles âmes,
    Alors l’humanité est bien vivante,
    Je continuerai mes combats,
    Contre l’injustice,
    L’indifférence,
    L’intolérance,
    La bêtise,
    Je vous aime tout simplement !

    Comme le dit le Dalaï-Lama :
    «  »Le désarmement extérieur passe par le désarmement intérieur. Le seul garant de la paix est en nous » »

    Bises et bon week-end ,
    OLIVIER

  13. je partage tes mots, jeandler,
    je me dis que dans ces grands cathédrales, tellement d hommes ont travaillé durement…
    J aime plus l image de la cathédrale en certains qui dans leurs vies douloureuses bâtissent chaque jour, une pierre au dessus d une autre, un grain de poussière de jour après un autre jour, c’est cruel aussi, mais c’est choisir de vivre malgré tout et d avancer, en humanité, et pas dans le sens de pierres de dur de terre juste posées pour briller aux yeux de certains…
    un monument, qui parle de paix, ne peut renfermer dans ses jours pour y arriver, des morts qui ont travaillé et se sont usés au labeur juste pour gagner un peu de nourriture.

  14. Je partage tes mots, mon cher Olivier. Bises.
    Injustice, intolérance, bêtise, indifférence, je ne supporte pas non plus…je n accepterai jamais, sans rien dire, sans tenter d’écrire, même si c’est une goutte d’eau dans la mer, une perle de vie vivante dans le respect de la vie dans le si grand univers.

  15. ouf ! merci mais je me sens usurpatrice là – pas de souvenir douloureux, simplement une image aperçue,enfant, d’une ville qui m’était étrangère.
    et la France était pleine de traces et à reconstruire un peu partout, pour nous qui arrivions après c’était la normale

  16. Un rai de lumière
    Un soupçon de brume
    Au petit matin…
    Le clic de l’artiste…

    Quelle soit de Rouen
    De Paris ou d’Orléans
    Ces cathédrales
    Inspirent bien des talents :
    Hier Van Gogh,
    Aujourd’hui pensées pour
    Monet, qui du pinceau
    Captait les moindres reflets
    De lumière sur la pierre accrochés
    Pour faire de ces vaisseaux
    D’éternels tableaux.

    Les cathédrales
    Du haut de leurs clochers,
    Immuables
    Contemplent le monde
    Et lorsque raisonnent
    Cloches et carillons,
    Leurs musiques sont autant
    De chants de paix et d’amour
    Qui s’égrènent alentours,
    Mille notes semées à la volée
    Pour rappeler à l’humanité
    Que le monde aspire
    A la PAIX retrouvée.

    Biseeees carillonnanteeeeeees

  17. J’ouvre la fenêtre…et déjà les oiseaux m’accueillent…en Paix…l’orteil nu caresse le gazon…et se brouette..la Paix….mon petit coeur vagabonde tes ondes…et palpite de toi…ma Paix…mon oeil prend une tige pour écrire..la Paix..et puis ma bouche se bulle un doux baiser….de Paix…qui se naît pour te tendre vivre….en Paix.

  18. Un vaisseau sorti de la nuit des temps
    Surgit paisible dans les vapeurs de brume
    Les faisceaux le guident et l’appellent
    Et ce géant du tant avance puis se pose
    Un peintre sort son pinceau le trempe
    Dans l’air du temps et puis le fixe le temps
    Sur une toile ouverte dans un album de vie
    Où les coeurs se palpitent les âmes voyageuses
    Qui marchent leurs chemins et nagent leurs destins
    En gardant cap sur ce joli port abrité
    Qui porte si tendrement le nom de Paix

  19. L’oeil quitte le sol
    Marche le perron
    Avance se monte
    Et doucement
    Se lève encore
    Le silence l’embrasse
    Il se laisse serrer
    L’athmosphère
    Et se monte se monte
    Se faufile dans une tour
    Se pose sur la cloche
    Qui se met à vibrer
    Délicatement
    Un P puis un A
    Et encore un I et un X
    L’oeil se laisse bercer
    Et il dit oui
    Alors la cloche vibre un peu plus
    Et se met à voler
    Elle quitte la tour
    Il jette son dernier oeil
    De vue de sol
    Et pour toujours
    Se garde ses vibrations
    De Paix à faire tourner
    La terre
    Plus ronde
    Plus belle
    Plus envolée
    En Paix

  20. Entre dans la paix
    Comme on entre dans un palais
    Boire à la coupe
    Du ciboire

    Reflet du miroir
    Miroir de l’âme
    Rajeunit
    Celui qui le regarde

    Etre
    Pour ne plus être
    Se remplir du vide
    Pour être plein du rien

    S’abreuver à la source
    Pour être
    Enfin prêt
    A être plus

    De la vraie vie
    En vraie, en vérité
    Je suis en Paix
    Paix de mon cœur aujourd’hui

  21. Le noir démon des combats
    Va quitter cette contrée
    Nous reverrons ici-bas
    Régner la déesse Astrée

    O Paix! source de tout bien
    Viens enrichir cette terre
    Et fais qu’il ne reste rien
    Des images de la guerre.

    Chasse des soldats gloutons
    La troupe fière et hagarde
    Qui mange tous nos moutons
    Et bat celui qui les garde.

    Délivre ce beau séjour
    De leur brutale furie
    Et ne permet qu’à l’amour
    D’entrer dans la bergerie.

    Fais qu’avec le berger
    On puisse voir la bergère
    Qui coure d’un pas léger
    Qui danse sur la fougère

    Et qui du berger tremblant
    Voyant le peu de courage
    S’endorme, ou fasse semblant
    De s’endormir à l’ombrage

    Accorde à nos longs désirs
    De plus douces destinées
    Ramène nous les plaisirs
    Absents depuis tant d’années.

    Etouffe tous ces travaux
    Et leurs semences mortelles
    Que les plus grands de nos maux
    Soient les rigueurs de nos belles

    Et que nous passions les jours
    Etendus sur l’herbe tendre
    Prêts à conter nos amour
    A qui voudra les entendre.

    Jean de la Fontaine

  22. Quand les hommes vivront d’amour
    Il n’y aura plus de misère
    Et commenceront les beaux jours
    Mais nous, nous serons morts mon frère

    Quand les hommes vivront d’amour
    Ce sera la paix sur la Terre
    Les soldats seront troubadours
    Mais nous, nous serons morts mon frère

    Dans la grande chaîne de la vie
    Où il fallait que nous passions
    Où il fallait que nous soyons
    Nous aurons eu la mauvaise partie

    Quand les hommes vivront d’amour
    Il n’y aura plus de misère
    Peut-être song’ront-ils un jour
    A nous qui serons morts mon frère

    Mais quand les hommes vivront d’amour
    Qu’il n’y aura plus de misère
    Peut-être song’ront-ils un jour
    A nous qui serons morts mon frère

    Nous qui aurons aux mauvais jours
    Dans la haine et puis dans la guerre
    Cherché la paix, cherché l’amour
    Qu’ils connaîtront alors mon frère

    Dans la grand’ chaîne de la vie
    Pour qu’il y ait un meilleur temps
    Il faut toujours quelques perdants
    De la sagesse ici-bas c’est le prix

    Quand les hommes vivront d’amour
    Il n’y aura plus de misère
    Et commenceront les beaux jours
    Mais nous, nous serons morts mon frère

    Quand les hommes vivront d’amour
    Ce sera la paix sur la terre
    Les soldats seront troubadours
    Mais nous, nous serons morts mon frère

    Raymond Lévesque

  23. Je suis un homme de Cromagnon
    Je suis un singe ou un poisson
    Sur la Terre en toute saison
    Moi je tourne en rond, je tourne en rond

    Je suis un seul puis des millions
    Je suis un homme au coeur de lion
    A la guerre en toute saison
    Moi je tourne rond, je tourne en rond

    Je suis un homme plein d’ambition
    Belle voiture et belle maison
    Dans la chambre, dans le salon
    Moi je tourne en rond je tourne en rond

    Je fais l’amour et la révolution
    Je fais le tour de la question
    J’avance, avance a reculons
    Moi je tourne rond, je tourne en rond

    Tu vois, j’suis pas un homme
    Je suis le roi de l’illusion
    Au fond, qu’on me pardonne
    Je suis le roi, le roi des cons

    J’ai fait le monde à ma façon
    Coulé dans l’or et le beton
    Corps en cage, coeur en prison
    Moi je tourne en rond, je tourne en rond

    Assis devant ma télévision
    Je suis de l’homme la négation
    Pur produit de consommation
    Et mon compte est bon, mon compte est bon

    Tu vois, j’suis pas un homme
    Je suis le roi de l’illusion
    Au fond, qu’on me pardonne
    Je suis le roi, le roi des cons

    C’est moi le maître du feu
    Le maître du jeu
    Le maître du monde
    Et vois ce que j’en ai fait
    Une Terre glacée, une Terre brûlée
    La Terre des hommes, que les hommes abandonnent

    Je suis un homme au pied du mur
    Comme une erreur de la nature
    Sur la Terre sans d’autre raison
    Moi je tourne en rond, je tourne en rond

    Je suis un homme et je mesure
    Toute l’horreur de ma nature
    Pour ma peine, ma punition
    Moi je tourne rond, je tourne en rond

    zazie

  24. Splendeur des images, douces et apaisantes, merci Ossiane
    ____

    Brume matinale
    Sur la ville qui s’éveille
    Le regard des anges
    ____

    Les anges au nombre de huit sont sur les tours de la cathédrale.

  25. Sublimes photos de cette belle cathédrale. Tes couleurs de la nuit, du froid au chaud. C’est superbe. J’ai aussi quelques clichés du bâtiment, beaucoup plus froids, de jour, sous la pluie, sous la brume…

  26. dans le nuit bleu de l’encre de mon enfance,
    j’avancerai portée par le seul rythme de mes pas
    dans le silence de la vi(e) lle, ils résonneront
    doux tambourinement clair sur les pavés disjoints
    je n’aurai plus froid
    je n’aurai plus peur
    petit à petit mon coeur battra de nouveau
    sereinement

  27. la sensation est un frisson
    le regard du monde une douce orange dans le soir des blés coupés sur l’or des vents
    paix dans tes mains
    au creux de tes reins
    paix dans la source
    de tes silences

  28. Pierre parmi les pierres
    Je suis là, simplement,
    En voie d’éternité
    En attendant ton nom
    Attendant ton regard
    Je suis pierre
    Intensément
    Ainsi je resterai
    Si tu ne me viens pas
    Sans âme ni raison

  29. La nuit s’efface…
    Le jour se lève sur fond de ciel bleu…

    Une fois n’est pas coutume par les temps qui courent !

    Je vais recharger mes batteries : monstre ménage en vue (Bourrache tu viens m’aider ?)

    Avant de m’y mettre,

    Aujourd’hui, je voudrais avoir une pensée pour toutes celles et ceux qui ont œuvré pour la PAIX de part le monde, chacun dans leur domaine, et qui ont été reconnus :

    Le prix Nobel de la paix récompense « la personnalité ayant le plus ou le mieux contribué au rapprochement des peuples, à la suppression ou à la réduction des armées permanentes, à la réunion et à la propagation des progrès pour la paix » selon les volontés, définies par testament, d’Alfred Nobel.

    Pensée également à tous ceux qui oeuvrent dans l’ombre et qu’on ne connaîtra jamais…

    Biseeees matinaleeees
    Christineeeeeeeeeeee

  30. ____

    Nouvelles de la planète des agités: avec un fil à la patte, ils filent vers la lune, avec mille fils plutôt, ils y sont, ils alunissent et déjàsongent à plus loin, attirés par le désir nouveau qui n’aura plus de fin, dans un ciel de plus en plus élargi.
    Cependant sans s’arrêter, des masses immenses dans les espaces tournent à toute vitesse, s’écartent , se fuient, s’attirent, s’équilibrent, orbitent, muent, géants de matière au paroxysme, jusqu’à explosion, jusqu’à implosion, luttant , enragés d’existence, pour pendant des milliards d’années continuer à exister, étoiles de toutes sortes et galaxies, elles aussi entraînées à exister.
    Mais pourquoi donc ? Pourquoi ?

    Très bon week end à tous, Ossiane et les poètes de l’Oeil ouvert!
    A bientôt

  31. Désolée j’ai oublié la signature, il s’agit d’un texte emprunté à Henri Michaux.

  32. Ce matin, le vent roucoule assez fort dehors, et en intérieur, ses murmures font du bien, et apportent la Paix, le vent cajole l’oreille et emmène l’oeil qui se balance en branches, et la Paix rentre encore et encore en tout dedans.

  33. la nuit s’efface, délivrée de mes démons (de minuit!!!!), à la lueur du jour, je redeviens un ange…….

    bon week-end à tous et toutes. bises

  34. et dans neuf heures, c’est déjà minuit, sabine, et avant c’est la Paix, quoique!? SOURIRE! Bon après midi d’avant minuit.

  35. Il étaient deux à l’origine
    L’âme très lourde et bien chagrine
    Ils n’avaient pas connu leur père
    Etaient tous deux morts à la guerre

    Ils allaient dans tous les villages
    Avec l’amour pour seul bagage
    En déposant dans leur sillage
    Leur doux refrain comme un message

    Troubadours de paix et d’amour
    Trouvères de la paix sur la terre

    Certains bien sûr se moquaient d’eux
    Car l’homme est parfois bien curieux
    Souvent hostile à l’harmonie
    Aimant tant la cacophonie

    Une fleur en place de fusil
    Vraiment je n’ai jamais tant ri
    Vous avez une si belle allure
    Avec ces fleurs pour seule armure

    Troubadours de paix et d’amour
    Trouvères de la paix sur la terre

    Mais ils continuaient leur chemin
    Comme de simples baladins
    Indifférents à ces railleurs
    Car ils n’écoutaient que leur cœur

    Le groupe de plus en plus nombreux
    Avançaient sereins et heureux
    Dans une lente procession
    Avec la paix pour communion

    Troubadours de paix et d’amour
    Trouvères de la paix sur la terre

    Ils traversèrent tant de contrées
    Qu’il serait long de raconter
    Leurs péripéties merveilleuses
    Car je ne suis pas vraie conteuse

    L’histoire s’arrête inachevée
    On ne sait s’ils sont arrivés
    Dans ce pays imaginaire
    Qui ne connaît pas de frontière

    Troubadours de paix et d’amour
    Trouvères de la paix sur la terre

  36. dans la nuit où s ‘entend le rire des gargouilles
    lorsqu’éclatent les féroces orages
    et que saigne le coeur des âmes douces
    après la douleur des ombres torturées
    après la violence des tenêbres grimaçantes
    après l’agonie des papillons du rêve
    vient avec le premier cri du jour
    un temps
    pour l’envol de l’oiseau virginal
    un temps
    pour le printemps du cerisier
    un temps
    pour le chant du rossignol
    un temps
    caché dans les épis de blé
    un temps
    grandi dans le poing des étoiles
    un temps
    forgé dans la resistance des fleurs
    un temps
    où coule l’eau et le sang des sources
    un temps
    de paix

  37. >Annick :
    Miam 😉 Ca plane fort 😉 Voilà de beaux poèmes emplis de sérénité et et d’amour de la vie que tu nous fais partager avec beaucoup de tendresse. Que ton week-end soit aux couleur de cette paix intérieure. Bises roucoulées vers toi 

    >Bourrache :
    Pas de quoi Bourrache, tous les rêves sont permis 😉 Bon week-end !

    >Phil :
    Bel week-end à toi aussi 😉 C’est beau ce que tu as écrit suite au commentaire de Bourrache. Merci !

    >aspe :
    La paix et les cathédrales, deux thèmes qui t’inspirent au plus haut 😉 Tu es un habitué des vertiges 😉 Que tes évocations sont belles et multiples. J’ai beaucoup aimé lire le roman historique Les Piliers de la Terre, le connais-tu ? Il se lit d’un seul trait, on ne le lâche plus.
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Piliers_de_la_terreIl

    >Lou :
    Merci Lou pour ton poème très lyrique en hommage à cette cathédrale. Serais-tu une passionnée des vielles pierres… 😉 Bises.

    >Bonbonze :
    Un revenant 😉 Merci à toi.

    >Maria-D :
    Merci pour ces définitions. Il faut s ebattre pour faire valoir les valeurs de la paix. UN rude combat à mener. Je t’embrasse.

    >Alix :
    Comment fais-tu pour écrire des choses si belles et abstraites ? Merci pour ce beau poème pacifique. Bises du week-end.

    >max :
    Impressionnante performance et musique, merci max et pensées à tous ceux touchés par ce fléau!

    >Pierre :
    Je t’écoute avec grande attention et respect, je m’en remets totalement à te connaissances historiques 😉 Ce que tu évoques est fort intéressant et triste aussi. Je n’ai pas cherché à mettre cette cathédrale plus qu’une autre en lumière ; j’aurais fait la même chose dans une tout autre ville. Ce qui m’intéressait avna tout, c’est la résonnance de la lumière et du brouillard dans cet espace. Bien à toi et bon week-end.

    >olivier :
    Un mot très d’actualité malheureusement. Merci pour ton cri du cœur. Je t’embrasse.

    >brigetoun :
    OK brigitte, message bien reçu 😉

    >Christineeee :
    J’ai aussi pensé à Monet et à toutes ses superbes versions de la cathédrale de Rouen en empâtements de matière et de lumière;-) Merci pour ton beau poème plein de justesse et de musicalité. Je t’embrasse et te souhaite un bon week-end. Que la paix soit avec toi.

    >Véronique :
    C’est beau, simple, épuré et bien ressenti Véronique. J’aime la musique de tes mots entre plein et vide. Bises.

    >rachel :
    Que de références autour de la paix et de l’homme, rachel !
    http://www.dailymotion.com/video/x2zfq2_je-suis-un-homme_music
    Merci pour ton beau poème généreux sur les troubadours de la paix et de l’amour. Je t’embrasse.

    >Monique :
    Je suis contente que ces images diffusent quelque chose de paisible. Ces huit anges veillent sur toi. Pensées chaleureuses vers toi.

    >Anne :
    La lumière électrique apporte un peu de chaleur. De belles ambiances diffuses à tenter de restituer. Bon week-end et merci !

    > @nn@ :
    Que de sensibilité et douceur dans ton poème ! Le cœur en paix et l’avenir en esquisse. Merci pour ta belle pume.

    >Serge :
    Merci pour ton approche, bon week-end à toi aussi.

    >Mathilde :
    Quel tempérament de feu dans ce poème ! Et quelle question existentielle bien sûr! Merci pour ton choix judicieux. Amitiés.

    >sabine :
    Sabine aux deux visages 😉 Mi ange et mi démon pour faire un bon équilibre 😉 Bises et merci.

    >amichel :
    Je me doutais que ces gargouilles ne te laisseraient pas indifférent 😉 Que de beauté et de sensibilité dans cette renaissance du jour ! La forme ponctuée par « un temps » sert vraiment bien ton propos. On entend le silence à la fin. La bise au grand poète !

  38. Tant de poids, tant d’oppression dans cette église

    Tant de beauté dans ces sculptures

    et une des phrases les plus belles du monde
    « Aimez vous les uns les autres »

  39. La paix oui mais à quel prix ?
    les églises à part pour la tréve de dieu
    ne m’inspirent pas trop sur ce thème.
    j’aime leur calme et leur fraicheur
    propice au receuillement voire au ressourcement
    mais vraiment même si les blanches colombes
    se nichent dans les hauteurs et que
    ces cathédrales de pierre symbolisent l’élévation
    leur verticalité me donne le vertige
    et puis tant de religions ont été sources de guerre !

    je sais mon argumentaire n’est guére épais mais c’est ainsi.

  40. > coucou Ossiane… le poème n’est pas de moi, mais de René Char (j’ai oublié de signer à la fin, pas bien !!!) Et il est très beau, tu as raison!
    Je t’embrasse 🙂

  41. Quelque critique (dont le nom m’ échappe) comparait les cathédrales de Monet à des glaces entrain de fondre. Il ne précisait pas le parfum mais j’y verrais bien framboise et pistache. Et pour les tiennes, chère Ossiane, mangue et kiwi.
    D’ ailleurs tout ceci tombe bien puisque sur cette place de mon enfance, il y avait un glacier ambulant avec sa roulotte-glacière blanche. Deux dômes, plus ou moins orientaux protégeaient les crèmes précieuses et qu’il soulevait avec componction et convoîtise. Je me souviens…

  42. Cet après midi, je suis entrée dans la cathédrale St PIerre St Paul de Nantes, et quelle grandeur, l’oeil se lève et ne quitte pas le haut, si immense, les vitraux de telles tailles, les piliers, les allées, tout est grandiose, et le coeur à la fois palpite et s’apaise…..
    il palpite car tant de souffrances dans ces lieux pour construire sans échafaudages 08, ses hauts murs de pierres,
    et il s’apaise car le lieu est si calme….

    Je me souviens aussi du marchand de glace, de son klaxon, et de parfois, « vous allez vous chercher une glace! « , c’était ‘parfois’, et ce goût de rare, avait une telle odeur, évoque un tel souvenir.

  43. Thierry je suis venue ,j’ ai lue
    Avec toi je suiis en plein accord
    Moi qui ai vécue la geurre et mon enfance a l’ ombre de ces monuments
    La Maison de Dieu on m’ a appris
    Cette époque est terminé
    Je partage et suis d’ accord avec ce que tu as écris.
    Bonne soirée amitiée a toi Noisette.
    Ne pas oublier les habitants du Tibet et n’ oublions pas 1933 les jeux de Munich
    Puis de nouveau ce  » que nous devons jamais oublier « 

  44. Bonsoir noisette, toujours touchée par vos mots,

    et je cite les mots de Thierry, « et puis tant de religions ont été sources de guerre ! », je partage tout à fait, et 2008, nous montre encore tellement de guerres créées par des religions qui veulent soumettre,

    et pourtant,

    l AMOUR c’est d abord et toujours le BAISER, et jamais la violence,
    en pas d’accord, on peut le dire dans le calme,
    l’échange en amour, ne veut pas dire être d accord toujours, mais d’abord SE RESPECTER, respecter l autre et ne pas oublier de se respecter!

  45. Tout d’ abord bonsoir Annick !
    Tout a fait d’ accord il faut tjs se respecter en premier et son interlocuteur pareil
    Si nous essayons malgres nos differents de voir ce qui nous rassemble en premier
    Puis faire tout ce qui est en nos moyens de faire ce qu ‘il faut pour que ce soit possible.Aimons nous et respectons nous cela nous le pouvons.
    Je voudrais tellement que ce mot existe vraiment.Ma chére Annick je te souhaite une bonne nuit ,n’oublie pas de changer l’ heure cette nuitJe t’ embrasse et bonne nuit a Jean Sé.Noisette

    Ps:il m’est impossible de faire parvenir un e mail a Ossiane .Bonsoir Ossiane qu’ est ce qui arrive pas posible de te fairs parvenir le moindre e mail Bonsoir a toi.Noisette.

  46. rebonsoir Noisette,
    merci pour tes mots chers à mon coeur,
    j a appris le changement d heure que ce soir..alors c’est bon, cela a failli ne pas se faire..sourire… bonne nuit pour toi et chacun’e’.
    et je t’embrasse Noisette d’un baiser tendresse.

  47. Dans les limbes ou les langes
    là où sont censés dormir les anges
    Dans les ombres mouvantes
    là où se terrent les bienveillantes
    Dans les tours élevées à sa gloire
    là où ne cesse de s’agiter l’ostensoir
    se gomment les derniers signes de la nuit
    et disparait tout soudain cet ennui
    fuyez gargouilles de cette cour des miracles
    attendez vous aux annonces des oracles
    la lumière symbolique annonce t elle la paix
    cette pax urbana qui vient dans les rais

  48. ___

    UN BAISER

    Un baiser, mais à tout prendre, qu’est-ce?

    Un serment fait d’un peu plus près, une promesse

    Plus précise, un aveu qui veut se confirmer,

    Un point rose qu’on met sur l’i du verbe aimer;

    C’est un secret qui prend la bouche pour oreille,

    Un instant d’infini qui fait un bruit d’abeille,

    Une communion ayant un goût de fleur,

    Une façon d’un peu se respirer le coeur,

    Et d’un peu se goûter, aux bords des lèvres, l’âme!
    _

    Edmond ROSTAND – Cyrano de Bergerac
    ___

  49. urbi et orbi

    disparition
    le veilleur de nuit
    l’allumeur de réverbères
    la petite fille aux allumettes

    engloutissement
    brouillard monumental
    vacillement d’édifices
    effondrement de tours

    mirages
    des châteaux de sable
    impressions artistiques
    cathédrales de papier

    orbi et urbi
    écho des ondes de choc
    foutoir des sons de cloches
    morituri te salutant

    survivance
    images des astres
    poussières des étoiles
    flamme d’allumeur de réverbères

    andrée wizem

  50. A tous, j’ai des doutes, pouvons nous penser librement à l’ombre d’une église, (temple, mosqué, sinagogue…). Personnellement, chaque fois, je prends du recul, beaucoup de recul, et il me faut du temps, j’évalue les distances,…Je n’apprécie guère lors de mes divers déplacements ( en voyage), voir ces troupeaux de « touristes » renter dans une église comme dans un supermarché… Ou bien en « découvrant » un village, n’y aller voir que l’église…
    Jérusalem : J’ai rusé l’âme. Jacques Prévert.
    La ruse de qui est sans ruse, c’est la patience.
    proverbe arabe
    Il ne faut pas le bruit d’un canon pour empêcher ses pensées. Il ne faut que le bruit d’une girouette ou d’une poulie.
    Blaise Pascal

  51. Merci pour ces citations, aspe,
    je partage tes mots, aspe, pour un monument et le noir des touristes…
    juste un arbre ou un simple brin d herbe et tant de Paix dedans, qui permettent de penser doucement, calmement…
    Hier la cathédrale avec juste trois quatre personnes en allée….une belle façon de ressentir plus.

    C’est beau ce poème, Bourrache.

    Bon dimanche à chacun’e’.

  52. >Candide :
    Bonjour Candide, merci pour ta visite à questionnements 😉 Je ne sais pas répondre 😉 Bon dimanche !

    >maria :
    Belle deuxième image qui en dit long. Merci à toi.

    >Thierry :
    Chacun a le droit de réagir comme il le sent 😉 En tous cas, cette cathédrale provoque multiples réactions qu’on soit croyant ou pas 😉 Je m’interroge sur le désir de puissance qui ont conduit nos ancêtres à construire de tels édifices au prix de larmes et de sang. Néanmoins, ils font partie d’un riche patrimoine. Merci pour ta visite.

    >alix :
    Coucou alix, sympa de remettre les pendules à l’heure mais ton écriture n’est pas si loin de ça 😉 Bises.

    >Martine :
    Bonjour et bienvenue sur le blog 😉 Merci pour ta poétique façon de te présenter 😉 Au plaisir de te revoir ici.

    >Pierre :
    Je n’avais pas pensé aux glaces 😉 Pas mal mangue kiwi 😉 Mais j’aime bien matière picturale charnue et vivante de ces tableaux de Monet. Ca me fait penser à la touche de Turner. Tu es donc né et tu as vécu à Orléans ? Je comprends que tu sois si sensible à ces notes. Je t’embrasse et t’offre une quadruple glace aux fruits exotiques 😉

    >Annick :
    Serait-ce cette cathédrale qui t’a amené à entrer dans celle de Nantes ? En effet, beaucoup de sacrifices humains pour ériger des voûtes à une si grande hauteur.Le roman que j’ai évoqué explique tout cela. Bon après-midi.

    >Noisette :
    Désolée, Noisette. Je ne comprends pas ton problème pour m’envoyer un email. Réessaie aujourd’hui, il y a peut-être eu un problème technique hier. Je t’embrasse.

    >Bourrache :
    Beau poème de Rostand ! Merci pour le partage.

    >andrée :
    Quel beau foisonnement d’images et de sensations ! Merci Andrée.

    >aspe :
    Moi aussi, je prends du recul, aspe mais je n’en reste pas moins fascinée par les prouesses architecturales réalisées à cette époque malgré les terribles conditions dans lesquelles ces cathédrales ont été édifiées. Merci pour tes réflexions profondes. Incroyable Prévert.

  53. bonjour Ossiane, peut être c’est ton image qui m a donné envie d y entrer cette fois, dans celle de Nantes…
    Je suis allée peu à Nantes jusqu’à présent, et cette fois, garés près de la cathédrale, l’envie d y entrer….
    Jean Sé attiré par une fête foraine, on a regardé de loin, et puis on est entré dans cette Paix en dedans, pour lui enlever son envie de foire…
    Ce n’est pas systématique, mais asse souvent, j aime entrer dans un tel lieu et me laisser aller à la Paix qui y rêgne.
    Bonne fin de journée, Ossiane.

  54. Oui, Ossiane, orléanais, né dans un faubourg d’ Orléans, à une encablure de la ville. Par les temps qui courent, la glace (quadruple, s’il-vous-plaît, je vais faire des jaloux!) n’a pas eu le temps de fondre à l’heure où je la découvre. Merci pour le goûter. Je t’embrasse.

  55. ils sont jolis les tableaux, Bourrache, merci,
    alors je viens danser avec toi, bien jolie chanson de bel sens, une belle vidéo…
    BISES.

  56. Il fait si doux ce temps, que le mot Paix évite de se laisser murmurer, de peur de le réveiller ce silence si tendre qui fait du bien à l’âme, car tant d’amour dedans.

  57. ___

    Il y a une corde qui me pend autour du cou, autour du temps du tant d’avant. Il y a tant de brumes qui jamais ne se sont levées sur ma cathédrale en phase de construction. Il y a ces religions, ces enfants que j’aimerais n’avoir jamais enfantés. Il y a tant de toi(ts) que je n’ai jamais peints. Il y a tant de moi(s) que je traîne une vie.
    Il y a.
    Il y avait.
    Il y aura.
    Personne ne s’en souviendra.
    De moi.
    De eux.
    De toi.
    Peut-être, quelques passants.
    Ils inventeront notre histoire.
    ___

  58. Oui Ossiane les vieilles pierres m’ animent et me permettent des voyages dans le merveilleux. Ce sont pour moi des trésors vivants et mon regard pardon, n’ est pas très religieux. Mes yeux ne cherchent et ne retiennent que cet enchantement dans lequel elles me plongent.
    Merci de réveiller par tes photos de biens beaux souvenirs.

  59. Bonjour!
    J’aime les poèmes. Vous êtes une très bonne écrivaine! Elles sont mots d’élégance et le couleurs sont si bonne. C’est facile à voir comment vous pouvez écrire si bien avec telles images stupéfiantes. Les images sont super chouettes dans la nuit.

    Merci,
    Graham

  60. J’aime les poèmes!! Elles sont mots d’élégance et le couleurs sont si bonne.Vous êtes une très bonne écrivaine!

  61. 1978 collége Dunois rue Caban institut Seresne pour Orphelin je les regardais jouer au football dans la cour depuis une fenêtre de chez moi je joue au rugby au RCO internat au Lycée Pothier déconades de grande chambrée groupe punk je branle la guitare Clash Cures bob Marley Virgin Prunes biéres au parc Pasteur bitures à répétition redoublement triplement bars de la rue de Bourgogne Viva Zappata, Flesh, Amerique interdite, Mourir à 30 ans, caveau des trois marie, amour déçus errances amour heureux quai de loire chiotte du lycée avertissement du proviseur cleptomanie long moment d’auto stop pour rentrer tous les jours à Jargeau par Sandillon pour arréter l’internat déconade handball à Jargeau joint vodka Punk à Orléans fête de la musique boum j’ai serré la main d’ Hervé Bazin rue de la République il avait l’air surpris et content on s’est souri amour décu quelques mois d’errance dans les rues d’Orléans rencontres féminines qui m’ouvrent sur les livres Orwell Steinbeck Duras j’habite une chambre indépendante chez une cousine de ma mére Institut d’Arts Visuels je rencontre ma future femme trés sérieuse en Gengis Kagne à Pothier 1988 je quitte Orléans.

  62. On vient de frapper à ma porte et le portable de l’ inopportun sonne tout en même temps !?
    Je voulais laisser un gentil petit mot ; ce sera pour la prochaine fois.
    Ikus artio (au revoir en basque)
    Ch P

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