Lecture du Haïku Calligramme: lecture horizontale
Le pont des mirages
un palais de lumière
silence intérieur
◊ A Orléans…
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Lecture du Haïku Calligramme: lecture horizontale
Le pont des mirages
un palais de lumière
silence intérieur
◊ A Orléans…
Nuit du ver luisant
Dans les ténèbres de jade
Cochenilles de lumière
***
Belle nuit Ossiane… une note à la fois profonde et légère… j’aime
___
Au coeur d’une bouteille
Voyage étrange.
Quelques lueurs
Pelures d’orange
Lamelles
Zestes de citron vert
Sucettes caramel
Hirsutes.
Tâtonner
La sortie ?
Se rétrécir
S’extraire
Par le goulot.
Affronter
La nuit
Sans fin
Glauque.
___
Au Campo Santo
en repos le soir venu
les ombres rôdent
Halo de lumière
Dans la nuit noir
Hésitation…
l’attrait de l’inconnu
connaitre pour s’entrevoir…
se mettre en lumière
résisister à ces fantasmes
et s’exposer au risque de se brûler
mais aussi d’exister…
la peur de l’inconnu
s’enfuir pour se fuir
écouter ses démons
s’enfoncer dans la nuit
se cacher et se calfeutrer
attendre la mort…
J’ouvre plus fort les yeux
Plus fort encore
Vois trop peu
Un peu plus ensuite
Et déjà ferme les yeux
Recueillis
des voutes, des routes, déroute
des arches, des arcs, pas de flêches
pas outepassés, ni dépassés
une éclairage diffus, tamisé
promenade, enfilade
succession, rythme
pas d’arche ivre
pour mémoire
faiblissante
faible lueur
fanal
sous le voutes
léger doute
redouté
velouté
frisson
léger
courant
d’air frais
respiration
bravo à bernard pour sa série si pleine
merci ossiane: l’aventure continue
bonne journée à tous, le vent vient de la galerne comme disait ma grand mère
dans la mayenne
___
Que nous fais-tu là, Bernard, avec ton voyage à l’envers ???
Emouvant.
Bouleversant.
Inquiétant, aussi.
On a tous encore besoin de tes grains de mots.
Infiniment.
___
___
Vertes lueurs
Les yeux rivés au ciel
Suivons les pointillés
Des pois irréels
Inspirés par le noir
Le noir de la nuit
Pétales de lumières
Alignés côte à côte,
Fleurs de nuit
A effeuiller
Une à une
Ou grignoter
Chaque dent
Comme un petit beurre
Crotchhhh crotchhhhh crotchhhhh
Seul imperceptible bruit
Dans le silence
De la nuit !
Biseeeees de Christineeeee
Sous ce grand arc on a posé
Ton corps a jamais libéré
De ses peurs et de ses souffrances
Délivrance
De ton visage défiguré
A jamais non identifié
Tu fus le cerceuil désigné
Pour la France
Car vous étiez tous destinés
A faire de la viande à boucher
Vous ne pouviez imaginer
telle souffrance
Sur la chance il fallait compter
Pour ce sortir de ce charnier
L’esprit souvent annihiler
Circonstance
Si vos morts avaient pu servir
De leur folie les hommes guérir
D’autres horreurs devaient venir
Edifiantes
Sous ces Arches, te souviens-tu, nous avons ouverts le bal !
Une valse endiablée ! Nas tu aucun souvenir ma chère Bourrache ? Tu m’étonnes ! A ton regard quand Neyde m’a invité dans sa danse, j’ai senti un soupçon de jalousie… 😉
Bien sur que non, Mesdames, vous êtes trop bien éduquées pour douter de votre confiance.
Allez, je vous amène dans mon univers ! Ecoutez !
http://www.dailymotion.com/video/x23962_jeanjacques-goldman-tournent-les-vi_music
Au son des violons, sous ces arches, dansons !
Joyeuses Pâques à toutes et à tous !
Bisous ma chère Ossiane et à mes cavalières,
OLIVIER
en echo à rachel
lettre imaginaire à partir des témoignages
de lettres de poilus
Pour que mon enfant sache ce qu’est la guerre
Soldat inconnu , combattant de l’absurde
Ma très chère femme , je t’envoie cette lettre
Car il n’est pas sur qu il me vis un jour en chair
Je rampe dans les boyaux, comme dans des intestins
Ou coulent la peur et l’odeur de mort
Sous une pluie incessante d’obus et de mitraille
Libérant les entrailles, durant les batailles
mélangeant Le sang, la terre et formant une bouillie
Presque identique a celle qui nous nourri.
Nos larmes ruissellent dans la marre croupie
Ou nous buvons comme des fauves accroupis
Là ou poussaient bleuets et primevères
Je regarde ce désert, cimetière à ciel ouvert
Ou les obus éclatent et recouvre les corps
Et éclatent encore et exhument les corps
Fossoyeur de l’inutile, en habit de ferraille
Ils Labourent les terres , avant que le sang ne caille.
Et Quand le silence s’installe, sous les oripeaux
je n’entend que des râles , et les cris des corbeaux
Mort au champs d’honneur, au chant de l’horreur
Héros pour la nation , glorieux soldat inconnu.
Et quelques erreurs, enterrées dans des profondeurs
Ecartant les trublions et portant l’héroïsme aux nues.
comdamné à mort!
comdamné à tord?!
le pont des soupirs
la mort , son sourire
De vie à trépas
encore étourdi
de se jugement
à peine quelques pas
dérouler sa vie
le bien le mal
le vide s’installe
un dernier rêve
les gens se lèvent
vient le bourreau
se resert l’étau
le grand cirque
l’instant critique
trois derniers mots
brefs soubresauts
comdamné à mort
à qui le tord
ça devient
de plus en plus
lugubre…
Tempête ici bas,
Vent froid,
Frimas,
Noël au balcon,
Pâques aux tisons !
Thierry,
Bourrache
OÚ vous avez lu Bernard?
Ici au Blog?
Aidez-moi.
Bises
Traverser ce couloir
Le vert et Le noir …
Moi? Jamais, j’ai peur.
Non, non pas de la couleur
Mais, Il y a quelqu’un au fond.
Imagination?
Tu ne vois rien?
Mais, oui,
Il y a quelqu’un devant
la porte,
Prés de la fenêtre.
Une âme ?
Un être vivant?
Traverser ce couloir
Pendant Le noir …
Moi?
Jamais, j’ai peur.
Oui, oui,
Sont beaux les arches
Je me souviens de mon école
On l’appelle Les Arcades
Ne comptes pas
sur moi
Pour aller là-bas
Pierre m’a racconté sur le Campo Santo.
Et même dans les Arcades
Il y a le cercueil d’un vieux professeur…
Traverser ce couloir
Le vert et Le noir …
Jamais, j’ai peur.
J’ai découvert, c
christine adamantine
Lu oui, gubre peut être pas !
N’attisons donc pas plus ce vent qui affale nos espoirs
et du balcon ne retenons que la bal et laissons les suffixes
toulousains au rancard.
Oui la météo pourrait nous mettre à bas l’espoir
d’une saison neuve mais dans la dévente
réside un autre atout.
Le vent chasse les nuages et ouvre de nouvelles plages
horaires et pas horreurs, pourtant le ciel ne traîne pas
en route, lachons l’écoute et détaillons le moutonnement
qui génére l’étonnement.
J’ai découvert, c’est sur Souffle!
Moi, je vais lire aussi.
Bises
« »Le pont des mirages
un palais de lumière
silence intérieur » »
◊ A Orléans…,????
…tombe l’heure verte
des ombres
orangées…
888888888888888888888888888888888888888888888888888888888
Ossiane, encore une fois tu nous donnes à rêver…C’est comme :
« dans ta couleur
les mains tendues
des blés verts
chassent
à jamais l’olive orangée des rires suspendues dans l’agate du silence »
Merci Thierry pour tes paroles optimistes !
Il est vrai que je suis en manque d’énergie depuis quelque temps, (bronchite, rhume,) et j’ai du mal à recharger mes batteries, à tel point que je n’irai pas monter à cheval ce soir, c’est dire !
Mais où donc vont les nuages
poussés par ce vent ?
Je te laisse déchiffrer les messages des nuages tout à loisir, vu leur nombre, tu vas passer un bon w-end !
Biseees à tous et toutes
Christineeee
Tout baigné de vert, je pense aux beignets de tomate verte
orangées comme les hautes rangées de pilastres qui s’encastrent
quand aux voutants brisés, ils sont bien portants et pas la risée
d’un quelconque mandarin qui voudrait tout gober
mais en lumière polarisée qu’est ce que ça donne ?
Sont arrivés chez moi, vos nuages avec grelons et flocons comme bagages.
Avec le vent, ça voltige joliment (voyons les choses comme ça…).
Ma campagne se vêt d’un beau manteau blanc.
A quelques kilomètres de chez moi, sur l’autoroute, le trafic est bloqué dans les deux sens vient de dire la madame dans mon poste de radio.
Je connais une poule (ou une cloche ?) qui va avoir froid aux fesses en déposant ses oeufs, dimanche matin.
Clins d’yeux et sourires (notez le pluriau). On en a bien besoin.
Un drôle d’effet
Les martiens la tête en bas
Balisent leur voie
Kirikino (http://www.kirikino.biz)
Dans mon petit monde intérieur
Le courage peut défier la peur
La dureté et la douceur
Se côtoient
Dans mon petit monde intérieur
Tout est parfois un peu en vrac
Ça va très vite et patatrac
Je me noie
Dans mon petit monde intérieur
Baigne souvent la tolérance
Et puis j’avoue la suffisance
Quelquefois
Dans mon petit monde intérieur
Il y a parfois quelques malheurs
Mais les fondations extérieures
Les renvoient
Dans mon petit monde intérieur
A jamais au fond de mon coeur
Tu as cette place un peu spécial
Initiale
Je te suis je suis la.
A la porte des mirages
Je t’ai suivi jusque la.
Enton palais de lumière.
Jy entend ton silence.
Intérieur.
J’y vois ma solitude.
Intérieure.
Je te suis je suis la….
Tu es là
Si de toi
Dans ce passage solennel
Je l’aime ce moment
En infiniment grand
De tel toi
Et je te serre
Intensemment
De tout mon être
A force voir rouge, il a fini par broyer du noir. Et c’est cela qui l’a conduit sur l’échafaud. Il a donné son sang bien rouge à la veuve toute noire. C’est bien comme ça qu’on l’appelait : la veuve. Ses amants qui perdaient la tête pour elle ne vivaient qu’une seule fois sa terrible étreinte. Vague à lame ou vague à l’âme c’était tout pareil. Et lui, pas plus que les autres, il a résisté. Ha ! oui, il a fait la bravage, il l’a, de loin, regardée bien en face et il lui a dit : « je viendrai pour les noces, ma belle. Tu en as croqué plus d’un mais moi je suis un dur. Tu veux ma tête, c’est ma main que tu auras ! et au panier en plus ! »
Et puis vint le jour, matin subtile encore, vint l’instant qui devait le voir se coucher sur elle.
Avant, il avait arpenter le couloir. Sinistre, éclairé par des fluos verdâtres, lumière propre à vous faire tourner les sangs. Il avait compter les tubes, six dans la grande allée, quatre dans l’allée latérale, la dernière avant la porte, la porte de la veuve.
Il avait humé l’air qui venait des arcades. L’air du large, l’odeur iodée du large. Il avait pensé qu’avec tout ça, il avait oublié de laissé sa boite de pain ouverte et la souris mutine câline coquine qui l’accompagnait depuis, depuis … – avec tout ça, y a quoi perdre la tête – depuis longtemps, n’aurait pas sa ration quotidienne.
La porte fut franchie, quand il la vit, la veuve, bien bâtie sur ses jambes, avec sa planche en guise de lit, il ne fut plus si sûr. Le rouge le noir, le vert formèrent une bouillie nauséante. La sinistre couleur des noces ne lui convenait plus. Trop tard…Trop tard pour les regrets, trop tard pour recommencer, trop tard.
Alors pour ne perdre la face, c’est curieux ce qui me vient pensa-t-il, il se la joua courage. Il y alla. Il l’etreignit, la veuve… à lui faire un enfant ! Mais c’est elle qui a gagné. Encore un, un de plus, qui pour elle avait perdu la tête. On peut penser qu’une dernière il vit du rouge avant le noir.
Mais va savoir !
J’ai attendu le soir
La nuit sied au silence
dans sa robe d’émeraude
Le monde est endormi
Le sang coule au ralenti
Et chaque larme qui coule
Emplit le vase des adieux
J’erre dans ces lieux
J’y cherche le repos
la paix intérieure
La douce consolation
Ne cherchez point
L’objet de mes tourments
Il est le destin
Qu’il faut accueillir
Sur le chemin de la vie
au delà du simple appel des farandoles
magie perdue
de l’eau vive
frêle
aux vents mouvants
escapades des terres de brumes
verte et rose-rouge violine des pensées
as-tu défini l’horizon?
ma « douce consolation »
pirouette absente des absolus…
pour Christineeeeeee
Préparation : 5 mn
Cuisson : 3 mn
Ingrédients (pour 1 personne) :
– Rhum brun ambré
– Citron
– Miel
– Eau
Préparation :
Mettre l’eau à chauffer. Pendant ce temps, presser le jus d’1/2 citron. Dans une chope mettre 2 cuillères à café de miel, le jus de citron, et la valeur d’un bon (petit) verre à liqueur de rhum. Quand l’eau commence à faire de petites bulles, vider dans la chope.
Boire dès que la température le permet….
On peut faire varier les proportions des ingrédients en fonction des goûts de chacun.
Il est vivement conseillé de boire ce grog assis au bord du lit et de se coucher après !
L’oeil ouvert est si plaisant qu’on y voguerait sans jamais accoster. L’équipage d’ailleurs si tendre et si soudé attendrit et bouleverse.
Les feux verts qui traversent le couloir du temps, s’arrêtent et se soumettent quand les feux rouges s’allument aux portes du présent. Dangereux désir de se consumer…
Quel calme !
D’où provient cet état léthargique ?
Hibernation printanière ? …
Si bel trou de serrure
Se vit l’intime profond
Qui accroche à ses arches
Perles de culture
Et arômes en gouttes
D’amour bel
coucou Bourrache, c’est si vrai que je me snes d un acme absolu, peut être la résultante de tant d’années éprouvantes..
Je vous lis attentive, et vous souhaite une belle journée que je vais sortir avec moi pour profiter du vent, du moindre rayon de soleil, de la petite fleur de printemps, d’un arbre, d’un mot bel,
et j’emmène avec moi, ton album si joli, Ossiane,
c’est un immense privilège de vie que de l’avoir ouvert un jour…
bel début de week que je vous souhaite paisible et bel…
que je me sENs d un CALMe absolu…C’est ieux ainsi pour être lue, je dois pas être encore fort réveillée, sourire, bises, oui, je me sens d’un calme, allez je me prendre l’air vif du dehors…belle journée.
Eh ! madame, madame qui dit des choses douces, je te souhaite en particulier et je souhaite à tous et à toutes, et aussi à Ossiane, de doux moments au cours de ce w.e. pascal.
A tous,
Douces et Belles pensées pour ce week-end de Pâques tout en fraîcheur et grand merci pour toutes ces belles interventions poétiques déposées hier, et un compliment tout particulier à Thierry pour sa belle construction artistique d’hier matin maître d’ouvrage en lettre.
Bonne promenade Annick dans la campagne, je vais essayer d’en faire autant, le contact nature est nécessaire et des plus vivifiant.
Bon week end pascal à tous /toutes…Bises particulières pour OooOssiane >)))
A bientôt.
Il me souvient, il y a bien des années, d’avoir voulu teinter mes oeufs de manière « écologique » : plongés dans une casserole avec des épinards, une autre avec des betteraves, une autre avec du bleu de méthylène … ils en sont tous sortis avec une teinte quasi uniforme ! (mais j’vous dis pas pour astiquer mes casseroles après…).
M’en suis revenue à mes pelures d’oignons.
Biz et bon W.E. à tous.
http://www.villiard.com/blog/wp-content/uploads/2007/04/paque.jpg
Deux couleurs : le vert et l’orange étaient les meilleurs amis. Mais comme tous les amis ils leur arrivaient parfois de se disputer. Cela commençait souvent par un rien, une pécadille mais cela s’envenimait par la suite. Ecoutons les.
– Je suis rayonnante disait l’Orange. Je suis couleur du plaisir, du désir. Je symbolise l’amour universel moi ! J’avive les émotions et participe à la bonne humeur de l’humain.
– Tout doux répliquait le vert : je suis l’emblème de l’éternité et de la renaissance. J’apporte équilibre, renouveau et acceptation de soi
– Tu es plutôt un porte poisse se délectait l’orange. Dans les théâtres tu n’as pas ta place. Tu es la couleur de la méfiance.
– Mais dis moi n’est pas toi qui fait mourir le soleil chaque soir et qui lui donne cette couleur orangée, en le laissant agonir.
– Laisse moi rire. Je participe à son rayonnement universel. E toi ne donnes tu pas ta couleur aux hommes quand ils sont malades ? Et crois moi ils ne sont pas beaux à voir.
– Bon là d’accord tu marques un point mais moi on ne me mange pas ma petite. Et puis j’ai donné ma couleur aux grands écrivains de l’Académie. Alors ça ça te dépasse hein !
– Oui je le conçois. Mais rapproche toi et écoute moi. Si on se mélangeait ça donnerait quoi ? Avec tes qualités et puis les miennes on va faire un feu d’artifice non !
– Où un arc en ciel, allez viens on a qu’à essayer !
Bon week end à tous et à toutes sous le froid. Brrrrrr
Etant « villageoise » par gout je reçois les citadins de la grande ville
Souvent ils aimeraient venir plus souventcar nos chats sont acceuillants
Dans la vielle maison chacun trouve sa place on y trouve selon ses gouts
Livres ,BD, CD etc chacun trouve un endroit tranquillesans oublier la TV pour quelues sportifs acharnés
La grande table est le centre avec la cheminée qui par ce temps froid joue l’ intérressante
Un bon gouter pour les petits est un moment privilégié..
s’il fait soleil le jadin s’animent des voix d’ enfants
Le plaisir ,avec si peu le plaisir d’ être ensembles etc
Bon week end a tous Amitiée et P A I X de Noisette
Rachel : orange-vert en côte à côte arc-en-ciel, OK.
En mélange, ça risque de faire homme TRRRRRRRRRRES malade.
Clin d’oeil.
Noisette : j’arrive !
J’emmène avec moi mon tapis blanc. On le déroulera dans le jardin. Les enfants pourront faire des bonshommes de neige…
si belle progression!
Bourrache
attends-moi
je vais avec toi chez Noisette.
Je suis aussi une citadine de la grande ville.
Il y aura un peyit coin pour moi, le coeur de Noisette est si grand!
Bises, bon WE à tous.
Aspe : je crois que Christineee a suivi ta recette à la lettre … mais en triplant la dose !!! …
(pour être en forme d’eeeeee demain : c’est sa fête).
On va lui sonner les cloches…
Vous savez quoi ? … ça m’a tout l’air d’être un jour sans powèmes aujourd’hui …
Me trompe-je ?
Marcheras tu sous ces arches
Un jour en patriarche
En me tenant la main
Je serai petite vieille
A l’amour de groseille
Sucré et rosissant
Nous aurons dans nos cœurs
Conservé les saveurs
De nos corps languissants
Et quand la mort viendra
Elle nous entraînera
Inutile combattant
Qui de nous deux sera
L’amputé qui perdra
Sa moitié attenant
Je vous attends Bourrache et Neyde et celles ou ceux que vous rencontrez
La porte est ouverte ce sera sympa il y aura du chocolat du pain d’ épices du thé
Du bon café noir ,du vin pour les autres et puis venez nous verrons apres
Vraiment je vous attends le vent lui est tjs fidéle à lui même
Pour venir c’ est simple des que vous arrivez sur l’A28 vous prenez tjs a gauche
N’oubliez ni Annick ,ni Ossiane a tout de suiteNoisette.
un texte moins noir
Certains mots, certaines odeurs certaines couleurs, lorsque qu’au détour d’un chemin vous les rencontrez, de souvenirs s’imposent à vous.
C’est le cas aujourd’hui; cette couleur : orange.
Avec cet éclat lumineux me revient aussitôt le goût de mon enfance. Dans ce Pays que j’ai quitté il y a tant d’année. Aujourd’hui dans cette ville d’Orléans devant ces arches c’est la lumière du soleil qui vient s’accoler à ma rétine. Ce soleil qui même quand il n’est pas là diffuse sa lumière blanche. Je revois notre maison si belle. Bien sûr comparé au confort d’ici et à l’ameublement aux décorations infinies que l’on peut crée. Cette maison parait spartiate voire donne l’image d’une cahute d’un bidonville. Mais pour moi elle est belle car empli d’amour. Une maison ou toutes les générations s’y côtoient, y vivent, y mangent.
Dans un joyeux et incessant vacarme. Ma maison aujourd’hui est silencieuse. Anxieuse.
Avant c’était un mélange de cris de rires et de tintement d’ustensiles pour cuisiner. Aujourd’hui seul le silence de la solitude occupe l’espace.
Ha, la cuisine ! Ici plus rien n’a d’odeur. La bas tous les aliments et les épices exhale de doux parfums. Je me rappelle du marché ; Des couleurs, des odeurs, et le brouhaha des commerçants. Je revois ces étales aux couleurs éclatantes. Graines de coriandre, cumin et sa saveur légèrement anisée, l’ail. Je sens encore le parfum de ses olives.
Ici les couleurs sont atones et les odeurs se mélangent à celle du bitume et des gaz d’échappement. Peut être trouverez vous mon propos excessif. Cela n’est peut être que la nostalgie de l’enfance de ce paradis perdu.. Peut être …laisser moi au moins m’y accrocher..
Mes racines sont ailleurs mon corps et ma vie ici.
Je suis comme ses champignons avec leur mycélium qui prend ces racines très loin et qui pousse trop vite, il s’adapte à son territoire mais il est fragile….
Qui de la plume ou de l’enclume
Gagnera l’issu du combat
J’en parlerai bien à la lune
Quand elle me porte dans ses bras
Je sais j’en vois qui rit déjà
Et qui se gausse un peu ma fois
Car le vainqueur du combat
Comme si on ne le savait pas
Je leur rappell’rai La Fontaine
Et son lièvre bien suffisant
Et sa tortue qui dans la peine
Gagna la course modestement
Qui de la plume ou de l’enclume
Gagnera l’issu du combat
Je miserai bien sur la plume
Partout la liberté vaincra
pourvu qu’on ne les oublie pas
___
http://fr.youtube.com/watch?v=mftFF5e20Bk
___
Ce qui attire mon regard, dans la troisième photo, c’est ce labyrinthe qui s’annonce au centre sous une voûte, et cette porte rectangulaire fermée sur d’autres dédales…
Salut la compagnie !
…
Je sors de ma sieste… C’est le bruit des grêlons qui m’a réveillée !
Ca va un peu mieux aujourd’hui.
Merci Aspe pour la recette… on la ressort de temps en temps, Bourrache est très forte pour les soupes, et des fois, j’en fais des pas mal non plus.
Pas trop d’inspiration en ce moment, mais à vrai dire, il me semble que je ne suis pas la seule.
J’aime bien le « powème »de Rachel avec la plume et l’enclume : ça me fait penser à qu’est ce qui est le plus lourd : 1 kg de plume ou 1 kg d’enclume ?
Bourrache tu peux sortir ta balance pour vérifier !
Hello Noisette : alors tu lances les invitations ? Si tu peux me réserver un chocolat bien chaud et des petits gâteaux, je m’en régale d’avance.
Coucou Neyde ! Comment vas tu ?
Marc, texte moins noir il est vrai… mais que de nostalgie…
Bonjour aussi à Ossiane, la fantomette des arcades !
sans oublier tous les autres : Alix, Monique, Phil, Annick….
Bises à vous tous
Christineeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
Fugitive et son labyrinthe me fait penser à ce film :
CUBE
mais là attention, âmes sensibles, s’abstenir… c’est hard !
___
http://video.google.fr/videosearch?q=cube&hl=fr&sitesearch=
___
Beaux jeux de couleurs Ossiane dans ces images qui nous transportent dans ton merveilleux et féerique palais de lumière
___
Une douce errance
Dos à la réalité
Parcours intérieur
Mirage tibétain
Monastère himalayen
Délire du sommeil
Arche de verdure
En procession silencieuse
Quête de sagesse.
Il est parfois nécessaire voir obligé de prendre un peu de recul afin de mieux affronter les aléas de la vie, ce blog permet de rester parfois en retrait tout en ne s’y sentant pas exclue mais au contraire entourée de chaleur et de bonne humeur dans un esprit de création et de découverte. Bonne nuit à tous.
phil alba, monique, noisette, christineeee, merci pour votre coucou,
partie tout le jour en dehors, et un tel voyage intérieur, je ne sais pas si c ‘est ce temps de Pâques, mais quel voyage dans des extrémités…
Et je lis encore, et quelle viéo Christineee, je suis effrayée evant de telles images…
ils sont beaux tes mots, Monique..
Dans les arches du temps
L’instant est solennel
Ma pensée recueillie
Et se goutte et se perle
>Maria :
Superbe tes animaux luisants 😉 Invitation à l’introspection 😉
>Bourrache :
Un poème original plein de saveurs et de mystère. Week-end de Pâques, calme plat, froid de canard, normal 😉 Bises.
>Pierre :
Atmosphère de nuit bien retranscrite ! On peut avoir peur 😉 Bises de Pâques.
>Marc :
Que de poèmes ! Avec tout ce noir, tu vas chercher les mots dans les profondeurs de ton âme avec émotion, horreur et inquiétude. C’est vraiment noir 😉 Merci pour ta belle plume vivante.
>Annick :
Plongée dans un beau sommeil réparateur, Annick 😉 Un beau premier poème. Je t’embrasse.
>Thierry :
Un poème graphique arqué ! Le souffle de tes mots passe sous la voûte à toute vitesse comme ce vent d’hiver qui nous assaille;-) Bon week-end et merci !
>Christineeeee :
Joli effeuillage de mots lumineux même si la maladie ne te laisse pas de répit ! Bises de la fantomette 😉 Courage à toi pour remonter la pente.
>rachel :
Clap, clap clap ! Que de poèmes tu as écrit, ta plume est déchaînée 😉 Quelle belle inspiration émouvante ces arches lumineuses t’évoquent ! Ton monde extérieur et intérieur sortent embellis par tes mots et tes images. Merci pour ta belle écriture.
>olivier :
Bises vers toi, je te laisser attraper le tournis avec tes cavalières 😉 Bon week-end !
>Neyde :
Neyde, tu vas retrouver les liens vers les poèmes que Bernard a laissés sur d’anciennes notes sur cette note ou la précédente. Je les ai signalés.
Tu es bien téméraire dans le noir et le vert, Neyde. Mais ces arches sont invitantes. Tu as raisosn de te le laisser porter 😉 Bises de France.
>aspe :
Et oui Aspe, nous sommes à Orléans, ville à laquelle j’ai envie de donner un nouveau visage 😉 Ces arches me font penser à un palais d’orient ou du désert. Tu as l’art de faire des compliments 😉 Merci beaucoup!
>Kirikino :
Amusant poème à base de vert martien 😉 Tu nous fais rêver d’autres planètes Kirikino 😉 Bises.
>fauki :
Bonsoir, Avance vers ces arches de lumière, elles vont illuminer ton chemin d’un nouveau souffle. Pensées chaleureuses, je sens que tu es plein de mélancolie.
>Phil :
Bravo Phil avec tous ces jeux de mots ; tu vas faire rude concurrence à d’autres jongleurs de mots 😉 Ta plume se libère en ce moment 😉 Bonne nuit et bon week-end à toi aussi.
>Monique :
Pauvre Monique, je te sens si mélancolique et émotive en ce moment. Tu entres, tu sors, tu écoutes, tu médites mais tu es tout de même là. Un grand merci pour tout ça. Je m’en veux un peu de ne pas publier des choses plus souriantes et apaisantes. Ce que tu écris est beau et va un peu dans le même sens que mon palais du désert. Je t’embrasse.
>Lou :
Bonjour Lou 😉 On n’accoste jamais ; c’est un voyage perpétuel 😉 Je confirme pour la tendresse et la fidélité de l’équipage 😉 Ils ont des nerfs d’acier à me supporter 😉 Merci pour ta belle réflexion sur les couleurs. Au plaisir de te revoir ici.
>Alix :
Bon week-end Alixxxxxx avec tout plein d’œufs en chocolat dans ton jardin de mots ;-))
>Noisette :
Bonsoir Noisette, merci pour l’invaitation 😉 Bon week-end bien au chaud, ce froid et cette neige sont redoutables. Pour moi, ce sera un bon café noir avec du pain d’épices s’il te plait;-) Je t’embrasse chaleureusement.
>Chantal :
Merci d’apprécier Chantal, j’ai envie de me balader en Loire à ma façon 😉 Bon week-end à toi.
>Fugitive :
Tu as raison, quel esprit d’observation 😉 Des arche ste portes en appellent d’autres. Un vrai dédale à imaginer;-) Bonne fin de soirée, je t’embrasse.
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https://blog.ossiane.photo/2008/03/17/amoureux/#comments
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En espérant Annick que ta journée dehors t’aura été très profitable, il ne m’a pas été possible d’aller faire ne serait-ce qu’une toute petite balade autour du village, c’est compromis pour demain, donc à lundi peut-être, il faut savoir prendre le temps comme il vient faute de ne pouvoir faire autrement, mes neurones pourtant réclament leur portion d’oxygène.
cela a été mi figue mi raisin, du temps à apprécier le vent vif, parfois un juste rayon de soleil, à regarder les giboulées, à marcher doucement et puis le juste temps ‘après, un Jean Sébastien parfois tellement présent, et avec ses idées où aller…alors un temps comme le temps qui va, ni blanc ni noir, juste le temps…je me sentais fatiguée aujourd’hui, peut être la fin de l hiver… Bien à toi Monique, je te souhaite de pouvoir oxygéner tes neurones au plus vite..BISES.
merci Annick pour ton petit clin d’oeil, je te souhaite une bonne nuit après cette journée un peu particulière et vous embrasse toi et Jean Sébastien.
Je pensais que c’était une simple feuille de papier…avec de la luminosité et de la verticalité…craie noire sur un tapis de neige…qu’il suffisait aux mots de se déposer…Je croyais à une certaine sérénité…au fond de ce flacon je ne voulais surtout pas bouger…contre les parois de verre je voyais le monde se déformer…Mais je ne pouvais plus respirer…Il y avait au dessus de moi un ciel de liège…de plomb sous une apparence de légèreté…et mes couleurs…je les voyais trop vite se dissiper…Mais c’était avant l’orage…avant ce souffle qui au dessus de moi a tout fait exploser… de cette prison de verre je me suis échappé…
Et tout a basculé…J’ai retrouvé des larmes de pluie sur la feuille de papier…j’ai voyagé ..j’ai aimé……Merci bernard….
Curieuse expérience
plus j’avance et regarde
plus je perçois de détails
bizarre comme impression
de progresser doucement
d’appréhender le contenu diffus
merci à monique pour ces encouragements
c’est pourtant laborieux à exirper
mais des arcanes des arcades
sourd un chant divin
Bonne soirée à tous
plus de cocktails…sauf molotov
en pensant à certains événements
quarante ans déjà, j’en reviens pas
Marc et rachel vous étes bluffant, quel souffle, quelle énergie !
Ossiane: chaque jour je m’émerveille de ta magie renouvelée
chaque jour j’ai hâte de venir avec vous partager
vagues souvenirs des affrontements
à Fresnes et ailleurs
Drôle de voyage
me disent mes papilles
en ayant goûté cet aujourd’hui…
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– Neige –
N’ai-je
Eté
Qu’un flocon
D’un nid vert
Empreint tant
De plumes
Que l’eau tonne
Et ses « on-dit » ?
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Ouais, je sais … c’est moins bien que Vivaldi !
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oSSIANE, les arches d’Orléans n’ont évoqué …
mais dans le vent glacial, gris et neigeux de ce matin, pour tous
Le Pont Mirabeau
Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Et nos amours
Faut-il qu’il m’en souvienne
La joie venait toujours après la peine
Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure
Les mains dans les mains restons face à face
Tandis que sous
Le pont de nos bras passe
Des éternels regards l’onde si lasse
Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure
L’amour s’en va comme cette eau courante
L’amour s’en va
Comme la vie est lente
Et comme l’Espérance est violente
Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure
Passent les jours et passent les semaines
Ni temps passé
Ni les amours reviennent
Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure
Guillaume Apollinaire (1880 – 1918) http://www.youtube.com/watch?v=90usux4aZ2o
http://www.youtube.com/watch?v=gJTTOBz7W6E
Noisette,
puis je arriver en train, les routes sont glissantes, et je n’aime pas trop conduire sur de longues distances…
Et dans le train, je peux écrire, lire, écouter, rencontrer, découvrir, dialoguer, fermer les yeux, dormir et rêver…Boire un « grog » si j’ai froid…
Me laisser conduire,…c’est si bon,…
Sur notre peau l’air polaire
nous envoie son baiser arctique
Oui bourrache
celui qui lit vert
croit déjà que l’empreinte
du temps se dérobe à sa vue
Bravo et merci Aspe pour cet éloge du train
pas le train train des convenances ordinaires
celui qui raille notre indifférence
nous met sur la voix du dialogue
donne le temps du partage
équilibre les paysages
reflets multiples
audibles
Et merci pour le chocolat:
http://cuisine.elle.fr/elle/elle-a-table/fiches-cuisine/tous-les-themes/passion-chocolat
Moins « hard » que le tien Christine (je parle du lien of course ) encore faut-il qu’ OooOssiane ne me rajoute pas trop de xxxx ( oups!!)
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Sur ces belles paroles et de si bon matin, je vous souhaite de joyeuses Pâques, bises chocolatées à Christine Annick Bourrache Monique..et les autres, mais je n’énumère que les filles (pensées pour Claudie qui vient moins mais que j’embrasse au passage )
Et maintenant chasse aux oeufs avec mon petit neveu de quatre ans…qui s’impatiente…^^
Ciaooo:)
ASpeTu arrive comme tu veut le train ce n’ est pas mal quand il fait si froid
On t ‘ attends a la gare la cheminée sera bien pour te réchauffer avec une boisson
Bien chaude apres si le coeur t’ en dis il te sera possible d’ aller faire un tour dans la neige les enfant sont déja dehors .Bon je part te chercher Noisette.
PS une amicale pensée a Thierry .
par dessus le vert d’un corindon
apprendre le silence intérieur
aux arches rouges d’un aqueduc
pensées vers toi Alix,
mmmhh…noisette, j arrive, la belle oeur de chleur et de jolis partages…
Bellepaix pour chachun’e’.
Va pas si vite, Annick, t’oublie des lettres en chemin !
Bon dimanche, et j en ajoute aussi des lettres…sourire..
pensées vers toi Alix,
mmmhh…noisette, j arrive, la belle odeur de chaleur et de jolis partages…
Belle paix pour chacun’e’.
c’est plus juste lisible…hein?
Je me terre
Car ce vert
Me fait peur
C’est peut être
Que mon verre
Est brouilleur
C’est promis
Je me tais
Dans mon for
Intérieur
Car mes vers
Riment à rien
J’en ai peur
Sur ma taie
Vais m’coucher
Fais meilleur
PS : Sur le chemin qui mène chez Noisette il y avait quelques lettres qui traînaient. Si j’ai bien compris certaines doivent être à Annick. Le e est peût être à Christineeeeee, allez savoir.
Sur ces mots
pas un mot
ni mémo
à personne
j’aime les « o »
ça fait d’tort à personne
et mes maux
me font taire
ça n’embétra personne
Au secours, je perds la boule…………………
La Poule
Chez Bourrache
N’a pas eu peur
De la neige
Du mauvais temps
Elle a pondu tant et tant
Une montagne
D’eeeeeeeeeeeeee
Qu’il faudrait bien des paniers
Pour les ramasser !
Alors ne vous battez pas
Il y en aura pour tout le monde !
A moins que vous ne battiez
Les œufs en Neige
N’est ce pas Alix,
Ça irait bien
Avec ton chocolat !
Biseeees à vous tous !
Christineeeeeeeeeeeeeeeeeee
Les eeeee et la poule !
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http://wcentre.tours.inra.fr/sra/internet/images/equipes/oeuf/oeufs.jpg
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Spécialement pour toi
Annick
Reine
Qui AIME
Un duo d’œufs
Unis pour l’amour !
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http://julieetarno.info/utils/oeuf.jpg
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Clin d’œil spécial
Destinés à tous les mecs !
Chevelus ou pas,
Je leur trouve une
Bonne bouille sympa
Vous ne trouvez pas ?
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http://www.vermot-gauchy.com/a/images/2007/05/08/oeufs.jpg
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Pour les pyrénéistes,
Le lac de l’Oeuf
Comme il se doit
Ne devait pas
Manquer à l’appel !
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http://gerard.jouvin.free.fr/images/Oeuf_060617.jpg
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Christineee, ma Poule aux Yeux d’Or, toutes mes félicitations pour ta production !
A 0,80 cent l’oeuf, tu vas te faire un p’tit tas de pognon…
Rassure-moi : tu picores bio, au moins ?
p’tite bougie Bourrache ?
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http://www.bricokid.com/images/realisation/big/bougie_oeuf_bk_bougie_oeuf08.jpg
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Pourquoi est-ce que la date de Pâques ne tombe pas toujours un neuf ?
cot cot cot cot cot cot cot cot cot cot cot cot cot cot cot cot cot cot cot cot…;
merci christineeeeee…
Les arches enjambent les plus grandes solitudes.
Là, assise dans l’incompréhension,
J’attends le retour des étoiles
Et du printemps qui fleurit robes et collines.
Pour qui voudra…
Un tunnel
Sous ses arches
Eclairés
De bel amour
Ô le temps
Il a marché son tant
En marchant tout devant
Pour pas se noyer dedans
Ce temps si loin de toi
Ô au si plus près de moi
Que l’âme qui aime émoi
Elle serre sans effroi
marchons sous les arcades
allons en promenade
jouons à cache cache
sous les arches
dans la palette de lumières
coquelicots et primevères
le silence a les couleurs
d’un parterre de fleurs
en sarabande de printemps
trompons l’ennui du temps
dans une ronde folle
en de joyeuses fanrandoles
jusqu’à voir le ciel bleu
sous les arcades de tes yeux
Tu es mon si joli
Chemin sprituel
De tout corps avec toi
Alors je prends ta main
Pour le tromper l’ennui
Et pour la vivre simple
La vie dans son plus bel
Je te cueille une fleur
Te l’offre avec mon coeur
Et puis viens je t’enlace
Tu es mon bel ami
Alors on s’enserre fort
Et on l’aime la vie
Sur notre gazon fleuri
Notre air si apaisant
Mon soleil fait pour toi
La lune comme oreiller
Je t’aime d’amour précieux
Dans la grâce du temps
C’est le point de départ
Un long cheminement
On s’y perd bien souvent
On y entre par hasard
On y joue absorbant
Sous de bienveillants regards
Ou fardeau des parents.
Curieux et buvard
Tout petit on s’y terre
se glisse dans les interstices
petit écheveau de verre.
s’inscrivent les cicatrices
dans le dédale des galeries
l’un prend une voie royale
l’autre, un raccourci.
loyale ou déloyale
parfois en impasses
quelquefois pétrifiants
inconscient s’y prélasse.
heureux dans les tourments
on ne peut revenir
au point initial
ni même ralentir.
se serait l’idéal
s’envoler vers l’art
se diriger vers la lumière
en pensant à Icare.
et rejoindre la terre
tous les sens en éveil
apprivoiser le temps
cet ami infidèle.
continuer en rêvant
labyrinthe de la vie
plaisir ou survie
au bout la sortie.
l’étreinte et c’est fini
Cela devait arriver…feuille glacée et toujours cette verticalité…mes mots ont dévissé…j’ai essayé de les retenir..en vain…la corde s’est brisée…plus aucun sens à cette histoire déposée…une par une elles sont tombées…consonnes et voyelles en premier…puis les accents et les pointillés…sur le bureau…sur la chaise…..sur le parquet ciré…ma vie éparpillée…des lettres endormies..rêveuses..ou simplement agitées…le chapeau du A sous les jambes du M…le O qui se perdait dans le cou du U…et ce R…qui jouait les silencieux…Je les vois encore doucement se relever…entre elles…se mettre à chuchoter….comme si déja…elles connaissaient leur destinée…Drap de soie…et douce horizontalité…contre elle je me suis égaré…entrainant avec moi ma vie pour un temps consolidé…sur ses lèvres tendrement abandonnées…j’ai laissé l’empreinte de ce mot au parfum d’éternité…
Bonsoir bel équipage et bonsoir Ossiane
Du « palais de lumière » (l’Oeil Ouvert) où scintillent les éclats de rêve de chacun, parvient le chant doux et harmonieux. Le visiteur traverse « le pont des mirages », lentement de peur de le faire disparaître, soulève les tentures des portes pour accéder au merveilleux. Le « silence intérieur » est fort, l’attente est dense… la musique emplit l’être.
Moment sublime.
Lumières dorées
Assez joué
Je n’ai pas osé
J’étais en nage
Mirage
Je me barre
La vie
Quête sprituelle
Dans sa marche
Son pas
Vers la beauté
De son être
Dans tous ses sens
De vie
Qui pose ses pas
Sous les arches en ciel
Et s’envole
Merci Johal pour ton poème …je suis preneuse, et m’assied près de toi sous les arches dans la lueur verte de l’espoir, près de Lou pour entendre sa musique.
Merci Alix pour tes souhaits exhaussés et en passant m’arrête chez Noisette boire le verre de l’amitié et de la paix avec tous ceux qui sont arrivés avant moi.
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Pâques a rempli mon jardin
Du rires des enfants
Du bonheur des grands
De plein de petits oeufs d’amour
Au goût de chocolat
Et malgré la froidure
Il y avait un pafum de printemps.
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Bonsoir et bonne nuit à tous.
>Pierre b :
Superbes voyages libératoires, Pierre ! Avec toujours beaucoup d’émotion et de beauté. Merci beaucoup.
>Thierry :
Merci pour ton regard, Thierry. Pas vraiment de magie mais plutôt des vagues de sensations qui émanent de nous tous.
>Alix :
Je ne voulais pas aller dans cette direction ALLLLix 😉 Pardon 😉
>aspe :
Merci pour ce pont, j’aime beaucoup Apollinaire. Bises.
>regard :
Bravo pour avoir réussi à raccorder en beauté les idées de mon haïku 😉 Bonne journée !
>rachel :
Mais non, tu ne perds pas la boule 😉 La source de tes mots ne tarit pas, un grand merci pour tes beaux partages.
>christineeee :
Tes versions cocos illustrées avec beaucoup d’humour m’ont beaucoup amusée 😉 Merci pour ta forme retrouvée !
>johal :
Je prends sans réserve Johal. Ce que tu as écrit retranscris si bien ce qui peut émaner de ce lieu. Merci pour la beauté de tes mots, je t’embrasse.
>Annick :
Merci pour toute la belle tendresse et réflexion intérieure que tu fais tranparaître dans tes évocations poétiques avec émotion. Je t’embrasse.
>amichel :
Très jolie poésie printanière qui nous sort de la nuit. Ta farandole de coquelicots éclairent en beauté ce week-end bien tristounet. Je t’embrasse et te remercie.
>marc :
Quelle belle inspiration empreinte de grande sensibilité appuyée sur du vécu ! Un grand merci pour ta superbe approche de la vie. Je t’embrasse.
>lou :
Bonjour lou 😉 Merci pour ta chaleureuse vision de cet espace. Ce labyrinthe lumineux est un bel hommage à L’Oeil Ouvert qui absorbe avec gourmandise la lumière du jour et de la nuit. Bises.
>nigra :
Bonjour Nigra, apparaition poétique fugace, audacieuse et déterminée;-) Bises vers toi.
ARCHERIE DU SILENCE
Pont des mirages, un arc-en-ciel soliloque dans des échos de guitare électrique, traversé de mille fuseaux horaires sans retenue autre que la glissade d’une luge sur les strates éthérées d’un temps de déconnexion. Les héros d’hier rencontrent ceux de demain à l’intersection des lignes d’aventure, partage sans complexe des vibrations délictueuses de souffles d’ammoniac oxydant les revers stratosphériques de galaxies embrumées. L’instinct de vie prévaut dans des batailles aux allures d’oxymores parcourus par la foudre dans d’angéliques égorgements, les cavaliers chevauchent les dragons et leur souffle mélange l’azote au soufre, créant des carapaces de soie aux destriers qui plongent sur les faunes étranges d’atmosphères incandescentes. Nait du silence le chant qui perpétue d’antiques traditions, sacrifices inutiles sur des pierres aztèques, tauromachies hispaniques sur des arènes de feu, palais de marbre blanc écrémés par la lumière des lasers que stroboscopisent les sabres des nouveaux bushidos, pointes encrées au curare dans le magma hémophile des atomes. Le sang ruisselle sur les genoux de la lumière, arômes de nuit, traces d’argent, couleur sur couleur, pas un cil qui ne soit mordoré dans la fraîcheur de tous les carnages, la joie brûle comme la flamme d’une plaie d’aurore jamais recousue.
>gmc:
Bien qu’un peu effrayant, cet univers fantastique de bruit et de fureur est riche d’images et fort bien décrit. Merci à toi.
c’est effrayant quand on lit en mode subjectif, ossiane, uniquement. 😉
J’aime votre poème. Je pense que votre poème est très bon. Le poème est joli et vous êtes une bonne écrivaine. Le photo avec votre poème est créatif et interessant. Tout les photos des Arches sont jolis.