Lecture du Haïku Calligramme: centre, haut, bas
Tout l’or du monde
sablier des étoiles
le temps s’écoule
◊ La Loire
L'Oeil Ouvert : photo et poésie
Haïkus et calligrammes, rêverie sur le monde… le voyage imaginaire d'Ossiane
Lecture du Haïku Calligramme: centre, haut, bas
Tout l’or du monde
sablier des étoiles
le temps s’écoule
◊ La Loire
Loire, eau de mes veines
A ta source je remonte
Larmes dans les yeux
Mon âme dans ton lit
S’est noyée dans tes méandres
Lourde nostalgie
Ciel au crépuscule
Messager de la détresse
Douleur du passé
Fleuve de ma vie
Sous un ciel d’or et d’encre
Ruban sauvage
***
Belle nuit et merci pour ce bel hommage à ce fleuve qui m’est si cher
fleuve et ciel sont en amour
se regardent, se reflètent, échangent leur beauté,
fluide, nacrée, changeante.
La terre, solide et noire
attentive, enserre ce ruban,
masse que l’on croirait figée,
et elle l’aime,
se fait pression douce,
juste assez pour y prendre la vie,
et s’en parer.
Monique très inspirée!
libre et sauvage
elle se glisse sous les draps
léger comme des nuages
laissant apparâitre à peine son doux visage
c’est la première fois…
Je ne les voyais pas de cette couleur….je ne pensais pas que je les verrais un jour…je les devinais loin et si proches à la fois…cela ressemble à la courbe du temps dans un coin de ciel…On y trouve…comme dans ton regard…la tendresse en fusion…une douce évasion….mélancolie et passion…
On m’avait dit que les rêves… comme le temps…on ne les voyait pas passer…On m’avait affirmé qu’ils existaient cachés…qu’ils étaient incolores…intemporels…Mais moi je savais que ce n’était pas vrai…que l’on ne pouvait pas rêver en blanc et noir…qu’il fallait des reliefs irisés…des zones d’ombre ou sombrer…des courants étonnés…
Et ce matin…je trouve sur ce petit coin de glace…frissonnants de beauté…nos rêves emmêlés…Ils voyagent d’une rive à l’autre…osent se poser à fleur de la réalité…y trempent un..puis deux…pieds…en vers..cela va de soi… ils montrent un petit bout de leur nez..se cachent sous les nuages…se réfugient dans nos pensées…
On m’avait dit que….mais je ne les ai pas écouté…passeur de rêves je suis resté…pour savourer ces moments d’éternité…ces couchers de soleil sur un être aimé..
tout simplement fort beau…et je contemple…
« L’instant d’après
la mémoire
fait dans nos têtes
comme une grande éponge
de lumière… »
l’eau comme une estompe
sur les traits de pastels tumultueux du ciel
unifie et reproduit en lissant.
De la violence légère au camée.
Mesure de Chronos
la lumière étale
le fleuve s’endort
___
Désir intense
Et farouche volonté
S’unir à la mer
_
Biz et belle journée à tous.
___
SOUS LE FLEUVE UN LAC
Les étoiles n’ont pas de sablier
Pour contempler un temps
Qui ne s’écoule plus
L’or du monde est une nanoseconde
Dans les yeux de laquelle
Dix mille années-lumière
Dansent une valse atomique
Les étoiles et l’or du monde
Un sablier qui s’écroule
Au revers du temps
Le soleil délicat
Se penche tendrement
Et se rapproche bel
De ses lèvres vermeil
En ruban de satin
Posé en ciel de terre
Intimité secrète
Du ciel et de la terre
Firmament rêveur
Fusion du ciel et du fleuve
Le miroir du temps
Braises dans le ciel
Transfiguration de l’or
Le fleuve flamboie
Comme Annick, j’admire le spectacle, c’est très beau!
Bonjour Ossiane et Amis poètes,
Je ne suis plus très présent entre deux voyages dans la Capitale (Enfin je me balade !) et du travail pour mon association, j’ai peu de temps. Mais je suis un inconditionnel des châteaux de la Loire et de Nantes.
Une fois de plus magnifique photo accompagnée d’un bel haïku, bravo !
La
Long fleuve si riche de diversités,
Où tu nous offres un arc-en-ciel de couleurs,
Illuminé par les spectacles de tes châteaux de seigneurs,
Ronronnements, débordements, que d’activités,
Et une poignée de personnes, un jour, t’ont sauvé.
Je vous souhaite un excellent week-end !
Je vous embrasse surtout Ossiane,
OLIVIER
Ciel de fin du monde
Illumine la tête à Raymonde
J’me marre.
comme le Loir est Cher!
je vais plutôt bâtir mes châteaux en Espagne
Arrimé au port de mes rêves
Sous le Ciel d’hiver
S’ouvre une porte imaginaire.
je regarde l’œil ouvert ;
Et part en voyage vers l’île d’or.
Je glisse dans l’ombre secrète du petit matin
Dans cette douce vallée.
Sur cette rivière aux rives mouvantes
Elle parait docile. pourtant elle est sauvage,
Elle est calme mais bouillonnante en son tréfonds,
Farouche et voluptueuse
Je suis ici aujourd’hui
Ailleurs demain
Sur le fil de l’eau
Emporté par le courant
Poussé par le vent
Les carresses du temps
Chaque jour un autre monde !
Chaque jour une découverte !
Coule la Loire,
Agnès et les garçons, et
Autrement l’amour.
Kirikino (http://www.kirikino.biz)
» Les soleils couchants
Revêtent les champs,
Les canaux, la ville entière,
D’hyacinthe et d’or ;
Le monde s’endort
Dans une chaude lumière.
Là, tout n’est qu’ordre et beauté,
Luxe, calme et volupté. »
Charles Baudelaire, L’invitation au voyage.
Sur ce vieux fleuve gaulois
Les couchers de soleil
Sont beaux et ténébreux
Ils ont le soir de la vie
les yeux de l’aimée.
Entre ombre et lumière
les couleurs du jours se mélent
la nuit puise à cette encre lumineuse et profonde
et dessine le contours des rêves
cet autre versant de la vie
Magnifique !
Quelle lumière, un éblouissement, mélanges des couleurs, mélange des éléments…
La nature ne cesse pas de nous émerveiller comme toi Ossiane, avec ton blog sans cesse renouvellé de si belles notes…
Je t’embrasse
Si bel
ce ciel
Qu’abreuve
ce fleuve
En Amour
du jour
Elle serpente
Se dévoile lente
Et le ciel
Se laisse saisir
Par elle
Et ses courants
De vagues à l’âme
En ciel de loire
Ils font l’amour
Clepsydre
D’or liquide
Coulent les secondes
Sur la rivière du monde
***
SOIF ?
Couleur de jus
D’Or.Ange
Une petite paille
Pour aspirer
Le temps doré
De la jeunesse
Jusqu’à l’Ether.ni.thé ?
***
En cadeau
Pour notre
Amie Bourrache :
De l’immense Sablier Céleste
S’égrènent les poussières d’or
Elles volent légères,
Tourbillonnent,
Font les fières,
Et l’or du temps
Se dépose
En fines particules
Richesse du cœur
Qui croît au
Fil du temps
***
Biseeeees Or.donnéeeeeeees
c’est beau Christineeee…
Le soleil
Ce coquin
Se couche
A l’horizon
Ses vapeurs
De crème
Flottent
En suspension
Et la traîne
De sa belle
Ondule
Doucement
Au rythme
De leur bel
Apaisement
Le temps m’a laissé ce poème. Je vous le donne, de mes mains vides…
L’oiseau blanc
A déployé ses ailes
Héron des rivières ultimes
Le long pays de l’eau
Peuples des rives, villages
Anonymes
Aux murs de feuilles grises
Et l’arbre porte lianes, rousseurs impénétrables
Sous une coiffe immense
De lumière diffuse
Voute blanche, opaline
S’élèvent des moiteurs
Voyage ensommeillé prisonnier des filets
Tissés de mailles fines
Les rubans continus, verdures infinies
Sur le miroir kaki et moiré de reflets
Glissent des odeurs fades
Des pirogues humaines
Effilées de bleu ciel
Embarquent des sourires
Et des dents de betel
De tous ces yeux d’enfants
Diamants noirs de rencontres
Mille fois répétés
Les signes de la main
La surface des jours…
Fleuve d’Ailleurs!
Le soleil rouge
Sur la rizière…
Hello Marc !
J’aime bien ton poème…
un peu plus optimiste que l’autre jour !
Et pas besoin de t’envoyer de bouée de sauvetage,
ton kayak flotte très bien !
Biseeeees flottanteeeeees
» Et au milieu….. »
dans la clarté sombre d’un soir
Entre chaumes et pierres gravées
Entre marais et lacs oubliés
Dans tes yeux où dansent nos rêves
…. »Coule une rivière «
Dans les draps du ciel
Un crépuscule d’or et de suie
Le fleuve s’assoupit
Un joli timbre poste
Tendre et bel à la fois
Qui allume le monde
fleuve de la vie
je te suis
fil d’or irradie
Et avant de se coucher
Le soleil se pose bel aimé
Sur la langue d’or d’argent
Qui l’aime intensément
Un petit coucou rapide en passant pour vous dire que je suis là, que je ne vous oublie pas mais que mes capacités physiques sont amoindries par un grand coup de froid;-) J’irai mieux dans quelques jours. Que cela ne vous empêche pas d’écrire et de converser entre vous. UN grand merci pour votre présence.
>Monique :
Emotion dans tes mots. Parfum émouvant de nostalgie.
>Maria :
Magnifiques haîkus ! Le ciel s’alanguit dans tes mots 😉
>brigetoun :
Superbe Brigitte ! Tu es une vraie femme de la nature, du ciel et de la terre 😉
>marc :
Beaucoup de sensualité dans ton approche de ce fleuve sauvage ! C’est tout simplment beau !
>Pierre b :
Hello Pierre ! Tout doux, délicat, tendre, subtil, la matière des ciels te va comme un gant 😉 Bravo à toi !
>aspe :
Pourquoi as-tu mis des guillemets ? Ce n’est pas de toi ?
>Pierre :
Grande beauté de tes poèmes, toi l’homme de la Loire 😉 On sent que tu les as longuement contemplés ces spectacles du soleil 😉 Un grand merci.
>Bourrache :
Bel haïku ! Ce que tu soulignes est vrai. Bises.
>gmc :
Une autre approche plus inquiétante, me semble-t-il…
>Annick :
Tu es très amoureuse en ce moment dans tes poèmes;-) Serait-ce ta nouvelle proximité avec ce beau fleuve qui fait passer tant de tendresse dans tes mots. Bises vers ta Loire.
>Claudie :
Ta poésie est flamboyante, Claudie. Merci à toi.
>Olivier :
Bonne nouvelle tous ces petits voyages que tu t’offres 😉 Agenda bien rempli, tu n’as pas le temps de t’ennuyer, c’est positif. Beaucoup d’amour pour cette région passe dans tes mots. Merci beaucoup, je t’embrasse chaleureusement.
>Bonbonze :
Moi aussi ;-))
>Roméo :
Et voilà que tu reprends la balle au bond ! Beau duo avec bonbonze 😉
>kirikino :
Belle référence bien que je n’ai pas lu ce livre de Genevoix. Merci beucoup.
>Corinne :
Superbe, clair, pur, fluide, j’aime !
>Pam :
Coucou, ma chère pam ! Cette nature qui nous émerveille, tu la connais bien aussi et tu sais également la sublimer par tes dernières notes pleines de magie. Je t’embrasse bien fort.
>Christineeeeee :
Trois beaux poèmes d’un coup 😉 Rêve, magie, humour, fraîcheur, nostalgie. Tu nous gâtes vraiment ! Bises de loin 😉
>Bernard :
Magnifique poème émouvant qui témoigne d’un retour de voyage en Asie. On sent que tu as dérivé au fil de l’eau pour observer la nature et les gens qui vivent au bord du fleuve. Beaucoup d’émotion dans ta voix et puis tu parles de ces mains vides avec un petit air de tristesse. Mélancolie du retour peut-être…
>MTO :
Superbe ! Vision très poétique de ce lieu. Tu penses sans doute aux merveilleuses ambiances lumineuse de ce film. Merci à toi.
>Michelle :
Bonsoir Michelle, bienvenue ici. Merci pour ce joli poème lumineux. Au plaisir de te lire à nouveau.
>Ossiane: soignes toi bien et requinques toi afin de retrouver la meilleure forme ; quelle superbe mise en couleur, c’est vraiment somptueux, merci de nous en faire profiter.
Au milieu du val coule le fleuve
d’apparence calme il peut devenir tumultueux
aussi ces levées sont elles de pauvres remparts
face aux foucades d’un grand serpent tapi
qui peu gonfler démesurément et tout emporter
sur son passage dans un fol élan.
Les ilôts et gravières comme autant de frayéres
sont peuplés d’une multitude de poissons
et des pêcheurs habilités les traquent sans relâche
tendant qui ses lignes ou ses filets ou bien encore
un carrelet pour couvrir dans ses moindre recoins
le Liger qui digére tout ce qu’il a pu avaler.
Pantagruel n’avait point dépareillé le tableau
à travers l’ogre qui avale tout c’est aussi le fleuve
à l’appétit sans bornes qui jamais bien longtemps
ne ronge ses berges sans sortir de de son lit et s’étendre
alentour.
Aux carnutes à la forêt toute proche
des huttes construites de roseaux
ont abrités plus d’un drôle d’oiseau
car les druides sous ses célestes porches
ont célébré tant et tant de lunaisons
sans pour autant risquer la pendaison.
Dans la grande et domaniale futaie
ils n’ont pu les légions totalement égarer
ainsi Siegfried n’eut il qu’un dragon
quand de la via les cohortes en wagon
déferlaient sur le pays en vagues continues
sans troubler plus que celà les autochtones
pourtant le souffle chaud du géant ailé
semble bien faire trembler l’azur énamouré
de ce pays profond aux loges de charbonnier
s’éléve encore à foison les secrets fumets.
Pour étancher sa soif il n’est que se tourner
vers la fontaine de sainte Radegonde
ou les éclats métalliques de Chambon.
Pas si loin d’un jet de fronde de Janville
on imagine encore l’anglois pourchasser
camouflés sous les hautes frondaisons
Thierry et toute son rebel équipage
prêtant au roi de France un bel hommage.
Le soleil tire sa révérence
Déjà le jour vacille
La rivière lentement avance
La nuit s’impatiente
Mais les nuages s’attardent
En leurs pyjamas d’or
Ils se glissent dans le lit du fleuve
Bien à l’abri du vent
Soir paisible sur la Loire
Magnifiques photos, merci Ossiane
Bonsoir à tous,
Ossiane je te souhaite de pouvoir te reposer au maximum pendant ce week end retrouver la forme et chasser bien loin tous ces vilains petits microbes qui empoisonnent la vie, pendant que le soleil nous nargue avec toujours autant de vigueur.
___
Le ciel caresse tendrement le fleuve
Les nuages frôlent la Loire romantique
Et l’accompagnent dans sa course,
L’ombre fraîche s’étale en silence
Tout est calme au bord de l’eau,
Toute parole s’estompe,
Le regard se noie
Dans les pâles reflets de l’eau,
Fleuve magestueux
Miroir de mon enfance,
Douce et cruelle nostalgie d’hier
Où tout se mêle et se confond
Sur les bords de Loire
Aux allures trompeuses
Qui pourtant vous envoûte
Et vous laisse sous le charme
D ‘une douceur angevine.
Glissent les nuages
Coule l’eau
Je n’ai rien oublié.
Avant de me coucher, je trempe mon pinceau dans la larme belle dorée de La loire émouvante, et tendrement sur les lèvres du soleil y dépose un délicat baiser tout bel de vrai.
Images paisibles, émouvantes, empruntes de tendresse, belles conditions pour aller dormir. Annick, je fais comme toi et c’est si beau « je trempe mon pinceau dans la larme dorée de la Loire » Bise du soir
sur le sablier d’étoiles, le temps s’écoule. Combien de sablier d’étoiles vont encore s’écouler,combien de temps avons nous avant que le fleuve ne nous entrainent……
le temps s’écoule,
tout l’or du monde tu m’avais promis,
mais je n’ai toujours rien vu venir!!!!!!
Quand les étoiles de grains de sable en grains de sable dans le sablier du temps glisseront dans les profondeurs du fleuve, elles se laisseront engloutir dans les sables mouvants, laissant un ciel noir et la lune solitaire.
seule, je dérive,
je dérive, sur le fleuve,
calmement, tranquillement,
je dérive,
combien de temps vais je dériver?
seul le sablier d’étoiles peut en décider……
Dériver, c’est se laisser porter, et c’est se reposer pour mieux repartir et reprendre la barre, dériver gentiement au fil du temps tout en gardant l’Oeil Ouvert.
le sablier d’étoiles se casse, le temps qui s’écoule s’echappe, il ne nous restent que peu de temps, vite vite, partons sur le fleuve recueillir tout l’or du monde…. (sans oublier de prendre un nouveau sablier evidemment!!!)
monique,
vers le pays des rêves, je m’en vais, bonne nuit.
Beau voyage Sabine au pays des rêves. Merci et bone nuit à toi aussi.
Monique, Sabine…
…, ne plus être que dans l’unique durée…
s’afficher comme un espace
et disparaître…
comme le fleuve
dans l’océan
du temps
sablier oublié…
___
Merci, Christineeee (14 H 14′). Un petit lien pour toi afin de ne pas perdre espoir :
… la prisonnière alerte dans la Loire s’est jetée …
http://www.dailymotion.com/playlist/x9xsk_tamazight-n-jerjer_bretagne-de-toujours/video/x3rmbj_les-prisons-de-nantes_music
_
Beau sablier à tous en ce samedi. Miel et citrons pressés aux enrhumés (dorlotez-vous).
Ici, soleil tout rond, tout beau mais frisquet (- 4°).
___
AlORs ça va ?
Tout le monde à bien dORmi ?
Je vous pORpose
Pour un réveil de bonne humOr
Un duo en Or !
****
Et lorsque les poussières
Se changent en pièces d’Or
Liquides,
Coulantes,
Résonnantes,
Sonnantes
Et Trébuchantes
Cela donne à peu près ceci :
« C’est l’Or…
Il est l’Or…
L’Or de se réveiller
MontseignOr
Il est huit Or
Houilli, Houilli gouilli
Il EN MANQUE UNE !
Vous êtes sOr ?
TOUT A FAIT sOr ?
Oh ben ça alOrs,
REGARDEZ SOUS LE LIT !
LA BAS !
IL EST LA !
AH AH AH ! »
Ah, la Folie des GrandOrs !!!
—-
Vidéo de la scène sur YOUTUBE
Allez la chercher !
Je renonce aux liens pour le moment, surtout qu’OSSIANE
N’est pas au top pour la repêche !
Biseeeeeeees adOréeeees
Au couchant, au touchant le fleuve est là
bouchant largement la vue dans une perspective
embrasée que nous embrassons du regard.
Au fondant des couleurs façon bonbons délavés
s’assortissent les langues de sable qui s’allongent
comme dans un songe, alanguies et propices
à la rêverie.
Au portant c’est le vent qui balaye les nuages
enflammés qui de méche ont porté l’incendie
et appelé l’eau vive pour adoucir les contrastes.
Au final l’estampe à la détrempe plutôt détrompe
dans ce panorama et sous le ciel bas la présence
du fleuve se fait plus prégnante.
Bourrache !
Grand MERCI ! Je rigole déjà de bon matin !
Si tu veux bien envoyer pour moi le lien
de la folie des grandeurs….
Ca serait super sympa !
Biseeeeeeeeeeeeeeeeees
Christineeeeeeeeeeeeeee
Demandez et vous recevrez kil est dit dans la Bible :
http://fr.youtube.com/watch?v=i7sjxsesEWs
MERCI Bourrache !
T’as vraiment de la chance !
Ca fait du bien de rire dès le matin
Passe un bon wend !
Christineeeeee
merci à chacun d’être là.
L’oeil se sort et se fait du bien, c’est tellement beau un joli coucher de soleil sur l’eau, c’est infiniment grand en beautés ressentis, et en force de l’instant qui vit ses derniers moments en ciel, avant de rentrer dans la nuit et de céder la place au clair de lune. Et quand la lune veille si douce, le fleuve il souffle, s’apaise encore, ronronne d’aises, est beau si beau, et il s’endort dans son écrin, doucement bercé par la belle lune.
Des pays, des lieux
où le temps a laissé ses couleurs
Un fleuve sans remous
A la recherche de l’espace
Et qui dira la nuit
garde encore une bougie
allumée.
Dans l’intimité du matin
Le soleil dévoile ses couleurs
Sans rougir!
bonjour à vous tous
fleuve corps de femme
aux puissantes hanches
au ventre bleu
que la coulée du buste
vers les bras assemblés
courbe vers l’avenir
tête soleil
à la chevelure de bacchantes
acharnées
au dépeçage du jour
dans le symbolium
de la vie
en aller et venir
___
Ouvrir l’Oeil
Au petit matin
Apercevoir
Le soleil
Et son couchant
Sur lit
De Loire…
… que le temps passe vite … on ne fait plus rien d’une journée !
Juste se glisser, sans rougir, dans l’intimité de ceux qui dorment comme des loirs…
___
Tu es mon or
Tout simplement de toi
Mon bel précieux joyau
Celui qui m’éclaire fort
A l’intérieur de moi
Et qui me donne chaud
QU EST CE QU IL EST BEAU ton haiku, Ossiane, et tout ton travail me donne un peu l envie de me taire et de contempler et de lire…BISES. Repose toi comme tu peux.
Pensées vers Neyde, qu’elles la soutiennent!
elle est si jolie cette photo,
l’envie de prendre une couette, me nicher, contempler, et me serrer…
Accostage des rives d’or :
Le nouvel équipage a rompu les amarres
En laissant les vieilles amours
Au port.
Demain sera sucré comme un miel de passion
Et nous irons aux cieux
Cueillir la fleur des belles.
Demain sera merveille
Sous tous nos horizons.
Je dérive
De la rive
Je m’enivre
Et chavire
Non sans heurts
Si je vire
A ravir
Serais ce pire
Ou meilleur ?
Ce désir
Qui m’attire
Illusion
Ou horreur
C’est ainsi
Par ici
Ou je vis
Ou je meurs
Bonjour à tous,
Admirer sans se lasser cette superbe image du « fleuve » où dans une même douceur les couleurs du ciel et de l’eau se confondent, puis fermer les yeux, sentir sur le visage la fraîcheur humide des bords de Loire , écouter les clapotis et tous ces sons et cris étranges qui accompagnent cette Grande Dame, comme les valets attentifs d’un autre âge. S’imaginer sur un futreau* comme à Venise sur une gondole et rêver….
*futreau – très ancienne petite ambarcation à voile, très élégante.
__
La Loire majestueuse
Aux couleurs douces et gracieuses
Long ruban d’argent
Anguille aux écailles saumonées
S’écoule lentement vers la mer.
J’aime ton allure fière et hautaine
Lorsque tes rives frôlent les demeures royales.
Long fleuve tranquille
Parés des plus beaux atours
Tu retiens en ton intime
Les mots des plus grands poètes
Venus rêver sur tes berges :
Ronsard, Apollinaire
Joachin du Bellay, Georges Sand
Et combien d’autres encore
Attirés par ta grâce
Ton parfum d’élégance,
Ils ont chanté ta gloire
Proclamé ta volupté.
Devant cette Grande Dame
Je retiens mon souffle
Pensive, éblouie,
Intimidée par tant de beauté.
C’est joli Monique, c’est comme si j y suis….
et je te relis, PROFITE si tu y es de vrai,
je te lis aussi rachel..
Un banc posé devant….ma tête sur ton épaule,….le clapotis de l’eau….un oiseau tendre vol….une frisson d’air plus frais…je me niche plus près…glisse ma main dans ta poche….et caresse un galet…puis je ferme les yeux…car ton si doux baiser…et main se ressort et se chauffe dans la tienne….
Divine Loire si belle
Tu as guidé nos pas
Mon fils se dit heureux
Et je te remercie
Au bout de son estuaire
Il a le droit de vivre
Tout au près de son lui
Que lui confia la vie
Ô Loire Ô grande Loire
Ceux qui vivent sur tes bords
Ont une bien belle chance
Car tu es belle divine
Ô Loire
En eau, en ciel, en terre
Sous le soleil, la pluie
La lune et puis le vent
Tu ES MAJESTUEUSE
Et je te remercie
Tu es LA VIE
Pour toi, mon amour, je peux laisser TOUT L OR DU MONDE, avec toi coule si tendrement le SABLIER DES ETOILES et mes petits yeux émus se frottent émerveillés devant tant de douceur, d’amour, et de tendresse, LE TEMPS S’ECOULE son jour, avec toi mon amour, il s’écoule si bel, car tu es cette petite ETOILE qui brille dans mon coeur et S’ECOULE de toi de l’OR tout simple d’être…. juste d’être si bel.
J’ai repris TES MOTS, OSSIANE, car ils sont tellement beaux, ils se suffisent d’eux, mais ma main les a mis en écrin pour qu’ils restent éternels, comme cet album Immense si Grand si Pur si Splendide chaque jour, je m’émerveille mon jour quand j’ouvre ton album, ou ma perle se goutte ou mon sourire se vit, ou mon émotion pure doucement m’envahit…..tout simplement, Merci.
Le jour se meurt, nostalgie
Instant d’unicité avec l’univers
Reflet de l’âme
Dernier regard brûlant
avant la mise au lit
juste repos accordé
Où sont donc les chercheurs d’or
ces manieurs passionnés de battées
qui scrutent la moindre pépite
–
Le ciel vide, ou devenu pâture de nuages, la terre jusqu’à l’horizon dans sa figure naïve encore ou retouchée de la main des hommes, proposent à notre vue leurs grands thèmes, non point liés à quelque déroulement temporel, mais énoncés tous ensemble dans l’espace, où ils installent pour toujours, le paradoxe d’un immense contrepoint simultané.
–
Gustave Roud
–
Ossiane j’espère que tu vas mieux…Ton microbe balladeur est chez moi..et ce soir c’est soirée » Tambours et trompettes » sans carton d’invitation..Pourvu qu’ils ne me jouent pas « Nuits blanches à Seattle « .!..Bon je me censure sinon le coctail +grog+antalgique pourrait devenir explosif (!)
Bonne nuit 🙂
Les chercheurs
d’Or
Préfèrent
l’Ariège,
Rivière Orifère,
A la Loire
Plutôt destinée
Aux bons dormeurs !
Car en Loire,
On y dort comme un Loir
Alix :
Et encore une de malade !
C’est plus un ptit tonneau,
c’est une barrique de grog
qu’il va falloir
comme boisson du soir !
Bonsoir quand même
Christineeeeeeeee
Tu as remarqué le précédent post: …. ensemble….un ange est passé.. Des bassines de grog et on viendra chacun notre tour s’y sustenter (beurkk)… A bientôt ..du moins je l’espère>)))
>Thierry :
Merci pour tes bons vœux et tes poèmes liguériens enflammés.
>Pieralin :
Bonjour Pieralin, belle image ces pyjamas 😉 Merci pour ton beau poème lumineux. Tu es très famillier de ces ambiances de jour vacillant ; ça se sent. Bon week-end à toi, bises vers ta Suisse.
>Monique :
Merci également Monique, j’attend spatiemment que tout rentre dans l’ordre 😉 Beaucoup de gens sont touchés en ce moment. Tu es en complète osmose poétique avec ce fleuve que tu connais particulièrement bien. Merci pour tes très beaux poèmes. Bonne soirée, je t’embrasse.
>Christine:
Tu tiens la forme pour un régiment 😉 Ne t’inquiète pas, je surnage 😉
>Annick :
Toujours pas de nouvelles de Neyde…
Exprime-toi comme tu le sens, Annick et passe une bonne soirée en contemplation paisible 😉
Je vois en effet que tu as aimé le haïku 😉 Tu es trop sympa avec moi 😉
Ton tout dernier poème sur la Loire est très beau. Il me semble que tu décris tout ce qui fait l’essence de ce fleuve. J’aurais aimé avoir davantage de temps et de belles lumières pour l’observer davantage. A chaque fois, pas mal de pluie et quelques rares éclaircies comme celle-ci. Je t’embrasse.
>Salomé :
Bonsoir Salomé, ton poème est superbe de délicatesse d’image set d’écriture. Un grand merci à toi.
>Marc :
Beau poème solaire ! Belle soirée à toi.
>regard :
Très belles associations de ton regard avec le corps d’une femme et une chevelure de feu ! Il me semble que cela n’a pas été évoqué. Merci pour la beauté de tes mots.
>Bourrache :
Joli poème paisible ! Je suis sûre qu’il fait beau chez toi 😉 Bises.
>Johal :
Beauté magique de tes mots et de l’univers que tu décris ! Que ta plume est imagée ! Bises.
>rachel :
Une émouvnate façon de se projeter à l’intérieur de soi à partir de la réalité d’un paysages. Tes mots sont simples et forts. Merci beaucoup.
>alix:
Bonsoir Alix, si les microbes sont baladeurs, je ne me balade plus beaucoup sur la toile en ce moment. Je suis KO;-)) Ce n’est pas moi qui t’ai contaminée en tout cas;-) Je te conseille le grog explosif, franchement;-)) Je l’ai expériementé; on se sent partir vers les étoiles; tu verras, c’est très bien;-) Merci pour cette belle vision céleste de Gustave Roud. Bises derrière la vitre et courage pour les heures à venir;-)
>Tao:
Bonsoir Tao, bienvenue sur le blog;-) Je constate que nous sommes collègues blogueurs poètes sur le Monde;-) Je n’ai pas eu le temps de visiter en profondeur ton blog mais je peux te dire que la derniere photo de ta note est tout simplement merveilleuse. Merci pour ce beau poème sensible et lumineux. Au plaisir de te lire à nouveau.
Alix
Avant que tu disparaisses sous ta couette dans la chaleur épaisse de la fièvre, je te souhaite une nuit pas trop mauvaise et un mieux pour demain.
De retour après quelques jours sans, et je retrouve tes images et tes mots. Inhabituellement saturé ton traitement, mais ça va pas mal à l’image. Bonne soirée 🙂
Ossiane
Merci pour tes mots si gentils, j’ai passé vingt ans de ma vie sur les bords de Loire, j’y ai beaucoup d’attaches et y retournes souvent. J’espère que tu commences à te sentir un peu mieux, demain dimanche, je te souhaite une bonne grasse matinée pour finir de te remettre en forme. Cette fin d’hiver est venue avec son lot de petites misères. Toujours fidèle au poste, tu es courageuse et adorable tout à la fois. Je t’embrasse.
Bourrache, soigne toi, de même pour Ossiane, et pour chaque petit malade..mes douces pensées vers Neyde.
tu as de la chance, Monique, quelle belle Loire, elle m a apaisée cette Loire, le temps de vacances avec ma fille ainée gravement malade, et puis un autre temps de vacances après un choc de vie terrible…elle m’a serrée bien fort de sa tendresse, et cela m a fait du bien. Un beau lie embrasse fort quand on est malheureux.
un beau lieU…excusez moi, merci.
Dormir comme un loir…..dans le creux de la rivière…et la Loire qui serpente…sur quatre pattes….et ce ciel qui tangue….impossible….c’est à dormir debout…..Et Ossiane…et Alix…et Bourrache….C’est la fièvre d’un samedi soir…on grelotte sous la toile…et l’écran qui flotte……J’ai les mots qui ondulent….et la tête qui éclate….et le coeur qui dit vague….Alouette….je te plumerai…Des flocons qui s’envolent….plumes blanches qui rigolent….et le ciel qui rougit….C’est normal….c’est Timide….et…………..Atchoum…et ….douceur….pour un grog….et un zest de ….tendresse…..
MERCI Pierre b, pour ce joli grog de nuit douce…
Annick
Le pays de Loire a pour moi, tu l’auras compris au cours de mes poèmes, une très grande importance, des moments de grandes émotions et de grandes douleurs, je partage donc avec toi un intérêt tout particulier à cette région, à ce fleuve qui charie dans son lit beaucoup de mes pleurs et résonne de mes rires d’enfant.
Bonsoir, bonne nuit je t’embrasse.
GROG des Oeils 1 /2 Ouverts
Nouvelle recette !
Prendre une bassine,
Grande de préférence
Si vous êtes nombreux
Une barrique fera au mieux
Remplissez
Avec de l’eau de Loire
Quelques cuillerées de miel…
Ajoutez
d’un geste leste
Zestes
Citrons pressés
A profusion
Le tout assaisonné de thym
Sans oublier
Evidemment,
Un bon rhum ambré
Pour les plus assoiffés.
Faire chauffer…
Ne pas oublier
Antalgique
Magique
Un dernier zeste
De tendresse,
Grog de nuit douce
Pour rêves explosifs
Et vous verrez
Demain matin
Le régiment des OOO
Bon pied, bon œil
En …ture, pour de
Nouvelles Avant-routes
Hips Hips
Même pas bu ! C’est l’odeur !
Bonsoirrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr
Je souhaite à tous nos petits malades de guérir bien vite, Bourrache, Ossiane, Alix, Pierre et les autres et leur souhaite une bonne nuit.
J’embrasse bien fort Neyde en espérant avoir bientôt de ses nouvelles.
Un petit bonsoir à Olivier, le poète en balade et l’inconditionnel des châteaux de la Loire .
Je t’embrasse Monique, bonne nuit.
Bonjour aux heureux pas malade(s)…ATCHOUM…
Bonne journée à tous et ne prenez pas froid (non Christine je ne boirais pas de ton elixir..un petit Crémant ce midi plutôt..me conviendra mieux..il faut soigner le mal par le mal…NA!)
Monique j’ai zappé ton bonne nuit alors un bon jour spécial pour toi toute seule:).. Jeandler…une plume est arrivée jusqu’à moi..
Bon Dimanche à tous:)
Bonne Journée Alix et peut-être bien au chaud chez toi aujourd’hui!
Le soleil ce matin nous boude et la terre n’a pas encore défait son lit.
La couette en duvet d’oie jonche la campagne endormie.
Même les oiseaux n’ont pas encore ouvert les yeux.
Le village est plongé dans un grand silence.
Un calme reposant, rien ne bouge.
Et je suis bien ainsi.
C’est relaxant
Super.
00
!
Monique, Christineeee, je découvre vos mots de 23 H 34 et 36…tes mots de 23 H 22, Monique, m’avaient fort touchée hier soir, bises, à rester étourdie devant mes mots à moi, car La Loire a charié aussi de grosses pleurs de moi…bises.
j’espère que les petits malades vont déjà un peu mieux…
Assis devant le petit bois
Le regard apprécie
Parfois un oiseau vole
D’une branche vers une autre
Et l’oeil le suit envol
C’est beau dans l’air du temps
Sans doûte es tu encore là
Ô Loire si belle Loire
Je t’imagine si douce
Ce matin au réveil
Tu serpentes ton cours
Aux berges au goût de miel
Et les tendres bels chanceux
Qui marchent sur tes berges
Ô Loire si belle Loire
Mon regard délicat
S’incline sa révérence
Devant ton beau spectacle
Une perle me pique un peu
Tu es si pleine de grace
Que mon regard ému
Ô Loire si belle Loire
Je t’aime tout simplement
___
Dimanche, hôpital de l’Oeil Ouvert.
Aile nord du nord.
En bord de Lienne.
Etage Ardenne.
Chambre 28.
Un corps frissonne, tousse, crachote, éternue, renifle, se mouche. La fièvre du samedi soir, ayant traversé la nuit, fait briller ses yeux.
Au pied du lit, l’indéfectible, sourcils froncés, pose un regard interrogatif. Le soleil tout rond invite à la gambade. Il pressent déjà qu’il se contentera de se dégourdir les pattes dans le jardin en friches.
La chatte sans frontières guette là-bas, quelque part, la musaraigne et la souris.
Le poisson rouge s’en fout.
Dans les couloirs, fantômes et fantômettes, tout de blanc vêtus, s’activent autour du chaudron magique : effluves miel – citron – thym – rhum – amitié.
Chambre 28 : un corps à l’estomac nauséeux, daffalgan avalé, ramène la couette par-dessus sa tête en état de décomposition.
Aujourd’hui, jour, nuit ?
Temps suspendu, indéfini…
_
Biz à tous.
___
Bonjour à tous
Une pensée ensoleillée pour Neyde
Le fleuve déploie sa langueur océane
Et le ciel en volutes de pailles
S’empourpre d’une nuée d’hirondelles
Le printemps éclôt ses bourgeons
Les mouettes, comblées d’aise, s’ébrouent
Vol de passereaux, passants du dimanche
Le soleil étincelle, l’aube rose
Aquarelle de flamands roses
Renaît sur la toile du peintre
Batifôlons dans l’herbe
La rosée du mâtin
Y a déposé ses perles
Le coeur est en fête
Le printemps couve ses aubépines
Le carnaval bat son plein
Otons donc nos masques
Et soyons saltimbamques…
Très belle journée…bonjour à Alix et Monique et aux fidèles de l’oeil ouvert
Bises…à tous et à toi, Ossiane
tu me fais sourire Bourrache et pourtant c’est pas rigolo,
bises de loin… je crains rien…sourire …je m en sors mes pas en bord de mer pour serrer le soleil, et son regard dans l’eau..
BISES DE DIMANCHE. et rétablissement tendre aux petits malades sous couettes!
Claudie
Tout en splendeur et volupté ce matin, tu as un coeur printanier et ta plume est belle et légère Une superbe journée s’annonce pour toi .
Annick
Beau poème sur la Loire ce matin qui me va droit au coeur je le range dans un petit coin de mon âme.Bonne journée à toi et à Jean Sébastien .
Bourrache
Rester bien au chaud, avec une petite musique de fond, attendre gentiment que cela passe, en pensant que demain tout ira mieux. Bon courage.
Alix
J’ai bien aimé ton petit bonjour rien que pour moi. Bonne journée à toi aussi.
Bonjour Bourrache !
Visite du médecin dans une heure
tenez vous prêts !
Ma pauvre….
Mes pauvres…
Je compatis…
Biseeeeeees sous le masqueeeeeee
Monique,
Hier, j’ai envoyé un message en même temps qu’Alix !
Aujourd’hui, j’en envoie un en même temps que toi !
Nos anges gardiens veillent !
Biseeees matinaleeeees
Un peu moins drôle…
Mais j’ai pensé à ça hier…
A Pro.fusion
Fleuve d’or
Fleuve de feu…
Maurice et Katia Kraft
Rêvaient de naviguer
Sur un fleuve de lave
En fusion…
Ils naviguent maintenant
Sur l’or des étoiles
Eternellement…
Re biseeeees
Christine
Messages en effet envoyés à la même heure, les grands esprits se rencontrent mais c’est le plus petit qui le fait remarquer donc je m’incline.
12 h 22
Bourrache,
Le toubib est arrivé
« Dites Ahhhhhhh »
Bon ap !
Oiseau
Enfermé dans l’intimité de mon âme
Je voguant sur cours du temps
Regardant l’horizon
Cherchant des cimes
Aux rêves éternels
D’ou je pourrais admirer
Un ciel d’une infinie bleuté
La blancheur et la pureté
Libéré de la peur
Libéré de moi même
Par delà l’éternité
Au dessus les nuages
Au dessus de l’or du soleil
L’âme plus léger que l’air
Volant sur le cours la vie
bon dimanche bien au chaud pour les petits malades de l’oeil ouvert
Aux autres belles ballades dans la fraicheur et sous le soleil
le temps s’écoule,
le cours d’eau coule,
lentement il me ramene vers toi……
où va le fleuve
lentement
qui s’enroule
et descend
la mer l’attend
où va le temps
qui va si vite
bonheur en fuite
des vains instants
l’oubli l’attend
où vont le larmes
le bruit des armes
et les rires
l’errance libre
l’espoir l’attend
où t’en vas tu
le coeur battant
pressé de vivre
le sang s’enivre
l’amour t’attend
mauvais rhume,
mauvais froid,
fallait pas ,
en cette saison,
tomber ses habits,
pour plonger, corps et âmes, dans le fleuve…..
bon rétablissement à vous tous. bises.
le soleil, comme tous les jours, brille au dessus de nous, pas un nuage, une température douce, les mimosas croulent de petite boules or, ballade en bord de mer, déjeuner façe à la mer, lentement le temps s’ecoule, prendre le temps de vivre, de discuter, de partager ensemble de bons moments, se faire un apéro couleur soleil, se dire tout simplement, que tout l’or du monde nous avons, il suffit de savoir le saisir……
L’or entre en fusion à combien de ° ? Moi, je fais 38°7 …
Le médecin de midi avait des contours flous. M’a dit « Aaahhh », j’ai répondu « beurk ».
Pensées enfiévrées pour Neyde.
le matin lorsque nous allions à l’école et traversions le pont au dessus de la Loire
Le soleil était encore bas et ses rayons effleuraient le fleuve
Une brume légère venait caresser les arches du pont
Enveloppant la Loire de son grand manteau ;
Et au printemps les grands cormorans
Survolaient attentifs les eaux
du fleuve plongeant leurs
longs becs dedans
son eau limpide
Et les bancs
de sable se couvraient de mouettes et de canards sauvages dans le jour naissant.
C’est qu’à se découvrir
On arrive à souffrir
D’un mauvais coup de froid
Si je tremble et délire
Grelotte et puis transpire
C’est que je n’avais pas
A tant me dévêtir
J’aurais du me couvrir
Et bien la prochaine fois
Garderai mon foulard
J’aurai moins de déboires
Je n’en serais pas là
Je ne veux pas me plaindre
Laissez moi donc m’éteindre
Solitaire ici bas
Car c’est à l’intérieur
Que je souffre et je meurs
Au secours, vite à moi !
Bon rétablissement à tous nos malades. Vous voyez bien qu’on pense à vous
Très fort Bourrache… 🙂 Pas pris la température…mais j’ai peur que les gouttes qui coulent de mon nez ne fassent monter dangereusement le niveau de la Loire…Et les tams tams…à croire que j’aie in Ipod incrusté dans le cerveau. .Bon ça a l’air comme ça…mais c’est rien qu’un gros rHube…
Allez à bientôt…je m’en vais déguster un potage …et après..RE-couette
Bonne nuit..OossiAnE…ça va ??..
Bourrache :
Point de fusion de l’or en °C = 1 064.43 °C
ca va, tu as encore de la marge avant de te liquéfier !
Cet après midi, je suis allée prendre un bain de vent !
Il y avait des vagues moutonnantes sur le lac de St Féréol : impressionnant, on avait même du mal à marcher !
Biseeeees aéréeeeees
Alix !!!!
Encore une fois …… A la même heure !!!!!
C’est dingue !!!!!
Christineeeeee
Bourrache Alix Rachel
Même combat !
Ne tombez pas du côté obscur de la Force !
Restez du côté lumineux
Que la Force soit avec vous !
et bon rétablissement pour la semaine prochaine
Fleuve au long cours
Emporte mon amour
qui s’éloigne déjà
Fleuve aux contours
sinueux dont les atours
scintillent brillant d’éclats
Fleuve au détour
duquel glissent les jours
me laisse transis de froid
Rachel et moi
Cette fois ci
A la même heure
C’est plus dingue que dingue !!!
Assis face au couchant, sur les bords de la Loire
Je reste seul, En équilibre au bord du soir.
Face au crépuscule, J’admire ses ombres noires
Qui grandissent infinies comme mon désespoir
Pareil à ce fleuve Libre et si imprévisible
Tu glisses sur la vie, discrète, introvertie;
parfois, Tu parades rayonnante extravertie
Un jour Visible, le plus souvent invisible
Devant mes avances souvent tu te dérobes
Tu changes de masque comme autant de robes
Discourtoise hautaine ou aimable
Je m’échoue sur ton cœur bancs de sable.
J’aimerais dompter à jamais tes sentiments
Et t’enfermer dans une cage de diamants
Mais je sais que je perdrais l’essence de ton être;
Alors je plonge pour ne plus réapparaître.
.
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Allo, allo… clignement d’yeux… un petit signe depuis les profondeurs de mon bocal… je réémerge un petit peu de ma torpeur et je vous remercie vraiment pour toutes vos pensées de soutien. Ce blog est quand même incroyable… un vrai condensé d’humanité grâce à vous tous… c’est vraiment sympa. Je vois que je ne suis pas la seule dans ce cas, n’est-ce pas Alix ;-)) Courage à toi !!!
Quant à Christineeeeeeeeeeee, je ne sais pas comment elle fait pour tenir un rythme pareil. Toujours de bonne humeur, une énergie surhumaine, des remèdes exceptionnels, des bains de vent, quelle est ta recette 😉
Et Bourrache, tu m’as bien fait rire avec la visite médicale ;-)) Tu es malade aussi ?
>Anne :
S’il y a saturation, c’est que je suis sous traitement de choc et remède de cheval ;-)) IL faut me pardonner 😉 Je précise toutefois, que la première photo est absolument naturelle dans son rendu d’origine. Bises.
>Monique :
Giga félicitations à Monique pour sa constance poétique, son attention, son amitié et son admirable poème en forme de soleil !!! C’est splendide !!!
>Pierre b :
Merci beaucoup Pierre pour ta jolie berceuse du soir. La fièvre a baissé aussitôt après t’avoir lu 😉
>Annick :
Merci de prendre des nouvelles ainsi que pour ta belle poésie au goût de miel ; c’est très bon pour ma gorge ;-))
>Claudie :
Superbe poème d’une grande beauté d’images et de sensation. Tu es magicienne des mots. Je me sens mieux tout d’un coup 😉
>Marc :
Tu nous fais voler avec tes mots, marc sans parler de ton beau poème d’amour qont tu deviens le spécialiste avec amichel ! C’est splendide !
>sabine :
Tes trois mesages donnent du baume au cœur. Rien de mieux que les petits plaisirs simples à portée de main.. Bises.
>amichel :
Ton poème est un peu différent de ce que tu fais d’habitude, des vers courts, des mots simples, un rythme paisible et des pensées qui coulent tranquillement sur la vie comme le flux de la Loire. Belle leçon de vie, merci.
>rachel :
Je n’ai pas tout compris, toi aussi, tu es malade, rachel ? Nous serions quatre alors 😉 Ca t’inspire ;-))
bras de mer
bras de terre
à bras ouverts
embrasser la terre et le ciel
plein feu, plein ciel, océan de sagesse
sompteuse lumière
reliance
à coeur ouvert
j’aime
véronique
Déesse Ô ma déesse
Je t’ouvre mes deux bras
Pour t’accueillir ma Loire
Moi le Sieur Océan
Et chaque seconde
C’est l’étreinte
Depuis mille ans
Et nos splichs se gouttent
D’eau précieuse
Se nagent tendre
Autour du globe
C’est pourquoi ce soir
Une goutte
Dans la main de Miss Annick
Qui l’a recueillie à La Turballe
Cette perle fine de Loire
Qu’elle met sous globe
Sourire!
Et bien, les petits malades ‘y’ s’énervent de température,
et moi qui me sens si calme ce soir, caressée tant par le vent frais, serrée par le soleil, flirtée par les coques de noix, envolée par les mouettes, musiquée par la mélodie de la mer….bises du soir, et j’y mets des sels de mer pour un bien être garanti….sourire.
Une chambrée de malades!
Qu’est-ce à dire, au sortir de l’hiver,
cette débauche de mouchoirs?
La Loire si basse
le fièvre si haute
J’irais au bord du fleuve
cueillir l’hysope et la menthe sauvage
un peu de miel un peu de lait
il y en aura pour tous les goûts!
A moins que carottes , chou et céleri
Ne se lient en un bouillon clair et chaud
Pour éclaicir vos fronts embrumés
Bonne nuit à tous les enrhumés et aux autres.
a nos p’tit loirs
un grog à boire
deux ou trois mouchoirs
bien au chaud dans le noir
et demain soir
on va tous s’asseoir
et prendre une p’tite poire
pas a manger mais à boire
et maintenant je vous dit bonsoir
Etre sous l’arche d’un pont
Lever la tête et par les reflets de l’eau
Sembler voir le soleil
Comme je voudrais que cette vision
Entre dans les yeux des sans abris
Pour y voir un peu de chaleur
Ce n’est pas anodin cette confusion
Mais bien la preuve
Que l’Oeil Ouvert
est avant tout
Un coeur grand ouvert sur le monde
Sur les autres
Et qu’un immense soleil
Brille dans nos coeurs
Je suis contente Ossiane de te sentir un peu mieux, on a l’impression de renaître lorsque l’on sort de ce cauchemar grippal, à croire que nous y passons tous, pour moi c’était il y a 15 jours. En ce moment il y en a quelques uns parmi nous, Maria D aussi je crois.
Merci d’avoir métamorphosé ma demi arche de pont en quart de soleil, finalement c’est plus ressemblant. Je ne maitrise pas encore bien les petites possibilités graphiques à notre disposition, j’avais tenté l’arche de pont entière mais j’ai dû me contenter de la moitié, tu vois je ne suis pas difficile. Je t’embrasse.
Sous les ponts de la Loire * coule un fleuve si grand
Qui charrie tant et tant …..de ses berges mouillées
Et dessous de ses pier……….res vivent les mousses
Qu’ un bâteau rare……………….passe si lentement
Car la pierre lui………………………papote secret
Connu juste………………………………….du pont
Qui en………………………………………………a vu
Des………………………………………………….trucs
hic de poir’, b’soir’, aur’voir,m’sens devenir un loir’…
bon, c’est pas tout à fait la forme de mon machin, mais ainsi fit l ordi..en truc de lui….on dira que le chemin de la Loire a bu d’la poir’, ohsi!
fleuve de la vie
par chemins, rives et dérives
au bout , tout au bout
un sablier hors du temps
délivre un espace hors du commun
une fine pluie d’or inonde
la croisée des chemins
poussière d’étoiles
dans la paume de ma main
un souffle de vie
la bise caresse
le fond du ciel à la surface des eaux
délicate danse
délice des cieux
Véronique
Et quand vient le soir,
Au bord de l’abîme de la nuit,
Sur la toile du ciel,
Le soleil jette avec panache,
Ses derniers coups de pinceau,
Parachève son oeuvre.
Le ciel agonise,
Au dessus des eaux tranquilles,
La journée se meurt.
Annick, je ne sais pas si je vais passer le pont, il me semble que l’architecte n’a pas tenu compte de toutes les données, je n’ai pas envie de me noyer, par contre j’ai noté le pointillisme nouvelle version échafaudage , je t’embrasse
…. »Il suffit de passer le pont – c’est tout de suite l’aventure…… »
pardon Ossiane, il m’arrive d’avoir envie de m’amuser comme une gamine, c’est bon signe, cela veut dire que le moral est au beau fixe… pour voir renaître demain un jour tout beau…
sur le fleuve, elles sont couchées, des milliers et des milliers de petites étoiles. Le sablier d’étoiles lui tout doucement s’ecoule, il est temps d’aller se coucher, de rêver, en attendant demain, un jour nouveau.Un jour nouveau qui vas encore nous reserver pleins de surprises…. la vie et un long fleuve tranquille…..
Sabine
Le marchand de sable est passé ce soir chargé de milliers de petites étoiles, elles brillent dans mes yeux en attendant comme toi Sabine un jour nouveau tout auréolé de bonheur et de soleil. Rendez-vous demain à Amboise, étoile du bord de Loire. Bonne nuit Sabine
>Merci Véronique, Annick, Pierre, marc, monique, sabine pour la beauté de vos mots, pour vos pensées amicales. Ce n’est pas encore la grande forme ; ça revient tout doucement… Je vous embrasse tous.
>Monique, pour revenir à ton arche de pont, sur le message que je reçois pour me prévenir d’un commentaire, on voit vraiment un cercle comme un soleil. Ce n’est pas du tout présenté comme sur le blog;-))
Loire…
De mes fenêtres je te vois
Parfois invisible comme ce matin sous ton épais manteau de brume
Parfois calme comme un lac, quasi miroir où se reflètent le ciel et les arbres
Parfois tumultueuse quand courant et marée montante s’affrontent
Oserai-je un jour continuer ce long voyage entamé il y a 18 mois
Aller à pied sur 1 200 kms
De ton embouchure vers ta source
Comme on remonte soit-même le fil du temps en espérant comprendre
Comprendre on ne sait trop quoi
Peut-être mieux accepter sa propre histoire
Ou au contraire partir de ta source
Et se dire que les confluents croisés
comme les personnes que l’on rencontre
ne sont là que pour apprendre à grandir
avant de se noyer dans l’oubli de la mer salée
salée comme peuvent l’être les larmes
Mais les larmes sèchent,
L’eau de la mer s’évapore
Ne reste que le fleur de sel
Qui la récoltera
« le long du fleuve » le long fleuve
né au bord de la rivière…un matin d’hiver…
entre les calcaires qui annoncent les terres arides et chaudes du « sud », et les derniers terrains « schisteux » du massif central…
j’ai glissé non enfance sur ses galets…
mon grand-père avec ses barques à fond plat, ses éperviers, ses nasses, ses filets,…
les truites, les brochets, les sandres, les goujons…, les écrevisses …
sa cuisine sacré, souvenirs de mets exquis et de saveurs vraies aprisent chez Lasserre…
les matins de marché pour choisir ses oies, ses canards, ses truffes, ses vins,…,
les copains, les virés, …,
le rugby « d’allez les petits »,
le sable fin doré sous les peupliers, les zones d’ombres, les saules, les courants, les digues et les « gours »…
« rivière espérance », pour certain, pour moi tu es l’un des liens qui scelle hier et demain…
et puis les révoltes qui grondent dans ses souvenirs : un maquis, Lurçat, Camus,…,
et un peu plus loin un A.Breton au bord du Lot puis les motos d’Astruc, et les guitares et le saxo de Destic et la batterie de Polo … au loin n’est ce pas la voix de C Nougaro,…du Jazz…
la tonnelle et les verres de …
et ton copain libraire à Cahors,
et le beau tonton « Mickey » qui faisait la nique au fachos, et qui s’en revenait de « Jaca » en chantant du Lorca…
puis bientôt Léo…mais qui a laissé la ville rose dormir dans les bras de ses petits-enfants…sanglots…
Puis viendra Oncle Maurice et la vallée d’Aspe,
puis c’est quoi ce drôle de tatouage sur ton avant bras : des numéros : nuits et brouillards…
pourquoi t’es devenu Anar,
et que tu as connu P.Loti quand tu étais petit ?
C’est vrai aussi que tu as connu les cinq fils du pasteur,
que tu appelais Charles : Charlemagne, et qu’un soir d’orage au Balaïtous vous aviez cru mourir,
que l’Algérie t’as fait partir, qu’en hiver je ne sais pas lequel 38-39 tu t’es échappé de GURS…entraînement pour les autres camps bien plus lointain et encore plus froids
et que tu n’aimes pas le bruit des bottes,
et que tu as écrit à Allende,
et que tu étais témoin au mariage de Théodore M…qui marche dans les sables… Que sur tes tableaux derrière les montagnes d’Accous, il y toujours les yeux d’une femme qui vivait entre Adour et Amour…
Dans les ruelles d’Alger, ta jolie juive-arabe, s’en est allée couchée dans le vent des balles perdues après une drôle de nuit où passait « le tango-bleu »…
je ne suis pas « artiste » …,
et puis Nîmes et la maison Carré devant ta maison d’exilé et ton jardin bambous les pieds dans le Gardon
simplement comme le « facteur-cheval »…,
avec mes poèmes et en mélangeant mes mots avec mes peintures et des « je t’aime » dans les encres de couleurs et les gouaches …,
mais avec le temps je ne désespère pas de prendre le temps d’y consacrer plus de temps…, mais toujours en m’amusant…,
et en gardant un instant pour aller aux matchs de rugby…,(du côté de Brive, de Toulouse, de Pau, ou d’Oloron…)
à moins que ce ne soit à Sidney chez Philippe, mais là c’est une autre histoire, et celle là je ne l’a connais pas assez…
>Aspe: superbe ballade avec un ou deux l tu nous donne des ailes à la recherche de ces souvenirs , ce ne doit pas être facile d’appeler à la conscience tant de choses, je suis tourneboulé par tes mots, tes images et l’impression qui s’en dégage, Merci de ce partage, rare et si beau.
Thierry…
merci, simplement, humblement…lucidement,… Thierry…
Aspe…
ça valait la peine depuis ta vallée de nous donner ce texte…fleuve, qui nous entraîne et nous fait voyager dans les contrées de ta mémoire, au plus près peut être de souvenirs qui te sont chers.
Je n’ai fait qu’exprimer une émotion sincère. De par la mise en mouvement de ces images tu as fait défiler un kaléidoscope riche et impressionnant avec ces couleurs et ces saveurs de l’enfance; parce que la mémoire olfactive est la plus fidèle et que puiser aux sources de la vie, de notre vie est essentiel pour se rappeler comment tout à commencé et d’où tout vient.
J’aimerai bien pouvoir en faire autant de manière aussi simple, courte et lucide, vrai de vrai !
Bonne journée: ce fleuve décidément n’en finit pas de nous inspirer et de nous guider et c’est très bien comme ça.
>Aspe:
Bravo Aspe, ton évocation nostalgique est pleine de beauté et d’émotion. Ton texte pourrait faire un superbe portrait de toi pour la Galerie de Passgers! Un grand merci pour la sincérité et simplicité de tes mots et émotions.
>@nn@ :
Magnifique poème pour cet hommage à la Loire depuis sa source jusqu’à la mer! L’as-tu vraiment remonter à pied? En tout cas, on sent sous tes mots que cette terre ne t’est pas étrangère. Merci pour ta belle écriture subtile.
Merci de tes mots, chère Ossiane
Tes douces pensées me soutiennent, Annick
Tes pensés ensoleillés, aussi, Claudie
Tu qui m’embrasses, Monique
Même les pensées enfiévrées de Bourrache
Vos pensées me fortifient, mes amies, mes amis du Blog
Une chambre de malades?
Je n’ai vu personne, je n’ai bu legrog!
Tout Le monde est déjà bien?
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Le fleuve de la vie
Peut être triste
Peut être joyeux
Selon ton histoire
Mais,
Quand on parle de la Loire
C’est la gloire,
C’est toujours belle!
>Neyde:
Et de nouveau, tu empruntes tes habits de poète avec la sensibilité qui te caractérise. Tu as retrouvé définitivement le fleuve de la vie;-)
Ossiane, je n’ai pas fait les 1 200 kms car la réponse était là:
« …Oserai-je un jour continuer ce long voyage entamé il y a 18 mois… »
J’ai juste marché sur des tronçons du GR 3 entre Rigné-17 octobre et Sully sur Loire le 20.
4 jours de marche en solo, loin de la famile, pour faire le point… sur plein de choses… et moi même en premier :-))
Cette année, changement de poste oblige, c’est plus difficile, mais j’esssaierai peut-être …mais chut il ne faut jamais parler trop tôt de ses projets…
>@nn@:
Bonsoir Anna, Un beau périple sans doute à continuer en plusieurs fois. C’est déjà pas mal ce que tu as fait. On pense beaucoup quand on marche mais on se vide la tête aussi. Bonne fin de soirée.